CHAPITRE XVI (Fin de chapitre)
- Attends, je vais prendre une position plus confortable.
Ce faisant, Alice saisit son oreiller.
- Ah ben ça alors !!! il y a encore une p’tite culotte qui a poussé ? Voyons-voir !
La petite culotte est passée en inspection et le verdict tombe, sans appel.
- Mais elle est encore plus cochonne que la première s’exclame Alice.
Je la regarde amusé. Alice me donne l'illusion d'être faussement outrée car ses yeux pétillent et c’est somptueux. Mais je comprends très vite à cet instant précis que les petites culottes n’y sont pour rien. Elle a juste envie de faire l’amour, simplement sans fioriture.
- On fait l’amour. Vite. J’ai envie. Tu m’as excitée comme une puce. Promis, je l’essaye après.
Mon premier flop, brut de forme, en direct, sans intermédiaire. J’aurai pu m’en douter. Alice n’a pas besoin d’artifice. A elle seule elle fait la totale. Et c’est vrai que moi aussi je prends plus de plaisir à admirer sa nudité qu’à la contempler à moitié immergée dans un bout de tissu. J’avais rencontré une réaction similaire lorsque je lui avais offert le bouquet de roses blanches, polie mais sans attache particulière. Je l’entends encore me dire que son seul plaisir c’était de m’avoir à ses côtés.
Cette nuit-là, nous avons fait l ‘amour, revisité plusieurs positions du Kâma-Sûtra, allongés sur le lit, debout dans la chambre, dans la cuisine, sur le canapé. On a même expérimenté les toilettes. On s’est amusés comme des gamins. Et nous nous sommes couchés vers deux heures du matin heureux, le corps et l‘esprit apaisés.
On n'a plus jamais entendu parler de ces deux petites culottes.
- Tourne.
- Je suis très bien comme ça !
- Oui mais tourne quand même.
Je suis venue me coller à Alice, mon sexe encore ému tout contre ses fesses, une main sur son sein.
- Dodo ?
- Dodo mon chéri, tu m’as épuisée.
- Attends, je vais prendre une position plus confortable.
Ce faisant, Alice saisit son oreiller.
- Ah ben ça alors !!! il y a encore une p’tite culotte qui a poussé ? Voyons-voir !
La petite culotte est passée en inspection et le verdict tombe, sans appel.
- Mais elle est encore plus cochonne que la première s’exclame Alice.
Je la regarde amusé. Alice me donne l'illusion d'être faussement outrée car ses yeux pétillent et c’est somptueux. Mais je comprends très vite à cet instant précis que les petites culottes n’y sont pour rien. Elle a juste envie de faire l’amour, simplement sans fioriture.
- On fait l’amour. Vite. J’ai envie. Tu m’as excitée comme une puce. Promis, je l’essaye après.
Mon premier flop, brut de forme, en direct, sans intermédiaire. J’aurai pu m’en douter. Alice n’a pas besoin d’artifice. A elle seule elle fait la totale. Et c’est vrai que moi aussi je prends plus de plaisir à admirer sa nudité qu’à la contempler à moitié immergée dans un bout de tissu. J’avais rencontré une réaction similaire lorsque je lui avais offert le bouquet de roses blanches, polie mais sans attache particulière. Je l’entends encore me dire que son seul plaisir c’était de m’avoir à ses côtés.
Cette nuit-là, nous avons fait l ‘amour, revisité plusieurs positions du Kâma-Sûtra, allongés sur le lit, debout dans la chambre, dans la cuisine, sur le canapé. On a même expérimenté les toilettes. On s’est amusés comme des gamins. Et nous nous sommes couchés vers deux heures du matin heureux, le corps et l‘esprit apaisés.
On n'a plus jamais entendu parler de ces deux petites culottes.
- Tourne.
- Je suis très bien comme ça !
- Oui mais tourne quand même.
Je suis venue me coller à Alice, mon sexe encore ému tout contre ses fesses, une main sur son sein.
- Dodo ?
- Dodo mon chéri, tu m’as épuisée.
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