CHAPITRE XVI (Suite)
Ce que j’aime avec Alice, c’est sa délicieuse façon d’être espiègle et mon amoureuse n’a pas son pareil pour vouloir substituer une pseudo-défaite en victoire absolue. Son sourire en dit long sur l’état d’esprit qui l’anime à cet instant précis. Si l’innocence et le naturel sont toujours bien au rendez-vous, la petite polissonne reste néanmoins très friponne. Elle le sait. Elle en joue. Elle en abuse.
Elle est debout à moitié nue devant le lit, son regard amusé est surtout provocateur. Elle attend la suite. Bizarrement, elle n’est plus fatiguée. Elle est même excitée, prête à se soumettre à mes caprices les plus extravagants. Ses yeux trahissent toutes ses émotions et comme Alice ne sait pas faire semblant, il suffit de la regarder pour capter ses états d’âmes. A cet instant, Alice se languit et j’adore.
Mes lèvres prennent possession de son visage, de son buste, de sa poitrine. Elles s’éparpillent sur ses épaules, dans son cou, sur son ventre plat, son nombril merveilleusement dessiné et chaque petit baiser active un sourire encore plus beau que le précédent. Elle est magnifique de simplicité avec ses cheveux longs qui tombent sur son dos bien droit, dans la posture de la cavalière campée dans sa selle.
Mes mains jouent avec ses seins, même pas impressionnées par la déformation de la poitrine. Mes doigts courent sur sa peau laiteuse, appuient doucement sur l’extrémité de son nez, passent sur ses lèvres pour les préparer au baiser délicieux qui va gommer son sourire ironique. Alice, les yeux fermés savoure chaque seconde qui s’écoule. Elle est totalement immobile livrée à mes doigts ensorceleurs et à mes lèvres caressantes. J’embrasse une paupière fermée et un sourire monstrueux vient éclairer son visage. Sa peau est douce, parsemée de minuscules taches de rousseur. L’odeur de ses cheveux m’envahit lorsque mon nez vient plonger derrière l'une de ses oreilles. J’ai envie de me noyer dans sa chevelure, d’émerger derrière son cou pour regagner à la nage le lobe de sa petite sœur.
Je prends sa main. Elle est chaude, toute chaude. Je repense à Camille et je me tourne discrètement vers le guéridon sur lequel elle est perchée. Camille me fixe de son regard de pierre, mi amusée, mi outrée, même pas jalouse. Peut-être a-t ’elle été amadouée mais vu le personnage, j’ai un doute.
Mes lèvres sont maintenant posées sur sa main. Elles jouent avec ses doigts. Elles remontent le long de son bras que je soulève doucement. Je n’avais jamais remarqué la petite cicatrice sous son aisselle. Je chasse d’un baiser furtif cette réalité sournoise, cachée sous son bras et je m’aventure sur sa poitrine pour prendre entre mes lèvres l’un de ses mamelons. Alice gémit doucement. Un gémissement de bien-être et j’adore. Je baisse un peu son jean et mes mains joyeuses se précipitent sur les fesses libérées. Le tissu de sa petite culotte épouse à la perfection ses formes adorables. Mes doigts cherchent l’ouverture, rencontrent les petits nœuds, les localisent pour mieux y revenir plus tard. Ma main vient caresser son pubis, passe entre ses jambes, court sur son sexe avec pour seul rempart le petit bout de tissu transparent, humide à souhait. Alice tente de favoriser le passage vite bloquée par son jean en haut de ses cuisses. Je la soulage de cette contrainte après lui avoir retiré ses baskets.
Le corps offert, sa petite culotte pour seul vêtement, je donne libre cours à mon imaginaire. Les scénarios défilent dans ma tête à une vitesse extraordinaire. J‘élimine d’emblée ceux que je considère irrespectueux, trop pornographiques pour ne conserver que ceux qui vont se régaler de nos désirs, de nos phantasmes.
Je prends les mains d’Alice et je les dépose sur le premier bouton de ma chemise. Son sourire de petite fille timide a pris possession de son visage pendant qu’elle égrène les boutons de ma chemise. Elle garde un silence monumental mais je sais qu’elle apprécie. Elle dégage mon torse et laisse le tissu rejoindre les quelques vêtements déjà éparpillés sur le sol de la chambre.
L’une de ses mains vient se poser sur ma poitrine. Alice rit. Un rire de connivence, un rire de complicité. Son regard est merveilleux. Une immense tendresse, un désir fou, une confiance absolue.
Je dirige ses mains sur la ceinture de mon pantalon et elles s’activent avec dextérité et frénésie. La ceinture cède, les boutons de mon pantalon ne résistent guère mieux à l’invasion massive de ses doigts experts, le tissu se retrouve en bas en accordéon sur mes chaussures que j’enlève en m’aidant de mes pieds. Je m’allonge sur le lit et Alice libère mes jambes.
Je me relève près de mon amoureuse que j’aime tant. Je la désire terriblement. Ses lèvres réclament. Elles implorent. Elles supplient maintenant. Les mimiques d’Alice m’amusent énormément et j’ai envie de faire durer le supplice mais lorsque nos langues se touchent, se rencontrent, se caressent, je comprends que je ne résisterais guère plus longtemps moi aussi. Alors je les laisse décider du moment où elles viendront épouser les siennes avec délice. Sans plus tarder, avec une impatience démesurée, elles se précipitent un peu comme un aimant et je m’enivre avec passion de sa douce salive. Nos corps se sont collés l’un à l’autre, un bras sous sa chevelure, un autre dans son dos que l’attraction terrestre ne tardera pas à faire voyager sur ses fesses. Je bascule Alice sur le lit tout en douceur, mon corps sur le sien pendant que nos langues entrent en symbiose. Mon sexe gonflé dans mon boxer est collé à la culotte d’Alice. L’envie de posséder, de pénétrer est évidente. Il faut juste savoir résister, ne pas précipiter les choses, apprécier ce désir sexuel fou, presque irrésistible tant l’appel du sexe est puissant.
Mon corps glisse sur celui d’Alice et sa petite culotte si excitante, apparaît maintenant à portée de pupilles. Mes lèvres embrassent le tissu, mes doigts caressent, s’amusent, tentent une inquisition, renoncent, y reviennent, cherchent son sexe à travers l'étoffe mouillé, le trouvent sans aucune difficulté, le parcourent, le chatouillent, le titillent avec enthousiasme. Mes lèvres suivent et sont maintenant collées au gousset. Je sens le goût de ses sécrétions vaginales envahir mes papilles à travers le tissu. Alice se met sur le ventre, offrant ses fesses merveilleuses à mes yeux affolés de désir. Les trois petits nœuds sont bien là. Je n’ose pas encore les détacher. Je veux profiter de la beauté du spectacle. Mes lèvres se précipitent, parcourent ses fesses, embrassent les parties cachées sous la dentelle, celles qui y sont découvertes. Elles cherchent une issue entre les nœuds. Mes mains caressent, rapprochent, écartent les lobes fessiers.
J’abandonne ses fesses pour embrasser ses jambes, serrées l’une contre l’autre. Je descends jusqu’à ses chevilles et mes doigts s’amusent sur la plante de ses pieds. Alice crie
- Non, pas ça ! Ça chatouille trop mon chérie. S’il te plaît ?
- Chut !
Je continue. J’embrasse ses pieds, ses orteils un à un. Je remonte tranquillement sur l’autre jambe. Mes lèvres glissent toute seule. Pas un poil à l’horizon. Juste à certain endroit un léger duvet puéril à peine visible qui vient taquiner mes sens.
Alice écarte légèrement les jambes mais l’espace est encore trop petit pour que je puisse y prendre place. Elle amplifie le mouvement pour laisser libre court à ma bouche qui séance tenante, prend possession de son intimité trempée.
Chez Alice le désir engendre presque immédiatement l’écoulement sexuel. La sécheresse vaginale, ce n’est pas pour elle. Elle ne connaît pas. Un baiser et sa culotte est humide. Un second et elle est trempée. Après quoi, il faut se méfier sinon, c’est le sinistre.
Avec les dents, je m’occupe du premier nœud. Il me faudra trois tentatives infructueuses pour arriver à le retirer. J’en parlerai à Johanna à l’occasion, elle a peut-être une meilleure technique et c’est avec cette image dans la tête que je m’attaque au suivant. Il ne résiste pas très longtemps. Quant au troisième, aussitôt touché, aussitôt dénoué.
Je lève la tête pour contempler mon œuvre. Les fesses d’Alice sont somptueuses, les courbes sont parfaites. Pas une ride, même pas un simple repli. Les lignes sont épurées au maximum. Impossible de faire mieux. Gustave Courbet n’a rien compris. C’est cette paire de fesses qu’il fallait coucher sur la toile pour l’exposer au monde entier. Et à la réflexion, c’est très bien comme cela. Je n’ai aucune envie de partager mon modèle.
Ce que j’aime avec Alice, c’est sa délicieuse façon d’être espiègle et mon amoureuse n’a pas son pareil pour vouloir substituer une pseudo-défaite en victoire absolue. Son sourire en dit long sur l’état d’esprit qui l’anime à cet instant précis. Si l’innocence et le naturel sont toujours bien au rendez-vous, la petite polissonne reste néanmoins très friponne. Elle le sait. Elle en joue. Elle en abuse.
Elle est debout à moitié nue devant le lit, son regard amusé est surtout provocateur. Elle attend la suite. Bizarrement, elle n’est plus fatiguée. Elle est même excitée, prête à se soumettre à mes caprices les plus extravagants. Ses yeux trahissent toutes ses émotions et comme Alice ne sait pas faire semblant, il suffit de la regarder pour capter ses états d’âmes. A cet instant, Alice se languit et j’adore.
Mes lèvres prennent possession de son visage, de son buste, de sa poitrine. Elles s’éparpillent sur ses épaules, dans son cou, sur son ventre plat, son nombril merveilleusement dessiné et chaque petit baiser active un sourire encore plus beau que le précédent. Elle est magnifique de simplicité avec ses cheveux longs qui tombent sur son dos bien droit, dans la posture de la cavalière campée dans sa selle.
Mes mains jouent avec ses seins, même pas impressionnées par la déformation de la poitrine. Mes doigts courent sur sa peau laiteuse, appuient doucement sur l’extrémité de son nez, passent sur ses lèvres pour les préparer au baiser délicieux qui va gommer son sourire ironique. Alice, les yeux fermés savoure chaque seconde qui s’écoule. Elle est totalement immobile livrée à mes doigts ensorceleurs et à mes lèvres caressantes. J’embrasse une paupière fermée et un sourire monstrueux vient éclairer son visage. Sa peau est douce, parsemée de minuscules taches de rousseur. L’odeur de ses cheveux m’envahit lorsque mon nez vient plonger derrière l'une de ses oreilles. J’ai envie de me noyer dans sa chevelure, d’émerger derrière son cou pour regagner à la nage le lobe de sa petite sœur.
Je prends sa main. Elle est chaude, toute chaude. Je repense à Camille et je me tourne discrètement vers le guéridon sur lequel elle est perchée. Camille me fixe de son regard de pierre, mi amusée, mi outrée, même pas jalouse. Peut-être a-t ’elle été amadouée mais vu le personnage, j’ai un doute.
Mes lèvres sont maintenant posées sur sa main. Elles jouent avec ses doigts. Elles remontent le long de son bras que je soulève doucement. Je n’avais jamais remarqué la petite cicatrice sous son aisselle. Je chasse d’un baiser furtif cette réalité sournoise, cachée sous son bras et je m’aventure sur sa poitrine pour prendre entre mes lèvres l’un de ses mamelons. Alice gémit doucement. Un gémissement de bien-être et j’adore. Je baisse un peu son jean et mes mains joyeuses se précipitent sur les fesses libérées. Le tissu de sa petite culotte épouse à la perfection ses formes adorables. Mes doigts cherchent l’ouverture, rencontrent les petits nœuds, les localisent pour mieux y revenir plus tard. Ma main vient caresser son pubis, passe entre ses jambes, court sur son sexe avec pour seul rempart le petit bout de tissu transparent, humide à souhait. Alice tente de favoriser le passage vite bloquée par son jean en haut de ses cuisses. Je la soulage de cette contrainte après lui avoir retiré ses baskets.
Le corps offert, sa petite culotte pour seul vêtement, je donne libre cours à mon imaginaire. Les scénarios défilent dans ma tête à une vitesse extraordinaire. J‘élimine d’emblée ceux que je considère irrespectueux, trop pornographiques pour ne conserver que ceux qui vont se régaler de nos désirs, de nos phantasmes.
Je prends les mains d’Alice et je les dépose sur le premier bouton de ma chemise. Son sourire de petite fille timide a pris possession de son visage pendant qu’elle égrène les boutons de ma chemise. Elle garde un silence monumental mais je sais qu’elle apprécie. Elle dégage mon torse et laisse le tissu rejoindre les quelques vêtements déjà éparpillés sur le sol de la chambre.
L’une de ses mains vient se poser sur ma poitrine. Alice rit. Un rire de connivence, un rire de complicité. Son regard est merveilleux. Une immense tendresse, un désir fou, une confiance absolue.
Je dirige ses mains sur la ceinture de mon pantalon et elles s’activent avec dextérité et frénésie. La ceinture cède, les boutons de mon pantalon ne résistent guère mieux à l’invasion massive de ses doigts experts, le tissu se retrouve en bas en accordéon sur mes chaussures que j’enlève en m’aidant de mes pieds. Je m’allonge sur le lit et Alice libère mes jambes.
Je me relève près de mon amoureuse que j’aime tant. Je la désire terriblement. Ses lèvres réclament. Elles implorent. Elles supplient maintenant. Les mimiques d’Alice m’amusent énormément et j’ai envie de faire durer le supplice mais lorsque nos langues se touchent, se rencontrent, se caressent, je comprends que je ne résisterais guère plus longtemps moi aussi. Alors je les laisse décider du moment où elles viendront épouser les siennes avec délice. Sans plus tarder, avec une impatience démesurée, elles se précipitent un peu comme un aimant et je m’enivre avec passion de sa douce salive. Nos corps se sont collés l’un à l’autre, un bras sous sa chevelure, un autre dans son dos que l’attraction terrestre ne tardera pas à faire voyager sur ses fesses. Je bascule Alice sur le lit tout en douceur, mon corps sur le sien pendant que nos langues entrent en symbiose. Mon sexe gonflé dans mon boxer est collé à la culotte d’Alice. L’envie de posséder, de pénétrer est évidente. Il faut juste savoir résister, ne pas précipiter les choses, apprécier ce désir sexuel fou, presque irrésistible tant l’appel du sexe est puissant.
Mon corps glisse sur celui d’Alice et sa petite culotte si excitante, apparaît maintenant à portée de pupilles. Mes lèvres embrassent le tissu, mes doigts caressent, s’amusent, tentent une inquisition, renoncent, y reviennent, cherchent son sexe à travers l'étoffe mouillé, le trouvent sans aucune difficulté, le parcourent, le chatouillent, le titillent avec enthousiasme. Mes lèvres suivent et sont maintenant collées au gousset. Je sens le goût de ses sécrétions vaginales envahir mes papilles à travers le tissu. Alice se met sur le ventre, offrant ses fesses merveilleuses à mes yeux affolés de désir. Les trois petits nœuds sont bien là. Je n’ose pas encore les détacher. Je veux profiter de la beauté du spectacle. Mes lèvres se précipitent, parcourent ses fesses, embrassent les parties cachées sous la dentelle, celles qui y sont découvertes. Elles cherchent une issue entre les nœuds. Mes mains caressent, rapprochent, écartent les lobes fessiers.
J’abandonne ses fesses pour embrasser ses jambes, serrées l’une contre l’autre. Je descends jusqu’à ses chevilles et mes doigts s’amusent sur la plante de ses pieds. Alice crie
- Non, pas ça ! Ça chatouille trop mon chérie. S’il te plaît ?
- Chut !
Je continue. J’embrasse ses pieds, ses orteils un à un. Je remonte tranquillement sur l’autre jambe. Mes lèvres glissent toute seule. Pas un poil à l’horizon. Juste à certain endroit un léger duvet puéril à peine visible qui vient taquiner mes sens.
Alice écarte légèrement les jambes mais l’espace est encore trop petit pour que je puisse y prendre place. Elle amplifie le mouvement pour laisser libre court à ma bouche qui séance tenante, prend possession de son intimité trempée.
Chez Alice le désir engendre presque immédiatement l’écoulement sexuel. La sécheresse vaginale, ce n’est pas pour elle. Elle ne connaît pas. Un baiser et sa culotte est humide. Un second et elle est trempée. Après quoi, il faut se méfier sinon, c’est le sinistre.
Avec les dents, je m’occupe du premier nœud. Il me faudra trois tentatives infructueuses pour arriver à le retirer. J’en parlerai à Johanna à l’occasion, elle a peut-être une meilleure technique et c’est avec cette image dans la tête que je m’attaque au suivant. Il ne résiste pas très longtemps. Quant au troisième, aussitôt touché, aussitôt dénoué.
Je lève la tête pour contempler mon œuvre. Les fesses d’Alice sont somptueuses, les courbes sont parfaites. Pas une ride, même pas un simple repli. Les lignes sont épurées au maximum. Impossible de faire mieux. Gustave Courbet n’a rien compris. C’est cette paire de fesses qu’il fallait coucher sur la toile pour l’exposer au monde entier. Et à la réflexion, c’est très bien comme cela. Je n’ai aucune envie de partager mon modèle.
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