CHAPITRE XVI (Suite)
De retour à l’appartement, c’est surprenant. Il y a un vide énorme. Alice est au travail et c’est la première fois que je me retrouve seul chez nous. La sensation est bizarre. Il n’y a aucun bruit. Tout a été nettoyé de fond en comble et je reconnais bien là l’une des qualités de ma petite chérie. Elle a accroché les cadres qu’elle avait chez elle. Le lit est tiré à quatre épingles, les derniers cartons ont été vidés, même celui des petites culottes pour lequel j’avais en tête quelques séances d’essayage un peu osées. C’est raté.
Ce matin au réveil, la coquine a cherché à m’exciter. Ce soir, elle va voir de quel bois je me chauffe. J’extirpe du sac à sous-vêtements enterré au fin fond de l’armoire, la petite culotte où le gousset a été oublié lors de la fabrication. A la place, un grand vide, j’allais dire un grand trou. Son sexe est censé s'y loger. Je la pose délicatement sous son oreiller. Ce soir advienne que pourra. Je lui ferai l’amour sans même lui retirer sa culotte, enfin si j’arrive déjà à la lui faire mettre. Ce n‘est pas gagné. Elle a du caractère ma petite amazone, ni têtue ni butée, juste ce qu'il faut et j’aime ça sauf quand je suis épris d’érotisme.
Camille me surprend. Elle a assisté silencieusement à toutes les scènes depuis son transfert d’appartement.
- Dis-moi Pascal. D’habitude, passé deux ou trois jours, les femmes que tu amènes dans ta chambre changent très vite de visages. Je n'ai pas le temps de m'acclimater mais là, j’ai le sentiment qu’il va falloir que je m’habitue. Cette Alice, elle est plus coriace que les autres. Elle semble vouloir s’accrocher. Vu le contexte, se serait peut-être bien que tu nous présentes ?
- Tiens ! Tu as retrouvé ta voix Camille ? Je pensais que tu boudais dans ton coin.
- Je vous observais tout simplement. Tu as remarqué qu’elle est très courageuse ton Alice et le bricolage ne lui fait pas peur. Elle a plein de qualités cette petite. Tu sais, je commence à l’aimer moi aussi même si je trouve qu’elle a quelques travers. Tiens par exemple, ce matin, elle est venue me parler. Elle était nue elle aussi. Nue, elle est magnifique et au moins on était sur le même pied d’égalité. J’ai été surprise surtout quand elle m’a caressé les seins. Rassure-moi, elle n’est pas lesbienne parce que je suis pas trop habituée à ce qu’on vienne me tripoter comme ça ? Ce n’est pas que c’est désagréable mais ses mains étaient brûlantes. Ça ne m’étonne pas qu’elle a le feu partout ton Alice. Un véritable brasier ambulant. Et tant que j’y suis, je voulais aussi te dire, lorsque vous faites vos cochonneries sur le lit, mettez-vous au moins sous la couette. Moi, même dans le noir, tu sais bien qu’aucun détail ne m’échappe. Pour les commentaires, tu comprendras que je m’abstiendrai sur ce que j’ai pu voir ou entendre mais quand même vous y allez fort tous les deux. Et il n’y en a pas un pour rattraper l’autre.
- Et est-ce que tu sais ce qu’elle mijote ?
- L’autre soir quand elle est remontée, elle a planqué un truc qu’elle était allée chercher chez elle mais je ne t’en dirais pas plus, solidarité féminine oblige.
- Camille, allez, fait un effort ?
- Pas question. Tu es un grand garçon alors débrouille-toi tout seul.
De retour à l’appartement, c’est surprenant. Il y a un vide énorme. Alice est au travail et c’est la première fois que je me retrouve seul chez nous. La sensation est bizarre. Il n’y a aucun bruit. Tout a été nettoyé de fond en comble et je reconnais bien là l’une des qualités de ma petite chérie. Elle a accroché les cadres qu’elle avait chez elle. Le lit est tiré à quatre épingles, les derniers cartons ont été vidés, même celui des petites culottes pour lequel j’avais en tête quelques séances d’essayage un peu osées. C’est raté.
Ce matin au réveil, la coquine a cherché à m’exciter. Ce soir, elle va voir de quel bois je me chauffe. J’extirpe du sac à sous-vêtements enterré au fin fond de l’armoire, la petite culotte où le gousset a été oublié lors de la fabrication. A la place, un grand vide, j’allais dire un grand trou. Son sexe est censé s'y loger. Je la pose délicatement sous son oreiller. Ce soir advienne que pourra. Je lui ferai l’amour sans même lui retirer sa culotte, enfin si j’arrive déjà à la lui faire mettre. Ce n‘est pas gagné. Elle a du caractère ma petite amazone, ni têtue ni butée, juste ce qu'il faut et j’aime ça sauf quand je suis épris d’érotisme.
Camille me surprend. Elle a assisté silencieusement à toutes les scènes depuis son transfert d’appartement.
- Dis-moi Pascal. D’habitude, passé deux ou trois jours, les femmes que tu amènes dans ta chambre changent très vite de visages. Je n'ai pas le temps de m'acclimater mais là, j’ai le sentiment qu’il va falloir que je m’habitue. Cette Alice, elle est plus coriace que les autres. Elle semble vouloir s’accrocher. Vu le contexte, se serait peut-être bien que tu nous présentes ?
- Tiens ! Tu as retrouvé ta voix Camille ? Je pensais que tu boudais dans ton coin.
- Je vous observais tout simplement. Tu as remarqué qu’elle est très courageuse ton Alice et le bricolage ne lui fait pas peur. Elle a plein de qualités cette petite. Tu sais, je commence à l’aimer moi aussi même si je trouve qu’elle a quelques travers. Tiens par exemple, ce matin, elle est venue me parler. Elle était nue elle aussi. Nue, elle est magnifique et au moins on était sur le même pied d’égalité. J’ai été surprise surtout quand elle m’a caressé les seins. Rassure-moi, elle n’est pas lesbienne parce que je suis pas trop habituée à ce qu’on vienne me tripoter comme ça ? Ce n’est pas que c’est désagréable mais ses mains étaient brûlantes. Ça ne m’étonne pas qu’elle a le feu partout ton Alice. Un véritable brasier ambulant. Et tant que j’y suis, je voulais aussi te dire, lorsque vous faites vos cochonneries sur le lit, mettez-vous au moins sous la couette. Moi, même dans le noir, tu sais bien qu’aucun détail ne m’échappe. Pour les commentaires, tu comprendras que je m’abstiendrai sur ce que j’ai pu voir ou entendre mais quand même vous y allez fort tous les deux. Et il n’y en a pas un pour rattraper l’autre.
- Et est-ce que tu sais ce qu’elle mijote ?
- L’autre soir quand elle est remontée, elle a planqué un truc qu’elle était allée chercher chez elle mais je ne t’en dirais pas plus, solidarité féminine oblige.
- Camille, allez, fait un effort ?
- Pas question. Tu es un grand garçon alors débrouille-toi tout seul.
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