Chapitre 1 - Le jour d’après (2)
Samedi 18 juillet 1964, appartement de Dominique, Glion
Les trois amis s’entraidèrent pour se savonner certaines parties du corps, ce qui provoqua un afflux de sang dans leur bas-ventre. L’eau chaude vint à manquer et ils sortirent de la baignoire pour se sécher. Koen dit ensuite :
— Je dois contrôler l’état de l’anus de Frédéric et lui mettre du baume, il a eu deux pénétrations hier.
— Deux ? s’étonna Daniel. Tu es endurant pour une première fois !
— Hum ! Il me semble que c’est toi qui l’as d’abord sodomisé hier après-midi.
— Moi ? Sodomiser mon cousin ? Ce ne serait pas très moral d’avoir eu une relation sexuelle avec lui.
— Rien ne s’y oppose d’un aspect scientifique, expliqua Koen, la probabilité de concevoir un enfant entre deux hommes est infinitésimale, il n’y a donc pas de risque de consanguinité. Pour la morale tu te débrouilles avec ton confesseur.
— Je n’en ai pas. Tu serais d’accord que j’aie des relations sexuelles avec mon cousin qui est aussi ton ami ?
— Attends, l’interrompit Frédéric, Daniel doit d’abord en parler avec Dominique.
— Oui, tu as raison, fit Daniel, on ne se verra de toute façon pas très souvent.
Koen examina l’anus de Frédéric et l’enduisit de baume. Il se lava ensuite les mains avant de dire à Daniel :
— Je t’en mets aussi sur ton prépuce, cela l’assouplira.
— Ce n’était pas la pommade que Dom utilisait à la clinique, mais tu peux essayer.
Le baume eut un effet collatéral, Daniel banda.
— On va tester ta fidélité à Dom, dit Frédéric en riant, Koen va me sucer, et toi tu dois nous regarder sans toucher ton kiki.
— Et si je n’arrive pas ?
— Tu te cherches un confesseur.
Frédéric s’assit sur le bord de la baignoire, Koen ne se le fit pas dire deux fois et prit le membre de son ami dans sa bouche. C’était la première fellation qu’il faisait, il paraissait pourtant assez sûr de lui. Daniel avait l’air ennuyé avec son sexe dressé couvert de précum et qu’il n’osait pas toucher. Frédéric se moqua de lui :
— Toujours fidèle ?
— Non, je n’y tiens plus, c’est de sa faute, elle était déjà levée ce matin.
— C’était pour préparer le déjeuner.
— Tu ne le lui diras pas, promis ?
— Promis, juré, sinon je vais en enfer.
Frédéric prit le pénis bandé de son cousin dans sa main et débuta des va-et-vient, facilités par l’humidité abondante sur le gland. Il joua avec le prépuce qui coulissait sans aucun problème.
Koen continuait à sucer Frédéric, il sortit le pénis de sa bouche pour reprendre son souffle. Le moment était mal choisi puisque des jets de semence inondèrent le visage du Néerlandais. Les deux cousins éclatèrent de rire. Koen avait l’air vexé, il se lava le visage avec sa lavette, puis la bite de Frédéric.
Daniel éjacula, Koen put mettre de justesse la lavette sous le gland pour éviter de salir le sol. Il prit ensuite une autre pour le nettoyer aussi.
— Et moi ? fit Koen, personne ne me branle ?
— Nous ne devrions pas faire patienter Dom plus longtemps. Tu ne peux pas attendre cet après-midi ?
— S’il le faut, soupira Koen.
Les trois amis sortirent de la salle de bain. Koen avait le sexe encore à moitié dressé.
— Çà c’est bien passé vos branlettes matinales ? demanda Dominique, hilare.
— Je n’ai pas eu le temps, dit Koen, dépité.
— Il fallait le prendre, dit Dom.
— Nous avons faim, dit Frédéric. Et si tu viens passer l’après-midi chez moi, Koen se branlera devant toi pour compenser.
— Qu’est-ce que tu racontes ? s’étonna Koen.
— Ben oui, elle ne t’a encore jamais vu le faire.
— Et toi, Daniel, demanda Dominique, tu t’es aussi branlé ?
Daniel rougit.
— Non, je n’ai pas osé.
— Tu aurais dû, fit Dom, je ne suis pas jalouse.
— Tu n’es pas jalouse ? Cela ne te dérange pas que je me branle avec d’autres hommes ?
— Si tu me le racontes. Tu n’as jamais entendu parler du mouvement hippie, de l’amour libre, Peace and Love, et tout ça ?
— Bien sûr que j’en ai entendu parler. Tu es une adepte ?
— On pourrait en discuter.
— Bon, mon cousin m’a branlé, avoua Daniel.
— J’en étais sûre. Ce n’est pas bien de mentir quand on est en couple, je préfère que tu me dises toujours la vérité. Mettez au moins des slips pour manger, c’est plus hygiénique. Ce n’est pas vous qui poutzez l’appart’. (NDA Helvétisme pour nettoyer, de l’allemand putzen)
— Dès lundi c’est Daniel qui le fera pendant que tu travailles, dit Frédéric, mais nous allons nous habiller, c’est plus poli.
Ces ébats leur avaient ouvert l’appétit, ils firent honneur au repas, Dom avait cuit une tresse et acheté quantité de charcuteries et de fromages. Elle avait aussi de la confiture maison et du beurre.
Après le repas, Frédéric demanda :
— Vous venez chez moi cet après-midi ?
— Je suis d’accord, dit Dom.
— Ce n’est pas sûr que je me branle, objecta Koen.
— Tu as peur de la faire devant une dame ? demanda Frédéric.
— Cela m’est égal, dit Dom. Vous pouvez retourner à la salle de bain maintenant.
— Non, dit Frédéric en français, Koen a envie d’examiner tout le monde, mais il est parfois un peu réticent à s’exposer lui-même. Tu dois l’intimider. Il a effectivement eu une mauvaise expérience avec une prostituée avant-hier.
— Qu’as-tu dit ? demanda le Néerlandais.
— Tu apprendras le français si tu veux rester en Suisse. On va comment chez moi ? Je ne sais pas si notre chauffeur, Urbain, est toujours en vacances. Nous n’avons pas de téléphone dans la voiture.
— J’ai une vieille deuche, pas très confortable, mais on devrait arriver jusqu’à Lausanne, expliqua Dom. En attendant, vous pouvez m’aider à laver la vaisselle.
— On s’occupe de tout, dit Daniel, tu peux faire la sieste.
Dominique partit s’étendre sur une chaise longue pour lire un livre sur le balcon pendant que les garçons rangeaient la cuisine.
— N’oublie pas la crème solaire ! dit Koen.
Samedi 18 juillet 1964, appartement de Dominique, Glion
Les trois amis s’entraidèrent pour se savonner certaines parties du corps, ce qui provoqua un afflux de sang dans leur bas-ventre. L’eau chaude vint à manquer et ils sortirent de la baignoire pour se sécher. Koen dit ensuite :
— Je dois contrôler l’état de l’anus de Frédéric et lui mettre du baume, il a eu deux pénétrations hier.
— Deux ? s’étonna Daniel. Tu es endurant pour une première fois !
— Hum ! Il me semble que c’est toi qui l’as d’abord sodomisé hier après-midi.
— Moi ? Sodomiser mon cousin ? Ce ne serait pas très moral d’avoir eu une relation sexuelle avec lui.
— Rien ne s’y oppose d’un aspect scientifique, expliqua Koen, la probabilité de concevoir un enfant entre deux hommes est infinitésimale, il n’y a donc pas de risque de consanguinité. Pour la morale tu te débrouilles avec ton confesseur.
— Je n’en ai pas. Tu serais d’accord que j’aie des relations sexuelles avec mon cousin qui est aussi ton ami ?
— Attends, l’interrompit Frédéric, Daniel doit d’abord en parler avec Dominique.
— Oui, tu as raison, fit Daniel, on ne se verra de toute façon pas très souvent.
Koen examina l’anus de Frédéric et l’enduisit de baume. Il se lava ensuite les mains avant de dire à Daniel :
— Je t’en mets aussi sur ton prépuce, cela l’assouplira.
— Ce n’était pas la pommade que Dom utilisait à la clinique, mais tu peux essayer.
Le baume eut un effet collatéral, Daniel banda.
— On va tester ta fidélité à Dom, dit Frédéric en riant, Koen va me sucer, et toi tu dois nous regarder sans toucher ton kiki.
— Et si je n’arrive pas ?
— Tu te cherches un confesseur.
Frédéric s’assit sur le bord de la baignoire, Koen ne se le fit pas dire deux fois et prit le membre de son ami dans sa bouche. C’était la première fellation qu’il faisait, il paraissait pourtant assez sûr de lui. Daniel avait l’air ennuyé avec son sexe dressé couvert de précum et qu’il n’osait pas toucher. Frédéric se moqua de lui :
— Toujours fidèle ?
— Non, je n’y tiens plus, c’est de sa faute, elle était déjà levée ce matin.
— C’était pour préparer le déjeuner.
— Tu ne le lui diras pas, promis ?
— Promis, juré, sinon je vais en enfer.
Frédéric prit le pénis bandé de son cousin dans sa main et débuta des va-et-vient, facilités par l’humidité abondante sur le gland. Il joua avec le prépuce qui coulissait sans aucun problème.
Koen continuait à sucer Frédéric, il sortit le pénis de sa bouche pour reprendre son souffle. Le moment était mal choisi puisque des jets de semence inondèrent le visage du Néerlandais. Les deux cousins éclatèrent de rire. Koen avait l’air vexé, il se lava le visage avec sa lavette, puis la bite de Frédéric.
Daniel éjacula, Koen put mettre de justesse la lavette sous le gland pour éviter de salir le sol. Il prit ensuite une autre pour le nettoyer aussi.
— Et moi ? fit Koen, personne ne me branle ?
— Nous ne devrions pas faire patienter Dom plus longtemps. Tu ne peux pas attendre cet après-midi ?
— S’il le faut, soupira Koen.
Les trois amis sortirent de la salle de bain. Koen avait le sexe encore à moitié dressé.
— Çà c’est bien passé vos branlettes matinales ? demanda Dominique, hilare.
— Je n’ai pas eu le temps, dit Koen, dépité.
— Il fallait le prendre, dit Dom.
— Nous avons faim, dit Frédéric. Et si tu viens passer l’après-midi chez moi, Koen se branlera devant toi pour compenser.
— Qu’est-ce que tu racontes ? s’étonna Koen.
— Ben oui, elle ne t’a encore jamais vu le faire.
— Et toi, Daniel, demanda Dominique, tu t’es aussi branlé ?
Daniel rougit.
— Non, je n’ai pas osé.
— Tu aurais dû, fit Dom, je ne suis pas jalouse.
— Tu n’es pas jalouse ? Cela ne te dérange pas que je me branle avec d’autres hommes ?
— Si tu me le racontes. Tu n’as jamais entendu parler du mouvement hippie, de l’amour libre, Peace and Love, et tout ça ?
— Bien sûr que j’en ai entendu parler. Tu es une adepte ?
— On pourrait en discuter.
— Bon, mon cousin m’a branlé, avoua Daniel.
— J’en étais sûre. Ce n’est pas bien de mentir quand on est en couple, je préfère que tu me dises toujours la vérité. Mettez au moins des slips pour manger, c’est plus hygiénique. Ce n’est pas vous qui poutzez l’appart’. (NDA Helvétisme pour nettoyer, de l’allemand putzen)
— Dès lundi c’est Daniel qui le fera pendant que tu travailles, dit Frédéric, mais nous allons nous habiller, c’est plus poli.
Ces ébats leur avaient ouvert l’appétit, ils firent honneur au repas, Dom avait cuit une tresse et acheté quantité de charcuteries et de fromages. Elle avait aussi de la confiture maison et du beurre.
Après le repas, Frédéric demanda :
— Vous venez chez moi cet après-midi ?
— Je suis d’accord, dit Dom.
— Ce n’est pas sûr que je me branle, objecta Koen.
— Tu as peur de la faire devant une dame ? demanda Frédéric.
— Cela m’est égal, dit Dom. Vous pouvez retourner à la salle de bain maintenant.
— Non, dit Frédéric en français, Koen a envie d’examiner tout le monde, mais il est parfois un peu réticent à s’exposer lui-même. Tu dois l’intimider. Il a effectivement eu une mauvaise expérience avec une prostituée avant-hier.
— Qu’as-tu dit ? demanda le Néerlandais.
— Tu apprendras le français si tu veux rester en Suisse. On va comment chez moi ? Je ne sais pas si notre chauffeur, Urbain, est toujours en vacances. Nous n’avons pas de téléphone dans la voiture.
— J’ai une vieille deuche, pas très confortable, mais on devrait arriver jusqu’à Lausanne, expliqua Dom. En attendant, vous pouvez m’aider à laver la vaisselle.
— On s’occupe de tout, dit Daniel, tu peux faire la sieste.
Dominique partit s’étendre sur une chaise longue pour lire un livre sur le balcon pendant que les garçons rangeaient la cuisine.
— N’oublie pas la crème solaire ! dit Koen.
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