CHAPITRE XVI
Avec Alice, le réveil matinal, c’est toujours un vrai petit bonheur et dans notre « chez-nous » c’est encore plus remarquable. Elle s’étire langoureusement. La pointe d’un de ses seins émerge de dessous la couette. Je contemple ce donjon de sensualité près à saisir la moindre opportunité pour y déposer un baiser furtif. Mais, plus que tout, j’aime ses paupières mi-closes, ses yeux qui vont renaître des cendres de la nuit et qui, j’en suis sûr, vont briller de tout leur feu lorsqu‘elle posera son regard sur le mien.
J’attends cet instant magique avant de me décider à mettre un pied hors du lit. Alice vient se blottir tout contre mon corps et la magie opère. S’il existe des plaisirs auxquels pour rien au monde je ne voudrais me soustraire, le réveil d’Alice en fait partie. Elle ajuste la couette pour ne laisser affleurer que son visage perdu dans ses cheveux couleur châtain. Mon regard attendri est posé sur sa simplicité naturelle, presque enfantine. Ses yeux ont une lueur particulière ce matin, emplis d’innocence, d’insouciance. Un doigt vient glisser sur mon visage. Je sais à cet instant qu’elle est heureuse et cela suffit à me rendre radieux moi aussi.
Je dépose un baisé sur son front, un autre sur son nez et elle rit. J’adore quand elle rit.
- Bonjour ma chérie. Alors cette première nuit dans notre appartement ?
- J’ai dormi comme un bébé avec plein de rêves dans la tête et … tu seras surpris, j’ai gardé la petite culotte à nœuds durant toute la nuit. Elle est confortable. Tu veux voir ?
- Tu es trop coquine ma chérie. Mets-la au chaud pour la nuit prochaine, ce matin il faut que je m’active.
- Eh bien pas de chance. Elle passe au panier à linge tout à l’heure. Faudra attendre la prochaine lessive.
- Pff même pas drôle. Elle est toute neuve, jamais utilisée et tu la mets déjà au panier !!! Bon, ok, je me mets en quête d’une autre solution. Tu ne t’échapperas pas comme ça mon ange. J’ai plus d’un tour dans mon sac. Qu’est-ce que tu crois ?
- C’est cela mon amour. Cherche bien. Tu m’appelles quand tu auras trouvé. En attendant, là, je vais profiter pour finir de ranger. Je prends mon service à quatorze heures. Je vais donc avoir un peu de temps et je ferai aussi un passage éclair au centre équestre.
Elle est trop belle quand elle manie l’ironie. Malheureusement, pas le temps de tergiverser.
- Tu as de la chance. Moi faut que j’y aille. Allez, go c’est parti.
- Vas prendre ta douche mon cœur, je te prépare le café.
- Merci ma puce. Tu es trop chou.
Je laisse Alice fignoler seule les derniers détails de notre installation et je prends le chemin du bureau. La route qui quitte la station est magnifique, bordée d’arbres et de villas, plus somptueuses les unes que les autres. Chaque maison est un îlot de pierres perdu dans la forêt. De larges bandes gazonnées, très bien entretenues, côtoient le bitume de couleur rose qui dénote dans cet univers végétal. Il témoigne d’une certaine originalité dans la gestion de la ville, un état d’esprit basé sur la quête de l’excellence. Ici plus qu’ailleurs, on ne connaît pas la crise.
C’est l’heure d’affluence même si les touristes ont pour majorité déserté l’agglomération. La traversée du pont rose s’effectue avec peu de difficultés et quelques minutes plus tard, je me présente au poste de contrôle du site industriel.
Au bureau, Marion et Sarah sont déjà affairées. L’annonce parue la veille a suscité plusieurs vocations. C’est plutôt bon signe. Les femmes échafaudent des plans avec une bonne humeur évidente. C’est vraiment agréable de les voir œuvrer toutes les deux. J’attends l’arrivé de Jean et j’effectue un débriefing suite à la réunion de direction. Jeudi prochain, je me rendrai avec lui sur Reims pour prendre en compte les spécificités du site. Jean restera sur place jusqu’à la rupture de son contrat.
L’après-midi, Julie accepte d’avancer le cours d’équitation pour rattraper celui de la veille. Je me présente au centre équestre et l’accueil est surprenamment chaleureux. Julie est jolie. Elle a changé sa coiffure en troquant ses cheveux longs contre une coupe à la garçonne. La finesse de son visage est particulièrement mise en valeur. Ses yeux bleu, couleur océan sont soulignés par un maquillage soigné, inhabituel pour la circonstance.
- Ta nouvelle coiffure te va très bien, Julie. Tu es ravissante.
- Je ne pensais pas que tu remarquerais.
- Lorsqu’une jolie femme est encore plus jolie, il faudrait être aveugle pour que ça ne saute pas aux yeux.
- Je soupçonne que les hommes sont bien souvent aveugles.
- Pas tous Julie. Je crois plutôt qu’ils ne pensent pas à le faire remarquer soit par timidité, soit par crainte de passer pour des dragueurs invétérés.
- Et toi ?
- Moi j’ai une certaine franchise pour exprimer ce que je ressens et si je te trouve belle, j’estime qu’il n’y a aucun mal à le dire. J’aimais bien aussi ta mèche rebelle. Elle a disparue. C’est dommage. Elle te donnait un style atypique, un charme particulier. De façon générale j’aime bien tout ce qui est rebelle d’ailleurs.
- Merci Pascal, j’apprécie énormément. J’ai préparé deux chevaux pour la séance d’aujourd’hui. Désolé. Le tien ne sera pas rebelle. C’est tout le contraire. Il est plutôt mollasson mais il te permettra de tenir dessus durant toute la séance. Après si tu veux qu’on échange ...
Le cours se déroule comme prévu dans la prairie derrière la carrière. Accompagné de Julie, je travaille les distances de sécurité et quelques figures de circulation, les plus classiques.
- Si tu te débrouilles bien demain on partira se promener sur la plage. Ça te donnera déjà un bon repère.
- Merci Julie. J’ai hâte d’y être. Alice s’absentera à partir de mercredi prochain, dans l’après-midi je crois. Il ne me reste donc plus beaucoup de temps, deux cours tout au plus.
- Elle m’a prévenue hier lorsqu’elle est venue s’entraîner. Ce n’était pas prévu. Vous avez failli vous télescoper tous les deux.
- Oui, j’ai eu chaud. J’ai préféré annuler.
- Toi, tu m’as l’air bien amoureux. Je ne connais pas beaucoup d’hommes qui feraient ce que tu fais pour conquérir le cœur d’une femme.
- Je crois sans me tromper qu’elle est déjà conquise. Mais il est vrai qu’Alice et moi, c’est une histoire vraiment merveilleuse. Je suis sous le charme.
- Quand je la regarde, ce n’est plus la même. Ça saute aux yeux. Avant, elle restait des heures dans le box de son cheval à le bichonner, jamais pressée de le quitter et maintenant, à la fin de l'entraînement, elle se dépêche de rentrer. Elle est transformée. Je ne l’ai jamais vu si heureuse. Tout semble lui réussir. C’est beau l’amour.
- C’est vrai. C’est très beau. Et toi ?
- Oh moi, c’est compliqué... On y va ? Allez, trot enlevé. C’est parti.
Les révélations d’Alice sur le trop enlevé me reviennent en mémoire. J’ai des images érotiques qui tournent en boucle dans ma tête et je souris devant mon imagination débordante. Je vois des petites culottes bien sages au début, qui battent la selle en cadence. Une petite tâche humide à la source, qui transparaît et qui grossit de plus en plus. La culotte mouillée se fait plus lourde, plus collante sur la selle à tel point qu’elle peine à s’y détacher, libérant les lèvres ruisselantes de plaisir à chacune des percussions. Et lorsque emporté par l’amplitude du mouvement, le gousset se libère et vient se recoller avec force au minou délaissé, la résonance fréquentielle de la jouissance s’installe libérant des râles de plaisirs. Je suis tout excité. Je jette de temps en temps un regard furtif en direction de Julie pour voir si les mêmes causes produisent les mêmes effets. Mais Julie reste imperturbable. Pour autant, après quelques dizaines de minutes, je ne peux que constater que la morphologie de la femme est différente à bien des égards de celle de l’homme. Mon boxer n’étant pas suffisamment serré, je m’applique avec une attention toute particulière à préserver mes testicules lorsqu’elles viennent en butée sur le cuir de la selle. Je comprends que l'extase ne sera pas pour moi cette fois-ci.
- Tout va bien Pascal ?
- Ce serait bien de repasser un peu au trot. Mon slip est un peu lâche et ce n’est pas des plus confortables.
Julie moqueuse est pliée de rire sur sa monture. Impossible de l’arrêter.
- Mon pauvre, je n’ai pas pensé à te prévenir. Mais au moins, pour la prochaine fois tu le sauras. Vaut mieux porter des vêtements serrés. C’est tout l’intérêt de s’équiper correctement.
Julie reprend.
- J’espère qu’il n’y a rien de cassé… En tout cas, tu m’auras bien fait rire aujourd’hui. Tu accompagnes Alice ce week-end ?
- Oui évidemment. La dernière fois ça n’avait pas été une réussite. J’espère que cette fois ci, elle se rattrapera.
- Je ne me fais pas de soucis pour elle. Elle est au top de sa forme et avec « Voie-Lactée », elle assure grave. Pour moi elle fait partie des deux ou trois favoris de la compétition.
- Merci. Tu me rassures Julie.
- Passe une bonne soirée Pascal. Tu es mûr pour la promenade sur la plage demain. Mets un slip plus serré cette fois ci, j'effectuerai un contrôle « surprise » avant le départ. Je plaisante évidemment. On se retrouve ici à 18h00 comme les autres jours.
Avec Alice, le réveil matinal, c’est toujours un vrai petit bonheur et dans notre « chez-nous » c’est encore plus remarquable. Elle s’étire langoureusement. La pointe d’un de ses seins émerge de dessous la couette. Je contemple ce donjon de sensualité près à saisir la moindre opportunité pour y déposer un baiser furtif. Mais, plus que tout, j’aime ses paupières mi-closes, ses yeux qui vont renaître des cendres de la nuit et qui, j’en suis sûr, vont briller de tout leur feu lorsqu‘elle posera son regard sur le mien.
J’attends cet instant magique avant de me décider à mettre un pied hors du lit. Alice vient se blottir tout contre mon corps et la magie opère. S’il existe des plaisirs auxquels pour rien au monde je ne voudrais me soustraire, le réveil d’Alice en fait partie. Elle ajuste la couette pour ne laisser affleurer que son visage perdu dans ses cheveux couleur châtain. Mon regard attendri est posé sur sa simplicité naturelle, presque enfantine. Ses yeux ont une lueur particulière ce matin, emplis d’innocence, d’insouciance. Un doigt vient glisser sur mon visage. Je sais à cet instant qu’elle est heureuse et cela suffit à me rendre radieux moi aussi.
Je dépose un baisé sur son front, un autre sur son nez et elle rit. J’adore quand elle rit.
- Bonjour ma chérie. Alors cette première nuit dans notre appartement ?
- J’ai dormi comme un bébé avec plein de rêves dans la tête et … tu seras surpris, j’ai gardé la petite culotte à nœuds durant toute la nuit. Elle est confortable. Tu veux voir ?
- Tu es trop coquine ma chérie. Mets-la au chaud pour la nuit prochaine, ce matin il faut que je m’active.
- Eh bien pas de chance. Elle passe au panier à linge tout à l’heure. Faudra attendre la prochaine lessive.
- Pff même pas drôle. Elle est toute neuve, jamais utilisée et tu la mets déjà au panier !!! Bon, ok, je me mets en quête d’une autre solution. Tu ne t’échapperas pas comme ça mon ange. J’ai plus d’un tour dans mon sac. Qu’est-ce que tu crois ?
- C’est cela mon amour. Cherche bien. Tu m’appelles quand tu auras trouvé. En attendant, là, je vais profiter pour finir de ranger. Je prends mon service à quatorze heures. Je vais donc avoir un peu de temps et je ferai aussi un passage éclair au centre équestre.
Elle est trop belle quand elle manie l’ironie. Malheureusement, pas le temps de tergiverser.
- Tu as de la chance. Moi faut que j’y aille. Allez, go c’est parti.
- Vas prendre ta douche mon cœur, je te prépare le café.
- Merci ma puce. Tu es trop chou.
- °° -
Je laisse Alice fignoler seule les derniers détails de notre installation et je prends le chemin du bureau. La route qui quitte la station est magnifique, bordée d’arbres et de villas, plus somptueuses les unes que les autres. Chaque maison est un îlot de pierres perdu dans la forêt. De larges bandes gazonnées, très bien entretenues, côtoient le bitume de couleur rose qui dénote dans cet univers végétal. Il témoigne d’une certaine originalité dans la gestion de la ville, un état d’esprit basé sur la quête de l’excellence. Ici plus qu’ailleurs, on ne connaît pas la crise.
C’est l’heure d’affluence même si les touristes ont pour majorité déserté l’agglomération. La traversée du pont rose s’effectue avec peu de difficultés et quelques minutes plus tard, je me présente au poste de contrôle du site industriel.
Au bureau, Marion et Sarah sont déjà affairées. L’annonce parue la veille a suscité plusieurs vocations. C’est plutôt bon signe. Les femmes échafaudent des plans avec une bonne humeur évidente. C’est vraiment agréable de les voir œuvrer toutes les deux. J’attends l’arrivé de Jean et j’effectue un débriefing suite à la réunion de direction. Jeudi prochain, je me rendrai avec lui sur Reims pour prendre en compte les spécificités du site. Jean restera sur place jusqu’à la rupture de son contrat.
L’après-midi, Julie accepte d’avancer le cours d’équitation pour rattraper celui de la veille. Je me présente au centre équestre et l’accueil est surprenamment chaleureux. Julie est jolie. Elle a changé sa coiffure en troquant ses cheveux longs contre une coupe à la garçonne. La finesse de son visage est particulièrement mise en valeur. Ses yeux bleu, couleur océan sont soulignés par un maquillage soigné, inhabituel pour la circonstance.
- Ta nouvelle coiffure te va très bien, Julie. Tu es ravissante.
- Je ne pensais pas que tu remarquerais.
- Lorsqu’une jolie femme est encore plus jolie, il faudrait être aveugle pour que ça ne saute pas aux yeux.
- Je soupçonne que les hommes sont bien souvent aveugles.
- Pas tous Julie. Je crois plutôt qu’ils ne pensent pas à le faire remarquer soit par timidité, soit par crainte de passer pour des dragueurs invétérés.
- Et toi ?
- Moi j’ai une certaine franchise pour exprimer ce que je ressens et si je te trouve belle, j’estime qu’il n’y a aucun mal à le dire. J’aimais bien aussi ta mèche rebelle. Elle a disparue. C’est dommage. Elle te donnait un style atypique, un charme particulier. De façon générale j’aime bien tout ce qui est rebelle d’ailleurs.
- Merci Pascal, j’apprécie énormément. J’ai préparé deux chevaux pour la séance d’aujourd’hui. Désolé. Le tien ne sera pas rebelle. C’est tout le contraire. Il est plutôt mollasson mais il te permettra de tenir dessus durant toute la séance. Après si tu veux qu’on échange ...
Le cours se déroule comme prévu dans la prairie derrière la carrière. Accompagné de Julie, je travaille les distances de sécurité et quelques figures de circulation, les plus classiques.
- Si tu te débrouilles bien demain on partira se promener sur la plage. Ça te donnera déjà un bon repère.
- Merci Julie. J’ai hâte d’y être. Alice s’absentera à partir de mercredi prochain, dans l’après-midi je crois. Il ne me reste donc plus beaucoup de temps, deux cours tout au plus.
- Elle m’a prévenue hier lorsqu’elle est venue s’entraîner. Ce n’était pas prévu. Vous avez failli vous télescoper tous les deux.
- Oui, j’ai eu chaud. J’ai préféré annuler.
- Toi, tu m’as l’air bien amoureux. Je ne connais pas beaucoup d’hommes qui feraient ce que tu fais pour conquérir le cœur d’une femme.
- Je crois sans me tromper qu’elle est déjà conquise. Mais il est vrai qu’Alice et moi, c’est une histoire vraiment merveilleuse. Je suis sous le charme.
- Quand je la regarde, ce n’est plus la même. Ça saute aux yeux. Avant, elle restait des heures dans le box de son cheval à le bichonner, jamais pressée de le quitter et maintenant, à la fin de l'entraînement, elle se dépêche de rentrer. Elle est transformée. Je ne l’ai jamais vu si heureuse. Tout semble lui réussir. C’est beau l’amour.
- C’est vrai. C’est très beau. Et toi ?
- Oh moi, c’est compliqué... On y va ? Allez, trot enlevé. C’est parti.
Les révélations d’Alice sur le trop enlevé me reviennent en mémoire. J’ai des images érotiques qui tournent en boucle dans ma tête et je souris devant mon imagination débordante. Je vois des petites culottes bien sages au début, qui battent la selle en cadence. Une petite tâche humide à la source, qui transparaît et qui grossit de plus en plus. La culotte mouillée se fait plus lourde, plus collante sur la selle à tel point qu’elle peine à s’y détacher, libérant les lèvres ruisselantes de plaisir à chacune des percussions. Et lorsque emporté par l’amplitude du mouvement, le gousset se libère et vient se recoller avec force au minou délaissé, la résonance fréquentielle de la jouissance s’installe libérant des râles de plaisirs. Je suis tout excité. Je jette de temps en temps un regard furtif en direction de Julie pour voir si les mêmes causes produisent les mêmes effets. Mais Julie reste imperturbable. Pour autant, après quelques dizaines de minutes, je ne peux que constater que la morphologie de la femme est différente à bien des égards de celle de l’homme. Mon boxer n’étant pas suffisamment serré, je m’applique avec une attention toute particulière à préserver mes testicules lorsqu’elles viennent en butée sur le cuir de la selle. Je comprends que l'extase ne sera pas pour moi cette fois-ci.
- Tout va bien Pascal ?
- Ce serait bien de repasser un peu au trot. Mon slip est un peu lâche et ce n’est pas des plus confortables.
Julie moqueuse est pliée de rire sur sa monture. Impossible de l’arrêter.
- Mon pauvre, je n’ai pas pensé à te prévenir. Mais au moins, pour la prochaine fois tu le sauras. Vaut mieux porter des vêtements serrés. C’est tout l’intérêt de s’équiper correctement.
Julie reprend.
- J’espère qu’il n’y a rien de cassé… En tout cas, tu m’auras bien fait rire aujourd’hui. Tu accompagnes Alice ce week-end ?
- Oui évidemment. La dernière fois ça n’avait pas été une réussite. J’espère que cette fois ci, elle se rattrapera.
- Je ne me fais pas de soucis pour elle. Elle est au top de sa forme et avec « Voie-Lactée », elle assure grave. Pour moi elle fait partie des deux ou trois favoris de la compétition.
- Merci. Tu me rassures Julie.
- Passe une bonne soirée Pascal. Tu es mûr pour la promenade sur la plage demain. Mets un slip plus serré cette fois ci, j'effectuerai un contrôle « surprise » avant le départ. Je plaisante évidemment. On se retrouve ici à 18h00 comme les autres jours.
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