07-09-2020, 11:37 AM
2eme ANNÉE Pâques : (101/127) (Afrique) (Jeudi) (État de guerre) (fin)
L’effet de stupeur commençant à s’estomper, le commandant nord-Coréen s’avance de quelques pas prudents vers moi.
- 어떻게 해야 합니까 ? (Comment faites-vous cela ?)
- 상관없어요 !! 당신을 기억 할 필요가 그것을 할 수 있다는 사실 ! 즉시 그들의 무기에 누워 당신의 남자에 게 ! 어떤 적극적인 시도 그들을 위해 최악의 방법을 벌 것 이다 , 당신의 군인의 나머지에 일어난 배운 그리고 미안 해요 좋은 생각 , 그들 처럼 당신이 결국 하지 않으며 문장 , 집에가 서 자유롭게 데 후 후 . (Peu importe !! Vous ne devez retenir que le fait que je peux le faire !! Dites à vos hommes de déposer immédiatement toutes leurs armes !! Toute tentative agressive sera puni de la pire des façons pour eux, j’ai appris ce qu’il était arrivé au reste de vos soldats et j’en suis désolé croyez le bien, il ne tient qu’à vous de ne pas finir comme eux et de pouvoir plus tard après avoir purgé votre peine, rentrer chez vous librement.)
Le commandant reste un instant sans répondre, son visage grave et surtout visiblement apeuré pour ne pas dire terrifié m’apprend que l’idée même de rentrer sans avoir été jusqu’au bout de sa mission, serait un déshonneur que lui et ses hommes paieraient très certainement de leur vie.
C’est donc moi qui reprends la parole avant qu’il ne prenne une décision qui serait suicidaire, mais qui aurait au moins le mérite de préserver leur honneur.
- 다른 대안을 사용할 수 있습니다 ! 나 혼자 캠프 따라 동의 하거나 우리 군대의 대응 중 당신과 당신의 남자 정직한 판단을 확보 하면서 당신의 책임의 조건을 협상을 공인 것 이다. (D’autres alternatives pourraient vous être proposées !! Acceptez de me suivre seul jusqu’au camp où un de vos homologues de notre armée sera accrédité pour négocier les termes de votre reddition tout en vous assurant à vous et à vos hommes un jugement honnête.)
J’envoie un son inaudible pour l’oreille humaine, la colonie s’écarte alors suffisamment pour lui montrer la bonne volonté venant de ma part de vouloir négocier honnêtement avec lui.
J’ai parlé suffisamment fort pendant tout ce temps pour que tous m’entendent et comprennent bien que c’est de leur survie qu’il s’agit.
- 거기에서 내게 돌아온다는 또는 내가 서, 당신의 다음 행동을 생각 하는 당신에 게 무료 ! (Je vais m’en retourner de là d’où je viens, libre à vous d’assumer vos prochaines actions !!)
Je lui tourne donc le dos pour retourner vers nos lignes, malgré tout je reste vigilant et je surveille leur réaction depuis un coin de l’esprit de mon ami Dorian qui assiste de loin à toute la scène avec ses jumelles, c’est donc sans paraître surpris que j’entends claquer derrière moi les deux coups de feu qui ôtent la vie des deux hommes en civil ayant eu des velléités agressives à mon encontre en pointant chacun un pistolet vers moi.
Un son de gorge pour stopper la réponse meurtrière de mes amies à cette tuerie et un sourire me vient malgré ce drame en entendant le bruit des fusils tombant au sol, signe que ma demande de désarmement a été prise en compte.
Mes pas m’amènent vers nos forces armées qui maintenant se déploient pour les prendre en charge, m’arrêtant devant l’officier commandant.
- Ils sont à vous monsieur !! J’espère que ce sont les derniers et que je vais pouvoir enfin profiter de mes amis sans plus de soucis.
L’ahurissement visible de cet homme m’amène une nouvelle fois le sourire aux lèvres, je n’attends aucune réponse de sa part et m’en retourne tranquillement vers la ville afin de commencer réellement ces vacances qui jusqu’à maintenant n’en étaient pas vraiment.
***/***
J’arrive une bonne demi-heure plus tard vers l’église qui accueille la tribu de mon ami Taha, l’envie est trop forte d’y retrouver Okoumé son père pour entendre son histoire.
C’est un jeune garçon de l’âge approximatif de « Ludo » qui m’aperçoit le premier et me rejoint en courant à toutes jambes, certainement pour que personne n’arrive avant lui et monopolise mon attention.
- Bonjour !! Je suis Akim le frère de Taha !! Alors c’est bien toi « cheveux de feu » ? Celui que notre père a sauvé de la jungle il y a bien des lunes ?
- Il semblerait en effet Hi ! Hi !
- Tu m’emmèneras dans ton pays ? Taha dit que là-bas il s’y est fait plein d’amis !!
- Ce serait un plaisir de t’y accueillir si tu le souhaites vraiment, ton frère et toi y seront toujours les bienvenus.
- Je pourrais être ton ami moi aussi ?
- Ne l’es-tu pas déjà ?
Akim sourit jusqu’aux oreilles en surveillant de loin plusieurs jeunes de son âge, visiblement attentifs à notre conversation.
- Vraiment ?
Je le prends par le cou en avançant vers les toiles de tentes.
- Tu peux le dire à tes amis Hi ! Hi ! Profites-en également pour les prévenir qu’ils peuvent retourner dès aujourd’hui dans leur village reprendre leurs habitudes et qu’il n’y a plus aucun danger.
2eme ANNÉE Pâques : (102/127) (Afrique) (Jeudi) (La tribu Massaï)
Les paroles de Florian font le tour du campement aussi rapidement qu’un feu de paille, la tribu s’avance alors vers la tente située au centre du cantonnement où depuis presque une heure le dieu des dieux, parle avec le grand Okoumé.
Florian apprend alors comment ont été vécues ces heures étranges par cet homme alors encore presque enfant, ses terreurs devant celle qu’il appellera plus tard « la mère » ainsi que le courage qu’il lui a fallu pour oser s’approcher et prendre le bébé humain alors que celle-ci venait juste de lui tourner le dos.
La course vers le dispensaire du vieux père, l’accueil en demi-teinte de celui-ci avant qu’il ne constate par lui-même l’aspect « miraculeux » de ce nourrisson au « don » de guérir.
Le reste c’est Florian qui le raconte à Okoumé, ses grands-parents qu’il croyait alors sa seule famille et qui se sont occupés de lui comme l’auraient fait des parents les plus aimants.
Ce sont les murmures de plus en plus nombreux autour de la tente qui les font revenir à la réalité, Okoumé comprenant bien la curiosité de son peuple à mieux connaître ce garçon que depuis longtemps déjà ils adulent comme un dieu.
***/***
- Nous aurons le temps de reprendre cette conversation « cheveux de feu » !! Mes frères t’attendent au dehors de la hutte de toile.
- J’ai remarqué qu’ils étaient tous en excellente santé grand chef !
- Ce n’était pas le cas avant que les dieux de la clairière se manifestent à moi pour que je te retrouve, depuis maintenant deux étés nous ne connaissons plus la maladie et mon peuple devient plus nombreux depuis que les naissances ont dépassé les décès. Savais-tu que la femme de mon fils Taha était il y a peu son meilleur ami ?
- Bien entendu Okoumé !! Tout comme je sais que tu seras bientôt grand père de deux magnifiques garçons.
Okoumé se redresse fièrement.
- Naomée me l’avait déjà annoncé, de savoir que ce seront deux nouveaux chasseurs pour la tribu me remplit de joie.
- L’un des deux seulement sera chasseur et suivra ton exemple grand chef, l’autre aura la particularité de sa « mère » et tu devras changer les tabous de ta tribu si tu veux le voir grandir auprès de toi, sache que ce petit-fils comptera beaucoup pour toi et que son amour pour son grand père ne sera jamais mis en défaut.
Okoumé sourit avec une larme brillant au fond des yeux.
- Tu connais alors le secret de ma famille depuis des générations « cheveux de feu » ?
- Le passé ne m’est pas connu hélas, je ne peux interférer que sur le présent ou l’avenir.
- J’avais trois frères et mon père tout comme son père et le père de son père avant lui ont eu des fils, certains sont morts avec honneur mais toujours il y en a eu un qui a terminé ses jours dans la honte, chassé par nos anciens.
- Taha n’est pas comme ça grand chef !! Il aimait son meilleur ami c’est vrai mais juste pour son esprit et non pour son corps, d’ailleurs tu peux constater aussi bien que moi qu’il est heureux et épanoui depuis la transformation de Naomée.
- Jusqu’à ce jour j’espérais que la « malédiction » cesse avec mes enfants, pourtant j’ai bien vu ce matin qu’il n’en était rien même si mon fils ne s’en est pas encore rendu compte.
- Je t’assure que ton plus jeune fils aimera les femmes grand chef !
- C’est ce que je pensais de mon premier né jusqu’à ce matin !! Maintenant je comprends mieux l’empressement qu’il manifeste auprès de nos jeunes vierges depuis le retour de Taha !! J’avais pris ça comme juste retour après la guérison de son visage.
- Benjamin sera un excellent compagnon pour ton fils.
- (Okoumé stupéfait) Tu connais cela aussi ??
- C’est le seul de mes amis qui est libre Okoumé, il ne pouvait en être autrement.
2eme ANNÉE Pâques : (103/127) (Afrique) (Jeudi) (Aomé/Benjamin)
***/***
« Aomé »
La chasse n’est pas fructueuse en ce lieu où le bruit trépidant des hommes a repoussé très loin le gibier, Aomé en était conscient avant même de l’entreprendre et ce n’était d’ailleurs pas le réel but de son éloignement de la tribu, ses pensées sont ailleurs depuis ce matin ou plus précisément depuis qu’il a été percuté assez durement par le jeune blanc au visage si troublant.
Depuis ses treize étés, il a tout fait pour ne pas avoir d’amis et son visage défiguré l’a beaucoup aidé à ce que personne ne se demande pourquoi il était soudainement devenu aussi solitaire.
Ce n’est seulement que depuis à peine quelques lunes ou plus exactement à la disparition miraculeuse de la cicatrice profonde qui lui marquait tout un côté du visage, qu’il éprouve le besoin d’assouvir sa virilité auprès des jeunes filles du village afin d’éviter justement que ce qu’il ressent au plus profond de lui n’en sorte avec les conséquences qu’il devrait ensuite endurer pour le reste de son existence.
Aomé pensait y être parvenu quand il a fallu que le destin en décide autrement et le fasse rencontrer (Le jeune Massaï sourit) durement ce jeune blanc, sa première réaction l’a étonné lui-même car il sait très bien que sa lance était à deux doigts de lui ôter la vie.
Ce geste il le comprend maintenant n’avait de sens que pour son inconscient, qui avant lui s’était déjà rendu compte des conséquences de cette rencontre.
Malgré tout il n’a pas pu poursuivre son geste, sans doute à la vision du visage effrayé de celui qui sans le savoir l’a déjà marqué au fer rouge et obnubile ses pensées depuis lors, cause de sa présence ici loin de sa tribu pour pouvoir faire le point et prendre la décision à laquelle il devra ensuite se tenir.
Taha lui a parlé juste avant son « départ » pour la chasse, il lui a dit que ses amis n’étaient là que pour quelques jours et qu’ils repartiraient tous dans leur lointain pays au-delà de l’océan, ne revenant pour la plupart que quand la construction du grand dispensaire serait terminée d’ici plusieurs étés.
Aomé soupire en s’asseyant contre un grand arbre, l’image du jeune blanc le hante suffisamment pour que son sexe se redresse et lui donne une preuve de plus de ce qu’il craignait, le doute n’étant plus permis de l’attirance qu’il éprouve pour celui auquel il n’a encore pas de nom à quoi se raccrocher.
***/***
« Benjamin »
Anne et Cindy sont à la recherche de leur cadet et commencent à s’inquiéter de sa disparition quand enfin elles le retrouvent prostré sur le canapé du salon de l’hôtel, ne s’apercevant même pas de leur apparition devant lui.
- (Anne) Ça doit être troublant pas vrai frérot ?
« Ben’j » sursaute avant de comprendre qui lui parle.
- Hein !! Ah c’est vous deux !! Qu’est ce qui doit être troublant, je ne comprends pas ?
- (Cindy) Qu’une image prenne vie par exemple ?
- ?????
- (Anne) Nous nous sommes demandé depuis des années ce que faisait cette revue sous ton matelas Hi ! Hi ! J’avoue que nous avons séché lamentablement tout ce temps.
- (Cindy) Comment aurions-nous pu penser à quoi il te servait Hi ! Hi !
Benjamin sent son visage prendre feu au ton grivois qu’ont pris soudainement ses sœurs pour lui faire leurs confidences qui semble-t-il, sont assez bien renseignées.
- Vous m’espionniez ? Et en fouillant dans mes affaires en plus !!
Anne sans se démonter plus que ça devant l’air outragé de son frère.
- On voulait juste savoir avec quel genre de revues tu jouais avec ton zizi Hi ! Hi !
- (Cindy) Parce que quand tu t’y mets, c’est assez bruyant je trouve Hi ! Hi !
Benjamin n’en revient pas d’une telle impudeur venant de ses sœurs, qui ne l’avaient pas habitué à être aussi expressives sur ce genre de sujet.
- Et bien dites donc !! Depuis que vous vous envoyez en l’air avec vos rouquemoutes, ça vous délie la langue c’est sûr !! Est-ce que je vous ai jamais reproché de vous faire plaisir ensemble, moi ?? Non ?? Alors de quoi je me mêle à la fin !!
2eme ANNÉE Pâques : (104/127) (Afrique) (Jeudi) (Thomas)
- Il est où Florian ?
Thomas se retourne vers Antonin qui vient de lui parler.
- Il discute avec Okoumé le chef Massaï, j’en apprends de belles figure-toi !!
- Du genre ?
- Coup de foudre Hi ! Hi !
Antonin devient blême.
- Encore !!!
Thomas l’attrape par la manche pour l’amener vers lui, son autre main passe doucement dans ses cheveux et sa voix quoique amusée démontre néanmoins combien l’a marqué la réaction de son deuxième chéri.
- Je ne parlais pas de « Flo », pourquoi tu t’emportes comme ça ?
Antonin apprécie la caresse et se serre contre Thomas pour un câlin comme il aime en avoir de ce garçon qui le fait craquer tout autant que Florian.
- J’ai toujours peur qu’il ramène encore un autre mec tu comprends ? C’est déjà bien assez avec vos amis.
- Ce sont aussi les tiens il me semble ?
- Tu m’as très bien compris alors ne joue pas avec les mots s’il te plaît.
- D’ailleurs quand j’y pense, il me vient de drôles d’idées !!
- Ah oui ?? Comme quoi par exemple ?
- (Thomas) Comme le fait de nous voir de moins en moins souvent !
- Arrête un peu !! On est toujours ensemble !!
Thomas reste songeur.
- Je pensais plutôt à nos soirées.
- Eh bien quoi vos soirées ? Ce n’est pas moi qui vous en empêche reconnais le ?
- Exact !! Mais je pense qu’indirectement si !! Rien que le fait que tu ne veuilles pas y participer !!
- C’est un reproche ?
- Non ! Non ! Ne va pas t’imaginer des choses que je ne pense même pas !!
- Alors ça veut dire quoi ? Tu connais mes idées là-dessus pourtant ? J’aime beaucoup tous nos amis, mais que comme amis point barre !! Je n’ai aucune envie de coucher avec eux, j’ai ce qu’il me faut avec vous deux et ça me suffit crois-moi !!
- Ça devient pareil pour nous et c’était justement le sujet de ma remarque, j’ai toujours envie de Yuan quoique moins souvent qu’avant et je suis sûr que pour « Flo » c’est pareil avec « Raphi » ou Éric, mais nous évitons d’en parler pour ne pas leur faire de peine, tu comprends ?
- (Antonin sourit) Je vais vous convertir à la monogamie Hi ! Hi !
- Tu aimerais que ça arrive ?
- Honnêtement ? Oui bien sûr !! J’ai du mal à comprendre ce besoin que vous avez d’aller chercher chez un autre ce que l’on a déjà en plus fort avec la personne qu’on aime vraiment.
- (Thomas) Si tu savais combien de fois j’ai entendu cette question ? En fait la réponse n’est pas si simple qu’elle le parait et je t’avoue que je ne l’ai jamais eue.
- (Antonin) Sans doute est-ce dû à Florian et ce qu’il est réellement ?
- Pourquoi, tu le sais toi ?
- Il me semble que c’est une information que j’ai dans ma tête sans pouvoir mettre le doigt dessus, mais je suis sûr que s’il n’avait pas été là tu ne serais pas comme ça.
- (Thomas surpris) Qu’est ce qui te fait dire une chose pareille ?
- Tu es un garçon sensible, doux et reconnais-le plutôt timide de nature, c’est loin de la mentalité nécessaire à ce genre de vie affective. Tu es comme moi en fait et je suis certain que Florian en est conscient, aussi bien pour toi que pour moi.
- Ma parole Hi ! Hi ! C’est une déclaration ou je ne m’y connais pas !!
- Une constatation « Thom » rien qu’une constatation !!
L’effet de stupeur commençant à s’estomper, le commandant nord-Coréen s’avance de quelques pas prudents vers moi.
- 어떻게 해야 합니까 ? (Comment faites-vous cela ?)
- 상관없어요 !! 당신을 기억 할 필요가 그것을 할 수 있다는 사실 ! 즉시 그들의 무기에 누워 당신의 남자에 게 ! 어떤 적극적인 시도 그들을 위해 최악의 방법을 벌 것 이다 , 당신의 군인의 나머지에 일어난 배운 그리고 미안 해요 좋은 생각 , 그들 처럼 당신이 결국 하지 않으며 문장 , 집에가 서 자유롭게 데 후 후 . (Peu importe !! Vous ne devez retenir que le fait que je peux le faire !! Dites à vos hommes de déposer immédiatement toutes leurs armes !! Toute tentative agressive sera puni de la pire des façons pour eux, j’ai appris ce qu’il était arrivé au reste de vos soldats et j’en suis désolé croyez le bien, il ne tient qu’à vous de ne pas finir comme eux et de pouvoir plus tard après avoir purgé votre peine, rentrer chez vous librement.)
Le commandant reste un instant sans répondre, son visage grave et surtout visiblement apeuré pour ne pas dire terrifié m’apprend que l’idée même de rentrer sans avoir été jusqu’au bout de sa mission, serait un déshonneur que lui et ses hommes paieraient très certainement de leur vie.
C’est donc moi qui reprends la parole avant qu’il ne prenne une décision qui serait suicidaire, mais qui aurait au moins le mérite de préserver leur honneur.
- 다른 대안을 사용할 수 있습니다 ! 나 혼자 캠프 따라 동의 하거나 우리 군대의 대응 중 당신과 당신의 남자 정직한 판단을 확보 하면서 당신의 책임의 조건을 협상을 공인 것 이다. (D’autres alternatives pourraient vous être proposées !! Acceptez de me suivre seul jusqu’au camp où un de vos homologues de notre armée sera accrédité pour négocier les termes de votre reddition tout en vous assurant à vous et à vos hommes un jugement honnête.)
J’envoie un son inaudible pour l’oreille humaine, la colonie s’écarte alors suffisamment pour lui montrer la bonne volonté venant de ma part de vouloir négocier honnêtement avec lui.
J’ai parlé suffisamment fort pendant tout ce temps pour que tous m’entendent et comprennent bien que c’est de leur survie qu’il s’agit.
- 거기에서 내게 돌아온다는 또는 내가 서, 당신의 다음 행동을 생각 하는 당신에 게 무료 ! (Je vais m’en retourner de là d’où je viens, libre à vous d’assumer vos prochaines actions !!)
Je lui tourne donc le dos pour retourner vers nos lignes, malgré tout je reste vigilant et je surveille leur réaction depuis un coin de l’esprit de mon ami Dorian qui assiste de loin à toute la scène avec ses jumelles, c’est donc sans paraître surpris que j’entends claquer derrière moi les deux coups de feu qui ôtent la vie des deux hommes en civil ayant eu des velléités agressives à mon encontre en pointant chacun un pistolet vers moi.
Un son de gorge pour stopper la réponse meurtrière de mes amies à cette tuerie et un sourire me vient malgré ce drame en entendant le bruit des fusils tombant au sol, signe que ma demande de désarmement a été prise en compte.
Mes pas m’amènent vers nos forces armées qui maintenant se déploient pour les prendre en charge, m’arrêtant devant l’officier commandant.
- Ils sont à vous monsieur !! J’espère que ce sont les derniers et que je vais pouvoir enfin profiter de mes amis sans plus de soucis.
L’ahurissement visible de cet homme m’amène une nouvelle fois le sourire aux lèvres, je n’attends aucune réponse de sa part et m’en retourne tranquillement vers la ville afin de commencer réellement ces vacances qui jusqu’à maintenant n’en étaient pas vraiment.
***/***
J’arrive une bonne demi-heure plus tard vers l’église qui accueille la tribu de mon ami Taha, l’envie est trop forte d’y retrouver Okoumé son père pour entendre son histoire.
C’est un jeune garçon de l’âge approximatif de « Ludo » qui m’aperçoit le premier et me rejoint en courant à toutes jambes, certainement pour que personne n’arrive avant lui et monopolise mon attention.
- Bonjour !! Je suis Akim le frère de Taha !! Alors c’est bien toi « cheveux de feu » ? Celui que notre père a sauvé de la jungle il y a bien des lunes ?
- Il semblerait en effet Hi ! Hi !
- Tu m’emmèneras dans ton pays ? Taha dit que là-bas il s’y est fait plein d’amis !!
- Ce serait un plaisir de t’y accueillir si tu le souhaites vraiment, ton frère et toi y seront toujours les bienvenus.
- Je pourrais être ton ami moi aussi ?
- Ne l’es-tu pas déjà ?
Akim sourit jusqu’aux oreilles en surveillant de loin plusieurs jeunes de son âge, visiblement attentifs à notre conversation.
- Vraiment ?
Je le prends par le cou en avançant vers les toiles de tentes.
- Tu peux le dire à tes amis Hi ! Hi ! Profites-en également pour les prévenir qu’ils peuvent retourner dès aujourd’hui dans leur village reprendre leurs habitudes et qu’il n’y a plus aucun danger.
2eme ANNÉE Pâques : (102/127) (Afrique) (Jeudi) (La tribu Massaï)
Les paroles de Florian font le tour du campement aussi rapidement qu’un feu de paille, la tribu s’avance alors vers la tente située au centre du cantonnement où depuis presque une heure le dieu des dieux, parle avec le grand Okoumé.
Florian apprend alors comment ont été vécues ces heures étranges par cet homme alors encore presque enfant, ses terreurs devant celle qu’il appellera plus tard « la mère » ainsi que le courage qu’il lui a fallu pour oser s’approcher et prendre le bébé humain alors que celle-ci venait juste de lui tourner le dos.
La course vers le dispensaire du vieux père, l’accueil en demi-teinte de celui-ci avant qu’il ne constate par lui-même l’aspect « miraculeux » de ce nourrisson au « don » de guérir.
Le reste c’est Florian qui le raconte à Okoumé, ses grands-parents qu’il croyait alors sa seule famille et qui se sont occupés de lui comme l’auraient fait des parents les plus aimants.
Ce sont les murmures de plus en plus nombreux autour de la tente qui les font revenir à la réalité, Okoumé comprenant bien la curiosité de son peuple à mieux connaître ce garçon que depuis longtemps déjà ils adulent comme un dieu.
***/***
- Nous aurons le temps de reprendre cette conversation « cheveux de feu » !! Mes frères t’attendent au dehors de la hutte de toile.
- J’ai remarqué qu’ils étaient tous en excellente santé grand chef !
- Ce n’était pas le cas avant que les dieux de la clairière se manifestent à moi pour que je te retrouve, depuis maintenant deux étés nous ne connaissons plus la maladie et mon peuple devient plus nombreux depuis que les naissances ont dépassé les décès. Savais-tu que la femme de mon fils Taha était il y a peu son meilleur ami ?
- Bien entendu Okoumé !! Tout comme je sais que tu seras bientôt grand père de deux magnifiques garçons.
Okoumé se redresse fièrement.
- Naomée me l’avait déjà annoncé, de savoir que ce seront deux nouveaux chasseurs pour la tribu me remplit de joie.
- L’un des deux seulement sera chasseur et suivra ton exemple grand chef, l’autre aura la particularité de sa « mère » et tu devras changer les tabous de ta tribu si tu veux le voir grandir auprès de toi, sache que ce petit-fils comptera beaucoup pour toi et que son amour pour son grand père ne sera jamais mis en défaut.
Okoumé sourit avec une larme brillant au fond des yeux.
- Tu connais alors le secret de ma famille depuis des générations « cheveux de feu » ?
- Le passé ne m’est pas connu hélas, je ne peux interférer que sur le présent ou l’avenir.
- J’avais trois frères et mon père tout comme son père et le père de son père avant lui ont eu des fils, certains sont morts avec honneur mais toujours il y en a eu un qui a terminé ses jours dans la honte, chassé par nos anciens.
- Taha n’est pas comme ça grand chef !! Il aimait son meilleur ami c’est vrai mais juste pour son esprit et non pour son corps, d’ailleurs tu peux constater aussi bien que moi qu’il est heureux et épanoui depuis la transformation de Naomée.
- Jusqu’à ce jour j’espérais que la « malédiction » cesse avec mes enfants, pourtant j’ai bien vu ce matin qu’il n’en était rien même si mon fils ne s’en est pas encore rendu compte.
- Je t’assure que ton plus jeune fils aimera les femmes grand chef !
- C’est ce que je pensais de mon premier né jusqu’à ce matin !! Maintenant je comprends mieux l’empressement qu’il manifeste auprès de nos jeunes vierges depuis le retour de Taha !! J’avais pris ça comme juste retour après la guérison de son visage.
- Benjamin sera un excellent compagnon pour ton fils.
- (Okoumé stupéfait) Tu connais cela aussi ??
- C’est le seul de mes amis qui est libre Okoumé, il ne pouvait en être autrement.
2eme ANNÉE Pâques : (103/127) (Afrique) (Jeudi) (Aomé/Benjamin)
***/***
« Aomé »
La chasse n’est pas fructueuse en ce lieu où le bruit trépidant des hommes a repoussé très loin le gibier, Aomé en était conscient avant même de l’entreprendre et ce n’était d’ailleurs pas le réel but de son éloignement de la tribu, ses pensées sont ailleurs depuis ce matin ou plus précisément depuis qu’il a été percuté assez durement par le jeune blanc au visage si troublant.
Depuis ses treize étés, il a tout fait pour ne pas avoir d’amis et son visage défiguré l’a beaucoup aidé à ce que personne ne se demande pourquoi il était soudainement devenu aussi solitaire.
Ce n’est seulement que depuis à peine quelques lunes ou plus exactement à la disparition miraculeuse de la cicatrice profonde qui lui marquait tout un côté du visage, qu’il éprouve le besoin d’assouvir sa virilité auprès des jeunes filles du village afin d’éviter justement que ce qu’il ressent au plus profond de lui n’en sorte avec les conséquences qu’il devrait ensuite endurer pour le reste de son existence.
Aomé pensait y être parvenu quand il a fallu que le destin en décide autrement et le fasse rencontrer (Le jeune Massaï sourit) durement ce jeune blanc, sa première réaction l’a étonné lui-même car il sait très bien que sa lance était à deux doigts de lui ôter la vie.
Ce geste il le comprend maintenant n’avait de sens que pour son inconscient, qui avant lui s’était déjà rendu compte des conséquences de cette rencontre.
Malgré tout il n’a pas pu poursuivre son geste, sans doute à la vision du visage effrayé de celui qui sans le savoir l’a déjà marqué au fer rouge et obnubile ses pensées depuis lors, cause de sa présence ici loin de sa tribu pour pouvoir faire le point et prendre la décision à laquelle il devra ensuite se tenir.
Taha lui a parlé juste avant son « départ » pour la chasse, il lui a dit que ses amis n’étaient là que pour quelques jours et qu’ils repartiraient tous dans leur lointain pays au-delà de l’océan, ne revenant pour la plupart que quand la construction du grand dispensaire serait terminée d’ici plusieurs étés.
Aomé soupire en s’asseyant contre un grand arbre, l’image du jeune blanc le hante suffisamment pour que son sexe se redresse et lui donne une preuve de plus de ce qu’il craignait, le doute n’étant plus permis de l’attirance qu’il éprouve pour celui auquel il n’a encore pas de nom à quoi se raccrocher.
***/***
« Benjamin »
Anne et Cindy sont à la recherche de leur cadet et commencent à s’inquiéter de sa disparition quand enfin elles le retrouvent prostré sur le canapé du salon de l’hôtel, ne s’apercevant même pas de leur apparition devant lui.
- (Anne) Ça doit être troublant pas vrai frérot ?
« Ben’j » sursaute avant de comprendre qui lui parle.
- Hein !! Ah c’est vous deux !! Qu’est ce qui doit être troublant, je ne comprends pas ?
- (Cindy) Qu’une image prenne vie par exemple ?
- ?????
- (Anne) Nous nous sommes demandé depuis des années ce que faisait cette revue sous ton matelas Hi ! Hi ! J’avoue que nous avons séché lamentablement tout ce temps.
- (Cindy) Comment aurions-nous pu penser à quoi il te servait Hi ! Hi !
Benjamin sent son visage prendre feu au ton grivois qu’ont pris soudainement ses sœurs pour lui faire leurs confidences qui semble-t-il, sont assez bien renseignées.
- Vous m’espionniez ? Et en fouillant dans mes affaires en plus !!
Anne sans se démonter plus que ça devant l’air outragé de son frère.
- On voulait juste savoir avec quel genre de revues tu jouais avec ton zizi Hi ! Hi !
- (Cindy) Parce que quand tu t’y mets, c’est assez bruyant je trouve Hi ! Hi !
Benjamin n’en revient pas d’une telle impudeur venant de ses sœurs, qui ne l’avaient pas habitué à être aussi expressives sur ce genre de sujet.
- Et bien dites donc !! Depuis que vous vous envoyez en l’air avec vos rouquemoutes, ça vous délie la langue c’est sûr !! Est-ce que je vous ai jamais reproché de vous faire plaisir ensemble, moi ?? Non ?? Alors de quoi je me mêle à la fin !!
2eme ANNÉE Pâques : (104/127) (Afrique) (Jeudi) (Thomas)
- Il est où Florian ?
Thomas se retourne vers Antonin qui vient de lui parler.
- Il discute avec Okoumé le chef Massaï, j’en apprends de belles figure-toi !!
- Du genre ?
- Coup de foudre Hi ! Hi !
Antonin devient blême.
- Encore !!!
Thomas l’attrape par la manche pour l’amener vers lui, son autre main passe doucement dans ses cheveux et sa voix quoique amusée démontre néanmoins combien l’a marqué la réaction de son deuxième chéri.
- Je ne parlais pas de « Flo », pourquoi tu t’emportes comme ça ?
Antonin apprécie la caresse et se serre contre Thomas pour un câlin comme il aime en avoir de ce garçon qui le fait craquer tout autant que Florian.
- J’ai toujours peur qu’il ramène encore un autre mec tu comprends ? C’est déjà bien assez avec vos amis.
- Ce sont aussi les tiens il me semble ?
- Tu m’as très bien compris alors ne joue pas avec les mots s’il te plaît.
- D’ailleurs quand j’y pense, il me vient de drôles d’idées !!
- Ah oui ?? Comme quoi par exemple ?
- (Thomas) Comme le fait de nous voir de moins en moins souvent !
- Arrête un peu !! On est toujours ensemble !!
Thomas reste songeur.
- Je pensais plutôt à nos soirées.
- Eh bien quoi vos soirées ? Ce n’est pas moi qui vous en empêche reconnais le ?
- Exact !! Mais je pense qu’indirectement si !! Rien que le fait que tu ne veuilles pas y participer !!
- C’est un reproche ?
- Non ! Non ! Ne va pas t’imaginer des choses que je ne pense même pas !!
- Alors ça veut dire quoi ? Tu connais mes idées là-dessus pourtant ? J’aime beaucoup tous nos amis, mais que comme amis point barre !! Je n’ai aucune envie de coucher avec eux, j’ai ce qu’il me faut avec vous deux et ça me suffit crois-moi !!
- Ça devient pareil pour nous et c’était justement le sujet de ma remarque, j’ai toujours envie de Yuan quoique moins souvent qu’avant et je suis sûr que pour « Flo » c’est pareil avec « Raphi » ou Éric, mais nous évitons d’en parler pour ne pas leur faire de peine, tu comprends ?
- (Antonin sourit) Je vais vous convertir à la monogamie Hi ! Hi !
- Tu aimerais que ça arrive ?
- Honnêtement ? Oui bien sûr !! J’ai du mal à comprendre ce besoin que vous avez d’aller chercher chez un autre ce que l’on a déjà en plus fort avec la personne qu’on aime vraiment.
- (Thomas) Si tu savais combien de fois j’ai entendu cette question ? En fait la réponse n’est pas si simple qu’elle le parait et je t’avoue que je ne l’ai jamais eue.
- (Antonin) Sans doute est-ce dû à Florian et ce qu’il est réellement ?
- Pourquoi, tu le sais toi ?
- Il me semble que c’est une information que j’ai dans ma tête sans pouvoir mettre le doigt dessus, mais je suis sûr que s’il n’avait pas été là tu ne serais pas comme ça.
- (Thomas surpris) Qu’est ce qui te fait dire une chose pareille ?
- Tu es un garçon sensible, doux et reconnais-le plutôt timide de nature, c’est loin de la mentalité nécessaire à ce genre de vie affective. Tu es comme moi en fait et je suis certain que Florian en est conscient, aussi bien pour toi que pour moi.
- Ma parole Hi ! Hi ! C’est une déclaration ou je ne m’y connais pas !!
- Une constatation « Thom » rien qu’une constatation !!
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