06-09-2020, 06:43 PM
2eme ANNÉE Pâques : (17/127) (Arabie Saoudite) (Joseph)
« Palais de son altesse l’émir Hassan Al Malouf, Arabie Saoudite »
Joseph est conduit directement dès son arrivée dans le bureau de l’émir, le majordome le priant de s’installer confortablement le temps qu’il prévienne son altesse de sa présence.
C’est donc avec décontraction que Joseph s’assoit dans le canapé ; Qui lui aurait dit quelques mois plus tôt, qu’il aurait ses entrées au palais et qu’il deviendrait l’ami de l’émir, bien sûr il était déjà bien considéré avant cette histoire mais juste comme une personne aux compétences reconnues pour ce pour quoi on le paie.
L’attente n’est pas très longue avant que la porte ne s’ouvre de nouveau et laisse apparaître Omar tout souriant, venant directement s’asseoir près de lui après lui avoir serré chaleureusement la main.
- Comment vas-tu Joseph ? Alors ? Cette ballade au Japon, ça t’a plu ?
- C’était une vraie villégiature Hi ! Hi !
- Florian n’a pas été menacé cette fois ?
- Pas aux dernières nouvelles !! J’étais à la surveillance de Thomas et je n’ai pas eu beaucoup d’occasions de suivre « Flo », l’émir n’est pas là ?
- Il arrive !! Au fait !! Je pense que pour ta nouvelle mission, tu ne partiras pas seul !!
- Le petit prince n’aurait-il pas respecté mon enseignement ?
- On peut dire ça comme ça, mais Hassan t’en dira plus sur ses intentions vis-à-vis d’eux !! Attends-toi tout de même à ce qu’il te demande de leur en remettre une couche.
- (Joseph hoche la tête) Je vois !!
- Bah !! Nous étions pareils quand nous étions plus jeunes, sauf que les responsabilités n’ont pas laissé le temps à Hassan aux plaisanteries qui amusent nos tourtereaux. Mais il t’en dira certainement plus lui-même, raconte-moi plutôt ce séjour avec Florian et Thomas.
***/***
« À l’étage du palais, dans une pièce transformée en salle de sport pour le jeune Prince »
Amid admire son corps dans la grande glace installée à cet effet derrière la barre de gymnastique, il a déjà perdu une grande partie de sa masse graisseuse et les séances lui sont maintenant de moins en moins pénibles au fur et à mesure que son corps prend du muscle et de l’endurance.
Il n’en est pas encore à avoir les plaques de chocolat qu’a Christophe, mais semaine après semaine ses muscles apparaissent là où il n’y a pas si longtemps encore ils étaient recouverts d’une bonne couche de graisse.
Christophe en véritable coach ne le laisse pas tranquille tant qu’il n’a pas réalisé tous les exercices qu’il lui demande de faire et ce n’est pas sans protestation tonitruante de sa part, juste pour le plaisir de se faire pardonner ensuite sous la couette.
Ce sont justement ses esclandres qui ont amené la décision qu’a prise son père de les éloigner un temps du palais, le personnel étant de moins en moins dupe du rapport plus que professionnel qui existe entre les deux garçons et c’est la crainte qu’un jour leur relation éclate au grand jour avec toutes les conséquences qui s’ensuivraient, qui a fait prendre cette décision à Hassan pour le bien des deux amoureux.
L’idée de les envoyer avec Joseph en Afrique lui est venue suite à une conversation où les deux jeunes se sont plaints de ne plus voir leurs amis Français et ils se sont jetés sur lui de plaisir quand il en a abordé avec eux la possibilité d’aller aider à la mise en place du centre de soins en précisant que c’était là que Florian et sa bande comptaient y passer le plus clair de leurs temps.
Pour Christophe l’idée étant qu’il reprenne son ancien emploi afin d’avoir une vie à lui qui permettra au garçon de n’être plus collé vingt-quatre heures sur vingt-quatre à son prince et à Amid de développer ses futures fonctions en étant l’ambassadeur de l’émirat auprès des autorités locales.
Bien sûr il reste à Hassan de convaincre Joseph à bien vouloir les chaperonner, mais il ne se fait pas trop de soucis à ce sujet étant donné l’amitié que porte Joseph pour son fils et qui il n’en doute pas un instant se reportera sur Christophe qui a bien su se faire accepter de lui, grâce à une gentillesse jamais prise en défaut.
***/***
« Bureau d’Hassan »
Joseph termine tout juste de raconter ses péripéties Japonaises, quand l’émir entre à son tour dans la pièce et après un signe de la main pour qu’ils restent assis, vient les rejoindre en s’asseyant dans son fauteuil favori.
- J’ai lu ton rapport et j’ai aussi suivi les informations, notre jeune ami est maintenant reconnu internationalement et j’en suis à la fois heureux et inquiet !!
- Inquiet votre altesse ?
- Je ne devrais pas l’être ?
- Pas plus qu’avant votre altesse !! Florian est loin d’être aussi vulnérable qu’il veut bien le laisser paraître, il a quelques ennemis ou plutôt pour être exact, quelques envieux qui aimeraient se l’octroyer pour eux seuls, c’est vrai !! Mais que sont-ils par rapport à tous ses amis ? Il a laissé une forte impression sur tous les chefs d’États qui ont été présents pendant le congrès et je peux vous assurer qu’il ne serait bon pour personne d’être aujourd’hui accusé de vouloir lui nuire.
2eme ANNÉE Pâques : (18/127) (Arabie Saoudite) (Hassan)
- (Hassan) Heureux de l’apprendre, quoique je m’en doutais déjà bien avant qu’il parte là-bas.
- (Joseph) Vous êtes donc rassuré sur ce point excellence, quand devrais-je partir pour ma prochaine mission ?
- (Hassan) Prends quelques vacances, tu dois avoir envie de retrouver ta famille et de passer un peu de temps avec eux.
- (Joseph) Et pour le petit prince ? Ça pourra attendre ?
Hassan jette un bref coup d’œil à Omar qui joue parfaitement les innocents, ce qui bien sûr l’amuse et c’est en souriant qu’il reprend la parole.
- Je vois que quelques langues bien pendues t’ont déjà mis au courant ?
- (Joseph) Omar n’est pas entré dans les détails, juste qu’il m’a déclaré que je n’irai certainement pas seul en Afrique et j’en ai déduit le reste, ne voyant pas qui d’autre que le petit prince et son ami cela aurait pu être.
- (Hassan) Tu m’étonneras chaque jour davantage Joseph, ton esprit est particulièrement affûté.
- (Joseph) Si votre altesse voulait bien m’en dire plus sur ses intentions ?
***/***
Pendant qu’Hassan expose ses projets pour son fils ainsi que pour Christophe, ce dernier retrouve son chéri dans la salle de sport où Amid termine ses derniers exercices.
Christophe admire un instant le jeune prince à la peau hâlée couverte de sueur et qui lui amène l’envie irrésistible de le prendre dans ses bras, il capte le regard d’Amid qui vient de s’apercevoir de son arrivée et reconnaît la même lueur dans ses yeux, brillants du plaisir de sa présence.
Sans détourner son regard du sien, Christophe referme la porte derrière lui en y mettant deux tours de clé. Ce simple geste crée une révolution immédiate dans le short du jeune prince qui se déforme sur le devant de la plus appétissante des façons.
Amid sait très bien ce que ces deux tours de clé annoncent sur les intentions de son ami, lui aussi surveille de près la remontée du bas-ventre de Christophe et lui sourit en poussant un faux soupir exaspéré.
- Pffttt !! Tu n’en as donc jamais assez ?
- De quoi donc parle son altesse ? J’étais juste venu pour préparer la table de massage car je pense que son altesse en aura bien besoin après ses longues heures d’exercices et dès qu’elle aura terminé de prendre sa douche.
- Humm !! Pourquoi tu bandes alors ?
- C’est la vue de son altesse qui me fait cet effet et je crois bien que c’est réciproque, le short de son altesse ne laisse aucun doute là-dessus.
Amid baisse les yeux pour faire le constat que son ami a vu juste, mais en est-il vraiment étonné puisque la raideur qui le tient depuis sa venue lui remontait déjà des pulsions de plaisir.
Il tire à deux mains vers le bas pour le descendre jusqu’aux chevilles et se retrouver nu sous le regard rond d’envie du beau Christophe, le corps maintenant dessiné d’Amid n’ayant de cesse de l’exciter chaque jour davantage.
- Tu m’attends ? Je n’en ai pas pour longtemps !!
Amid n’attend pas de réponse que déjà il se précipite vers la salle de douche attenante d’où Christophe entend bientôt l’eau couler, il décide alors de faire comme il l’a dit et prépare la table de massage avec une idée en tête facile à comprendre.
La douche est étrangement écourtée, Amid étant bien trop pressé du contact des mains de son ami sur son corps pour s’y attarder, il est encore tout mouillé quand il entoure ses hanches d’un drap de bain et qu’il revient en hâte dans la salle pour s’arrêter un moment à la vue du corps quasiment nu de son copain, qui n’a gardé sur lui qu’un de ses petits slips blancs et moulants qui lui vont à ravir en aiguisant encore plus l’envie du jeune prince de se jeter dans ses bras.
Il refrène ses pulsions, comprenant que c’est encore un jeu entre eux qui se prépare et qu’ils vont encore pousser loin l’excitation avant de faire l’amour, c’est donc en rongeant son frein qu’Amid va s’allonger sur la table le corps frémissant à l’avance de ce qui l’attend.
Christophe sourit en le voyant s’allonger sur le ventre, les cuisses semi-écartées et les fesses saillantes dans une position qui lui ôte toute volonté de jeu, mais lui amène l’envie de le prendre sans plus tarder.
La bouteille d’huile de massage qu’il tient en mains, lui donne une idée qui le fait sourire de joindre l’utile à l’agréable et profitant qu’Amid lui tourne le dos, il enlève rapidement son slip et s’approche de lui tout en enduisant son sexe copieusement d’huile parfumée, il monte lestement sur la table pour s’asseoir sur les cuisses du jeune prince qui frémit à son contact mais ne bouge pas d’un poil.
Il verse quelques gouttes sur les épaules d’Amid, commence à le masser tranquillement en pointant son sexe vers sa cible et c’est en lui malaxant beaucoup plus fermement les muscles dorsaux qu’il le pénètre d’un coup alors qu’il ne s’y attendait pas.
Le râle de plaisir et de jouissance d’Amid, ainsi que les tremblements de son corps font comprendre à Christophe à quel point son geste l’a surpris au point de le faire jouir et il ne lui faut guère plus de temps, à peine quelques allers retours nerveux pour que lui aussi sente l’orgasme lui prendre les reins et le fruit de sa jouissance emplir la gaine souple qu’il vient pourtant tout juste d’investir.
Il se laisse aller en s’allongeant de tout son long sur le corps encore palpitant à la respiration haletante, ils restent ainsi un long moment à reprendre leurs esprits avant que le bassin de Christophe reprenne un rythme d’abord souple et langoureux, puis de plus en plus viril qui les mènera une nouvelle fois vers un plaisir toujours plus intense.
2eme ANNÉE Pâques : (19/127) (Reims) (Samedi soir) (suite)
« Retour chez les Viala, fin de soirée »
Les petits coups d’œil aguicheurs que se jette chaque couple après cette longue soirée en famille et entre amis, déclenchent rapidement les envies de s’isoler dans les chambres et personne n’est dupe des bâillements qui viennent d’ici et là, de plus en plus fréquents.
- (Annie) Il va falloir qu’ils y en aient qui se dévouent pour le canapé.
- (Guillaume) Je peux laisser ma chambre aux trois garçons, c’est la seule où il y a deux lits et si ça ne dérange pas Léa, il n’y a pas de problèmes pour moi.
- (Léa) Ça me va !!
- (Annie) C’est très bien alors !! Je vous amène des draps et une couverture, vous autres prenez vos précautions pour ne pas avoir à venir les embêter dans la nuit !! Alors si quelqu’un a besoin d’eau ou de quoi que ce soit d’autre, servez-vous dans la cuisine avant d’aller dans vos chambres.
- (Damien joueur) Pfftt !! Dommage !! Je ne pourrai pas voir ses gros nibards alors ?
- (Guillaume) Qu’est-ce que tu en ferais de toute façon !!
- (Frédéric) Ne commencez pas vous deux, ce n’est plus l’heure !!
***/***
« Dix minutes plus tard, dans la chambre de Florian »
Thomas et Antonin sont seuls dans la chambre, Florian étant aux toilettes pour soulager une envie pressante et les deux garçons se dévisagent un peu gênés de ne se retrouver que tous les deux.
- (Thomas) Qu’est-ce que tu attends « Tonin » ?
- De savoir quel lit vous prenez !!
- (Thomas) N’importe lequel, de toute façon ce sont les deux mêmes ! Je peux te poser une question indiscrète pendant que Florian n’est pas là ?
- Bien sûr !! À quel sujet ?
- (Thomas) C’est à propos de nous !! Enfin quand je dis nous, je pense à toi et à nous deux avec Florian, je me demande si tu vas te décider un jour, à moins que tu n’en aies pas envie ?
Thomas voit bien que son ami se bloque aussitôt, la rougeur caractéristique de ses joues le fait malgré tout sourire et il se doute bien que la première barrière à vaincre sera celle de la timidité maladive du petit blond quant à dévoiler ses sentiments et Thomas comprend bien pourquoi après tout ce qu’Antonin a vécu.
- (Thomas) Je ne veux pas te mettre la pression tu sais ? Mais je connais Florian et je sais bien qu’il attendra que la décision vienne de toi. Maintenant je n’en reviens pas moi-même de discuter de ça avec toi comme je le fais Hi ! Hi ! Crois-moi sur parole, ce n’est vraiment pas dans mes habitudes et j’en suis le premier étonné, c’est sûrement de vous voir vous tourner autour qui m’a décidé à t’en parler.
- Et toi dans tout ça ?
Thomas fixe Antonin dans les yeux en lui envoyant son plus beau sourire, ce qui ne manque pas d’attiser encore plus les rougeurs sur le visage du petit blond.
- J’éprouve les mêmes sentiments envers toi que Florian si c’est là ta question, je sais bien que notre façon de voir ses choses là n’est pas et c’est peu dire dans les mœurs habituelles, d’autant plus que tu n’avais jamais envisagé pouvoir un jour tomber amoureux d’un garçon si je ne me trompe pas ? Alors j’imagine bien ce que ça peut te faire te poser comme questions !! Un c’est déjà pas évident alors deux Hi ! Hi !
N’obtenant pas de réponses, Thomas pose la dernière question qui lui tient à cœur et son visage change du tout au tout de crainte que sa réponse le rejette une bonne fois pour toutes alors que lui craque réellement et ce depuis la première minute où il l’a vu, pour ce petit gars si sensible.
- Je parle mais je m’avance peut-être un peu trop vite à mon sujet !! Tu n’aimes peut-être que « Flo » ?
2eme ANNÉE Pâques : (20/127) (Reims) (Samedi soir) (suite)
Antonin voit bien le changement d’expression de Thomas et il ne contrôle pas son geste quand sa main part lui prendre la sienne pour la serrer très fort.
- Ne redis jamais une chose pareille « Thom », je… Heu !! Je… Arhh !! Pourquoi est-ce si difficile à dire !!
- (Thomas) Sans doute parce que tu as peur que ça finisse comme à chaque fois pour toi ?
- Tous les gens que j’ai aimés ne sont plus là aujourd’hui, comprends moi aussi !!
- Ta vie a changé Antonin, tu t’en rends compte j’espère ?
- Bien sûr qu’est-ce que tu crois ? Je serais aveugle si je te disais que non !!
- Alors ose dire les choses que tu penses !! Nous sommes tous tes amis et quelle que soit ta décision nous le resterons, c’est juste que nous saurons au moins à quoi nous en tenir au lieu de peut-être nous faire juste des films.
Antonin commence à apprécier la conversation et sent bien qu’il est moins oppressé que quelques minutes plus tôt.
- Quel genre de films ?
- Du genre interdit aux moins de dix-huit ans si tu veux tout savoir Hi ! Hi !
- Je présume que les acteurs sont tous de beaux mecs ?
- Hum !! On peut dire ça, oui !! Surtout un petit rouquin et un petit blond !!
- Pour le petit rouquin, je vois bien de qui on parle mais je voyais plutôt un grand blond sur ce coup-là moi !!
- Je m’aperçois que nous regardons les mêmes programmes, mais pas forcément les mêmes acteurs Hi ! Hi ! Alors comme ça toi aussi tu fantasmes sur nous ?
Thomas le voit aussitôt sa phrase prononcée détourner les yeux et se remettre à piquer son bol.
- Décidément !! Tu es indécrottable ma parole !!
La porte s’ouvre.
- Qui est indécrottable ? Pas moi en tous les cas, parce que je ne vous conseille pas d’aller tout de suite aux toilettes Hi ! Hi !
Bien sûr je fais l’innocent alors que j’ai tout suivi de leur conversation, je prends un slip propre dans la commode et je l’enfile non sans avoir au préalable manqué d’ôter la serviette de bain que j’avais autour des reins suite à la douche rapide que j’ai prise après être sorti des toilettes.
Je me retourne vers mes amis et si le visage de mon Thomas est visiblement amusé, celui d’Antonin est particulièrement expressif et ses yeux ronds fixés sur mon corps déclenchent en moi une réaction qui me presse à me glisser rapidement sous la couette pour ne pas l’effaroucher plus qu’il n’y est déjà.
- Eh bien quoi !! Vous ne vous couchez pas ?
- (Thomas) Il faut que je prenne aussi une douche vite fait.
- (Antonin) J’irai après toi, en attendant je file aux toilettes et tant pis si je meurs asphyxié, mais je ne tiens plus Hi ! Hi !
Je me retrouve donc seul quelques instants, pris entre l’envie d’un gros câlin à trois et la retenue que j’ai toujours eu envers Antonin pour ne pas le brusquer, je ne voudrais surtout pas qu’il pense que faire l’amour avec nous est une contrepartie à tout ce que nous avons fait pour lui.
C’est Thomas qui rentre le premier et comme moi juste avant, il fouille dans son sac pour prendre un sous-vêtement propre tout en se débarrassant de sa serviette humide et va pour me rejoindre quand je lui fais signe de prendre l’autre lit et d’éteindre la lumière.
« Conversation mentale »
- (Thomas) A quoi tu joues là ?
- C’est juste pour voir sa réaction Hi ! Hi !
- (Thomas) Pas sûr que l’idée soit bonne.
- Bah !! Je n’en sais trop rien en fait !! Tu as sans doute raison !!
- (Thomas) Il est assez perturbé comme ça sans qu’il faille en rajouter, tu l’as dit toi-même assez souvent que le choix devait venir de lui et je ne pense pas que la plaisanterie sera à son goût.
- Il me rend dingue tu comprends ? Et puis merde !! T’as raison !! Éteints et viens me rejoindre.
Thomas vient s’allonger contre moi et me prend dans ses bras.
- Dis-moi ce qui ne va pas, je ne t’ai jamais vu comme ça avant !!
- Si seulement je le savais moi-même.
« Palais de son altesse l’émir Hassan Al Malouf, Arabie Saoudite »
Joseph est conduit directement dès son arrivée dans le bureau de l’émir, le majordome le priant de s’installer confortablement le temps qu’il prévienne son altesse de sa présence.
C’est donc avec décontraction que Joseph s’assoit dans le canapé ; Qui lui aurait dit quelques mois plus tôt, qu’il aurait ses entrées au palais et qu’il deviendrait l’ami de l’émir, bien sûr il était déjà bien considéré avant cette histoire mais juste comme une personne aux compétences reconnues pour ce pour quoi on le paie.
L’attente n’est pas très longue avant que la porte ne s’ouvre de nouveau et laisse apparaître Omar tout souriant, venant directement s’asseoir près de lui après lui avoir serré chaleureusement la main.
- Comment vas-tu Joseph ? Alors ? Cette ballade au Japon, ça t’a plu ?
- C’était une vraie villégiature Hi ! Hi !
- Florian n’a pas été menacé cette fois ?
- Pas aux dernières nouvelles !! J’étais à la surveillance de Thomas et je n’ai pas eu beaucoup d’occasions de suivre « Flo », l’émir n’est pas là ?
- Il arrive !! Au fait !! Je pense que pour ta nouvelle mission, tu ne partiras pas seul !!
- Le petit prince n’aurait-il pas respecté mon enseignement ?
- On peut dire ça comme ça, mais Hassan t’en dira plus sur ses intentions vis-à-vis d’eux !! Attends-toi tout de même à ce qu’il te demande de leur en remettre une couche.
- (Joseph hoche la tête) Je vois !!
- Bah !! Nous étions pareils quand nous étions plus jeunes, sauf que les responsabilités n’ont pas laissé le temps à Hassan aux plaisanteries qui amusent nos tourtereaux. Mais il t’en dira certainement plus lui-même, raconte-moi plutôt ce séjour avec Florian et Thomas.
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« À l’étage du palais, dans une pièce transformée en salle de sport pour le jeune Prince »
Amid admire son corps dans la grande glace installée à cet effet derrière la barre de gymnastique, il a déjà perdu une grande partie de sa masse graisseuse et les séances lui sont maintenant de moins en moins pénibles au fur et à mesure que son corps prend du muscle et de l’endurance.
Il n’en est pas encore à avoir les plaques de chocolat qu’a Christophe, mais semaine après semaine ses muscles apparaissent là où il n’y a pas si longtemps encore ils étaient recouverts d’une bonne couche de graisse.
Christophe en véritable coach ne le laisse pas tranquille tant qu’il n’a pas réalisé tous les exercices qu’il lui demande de faire et ce n’est pas sans protestation tonitruante de sa part, juste pour le plaisir de se faire pardonner ensuite sous la couette.
Ce sont justement ses esclandres qui ont amené la décision qu’a prise son père de les éloigner un temps du palais, le personnel étant de moins en moins dupe du rapport plus que professionnel qui existe entre les deux garçons et c’est la crainte qu’un jour leur relation éclate au grand jour avec toutes les conséquences qui s’ensuivraient, qui a fait prendre cette décision à Hassan pour le bien des deux amoureux.
L’idée de les envoyer avec Joseph en Afrique lui est venue suite à une conversation où les deux jeunes se sont plaints de ne plus voir leurs amis Français et ils se sont jetés sur lui de plaisir quand il en a abordé avec eux la possibilité d’aller aider à la mise en place du centre de soins en précisant que c’était là que Florian et sa bande comptaient y passer le plus clair de leurs temps.
Pour Christophe l’idée étant qu’il reprenne son ancien emploi afin d’avoir une vie à lui qui permettra au garçon de n’être plus collé vingt-quatre heures sur vingt-quatre à son prince et à Amid de développer ses futures fonctions en étant l’ambassadeur de l’émirat auprès des autorités locales.
Bien sûr il reste à Hassan de convaincre Joseph à bien vouloir les chaperonner, mais il ne se fait pas trop de soucis à ce sujet étant donné l’amitié que porte Joseph pour son fils et qui il n’en doute pas un instant se reportera sur Christophe qui a bien su se faire accepter de lui, grâce à une gentillesse jamais prise en défaut.
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« Bureau d’Hassan »
Joseph termine tout juste de raconter ses péripéties Japonaises, quand l’émir entre à son tour dans la pièce et après un signe de la main pour qu’ils restent assis, vient les rejoindre en s’asseyant dans son fauteuil favori.
- J’ai lu ton rapport et j’ai aussi suivi les informations, notre jeune ami est maintenant reconnu internationalement et j’en suis à la fois heureux et inquiet !!
- Inquiet votre altesse ?
- Je ne devrais pas l’être ?
- Pas plus qu’avant votre altesse !! Florian est loin d’être aussi vulnérable qu’il veut bien le laisser paraître, il a quelques ennemis ou plutôt pour être exact, quelques envieux qui aimeraient se l’octroyer pour eux seuls, c’est vrai !! Mais que sont-ils par rapport à tous ses amis ? Il a laissé une forte impression sur tous les chefs d’États qui ont été présents pendant le congrès et je peux vous assurer qu’il ne serait bon pour personne d’être aujourd’hui accusé de vouloir lui nuire.
2eme ANNÉE Pâques : (18/127) (Arabie Saoudite) (Hassan)
- (Hassan) Heureux de l’apprendre, quoique je m’en doutais déjà bien avant qu’il parte là-bas.
- (Joseph) Vous êtes donc rassuré sur ce point excellence, quand devrais-je partir pour ma prochaine mission ?
- (Hassan) Prends quelques vacances, tu dois avoir envie de retrouver ta famille et de passer un peu de temps avec eux.
- (Joseph) Et pour le petit prince ? Ça pourra attendre ?
Hassan jette un bref coup d’œil à Omar qui joue parfaitement les innocents, ce qui bien sûr l’amuse et c’est en souriant qu’il reprend la parole.
- Je vois que quelques langues bien pendues t’ont déjà mis au courant ?
- (Joseph) Omar n’est pas entré dans les détails, juste qu’il m’a déclaré que je n’irai certainement pas seul en Afrique et j’en ai déduit le reste, ne voyant pas qui d’autre que le petit prince et son ami cela aurait pu être.
- (Hassan) Tu m’étonneras chaque jour davantage Joseph, ton esprit est particulièrement affûté.
- (Joseph) Si votre altesse voulait bien m’en dire plus sur ses intentions ?
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Pendant qu’Hassan expose ses projets pour son fils ainsi que pour Christophe, ce dernier retrouve son chéri dans la salle de sport où Amid termine ses derniers exercices.
Christophe admire un instant le jeune prince à la peau hâlée couverte de sueur et qui lui amène l’envie irrésistible de le prendre dans ses bras, il capte le regard d’Amid qui vient de s’apercevoir de son arrivée et reconnaît la même lueur dans ses yeux, brillants du plaisir de sa présence.
Sans détourner son regard du sien, Christophe referme la porte derrière lui en y mettant deux tours de clé. Ce simple geste crée une révolution immédiate dans le short du jeune prince qui se déforme sur le devant de la plus appétissante des façons.
Amid sait très bien ce que ces deux tours de clé annoncent sur les intentions de son ami, lui aussi surveille de près la remontée du bas-ventre de Christophe et lui sourit en poussant un faux soupir exaspéré.
- Pffttt !! Tu n’en as donc jamais assez ?
- De quoi donc parle son altesse ? J’étais juste venu pour préparer la table de massage car je pense que son altesse en aura bien besoin après ses longues heures d’exercices et dès qu’elle aura terminé de prendre sa douche.
- Humm !! Pourquoi tu bandes alors ?
- C’est la vue de son altesse qui me fait cet effet et je crois bien que c’est réciproque, le short de son altesse ne laisse aucun doute là-dessus.
Amid baisse les yeux pour faire le constat que son ami a vu juste, mais en est-il vraiment étonné puisque la raideur qui le tient depuis sa venue lui remontait déjà des pulsions de plaisir.
Il tire à deux mains vers le bas pour le descendre jusqu’aux chevilles et se retrouver nu sous le regard rond d’envie du beau Christophe, le corps maintenant dessiné d’Amid n’ayant de cesse de l’exciter chaque jour davantage.
- Tu m’attends ? Je n’en ai pas pour longtemps !!
Amid n’attend pas de réponse que déjà il se précipite vers la salle de douche attenante d’où Christophe entend bientôt l’eau couler, il décide alors de faire comme il l’a dit et prépare la table de massage avec une idée en tête facile à comprendre.
La douche est étrangement écourtée, Amid étant bien trop pressé du contact des mains de son ami sur son corps pour s’y attarder, il est encore tout mouillé quand il entoure ses hanches d’un drap de bain et qu’il revient en hâte dans la salle pour s’arrêter un moment à la vue du corps quasiment nu de son copain, qui n’a gardé sur lui qu’un de ses petits slips blancs et moulants qui lui vont à ravir en aiguisant encore plus l’envie du jeune prince de se jeter dans ses bras.
Il refrène ses pulsions, comprenant que c’est encore un jeu entre eux qui se prépare et qu’ils vont encore pousser loin l’excitation avant de faire l’amour, c’est donc en rongeant son frein qu’Amid va s’allonger sur la table le corps frémissant à l’avance de ce qui l’attend.
Christophe sourit en le voyant s’allonger sur le ventre, les cuisses semi-écartées et les fesses saillantes dans une position qui lui ôte toute volonté de jeu, mais lui amène l’envie de le prendre sans plus tarder.
La bouteille d’huile de massage qu’il tient en mains, lui donne une idée qui le fait sourire de joindre l’utile à l’agréable et profitant qu’Amid lui tourne le dos, il enlève rapidement son slip et s’approche de lui tout en enduisant son sexe copieusement d’huile parfumée, il monte lestement sur la table pour s’asseoir sur les cuisses du jeune prince qui frémit à son contact mais ne bouge pas d’un poil.
Il verse quelques gouttes sur les épaules d’Amid, commence à le masser tranquillement en pointant son sexe vers sa cible et c’est en lui malaxant beaucoup plus fermement les muscles dorsaux qu’il le pénètre d’un coup alors qu’il ne s’y attendait pas.
Le râle de plaisir et de jouissance d’Amid, ainsi que les tremblements de son corps font comprendre à Christophe à quel point son geste l’a surpris au point de le faire jouir et il ne lui faut guère plus de temps, à peine quelques allers retours nerveux pour que lui aussi sente l’orgasme lui prendre les reins et le fruit de sa jouissance emplir la gaine souple qu’il vient pourtant tout juste d’investir.
Il se laisse aller en s’allongeant de tout son long sur le corps encore palpitant à la respiration haletante, ils restent ainsi un long moment à reprendre leurs esprits avant que le bassin de Christophe reprenne un rythme d’abord souple et langoureux, puis de plus en plus viril qui les mènera une nouvelle fois vers un plaisir toujours plus intense.
2eme ANNÉE Pâques : (19/127) (Reims) (Samedi soir) (suite)
« Retour chez les Viala, fin de soirée »
Les petits coups d’œil aguicheurs que se jette chaque couple après cette longue soirée en famille et entre amis, déclenchent rapidement les envies de s’isoler dans les chambres et personne n’est dupe des bâillements qui viennent d’ici et là, de plus en plus fréquents.
- (Annie) Il va falloir qu’ils y en aient qui se dévouent pour le canapé.
- (Guillaume) Je peux laisser ma chambre aux trois garçons, c’est la seule où il y a deux lits et si ça ne dérange pas Léa, il n’y a pas de problèmes pour moi.
- (Léa) Ça me va !!
- (Annie) C’est très bien alors !! Je vous amène des draps et une couverture, vous autres prenez vos précautions pour ne pas avoir à venir les embêter dans la nuit !! Alors si quelqu’un a besoin d’eau ou de quoi que ce soit d’autre, servez-vous dans la cuisine avant d’aller dans vos chambres.
- (Damien joueur) Pfftt !! Dommage !! Je ne pourrai pas voir ses gros nibards alors ?
- (Guillaume) Qu’est-ce que tu en ferais de toute façon !!
- (Frédéric) Ne commencez pas vous deux, ce n’est plus l’heure !!
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« Dix minutes plus tard, dans la chambre de Florian »
Thomas et Antonin sont seuls dans la chambre, Florian étant aux toilettes pour soulager une envie pressante et les deux garçons se dévisagent un peu gênés de ne se retrouver que tous les deux.
- (Thomas) Qu’est-ce que tu attends « Tonin » ?
- De savoir quel lit vous prenez !!
- (Thomas) N’importe lequel, de toute façon ce sont les deux mêmes ! Je peux te poser une question indiscrète pendant que Florian n’est pas là ?
- Bien sûr !! À quel sujet ?
- (Thomas) C’est à propos de nous !! Enfin quand je dis nous, je pense à toi et à nous deux avec Florian, je me demande si tu vas te décider un jour, à moins que tu n’en aies pas envie ?
Thomas voit bien que son ami se bloque aussitôt, la rougeur caractéristique de ses joues le fait malgré tout sourire et il se doute bien que la première barrière à vaincre sera celle de la timidité maladive du petit blond quant à dévoiler ses sentiments et Thomas comprend bien pourquoi après tout ce qu’Antonin a vécu.
- (Thomas) Je ne veux pas te mettre la pression tu sais ? Mais je connais Florian et je sais bien qu’il attendra que la décision vienne de toi. Maintenant je n’en reviens pas moi-même de discuter de ça avec toi comme je le fais Hi ! Hi ! Crois-moi sur parole, ce n’est vraiment pas dans mes habitudes et j’en suis le premier étonné, c’est sûrement de vous voir vous tourner autour qui m’a décidé à t’en parler.
- Et toi dans tout ça ?
Thomas fixe Antonin dans les yeux en lui envoyant son plus beau sourire, ce qui ne manque pas d’attiser encore plus les rougeurs sur le visage du petit blond.
- J’éprouve les mêmes sentiments envers toi que Florian si c’est là ta question, je sais bien que notre façon de voir ses choses là n’est pas et c’est peu dire dans les mœurs habituelles, d’autant plus que tu n’avais jamais envisagé pouvoir un jour tomber amoureux d’un garçon si je ne me trompe pas ? Alors j’imagine bien ce que ça peut te faire te poser comme questions !! Un c’est déjà pas évident alors deux Hi ! Hi !
N’obtenant pas de réponses, Thomas pose la dernière question qui lui tient à cœur et son visage change du tout au tout de crainte que sa réponse le rejette une bonne fois pour toutes alors que lui craque réellement et ce depuis la première minute où il l’a vu, pour ce petit gars si sensible.
- Je parle mais je m’avance peut-être un peu trop vite à mon sujet !! Tu n’aimes peut-être que « Flo » ?
2eme ANNÉE Pâques : (20/127) (Reims) (Samedi soir) (suite)
Antonin voit bien le changement d’expression de Thomas et il ne contrôle pas son geste quand sa main part lui prendre la sienne pour la serrer très fort.
- Ne redis jamais une chose pareille « Thom », je… Heu !! Je… Arhh !! Pourquoi est-ce si difficile à dire !!
- (Thomas) Sans doute parce que tu as peur que ça finisse comme à chaque fois pour toi ?
- Tous les gens que j’ai aimés ne sont plus là aujourd’hui, comprends moi aussi !!
- Ta vie a changé Antonin, tu t’en rends compte j’espère ?
- Bien sûr qu’est-ce que tu crois ? Je serais aveugle si je te disais que non !!
- Alors ose dire les choses que tu penses !! Nous sommes tous tes amis et quelle que soit ta décision nous le resterons, c’est juste que nous saurons au moins à quoi nous en tenir au lieu de peut-être nous faire juste des films.
Antonin commence à apprécier la conversation et sent bien qu’il est moins oppressé que quelques minutes plus tôt.
- Quel genre de films ?
- Du genre interdit aux moins de dix-huit ans si tu veux tout savoir Hi ! Hi !
- Je présume que les acteurs sont tous de beaux mecs ?
- Hum !! On peut dire ça, oui !! Surtout un petit rouquin et un petit blond !!
- Pour le petit rouquin, je vois bien de qui on parle mais je voyais plutôt un grand blond sur ce coup-là moi !!
- Je m’aperçois que nous regardons les mêmes programmes, mais pas forcément les mêmes acteurs Hi ! Hi ! Alors comme ça toi aussi tu fantasmes sur nous ?
Thomas le voit aussitôt sa phrase prononcée détourner les yeux et se remettre à piquer son bol.
- Décidément !! Tu es indécrottable ma parole !!
La porte s’ouvre.
- Qui est indécrottable ? Pas moi en tous les cas, parce que je ne vous conseille pas d’aller tout de suite aux toilettes Hi ! Hi !
Bien sûr je fais l’innocent alors que j’ai tout suivi de leur conversation, je prends un slip propre dans la commode et je l’enfile non sans avoir au préalable manqué d’ôter la serviette de bain que j’avais autour des reins suite à la douche rapide que j’ai prise après être sorti des toilettes.
Je me retourne vers mes amis et si le visage de mon Thomas est visiblement amusé, celui d’Antonin est particulièrement expressif et ses yeux ronds fixés sur mon corps déclenchent en moi une réaction qui me presse à me glisser rapidement sous la couette pour ne pas l’effaroucher plus qu’il n’y est déjà.
- Eh bien quoi !! Vous ne vous couchez pas ?
- (Thomas) Il faut que je prenne aussi une douche vite fait.
- (Antonin) J’irai après toi, en attendant je file aux toilettes et tant pis si je meurs asphyxié, mais je ne tiens plus Hi ! Hi !
Je me retrouve donc seul quelques instants, pris entre l’envie d’un gros câlin à trois et la retenue que j’ai toujours eu envers Antonin pour ne pas le brusquer, je ne voudrais surtout pas qu’il pense que faire l’amour avec nous est une contrepartie à tout ce que nous avons fait pour lui.
C’est Thomas qui rentre le premier et comme moi juste avant, il fouille dans son sac pour prendre un sous-vêtement propre tout en se débarrassant de sa serviette humide et va pour me rejoindre quand je lui fais signe de prendre l’autre lit et d’éteindre la lumière.
« Conversation mentale »
- (Thomas) A quoi tu joues là ?
- C’est juste pour voir sa réaction Hi ! Hi !
- (Thomas) Pas sûr que l’idée soit bonne.
- Bah !! Je n’en sais trop rien en fait !! Tu as sans doute raison !!
- (Thomas) Il est assez perturbé comme ça sans qu’il faille en rajouter, tu l’as dit toi-même assez souvent que le choix devait venir de lui et je ne pense pas que la plaisanterie sera à son goût.
- Il me rend dingue tu comprends ? Et puis merde !! T’as raison !! Éteints et viens me rejoindre.
Thomas vient s’allonger contre moi et me prend dans ses bras.
- Dis-moi ce qui ne va pas, je ne t’ai jamais vu comme ça avant !!
- Si seulement je le savais moi-même.
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