05-09-2020, 11:14 AM
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (86/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
Antoine admire le corps musclé aux abdos dessinés de son copain, le pubis d’un roux flamboyant au-dessus duquel se dresse un sexe magnifique d’une blancheur d’albâtre au gland décalotté et déjà humide de désir, rendant encore plus appétissant le gland rose aux proportions qui il le sent, saura lui amener les plaisirs les plus extrêmes.
À son tour, le grand brun amène ses lèvres sur le gland envoûtant qu’elles suçotent un moment avant de le faire disparaître dans sa bouche avec avidité, l’odeur et le goût se mélangent alors pour le plus grand plaisir d’Antoine qui se régale de sentir ce morceau de chair palpiter sur sa langue.
Il entame alors les mouvements de va-et-vient en caressant la hampe d’une main fébrile tandis que l’autre va se perdre sous les bourses de Jonas afin d’explorer cette zone intime qu’il découvre avec un vif plaisir.
Jonas frémit en sentant les doigts fureteurs s’insinuer dans sa raie imberbe, venant frotter sa corolle humide et qui a sa plus grande surprise, lui envoie des ondes de plaisirs intenses.
- Arrhh !!
Antoine sourit.
- Hum !! Ça te fait de l’effet on dirait ?
- Oh oui !! Continue !! C’est trop top !! Arrhh !!
L’index frotte plus fort pendant que la bouche d’Antoine s’active sur le sexe en ébullition qu’il sent à son tour près d’exploser, les petits coups de reins nerveux de Jonas étant un bon indicateur pour qu’il comprenne qu’il va lui falloir se calmer s’il ne veut pas que ça aille trop vite comme pour lui quelques minutes plus tôt.
Sa langue prend alors la relève et lèche la hampe sur toute sa longueur, s’attardant aux deux extrémités et s’occupe aussi bien du gland maintenant cramoisi en tournant autour, qu’en s’insérant dans la raie pour passer sur le petit trou palpitant que son doigt inquisiteur libère le temps d’un passage pour reprendre ensuite son exploration avec encore plus d’envie.
Jonas a la tête qui dodeline de droite à gauche en poussant des petits râles de plaisirs, jamais il n’a connu de telles sensations qui le font frissonner de pur bonheur et ses sens exacerbés lui envoient des ondes qui le pâment sous les attouchements de son ami.
Antoine calme le jeu car il connaît bien l’état de pâmoison qui vient de prendre Jonas pour l’avoir connu lui aussi sous d’autres mains toutes aussi tendres à l’époque et ses caresses prennent une autre tournure, s’attardant maintenant sur des zones moins sensibles afin de laisser à son copain le temps de retrouver suffisamment ses esprits pour repartir de plus belle ensuite.
Jonas profite de ce moment d’accalmie pour reprendre ses attouchements sur le corps de son ami, ses mains palpent avidement le torse et l’abdomen musclé, pendant que sa langue lape avec douceur le sac de bourses pendantes juste au-dessus d’elle.
Il attrape ensuite à pleine main le sexe d’Antoine et le masturbe avec vigueur quelques secondes, sentant se tendre son ami qui s’accroupit un peu plus pour que ses lèvres puissent s’insinuer dans la fourche de son entrejambe et lui faire comprendre que lui aussi aimerait bien une petite visite à sa corolle en manque de sensations.
Jonas ne demande que ça, quand il comprend l’envie d’Antoine de se faire dévorer la rondelle, son sexe se tend comme un arc et suinte à grosses gouttes, sa bouche se colle alors sur l’anus plissé que ses deux mains dégagent en écartant fortement les fesses d’Antoine.
Sa langue tente d’entrer à l’intérieur et finit par y parvenir à force d’insister, ce qui amène un soupir de plaisir d’Antoine qui du coup pour encore mieux le sentir, s’assoit sur le visage de Jonas en tenant lui-même ses fesses bien écartées pour qu’il puisse s’occuper de lui sans se fatiguer plus que nécessaire.
L’envie de se faire pénétrer cambre les reins d’Antoine, ses yeux fixent obnubilés le sexe tendu et si tentateur, un jet de salive dans le creux de sa main et Antoine en couvre le gland de Jonas avant de se déplacer en lui faisant face.
Le jeune rouquin comprend ce que son ami a l’intention de faire et sourit de pur plaisir, il va enfin connaître ce que ses rêves lui ont si longtemps fait vivre par anticipation et ses yeux brillent de désirs quand la main du beau brun guide son sexe vers la gaine souple qui résiste d’abord quelques secondes, puis l’engloutit jusqu’à venir s’asseoir sur son pubis le gland dégoulinant de sperme sous l’effet des énormes frissons de bien-être qu’il ressent d’être empli par cette queue si douce.
Antoine pose ses mains sur les plaques d’abdos de Jonas, les yeux toujours fixés dans les siens et après les quelques secondes nécessaires pour qu’il s’habitue au calibre qui l’écartèle de si belle façon, son bassin commence de longs mouvements d’abord lents puis prenant de la vitesse pour enfin se libérer entièrement et profiter des fortes remontées de chaleur qui lui parcourent les intestins.
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (87/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (fin)
Un long frisson traverse le corps d’Antoine pendant que l’excroissance du gland de Jonas lui masse la prostate, sa gorge délivre depuis un moment déjà de longs râles prouvant s’il le faut l’effet et le plaisir qu’il ressent.
Jonas qui jusque-là se laissait guider, s’active à son tour et donne des coups de reins de plus en plus appuyés, son sexe pris dans un maelstrom de sensations toutes plus intenses les unes que les autres.
Sa main droite palpe avec envie les abdos en sueur d’Antoine tandis que l’autre s’active sur son sexe en caresses appuyées jusqu’à finir par le masturber virilement quand il sent qu’il ne va plus pouvoir tenir encore bien longtemps sous les massages de son sexe que les muscles internes d’Antoine serrent de plus en plus fortement en lui amenant l’orgasme qu’il sent monter en lui de façon irrépressible.
Jonas se retient malgré l’envie de jouir qui monte crescendo dans ses reins, le sexe d’Antoine se durcit encore plus et sa respiration devient haletante, prémices d’une jouissance qui arrive au galop.
Le grand rouquin se laisse alors aller à son tour et son corps s’arc-boute quand l’orgasme le prend, libérant son plaisir en jets puissants qui tapissent les muqueuses de son ami.
L’orgasme d’Antoine arrive en simultané et des deux côtés à la fois, déjà sa prostate brûlante qui lui envoie des sensations puissantes d’un plaisir extrême et ensuite le long frisson libérateur de son sexe qui pulse et envoie son jus sur la poitrine blanche de son ami, les yeux révulsés lui aussi par l’immense plaisir qu’il ressent en même temps que lui.
Les deux garçons restent un long moment tremblants de tout leur corps, jusqu’à ce qu’Antoine toujours investi du sexe encore bien raide de Jonas se laisse retomber sur son ami et sa tête venant se poser dans le cou de Jonas tandis que lentement leurs poitrines reprennent leur rythme de respirations normales.
Le temps semble s’arrêter pour les deux garçons enlacés, l’amour passion qu’ils éprouvent l’un pour l’autre leur amène les larmes aux yeux et ce n’est qu’après plusieurs longues minutes passées ainsi, qu’ils s’écartent légèrement pour reprendre leurs yeux en otage.
Antoine se soulève lentement pour laisser ressortir sans douleur le sexe toujours fier et victorieux de Jonas, il s’allonge ensuite près de lui le visage comme celui de son ami couvert de sueur.
- (Jonas) Merci !!
- Pourquoi donc ?
- Pour tout !! C’était sublime !! Je me rappellerai toute ma vie de ma première fois tu sais ?
- Et moi donc !! En plus d’être celui que j’aime de tout mon cœur, tu es un super amant !!
- Pfffttt !! C’est toi qui as tout fait !!
- Non je t’assure !!
Antoine prend doucement le sexe tendu de Jonas et le caresse en souriant.
- La preuve, tu bandes encore !!
- C’est parce que tu m’excites grave !! Dis « Toinou » ? J’ai encore envie ? C’est normal tu crois ?
- Bien sûr que c’est normal, moi aussi tu sais ? Je ne me lasserai jamais de toi, tu es trop mignon !!
Jonas sourit avec malice.
- On verra si tu tiens toujours les mêmes paroles dans vingt ans Hi ! Hi !
- Je suis sûr que oui !!
Un petit moment de calme, puis Jonas se met sur les coudes en regardant son copain l’air curieux.
- Tu crois que j’aimerais si tu me faisais la même chose ?
Antoine se rappelle quand son doigt est entré d’une phalange dans la corolle béante de son petit ami et du râle de plaisir qu’il a poussé à ce moment-là.
- Si tu veux mon avis, je pense que oui !
- Ahh !!!
- Tu en doutes ?
- Si nous avions parlé de ça quand je suis arrivé dans ta chambre, je t’aurais certifié que non !!
- Alors que maintenant ?
- Je ne sais plus quoi penser !! J’ai beaucoup aimé quand tu as mis ton doigt et j’avoue que ça me tente beaucoup maintenant.
- On n’est pas obligé tu sais ? Prends le temps d’y réfléchir, après tout il n’y a pas le feu !
- Si justement !!
- Hein ??
Jonas sourit, il lève les jambes en les pliant sur ses abdos découvrant ainsi sa corolle toute rose à la vue d’Antoine qui s’en trouve la gorge sèche d’envie.
- Remets-y ton doigt et tu verras que j’ai le feu Hi ! Hi !
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (88/150) (Kyoto) (Neuvième jour)
« Fin d’après-midi »
La porte principale de l’hôpital s’ouvre et un jeune rouquin visiblement heureux de vivre en sort en sifflotant, suivit de près par plusieurs hommes qui font semblant de ne pas se connaître alors qu’ils appartiennent tous à une organisation pour qui la protection de Florian est primordiale.
Victor regarde Joseph l’air goguenard.
- Il faut revenir à l’hosto avant que « Flo » n’en sorte, tu disais !! Il ne faudrait pas qu’il soit dehors sans protection !!
- (Joseph amusé) C’est sûr que vu ce que je vois, il n’y avait pas vraiment à craindre !!
- (Victor) Bon ! Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
- On va voir s’il veut qu’on l’emmène quelque part, au moins on aura l’impression d’être utiles !!
- OK !! Démarre !!
Il ne leur faut que quelques secondes pour se retrouver à côté de Florian, Victor ouvre la vitre.
- Tu veux qu’on t’emmène quelque part ?
Le jeune rouquin leur passe sous le nez sans sembler faire attention à eux, Victor regarde Joseph avec étonnement.
- Il nous snobe ou quoi ?
- J’ai plutôt l’impression qu’il est encore perdu dans ses pensées !! Ça lui arrive parfois et ce n’est pas sans inquiéter fortement ses proches.
Victor se rapproche une nouvelle fois de Florian, il le double et cette fois-ci, stoppe la voiture et en descend pour se retrouver sur le chemin de son ami qui lui rentre dedans en poussant un cri de surprise.
- Hé !!
- Tu es dans la lune mon garçon, ouvre les yeux !!
- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Mon travail je te signale !! Au cas où tu ne t’en souviendrais pas !!
- Ah !! Oui !! Bien sûr !! Excuse-moi, je pensais à autre chose et je ne t’ai pas vu !
- Je m’en suis rendu compte figure toi ! Tu veux qu’on t’emmène quelque part ?
- Vous savez où est Thomas ?
- Bien sûr puisqu’on le quitte à l’instant !!
Florian monte dans la voiture et claque la portière derrière lui, son visage redevient subitement lunaire quand il sort son éternel calepin de sa poche et commence à gribouiller dessus à une vitesse folle, remplissant les feuillets un à un sans s’interrompre un instant pour réfléchir.
Victor et Joseph se regardent avec étonnement, conscients qu’encore une fois, le garçon s’est renfermé en lui-même pour résoudre un problème quelconque pour lui mais d’une importance fondamentale pour beaucoup.
Ils préfèrent le laisser tranquille, Victor démarre et commence à s’insérer dans la circulation dense de cette fin de journée, il leur faut une petite demi-heure pour rejoindre la zone d’activité industrielle où Thomas seul cette fois encore, prospectait aujourd’hui
Victor reconnaît immédiatement le véhicule des deux collègues qu’ils ont laissé en faction à surveiller le grand blond et s’en approche pour se garer quasiment portière contre portière contre eux.
- (Victor) Ça va les gars ? Rien de nouveau ?
- Pas depuis que vous êtes partis tout à l’heure, Thomas termine son dernier rendez-vous et il ne devrait plus tarder à sortir, d’ailleurs regardez !! Elle l’attend déjà devant l’entrée du bâtiment !!
Le gars montre du doigt une porte à une dizaine de mètres d’eux à peine, sur le coup Victor ne voit rien de spécial et commence à se poser des questions sur l’état de santé de l’agent, quand il l’aperçoit enfin bourdonnant devant l’entrée à hauteur d’homme.
- Tu parles de cette abeille, là-bas ?
Joseph sourit en posant une main sur l’épaule de Victor.
- C’est bien d’elle qu’il s’agit, elle est avec Thomas depuis plusieurs jours déjà et ne le quitte pas d’une semelle dès qu’il est dehors.
- Mais qu’est-ce que c’est ?
Une voix amusée derrière leurs dos.
- C’est « Maya Ninja », sa garde du corps Hi ! Hi !
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (89/150) (Kyoto) (Neuvième jour)
Joseph s’amuse de plus en plus à la tête visiblement ahuri de son ami.
- Je serais toi, je ne prendrais pas les paroles de « Flo » à la légère.
- Mais enfin tu te rends compte de ce que tu dis !!
- Bien sûr et je comprends fort bien que tu n’arrives pas à y croire, pourtant ce que vient de dire Florian semble être l’exacte vérité.
***/***
Florian ouvre la vitre arrière et tend la main à l’extérieur, aussitôt comme guidée par un sixième sens l’abeille arrive et se pose sur le doigt du jeune rouquin qui sourit en continuant à lui donner ses instructions de façon inaudible pour l’oreille humaine.
L’abeille repart soudainement, mais au lieu de retourner devant la porte et continuer d’attendre le retour de Thomas, elle échappe à leurs vues en s’éloignant vers la campagne jamais loin dans ce pays où chaque parcelle de terrain arable sert à nourrir la population nombreuse des grandes villes.
Victor se tourne vers Florian avec toujours la même incompréhension dans les yeux.
- Et maintenant ?
Je lui réponds de façon suffisamment forte pour que les autres entendent également.
- Tu vas voir ce qu’il arriverait à quelqu’un qui voudrait s’en prendre à Thomas !! Surtout pas de panique les gars, il ne vous arrivera rien !! Faites-moi confiance !
Je n’ai pas terminé ma phrase que déjà un vrombissement se fait entendre et que l’essaim apparaît à la vue des quatre hommes, s’approchant avec une rapidité fulgurante pour bientôt stopper et rester en formation au-dessus des deux véhicules.
J’ouvre la portière arrière pour descendre de voiture, Victor se retourne inquiet vers moi.
- Hé !! Qu’est-ce que tu fais ??
- J’adore les chatouilles Hi ! Hi ! Tu veux essayer ?
Victor ne répond pas, trop médusé par le spectacle se déroulant sous ses yeux et observe les yeux ronds d’ahurissements les abeilles me recouvrir entièrement le corps, n’entendant plus que mon rire déclenché par les chatouilles que leurs contacts me procurent.
Maintenant, je ne veux pas non plus abuser de leurs temps, connaissant pertinemment le travail pharaonique qu’elles ont chaque jour pour trouver le pollen nécessaire à nourrir la ruche et je les libère pour qu’elles repartent butiner, ma démonstration étant bien suffisante pour que Victor et ses hommes comprennent que mes paroles de tout à l’heure n’étaient pas des phrases en l’air.
Seule l’une d’entre elles reste pour continuer la mission de protection auprès de mon « Thom Thom » qui d’ailleurs ne tarde pas à sortir et s’aperçoit étonné mais visiblement content de ma présence.
Il marche alors d’un bon pas pour franchir les quelques mètres qui nous séparent et me prendre par la taille après m’avoir donné un baiser appuyé sur les lèvres.
- C’est gentil d’être venu me retrouver !
- Ta journée s’est bien passée ?
- Nickel !! Je pense avoir fait quelques bonnes affaires encore cette fois-ci !
- Tu m’en diras tant Hi ! Hi ! C’est ton patron qui va être content !!
Thomas me lance un de ses sourires qui ne me laisse jamais de marbre et manque une fois de plus de faire exploser ma libido déjà bien mise à l’épreuve rien que par sa présence à mes côtés.
- (Thomas moqueur) Tu crois qu’il me donnera une prime ?
- (Clin d’œil) Je veux oui !! Et en nature en plus !!
- Hum !! Ça me va !! Maintenant je n’aurai certainement pas la patience d’attendre la fin du mois Hi ! Hi !
- Ahrr !! Ces employés, je vous jure !! Bon d’accord !! Je veux bien exceptionnellement te faire une avance sur salaire !
Je me tourne vers Victor qui ne semble pas avoir tout compris alors que Joseph se mord les lèvres pour ne pas exploser de rire et le plus sérieusement du monde, je lui demande.
- Tu peux nous ramener à l’hôtel ? Que je donne à mon collaborateur ce que je lui ai promis avant qu’il ne devienne trop exigeant !
Antoine admire le corps musclé aux abdos dessinés de son copain, le pubis d’un roux flamboyant au-dessus duquel se dresse un sexe magnifique d’une blancheur d’albâtre au gland décalotté et déjà humide de désir, rendant encore plus appétissant le gland rose aux proportions qui il le sent, saura lui amener les plaisirs les plus extrêmes.
À son tour, le grand brun amène ses lèvres sur le gland envoûtant qu’elles suçotent un moment avant de le faire disparaître dans sa bouche avec avidité, l’odeur et le goût se mélangent alors pour le plus grand plaisir d’Antoine qui se régale de sentir ce morceau de chair palpiter sur sa langue.
Il entame alors les mouvements de va-et-vient en caressant la hampe d’une main fébrile tandis que l’autre va se perdre sous les bourses de Jonas afin d’explorer cette zone intime qu’il découvre avec un vif plaisir.
Jonas frémit en sentant les doigts fureteurs s’insinuer dans sa raie imberbe, venant frotter sa corolle humide et qui a sa plus grande surprise, lui envoie des ondes de plaisirs intenses.
- Arrhh !!
Antoine sourit.
- Hum !! Ça te fait de l’effet on dirait ?
- Oh oui !! Continue !! C’est trop top !! Arrhh !!
L’index frotte plus fort pendant que la bouche d’Antoine s’active sur le sexe en ébullition qu’il sent à son tour près d’exploser, les petits coups de reins nerveux de Jonas étant un bon indicateur pour qu’il comprenne qu’il va lui falloir se calmer s’il ne veut pas que ça aille trop vite comme pour lui quelques minutes plus tôt.
Sa langue prend alors la relève et lèche la hampe sur toute sa longueur, s’attardant aux deux extrémités et s’occupe aussi bien du gland maintenant cramoisi en tournant autour, qu’en s’insérant dans la raie pour passer sur le petit trou palpitant que son doigt inquisiteur libère le temps d’un passage pour reprendre ensuite son exploration avec encore plus d’envie.
Jonas a la tête qui dodeline de droite à gauche en poussant des petits râles de plaisirs, jamais il n’a connu de telles sensations qui le font frissonner de pur bonheur et ses sens exacerbés lui envoient des ondes qui le pâment sous les attouchements de son ami.
Antoine calme le jeu car il connaît bien l’état de pâmoison qui vient de prendre Jonas pour l’avoir connu lui aussi sous d’autres mains toutes aussi tendres à l’époque et ses caresses prennent une autre tournure, s’attardant maintenant sur des zones moins sensibles afin de laisser à son copain le temps de retrouver suffisamment ses esprits pour repartir de plus belle ensuite.
Jonas profite de ce moment d’accalmie pour reprendre ses attouchements sur le corps de son ami, ses mains palpent avidement le torse et l’abdomen musclé, pendant que sa langue lape avec douceur le sac de bourses pendantes juste au-dessus d’elle.
Il attrape ensuite à pleine main le sexe d’Antoine et le masturbe avec vigueur quelques secondes, sentant se tendre son ami qui s’accroupit un peu plus pour que ses lèvres puissent s’insinuer dans la fourche de son entrejambe et lui faire comprendre que lui aussi aimerait bien une petite visite à sa corolle en manque de sensations.
Jonas ne demande que ça, quand il comprend l’envie d’Antoine de se faire dévorer la rondelle, son sexe se tend comme un arc et suinte à grosses gouttes, sa bouche se colle alors sur l’anus plissé que ses deux mains dégagent en écartant fortement les fesses d’Antoine.
Sa langue tente d’entrer à l’intérieur et finit par y parvenir à force d’insister, ce qui amène un soupir de plaisir d’Antoine qui du coup pour encore mieux le sentir, s’assoit sur le visage de Jonas en tenant lui-même ses fesses bien écartées pour qu’il puisse s’occuper de lui sans se fatiguer plus que nécessaire.
L’envie de se faire pénétrer cambre les reins d’Antoine, ses yeux fixent obnubilés le sexe tendu et si tentateur, un jet de salive dans le creux de sa main et Antoine en couvre le gland de Jonas avant de se déplacer en lui faisant face.
Le jeune rouquin comprend ce que son ami a l’intention de faire et sourit de pur plaisir, il va enfin connaître ce que ses rêves lui ont si longtemps fait vivre par anticipation et ses yeux brillent de désirs quand la main du beau brun guide son sexe vers la gaine souple qui résiste d’abord quelques secondes, puis l’engloutit jusqu’à venir s’asseoir sur son pubis le gland dégoulinant de sperme sous l’effet des énormes frissons de bien-être qu’il ressent d’être empli par cette queue si douce.
Antoine pose ses mains sur les plaques d’abdos de Jonas, les yeux toujours fixés dans les siens et après les quelques secondes nécessaires pour qu’il s’habitue au calibre qui l’écartèle de si belle façon, son bassin commence de longs mouvements d’abord lents puis prenant de la vitesse pour enfin se libérer entièrement et profiter des fortes remontées de chaleur qui lui parcourent les intestins.
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (87/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (fin)
Un long frisson traverse le corps d’Antoine pendant que l’excroissance du gland de Jonas lui masse la prostate, sa gorge délivre depuis un moment déjà de longs râles prouvant s’il le faut l’effet et le plaisir qu’il ressent.
Jonas qui jusque-là se laissait guider, s’active à son tour et donne des coups de reins de plus en plus appuyés, son sexe pris dans un maelstrom de sensations toutes plus intenses les unes que les autres.
Sa main droite palpe avec envie les abdos en sueur d’Antoine tandis que l’autre s’active sur son sexe en caresses appuyées jusqu’à finir par le masturber virilement quand il sent qu’il ne va plus pouvoir tenir encore bien longtemps sous les massages de son sexe que les muscles internes d’Antoine serrent de plus en plus fortement en lui amenant l’orgasme qu’il sent monter en lui de façon irrépressible.
Jonas se retient malgré l’envie de jouir qui monte crescendo dans ses reins, le sexe d’Antoine se durcit encore plus et sa respiration devient haletante, prémices d’une jouissance qui arrive au galop.
Le grand rouquin se laisse alors aller à son tour et son corps s’arc-boute quand l’orgasme le prend, libérant son plaisir en jets puissants qui tapissent les muqueuses de son ami.
L’orgasme d’Antoine arrive en simultané et des deux côtés à la fois, déjà sa prostate brûlante qui lui envoie des sensations puissantes d’un plaisir extrême et ensuite le long frisson libérateur de son sexe qui pulse et envoie son jus sur la poitrine blanche de son ami, les yeux révulsés lui aussi par l’immense plaisir qu’il ressent en même temps que lui.
Les deux garçons restent un long moment tremblants de tout leur corps, jusqu’à ce qu’Antoine toujours investi du sexe encore bien raide de Jonas se laisse retomber sur son ami et sa tête venant se poser dans le cou de Jonas tandis que lentement leurs poitrines reprennent leur rythme de respirations normales.
Le temps semble s’arrêter pour les deux garçons enlacés, l’amour passion qu’ils éprouvent l’un pour l’autre leur amène les larmes aux yeux et ce n’est qu’après plusieurs longues minutes passées ainsi, qu’ils s’écartent légèrement pour reprendre leurs yeux en otage.
Antoine se soulève lentement pour laisser ressortir sans douleur le sexe toujours fier et victorieux de Jonas, il s’allonge ensuite près de lui le visage comme celui de son ami couvert de sueur.
- (Jonas) Merci !!
- Pourquoi donc ?
- Pour tout !! C’était sublime !! Je me rappellerai toute ma vie de ma première fois tu sais ?
- Et moi donc !! En plus d’être celui que j’aime de tout mon cœur, tu es un super amant !!
- Pfffttt !! C’est toi qui as tout fait !!
- Non je t’assure !!
Antoine prend doucement le sexe tendu de Jonas et le caresse en souriant.
- La preuve, tu bandes encore !!
- C’est parce que tu m’excites grave !! Dis « Toinou » ? J’ai encore envie ? C’est normal tu crois ?
- Bien sûr que c’est normal, moi aussi tu sais ? Je ne me lasserai jamais de toi, tu es trop mignon !!
Jonas sourit avec malice.
- On verra si tu tiens toujours les mêmes paroles dans vingt ans Hi ! Hi !
- Je suis sûr que oui !!
Un petit moment de calme, puis Jonas se met sur les coudes en regardant son copain l’air curieux.
- Tu crois que j’aimerais si tu me faisais la même chose ?
Antoine se rappelle quand son doigt est entré d’une phalange dans la corolle béante de son petit ami et du râle de plaisir qu’il a poussé à ce moment-là.
- Si tu veux mon avis, je pense que oui !
- Ahh !!!
- Tu en doutes ?
- Si nous avions parlé de ça quand je suis arrivé dans ta chambre, je t’aurais certifié que non !!
- Alors que maintenant ?
- Je ne sais plus quoi penser !! J’ai beaucoup aimé quand tu as mis ton doigt et j’avoue que ça me tente beaucoup maintenant.
- On n’est pas obligé tu sais ? Prends le temps d’y réfléchir, après tout il n’y a pas le feu !
- Si justement !!
- Hein ??
Jonas sourit, il lève les jambes en les pliant sur ses abdos découvrant ainsi sa corolle toute rose à la vue d’Antoine qui s’en trouve la gorge sèche d’envie.
- Remets-y ton doigt et tu verras que j’ai le feu Hi ! Hi !
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (88/150) (Kyoto) (Neuvième jour)
« Fin d’après-midi »
La porte principale de l’hôpital s’ouvre et un jeune rouquin visiblement heureux de vivre en sort en sifflotant, suivit de près par plusieurs hommes qui font semblant de ne pas se connaître alors qu’ils appartiennent tous à une organisation pour qui la protection de Florian est primordiale.
Victor regarde Joseph l’air goguenard.
- Il faut revenir à l’hosto avant que « Flo » n’en sorte, tu disais !! Il ne faudrait pas qu’il soit dehors sans protection !!
- (Joseph amusé) C’est sûr que vu ce que je vois, il n’y avait pas vraiment à craindre !!
- (Victor) Bon ! Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
- On va voir s’il veut qu’on l’emmène quelque part, au moins on aura l’impression d’être utiles !!
- OK !! Démarre !!
Il ne leur faut que quelques secondes pour se retrouver à côté de Florian, Victor ouvre la vitre.
- Tu veux qu’on t’emmène quelque part ?
Le jeune rouquin leur passe sous le nez sans sembler faire attention à eux, Victor regarde Joseph avec étonnement.
- Il nous snobe ou quoi ?
- J’ai plutôt l’impression qu’il est encore perdu dans ses pensées !! Ça lui arrive parfois et ce n’est pas sans inquiéter fortement ses proches.
Victor se rapproche une nouvelle fois de Florian, il le double et cette fois-ci, stoppe la voiture et en descend pour se retrouver sur le chemin de son ami qui lui rentre dedans en poussant un cri de surprise.
- Hé !!
- Tu es dans la lune mon garçon, ouvre les yeux !!
- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Mon travail je te signale !! Au cas où tu ne t’en souviendrais pas !!
- Ah !! Oui !! Bien sûr !! Excuse-moi, je pensais à autre chose et je ne t’ai pas vu !
- Je m’en suis rendu compte figure toi ! Tu veux qu’on t’emmène quelque part ?
- Vous savez où est Thomas ?
- Bien sûr puisqu’on le quitte à l’instant !!
Florian monte dans la voiture et claque la portière derrière lui, son visage redevient subitement lunaire quand il sort son éternel calepin de sa poche et commence à gribouiller dessus à une vitesse folle, remplissant les feuillets un à un sans s’interrompre un instant pour réfléchir.
Victor et Joseph se regardent avec étonnement, conscients qu’encore une fois, le garçon s’est renfermé en lui-même pour résoudre un problème quelconque pour lui mais d’une importance fondamentale pour beaucoup.
Ils préfèrent le laisser tranquille, Victor démarre et commence à s’insérer dans la circulation dense de cette fin de journée, il leur faut une petite demi-heure pour rejoindre la zone d’activité industrielle où Thomas seul cette fois encore, prospectait aujourd’hui
Victor reconnaît immédiatement le véhicule des deux collègues qu’ils ont laissé en faction à surveiller le grand blond et s’en approche pour se garer quasiment portière contre portière contre eux.
- (Victor) Ça va les gars ? Rien de nouveau ?
- Pas depuis que vous êtes partis tout à l’heure, Thomas termine son dernier rendez-vous et il ne devrait plus tarder à sortir, d’ailleurs regardez !! Elle l’attend déjà devant l’entrée du bâtiment !!
Le gars montre du doigt une porte à une dizaine de mètres d’eux à peine, sur le coup Victor ne voit rien de spécial et commence à se poser des questions sur l’état de santé de l’agent, quand il l’aperçoit enfin bourdonnant devant l’entrée à hauteur d’homme.
- Tu parles de cette abeille, là-bas ?
Joseph sourit en posant une main sur l’épaule de Victor.
- C’est bien d’elle qu’il s’agit, elle est avec Thomas depuis plusieurs jours déjà et ne le quitte pas d’une semelle dès qu’il est dehors.
- Mais qu’est-ce que c’est ?
Une voix amusée derrière leurs dos.
- C’est « Maya Ninja », sa garde du corps Hi ! Hi !
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (89/150) (Kyoto) (Neuvième jour)
Joseph s’amuse de plus en plus à la tête visiblement ahuri de son ami.
- Je serais toi, je ne prendrais pas les paroles de « Flo » à la légère.
- Mais enfin tu te rends compte de ce que tu dis !!
- Bien sûr et je comprends fort bien que tu n’arrives pas à y croire, pourtant ce que vient de dire Florian semble être l’exacte vérité.
***/***
Florian ouvre la vitre arrière et tend la main à l’extérieur, aussitôt comme guidée par un sixième sens l’abeille arrive et se pose sur le doigt du jeune rouquin qui sourit en continuant à lui donner ses instructions de façon inaudible pour l’oreille humaine.
L’abeille repart soudainement, mais au lieu de retourner devant la porte et continuer d’attendre le retour de Thomas, elle échappe à leurs vues en s’éloignant vers la campagne jamais loin dans ce pays où chaque parcelle de terrain arable sert à nourrir la population nombreuse des grandes villes.
Victor se tourne vers Florian avec toujours la même incompréhension dans les yeux.
- Et maintenant ?
Je lui réponds de façon suffisamment forte pour que les autres entendent également.
- Tu vas voir ce qu’il arriverait à quelqu’un qui voudrait s’en prendre à Thomas !! Surtout pas de panique les gars, il ne vous arrivera rien !! Faites-moi confiance !
Je n’ai pas terminé ma phrase que déjà un vrombissement se fait entendre et que l’essaim apparaît à la vue des quatre hommes, s’approchant avec une rapidité fulgurante pour bientôt stopper et rester en formation au-dessus des deux véhicules.
J’ouvre la portière arrière pour descendre de voiture, Victor se retourne inquiet vers moi.
- Hé !! Qu’est-ce que tu fais ??
- J’adore les chatouilles Hi ! Hi ! Tu veux essayer ?
Victor ne répond pas, trop médusé par le spectacle se déroulant sous ses yeux et observe les yeux ronds d’ahurissements les abeilles me recouvrir entièrement le corps, n’entendant plus que mon rire déclenché par les chatouilles que leurs contacts me procurent.
Maintenant, je ne veux pas non plus abuser de leurs temps, connaissant pertinemment le travail pharaonique qu’elles ont chaque jour pour trouver le pollen nécessaire à nourrir la ruche et je les libère pour qu’elles repartent butiner, ma démonstration étant bien suffisante pour que Victor et ses hommes comprennent que mes paroles de tout à l’heure n’étaient pas des phrases en l’air.
Seule l’une d’entre elles reste pour continuer la mission de protection auprès de mon « Thom Thom » qui d’ailleurs ne tarde pas à sortir et s’aperçoit étonné mais visiblement content de ma présence.
Il marche alors d’un bon pas pour franchir les quelques mètres qui nous séparent et me prendre par la taille après m’avoir donné un baiser appuyé sur les lèvres.
- C’est gentil d’être venu me retrouver !
- Ta journée s’est bien passée ?
- Nickel !! Je pense avoir fait quelques bonnes affaires encore cette fois-ci !
- Tu m’en diras tant Hi ! Hi ! C’est ton patron qui va être content !!
Thomas me lance un de ses sourires qui ne me laisse jamais de marbre et manque une fois de plus de faire exploser ma libido déjà bien mise à l’épreuve rien que par sa présence à mes côtés.
- (Thomas moqueur) Tu crois qu’il me donnera une prime ?
- (Clin d’œil) Je veux oui !! Et en nature en plus !!
- Hum !! Ça me va !! Maintenant je n’aurai certainement pas la patience d’attendre la fin du mois Hi ! Hi !
- Ahrr !! Ces employés, je vous jure !! Bon d’accord !! Je veux bien exceptionnellement te faire une avance sur salaire !
Je me tourne vers Victor qui ne semble pas avoir tout compris alors que Joseph se mord les lèvres pour ne pas exploser de rire et le plus sérieusement du monde, je lui demande.
- Tu peux nous ramener à l’hôtel ? Que je donne à mon collaborateur ce que je lui ai promis avant qu’il ne devienne trop exigeant !
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