05-09-2020, 11:10 AM
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (82/150) (Kyoto) (Neuvième jour)
Ce n’est qu’au son de la voix du directeur accouru rapidement à son secours, qui libère quelque peu la pression et permet enfin à Florian de pouvoir circuler plus librement.
Il passe un long moment à visiter ses patients avec toujours la petite grimace ou le mot pour rire qui rend un moment de gaieté aux petits encore sous le coup du naufrage terrible qu’ils ont vécu.
Tout au long de sa visite et suivant l’état de santé que présentent les enfants, il rectifie quelques dosages augmentant ou diminuant suivant le cas la posologie qu’il avait prescrite après chaque acte chirurgical.
Il en profite également pour ausculter ceux des enfants partageant les mêmes chambres mais que d’autres que lui ont opérés pendant cette nuit de folie.
C’est ainsi qu’il se retrouve devant un jeune garçon d’une quinzaine d’années occupant le deuxième lit de la chambre d’un de ses patients, un énorme pansement sanguinolent lui recouvrant toute la partie droite de l’abdomen et souffrant de toute évidence malgré les anti-douleurs qui lui sont délivrés au goutte-à-goutte d’une poche reliée en intraveineuse à son avant-bras.
Il s’adresse alors aux quelques personnes le suivant depuis le début de ses visites, notant ses recommandations sur les tablettes fixées au pied du lit des malades.
***/***
- 汚れた包帯で少年にことができますなぜですか? (Pourquoi laisse-t-on ce garçon avec un pansement sale ?)
- 我々 はすでに数回をやり直しが、それは思われるそれは通常治癒し、予 想される日再の我々 は彼に既に歩んだ人外科医を期待します。 (Nous lui avons déjà refait plusieurs fois, il semblerait qu’il ne cicatrise pas normalement et il est prévu de le réopérer dans la journée nous attendons le chirurgien qui est déjà intervenu sur lui.)
- ガウンおよび手袋より準備ができて見ることを得ることができるか がこの男の子苦しむ通常傷、単純 (Pouvez-vous me procurer une blouse et des gants pour que je regarde de plus près ? Ce garçon souffre anormalement pour une simple plaie.)
- もちろん医師 ! (Bien entendu docteur !)
***/***
Une des infirmières s’empresse alors de quitter la chambre pour revenir quelques minutes plus tard avec ce qui lui a été demandé, Florian ôte son manteau et enfile la blouse, il met ensuite les gants chirurgicaux puis s’approche du garçon qui au même moment s’agite de façon inquiétante.
Deux infirmiers s’approchent alors pour le maintenir, mais sont aussitôt arrêtés par Florian.
***/***
- 静かな、聞かせてそれ身もだえさせるし、我々 はそれを停止するを待つ必要があります !これは正常ではない !ブロックをすぐに準備を行う (Laissez le tranquille, il convulse et nous devons attendre que ça s’arrête !! Ce n’est pas normal !! Faites préparer un bloc immédiatement)
Les deux infirmiers sortent aussitôt, la crise du garçon passe brusquement en le laissant inerte couvert de sueur. Je lui prends son pouls qui est très faible, je lui soulève ensuite une paupière pour constater que son œil est révulsé et que le garçon est entré dans le coma.
- それは彼を取る !すぐに ! (On l’emmène !! Vite !!)
L’arrivée au bloc se fait avec une rapidité démontrant que chacun est conscient qu’il n’y a pas de temps à perdre, sitôt installé sur la table d’opération je lui enlève son pansement pour ensuite palper autour de la plaie.
Mon diagnostic est immédiat, ce garçon souffre d’une hémorragie interne et son ventre gonflé a pris une couleur qui n’est pas bon signe.
- 人工呼吸器を接続してください !我々 しっかりと不可能、麻酔の下の彼の状態で、テーブルに固定する必 要があります !あまりにも危険なことです。彼は血を欠場、出血を止めるに開く前に即時の注入彼がかかります !行きましょう!時間を失うことはありません、この少年の人生だ ! (Branchez-le sur respirateur !! Il faut le sangler fermement à la table, impossible dans son état de l’anesthésier !! Ce serait trop dangereux !! Il va manquer de sang, il lui faut une perfusion immédiate avant que je l’ouvre pour arrêter l’hémorragie !! Allons !! Ne perdons pas de temps, il y va de la vie de ce garçon !!)
***/***
« Une heure plus tard »
Je jette dans la coupelle le morceau de métal rester dans son abdomen et qui a occasionné l’hémorragie, je nettoie la plaie après avoir remis la veine sectionnée en état et je referme les chairs par des sutures qui s’enlèveront toutes seules dans quelques jours.
Je refais un nouveau pansement qui cette fois-ci ne suppurera plus, un dernier examen pour constater que son rythme cardiaque est redevenu normal et c’est d’un pas rassuré que je quitte le bloc après avoir regardé une dernière fois l’adolescent en me disant que décidément la vie ne tient parfois pas à grand-chose.
C’est en sortant dans le couloir pour me rendre aux vestiaires et me débarrasser des vêtements couverts de sang tout en profitant également d’être là pour prendre une bonne douche, que je croise un homme imposant qui me fixe étrangement avec un sourire qui me semble pourtant amical quoique mélangé à une autre expression que je ne saurais définir mais qui me fait froid dans le dos.
Je croise son regard et je sens mes pupilles s’étrécir me donnant une vision acérée qui lui transperce l’âme, l’homme frémit sans baisser les yeux visiblement perturbé et je poursuis mon chemin, troublé à mon tour par cette rencontre étrange.
L’Oyabun attend que le jeune rouquin soit hors de sa vue pour s’en retourner là où il se trouvait, avant d’être prévenu par un de ses hommes où il pourrait trouver celui qui a sauvé son petit-fils au cas où il voudrait le rencontrer.
L’enfant le voit revenir dans sa chambre avec les yeux brillants de joie.
- あなたの左またはグランドお父さんですか? (Tu étais parti où grand père ?)
- 私が言ったこと私の少し場合はあなたの祖父が精神を失ったことと 思うだろう確かに ! (Si je te le disais mon petit, tu penserais certainement que ton grand-père a perdu l’esprit !)
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (83/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
« Dix-neuf heures, Begin »
Jonas arrive en courant pour ne pas se mettre en retard, il se présente au planton de l’entrée en montrant son badge qu’il a obtenu grâce à Maurice pour pouvoir circuler librement dans l’enceinte de la caserne.
Une fois chose faite, il reprend sa course pour traverser la cour principale et prend ensuite la direction du casernement où se trouve la chambre de son ami.
Jonas a les yeux qui brillent à l’avance à la pensée de la nuit qui vient, il sait très bien qu’elle marquera à jamais sa vie et sera la transition tant attendue entre l’adolescence et l’âge adulte.
Le grand rouquin s’arrête brusquement, son visage subitement marqué par l’anxiété qu’une pensée lui amène soudainement.
Il n’a jamais vraiment discuté avec Antoine de leurs positions respectives qu’ils prendront dans leur couple, se sachant incapable d’envisager ne serait-ce qu’une seconde de se faire prendre comme une fille alors que dans toutes ses pensées les plus libidineuses, Antoine le reçoit en lui avec un plaisir particulièrement bruyant et démonstratif.
Jonas reprend son chemin plus lentement, tournant en boucle la question qu’il se pose maintenant en se demandant honnêtement s’il serait capable de lui donner sa virginité anale si Antoine en éprouvait l’envie irrésistible au point de mettre en péril leur liaison.
Il s’avoue franchement qu’il n’en a pas la réponse, quitter Antoine lui paraissant impossible tellement il l’a maintenant dans la peau et sans doute serait-il prêt à se « sacrifier » de temps en temps afin que son ami s’épanouisse autant que lui dans leur couple.
***/***
Antoine attend dans sa chambre en regardant fréquemment sa montre, la pièce maintenant qu’il y a adjoint un deuxième lit lui paraît bien petite et il n’est pas sûr de pouvoir y vivre longtemps sans que cela ne joue sur son moral.
Il faudra qu’il en parle à Maurice, il pourrait le laisser habiter avec ses parents en attendant que tout se décante pour qu’il puisse prendre en main sa nouvelle vie.
En attendant il doit faire avec ce qu’il a et c’est déjà bien qu’autant de monde s’intéresse à lui, pour qu’il ne vienne pas se plaindre simplement pour une histoire de logement.
Il repousse les deux lits en les faisant s’accoler l’un contre l’autre et réussit de cette façon à dégager une petite zone qui rend l’atmosphère de la chambre moins étouffante.
***/***
Jonas traverse le couloir en retrouvant tout son entrain rien qu’à l’idée d’être près d’Antoine, ses pensées prennent une tout autre tournure et une légère bosse commence à apparaître sur le devant de son pantalon.
Un geste naturel de la main qui entre par la ceinture pour positionner plus confortablement le monstre en développement et Jonas frappe deux petits coups discrets à la porte de son ami.
« Toc ! Toc ! »
La porte s’ouvre immédiatement comme si la personne à l’intérieur était à l’affût de ce signal pour l’ouvrir, ce qui fait sourire Jonas en lui sautant au cou pour l’embrasser.
- Pressé de me voir Hi ! Hi !
- Oh que oui !!
La porte claque derrière eux, les laissant dans l’intimité de la chambre où les baisers deviennent très rapidement de plus en plus passionnés au point que les deux garçons s’affalent sur le lit sans même se détacher l’un de l’autre.
Ils finissent par s’asseoir pour reprendre leurs souffles et calmer aussi le jeu par la même occasion, sentant bien l’un comme l’autre que sinon cela se terminerait bien trop vite à leurs goûts.
Antoine s’allonge alors que Jonas assis près de lui ne le quitte pas des yeux, il voit bien l’excroissance révélatrice de son entrejambe qui est au même point que la sienne et sourit en plaçant la main dessus, Antoine sursautant de son geste inattendu.
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (84/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
- Hé !! Ne te gêne pas !!!
Jonas sourit en continuant sa manipulation sur le devant du pantalon d’Antoine.
- Tu sais quoi ?
- (Antoine curieux) Non ?
- J’ai demandé à ma mère qu’elle me libère de ma promesse !
- Ta promesse ?
- Tu sais bien enfin !! Celle de ne rien faire de trop poussée avec toi.
Antoine soudainement intéressé se redresse, la main de Jonas posée sur son sexe suivant le mouvement en le serrant au niveau du gland pour bien lui montrer son envie.
- Elle t’a répondu quoi ?
- Que c’était cool parce qu’elle est certaine maintenant de nos sentiments l’un envers l’autre !
Le sexe d’Antoine fait un bond dans son pantalon qui fait sourire Jonas, le caressant maintenant sur toute sa longueur en n’oubliant pas les deux belles boules qu’il presse avec envie.
- Je vois que tu n’es pas contre Hi ! Hi !
- Tu voudrais quand ? Ce soir ?
- Tu as envie d’attendre plus longtemps toi ? Pas moi en tous les cas !!
La main d’Antoine se pose à son tour sur le devant du pantalon de son ami et constate qu’il est déjà bien excité, tout comme lui d’ailleurs depuis qu’il se fait manipuler sans vergogne par le beau rouquin.
- Moi non plus !!
Antoine voit bien quand même que quelque chose turlupine son ami.
- Quelque chose qui ne va pas ? J’ai eu le résultat du test et c’est bon !!
- Tu m’en as déjà parlé, ce n’est pas ça !! En fait je me suis posé la question en arrivant que nous n’avions jamais parlé de nos envies respectives.
Antoine ne comprend pas très bien.
- Si ça peut te rassurer, je ne suis ni sadomaso ni crade !!
- Moi non plus t’inquiète, ce n’est pas à ce genre d’envies que je pensais mais plutôt qui sera quoi dans notre couple.
- Eh bien nous serons deux garçons qui font l’amour, pourquoi ?
- Tu ne m’aides pas beaucoup là !! Je faisais allusion au fait d’être actif ou passif.
- Si ça peut te rassurer, je me sens plutôt passif mais je peux aussi être actif si c’est ce que tu souhaites !! En fait ce n’est pas le plus important pour moi, je t’aime « Jo » alors il n’y a pas de soucis et en plus il nous suffira de tester pour savoir ce qui nous fait grimper aux rideaux Hi ! Hi !
Jonas sourit, visiblement rassuré et sa main repart de plus belle sur la hampe raide de son ami qui soupire de satisfaction à cette caresse virile de son homme.
- Tu as raison, après tout je n’ai aucune pratique et je suis prêt avec toi à essayer beaucoup de choses sans préjuger à l’avance si ça me plaira ou non.
- Tu veux qu’on aille manger quelque chose ?
Jonas fait une moue coquine qu’Antoine comprend sans qu’il y ait besoin de plus d’explications détaillées.
- Je vois, je vois !! Monsieur a une envie de saucisse !!
Clin d’œil du grand rouquin.
- Plutôt d’une glace deux boules je dirais !
Antoine se rallonge sur le lit en écartant bien les cuisses, invite que bien sûr Jonas accepte avec plaisir.
- Alors voyons voir quel goût ça a !!
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (85/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
D’un mouvement rapide, il ôte son sweat-shirt et son tricot de corps pour se retrouver torse nu.
- Je me mets à l’aise si tu veux bien !!
- Bonne idée ça !! Attends !! J’en fais autant !!
Les vêtements volent de l’autre côté de la pièce dans un fou rire des deux garçons, ne gardant que leurs sous-vêtements à la forme plus qu’évocatrice de l’envie qu’ils ont de ce qui va suivre.
Antoine se recouche sur le dos, il reprend sa position précédente en positionnant ses mains derrière sa tête.
- Montre-moi ce que tu sais faire !
- Tu me le diras si je m’y prends mal ?
- N’y pense pas et fait comme tu as envie.
- D’accord !!
Jonas s’agenouille au bout du lit et son visage s’approche du slip déjà humide d’excitation de son copain, ses lèvres viennent alors y déposer plusieurs baisers de plus en plus appuyés jusqu’à enfin prendre le gland en bouche à travers le slip et le suçoter ensuite avec passion.
- Ahhh !!
Jonas s’arrête aussitôt, croyant mal faire.
- Non !! Continue !! C’est trop bon !!
Le rouquin sourit en reprenant ses succions sur le coton maintenant inondé de salive, ses mains ne restent pas inactives et caressent les deux cuisses légèrement velues de son ami en s’avançant vers l’échancrure du sous-vêtement, plusieurs doigts s’insèrent à l’intérieur et viennent découvrir la douceur moite de la peau à la naissance du sexe d’Antoine.
Celui-ci se cambre sous la caresse qui le met dans tous ses états, le rendant chaud comme la braise au contact de toutes ces palpations timides mais non dénuées d’une forte envie de découvrir et de bien faire, ce qui de toute évidence est le cas.
Ce simple mouvement libère le gland qui sort du slip à la plus grande joie de Jonas qui y pose ses lèvres pour la première fois, l’impression lui fait battre le cœur à tout rompre et malgré que ce soit la première fois qu’il a une caresse aussi intime sur le sexe d’un garçon, il n’hésite pas un instant et le prend en bouche avec un plaisir évident, se délectant de cette douceur tout comme du goût suave que lui rapportent ses papilles.
Les lèvres se serrent pour bien masser le bout décalotté et cramoisi d’envie qui palpite de plus en plus rapidement, ses doigts sont maintenant entrés entièrement dans le slip d’Antoine et caressent les boules qui remontent et se collent au scrotum.
La bouche de Jonas englobe maintenant la hampe en tentant d’aller le plus loin qu’il peut vers le pubis aux poils bruns qui lui chatouillent le nez.
Les mains d’Antoine se décollent de derrière sa tête pour prendre doucement celle du beau rouquin et lui donner le rythme qui l’amène très vite proche de l’orgasme, il la retient alors pour ne pas jouir trop rapidement.
- Attends un peu sinon je vais partir trop vite !!
Jonas relève la tête et le regarde dans les yeux avec un sourire plein de fierté.
- Je me débrouille pas trop mal on dirait ?
- Wouff !! Comme un chef !! C’est trop bon !! On inverse les rôles ? Je vais te montrer comment je gère ce genre d’engin Hi ! Hi !
Jonas ne se le fait pas dire deux fois, il s’allonge à son tour sur le lit pendant qu’Antoine se débarrasse de son slip devenant plus gênant qu’autre chose et en fait autant de celui de son ami qui l’aide en relevant les fesses.
Antoine se positionne à quatre pattes et tête bêche au-dessus de Jonas qui du coup en prend plein la vue de ce sexe dressé, de ces belles boules redevenues pendantes et de cette paire de fesses légèrement poilus avec la raie sombre cachant encore ce qu’il voudrait déjà pouvoir prendre avec force et volupté.
Ce n’est qu’au son de la voix du directeur accouru rapidement à son secours, qui libère quelque peu la pression et permet enfin à Florian de pouvoir circuler plus librement.
Il passe un long moment à visiter ses patients avec toujours la petite grimace ou le mot pour rire qui rend un moment de gaieté aux petits encore sous le coup du naufrage terrible qu’ils ont vécu.
Tout au long de sa visite et suivant l’état de santé que présentent les enfants, il rectifie quelques dosages augmentant ou diminuant suivant le cas la posologie qu’il avait prescrite après chaque acte chirurgical.
Il en profite également pour ausculter ceux des enfants partageant les mêmes chambres mais que d’autres que lui ont opérés pendant cette nuit de folie.
C’est ainsi qu’il se retrouve devant un jeune garçon d’une quinzaine d’années occupant le deuxième lit de la chambre d’un de ses patients, un énorme pansement sanguinolent lui recouvrant toute la partie droite de l’abdomen et souffrant de toute évidence malgré les anti-douleurs qui lui sont délivrés au goutte-à-goutte d’une poche reliée en intraveineuse à son avant-bras.
Il s’adresse alors aux quelques personnes le suivant depuis le début de ses visites, notant ses recommandations sur les tablettes fixées au pied du lit des malades.
***/***
- 汚れた包帯で少年にことができますなぜですか? (Pourquoi laisse-t-on ce garçon avec un pansement sale ?)
- 我々 はすでに数回をやり直しが、それは思われるそれは通常治癒し、予 想される日再の我々 は彼に既に歩んだ人外科医を期待します。 (Nous lui avons déjà refait plusieurs fois, il semblerait qu’il ne cicatrise pas normalement et il est prévu de le réopérer dans la journée nous attendons le chirurgien qui est déjà intervenu sur lui.)
- ガウンおよび手袋より準備ができて見ることを得ることができるか がこの男の子苦しむ通常傷、単純 (Pouvez-vous me procurer une blouse et des gants pour que je regarde de plus près ? Ce garçon souffre anormalement pour une simple plaie.)
- もちろん医師 ! (Bien entendu docteur !)
***/***
Une des infirmières s’empresse alors de quitter la chambre pour revenir quelques minutes plus tard avec ce qui lui a été demandé, Florian ôte son manteau et enfile la blouse, il met ensuite les gants chirurgicaux puis s’approche du garçon qui au même moment s’agite de façon inquiétante.
Deux infirmiers s’approchent alors pour le maintenir, mais sont aussitôt arrêtés par Florian.
***/***
- 静かな、聞かせてそれ身もだえさせるし、我々 はそれを停止するを待つ必要があります !これは正常ではない !ブロックをすぐに準備を行う (Laissez le tranquille, il convulse et nous devons attendre que ça s’arrête !! Ce n’est pas normal !! Faites préparer un bloc immédiatement)
Les deux infirmiers sortent aussitôt, la crise du garçon passe brusquement en le laissant inerte couvert de sueur. Je lui prends son pouls qui est très faible, je lui soulève ensuite une paupière pour constater que son œil est révulsé et que le garçon est entré dans le coma.
- それは彼を取る !すぐに ! (On l’emmène !! Vite !!)
L’arrivée au bloc se fait avec une rapidité démontrant que chacun est conscient qu’il n’y a pas de temps à perdre, sitôt installé sur la table d’opération je lui enlève son pansement pour ensuite palper autour de la plaie.
Mon diagnostic est immédiat, ce garçon souffre d’une hémorragie interne et son ventre gonflé a pris une couleur qui n’est pas bon signe.
- 人工呼吸器を接続してください !我々 しっかりと不可能、麻酔の下の彼の状態で、テーブルに固定する必 要があります !あまりにも危険なことです。彼は血を欠場、出血を止めるに開く前に即時の注入彼がかかります !行きましょう!時間を失うことはありません、この少年の人生だ ! (Branchez-le sur respirateur !! Il faut le sangler fermement à la table, impossible dans son état de l’anesthésier !! Ce serait trop dangereux !! Il va manquer de sang, il lui faut une perfusion immédiate avant que je l’ouvre pour arrêter l’hémorragie !! Allons !! Ne perdons pas de temps, il y va de la vie de ce garçon !!)
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« Une heure plus tard »
Je jette dans la coupelle le morceau de métal rester dans son abdomen et qui a occasionné l’hémorragie, je nettoie la plaie après avoir remis la veine sectionnée en état et je referme les chairs par des sutures qui s’enlèveront toutes seules dans quelques jours.
Je refais un nouveau pansement qui cette fois-ci ne suppurera plus, un dernier examen pour constater que son rythme cardiaque est redevenu normal et c’est d’un pas rassuré que je quitte le bloc après avoir regardé une dernière fois l’adolescent en me disant que décidément la vie ne tient parfois pas à grand-chose.
C’est en sortant dans le couloir pour me rendre aux vestiaires et me débarrasser des vêtements couverts de sang tout en profitant également d’être là pour prendre une bonne douche, que je croise un homme imposant qui me fixe étrangement avec un sourire qui me semble pourtant amical quoique mélangé à une autre expression que je ne saurais définir mais qui me fait froid dans le dos.
Je croise son regard et je sens mes pupilles s’étrécir me donnant une vision acérée qui lui transperce l’âme, l’homme frémit sans baisser les yeux visiblement perturbé et je poursuis mon chemin, troublé à mon tour par cette rencontre étrange.
L’Oyabun attend que le jeune rouquin soit hors de sa vue pour s’en retourner là où il se trouvait, avant d’être prévenu par un de ses hommes où il pourrait trouver celui qui a sauvé son petit-fils au cas où il voudrait le rencontrer.
L’enfant le voit revenir dans sa chambre avec les yeux brillants de joie.
- あなたの左またはグランドお父さんですか? (Tu étais parti où grand père ?)
- 私が言ったこと私の少し場合はあなたの祖父が精神を失ったことと 思うだろう確かに ! (Si je te le disais mon petit, tu penserais certainement que ton grand-père a perdu l’esprit !)
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (83/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
« Dix-neuf heures, Begin »
Jonas arrive en courant pour ne pas se mettre en retard, il se présente au planton de l’entrée en montrant son badge qu’il a obtenu grâce à Maurice pour pouvoir circuler librement dans l’enceinte de la caserne.
Une fois chose faite, il reprend sa course pour traverser la cour principale et prend ensuite la direction du casernement où se trouve la chambre de son ami.
Jonas a les yeux qui brillent à l’avance à la pensée de la nuit qui vient, il sait très bien qu’elle marquera à jamais sa vie et sera la transition tant attendue entre l’adolescence et l’âge adulte.
Le grand rouquin s’arrête brusquement, son visage subitement marqué par l’anxiété qu’une pensée lui amène soudainement.
Il n’a jamais vraiment discuté avec Antoine de leurs positions respectives qu’ils prendront dans leur couple, se sachant incapable d’envisager ne serait-ce qu’une seconde de se faire prendre comme une fille alors que dans toutes ses pensées les plus libidineuses, Antoine le reçoit en lui avec un plaisir particulièrement bruyant et démonstratif.
Jonas reprend son chemin plus lentement, tournant en boucle la question qu’il se pose maintenant en se demandant honnêtement s’il serait capable de lui donner sa virginité anale si Antoine en éprouvait l’envie irrésistible au point de mettre en péril leur liaison.
Il s’avoue franchement qu’il n’en a pas la réponse, quitter Antoine lui paraissant impossible tellement il l’a maintenant dans la peau et sans doute serait-il prêt à se « sacrifier » de temps en temps afin que son ami s’épanouisse autant que lui dans leur couple.
***/***
Antoine attend dans sa chambre en regardant fréquemment sa montre, la pièce maintenant qu’il y a adjoint un deuxième lit lui paraît bien petite et il n’est pas sûr de pouvoir y vivre longtemps sans que cela ne joue sur son moral.
Il faudra qu’il en parle à Maurice, il pourrait le laisser habiter avec ses parents en attendant que tout se décante pour qu’il puisse prendre en main sa nouvelle vie.
En attendant il doit faire avec ce qu’il a et c’est déjà bien qu’autant de monde s’intéresse à lui, pour qu’il ne vienne pas se plaindre simplement pour une histoire de logement.
Il repousse les deux lits en les faisant s’accoler l’un contre l’autre et réussit de cette façon à dégager une petite zone qui rend l’atmosphère de la chambre moins étouffante.
***/***
Jonas traverse le couloir en retrouvant tout son entrain rien qu’à l’idée d’être près d’Antoine, ses pensées prennent une tout autre tournure et une légère bosse commence à apparaître sur le devant de son pantalon.
Un geste naturel de la main qui entre par la ceinture pour positionner plus confortablement le monstre en développement et Jonas frappe deux petits coups discrets à la porte de son ami.
« Toc ! Toc ! »
La porte s’ouvre immédiatement comme si la personne à l’intérieur était à l’affût de ce signal pour l’ouvrir, ce qui fait sourire Jonas en lui sautant au cou pour l’embrasser.
- Pressé de me voir Hi ! Hi !
- Oh que oui !!
La porte claque derrière eux, les laissant dans l’intimité de la chambre où les baisers deviennent très rapidement de plus en plus passionnés au point que les deux garçons s’affalent sur le lit sans même se détacher l’un de l’autre.
Ils finissent par s’asseoir pour reprendre leurs souffles et calmer aussi le jeu par la même occasion, sentant bien l’un comme l’autre que sinon cela se terminerait bien trop vite à leurs goûts.
Antoine s’allonge alors que Jonas assis près de lui ne le quitte pas des yeux, il voit bien l’excroissance révélatrice de son entrejambe qui est au même point que la sienne et sourit en plaçant la main dessus, Antoine sursautant de son geste inattendu.
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (84/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
- Hé !! Ne te gêne pas !!!
Jonas sourit en continuant sa manipulation sur le devant du pantalon d’Antoine.
- Tu sais quoi ?
- (Antoine curieux) Non ?
- J’ai demandé à ma mère qu’elle me libère de ma promesse !
- Ta promesse ?
- Tu sais bien enfin !! Celle de ne rien faire de trop poussée avec toi.
Antoine soudainement intéressé se redresse, la main de Jonas posée sur son sexe suivant le mouvement en le serrant au niveau du gland pour bien lui montrer son envie.
- Elle t’a répondu quoi ?
- Que c’était cool parce qu’elle est certaine maintenant de nos sentiments l’un envers l’autre !
Le sexe d’Antoine fait un bond dans son pantalon qui fait sourire Jonas, le caressant maintenant sur toute sa longueur en n’oubliant pas les deux belles boules qu’il presse avec envie.
- Je vois que tu n’es pas contre Hi ! Hi !
- Tu voudrais quand ? Ce soir ?
- Tu as envie d’attendre plus longtemps toi ? Pas moi en tous les cas !!
La main d’Antoine se pose à son tour sur le devant du pantalon de son ami et constate qu’il est déjà bien excité, tout comme lui d’ailleurs depuis qu’il se fait manipuler sans vergogne par le beau rouquin.
- Moi non plus !!
Antoine voit bien quand même que quelque chose turlupine son ami.
- Quelque chose qui ne va pas ? J’ai eu le résultat du test et c’est bon !!
- Tu m’en as déjà parlé, ce n’est pas ça !! En fait je me suis posé la question en arrivant que nous n’avions jamais parlé de nos envies respectives.
Antoine ne comprend pas très bien.
- Si ça peut te rassurer, je ne suis ni sadomaso ni crade !!
- Moi non plus t’inquiète, ce n’est pas à ce genre d’envies que je pensais mais plutôt qui sera quoi dans notre couple.
- Eh bien nous serons deux garçons qui font l’amour, pourquoi ?
- Tu ne m’aides pas beaucoup là !! Je faisais allusion au fait d’être actif ou passif.
- Si ça peut te rassurer, je me sens plutôt passif mais je peux aussi être actif si c’est ce que tu souhaites !! En fait ce n’est pas le plus important pour moi, je t’aime « Jo » alors il n’y a pas de soucis et en plus il nous suffira de tester pour savoir ce qui nous fait grimper aux rideaux Hi ! Hi !
Jonas sourit, visiblement rassuré et sa main repart de plus belle sur la hampe raide de son ami qui soupire de satisfaction à cette caresse virile de son homme.
- Tu as raison, après tout je n’ai aucune pratique et je suis prêt avec toi à essayer beaucoup de choses sans préjuger à l’avance si ça me plaira ou non.
- Tu veux qu’on aille manger quelque chose ?
Jonas fait une moue coquine qu’Antoine comprend sans qu’il y ait besoin de plus d’explications détaillées.
- Je vois, je vois !! Monsieur a une envie de saucisse !!
Clin d’œil du grand rouquin.
- Plutôt d’une glace deux boules je dirais !
Antoine se rallonge sur le lit en écartant bien les cuisses, invite que bien sûr Jonas accepte avec plaisir.
- Alors voyons voir quel goût ça a !!
2eme ANNÉE avant Pâques (Dernière partie) : (85/150) (Paris) (Antoine & Jonas) (suite)
D’un mouvement rapide, il ôte son sweat-shirt et son tricot de corps pour se retrouver torse nu.
- Je me mets à l’aise si tu veux bien !!
- Bonne idée ça !! Attends !! J’en fais autant !!
Les vêtements volent de l’autre côté de la pièce dans un fou rire des deux garçons, ne gardant que leurs sous-vêtements à la forme plus qu’évocatrice de l’envie qu’ils ont de ce qui va suivre.
Antoine se recouche sur le dos, il reprend sa position précédente en positionnant ses mains derrière sa tête.
- Montre-moi ce que tu sais faire !
- Tu me le diras si je m’y prends mal ?
- N’y pense pas et fait comme tu as envie.
- D’accord !!
Jonas s’agenouille au bout du lit et son visage s’approche du slip déjà humide d’excitation de son copain, ses lèvres viennent alors y déposer plusieurs baisers de plus en plus appuyés jusqu’à enfin prendre le gland en bouche à travers le slip et le suçoter ensuite avec passion.
- Ahhh !!
Jonas s’arrête aussitôt, croyant mal faire.
- Non !! Continue !! C’est trop bon !!
Le rouquin sourit en reprenant ses succions sur le coton maintenant inondé de salive, ses mains ne restent pas inactives et caressent les deux cuisses légèrement velues de son ami en s’avançant vers l’échancrure du sous-vêtement, plusieurs doigts s’insèrent à l’intérieur et viennent découvrir la douceur moite de la peau à la naissance du sexe d’Antoine.
Celui-ci se cambre sous la caresse qui le met dans tous ses états, le rendant chaud comme la braise au contact de toutes ces palpations timides mais non dénuées d’une forte envie de découvrir et de bien faire, ce qui de toute évidence est le cas.
Ce simple mouvement libère le gland qui sort du slip à la plus grande joie de Jonas qui y pose ses lèvres pour la première fois, l’impression lui fait battre le cœur à tout rompre et malgré que ce soit la première fois qu’il a une caresse aussi intime sur le sexe d’un garçon, il n’hésite pas un instant et le prend en bouche avec un plaisir évident, se délectant de cette douceur tout comme du goût suave que lui rapportent ses papilles.
Les lèvres se serrent pour bien masser le bout décalotté et cramoisi d’envie qui palpite de plus en plus rapidement, ses doigts sont maintenant entrés entièrement dans le slip d’Antoine et caressent les boules qui remontent et se collent au scrotum.
La bouche de Jonas englobe maintenant la hampe en tentant d’aller le plus loin qu’il peut vers le pubis aux poils bruns qui lui chatouillent le nez.
Les mains d’Antoine se décollent de derrière sa tête pour prendre doucement celle du beau rouquin et lui donner le rythme qui l’amène très vite proche de l’orgasme, il la retient alors pour ne pas jouir trop rapidement.
- Attends un peu sinon je vais partir trop vite !!
Jonas relève la tête et le regarde dans les yeux avec un sourire plein de fierté.
- Je me débrouille pas trop mal on dirait ?
- Wouff !! Comme un chef !! C’est trop bon !! On inverse les rôles ? Je vais te montrer comment je gère ce genre d’engin Hi ! Hi !
Jonas ne se le fait pas dire deux fois, il s’allonge à son tour sur le lit pendant qu’Antoine se débarrasse de son slip devenant plus gênant qu’autre chose et en fait autant de celui de son ami qui l’aide en relevant les fesses.
Antoine se positionne à quatre pattes et tête bêche au-dessus de Jonas qui du coup en prend plein la vue de ce sexe dressé, de ces belles boules redevenues pendantes et de cette paire de fesses légèrement poilus avec la raie sombre cachant encore ce qu’il voudrait déjà pouvoir prendre avec force et volupté.
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