05-09-2020, 10:16 AM
(Modification du message : 05-09-2020, 10:19 AM par laurentdu51100.)
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (39/150) (Kyoto) (Cinquième jour)
« Vingt-trois heures, chambre de Florian et Thomas »
Je sors de la douche en enroulant autour de mes reins la serviette-éponge qui fait deux fois le tour de mon corps avant que j’en attrape la deuxième extrémité pour la coincer contre mon ventre.
Il n’y a que la veilleuse d’allumée, le corps nu de Thomas mis en valeur par cette lumière ténue me fait chaud au cœur et mes lèvres s’entrouvrent alors pour extérioriser une chanson qui m’amène la chair de poule en la fredonnant dans un souffle, tellement les paroles collent à la vision que j’ai en ce moment de mon ami.
« Chanson »
Quand tes cheveux s’étalent…
Comme un soleil d’été…
Et que ton oreiller…
Ressemble aux champs de blés…
Quand l’ombre et la lumière…
Dessinent sur ton corps…
Des montagnes, des forêts…
Et des îles aux trésors…
Que je t’aime…
« Thomas reste les yeux fermés en tentant de paraître endormi pour ne pas interrompre cette voix merveilleuse qu’il entend pour la première fois et qui lui noue l’âme dans un torrent d’émotions, lui démontrant à quel point Florian l’aime. »
Quand ta bouche se fait douce…
Quand ton corps se fait dur…
Quand le ciel dans tes yeux…
D’un seul coup n’est plus pur…
Quand tes mains voudraient bien…
Quand tes doigts n’osent pas…
Quand ta pudeur dit non…
D’une toute petite voix…
Que je t’aime… Que je t’aime…
« Thomas sent les larmes inonder ses orbites, ses yeux se crispent pour ne pas les laisser s’échapper et risquer de faire cesser cette voix d’ange qui s’adresse à lui comme un hymne à l’amour que lui porte celui qui a été, est et sera toujours tout pour lui. »
Quand tu n’te sens plus chatte…
Et que tu deviens chienne…
Et qu’à l’appel du loup…
Tu brises enfin tes chaînes…
Quand ton premier soupir…
Se finit dans un cri…
Quand c’est moi qui dis non…
Quand c’est toi qui dis oui…
Que je t’aime… Que je t’aime… Que je t’aime…
« Le cœur de Thomas résonne comme un tambour, il se retient pourtant de peur que Florian ne remarque qu’il est à surprendre ce qu’il a toujours tenu secret.
Pas son amour pour lui bien sûr, car il n’a jamais été sans le lui dire après, avant et pendant chaque câlin.
Mais cette voix intemporelle qui le charme en déclenchant en lui les sentiments les plus forts, tout comme les émotions les plus secrètes. »
Quand mon corps sur ton corps…
Lourd comme un cheval mort…
Ne sait pas, ne sait plus…
S’il existe encore…
Quand on a fait l’amour…
Comme d’autres font la guerre…
Quand c’est moi le soldat…
Qui meurt et qui la perd…
Que je t’aime… Que je t’aime… Que je t’aime…
« S’en est trop pour Thomas qui laisse cette fois s’écouler son trop-plein d’émotions, les dernières strophes de la chanson étant dites avec une telle émotion, une telle vérité dans le ton qu’il ne résiste plus et se dresse de son lit pour prendre dans ses bras son petit rouquin, inondé de larmes lui aussi et les yeux rougis par l’intensité de son ressenti. »
- Tu ne mourras pas mon chéri, tu ne me perdras pas non plus !! Pourquoi dis-tu ces paroles qui nous font mal à tous les deux ?
- J’aimerais tant que tu dises vrai « Thom » !! C’est grâce à toi que je suis ce que je suis, sans toi je n’existerai pas sur cette terre !!
- Qu’est-ce que tu racontes !! Tu n’es pas heureux avec nous ? Pourquoi ses pensées morbides ?
- Je le sens Thomas !! Quelque chose en moi me dit que ce que nous vivons depuis toutes ces années n’est qu’un leurre.
Le grand blond serre encore plus fort ses bras autour du corps fragile de son ami, voulant ainsi lui démontrer qu’il est bien réel.
Ses lèvres lui embrassent les paupières en récupérant ainsi l’humidité acide de ses larmes, elles redescendent ensuite en parcourant avec douceur son petit nez si mignon jusqu’à entrer en contact avec ses lèvres qui l’électrisent et le font vibrer.
Le baiser passionné qui s’ensuit ne laisserait aucun doute s’il y en avait seulement eu un seul, sur les sentiments incroyablement forts qui lient ces deux garçons et se continue, enlacé dans le grand lit jusqu’à ce qu’ils se soient remis de l’étrange moment d’émotion qui les a pris.
Les mains de Thomas caressent le dos de Florian avec la douceur d’une plume soulevé par le vent, celles du jeune rouquin se perdent dans la chevelure bouclée et son visage s’enfuit dedans pour y respirer ses senteurs particulières qu’il aime tant.
En changeant de position pour y arriver, Florian a dû se redresser légèrement et s’avancer suffisamment pour que les doigts avides de Thomas entrent en contact avec les petites fesses fermes et satinées qu’ils se mettent à malaxer en déclenchant des petits sons de bien-être de leur propriétaire.
Un petit sourire tout en tendresse anime le visage de Thomas quand il sent monter l’excitation de son ami, excitation qui gonfle le sexe de son chéri en se frottant lascivement contre le creux du sternum glabre du grand blond.
Les mains de Thomas quittent lentement le fessier si appétissant de Florian, elles descendent plus bas pour s’immiscer à l’intérieur de l’entrejambe duveteux et frotter avec envie la partie sensible juste au-dessous des bourses toutes remontées et tendues, collant les parties intimes du jeune rouquin contre son corps en les plaquant de chaque côté de la hampe d’une raideur extrême et palpitante.
Un son lancinant suivit d’un râle de gorge intense, précède de peu une humidité chaude et crémeuse lui inondant la poitrine, preuve s’il en faut de l’orgasme que vient de connaître Florian en retour de toute cette douceur et de ces caresses intimes auxquelles il n’a pu résister.
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (40/150) (Sydney)
« Le lendemain matin, à l’ouverture du bureau de la DBIFC »
Franck comme chaque matin allume son ordinateur et consulte les chiffres de l’entreprise, il vérifie en premier lieu les dépenses et les diverses facturations qui pour une entreprise de cette importance sont faramineuses.
Il valide ensuite les diverses demandes de primes envoyées par les différentes directions d’agences comme en chaque fin de mois, sourit en constatant qu’elles sont de plus en plus nombreuses et que c’est sans aucun doute dû à l’intervention motivante de Florian lors de la dernière fête de Noël, donnant aux salariés de l’entreprise l’envie encore plus marquée de donner de leurs personnes pour la pérennité de celle-ci.
Il arrive donc au bout d’un certain temps, aux derniers chiffres qui sont ceux des rentrées d’argent et des commandes en cours, sursautant involontairement sur ce dernier chiffre qui lui semble disproportionné par rapport à celui des mois précédents.
- Qu’est que c’est que ce binz ? Il doit y avoir une erreur ce n’est pas possible autrement !!
Quelques clics pour entrer dans le détail de la somme globale qu’il a sous les yeux lui font vite comprendre d’où vient cet état de fait et c’est en se positionnant confortablement au fond de son fauteuil qu’il fait dérouler la liste impressionnante de nouvelles commandes venant pour l’essentiel du Japon.
Un sourire de contentement vient petit à petit effacer la stupeur qui marquait jusque-là ses traits.
- Et bien !! Si je m’attendais à ça en t’envoyant là-bas !!
Franck prend le temps de lire une à une chaque commande dont la plus petite représente déjà une somme non négligeable, il prend ensuite son téléphone pour y composer un numéro qu’il connaît par cœur et attend les quelques longues secondes nécessaires à la connexion avec la France.
- Allô !! Michel ? C’est Franck !!
-…
- Tout va bien ne t’inquiète pas !! Je dirai même très bien et je tenais à t’en avertir sans tarder !!
-…
- Exactement oui !! Pas un mais au bas mot une bonne vingtaine de nouveaux contrats qui viennent de nous être passés. Tu ne devineras jamais grâce à qui ?
-…
- Pas de Florian, non !!
-…
- Non plus Hi ! Hi ! C’est notre futur PDG qui se lâche on dirait et crois-moi tu as fait le bon choix en pensant à lui pour me succéder !! Qui aurait cru, hein !!!
-…
- Au bas mot je dirais trois millions de dollars !!
-…
- Tu as bien entendu !! Ça ne fait pourtant qu’à peine quelques jours que je l’ai envoyé seul là-bas !!
-…
- (Franck surpris) Comment ça où ? Mais au Japon bien sûr !! Tu n’étais pas au courant ?
-…
- Bah !! C’est sans doute parce qu’ils sont trop occupés pour l’avoir fait Hi ! Hi !
-…
- Je ne pense pas, non ! J’ai fait promettre à Thomas qu’il devait se débrouiller seul, sans l’aide de Florian et tu le connais mieux que moi pour savoir qu’il n’est pas du genre à rompre ses promesses.
-…
- N’importe quoi !! Bien sûr que j’y ai cru !! Seulement je ne pensais pas qu’il apprendrait aussi vite !!
-…
- Nous verrons bien ce que l’avenir nous réserve encore comme surprises avec lui, en attendant je dois t’avouer que je partirai avec le sourire si comme j’en ai l’intime conviction, il sera largement à la hauteur de nos espérances.
-…
- Je suis au courant, les journaux en font mention même ici !! Apparemment les gens du cru apprécient déjà beaucoup notre petit gars, faut dire aussi qu’il y va fort Hi ! Hi !
-…
- Tu t’inquiètes pour rien !! Au vu de ce que j’entends sur lui, c’est plutôt de bon augure pour la suite ! Il n’y a pas de raisons que ça ne se passe pas aussi bien chez nous.
-…
- Ah oui au fait !! Qu’est-ce que ça donne ?
-…
- Tu vois bien que j’ai raison alors !! Maintenant que vous avez le terrain, j’imagine que les travaux devraient commencer dans la foulée ? Sinon, tout va bien par chez vous ?
-…
Franck se lève d’un bond, n’en croyant pas ses oreilles.
- De quoi !!!! Tu peux répéter ?
-…
- « Flo » est au courant ??
-…
Franck se rassoit en souriant.
- J’imagine que vous avez hâte de les connaître !!
-…
- Tu parles d’un scoop !! J’essaierai de venir vous voir quand ça se fera, je ne voudrais rater ça pour rien au monde !!!
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (41/150) (Kyoto) (Sixième jour)
« A l’heure du petit-déjeuner »
- Une bonne nouvelle les garçons, aujourd’hui c’est repos !
L’annonce d’Émile fait sourire les deux garçons près de lui.
- Tu veux dire qu’il n’y a rien de prévu ?
- Tu as bien entendu Florian, les discussions ne reprendront que demain matin.
- Wouah !! C’est cool !!
Thomas visiblement amusé de la gaieté subite de son copain.
- Qu’est-ce que tu vas faire alors ?
La question posée ingénument ne manque pas de faire l’effet escompté, le regard de chien battu que lui jette Florian prouve bien que ses intentions étaient belles et bien de passer la journée avec lui.
- J’ai du travail moi monsieur !!
- S’te plaît « Thom » !!
- Tu sais ce que j’ai promis à Franck ?
- Je t’attendrai dehors, promis !
- Humm !!! Tu es sûr ?
- Croix de bois, croix de fer !!
- D’accord alors, mais tu tiendras ta parole !
- Ouiiii !!!
Émile n’est pas sorti de la dernière pluie et connaissait déjà l’intention qu’ils auraient de passer la journée ensemble, il comprend que l’un comme l’autre n’aurait pu imaginer faire autrement.
- Profitez en les gars !! Vous méritez bien d’avoir du temps rien que pour vous deux.
- On va ou ?
- (Thomas) J’avais l’intention d’aller à Tokyo pour prospecter d’autres entreprises, j’ai déjà pris deux rendez-vous dans ce sens avec l’aide de Masako.
- Elle sera là aussi ?
- Non ! Elle a d’autres obligations aujourd’hui, je pensais y aller avec Joseph.
- Pas de soucis, on ira tous les trois alors !
***/***
« Tokyo, fin de matinée »
Il est presque l’heure du repas quand Thomas sort de son deuxième rendez-vous et que les trois amis décident qu’il est temps de chercher un endroit sympa pour se restaurer.
Le métro nous arrête au centre de la ville dans le quartier d’Otemachi, les gratte-ciel impressionnants nous font lever les yeux admiratifs et nous marchons ainsi pendant un assez long moment avant que le décor change du tout au tout et que nous nous retrouvions dans une autre époque, des jardins magnifiques et immenses cernent un palais des mille et une nuits aux remparts démontrant la grandeur et la magnificence des lieux.
- (Thomas en sifflant d’émerveillement) Pfittt !!! C’est quoi ce truc ?
- Le palais de l’empereur, c’est l’endroit où le mètre carré est le plus cher du monde.
- (Joseph surpris) Vraiment ? Mais c’est immense !!
- Plusieurs dizaines d’hectares rien que pour les jardins et là-bas, c’est le château tout aussi immense.
- (Thomas) Ça m’a l’air bien gardé en tous les cas, matez un peu tous les flics devant ce pont ? Dommage que nous ne puissions pas visiter, ça nous aurait fait un sacré souvenir !
Je me rappelle des paroles de l’empereur quand il m’a dit que je serai toujours le bienvenu dans sa famille, un petit sourire me prend quand l’idée fait son chemin.
- Ce que Thomas veut, dieu le veut Hi ! Hi ! Allons-y !!
- (Joseph avec un mouvement de recul) Tu n’y penses pas réellement Florian ?
- Bien sûr que si, pourquoi ?
- Parce que ça m’étonnerait beaucoup qu’on nous laisse entrer !!
- Sauf si nous y sommes invités Hi ! Hi !
- (Thomas) Masako serait avec nous je ne dis pas, mais là au débotté je ne crois pas que même toi tu y arriveras.
- C’est bien mal me connaître blondinet Hi ! Hi !
Thomas et Joseph voient alors leur ami partir d’un bon pas et se diriger vers deux hommes qui semblent faire du lèche-vitrine, ils assistent de loin à ce qui ressemble à une conversation.
Les deux hommes d’abord visiblement surpris d’être pris à partie alors qu’ils se croyaient bien invisibles des trois personnes qu’ils surveillent depuis leur arrivée sur le tarmac de l’aéroport, marquent visiblement et rapidement un certain intérêt aux paroles de Florian.
L’un des deux prend du recul et passe un appel téléphonique qui dure un certain temps alors que le jeune rouquin revient avec le sourire aux lèvres auprès de ses amis.
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (42/150) (Tokyo) (Sixième jour)
- (Joseph curieux) Qui sont ces gars ? Tu les connais ?
- Et bien « Jo » ? Pour un agent secret tu me surprends là !! Tu n’avais donc pas repéré leur manège depuis ce matin ?
- Tu veux dire que ce sont des flics ?
- Bah oui !!
Je capte du regard l’immense portail de l’autre côté du pont qui s’ouvre et laisse sortir un véhicule qui de toute évidence a un rapport direct avec la demande que je viens de formuler auprès des deux policiers en civil.
- M’est avis que ma demande a été prise en compte les gars !!
- (Thomas sidéré) Et bien !! C’est du rapide !! Comment tu as fait ?
- Tu apprendras mon cher Thomas que j’ai mes entrées chez l’empereur.
- (Joseph ahuri) Tu m’étonneras toujours toi, parole !!
Les deux hommes s’approchent de nous en faisant signe à la voiture de nous rejoindre, celle-ci se gare juste devant nos pieds et un autre homme en sort pour ouvrir la porte arrière après force courbettes qui ne manquent pas d’attirer l’attention des passants autour de nous.
Une fois dans le véhicule, celui-ci repart vers là d’où il vient et nous ne pouvons nous empêcher de coller nos visages aux vitres pour admirer les immenses douves que nous surplombons en traversant le pont.
La traversée des jardins nous laisse médusés par la beauté d’un autre âge de toutes ces plantations entretenues avec soins par les jardiniers du palais.
Nous arrivons bientôt devant l’entrée principale de celui-ci où un homme âgé que je reconnais comme étant Akihito lui-même nous attend avec un visible plaisir aux lèvres.
***/***
La voiture à peine à l’arrêt que Thomas voit en sortir son chéri qui s’élance alors vers ce vieil homme souriant, il voit également les visages incrédules des personnes autour du vieillard quand Florian lui tombe dans les bras et l’embrasse comme un ami de longue date, il se tourne alors vers Joseph.
- Ne me dis pas que c’est l’empereur ?
Le pauvre Joseph est tout aussi sidéré que le grand blond toujours assis près de lui.
- Qui veux-tu que ce soit d’autre ici ? Certainement pas le majordome Hi ! Hi !
- Eh bien ça alors !!!
***/***
« Sur le perron du palais »
L’empereur voit arriver sur lui le jeune rouquin qu’il a appris à apprécier, il ne marque aucun étonnement bien au contraire au fait que celui-ci se précipite vers lui et lui fasse les quatre bises qu’il prend à juste titre pour une marque d’affection venant de ce jeune garçon si attachant et pittoresque.
Quand Florian desserre son étreinte sur le vieil homme, celui-ci reste un instant ému de cet élan du cœur auquel il n’est et c’est peu de le dire, vraiment pas habitué.
- 私の子供私の家で歓迎します ! (Bienvenue dans ma maison mon enfant !)
- 私たちの受信を受け入れる持っているニースは、私 « トム ・ トム ・ » 訪問あなたの味覚とあなたの言葉を思い出した。 (C’est gentil d’avoir accepté de nous recevoir, mon « Thom Thom » voulait visiter ton palais et je me suis souvenu de tes paroles.)
- なぜまだ車の中ですか? (Pourquoi reste-t-il dans la voiture ?)
- それは内気なグランドと得た本当に感心するこんにちは !こんにちは! (C’est un grand timide et tu dois drôlement l’impressionner Hi ! Hi !)
- あなたの友人は、ようこそ私の食事を共有することがありますか? 我々 すべての時間をし、宮殿の訪問によって彼の好奇心を埋めるために。 (Tes amis sont les bienvenus, peut-être partagerez-vous mon repas si vous ne l’avez pas déjà pris ? Nous aurons tout le temps ensuite pour combler leurs curiosités en visitant le palais.)
- クール !私はちょうどあなたクック支払ったことガスのメモこんにちは願 っています !こんにちは!あなたが知っているので私と調理済みの食品私たちは混ざらない ! (Cool !! J’espère juste que ton cuistot a payé la note de gaz Hi ! Hi ! Parce que tu sais, moi et la nourriture pas cuite, on ne fait pas bon ménage !!)
***/***
À l’intérieur du véhicule tout comme d’ailleurs l’ensemble des personnes se tenant respectueusement autour de l’empereur et de son jeune invité, la stupeur est de mise quand ils voient Akihito rire de bon cœur d’une plaisanterie que Thomas n’en doute pas, a encore due lancer Florian pour le mettre dans un état pareil.
- Et voilà !! Il a encore fallu qu’il fasse le clown !!
« Vingt-trois heures, chambre de Florian et Thomas »
Je sors de la douche en enroulant autour de mes reins la serviette-éponge qui fait deux fois le tour de mon corps avant que j’en attrape la deuxième extrémité pour la coincer contre mon ventre.
Il n’y a que la veilleuse d’allumée, le corps nu de Thomas mis en valeur par cette lumière ténue me fait chaud au cœur et mes lèvres s’entrouvrent alors pour extérioriser une chanson qui m’amène la chair de poule en la fredonnant dans un souffle, tellement les paroles collent à la vision que j’ai en ce moment de mon ami.
« Chanson »
Quand tes cheveux s’étalent…
Comme un soleil d’été…
Et que ton oreiller…
Ressemble aux champs de blés…
Quand l’ombre et la lumière…
Dessinent sur ton corps…
Des montagnes, des forêts…
Et des îles aux trésors…
Que je t’aime…
« Thomas reste les yeux fermés en tentant de paraître endormi pour ne pas interrompre cette voix merveilleuse qu’il entend pour la première fois et qui lui noue l’âme dans un torrent d’émotions, lui démontrant à quel point Florian l’aime. »
Quand ta bouche se fait douce…
Quand ton corps se fait dur…
Quand le ciel dans tes yeux…
D’un seul coup n’est plus pur…
Quand tes mains voudraient bien…
Quand tes doigts n’osent pas…
Quand ta pudeur dit non…
D’une toute petite voix…
Que je t’aime… Que je t’aime…
« Thomas sent les larmes inonder ses orbites, ses yeux se crispent pour ne pas les laisser s’échapper et risquer de faire cesser cette voix d’ange qui s’adresse à lui comme un hymne à l’amour que lui porte celui qui a été, est et sera toujours tout pour lui. »
Quand tu n’te sens plus chatte…
Et que tu deviens chienne…
Et qu’à l’appel du loup…
Tu brises enfin tes chaînes…
Quand ton premier soupir…
Se finit dans un cri…
Quand c’est moi qui dis non…
Quand c’est toi qui dis oui…
Que je t’aime… Que je t’aime… Que je t’aime…
« Le cœur de Thomas résonne comme un tambour, il se retient pourtant de peur que Florian ne remarque qu’il est à surprendre ce qu’il a toujours tenu secret.
Pas son amour pour lui bien sûr, car il n’a jamais été sans le lui dire après, avant et pendant chaque câlin.
Mais cette voix intemporelle qui le charme en déclenchant en lui les sentiments les plus forts, tout comme les émotions les plus secrètes. »
Quand mon corps sur ton corps…
Lourd comme un cheval mort…
Ne sait pas, ne sait plus…
S’il existe encore…
Quand on a fait l’amour…
Comme d’autres font la guerre…
Quand c’est moi le soldat…
Qui meurt et qui la perd…
Que je t’aime… Que je t’aime… Que je t’aime…
« S’en est trop pour Thomas qui laisse cette fois s’écouler son trop-plein d’émotions, les dernières strophes de la chanson étant dites avec une telle émotion, une telle vérité dans le ton qu’il ne résiste plus et se dresse de son lit pour prendre dans ses bras son petit rouquin, inondé de larmes lui aussi et les yeux rougis par l’intensité de son ressenti. »
- Tu ne mourras pas mon chéri, tu ne me perdras pas non plus !! Pourquoi dis-tu ces paroles qui nous font mal à tous les deux ?
- J’aimerais tant que tu dises vrai « Thom » !! C’est grâce à toi que je suis ce que je suis, sans toi je n’existerai pas sur cette terre !!
- Qu’est-ce que tu racontes !! Tu n’es pas heureux avec nous ? Pourquoi ses pensées morbides ?
- Je le sens Thomas !! Quelque chose en moi me dit que ce que nous vivons depuis toutes ces années n’est qu’un leurre.
Le grand blond serre encore plus fort ses bras autour du corps fragile de son ami, voulant ainsi lui démontrer qu’il est bien réel.
Ses lèvres lui embrassent les paupières en récupérant ainsi l’humidité acide de ses larmes, elles redescendent ensuite en parcourant avec douceur son petit nez si mignon jusqu’à entrer en contact avec ses lèvres qui l’électrisent et le font vibrer.
Le baiser passionné qui s’ensuit ne laisserait aucun doute s’il y en avait seulement eu un seul, sur les sentiments incroyablement forts qui lient ces deux garçons et se continue, enlacé dans le grand lit jusqu’à ce qu’ils se soient remis de l’étrange moment d’émotion qui les a pris.
Les mains de Thomas caressent le dos de Florian avec la douceur d’une plume soulevé par le vent, celles du jeune rouquin se perdent dans la chevelure bouclée et son visage s’enfuit dedans pour y respirer ses senteurs particulières qu’il aime tant.
En changeant de position pour y arriver, Florian a dû se redresser légèrement et s’avancer suffisamment pour que les doigts avides de Thomas entrent en contact avec les petites fesses fermes et satinées qu’ils se mettent à malaxer en déclenchant des petits sons de bien-être de leur propriétaire.
Un petit sourire tout en tendresse anime le visage de Thomas quand il sent monter l’excitation de son ami, excitation qui gonfle le sexe de son chéri en se frottant lascivement contre le creux du sternum glabre du grand blond.
Les mains de Thomas quittent lentement le fessier si appétissant de Florian, elles descendent plus bas pour s’immiscer à l’intérieur de l’entrejambe duveteux et frotter avec envie la partie sensible juste au-dessous des bourses toutes remontées et tendues, collant les parties intimes du jeune rouquin contre son corps en les plaquant de chaque côté de la hampe d’une raideur extrême et palpitante.
Un son lancinant suivit d’un râle de gorge intense, précède de peu une humidité chaude et crémeuse lui inondant la poitrine, preuve s’il en faut de l’orgasme que vient de connaître Florian en retour de toute cette douceur et de ces caresses intimes auxquelles il n’a pu résister.
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (40/150) (Sydney)
« Le lendemain matin, à l’ouverture du bureau de la DBIFC »
Franck comme chaque matin allume son ordinateur et consulte les chiffres de l’entreprise, il vérifie en premier lieu les dépenses et les diverses facturations qui pour une entreprise de cette importance sont faramineuses.
Il valide ensuite les diverses demandes de primes envoyées par les différentes directions d’agences comme en chaque fin de mois, sourit en constatant qu’elles sont de plus en plus nombreuses et que c’est sans aucun doute dû à l’intervention motivante de Florian lors de la dernière fête de Noël, donnant aux salariés de l’entreprise l’envie encore plus marquée de donner de leurs personnes pour la pérennité de celle-ci.
Il arrive donc au bout d’un certain temps, aux derniers chiffres qui sont ceux des rentrées d’argent et des commandes en cours, sursautant involontairement sur ce dernier chiffre qui lui semble disproportionné par rapport à celui des mois précédents.
- Qu’est que c’est que ce binz ? Il doit y avoir une erreur ce n’est pas possible autrement !!
Quelques clics pour entrer dans le détail de la somme globale qu’il a sous les yeux lui font vite comprendre d’où vient cet état de fait et c’est en se positionnant confortablement au fond de son fauteuil qu’il fait dérouler la liste impressionnante de nouvelles commandes venant pour l’essentiel du Japon.
Un sourire de contentement vient petit à petit effacer la stupeur qui marquait jusque-là ses traits.
- Et bien !! Si je m’attendais à ça en t’envoyant là-bas !!
Franck prend le temps de lire une à une chaque commande dont la plus petite représente déjà une somme non négligeable, il prend ensuite son téléphone pour y composer un numéro qu’il connaît par cœur et attend les quelques longues secondes nécessaires à la connexion avec la France.
- Allô !! Michel ? C’est Franck !!
-…
- Tout va bien ne t’inquiète pas !! Je dirai même très bien et je tenais à t’en avertir sans tarder !!
-…
- Exactement oui !! Pas un mais au bas mot une bonne vingtaine de nouveaux contrats qui viennent de nous être passés. Tu ne devineras jamais grâce à qui ?
-…
- Pas de Florian, non !!
-…
- Non plus Hi ! Hi ! C’est notre futur PDG qui se lâche on dirait et crois-moi tu as fait le bon choix en pensant à lui pour me succéder !! Qui aurait cru, hein !!!
-…
- Au bas mot je dirais trois millions de dollars !!
-…
- Tu as bien entendu !! Ça ne fait pourtant qu’à peine quelques jours que je l’ai envoyé seul là-bas !!
-…
- (Franck surpris) Comment ça où ? Mais au Japon bien sûr !! Tu n’étais pas au courant ?
-…
- Bah !! C’est sans doute parce qu’ils sont trop occupés pour l’avoir fait Hi ! Hi !
-…
- Je ne pense pas, non ! J’ai fait promettre à Thomas qu’il devait se débrouiller seul, sans l’aide de Florian et tu le connais mieux que moi pour savoir qu’il n’est pas du genre à rompre ses promesses.
-…
- N’importe quoi !! Bien sûr que j’y ai cru !! Seulement je ne pensais pas qu’il apprendrait aussi vite !!
-…
- Nous verrons bien ce que l’avenir nous réserve encore comme surprises avec lui, en attendant je dois t’avouer que je partirai avec le sourire si comme j’en ai l’intime conviction, il sera largement à la hauteur de nos espérances.
-…
- Je suis au courant, les journaux en font mention même ici !! Apparemment les gens du cru apprécient déjà beaucoup notre petit gars, faut dire aussi qu’il y va fort Hi ! Hi !
-…
- Tu t’inquiètes pour rien !! Au vu de ce que j’entends sur lui, c’est plutôt de bon augure pour la suite ! Il n’y a pas de raisons que ça ne se passe pas aussi bien chez nous.
-…
- Ah oui au fait !! Qu’est-ce que ça donne ?
-…
- Tu vois bien que j’ai raison alors !! Maintenant que vous avez le terrain, j’imagine que les travaux devraient commencer dans la foulée ? Sinon, tout va bien par chez vous ?
-…
Franck se lève d’un bond, n’en croyant pas ses oreilles.
- De quoi !!!! Tu peux répéter ?
-…
- « Flo » est au courant ??
-…
Franck se rassoit en souriant.
- J’imagine que vous avez hâte de les connaître !!
-…
- Tu parles d’un scoop !! J’essaierai de venir vous voir quand ça se fera, je ne voudrais rater ça pour rien au monde !!!
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (41/150) (Kyoto) (Sixième jour)
« A l’heure du petit-déjeuner »
- Une bonne nouvelle les garçons, aujourd’hui c’est repos !
L’annonce d’Émile fait sourire les deux garçons près de lui.
- Tu veux dire qu’il n’y a rien de prévu ?
- Tu as bien entendu Florian, les discussions ne reprendront que demain matin.
- Wouah !! C’est cool !!
Thomas visiblement amusé de la gaieté subite de son copain.
- Qu’est-ce que tu vas faire alors ?
La question posée ingénument ne manque pas de faire l’effet escompté, le regard de chien battu que lui jette Florian prouve bien que ses intentions étaient belles et bien de passer la journée avec lui.
- J’ai du travail moi monsieur !!
- S’te plaît « Thom » !!
- Tu sais ce que j’ai promis à Franck ?
- Je t’attendrai dehors, promis !
- Humm !!! Tu es sûr ?
- Croix de bois, croix de fer !!
- D’accord alors, mais tu tiendras ta parole !
- Ouiiii !!!
Émile n’est pas sorti de la dernière pluie et connaissait déjà l’intention qu’ils auraient de passer la journée ensemble, il comprend que l’un comme l’autre n’aurait pu imaginer faire autrement.
- Profitez en les gars !! Vous méritez bien d’avoir du temps rien que pour vous deux.
- On va ou ?
- (Thomas) J’avais l’intention d’aller à Tokyo pour prospecter d’autres entreprises, j’ai déjà pris deux rendez-vous dans ce sens avec l’aide de Masako.
- Elle sera là aussi ?
- Non ! Elle a d’autres obligations aujourd’hui, je pensais y aller avec Joseph.
- Pas de soucis, on ira tous les trois alors !
***/***
« Tokyo, fin de matinée »
Il est presque l’heure du repas quand Thomas sort de son deuxième rendez-vous et que les trois amis décident qu’il est temps de chercher un endroit sympa pour se restaurer.
Le métro nous arrête au centre de la ville dans le quartier d’Otemachi, les gratte-ciel impressionnants nous font lever les yeux admiratifs et nous marchons ainsi pendant un assez long moment avant que le décor change du tout au tout et que nous nous retrouvions dans une autre époque, des jardins magnifiques et immenses cernent un palais des mille et une nuits aux remparts démontrant la grandeur et la magnificence des lieux.
- (Thomas en sifflant d’émerveillement) Pfittt !!! C’est quoi ce truc ?
- Le palais de l’empereur, c’est l’endroit où le mètre carré est le plus cher du monde.
- (Joseph surpris) Vraiment ? Mais c’est immense !!
- Plusieurs dizaines d’hectares rien que pour les jardins et là-bas, c’est le château tout aussi immense.
- (Thomas) Ça m’a l’air bien gardé en tous les cas, matez un peu tous les flics devant ce pont ? Dommage que nous ne puissions pas visiter, ça nous aurait fait un sacré souvenir !
Je me rappelle des paroles de l’empereur quand il m’a dit que je serai toujours le bienvenu dans sa famille, un petit sourire me prend quand l’idée fait son chemin.
- Ce que Thomas veut, dieu le veut Hi ! Hi ! Allons-y !!
- (Joseph avec un mouvement de recul) Tu n’y penses pas réellement Florian ?
- Bien sûr que si, pourquoi ?
- Parce que ça m’étonnerait beaucoup qu’on nous laisse entrer !!
- Sauf si nous y sommes invités Hi ! Hi !
- (Thomas) Masako serait avec nous je ne dis pas, mais là au débotté je ne crois pas que même toi tu y arriveras.
- C’est bien mal me connaître blondinet Hi ! Hi !
Thomas et Joseph voient alors leur ami partir d’un bon pas et se diriger vers deux hommes qui semblent faire du lèche-vitrine, ils assistent de loin à ce qui ressemble à une conversation.
Les deux hommes d’abord visiblement surpris d’être pris à partie alors qu’ils se croyaient bien invisibles des trois personnes qu’ils surveillent depuis leur arrivée sur le tarmac de l’aéroport, marquent visiblement et rapidement un certain intérêt aux paroles de Florian.
L’un des deux prend du recul et passe un appel téléphonique qui dure un certain temps alors que le jeune rouquin revient avec le sourire aux lèvres auprès de ses amis.
2eme ANNÉE avant Pâques (dernière partie) : (42/150) (Tokyo) (Sixième jour)
- (Joseph curieux) Qui sont ces gars ? Tu les connais ?
- Et bien « Jo » ? Pour un agent secret tu me surprends là !! Tu n’avais donc pas repéré leur manège depuis ce matin ?
- Tu veux dire que ce sont des flics ?
- Bah oui !!
Je capte du regard l’immense portail de l’autre côté du pont qui s’ouvre et laisse sortir un véhicule qui de toute évidence a un rapport direct avec la demande que je viens de formuler auprès des deux policiers en civil.
- M’est avis que ma demande a été prise en compte les gars !!
- (Thomas sidéré) Et bien !! C’est du rapide !! Comment tu as fait ?
- Tu apprendras mon cher Thomas que j’ai mes entrées chez l’empereur.
- (Joseph ahuri) Tu m’étonneras toujours toi, parole !!
Les deux hommes s’approchent de nous en faisant signe à la voiture de nous rejoindre, celle-ci se gare juste devant nos pieds et un autre homme en sort pour ouvrir la porte arrière après force courbettes qui ne manquent pas d’attirer l’attention des passants autour de nous.
Une fois dans le véhicule, celui-ci repart vers là d’où il vient et nous ne pouvons nous empêcher de coller nos visages aux vitres pour admirer les immenses douves que nous surplombons en traversant le pont.
La traversée des jardins nous laisse médusés par la beauté d’un autre âge de toutes ces plantations entretenues avec soins par les jardiniers du palais.
Nous arrivons bientôt devant l’entrée principale de celui-ci où un homme âgé que je reconnais comme étant Akihito lui-même nous attend avec un visible plaisir aux lèvres.
***/***
La voiture à peine à l’arrêt que Thomas voit en sortir son chéri qui s’élance alors vers ce vieil homme souriant, il voit également les visages incrédules des personnes autour du vieillard quand Florian lui tombe dans les bras et l’embrasse comme un ami de longue date, il se tourne alors vers Joseph.
- Ne me dis pas que c’est l’empereur ?
Le pauvre Joseph est tout aussi sidéré que le grand blond toujours assis près de lui.
- Qui veux-tu que ce soit d’autre ici ? Certainement pas le majordome Hi ! Hi !
- Eh bien ça alors !!!
***/***
« Sur le perron du palais »
L’empereur voit arriver sur lui le jeune rouquin qu’il a appris à apprécier, il ne marque aucun étonnement bien au contraire au fait que celui-ci se précipite vers lui et lui fasse les quatre bises qu’il prend à juste titre pour une marque d’affection venant de ce jeune garçon si attachant et pittoresque.
Quand Florian desserre son étreinte sur le vieil homme, celui-ci reste un instant ému de cet élan du cœur auquel il n’est et c’est peu de le dire, vraiment pas habitué.
- 私の子供私の家で歓迎します ! (Bienvenue dans ma maison mon enfant !)
- 私たちの受信を受け入れる持っているニースは、私 « トム ・ トム ・ » 訪問あなたの味覚とあなたの言葉を思い出した。 (C’est gentil d’avoir accepté de nous recevoir, mon « Thom Thom » voulait visiter ton palais et je me suis souvenu de tes paroles.)
- なぜまだ車の中ですか? (Pourquoi reste-t-il dans la voiture ?)
- それは内気なグランドと得た本当に感心するこんにちは !こんにちは! (C’est un grand timide et tu dois drôlement l’impressionner Hi ! Hi !)
- あなたの友人は、ようこそ私の食事を共有することがありますか? 我々 すべての時間をし、宮殿の訪問によって彼の好奇心を埋めるために。 (Tes amis sont les bienvenus, peut-être partagerez-vous mon repas si vous ne l’avez pas déjà pris ? Nous aurons tout le temps ensuite pour combler leurs curiosités en visitant le palais.)
- クール !私はちょうどあなたクック支払ったことガスのメモこんにちは願 っています !こんにちは!あなたが知っているので私と調理済みの食品私たちは混ざらない ! (Cool !! J’espère juste que ton cuistot a payé la note de gaz Hi ! Hi ! Parce que tu sais, moi et la nourriture pas cuite, on ne fait pas bon ménage !!)
***/***
À l’intérieur du véhicule tout comme d’ailleurs l’ensemble des personnes se tenant respectueusement autour de l’empereur et de son jeune invité, la stupeur est de mise quand ils voient Akihito rire de bon cœur d’une plaisanterie que Thomas n’en doute pas, a encore due lancer Florian pour le mettre dans un état pareil.
- Et voilà !! Il a encore fallu qu’il fasse le clown !!
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