CHAPITRE XV (Fin du chapitre)
Alice sourit.
- Bon d’accord. On avait dit juste essayer.
- Ah tu vois ! La mémoire te revient subitement.
Alice enfile la petite culotte.
- Alors ?
- Merveilleux ma puce. Tu as un fessier fantastique. Elle te va très bien et je t’assure que ça ne fait même pas déplacé, juste sexy. Va te regarder dans la glace, tu verras.
Je la rejoins dans la salle de bain.
- Tu en penses quoi ?
- Oui c’est vrai. Tu as raison. Elle me fait un joli petit cul et c’est tout mignon. Je n’aurai jamais osé porter ça. Tu l’as achetée où ?
- Au magasin sur la rue principale, juste après la rue Saint-Jean.
- Ah oui, je connais une des vendeuses qui travaille là-bas.
- Johanna ?
- Comment tu sais ?
- C’est elle qui m’a conseillée et elle m’a dit qu’elle montait elle aussi. Donc j’ai fait le rapprochement.
- Je me suis entraînée avec elle en fin d'après-midi. Je l'aime bien. Elle est moins sophistiquée que les autres. Elle a un cheval blanc tout comme « Voie-Lactée ».
- Je peux retirer les nœuds ?
- Une autre fois si tu veux bien mon chéri. Là, je suis fatiguée.
- Tu as raison ma puce. C’est plus sage et on n’a pas arrêté une seule seconde tous les deux. On va se coucher chez nous pour la première fois. Je suis super content et je suis fier de toi. Tu as travaillé comme une forcenée.
- Je voulais que ça ne traîne pas trop pour en profiter au maximum et je ne suis pas déçue du résultat. Allez viens. Au dodo mon chéri. Je fignolerai demain matin. Je suis de soirée. Je t'aime.
Alice sourit.
- Bon d’accord. On avait dit juste essayer.
- Ah tu vois ! La mémoire te revient subitement.
Alice enfile la petite culotte.
- Alors ?
- Merveilleux ma puce. Tu as un fessier fantastique. Elle te va très bien et je t’assure que ça ne fait même pas déplacé, juste sexy. Va te regarder dans la glace, tu verras.
Je la rejoins dans la salle de bain.
- Tu en penses quoi ?
- Oui c’est vrai. Tu as raison. Elle me fait un joli petit cul et c’est tout mignon. Je n’aurai jamais osé porter ça. Tu l’as achetée où ?
- Au magasin sur la rue principale, juste après la rue Saint-Jean.
- Ah oui, je connais une des vendeuses qui travaille là-bas.
- Johanna ?
- Comment tu sais ?
- C’est elle qui m’a conseillée et elle m’a dit qu’elle montait elle aussi. Donc j’ai fait le rapprochement.
- Je me suis entraînée avec elle en fin d'après-midi. Je l'aime bien. Elle est moins sophistiquée que les autres. Elle a un cheval blanc tout comme « Voie-Lactée ».
- Je peux retirer les nœuds ?
- Une autre fois si tu veux bien mon chéri. Là, je suis fatiguée.
- Tu as raison ma puce. C’est plus sage et on n’a pas arrêté une seule seconde tous les deux. On va se coucher chez nous pour la première fois. Je suis super content et je suis fier de toi. Tu as travaillé comme une forcenée.
- Je voulais que ça ne traîne pas trop pour en profiter au maximum et je ne suis pas déçue du résultat. Allez viens. Au dodo mon chéri. Je fignolerai demain matin. Je suis de soirée. Je t'aime.
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