03-09-2020, 04:38 PM
(Modification du message : 03-09-2020, 04:45 PM par laurentdu51100.)
2eme ANNÉE avant Pâques (deuxième partie) : (45 / 150) (Vendredi) (Afrique) (fin)
Naomé la gorge sèche soudainement, attend que Taha poursuive en ne quittant pas ses yeux qui le fixent également avec avidité.
Un sourire tout en tendresse commence à transformer le visage de Taha qui ressoude ses lèvres sur celles de Naomé qui se laisse aller, son esprit baignant soudainement dans un nuage de félicité.
Taha lui caresse doucement les hanches en y retrouvant cette douceur qui lui a amené tant de moments de plaisirs, sous l’effet de cette caresse lancinante, les deux étuis péniens se redressent et se heurtent comme dans un combat moyenâgeux, amenant le rire aux deux garçons qui les transfigure et montre bien l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre.
Taha sait que pour Naomé il a toujours été le seul, que son ami a toujours depuis le début de leurs jeux alors purement éducatifs refusé tout contact avec les autres garçons pourtant attirés par sa féminité déjà à cette époque-là à fleur de peau.
Lui en a connu d’autres pendant ses années, mais jamais il n’a été aussi loin avec eux qu’avec son ami qui était le seul à le recevoir en lui en gémissant d’un plaisir intense qui le faisait vibrer plus qu’avec tout autre et l’amenait à chaque fois à un orgasme qui le laissait exsangue serré contre son corps à la douceur incomparable.
- Tu sais que nous devrons toujours nous cacher ? Es-tu prêt à accepter cela ?
- Pour te garder je suis prêt à tout Taha, tu es depuis toujours celui que j’aime de tout mon cœur et toi ? Ne te lasseras-tu pas de moi quand tu auras pris une épouse ?
- J’y ai réfléchi depuis que tu es parti et c’est seulement maintenant que j’en ai la réponse, je veux te garder dans ma vie et dans mon cœur Naomé et rien ne changera jamais cette promesse que je te fais aujourd’hui, que nos dieux en soient témoins.
- C’est ton voyage au pays des hommes blancs qui t’a autant changé ? Avant ton départ je suis sûr que tu n’aurais jamais dit tout ça et même que tu n’y aurais même pas pensé, je le sentais bien au fond de mon ventre à ce moment-là.
- Tu as sans doute raison !! J’ai connu là-bas des garçons tolérants qui voyaient la vie autrement que nos coutumes nous l’enseignaient, mon père m’a aussi guidé pour que je fasse le choix qui serait pour moi le meilleur et ce sans me juger, en me faisant comprendre que les coutumes ne sont en fait pas aussi rigides qu’il n’y paraît et qu’il est possible de les modifier si la vie évolue.
Les deux bambous creux enserrant leurs sexes sont toujours dressés vers le ciel et prouvent que même toutes ses paroles n’ôtent en rien l’envie qu’ils ont de leurs corps respectifs.
Taha les regarde amusé :
- Nous voilà bien avec ça Hi ! Hi !
- Je connais un moyen pour qu’ils reprennent une position moins choquante pour les braves sœurs Hi ! Hi !
- Ah oui ? Et tu proposes quoi ?
- Suis-moi et tu verras bien !!
Taha se laisse emmener par son ami qui lui a pris la main et se dirige vers une hutte où est rangé le bois de chauffage pour les nuits plus fraîches de l’hiver, celle-ci en ce mois de janvier est quasiment vide et leur laissera la place nécessaire pour assouvir leurs envies de se câliner.
Sa vision est obnubilée par la belle paire de fesses musclées remuantes de si belle façon sous la marche nerveuse de Naomé, Taha sent l’humidité à l’intérieur de son étui qui s’écoule le long de sa hampe dressée et ses lèvres se mordillent d’envies comprenant que son sexe a lui déjà commencé à préparer sa conquête en douceur de ce qui se cache encore entre les deux globes imberbes de Naomé.
La liane ceinturant leurs reins et qui maintient l’étui en place est vite dénouée, Naomé s’agenouillant le dos tourné vers son ami et se cambrant d’envie en attente de ressentir ce qu’il n’aurait plus imaginé un jour recevoir au plus profond de son intimité et que déjà il attend avec fièvre.
Taha se positionne derrière son ami, ses mains jouent un long moment avec ses muscles dorsaux avant de passer sur sa poitrine en tremblant d’excitation et de la lui caresser en pinçant doucement les tétons qu’il sait particulièrement sensible de son ami.
Naomé geint comme une fille en chaleur et ce son rend encore plus fou Taha qui d’un mouvement fluide amène son gland tout contre la corolle déjà ouverte en attente de la pénétration qui le remplit dans un geste d’une virilité manifeste en lui faisant pousser un feulement de plaisir tout en cambrant encore plus ses reins pour mieux le sentir en lui.
Le corps vibrant de Naomé rend encore plus fou de désir Taha qui se serre encore plus fort contre son ami en lui embrassant le cou et la gorge d’où s’échappent toujours ses sons électrisants qui l’amènent à un orgasme puissant, le faisant se déverser et féconder son amant plus que consentant qui à son tour expulse son jus de jeune mâle sur la bûche de bois sur laquelle il s’est accoudé.
Trois fois ils feront l’amour et à chaque fois avec une position différente, quand ils sortent enfin de la hutte c’est avec les étuis péniens claquant sur leurs cuisses et pas prêt avant un long moment à réitérer leurs envies de contempler le ciel.
Le père Antoine les voit entrer dans le dispensaire, leurs visages soulagés d’un grand poids et il comprend que ces deux garçons qu’il a appris à aimer se sont enfin retrouvés.
- Il est l’heure du repas mes enfants, je ne crois pas me tromper en pensant que vous devez avoir une faim de loup.
- (Taha) En effet mon père et après ça je pense dormir jusqu’au soir
Naomé le regard perdu sur son ami :
- Moi aussi mon père.
- (Le père Antoine) C’est parfait alors, mangeons et profitons de ce repas que dieu nous donne. Asseyez-vous mes enfants, vous me semblez particulièrement épuisés.
- (Taha) J’ai retrouvé mon ami mon père, je tenais à ce que vous en soyez avertis.
- Je m’en étais bien rendu compte mon garçon et j’en suis heureux pour vous deux-même si cela doit rester entre nous.
- Mon père en sera lui aussi averti père Antoine, je ne pourrais lui cacher un tel bonheur.
- Je sais qu’il comprendra Taha, ton père est un homme de bien.
2eme ANNÉE avant Pâques (deuxième partie) : (46 / 150) (Vendredi) (Romain) (Paris)
« Six heures du matin, chez Jean Baptiste »
Romain ouvre un œil, dérangé par le bruit et la lumière du jour entrant dans la chambre, sa première vision lui amène un rictus d’amusement en voyant Jean Baptiste juste vêtu d’un caleçon, qui repasse son uniforme.
- En voilà une tenue dans la chambre d’un jeune garçon innocent !!
Jean Baptiste tourne la tête et sourit à son ami.
- Excuse-moi de t’avoir réveillé si tôt mais c’est cette chambre qui me sert d’habitude de lingerie et je n’avais plus d’uniformes d’avance pour me mettre sur le dos.
- C’est pas grave, de toute façon il est bientôt l’heure pour moi aussi et puis ce n’est pas tous les matins que j’ai la chance de voir un si beau caleçon à fleurs Hi ! Hi !
- C’est ça moque toi !! J’avoue que ce n’est pas très sexy mais bon !! Je ne m’exhibe pas non plus avec devant tout le monde, le principal c’est que je me sente bien dedans.
- Vu comment il est large, tu serais à poils ce serait pareil pour toi, non ?
Jean Baptiste tourne la tête une seconde fois en faisant un clin d’œil à son ami.
- C’est pour ça justement que je suis bien dedans, le drap de l’uniforme est trop rêche pour que je ne porte pas de sous-vêtements, j’ai déjà essayé mais ça me fait bander sans arrêt et ce n’est pas le top pour me balader dans la rue.
Romain ne répond pas, trop hypnotiser par la vision de cette chute de reins cambrée naturellement et qui met en valeur deux belles fesses bombées qui commencent à lui faire un effet certain.
Jean Baptiste qui a repris son repassage ne s’aperçoit évidemment de rien et continue sa discussion comme si de rien n’était.
- Et toi ? Plutôt slip ou caleçon ?
- Slip ou boxer !! Je n’aime pas avoir les baloches qui vont dans tous les sens quand je marche.
Jean Baptiste ricane, ce qui bien sûr interpelle Romain.
- Quoi encore ?? Qu’est-ce que j’ai dit d’aussi drôle ?
- Rien juste que je me disais que c’était surtout pour pas qu’elles traînent par terre Hi ! Hi !
- C’est ça !! Moque-toi de ma petite taille !!
Jean Baptiste ne répond pas mais son ami voit bien qu’il se marre encore comme une baleine aux soubresauts de ses épaules.
- C’est pour ça que je ne t’intéresse pas ? Je suis trop petit pour toi ?
Jean Baptiste se fige soudainement.
- Qu’est-ce que tu viens de dire ??
- Tu m’as très bien entendu !!
- D’où tu sors une connerie pareille ?
- Ce n’est pas pour cette raison alors ?
- Bien sûr que non !!
- Pourquoi alors ?
- Mais enfin « Rom » ?? Qu’est ce qui te prend ce matin ?
- Je suis gay « JB » !!
- Tu crois être le seul peut être ?
- Mais non !! Tu ne comprends vraiment rien ou tu le fais exprès ?
Jean Baptiste depuis quelques secondes, a le cœur qui bat à cent à l’heure et un sourire mêlant le plaisir et l’émotion illumine son visage, il reste dos tourné à Romain pour qu’il ne s’aperçoive de rien.
Il ne pense juste pas à un truc que Romain de son côté ne manque pas de remarquer, Jean Baptiste a le sexe qui se tend d’une magnifique érection et fait bouger son caleçon qui vu de l’arrière remonte sur ses cuisses en s’insérant légèrement dans ses fesses.
- Je t’ai posé une question « JB » ?
- J’ai entendu !! Je cherche juste à comprendre où tu veux en venir avec cette histoire ?
Romain se glisse sans bruit jusqu’au bord du lit et tend lentement la main qui passe subrepticement entre une cuisse et le tissu du sous-vêtement.
- Ça peut être pratique d’être petit tu sais !
Il attrape alors la hampe toute dure qui lui amène un sourire de victoire et fait sursauter son ami qui ne cherche en aucune façon à échapper à cette prise en main.
- Je peux me glisser partout par surprise et constater in manu quand on essaie de me raconter des craques, alors comme ça, tu ne comprends pas où je veux en venir sale menteur !!
2eme ANNÉE avant Pâques (deuxième partie) : (47 / 150) (Vendredi) (Romain) (Paris) (fin)
Jean Baptiste frémit au contact de cette main menue qui lui caresse maintenant le sexe, bientôt rejointe par sa sœur jumelle qui passe par l’autre jambe pour lui peloter outrageusement les burnes.
Il pose son fer à repasser et s’accoude sur la table, il se cambre en écartant bien les jambes pour faciliter les manipulations de son ami qui ne se prive pas devant sa réaction de lui prodiguer avec envie ces caresses sur ce sexe tout chaud et palpitant de désir.
Le caleçon à un effet aphrodisiaque pour Romain qui en mouille son slip d’excitation, le fait de farfouiller à l’intérieur de celui-ci dans l’intimité de son ami déclenche en lui une forte libido qui le rend encore plus fébrile dans son besoin d’exploration.
Son pouce s’insinue dans la raie humide de Jean baptiste et frotte son petit trou palpitant de façon virile et possessive qui lui amène un râle mêlant la surprise et le plaisir, Romain comprend l’envie que son geste procure à son compagnon et son pouce forçant doucement le passage, entre sans coup férir dans l’anus quémandeur.
Il sent Jean Baptiste trembler de tout son corps et accélère ses caresses en privilégiant le gland décalotté et humide qu’il masse dans le creux que forment son pouce et son index.
Le résultat est à la hauteur de ses espérances quand il sent le gland prendre soudainement plus de volume et sa hampe s’arquer en libérant l’orgasme de son ami, qui lâche tout dans son caleçon en mettant un grand coup de reins en arrière pour mieux sentir encore le doigt inquisiteur toujours en pleine exploration de son fondement et qui se sent soudainement enserrer par des muscles anaux puissants, prouvant l’extrême plaisir que ressent Jean Baptiste à cette gâterie inattendue.
Romain satisfait de son effet récupère avec deux doigts un peu du sperme trempant le sous-vêtement et les amène d’abord à ses narines pour en sentir l’odeur musquée avant de les porter à sa bouche pour se délecter de ce jus épais au goût si particulier qu’il découvre pour la première fois.
Jean Baptiste sort rapidement de la chambre sans rien dire, encore troublé par ce qu’il vient de lui arriver et Romain entend l’eau de la douche en se demandant ce que signifie ce départ rapide et silencieux.
Il espère ne pas avoir choqué son ami et que celui-ci ne lui en veuille pas d’avoir été aussi entreprenant, le plaisir qu’il a pris rassure quelque peu le jeune homme qui attend son retour avec quand même une légère boule à l’estomac.
Jean Baptiste revient quelques minutes plus tard le corps ceint d’une serviette de bain, il fixe d’un regard acéré le petit gars au visage si mignon avec son nez en trompette et ses oreilles décollées et découvre en cachant son amusement, le stress de Romain à ses gestes inconsidérés qui lui ont amené autant de plaisir.
Il récupère les vêtements de son ami en prenant soin de n’en oublier aucun, le visage de Romain se crispe de déception devant son geste qui pour le jeune homme ne prête à aucun sous-entendu quand à ce qu’il va s’en suivre.
Il souhaiterait revenir une demi-heure en arrière et n’avoir pas eu ses attouchements sur son ami, mais comprend bien sûr que c’est impossible et qu’il doit s’en prendre qu’à lui de se faire jeter dehors.
- Excuse-moi Jean Baptiste, je ne sais pas ce qu’il m’a pris de faire ça !!
Jean Baptiste jubile et profite de ce qu’il se soit levé pour lui mettre ses vêtements dans ses bras, il prend Romain par une épaule et le pousse doucement mais avec fermeté en dehors de la chambre.
- Ton geste aura eu au moins le mérite de redonner à cette chambre l’utilité qu’elle a pour moi.
Il pousse Romain dans le couloir en matant sans s’en priver son corps fin et ciseler aux petites fesses divinement arrondies parfaitement mises en valeur dans son petit slip blanc et ouvre la pièce juste en face en le poussant toujours avec une extrême douceur à l’intérieur.
Romain ne comprend plus rien à ce qu’il lui arrive quand il se sent pousser dans la chambre de Jean Baptiste, jusqu’à ce que celui-ci lui en donne l’explication d’une voix marquée d’amusement de s’être joué de lui et de son stress.
- Celle-ci par contre est tout indiquée pour que tu y mettes tes petites fesses quand tu viendras coucher chez et avec moi Hi ! Hi !
Sa dernière phrase s’est dite en même temps que les mains de Jean Baptiste s’emparent des deux globes rebondis qu’il malaxe avec une évidente envie de les découvrir plus dans le détail et sa serviette de bain s’éveille sur le devant sous la remontée spectaculaire d’une envie loin d’être rassasiée et qui il le sent bien ne va pas les mettre en avance pour leurs boulots.
Naomé la gorge sèche soudainement, attend que Taha poursuive en ne quittant pas ses yeux qui le fixent également avec avidité.
Un sourire tout en tendresse commence à transformer le visage de Taha qui ressoude ses lèvres sur celles de Naomé qui se laisse aller, son esprit baignant soudainement dans un nuage de félicité.
Taha lui caresse doucement les hanches en y retrouvant cette douceur qui lui a amené tant de moments de plaisirs, sous l’effet de cette caresse lancinante, les deux étuis péniens se redressent et se heurtent comme dans un combat moyenâgeux, amenant le rire aux deux garçons qui les transfigure et montre bien l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre.
Taha sait que pour Naomé il a toujours été le seul, que son ami a toujours depuis le début de leurs jeux alors purement éducatifs refusé tout contact avec les autres garçons pourtant attirés par sa féminité déjà à cette époque-là à fleur de peau.
Lui en a connu d’autres pendant ses années, mais jamais il n’a été aussi loin avec eux qu’avec son ami qui était le seul à le recevoir en lui en gémissant d’un plaisir intense qui le faisait vibrer plus qu’avec tout autre et l’amenait à chaque fois à un orgasme qui le laissait exsangue serré contre son corps à la douceur incomparable.
- Tu sais que nous devrons toujours nous cacher ? Es-tu prêt à accepter cela ?
- Pour te garder je suis prêt à tout Taha, tu es depuis toujours celui que j’aime de tout mon cœur et toi ? Ne te lasseras-tu pas de moi quand tu auras pris une épouse ?
- J’y ai réfléchi depuis que tu es parti et c’est seulement maintenant que j’en ai la réponse, je veux te garder dans ma vie et dans mon cœur Naomé et rien ne changera jamais cette promesse que je te fais aujourd’hui, que nos dieux en soient témoins.
- C’est ton voyage au pays des hommes blancs qui t’a autant changé ? Avant ton départ je suis sûr que tu n’aurais jamais dit tout ça et même que tu n’y aurais même pas pensé, je le sentais bien au fond de mon ventre à ce moment-là.
- Tu as sans doute raison !! J’ai connu là-bas des garçons tolérants qui voyaient la vie autrement que nos coutumes nous l’enseignaient, mon père m’a aussi guidé pour que je fasse le choix qui serait pour moi le meilleur et ce sans me juger, en me faisant comprendre que les coutumes ne sont en fait pas aussi rigides qu’il n’y paraît et qu’il est possible de les modifier si la vie évolue.
Les deux bambous creux enserrant leurs sexes sont toujours dressés vers le ciel et prouvent que même toutes ses paroles n’ôtent en rien l’envie qu’ils ont de leurs corps respectifs.
Taha les regarde amusé :
- Nous voilà bien avec ça Hi ! Hi !
- Je connais un moyen pour qu’ils reprennent une position moins choquante pour les braves sœurs Hi ! Hi !
- Ah oui ? Et tu proposes quoi ?
- Suis-moi et tu verras bien !!
Taha se laisse emmener par son ami qui lui a pris la main et se dirige vers une hutte où est rangé le bois de chauffage pour les nuits plus fraîches de l’hiver, celle-ci en ce mois de janvier est quasiment vide et leur laissera la place nécessaire pour assouvir leurs envies de se câliner.
Sa vision est obnubilée par la belle paire de fesses musclées remuantes de si belle façon sous la marche nerveuse de Naomé, Taha sent l’humidité à l’intérieur de son étui qui s’écoule le long de sa hampe dressée et ses lèvres se mordillent d’envies comprenant que son sexe a lui déjà commencé à préparer sa conquête en douceur de ce qui se cache encore entre les deux globes imberbes de Naomé.
La liane ceinturant leurs reins et qui maintient l’étui en place est vite dénouée, Naomé s’agenouillant le dos tourné vers son ami et se cambrant d’envie en attente de ressentir ce qu’il n’aurait plus imaginé un jour recevoir au plus profond de son intimité et que déjà il attend avec fièvre.
Taha se positionne derrière son ami, ses mains jouent un long moment avec ses muscles dorsaux avant de passer sur sa poitrine en tremblant d’excitation et de la lui caresser en pinçant doucement les tétons qu’il sait particulièrement sensible de son ami.
Naomé geint comme une fille en chaleur et ce son rend encore plus fou Taha qui d’un mouvement fluide amène son gland tout contre la corolle déjà ouverte en attente de la pénétration qui le remplit dans un geste d’une virilité manifeste en lui faisant pousser un feulement de plaisir tout en cambrant encore plus ses reins pour mieux le sentir en lui.
Le corps vibrant de Naomé rend encore plus fou de désir Taha qui se serre encore plus fort contre son ami en lui embrassant le cou et la gorge d’où s’échappent toujours ses sons électrisants qui l’amènent à un orgasme puissant, le faisant se déverser et féconder son amant plus que consentant qui à son tour expulse son jus de jeune mâle sur la bûche de bois sur laquelle il s’est accoudé.
Trois fois ils feront l’amour et à chaque fois avec une position différente, quand ils sortent enfin de la hutte c’est avec les étuis péniens claquant sur leurs cuisses et pas prêt avant un long moment à réitérer leurs envies de contempler le ciel.
Le père Antoine les voit entrer dans le dispensaire, leurs visages soulagés d’un grand poids et il comprend que ces deux garçons qu’il a appris à aimer se sont enfin retrouvés.
- Il est l’heure du repas mes enfants, je ne crois pas me tromper en pensant que vous devez avoir une faim de loup.
- (Taha) En effet mon père et après ça je pense dormir jusqu’au soir
Naomé le regard perdu sur son ami :
- Moi aussi mon père.
- (Le père Antoine) C’est parfait alors, mangeons et profitons de ce repas que dieu nous donne. Asseyez-vous mes enfants, vous me semblez particulièrement épuisés.
- (Taha) J’ai retrouvé mon ami mon père, je tenais à ce que vous en soyez avertis.
- Je m’en étais bien rendu compte mon garçon et j’en suis heureux pour vous deux-même si cela doit rester entre nous.
- Mon père en sera lui aussi averti père Antoine, je ne pourrais lui cacher un tel bonheur.
- Je sais qu’il comprendra Taha, ton père est un homme de bien.
2eme ANNÉE avant Pâques (deuxième partie) : (46 / 150) (Vendredi) (Romain) (Paris)
« Six heures du matin, chez Jean Baptiste »
Romain ouvre un œil, dérangé par le bruit et la lumière du jour entrant dans la chambre, sa première vision lui amène un rictus d’amusement en voyant Jean Baptiste juste vêtu d’un caleçon, qui repasse son uniforme.
- En voilà une tenue dans la chambre d’un jeune garçon innocent !!
Jean Baptiste tourne la tête et sourit à son ami.
- Excuse-moi de t’avoir réveillé si tôt mais c’est cette chambre qui me sert d’habitude de lingerie et je n’avais plus d’uniformes d’avance pour me mettre sur le dos.
- C’est pas grave, de toute façon il est bientôt l’heure pour moi aussi et puis ce n’est pas tous les matins que j’ai la chance de voir un si beau caleçon à fleurs Hi ! Hi !
- C’est ça moque toi !! J’avoue que ce n’est pas très sexy mais bon !! Je ne m’exhibe pas non plus avec devant tout le monde, le principal c’est que je me sente bien dedans.
- Vu comment il est large, tu serais à poils ce serait pareil pour toi, non ?
Jean Baptiste tourne la tête une seconde fois en faisant un clin d’œil à son ami.
- C’est pour ça justement que je suis bien dedans, le drap de l’uniforme est trop rêche pour que je ne porte pas de sous-vêtements, j’ai déjà essayé mais ça me fait bander sans arrêt et ce n’est pas le top pour me balader dans la rue.
Romain ne répond pas, trop hypnotiser par la vision de cette chute de reins cambrée naturellement et qui met en valeur deux belles fesses bombées qui commencent à lui faire un effet certain.
Jean Baptiste qui a repris son repassage ne s’aperçoit évidemment de rien et continue sa discussion comme si de rien n’était.
- Et toi ? Plutôt slip ou caleçon ?
- Slip ou boxer !! Je n’aime pas avoir les baloches qui vont dans tous les sens quand je marche.
Jean Baptiste ricane, ce qui bien sûr interpelle Romain.
- Quoi encore ?? Qu’est-ce que j’ai dit d’aussi drôle ?
- Rien juste que je me disais que c’était surtout pour pas qu’elles traînent par terre Hi ! Hi !
- C’est ça !! Moque-toi de ma petite taille !!
Jean Baptiste ne répond pas mais son ami voit bien qu’il se marre encore comme une baleine aux soubresauts de ses épaules.
- C’est pour ça que je ne t’intéresse pas ? Je suis trop petit pour toi ?
Jean Baptiste se fige soudainement.
- Qu’est-ce que tu viens de dire ??
- Tu m’as très bien entendu !!
- D’où tu sors une connerie pareille ?
- Ce n’est pas pour cette raison alors ?
- Bien sûr que non !!
- Pourquoi alors ?
- Mais enfin « Rom » ?? Qu’est ce qui te prend ce matin ?
- Je suis gay « JB » !!
- Tu crois être le seul peut être ?
- Mais non !! Tu ne comprends vraiment rien ou tu le fais exprès ?
Jean Baptiste depuis quelques secondes, a le cœur qui bat à cent à l’heure et un sourire mêlant le plaisir et l’émotion illumine son visage, il reste dos tourné à Romain pour qu’il ne s’aperçoive de rien.
Il ne pense juste pas à un truc que Romain de son côté ne manque pas de remarquer, Jean Baptiste a le sexe qui se tend d’une magnifique érection et fait bouger son caleçon qui vu de l’arrière remonte sur ses cuisses en s’insérant légèrement dans ses fesses.
- Je t’ai posé une question « JB » ?
- J’ai entendu !! Je cherche juste à comprendre où tu veux en venir avec cette histoire ?
Romain se glisse sans bruit jusqu’au bord du lit et tend lentement la main qui passe subrepticement entre une cuisse et le tissu du sous-vêtement.
- Ça peut être pratique d’être petit tu sais !
Il attrape alors la hampe toute dure qui lui amène un sourire de victoire et fait sursauter son ami qui ne cherche en aucune façon à échapper à cette prise en main.
- Je peux me glisser partout par surprise et constater in manu quand on essaie de me raconter des craques, alors comme ça, tu ne comprends pas où je veux en venir sale menteur !!
2eme ANNÉE avant Pâques (deuxième partie) : (47 / 150) (Vendredi) (Romain) (Paris) (fin)
Jean Baptiste frémit au contact de cette main menue qui lui caresse maintenant le sexe, bientôt rejointe par sa sœur jumelle qui passe par l’autre jambe pour lui peloter outrageusement les burnes.
Il pose son fer à repasser et s’accoude sur la table, il se cambre en écartant bien les jambes pour faciliter les manipulations de son ami qui ne se prive pas devant sa réaction de lui prodiguer avec envie ces caresses sur ce sexe tout chaud et palpitant de désir.
Le caleçon à un effet aphrodisiaque pour Romain qui en mouille son slip d’excitation, le fait de farfouiller à l’intérieur de celui-ci dans l’intimité de son ami déclenche en lui une forte libido qui le rend encore plus fébrile dans son besoin d’exploration.
Son pouce s’insinue dans la raie humide de Jean baptiste et frotte son petit trou palpitant de façon virile et possessive qui lui amène un râle mêlant la surprise et le plaisir, Romain comprend l’envie que son geste procure à son compagnon et son pouce forçant doucement le passage, entre sans coup férir dans l’anus quémandeur.
Il sent Jean Baptiste trembler de tout son corps et accélère ses caresses en privilégiant le gland décalotté et humide qu’il masse dans le creux que forment son pouce et son index.
Le résultat est à la hauteur de ses espérances quand il sent le gland prendre soudainement plus de volume et sa hampe s’arquer en libérant l’orgasme de son ami, qui lâche tout dans son caleçon en mettant un grand coup de reins en arrière pour mieux sentir encore le doigt inquisiteur toujours en pleine exploration de son fondement et qui se sent soudainement enserrer par des muscles anaux puissants, prouvant l’extrême plaisir que ressent Jean Baptiste à cette gâterie inattendue.
Romain satisfait de son effet récupère avec deux doigts un peu du sperme trempant le sous-vêtement et les amène d’abord à ses narines pour en sentir l’odeur musquée avant de les porter à sa bouche pour se délecter de ce jus épais au goût si particulier qu’il découvre pour la première fois.
Jean Baptiste sort rapidement de la chambre sans rien dire, encore troublé par ce qu’il vient de lui arriver et Romain entend l’eau de la douche en se demandant ce que signifie ce départ rapide et silencieux.
Il espère ne pas avoir choqué son ami et que celui-ci ne lui en veuille pas d’avoir été aussi entreprenant, le plaisir qu’il a pris rassure quelque peu le jeune homme qui attend son retour avec quand même une légère boule à l’estomac.
Jean Baptiste revient quelques minutes plus tard le corps ceint d’une serviette de bain, il fixe d’un regard acéré le petit gars au visage si mignon avec son nez en trompette et ses oreilles décollées et découvre en cachant son amusement, le stress de Romain à ses gestes inconsidérés qui lui ont amené autant de plaisir.
Il récupère les vêtements de son ami en prenant soin de n’en oublier aucun, le visage de Romain se crispe de déception devant son geste qui pour le jeune homme ne prête à aucun sous-entendu quand à ce qu’il va s’en suivre.
Il souhaiterait revenir une demi-heure en arrière et n’avoir pas eu ses attouchements sur son ami, mais comprend bien sûr que c’est impossible et qu’il doit s’en prendre qu’à lui de se faire jeter dehors.
- Excuse-moi Jean Baptiste, je ne sais pas ce qu’il m’a pris de faire ça !!
Jean Baptiste jubile et profite de ce qu’il se soit levé pour lui mettre ses vêtements dans ses bras, il prend Romain par une épaule et le pousse doucement mais avec fermeté en dehors de la chambre.
- Ton geste aura eu au moins le mérite de redonner à cette chambre l’utilité qu’elle a pour moi.
Il pousse Romain dans le couloir en matant sans s’en priver son corps fin et ciseler aux petites fesses divinement arrondies parfaitement mises en valeur dans son petit slip blanc et ouvre la pièce juste en face en le poussant toujours avec une extrême douceur à l’intérieur.
Romain ne comprend plus rien à ce qu’il lui arrive quand il se sent pousser dans la chambre de Jean Baptiste, jusqu’à ce que celui-ci lui en donne l’explication d’une voix marquée d’amusement de s’être joué de lui et de son stress.
- Celle-ci par contre est tout indiquée pour que tu y mettes tes petites fesses quand tu viendras coucher chez et avec moi Hi ! Hi !
Sa dernière phrase s’est dite en même temps que les mains de Jean Baptiste s’emparent des deux globes rebondis qu’il malaxe avec une évidente envie de les découvrir plus dans le détail et sa serviette de bain s’éveille sur le devant sous la remontée spectaculaire d’une envie loin d’être rassasiée et qui il le sent bien ne va pas les mettre en avance pour leurs boulots.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
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