02-09-2020, 12:05 PM
2eme ANNÉE avant Pâques : (41 / 150) (Paris) (Amitié ou amour ?) (Suite)
En pensant justement à ça, il prend le sien et envoie un texto pour s’assurer que le rendez-vous est toujours d’actualité au cas où Steven aurait un empêchement, il tape alors ces quelques mots qu’il envoie aussitôt à son destinataire en priant de tout son cœur qu’il lui répondra que tout est toujours OK.
La réponse arrive très vite et il envoie un deuxième message pour valider le lieu de rendez-vous, ce n’est qu’à la réponse de celui-ci que son cœur rate un battement et que le, « bisou » s’imprègne dans son cerveau comme un immense espoir pour la suite de leur relation.
Michaël heureux s’apprête à ranger son téléphone dans sa poche quand il ne sait pas pourquoi, mais son instinct le pousse à lui renvoyer son « bisou » sentant certainement que son ami devait attendre sa réponse à ce petit mot intime qu’il lui a envoyé.
L’inexpérience sur toutes ses choses qui concernent le sexe lui fait toujours craindre de mal s’y prendre et de commettre un impair qui serait mal interprété. De plus sachant Steven au même point que lui, il ne voudrait pas qu’il se sente brusquer et y voir qu’une envie de tirer un coup alors que ce n’est pas du tout ce qu’il recherche même si l’avoir nu dans ses bras est ce qu’il souhaite aussi.
C’est perdu dans ce genre de pensées excitantes mais non dénuées d’une certaine appréhension, car rien ne dit même s’il s’en doute un peu que ce « bisou » ne soit rien d’autre qu’une marque d’amitié. Que Michaël se rend à pied vers le petit parc tout près de chez lui où il va pouvoir enfin revoir son petit blond si craquant et qu’il n’arrive plus à s’ôter de la tête.
Il arrive le premier et s’assoit sur le banc pour l’attendre. Ses mains fébriles triturent son téléphone en se retenant avec peine de l’appeler pour savoir où il est, ne voulant lui mettre la pression en se doutant bien qu’il doit être au moins aussi impatient et stressé que lui.
Steven arrive en vue du parc et ralentit en longeant le bosquet menant à l’aire de détente où sont installés les jeux pour enfants et les bancs pour que les adultes puissent les surveiller, il aperçoit son ami qui semble nerveux et sourit en se disant que c’est son cas également et que c’est plutôt bon signe.
Il prend le temps de l’observer des pieds à la tête et retrouve en lui tout ce qui lui a plu dès la première rencontre, son visage fin surmonté de ses cheveux bruns coupés court et son corps robuste tout en muscle qui dépare du sien petit et svelte mais qui correspond tout à fait à ses critères de choix dans la recherche de son compagnon idéal.
Steven maudit une fois de plus son manque de caractère ainsi que de sa timidité viscérale quand il s’agit de s’adresser aux gens et ne voudrait surtout pas qu’elle soit la cause d’un malentendu qui lui ferait perdre ce garçon en qui il tient déjà beaucoup.
Il respire un grand coup et prend sur lui pour apparaître le plus naturellement possible devant Michaël qui capte aussitôt son arrivée et lui envoie un sourire resplendissant qui lui amène le sien en réponse.
Michaël se lève comme si une guêpe venait de le piquer et s’approche de Steven jusqu’à n’être plus qu’à quelque centimètre de lui, il hésite, prend son courage à deux mains et tend son visage vers lui pour lui faire la bise.
Son geste rapide prend de court Steven qui du coup ne réfléchit pas et l’embrasse à son tour, sentant un long frisson de plaisir lui parcourir la colonne vertébrale.
- (Michaël) Ça te dit qu’on marche un peu ?
- Si tu veux, oui !
- Alors ? Ces vacances ?
- Cool !! Et toi ?
- Bof !! J’ai taffé les trois quarts du temps et puis je n’ai pas eu la chance de pouvoir comme toi rejoindre ma famille, ils habitent trop loin et je n’avais pas assez de temps pour ça. (Michaël sourit) C’est marrant tu ne trouves pas ? Tout ça nous en avons déjà parlé au téléphone Hi ! Hi !
- Il faut qu’on parle « Cha » !! J’avais plein de choses à te dire mais je ne sais plus par où commencer, tu ne peux pas savoir comme je hais cette timidité qui m’empêche de te dire tout ce que j’ai sur le cœur.
- Je connais t’inquiète !! Tiens !! Prends ça !!
Steven attrape l’enveloppe qu’il lui tend.
- Qu’est-ce que c’est ? Une lettre ?
- Ça aurait pu si j’y avais pensé Hi ! Hi ! Mais c’est tout comme, ouvre !!
Steven déchire l’enveloppe et en sort la mini-carte SD qui se trouve à l’intérieur, il regarde son ami l’air interrogatif.
- C’est pourquoi faire ?
- Pour que tu entendes ce que j’ai à te dire et que je n’aurais jamais eu le courage sinon, tu peux attendre pour l’écouter chez toi plus tard si tu veux ?
- Et si je le fais maintenant ?
- Ça me ferait plaisir.
- OK alors !!
Steven les mains légèrement tremblantes d’appréhension, ouvre son portable et remplace la carte qui y est déjà par celle que vient de lui donner Michaël.
Il ouvre le dossier et met ses écouteurs, regarde une nouvelle fois Michaël dans les yeux et devant son sourire d’encouragement et ses joues rouges d’émotions retenues, lance le fichier audio et écoute ce que son ami tient tellement à lui dire qu’il n’a pas osé faire de vive voix.
2eme ANNÉE avant Pâques : (42 / 150) (Paris) (Amitié ou amour ?) (Fin)
Quelques grésillements dus à l’enregistrement, puis la voix claire de son ami arrive à ses oreilles visiblement émue par les paroles qu’il va prononcer.
Steven s’assoit sur le banc en se penchant légèrement en avant, ses deux bras posés sur ses genoux tenant nerveusement son téléphone en le triturant dans tous les sens.
***/***
« Message audio »
J’étais de service ce jour-là quand deux garçons sont entrés, trop tard pour le repas et j’ai reconnu tout de suite l’un des deux garçons comme un client sympathique venu dîner avec des amis quelque temps plus tôt. Un groupe assez spécial pour que je m’en souvienne très bien, tous étaient de très beaux garçons qui m’ont plu dès le premier regard. Enfin bref !! Tu auras peut-être je l’espère l’occasion de les rencontrer puisque ce sont des amis de Yuan, ce magnifique Asiatique qui est également ton ami et qui t’a amené ce jour-là pour nous présenter l’un à l’autre. Que dire ? À part que j’ai été ébloui par ce petit blond qui m’a tout de suite fait craquer et qui semblait aussi mal à l’aise que moi. Depuis nous nous sommes revus et ces rencontres mêmes si elles ont dû te paraître bizarres voire froides, me réchauffaient le cœur et je ne vivais plus que dans l’attente de la suivante, je dois t’avouer que je suis tombé amoureux de ce petit blond et que ce serait terrible pour moi si ce n’était pas réciproque, maintenant que tu as compris que je parlais de toi, je regarde ton visage si tu écoutes ce message à côté de moi et j’essaie d’y lire ce que tu ressens, j’espère ne pas être déçu et avoir bien interprété nos conversations téléphoniques. Je t’aime Steven !! Comme un fou crois-moi, et mon plus grand souhait est que tu éprouves les mêmes sentiments pour moi, je suis novice tu l’auras certainement compris et je sais que toi aussi, alors si tu m’acceptes comme compagnon, nous irons à ton rythme sans rien brusquer.
La voix devient vibrante et Steven comprend qu’il y a certainement des larmes qui les accompagnent.
Maintenant si tu n’es pas prêt ou si je ne suis pour toi qu’un ami, je l’accepterai également en souhaitant de tout mon cœur qu’un jour tes sentiments évoluent car les miens sont trop forts pour que je te perde et t’avoir comme ami sera déjà quelque chose d’important pour moi. Je ne sais pas comment tu vas réagir en écoutant cette confession et si tu penses qu’il n’y a aucun espoir pour nous deux sans pouvoir me le dire de vive voix, rends-moi simplement la carte et je comprendrais, tu n’entendras plus parler de moi car je ne voudrais pas que ma présence soit interprétée comme du harcèlement. Je tiens trop à ton bonheur pour le gâcher, je te le redis encore Steven….. Je t’aime.
Un hoquet d’émotion très fort termine l’enregistrement.
***/***
Steven sent ses larmes couler et ses mâchoires trembler, il sait très bien qu’il lui sera impossible d’émettre le moindre son et son visage ravagé par les émotions se tourne vers son ami qui vient de lui livrer son cœur.
Il détache lentement ses oreillettes sous le visage dévasté de Michaël, il ouvre son portable et lentement sort la mini-carte de son emplacement pour y remettre tout aussi lentement celle d’origine.
Ses gestes volontairement lents, servent à Steven pour qu’il retrouve un minimum de son calme et reprenne assez de contrôle de lui-même pour donner la réponse que son ami attend et qui interprète déjà ses gestes comme un refus de sa part aussi il s’attend à ce qu’il lui rende l’objet qu’il tient dans sa main et qui l’hypnotise.
Steven ne se rend pas compte combien sa réaction meurtrit Michaël, il continue donc en reprenant l’enveloppe et en y glissant la carte à l’intérieur, il la replie précautionneusement et alors que Michaël est prêt à tendre la main pour la lui reprendre, complètement pris dans la détresse de ses sentiments. Le petit blond ébauche un énorme sourire en la mettant avec précaution dans sa poche de veste près de son cœur et reporte son regard sur son ami en s’apercevant juste à ce moment-là de ce que ses gestes ont pu avoir d’ambiguës.
Ne pouvant supporter ce qu’il voit, il se lève d’un bond et sans réfléchir vient prendre Mickael dans ses bras et se mettre sur la pointe des pieds pour que ses lèvres brûlantes se soudent aux siennes dans un baiser passionné.
Michaël fond en larmes et serre à son tour son ami sans plus se soucier de rien, que ce soit passants ou n’importe quoi d’autre que celui qui est blotti dans ses bras et qui tremble tout comme lui d’émotions.
Le temps ne compte plus, seul le froid au bout d’un long moment les décide à se séparer et un double rire de soulagement se fait entendre dans le parc maintenant déserté.
Ils n’ont pas envie de se quitter, n’importe qui les regardant dans leur façon de se coller l’un contre l’autre en aurait la conviction et c’est Michaël qui semble soudainement décoincer, qui en fait le premier la remarque.
- Tu sais quoi ?
- Non ! Dis-moi ?
- J’ai envie qu’on aille chez toi reprendre toutes tes affaires et ensuite de t’emmener à mon appartement pour que tu t’y installes, t’en penses quoi ?
- Après ce que je viens d’écouter ? Comment veux-tu que je refuse ?
2eme ANNÉE avant Pâques : (43 / 150) (Paris) (Dernier week-end avant la reprise) (suite)
Les paroles des deux garçons sont interprétées autrement par Yuan.
- J’ai bien peur de ne pas en avoir pris suffisamment pour nous trois.
- (Thomas) Mais de quoi tu parles ?
- Du plat que j’ai rapporté de chez le traiteur.
Je sors du placard en le poussant doucement vers le lit, ma main attrape son sexe et en parcourt toute la hampe avec avidité.
- Je pensais plutôt à ce genre de repas.
- (Thomas amusé) Pousse de bambou farci à la crème, hum !! Je crois que je vais adorer.
Yuan percute alors que c’est lui qui va leur servir de plat asiatique et s’allonge de tout son long en souriant.
- Servez-vous pendant que c’est chaud les gars, n’hésitez pas à vous servir de vos baguettes surtout !!
Thomas s’allonge près de lui et lui dégage ses cheveux noirs et raides de devant le visage en plongeant ses yeux dans les siens, l’excitation de Yuan devient tellement forte que ses yeux en deviennent deux longues fentes sombres qui font frémir le grand blond et ses lèvres affamées se jettent sur celles offertes et consentantes du jeune asiatique.
Un troisième visage se rapproche avidement et participe à son tour en mêlant ses lèvres aux leurs, l’ambiance de la soirée se met en place et la seule faim qu’ils ressentent est celle de leurs corps.
Les mains caressent, palpent, saisissent, pendant que les peaux se frottent et que les sexes durs comme l’acier se cherchent et s’insinuent là où le plaisir intense les attend, pour y dégorger heures après heures leurs jus chauds et épais jusqu’à l’épuisement et l’assouvissement complet de leurs libidos paroxystiques.
Les moments tendres et câlins succèdent à ceux plus chauds de leurs défoulements passionnés, les corps s’assemblent et se séparent, puis reviennent se serrer encore plus vibrant d’envies jusqu’à ce qu’enfin le sommeil arrive et les laisse finalement reprendre leurs forces après cette nuit d’amour et de plaisirs partagés.
Il est passé dix heures quand les premiers mouvements dans le grand lit indiquent le réveil des garçons, ils se resserrent ostensiblement les uns contre les autres pour se câliner à l’envi jusqu’à ce que ce soit d’autres envies, pressantes celles-là, qui les obligent une heure plus tard à se lever pour aller se soulager chacun leurs tours.
Une fois douchés, habillés de vêtements propres et après avoir pris leurs cafés, les trois amis se décident pour un resto rapide et une après-midi shopping qui passa bien trop rapidement à leurs goûts.
Une fois de retour à l’appartement, ils déballent leurs achats tout en papotant comme de vieilles pies jusqu’à l’heure du soir où les estomacs se font de nouveaux entendre.
- (Yuan) Vous vouliez manger chinois hier, ça vous dit pour ce soir ?
- (Thomas) Cool !!
Yuan sort un dépliant du traiteur près de chez lui.
- Faites votre choix et je passerai la commande.
- (Je le regarde amusé) Tu ne préfères pas qu’on finisse les restes ?
Thomas regarde ses amis et les lueurs qui s’allument dans leurs yeux le confortent dans le sens des paroles de son petit rouquin qui de toute évidence a bien l’intention de remettre le couvert pour la soirée et la nuit qui vient.
- Stop !!! Je n’ai pas envie de sauter encore une fois le repas.
- Moi si, Hi ! Hi !
- Je ne parlais pas de « Yu » et tu le sais bien.
Yuan amusé devant la moue lubrique de Florian.
- On dîne avant, « Thom » a raison et en plus nous aurons tout le temps après pour nous amuser.
- Allez quoi !! Pour l’apéro !! Juste un petit coup rien que pour le fun.
Thomas qui tout comme Yuan se sait vaincu d’avance :
- Pfff !!! Tu n’en as jamais assez ma parole !!
- Bah non !! En plus à partir de demain nous allons être à la diète pendant un bon bout de temps, alors autant faire le plein pendant que nous en avons l’occasion.
- (Yuan) Le vide, tu veux dire ?
Je lui fais un gros clin d’œil.
- Ça dépend de quoi on parle Hi ! Hi ! Alors ?? On se le prend cet apéro ou quoi ?
Un premier pull vole dans les airs suivi très vite d’un autre et quelques secondes plus tard, ce sont trois boxers qui rejoignent le tas compact de vêtements au sol du salon.
2eme ANNÉE avant Pâques : (44 / 150) (Paris) (Dernier week-end avant la reprise) (fin)
Premières caresses et premiers baisers, d’abord doux et câlins jusqu’à ce que la fièvre monte et qu’ils se retrouvent affalés sur le canapé les sexes tendus cherchant l’endroit chaud et accueillant pour y atteindre l’orgasme.
Thomas chahute avec Florian et se retrouve à genoux sur le tapis et le torse plaqué contre l’assise en cuir du canapé avec son petit rouquin allongé sur lui cherchant à le chatouiller. Yuan contemple le spectacle des deux belles paires de fesses l’une au-dessus de l’autre offertes à sa vue ainsi que leurs corolles que les mouvements des deux garçons exposent sans pudeur.
Son sexe s’arque dans un mouvement fluide presque vivant et il vient se positionner derrière eux en fléchissant les genoux et en maintenant fermement les reins de Florian pour le plaquer tout contre le beau blond.
Ceux-ci comprennent son intention et se cambrent encore plus pour l’exciter davantage comme si c’était possible vu l’état où en est déjà Yuan à saliver par avance de pouvoir s’offrir tour à tour ses deux petits culs offerts.
Son sexe pénètre d’abord Thomas qui geint de plaisir, il lui donne quelques va-et-vient puissants dans son intimité pendant que Florian l’embrasse dans le cou et lui dévore les dessous d’oreilles, excité comme pas possible de l’état d’animal en chaleur de son chéri.
Florian sent la pression se relâcher et Thomas reprendre un tant soit peu le contrôle de ses sens et de sa respiration quand il se retrouve à son tour investi jusqu’à la garde par le membre long et fin de son ami qui le pistonne virilement en le faisant haleter de pur plaisir.
Une envie incontrôlable lui traverse l’esprit et le besoin d’être encore plus rempli lui vient, il se désaccouple doucement et fait se tourner Thomas pour s’asseoir et s’embrocher sur lui en lui tournant le dos, une fois chose faite, Florian lève les jambes et fait signe à Yuan de reprendre ce qu’il lui faisait juste avant.
D’une voix alanguie de désir :
- Je vous veux tous les deux ensemble !!
Yuan ne se le fait pas dire deux fois et vient se plaquer entre leurs jambes pour positionner son gland le long de la hampe de Thomas presque entièrement à l’intérieur de l’intimité de son petit rouquin, il pousse doucement et entre à son tour excité par les sons de gorge de son ami qui ne semble ressentir aucune douleur bien au contraire.
Thomas tient fermement Florian par les hanches et lui donne de petits coups de reins pour bien rester en lui, la sensation est toute nouvelle pour lui de se sentir en contact aussi intime avec ses deux compagnons et de toute évidence pour Yuan également car il grimace pour se retenir de jouir trop vite, sentant monter en lui un orgasme peu ordinaire.
Les deux sexes s’accordent dans un rythme commun qui plonge Florian dans un bien-être et une chaleur qui libèrent sa libido et son plaisir, de lui-même, il va au-devant des coups de boutoir de ses amis et sent dans ses chairs les pulsions sanguines des deux glands qui s’accroissent en force, annonçant l’inéluctable.
L’orgasme les prend dans un ensemble parfait, Yuan se cambre au plus profond de Florian en libérant son jus pendant que celui-ci se plaque contre Thomas qui se déverse à son tour au plus profond de ses intestins en lui embrassant fiévreusement la nuque et qu’il envoie dans les airs le résultat de sa jouissance en enserrant encore plus fort les deux sexes toujours raides et vibrant du plaisir qu’ils y prennent encore.
Les yeux s’ouvrent et ils se sourient, Florian toujours investi par ses deux amis leur caresse doucement chacun une cuisse et quémande leurs lèvres pour un baiser tout en tendresse.
Le bassin du jeune rouquin recommence à onduler, démontrant qu’il n’est pas et de loin encore rassasié, cherchant de toute évidence à les exciter suffisamment pour qu’ils lui offrent un deuxième tour.
Thomas se rappelle ce qu’ils avaient décidé juste avant et pince gentiment une fesse de son copain.
- Ce n’est plus un simple apéro là !! C’est une saoulerie que tu recherches Hi ! Hi !
- C’est trop bon !! Juste un petit verre et après promis, nous ferons une « tite » pause pour manger un morceau avant de remettre ça.
Yuan et Thomas ne se quittent pas des yeux et leur regard en dit long sur ce qu’ils ressentent, d’ailleurs leurs reins reprennent déjà lentement leurs va-et-vient dans l’intimité chaude et particulièrement bien lubrifié de leur copain qui se sentant vainqueur, soupir de satisfaction et de bien être pour repartir une nouvelle fois dans un plaisir non feint.
- Ahhrr !! Oui !!! C’est trop bon !! Rrrrr !!!
Le son presque imperceptible qui s’échappe de sa gorge maintenant en continu, rend fou de stupre ses deux compagnons dont les instincts les plus primaires prennent le pas une fois de plus sur leurs corps et les déchaînent jusqu’à ce que couverts de transpirations, ils jouissent une nouvelle fois dans un orgasme tétanisant qui les libère pour un moment cette fois de leurs substances et de leurs forces.
En pensant justement à ça, il prend le sien et envoie un texto pour s’assurer que le rendez-vous est toujours d’actualité au cas où Steven aurait un empêchement, il tape alors ces quelques mots qu’il envoie aussitôt à son destinataire en priant de tout son cœur qu’il lui répondra que tout est toujours OK.
La réponse arrive très vite et il envoie un deuxième message pour valider le lieu de rendez-vous, ce n’est qu’à la réponse de celui-ci que son cœur rate un battement et que le, « bisou » s’imprègne dans son cerveau comme un immense espoir pour la suite de leur relation.
Michaël heureux s’apprête à ranger son téléphone dans sa poche quand il ne sait pas pourquoi, mais son instinct le pousse à lui renvoyer son « bisou » sentant certainement que son ami devait attendre sa réponse à ce petit mot intime qu’il lui a envoyé.
L’inexpérience sur toutes ses choses qui concernent le sexe lui fait toujours craindre de mal s’y prendre et de commettre un impair qui serait mal interprété. De plus sachant Steven au même point que lui, il ne voudrait pas qu’il se sente brusquer et y voir qu’une envie de tirer un coup alors que ce n’est pas du tout ce qu’il recherche même si l’avoir nu dans ses bras est ce qu’il souhaite aussi.
C’est perdu dans ce genre de pensées excitantes mais non dénuées d’une certaine appréhension, car rien ne dit même s’il s’en doute un peu que ce « bisou » ne soit rien d’autre qu’une marque d’amitié. Que Michaël se rend à pied vers le petit parc tout près de chez lui où il va pouvoir enfin revoir son petit blond si craquant et qu’il n’arrive plus à s’ôter de la tête.
Il arrive le premier et s’assoit sur le banc pour l’attendre. Ses mains fébriles triturent son téléphone en se retenant avec peine de l’appeler pour savoir où il est, ne voulant lui mettre la pression en se doutant bien qu’il doit être au moins aussi impatient et stressé que lui.
Steven arrive en vue du parc et ralentit en longeant le bosquet menant à l’aire de détente où sont installés les jeux pour enfants et les bancs pour que les adultes puissent les surveiller, il aperçoit son ami qui semble nerveux et sourit en se disant que c’est son cas également et que c’est plutôt bon signe.
Il prend le temps de l’observer des pieds à la tête et retrouve en lui tout ce qui lui a plu dès la première rencontre, son visage fin surmonté de ses cheveux bruns coupés court et son corps robuste tout en muscle qui dépare du sien petit et svelte mais qui correspond tout à fait à ses critères de choix dans la recherche de son compagnon idéal.
Steven maudit une fois de plus son manque de caractère ainsi que de sa timidité viscérale quand il s’agit de s’adresser aux gens et ne voudrait surtout pas qu’elle soit la cause d’un malentendu qui lui ferait perdre ce garçon en qui il tient déjà beaucoup.
Il respire un grand coup et prend sur lui pour apparaître le plus naturellement possible devant Michaël qui capte aussitôt son arrivée et lui envoie un sourire resplendissant qui lui amène le sien en réponse.
Michaël se lève comme si une guêpe venait de le piquer et s’approche de Steven jusqu’à n’être plus qu’à quelque centimètre de lui, il hésite, prend son courage à deux mains et tend son visage vers lui pour lui faire la bise.
Son geste rapide prend de court Steven qui du coup ne réfléchit pas et l’embrasse à son tour, sentant un long frisson de plaisir lui parcourir la colonne vertébrale.
- (Michaël) Ça te dit qu’on marche un peu ?
- Si tu veux, oui !
- Alors ? Ces vacances ?
- Cool !! Et toi ?
- Bof !! J’ai taffé les trois quarts du temps et puis je n’ai pas eu la chance de pouvoir comme toi rejoindre ma famille, ils habitent trop loin et je n’avais pas assez de temps pour ça. (Michaël sourit) C’est marrant tu ne trouves pas ? Tout ça nous en avons déjà parlé au téléphone Hi ! Hi !
- Il faut qu’on parle « Cha » !! J’avais plein de choses à te dire mais je ne sais plus par où commencer, tu ne peux pas savoir comme je hais cette timidité qui m’empêche de te dire tout ce que j’ai sur le cœur.
- Je connais t’inquiète !! Tiens !! Prends ça !!
Steven attrape l’enveloppe qu’il lui tend.
- Qu’est-ce que c’est ? Une lettre ?
- Ça aurait pu si j’y avais pensé Hi ! Hi ! Mais c’est tout comme, ouvre !!
Steven déchire l’enveloppe et en sort la mini-carte SD qui se trouve à l’intérieur, il regarde son ami l’air interrogatif.
- C’est pourquoi faire ?
- Pour que tu entendes ce que j’ai à te dire et que je n’aurais jamais eu le courage sinon, tu peux attendre pour l’écouter chez toi plus tard si tu veux ?
- Et si je le fais maintenant ?
- Ça me ferait plaisir.
- OK alors !!
Steven les mains légèrement tremblantes d’appréhension, ouvre son portable et remplace la carte qui y est déjà par celle que vient de lui donner Michaël.
Il ouvre le dossier et met ses écouteurs, regarde une nouvelle fois Michaël dans les yeux et devant son sourire d’encouragement et ses joues rouges d’émotions retenues, lance le fichier audio et écoute ce que son ami tient tellement à lui dire qu’il n’a pas osé faire de vive voix.
2eme ANNÉE avant Pâques : (42 / 150) (Paris) (Amitié ou amour ?) (Fin)
Quelques grésillements dus à l’enregistrement, puis la voix claire de son ami arrive à ses oreilles visiblement émue par les paroles qu’il va prononcer.
Steven s’assoit sur le banc en se penchant légèrement en avant, ses deux bras posés sur ses genoux tenant nerveusement son téléphone en le triturant dans tous les sens.
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« Message audio »
J’étais de service ce jour-là quand deux garçons sont entrés, trop tard pour le repas et j’ai reconnu tout de suite l’un des deux garçons comme un client sympathique venu dîner avec des amis quelque temps plus tôt. Un groupe assez spécial pour que je m’en souvienne très bien, tous étaient de très beaux garçons qui m’ont plu dès le premier regard. Enfin bref !! Tu auras peut-être je l’espère l’occasion de les rencontrer puisque ce sont des amis de Yuan, ce magnifique Asiatique qui est également ton ami et qui t’a amené ce jour-là pour nous présenter l’un à l’autre. Que dire ? À part que j’ai été ébloui par ce petit blond qui m’a tout de suite fait craquer et qui semblait aussi mal à l’aise que moi. Depuis nous nous sommes revus et ces rencontres mêmes si elles ont dû te paraître bizarres voire froides, me réchauffaient le cœur et je ne vivais plus que dans l’attente de la suivante, je dois t’avouer que je suis tombé amoureux de ce petit blond et que ce serait terrible pour moi si ce n’était pas réciproque, maintenant que tu as compris que je parlais de toi, je regarde ton visage si tu écoutes ce message à côté de moi et j’essaie d’y lire ce que tu ressens, j’espère ne pas être déçu et avoir bien interprété nos conversations téléphoniques. Je t’aime Steven !! Comme un fou crois-moi, et mon plus grand souhait est que tu éprouves les mêmes sentiments pour moi, je suis novice tu l’auras certainement compris et je sais que toi aussi, alors si tu m’acceptes comme compagnon, nous irons à ton rythme sans rien brusquer.
La voix devient vibrante et Steven comprend qu’il y a certainement des larmes qui les accompagnent.
Maintenant si tu n’es pas prêt ou si je ne suis pour toi qu’un ami, je l’accepterai également en souhaitant de tout mon cœur qu’un jour tes sentiments évoluent car les miens sont trop forts pour que je te perde et t’avoir comme ami sera déjà quelque chose d’important pour moi. Je ne sais pas comment tu vas réagir en écoutant cette confession et si tu penses qu’il n’y a aucun espoir pour nous deux sans pouvoir me le dire de vive voix, rends-moi simplement la carte et je comprendrais, tu n’entendras plus parler de moi car je ne voudrais pas que ma présence soit interprétée comme du harcèlement. Je tiens trop à ton bonheur pour le gâcher, je te le redis encore Steven….. Je t’aime.
Un hoquet d’émotion très fort termine l’enregistrement.
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Steven sent ses larmes couler et ses mâchoires trembler, il sait très bien qu’il lui sera impossible d’émettre le moindre son et son visage ravagé par les émotions se tourne vers son ami qui vient de lui livrer son cœur.
Il détache lentement ses oreillettes sous le visage dévasté de Michaël, il ouvre son portable et lentement sort la mini-carte de son emplacement pour y remettre tout aussi lentement celle d’origine.
Ses gestes volontairement lents, servent à Steven pour qu’il retrouve un minimum de son calme et reprenne assez de contrôle de lui-même pour donner la réponse que son ami attend et qui interprète déjà ses gestes comme un refus de sa part aussi il s’attend à ce qu’il lui rende l’objet qu’il tient dans sa main et qui l’hypnotise.
Steven ne se rend pas compte combien sa réaction meurtrit Michaël, il continue donc en reprenant l’enveloppe et en y glissant la carte à l’intérieur, il la replie précautionneusement et alors que Michaël est prêt à tendre la main pour la lui reprendre, complètement pris dans la détresse de ses sentiments. Le petit blond ébauche un énorme sourire en la mettant avec précaution dans sa poche de veste près de son cœur et reporte son regard sur son ami en s’apercevant juste à ce moment-là de ce que ses gestes ont pu avoir d’ambiguës.
Ne pouvant supporter ce qu’il voit, il se lève d’un bond et sans réfléchir vient prendre Mickael dans ses bras et se mettre sur la pointe des pieds pour que ses lèvres brûlantes se soudent aux siennes dans un baiser passionné.
Michaël fond en larmes et serre à son tour son ami sans plus se soucier de rien, que ce soit passants ou n’importe quoi d’autre que celui qui est blotti dans ses bras et qui tremble tout comme lui d’émotions.
Le temps ne compte plus, seul le froid au bout d’un long moment les décide à se séparer et un double rire de soulagement se fait entendre dans le parc maintenant déserté.
Ils n’ont pas envie de se quitter, n’importe qui les regardant dans leur façon de se coller l’un contre l’autre en aurait la conviction et c’est Michaël qui semble soudainement décoincer, qui en fait le premier la remarque.
- Tu sais quoi ?
- Non ! Dis-moi ?
- J’ai envie qu’on aille chez toi reprendre toutes tes affaires et ensuite de t’emmener à mon appartement pour que tu t’y installes, t’en penses quoi ?
- Après ce que je viens d’écouter ? Comment veux-tu que je refuse ?
2eme ANNÉE avant Pâques : (43 / 150) (Paris) (Dernier week-end avant la reprise) (suite)
Les paroles des deux garçons sont interprétées autrement par Yuan.
- J’ai bien peur de ne pas en avoir pris suffisamment pour nous trois.
- (Thomas) Mais de quoi tu parles ?
- Du plat que j’ai rapporté de chez le traiteur.
Je sors du placard en le poussant doucement vers le lit, ma main attrape son sexe et en parcourt toute la hampe avec avidité.
- Je pensais plutôt à ce genre de repas.
- (Thomas amusé) Pousse de bambou farci à la crème, hum !! Je crois que je vais adorer.
Yuan percute alors que c’est lui qui va leur servir de plat asiatique et s’allonge de tout son long en souriant.
- Servez-vous pendant que c’est chaud les gars, n’hésitez pas à vous servir de vos baguettes surtout !!
Thomas s’allonge près de lui et lui dégage ses cheveux noirs et raides de devant le visage en plongeant ses yeux dans les siens, l’excitation de Yuan devient tellement forte que ses yeux en deviennent deux longues fentes sombres qui font frémir le grand blond et ses lèvres affamées se jettent sur celles offertes et consentantes du jeune asiatique.
Un troisième visage se rapproche avidement et participe à son tour en mêlant ses lèvres aux leurs, l’ambiance de la soirée se met en place et la seule faim qu’ils ressentent est celle de leurs corps.
Les mains caressent, palpent, saisissent, pendant que les peaux se frottent et que les sexes durs comme l’acier se cherchent et s’insinuent là où le plaisir intense les attend, pour y dégorger heures après heures leurs jus chauds et épais jusqu’à l’épuisement et l’assouvissement complet de leurs libidos paroxystiques.
Les moments tendres et câlins succèdent à ceux plus chauds de leurs défoulements passionnés, les corps s’assemblent et se séparent, puis reviennent se serrer encore plus vibrant d’envies jusqu’à ce qu’enfin le sommeil arrive et les laisse finalement reprendre leurs forces après cette nuit d’amour et de plaisirs partagés.
Il est passé dix heures quand les premiers mouvements dans le grand lit indiquent le réveil des garçons, ils se resserrent ostensiblement les uns contre les autres pour se câliner à l’envi jusqu’à ce que ce soit d’autres envies, pressantes celles-là, qui les obligent une heure plus tard à se lever pour aller se soulager chacun leurs tours.
Une fois douchés, habillés de vêtements propres et après avoir pris leurs cafés, les trois amis se décident pour un resto rapide et une après-midi shopping qui passa bien trop rapidement à leurs goûts.
Une fois de retour à l’appartement, ils déballent leurs achats tout en papotant comme de vieilles pies jusqu’à l’heure du soir où les estomacs se font de nouveaux entendre.
- (Yuan) Vous vouliez manger chinois hier, ça vous dit pour ce soir ?
- (Thomas) Cool !!
Yuan sort un dépliant du traiteur près de chez lui.
- Faites votre choix et je passerai la commande.
- (Je le regarde amusé) Tu ne préfères pas qu’on finisse les restes ?
Thomas regarde ses amis et les lueurs qui s’allument dans leurs yeux le confortent dans le sens des paroles de son petit rouquin qui de toute évidence a bien l’intention de remettre le couvert pour la soirée et la nuit qui vient.
- Stop !!! Je n’ai pas envie de sauter encore une fois le repas.
- Moi si, Hi ! Hi !
- Je ne parlais pas de « Yu » et tu le sais bien.
Yuan amusé devant la moue lubrique de Florian.
- On dîne avant, « Thom » a raison et en plus nous aurons tout le temps après pour nous amuser.
- Allez quoi !! Pour l’apéro !! Juste un petit coup rien que pour le fun.
Thomas qui tout comme Yuan se sait vaincu d’avance :
- Pfff !!! Tu n’en as jamais assez ma parole !!
- Bah non !! En plus à partir de demain nous allons être à la diète pendant un bon bout de temps, alors autant faire le plein pendant que nous en avons l’occasion.
- (Yuan) Le vide, tu veux dire ?
Je lui fais un gros clin d’œil.
- Ça dépend de quoi on parle Hi ! Hi ! Alors ?? On se le prend cet apéro ou quoi ?
Un premier pull vole dans les airs suivi très vite d’un autre et quelques secondes plus tard, ce sont trois boxers qui rejoignent le tas compact de vêtements au sol du salon.
2eme ANNÉE avant Pâques : (44 / 150) (Paris) (Dernier week-end avant la reprise) (fin)
Premières caresses et premiers baisers, d’abord doux et câlins jusqu’à ce que la fièvre monte et qu’ils se retrouvent affalés sur le canapé les sexes tendus cherchant l’endroit chaud et accueillant pour y atteindre l’orgasme.
Thomas chahute avec Florian et se retrouve à genoux sur le tapis et le torse plaqué contre l’assise en cuir du canapé avec son petit rouquin allongé sur lui cherchant à le chatouiller. Yuan contemple le spectacle des deux belles paires de fesses l’une au-dessus de l’autre offertes à sa vue ainsi que leurs corolles que les mouvements des deux garçons exposent sans pudeur.
Son sexe s’arque dans un mouvement fluide presque vivant et il vient se positionner derrière eux en fléchissant les genoux et en maintenant fermement les reins de Florian pour le plaquer tout contre le beau blond.
Ceux-ci comprennent son intention et se cambrent encore plus pour l’exciter davantage comme si c’était possible vu l’état où en est déjà Yuan à saliver par avance de pouvoir s’offrir tour à tour ses deux petits culs offerts.
Son sexe pénètre d’abord Thomas qui geint de plaisir, il lui donne quelques va-et-vient puissants dans son intimité pendant que Florian l’embrasse dans le cou et lui dévore les dessous d’oreilles, excité comme pas possible de l’état d’animal en chaleur de son chéri.
Florian sent la pression se relâcher et Thomas reprendre un tant soit peu le contrôle de ses sens et de sa respiration quand il se retrouve à son tour investi jusqu’à la garde par le membre long et fin de son ami qui le pistonne virilement en le faisant haleter de pur plaisir.
Une envie incontrôlable lui traverse l’esprit et le besoin d’être encore plus rempli lui vient, il se désaccouple doucement et fait se tourner Thomas pour s’asseoir et s’embrocher sur lui en lui tournant le dos, une fois chose faite, Florian lève les jambes et fait signe à Yuan de reprendre ce qu’il lui faisait juste avant.
D’une voix alanguie de désir :
- Je vous veux tous les deux ensemble !!
Yuan ne se le fait pas dire deux fois et vient se plaquer entre leurs jambes pour positionner son gland le long de la hampe de Thomas presque entièrement à l’intérieur de l’intimité de son petit rouquin, il pousse doucement et entre à son tour excité par les sons de gorge de son ami qui ne semble ressentir aucune douleur bien au contraire.
Thomas tient fermement Florian par les hanches et lui donne de petits coups de reins pour bien rester en lui, la sensation est toute nouvelle pour lui de se sentir en contact aussi intime avec ses deux compagnons et de toute évidence pour Yuan également car il grimace pour se retenir de jouir trop vite, sentant monter en lui un orgasme peu ordinaire.
Les deux sexes s’accordent dans un rythme commun qui plonge Florian dans un bien-être et une chaleur qui libèrent sa libido et son plaisir, de lui-même, il va au-devant des coups de boutoir de ses amis et sent dans ses chairs les pulsions sanguines des deux glands qui s’accroissent en force, annonçant l’inéluctable.
L’orgasme les prend dans un ensemble parfait, Yuan se cambre au plus profond de Florian en libérant son jus pendant que celui-ci se plaque contre Thomas qui se déverse à son tour au plus profond de ses intestins en lui embrassant fiévreusement la nuque et qu’il envoie dans les airs le résultat de sa jouissance en enserrant encore plus fort les deux sexes toujours raides et vibrant du plaisir qu’ils y prennent encore.
Les yeux s’ouvrent et ils se sourient, Florian toujours investi par ses deux amis leur caresse doucement chacun une cuisse et quémande leurs lèvres pour un baiser tout en tendresse.
Le bassin du jeune rouquin recommence à onduler, démontrant qu’il n’est pas et de loin encore rassasié, cherchant de toute évidence à les exciter suffisamment pour qu’ils lui offrent un deuxième tour.
Thomas se rappelle ce qu’ils avaient décidé juste avant et pince gentiment une fesse de son copain.
- Ce n’est plus un simple apéro là !! C’est une saoulerie que tu recherches Hi ! Hi !
- C’est trop bon !! Juste un petit verre et après promis, nous ferons une « tite » pause pour manger un morceau avant de remettre ça.
Yuan et Thomas ne se quittent pas des yeux et leur regard en dit long sur ce qu’ils ressentent, d’ailleurs leurs reins reprennent déjà lentement leurs va-et-vient dans l’intimité chaude et particulièrement bien lubrifié de leur copain qui se sentant vainqueur, soupir de satisfaction et de bien être pour repartir une nouvelle fois dans un plaisir non feint.
- Ahhrr !! Oui !!! C’est trop bon !! Rrrrr !!!
Le son presque imperceptible qui s’échappe de sa gorge maintenant en continu, rend fou de stupre ses deux compagnons dont les instincts les plus primaires prennent le pas une fois de plus sur leurs corps et les déchaînent jusqu’à ce que couverts de transpirations, ils jouissent une nouvelle fois dans un orgasme tétanisant qui les libère pour un moment cette fois de leurs substances et de leurs forces.
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