CHAPITRE XIV (Suite)
- Bonsoir Marion,
- Hello Pascal. Sarah ne va plus tarder. Elle est sur la route.
- Tiens, mets les bulles au frais pour tout à l’heure. Il fait encore bien chaud cette soirée.
Sur ces entrefaites, Sarah arrive. Elle est superbe avec un short en jean moulant, raz les fesses, des baskets blanches et un chandail blanc qui ne descend pas plus bas que son nombril.
- Bonsoir Pascal, Tu me trouves comment ?
- Tu es somptueuse Sarah. J’aime beaucoup et ça colle parfaitement à ta personnalité.
Marion revient de la cuisine d’été.
- Hello ma chérie. Tu es merveilleusement sexy ce soir. Je venais de mettre au frais la bouteille d’Pascal. Si je comprends bien, j’ai plus qu’à y retourner.
- J’en ai amené une moi aussi. Ça va faire l’affaire. Elle est bien fraîche.
Je fais sauter le bouchon et on trinque tous ensemble.
Je propose qu’on fasse comme prévu une incursion boulot d’une vingtaine de minutes et après on referme le tiroir pour ce soir. Marion et Sarah abondent.
Je prends la parole pour annoncer la démission de Jean, les opportunités qu’on pourrait avoir sur Reims et qui renforceraient l’activité de l’équipe actuelle avec bien évidemment des responsabilités accrues et une rémunération en conséquence. Le besoin impérieux que j’ai de conserver Sarah. Le recrutement de plusieurs autres collaborateurs ou collaboratrices pour remplacer Jean dans un premier temps et constituer l’équipe sur Reims par la suite.
Chacun y va de son petit mot avec parfois une pointe d’humour, parfois un brin de complicité, des sourires, des rires entre deux verres. J’aime cette ambiance de travail où les idées fusent et les éléments décisionnels sont amenées d'un commun accord sur le terrain de la collectivité ; les choix qui en sont issus sont toujours souverains.
Sarah me confirme qu’elle reste parmi nous, qu’elle s’ennuie chez elle et qu’elle serait contente de réintégrer à partir de demain. Pour moi, c’est un très grand soulagement. Elle occupera le bureau de Marion pour ne pas perturber l’existence de Jean jusqu’à son départ. Par contre, aller sur Reims pour gérer sur place l’équipe locale ne l’arrange pas. Pas plus que Marion d’ailleurs. Je comprends qu’il faudra aller vers une autre solution.
Je lancerai la campagne de recrutement en remplacement du poste de Jean dans le journal local. Marion et Sarah prendront en charge les entretiens d’embauche. On validera ensemble l’un des deux meilleurs candidats.
On referme le tiroir boulot pour passer à d’autres réjouissances.
Marion la première fait tomber sa robe. Elle est nue dessous, ce qui ne surprend plus personne. Son regard de lionne incestueuse est posé sur celui de Sarah qui à son tour dégrafe le bouton de son short. Après quelques contorsions idylliques, il se retrouve en bas de ses pieds, découvrant son joli duvet pubien. Elle ne porte ni culotte, ni maillot de bain. Elle se tourne vers moi en souriant.
- Comme tu m’as déjà vue toute nue … je peux mettre ma pudeur au panier ?
- Ah parce que tu étais pudique toi ? Lui répondis-je non sans une certaine ironie.
Elle retire son chandail et ses baskets et elle vient se coller à Marion en lui prenant la main. Dans le déplacement félin, ses seins d’une fermeté extraordinaire ne prennent pas l’ombre d’un pli tout comme ses fesses si minces que la petite noisette brune de son derrière est parfaitement visible dans le prolongement de son sexe. J’admire les deux femmes nues, l’une à côté de l’autre avec un regard complice sans équivoque. Je suis incapable de dire qui est la plus jolie des deux. Tout ce que je sais, c’est que ce soir, leur corps se rapprocheront immuablement et elles feront l’amour. C’est une certitude et cette simple idée, avec toutes les images qu’elle évoque, me donne des frissons dans le bas du ventre. Les filles se jettent à l’eau en même temps comme si elles voulaient calmer l’incendie qui les ravage. Lorsqu'elles émergent, Marion m’interpelle.
- Tu viens Pascal ?
J’ai senti le piège arriver. Je n’ai pas de maillot de bain ni même de serviette, ce qui en soit n'est pas réellement un problème. Me mettre nu ne me pose pas de soucis particulier même si j’aurais préféré éviter. Et j’ai bien compris que toute esquive au prétexte que je n’ai pas de maillot de bain me fera passer pour un ringard et globalement, ça ne servira à rien parce que je finirai de gré ou de force à la baille. Le seul souci, c’est que, si mon esprit est resté hermétique aux charmes de mes deux collègues, il n’en est pas de même de mon sexe qui a pris des proportions beaucoup plus explicites. Il est donc urgent de temporiser.
- Pas de panique les filles, je fini mon verre et j’arrive. Euh, je n’ai pas de maillot. Je serai comme vous dans mon plus simple appareil.
Les filles applaudissent et viennent se coller au bord du bassin pour être aux premières loges. Pas question de rater une miette du spectacle. Deux têtes toutes mouillées dépassent du rebord de la piscine, quatre yeux rieurs sont rivés sur moi avec une énorme connivence. Je me lève et tout comme l’aurait fait Marion, je me déshabille avec une série de mouvements calculés. Chaque tissu qui tombe par terre suscite une effervescence vocale qui va crescendo. Je suis la vedette de mon strip-tease. Je suis nu, de dos et j’offre mes fesses imberbes à l’avidité des pupilles enthousiastes. Je me tourne, déclenchant une onde de satisfaction et des cris hystériques. Je plonge dans l’eau et je viens rejoindre les filles qui applaudissent.
- Bon les filles, vous n’avez jamais vu un homme tout nu ?
- Si et d’ailleurs on est curieuse de voir dans quel état ça va ressortir.
On s’amuse. On s’arrose. On se calme, on discute dans la bonne humeur générale. Il n’y aucune arrière-pensée ni d’un côté, ni de l’autre. Marion s’est rapprochée de Sarah et quelque part la femme libre me surprend. Elle me semble beaucoup plus éprise qu’elle ne veut bien le laisser entendre. Je lis dans leurs regards respectifs des sentiments passionnés, très forts, proches de ceux que je peux ressentir pour Alice. Je souris dans mon fort intérieur. La femme mûre qui voulait rester libre est conquise. Je le sais, je le vois et quelque part, ça me rassure ; j’avais envisagé l’éventualité d’un tout autre scénario dans lequel il m’eut été plus compliqué de m’y soustraire.
On remonte à l’air libre et je m’enroule dans la première serviette venue. On reprend une dernière coupe. Je m’habille et je prends congé de mes hôtes.
- Bonsoir Marion,
- Hello Pascal. Sarah ne va plus tarder. Elle est sur la route.
- Tiens, mets les bulles au frais pour tout à l’heure. Il fait encore bien chaud cette soirée.
Sur ces entrefaites, Sarah arrive. Elle est superbe avec un short en jean moulant, raz les fesses, des baskets blanches et un chandail blanc qui ne descend pas plus bas que son nombril.
- Bonsoir Pascal, Tu me trouves comment ?
- Tu es somptueuse Sarah. J’aime beaucoup et ça colle parfaitement à ta personnalité.
Marion revient de la cuisine d’été.
- Hello ma chérie. Tu es merveilleusement sexy ce soir. Je venais de mettre au frais la bouteille d’Pascal. Si je comprends bien, j’ai plus qu’à y retourner.
- J’en ai amené une moi aussi. Ça va faire l’affaire. Elle est bien fraîche.
Je fais sauter le bouchon et on trinque tous ensemble.
Je propose qu’on fasse comme prévu une incursion boulot d’une vingtaine de minutes et après on referme le tiroir pour ce soir. Marion et Sarah abondent.
Je prends la parole pour annoncer la démission de Jean, les opportunités qu’on pourrait avoir sur Reims et qui renforceraient l’activité de l’équipe actuelle avec bien évidemment des responsabilités accrues et une rémunération en conséquence. Le besoin impérieux que j’ai de conserver Sarah. Le recrutement de plusieurs autres collaborateurs ou collaboratrices pour remplacer Jean dans un premier temps et constituer l’équipe sur Reims par la suite.
Chacun y va de son petit mot avec parfois une pointe d’humour, parfois un brin de complicité, des sourires, des rires entre deux verres. J’aime cette ambiance de travail où les idées fusent et les éléments décisionnels sont amenées d'un commun accord sur le terrain de la collectivité ; les choix qui en sont issus sont toujours souverains.
Sarah me confirme qu’elle reste parmi nous, qu’elle s’ennuie chez elle et qu’elle serait contente de réintégrer à partir de demain. Pour moi, c’est un très grand soulagement. Elle occupera le bureau de Marion pour ne pas perturber l’existence de Jean jusqu’à son départ. Par contre, aller sur Reims pour gérer sur place l’équipe locale ne l’arrange pas. Pas plus que Marion d’ailleurs. Je comprends qu’il faudra aller vers une autre solution.
Je lancerai la campagne de recrutement en remplacement du poste de Jean dans le journal local. Marion et Sarah prendront en charge les entretiens d’embauche. On validera ensemble l’un des deux meilleurs candidats.
On referme le tiroir boulot pour passer à d’autres réjouissances.
Marion la première fait tomber sa robe. Elle est nue dessous, ce qui ne surprend plus personne. Son regard de lionne incestueuse est posé sur celui de Sarah qui à son tour dégrafe le bouton de son short. Après quelques contorsions idylliques, il se retrouve en bas de ses pieds, découvrant son joli duvet pubien. Elle ne porte ni culotte, ni maillot de bain. Elle se tourne vers moi en souriant.
- Comme tu m’as déjà vue toute nue … je peux mettre ma pudeur au panier ?
- Ah parce que tu étais pudique toi ? Lui répondis-je non sans une certaine ironie.
Elle retire son chandail et ses baskets et elle vient se coller à Marion en lui prenant la main. Dans le déplacement félin, ses seins d’une fermeté extraordinaire ne prennent pas l’ombre d’un pli tout comme ses fesses si minces que la petite noisette brune de son derrière est parfaitement visible dans le prolongement de son sexe. J’admire les deux femmes nues, l’une à côté de l’autre avec un regard complice sans équivoque. Je suis incapable de dire qui est la plus jolie des deux. Tout ce que je sais, c’est que ce soir, leur corps se rapprocheront immuablement et elles feront l’amour. C’est une certitude et cette simple idée, avec toutes les images qu’elle évoque, me donne des frissons dans le bas du ventre. Les filles se jettent à l’eau en même temps comme si elles voulaient calmer l’incendie qui les ravage. Lorsqu'elles émergent, Marion m’interpelle.
- Tu viens Pascal ?
J’ai senti le piège arriver. Je n’ai pas de maillot de bain ni même de serviette, ce qui en soit n'est pas réellement un problème. Me mettre nu ne me pose pas de soucis particulier même si j’aurais préféré éviter. Et j’ai bien compris que toute esquive au prétexte que je n’ai pas de maillot de bain me fera passer pour un ringard et globalement, ça ne servira à rien parce que je finirai de gré ou de force à la baille. Le seul souci, c’est que, si mon esprit est resté hermétique aux charmes de mes deux collègues, il n’en est pas de même de mon sexe qui a pris des proportions beaucoup plus explicites. Il est donc urgent de temporiser.
- Pas de panique les filles, je fini mon verre et j’arrive. Euh, je n’ai pas de maillot. Je serai comme vous dans mon plus simple appareil.
Les filles applaudissent et viennent se coller au bord du bassin pour être aux premières loges. Pas question de rater une miette du spectacle. Deux têtes toutes mouillées dépassent du rebord de la piscine, quatre yeux rieurs sont rivés sur moi avec une énorme connivence. Je me lève et tout comme l’aurait fait Marion, je me déshabille avec une série de mouvements calculés. Chaque tissu qui tombe par terre suscite une effervescence vocale qui va crescendo. Je suis la vedette de mon strip-tease. Je suis nu, de dos et j’offre mes fesses imberbes à l’avidité des pupilles enthousiastes. Je me tourne, déclenchant une onde de satisfaction et des cris hystériques. Je plonge dans l’eau et je viens rejoindre les filles qui applaudissent.
- Bon les filles, vous n’avez jamais vu un homme tout nu ?
- Si et d’ailleurs on est curieuse de voir dans quel état ça va ressortir.
On s’amuse. On s’arrose. On se calme, on discute dans la bonne humeur générale. Il n’y aucune arrière-pensée ni d’un côté, ni de l’autre. Marion s’est rapprochée de Sarah et quelque part la femme libre me surprend. Elle me semble beaucoup plus éprise qu’elle ne veut bien le laisser entendre. Je lis dans leurs regards respectifs des sentiments passionnés, très forts, proches de ceux que je peux ressentir pour Alice. Je souris dans mon fort intérieur. La femme mûre qui voulait rester libre est conquise. Je le sais, je le vois et quelque part, ça me rassure ; j’avais envisagé l’éventualité d’un tout autre scénario dans lequel il m’eut été plus compliqué de m’y soustraire.
On remonte à l’air libre et je m’enroule dans la première serviette venue. On reprend une dernière coupe. Je m’habille et je prends congé de mes hôtes.
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