01-09-2020, 04:08 PM
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année, 2ème partie : (112 / 150) (Aix) (Anthony) (Huitième jour) (Surprise de taille) (fin)
Deux autres chansons ponctuent cet après-midi, Alice remonte alors sur l’estrade pour reprendre son chéri dans ses bras et le féliciter d’avoir passé outre à ses doutes et leur avoir donné autant de plaisir.
Johnny les regarde un moment avant de se décider lui aussi à exprimer ses pensées face à ce jeune garçon plein de talents et dont le physique avenant ferait très rapidement de lui une énorme vedette s’il en éprouvait tout simplement l’envie.
Il comprend aussi qu’il ne faut surtout pas le brusquer et se contente donc tout simplement, avec ses mots à lui, de lui assurer qu’il sera là le jour où il sera prêt et qu’il n’aura alors qu’à le lui faire savoir.
- (Anthony ému) Merci mais je ne veux pas en faire mon métier, chanter devant mes amis me comble amplement et je tiens trop à ma liberté. Je suis flatté d’avoir eu cette proposition et je m’en souviendrais comme une des plus belles qu’on m’aura faite soyez en assuré.
- Très bien !! Je n’insisterai donc pas !! Bonne chance jeune homme et surtout ne changez pas !! Allez les gars, nous devons être à Lyon ce soir !!
Anthony les entend remballer leurs instruments et pose la question qui lui brûle les lèvres.
- Ils s’en vont ?? Je croyais qu’ils étaient là pour le spectacle de demain soir ??
- (Baptiste étonné) Qui t’a dit ça ?? Ils sont juste venus pour toi et te faire cette proposition que tu viens de refuser.
- (Alice troublée) Tu aurais pu prendre le temps d’y réfléchir « Antho », ce n’est pas tous les jours qu’on te déroulera le tapis rouge tu sais ?
- Je suis trop bien avec vous tous et en plus je ne tiens pas vraiment à devenir comme eux, Tony n’est plus là ? J’aimerais bien lui dire deux mots.
Baptiste regarde autour de lui.
- Il est reparti on dirait bien, pourquoi tu veux lui parler ?
- Il va falloir qu’il m’explique comment il compte faire maintenant pour demain soir.
Baptiste sourit car bien sûr il est au courant.
- Bah !! Tu verras bien, nous n’y sommes pas encore.
Alice les écoute discuter la tête ailleurs, elle repense à cette première fois qui ne date pas de si longtemps que ça, où elle a enfin connu le plaisir suprême d’être aimé et honoré par son amoureux et le plaisir a été tellement fort, qu’elle en éprouve encore un immense frisson de joie quand elle s’en souvient.
C’était il y a deux nuits quand elle a senti une main plus que baladeuse caresser son corps et qu’elle a compris que cette fois-ci serait la bonne.
En effet Anthony cette nuit-là s’est fait beaucoup plus aventureux qu’à l’habitude et sa main s’est égarée dans des endroits beaucoup plus intimes, n’hésitant plus à aller là où ses envies de découvertes l’amenaient.
Quand ses doigts curieux sont entrés tout en douceur dans son intimité, celle-ci était déjà toute lubrifiée, prête à enfin connaître ce qui fera d’elle une femme et c’est d’un ton presque implorant dont elle ne se serait jamais crue capable, qu’Alice lui a alors demandé de la prendre.
Anthony devait être dans un état mental d’excitation particulièrement fort car il n’a pas hésité et s’est allongé sur elle en se frottant langoureusement contre son corps et en l‘embrassant avec une virilité qui l’a rendu toute chose, haletante dans l’attente de la pénétration qui n’a pas traîné et qui lui a fait pousser le petit cri de douleur mais aussi de joie de perdre enfin sa virginité dans les bras du garçon qu’elle aime.
Anthony est devenu le mâle dominant qu’elle soupçonnait depuis toujours et l’a prise avec un mélange de force et de douceur qui très vite l’a menée dans un plaisir intense proche de l’orgasme.
Leurs lèvres se sont scellées pendant que leurs corps en parfaite union leur donnaient l’extase de la jouissance.
Un dernier coup de reins puissant l’a fait hoqueter de surprise et ses yeux ont chaviré sous l’effet de ce coït mené avec virilité et passion.
Anthony sans débander a continué ses mouvements de va-et-vient, visiblement encore sous l’effet d’une libido trop longtemps retenue.
Alice a senti son corps redevenir demandeur et ses doigts se sont crispés en lui griffant légèrement le dos quand un véritable orgasme cette fois l’a emmenée encore plus loin dans l’état de béatitude que cet accouplement tant attendu lui déclenche.
Le garçon a bien senti que cette fois-ci sa compagne jouissait très fort et ça lui a donné encore plus l’envie de la prendre, ses coups de reins se sont faits plus agressifs, plus virils encore et c’est au moment où sa chérie repart pour une troisième fois dans les limbes du plaisir suprême, qu’il jouit à son tour d’un deuxième orgasme qui cette fois-ci le laisse exsangue et qu’il s’affale complètement vidé de toute force sur sa chérie qui maintenant lui caresse les cheveux avec la reconnaissance du bonheur intense qu’elle vient de vivre.
C’est dans cette pensée encore si présente, qu’Alice le serre contre lui et l’emmène en dehors du chapiteau, pressée soudainement de revivre encore une fois ce bonheur de ne faire plus qu’un avec celui qu’elle aime et qui la comble au-delà de tous ses rêves de jeune fille.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année, 2ème partie : (113 / 150) (Aix) (Un terrain tout trouvé) (Huitième jour)
Le père Antoine fait sa petite sieste chez Philippe qui l’a accueilli de bon cœur chez lui pour la durée de son séjour en France.
Michel et Maryse sont également là eux aussi et discutent de cette matinée troublante ou pour la première fois, Florian n’a pas rejeté l’idée de mettre en place son projet hospitalier en Afrique.
- (Philippe) Je pense que le fait que Taha lui ait sauvé la vie y est pour beaucoup dans cette décision aussi soudaine que surprenante.
- (Michel) C’est probable en effet et en plus ça m’arrange plutôt bien.
- (Philippe curieux) Ah oui !! Comment ça ?
- (Michel tout souriant) Depuis qu’Antoine nous a demandé son aide, j’ai pas mal pris de renseignements et je dois dire qu’ils sont plutôt bons. La zone où il a son dispensaire est une concession qui appartient toujours à la France, un ancien territoire qui nous a été rétrocédé lors de notre retrait de nos colonies d’Afrique et qui ont marqué leur indépendance.
- (Philippe en soupirant) Pour ce que ça leur a réussi !!!
- Ils n’étaient pas prêts et on voit ce que ça donne maintenant !!
- Donc si je comprends bien, ce projet de construction est déjà bien avancé ?
- (Michel) Je n’irai pas jusqu’à dire ça, mais disons qu’il est envisageable et qu’il ne manquerait plus que quelques signatures pour pouvoir monter plus avant ce projet.
- (Philippe) Le coût de tout ça doit dépasser vos possibilités, à moins que vous vous contentiez d’améliorations de la structure existante et que vous y alliez par petites touches progressives.
- Tu connais notre Florian ? Il a déjà trouvé les fonds qui lui seront nécessaires et des associés de poids pour l’aider dans ses ambitions qui je l’avoue ne manque pas d’un certain gigantisme qui me fait peur.
Michel raconte à Philippe ce qui lui a été répété de la demande de Florian auprès de ses deux richissimes amis, il lui indique les sommes colossales qu’il leur a demandé d’investir et avec quels arguments il les a persuadés à adhérer à sa cause.
- (Philippe ébahi) Ce gamin me surprendra toujours !!!
- (Maryse amicale) On croit le connaître et Pffttt !!! Le voilà qu’il nous emmène avec lui dans des idées à l’opposé de ce qu’on aurait cru possible.
- (Michel) La preuve en est de cette acceptation soudaine de venir en aide aux tribus Massaï.
- (Maryse) Pourtant dieu sait combien l’idée même d’aller là-bas lui était impensable !!
- (Philippe) Toutes ces histoires qu’il entend depuis quelque temps doivent y être aussi pour quelque chose, vous ne croyez pas ?
- (Michel) Sans doute oui !! Maintenant je ne crois pas qu’il en ait oublié ses craintes pour autant.
- (Philippe) Malgré tout votre décision est prise et je ne pense pas que vous reviendrez dessus aussi facilement.
- (Michel) Je vais lancer dès le début de l’année qui vient les études nécessaires à la réalisation de ce projet et si tout va bien, les travaux démarreront dans la foulée pour une livraison d’ici trois à quatre ans.
- (Philippe) Et si d’ici là Florian revient sur sa décision ? Vous y avez pensé ?
- (Michel) Nous lui présenterons les plans avant de démarrer les travaux et c’est lui qui donnera ou non son accord, je ne pense pas qu’ensuite il revienne dessus.
- (Philippe) Pfft !!! Un milliard et demi de dollars !!! Ce n’est quand même pas rien !!!
- (Michel sourit) Pour toi ou même moi c’est certain mon cher Philippe, mais pour des gars comme Hassan ou Ming l’échelle des valeurs n’est pas du tout la même comprends le. Ils ont l’air d’avoir pris ça pour un bon investissement et les connaissant, je ne doute pas un instant qu’ils en ont déjà soupesé toutes les royalties que ça pourra leur rapporter.
- (Philippe) Et s’ils ne faisaient ça juste que pour Florian ? Après tout, ils tiennent beaucoup à lui il me semble ?
- (Michel en souriant) Ça aurait pu en effet !!! Mais pas après ce qu’il leurs a promis Hi ! Hi ! Rends-toi compte que ce qu’il leur a proposé pourrait décupler leurs fortunes à des strates que même eux n’imaginaient pas pouvoir atteindre un jour.
Philippe retient sa respiration quand il pose la question :
- Et c’est ??
Michel en le fixant droit dans les yeux avec tout le sérieux dont il est capable.
- Son cerveau mon cher ami et un pourcentage sur tout ce qu’il en sortira un jour.
- (Philippe soufflé) Rien que ça !!! Je comprends mieux maintenant !!! Mais vous avez tous l’air d’oublier un point pourtant crucial dans tout ça !!
- (Maryse étonnée) A quoi penses-tu ??
- Allons mes amis !! Réfléchissez donc un peu !! Qui dépense depuis des années des sommes qui cumulées avec le temps ne doivent pas être négligeables elles non plus ? Qui met ses services spéciaux à la protection de ce gamin et n’hésite pas à contrarier les projets d’une puissance internationale beaucoup plus forte qu’elle ?
- (Michel) Maurice ??
- Maurice n’est qu’un exécutant qui s’est finalement pris comme nous tous d’amitié envers Florian. Je pensais à nos gouvernants qui ne laisseront certainement pas d’autres qu’eux profiter des avancées scientifiques ou médicales de notre petit Florian le jour où il va commencer à se pencher sérieusement sur ces choses-là. Déjà j’ai eu écho de quelques avancées dont il serait l’instigateur et qui commenceraient déjà à donner des résultats.
- (Michel inquiet) Nous n’aurons peut-être pas tout ce temps devant nous alors ?
Philippe en hochant la tête :
- Je le crains et au rythme où tout se précipite, je dirais même qu’il nous est déjà compté.
- (Maryse affolée) Que pouvons-nous y faire ?
- (Philippe) Je pense qu’après les fêtes, nous devrons réunir toutes les bonnes volontés et mettre un plan en action, d’ici là il va nous falloir nous trifouiller le cerveau pour trouver quelque chose qui tienne la route.
Philippe lève les bras au ciel et soupire.
- Sinon !!!!
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année, 2ème partie : (114 / 150) (Aix) (Erwan et Ramirez) (Première fois)
La soirée ne s’est pas éternisée car le lendemain jour de réveillon promet d’être long et tous préfèrent reprendre des forces et se coucher tôt.
Erwan est seul dans la roulotte, son copain devant nourrir ses chevaux comme il le fait chaque soir.
Il monte le chauffage et décide d’aller prendre sa douche en l’attendant, jetant un dernier œil sur le salon pour vérifier que rien n’y traîne car tout comme Ramirez, Erwan a horreur du désordre.
Satisfait de l’état des lieux, il se déshabille et met au sale ceux de ses vêtements qu’il estime avoir à y mettre et range le reste sur le siège de son côté du lit avant de rejoindre la douche nu comme un ver.
L’eau chaude sur son corps lui fait du bien et le stimule suffisamment pour qu’un sourire de satisfaction orne son visage.
Il tient à en laisser suffisamment à son copain aussi ne s’éternise-t-il pas et en ressort-il rapidement pour s’essuyer énergiquement et aller tout droit se glisser en frissonnant sous ses draps.
Ramirez rentre peu après et au silence de la roulotte comprend que son ami s’est déjà mis au lit.
Il vérifie en jetant un coup d’œil dans sa chambre et n’aperçoit amusé qu’une forme emballée jusqu’aux cheveux sous la couette, il referme alors doucement le panneau et va à son tour faire sa toilette dans l’intention lui aussi de profiter de la chaleur de son lit.
Erwan n’arrive pas à s’endormir, il entend son copain sous la douche et se l’imagine nu en train de se savonner le corps.
Une chaleur venant de son bas-ventre lui indique qu’il n’y a pas que son cerveau qui a du mal à trouver le sommeil.
Il songe un instant à se soulager comme il se doit, il retient néanmoins son geste en se disant que ce serait bête d’en arriver là alors qu’il est dans le même appartement que la personne qu’il aime.
Erwan attend alors d’entendre son ami sortir de la salle de bains et l’interpelle doucement d’une voix chargée d’envie quand il l’entend s’approcher de sa chambre.
- Tu viens dormir avec moi ?
Ramirez se fige de saisissement, il rêve ou a-t-il bien entendu ?? Sa main tremblante entrouvre le panneau et sa tête passe de l’autre côté, ses yeux cherchant ceux d’Erwan pour qu’il lui confirme qu’il n’a pas imaginé ça tout seul dans sa tête.
- Tu m’as parlé ?
Erwan sourit amusé de voir sa trombine ahurie.
- Tu viens dormir avec moi ?
Ramirez en bégaie :
- Tu… Tu… veux vraiment ?
- Oui s’il te plaît, j’ai froid !!!
- Hum !!! C’est juste pour te servir de bouillotte alors ?
Ramirez n’attend pas de réponse et entre pour refermer le panneau de séparation derrière lui, il va pour défaire le drap de bain qui lui ceinture la taille quand il se rappelle soudainement qu’il est nu en dessous et du coup marque un temps d’arrêt, ses joues commençant à s’empourprer.
- Je reviens !! Juste le temps d’aller passer un boxer.
- Pour quoi faire ? Je n’en ai pas moi !!
Ramirez bugue quelques secondes en se demandant ce qu’il lui arrive, le sourire en coin d’Erwan lui accélère soudainement le rythme cardiaque et il sent son entrejambe se réveiller.
Alors ni une ni deux, il balance sa serviette de bain et file se glisser sous la couette, avant que son « trouble » ne se voie trop.
Erwan bande comme un cochon et dès que son ami s’allonge près de lui, il vient se serrer dans ses bras en faisant celui qui a froid.
- Brrr !!! Viens ma grosse bouillotte !! Réchauffe-moi !!!
Ramirez n’ose plus bouger un cil, il sent bien contre sa fesse le sexe tendu et cette main posée sur son ventre, qui le frotte vigoureusement en descendant petit à petit vers son pubis.
Erwan s’excite de plus en plus et sa main s’empare bientôt du bâton en pleine gloire qu’il espérait y trouver aussi dur que le sien et qui prouve que son ami a tout autant envie que lui.
- Hummm !!!! Je peux toucher ??
- (Ramirez en riant) Ce n’est pas ce que tu fais déjà ?
- Je n’ai pas pu résister !! Ça ne te dérange pas hein ??
- Mon bébé a trouvé sa tutte on dirait ?
Erwan sourit et plonge sous les draps.
- (Ramirez surpris) Hé !! Tu fais quoi là ?
Deux autres chansons ponctuent cet après-midi, Alice remonte alors sur l’estrade pour reprendre son chéri dans ses bras et le féliciter d’avoir passé outre à ses doutes et leur avoir donné autant de plaisir.
Johnny les regarde un moment avant de se décider lui aussi à exprimer ses pensées face à ce jeune garçon plein de talents et dont le physique avenant ferait très rapidement de lui une énorme vedette s’il en éprouvait tout simplement l’envie.
Il comprend aussi qu’il ne faut surtout pas le brusquer et se contente donc tout simplement, avec ses mots à lui, de lui assurer qu’il sera là le jour où il sera prêt et qu’il n’aura alors qu’à le lui faire savoir.
- (Anthony ému) Merci mais je ne veux pas en faire mon métier, chanter devant mes amis me comble amplement et je tiens trop à ma liberté. Je suis flatté d’avoir eu cette proposition et je m’en souviendrais comme une des plus belles qu’on m’aura faite soyez en assuré.
- Très bien !! Je n’insisterai donc pas !! Bonne chance jeune homme et surtout ne changez pas !! Allez les gars, nous devons être à Lyon ce soir !!
Anthony les entend remballer leurs instruments et pose la question qui lui brûle les lèvres.
- Ils s’en vont ?? Je croyais qu’ils étaient là pour le spectacle de demain soir ??
- (Baptiste étonné) Qui t’a dit ça ?? Ils sont juste venus pour toi et te faire cette proposition que tu viens de refuser.
- (Alice troublée) Tu aurais pu prendre le temps d’y réfléchir « Antho », ce n’est pas tous les jours qu’on te déroulera le tapis rouge tu sais ?
- Je suis trop bien avec vous tous et en plus je ne tiens pas vraiment à devenir comme eux, Tony n’est plus là ? J’aimerais bien lui dire deux mots.
Baptiste regarde autour de lui.
- Il est reparti on dirait bien, pourquoi tu veux lui parler ?
- Il va falloir qu’il m’explique comment il compte faire maintenant pour demain soir.
Baptiste sourit car bien sûr il est au courant.
- Bah !! Tu verras bien, nous n’y sommes pas encore.
Alice les écoute discuter la tête ailleurs, elle repense à cette première fois qui ne date pas de si longtemps que ça, où elle a enfin connu le plaisir suprême d’être aimé et honoré par son amoureux et le plaisir a été tellement fort, qu’elle en éprouve encore un immense frisson de joie quand elle s’en souvient.
C’était il y a deux nuits quand elle a senti une main plus que baladeuse caresser son corps et qu’elle a compris que cette fois-ci serait la bonne.
En effet Anthony cette nuit-là s’est fait beaucoup plus aventureux qu’à l’habitude et sa main s’est égarée dans des endroits beaucoup plus intimes, n’hésitant plus à aller là où ses envies de découvertes l’amenaient.
Quand ses doigts curieux sont entrés tout en douceur dans son intimité, celle-ci était déjà toute lubrifiée, prête à enfin connaître ce qui fera d’elle une femme et c’est d’un ton presque implorant dont elle ne se serait jamais crue capable, qu’Alice lui a alors demandé de la prendre.
Anthony devait être dans un état mental d’excitation particulièrement fort car il n’a pas hésité et s’est allongé sur elle en se frottant langoureusement contre son corps et en l‘embrassant avec une virilité qui l’a rendu toute chose, haletante dans l’attente de la pénétration qui n’a pas traîné et qui lui a fait pousser le petit cri de douleur mais aussi de joie de perdre enfin sa virginité dans les bras du garçon qu’elle aime.
Anthony est devenu le mâle dominant qu’elle soupçonnait depuis toujours et l’a prise avec un mélange de force et de douceur qui très vite l’a menée dans un plaisir intense proche de l’orgasme.
Leurs lèvres se sont scellées pendant que leurs corps en parfaite union leur donnaient l’extase de la jouissance.
Un dernier coup de reins puissant l’a fait hoqueter de surprise et ses yeux ont chaviré sous l’effet de ce coït mené avec virilité et passion.
Anthony sans débander a continué ses mouvements de va-et-vient, visiblement encore sous l’effet d’une libido trop longtemps retenue.
Alice a senti son corps redevenir demandeur et ses doigts se sont crispés en lui griffant légèrement le dos quand un véritable orgasme cette fois l’a emmenée encore plus loin dans l’état de béatitude que cet accouplement tant attendu lui déclenche.
Le garçon a bien senti que cette fois-ci sa compagne jouissait très fort et ça lui a donné encore plus l’envie de la prendre, ses coups de reins se sont faits plus agressifs, plus virils encore et c’est au moment où sa chérie repart pour une troisième fois dans les limbes du plaisir suprême, qu’il jouit à son tour d’un deuxième orgasme qui cette fois-ci le laisse exsangue et qu’il s’affale complètement vidé de toute force sur sa chérie qui maintenant lui caresse les cheveux avec la reconnaissance du bonheur intense qu’elle vient de vivre.
C’est dans cette pensée encore si présente, qu’Alice le serre contre lui et l’emmène en dehors du chapiteau, pressée soudainement de revivre encore une fois ce bonheur de ne faire plus qu’un avec celui qu’elle aime et qui la comble au-delà de tous ses rêves de jeune fille.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année, 2ème partie : (113 / 150) (Aix) (Un terrain tout trouvé) (Huitième jour)
Le père Antoine fait sa petite sieste chez Philippe qui l’a accueilli de bon cœur chez lui pour la durée de son séjour en France.
Michel et Maryse sont également là eux aussi et discutent de cette matinée troublante ou pour la première fois, Florian n’a pas rejeté l’idée de mettre en place son projet hospitalier en Afrique.
- (Philippe) Je pense que le fait que Taha lui ait sauvé la vie y est pour beaucoup dans cette décision aussi soudaine que surprenante.
- (Michel) C’est probable en effet et en plus ça m’arrange plutôt bien.
- (Philippe curieux) Ah oui !! Comment ça ?
- (Michel tout souriant) Depuis qu’Antoine nous a demandé son aide, j’ai pas mal pris de renseignements et je dois dire qu’ils sont plutôt bons. La zone où il a son dispensaire est une concession qui appartient toujours à la France, un ancien territoire qui nous a été rétrocédé lors de notre retrait de nos colonies d’Afrique et qui ont marqué leur indépendance.
- (Philippe en soupirant) Pour ce que ça leur a réussi !!!
- Ils n’étaient pas prêts et on voit ce que ça donne maintenant !!
- Donc si je comprends bien, ce projet de construction est déjà bien avancé ?
- (Michel) Je n’irai pas jusqu’à dire ça, mais disons qu’il est envisageable et qu’il ne manquerait plus que quelques signatures pour pouvoir monter plus avant ce projet.
- (Philippe) Le coût de tout ça doit dépasser vos possibilités, à moins que vous vous contentiez d’améliorations de la structure existante et que vous y alliez par petites touches progressives.
- Tu connais notre Florian ? Il a déjà trouvé les fonds qui lui seront nécessaires et des associés de poids pour l’aider dans ses ambitions qui je l’avoue ne manque pas d’un certain gigantisme qui me fait peur.
Michel raconte à Philippe ce qui lui a été répété de la demande de Florian auprès de ses deux richissimes amis, il lui indique les sommes colossales qu’il leur a demandé d’investir et avec quels arguments il les a persuadés à adhérer à sa cause.
- (Philippe ébahi) Ce gamin me surprendra toujours !!!
- (Maryse amicale) On croit le connaître et Pffttt !!! Le voilà qu’il nous emmène avec lui dans des idées à l’opposé de ce qu’on aurait cru possible.
- (Michel) La preuve en est de cette acceptation soudaine de venir en aide aux tribus Massaï.
- (Maryse) Pourtant dieu sait combien l’idée même d’aller là-bas lui était impensable !!
- (Philippe) Toutes ces histoires qu’il entend depuis quelque temps doivent y être aussi pour quelque chose, vous ne croyez pas ?
- (Michel) Sans doute oui !! Maintenant je ne crois pas qu’il en ait oublié ses craintes pour autant.
- (Philippe) Malgré tout votre décision est prise et je ne pense pas que vous reviendrez dessus aussi facilement.
- (Michel) Je vais lancer dès le début de l’année qui vient les études nécessaires à la réalisation de ce projet et si tout va bien, les travaux démarreront dans la foulée pour une livraison d’ici trois à quatre ans.
- (Philippe) Et si d’ici là Florian revient sur sa décision ? Vous y avez pensé ?
- (Michel) Nous lui présenterons les plans avant de démarrer les travaux et c’est lui qui donnera ou non son accord, je ne pense pas qu’ensuite il revienne dessus.
- (Philippe) Pfft !!! Un milliard et demi de dollars !!! Ce n’est quand même pas rien !!!
- (Michel sourit) Pour toi ou même moi c’est certain mon cher Philippe, mais pour des gars comme Hassan ou Ming l’échelle des valeurs n’est pas du tout la même comprends le. Ils ont l’air d’avoir pris ça pour un bon investissement et les connaissant, je ne doute pas un instant qu’ils en ont déjà soupesé toutes les royalties que ça pourra leur rapporter.
- (Philippe) Et s’ils ne faisaient ça juste que pour Florian ? Après tout, ils tiennent beaucoup à lui il me semble ?
- (Michel en souriant) Ça aurait pu en effet !!! Mais pas après ce qu’il leurs a promis Hi ! Hi ! Rends-toi compte que ce qu’il leur a proposé pourrait décupler leurs fortunes à des strates que même eux n’imaginaient pas pouvoir atteindre un jour.
Philippe retient sa respiration quand il pose la question :
- Et c’est ??
Michel en le fixant droit dans les yeux avec tout le sérieux dont il est capable.
- Son cerveau mon cher ami et un pourcentage sur tout ce qu’il en sortira un jour.
- (Philippe soufflé) Rien que ça !!! Je comprends mieux maintenant !!! Mais vous avez tous l’air d’oublier un point pourtant crucial dans tout ça !!
- (Maryse étonnée) A quoi penses-tu ??
- Allons mes amis !! Réfléchissez donc un peu !! Qui dépense depuis des années des sommes qui cumulées avec le temps ne doivent pas être négligeables elles non plus ? Qui met ses services spéciaux à la protection de ce gamin et n’hésite pas à contrarier les projets d’une puissance internationale beaucoup plus forte qu’elle ?
- (Michel) Maurice ??
- Maurice n’est qu’un exécutant qui s’est finalement pris comme nous tous d’amitié envers Florian. Je pensais à nos gouvernants qui ne laisseront certainement pas d’autres qu’eux profiter des avancées scientifiques ou médicales de notre petit Florian le jour où il va commencer à se pencher sérieusement sur ces choses-là. Déjà j’ai eu écho de quelques avancées dont il serait l’instigateur et qui commenceraient déjà à donner des résultats.
- (Michel inquiet) Nous n’aurons peut-être pas tout ce temps devant nous alors ?
Philippe en hochant la tête :
- Je le crains et au rythme où tout se précipite, je dirais même qu’il nous est déjà compté.
- (Maryse affolée) Que pouvons-nous y faire ?
- (Philippe) Je pense qu’après les fêtes, nous devrons réunir toutes les bonnes volontés et mettre un plan en action, d’ici là il va nous falloir nous trifouiller le cerveau pour trouver quelque chose qui tienne la route.
Philippe lève les bras au ciel et soupire.
- Sinon !!!!
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année, 2ème partie : (114 / 150) (Aix) (Erwan et Ramirez) (Première fois)
La soirée ne s’est pas éternisée car le lendemain jour de réveillon promet d’être long et tous préfèrent reprendre des forces et se coucher tôt.
Erwan est seul dans la roulotte, son copain devant nourrir ses chevaux comme il le fait chaque soir.
Il monte le chauffage et décide d’aller prendre sa douche en l’attendant, jetant un dernier œil sur le salon pour vérifier que rien n’y traîne car tout comme Ramirez, Erwan a horreur du désordre.
Satisfait de l’état des lieux, il se déshabille et met au sale ceux de ses vêtements qu’il estime avoir à y mettre et range le reste sur le siège de son côté du lit avant de rejoindre la douche nu comme un ver.
L’eau chaude sur son corps lui fait du bien et le stimule suffisamment pour qu’un sourire de satisfaction orne son visage.
Il tient à en laisser suffisamment à son copain aussi ne s’éternise-t-il pas et en ressort-il rapidement pour s’essuyer énergiquement et aller tout droit se glisser en frissonnant sous ses draps.
Ramirez rentre peu après et au silence de la roulotte comprend que son ami s’est déjà mis au lit.
Il vérifie en jetant un coup d’œil dans sa chambre et n’aperçoit amusé qu’une forme emballée jusqu’aux cheveux sous la couette, il referme alors doucement le panneau et va à son tour faire sa toilette dans l’intention lui aussi de profiter de la chaleur de son lit.
Erwan n’arrive pas à s’endormir, il entend son copain sous la douche et se l’imagine nu en train de se savonner le corps.
Une chaleur venant de son bas-ventre lui indique qu’il n’y a pas que son cerveau qui a du mal à trouver le sommeil.
Il songe un instant à se soulager comme il se doit, il retient néanmoins son geste en se disant que ce serait bête d’en arriver là alors qu’il est dans le même appartement que la personne qu’il aime.
Erwan attend alors d’entendre son ami sortir de la salle de bains et l’interpelle doucement d’une voix chargée d’envie quand il l’entend s’approcher de sa chambre.
- Tu viens dormir avec moi ?
Ramirez se fige de saisissement, il rêve ou a-t-il bien entendu ?? Sa main tremblante entrouvre le panneau et sa tête passe de l’autre côté, ses yeux cherchant ceux d’Erwan pour qu’il lui confirme qu’il n’a pas imaginé ça tout seul dans sa tête.
- Tu m’as parlé ?
Erwan sourit amusé de voir sa trombine ahurie.
- Tu viens dormir avec moi ?
Ramirez en bégaie :
- Tu… Tu… veux vraiment ?
- Oui s’il te plaît, j’ai froid !!!
- Hum !!! C’est juste pour te servir de bouillotte alors ?
Ramirez n’attend pas de réponse et entre pour refermer le panneau de séparation derrière lui, il va pour défaire le drap de bain qui lui ceinture la taille quand il se rappelle soudainement qu’il est nu en dessous et du coup marque un temps d’arrêt, ses joues commençant à s’empourprer.
- Je reviens !! Juste le temps d’aller passer un boxer.
- Pour quoi faire ? Je n’en ai pas moi !!
Ramirez bugue quelques secondes en se demandant ce qu’il lui arrive, le sourire en coin d’Erwan lui accélère soudainement le rythme cardiaque et il sent son entrejambe se réveiller.
Alors ni une ni deux, il balance sa serviette de bain et file se glisser sous la couette, avant que son « trouble » ne se voie trop.
Erwan bande comme un cochon et dès que son ami s’allonge près de lui, il vient se serrer dans ses bras en faisant celui qui a froid.
- Brrr !!! Viens ma grosse bouillotte !! Réchauffe-moi !!!
Ramirez n’ose plus bouger un cil, il sent bien contre sa fesse le sexe tendu et cette main posée sur son ventre, qui le frotte vigoureusement en descendant petit à petit vers son pubis.
Erwan s’excite de plus en plus et sa main s’empare bientôt du bâton en pleine gloire qu’il espérait y trouver aussi dur que le sien et qui prouve que son ami a tout autant envie que lui.
- Hummm !!!! Je peux toucher ??
- (Ramirez en riant) Ce n’est pas ce que tu fais déjà ?
- Je n’ai pas pu résister !! Ça ne te dérange pas hein ??
- Mon bébé a trouvé sa tutte on dirait ?
Erwan sourit et plonge sous les draps.
- (Ramirez surpris) Hé !! Tu fais quoi là ?
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li