01-09-2020, 12:55 PM
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (124 / 150) (Au cirque) (Erwan) (L’inconnu "e") (fin)
Patrice qui remarque son sourire épanoui :
- Je vois ça !!
Taha sourit également mais ce n’est pas tout à fait pour les mêmes raisons, son instinct lui avait fait découvrir cette personne qui pourtant s’était faite discrète pour arriver derrière eux bien avant qu’elle ne se présente et s’il avait dirigé sciemment la conversation vers un sujet bien précis, c’est qu’il avait déjà repéré son manège et reconnu dans ses yeux cette flamme étrange que l’on nomme l’amour.
Le visage épanoui d’Erwan peut n’être dû qu’à la proposition de partager une roulotte dans le cirque et de rester ainsi plus près de ses amis, mais rien n’est moins sûr car il avait l’air de démontrer pareillement un grand plaisir d’être aussi ensemble tous les deux.
- À la vitesse où il est parti, il ne devrait pas être long à revenir.
- (Catherine) J’espère juste que le ménage est fait chez toi sinon ça la foutrait mal Hi ! Hi !
- Oups !! Excusez-moi mais je dois y aller !! Merci d’y avoir pensé !!
***/***
Erwan trépigne dans le bus qui le ramène jusque devant l’hôtel, il a le cœur rempli de joie à l’idée de passer ses vacances au cirque.
Il appelle ses parents pour les prévenir et aussi pour tâter le terrain de savoir s’ils vont le prendre mal ou pas.
Apparemment tout baigne pour eux et c’est en sifflotant qu’il pénètre enfin dans le hall de l’hôtel, prend sa clé et monte quatre à quatre dans sa chambre pour y reprendre ses affaires.
À peine dix minutes plus tard et il est déjà remonté dans le bus qui va en sens inverse cette fois-ci.
Il est doublement ravi, premièrement par les raisons déjà évoquées et ensuite par la personne qui lui a proposé si gentiment de venir partager sa roulotte.
Personne, qui dès les premiers regards ne lui était pas indifférente et dont il souhaitait faire mieux connaissance dans les jours à venir.
Du coup pense-t-il, ce sera plus rapide comme ça et s’il ne se rend pas encore bien compte du pourquoi d’autant de joie d’être avec cette personne, il n’est pas si naïf non plus pour ne pas comprendre qu’elle ne l’a pas laissé indifférent à sa bonne humeur et à son charme certain.
Du coup Erwan creuse un peu dans ses impressions et constate surpris qu’il n’y a pas que son cerveau qui réagit mais que son entrejambe se retrouve bien à l’étroit d’un coup.
Il s’interroge alors sur ce qu’il ressent réellement, perturbé quand même de la rapidité avec laquelle tout ça est arrivé.
Il n’aurait jamais cru en venant ici voir son ami que peut-être il y trouverait également autre chose qu’il espérait secrètement depuis un moment déjà.
Maintenant il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué se dit-il en riant bêtement tout seul.
Rien ne dit que cette proposition n’avait d’autres buts que celui tout bête de lui permettre de rester près de tout le monde.
Son sourire s’efface alors le temps de cette pensée, il se secoue alors en se disant qu’il verra bien où tout cela mènera et c’est en retrouvant son sourire, qu’il quitte le bus et entre dans le cirque.
***/***
En une demi-heure, la roulotte est rangée, nettoyée et parfumée.
Les draps sont changés, aussi bien les siens que ceux de la seconde chambre car il ne faut quand même pas trop espérer que ce beau gars qui lui a fait tourner la tête dès le premier jour soit dans les mêmes dispositions que les siennes.
Au moins il sera là tout prêt et ils verront bien alors où les mènera leur future cohabitation.
L’espoir reste permis et c’est le cœur léger avec un dernier regard de satisfaction sur l’état accueillant de sa roulotte que son corps et son esprit se mettent en état de veille, attendant avec fièvre qu’Erwan avec son sourire si craquant n’arrive et s’installe ici comme chez lui.
***/***
Erwan sa valise à la main se renseigne auprès d’un ouvrier du cirque, celui-ci lui indique où se trouve son futur logement et c’est d’un pas décidé qu’il s’y dirige ; Son jeans serré ne cache pas grand-chose de l’excitation tout autre qu’il n’arrive pas à juguler, Erwan n’y prend garde et c’est dans cet état de bandaison manifeste qu’il frappe à la porte de la roulotte aux couleurs rutilantes qui ne déparent pas des autres l’entourant et toutes aussi pimpantes.
La porte s’ouvre et un grand sourire l’accueille alors. Un sourire si resplendissant qu’il fait battre le cœur d’Erwan à cent à l’heure, la personne devant lui va pour lui céder la place afin qu’il puisse entrer à l’intérieur quand son regard s’arrête surpris devant la déformation manifeste de l’entrejambe du jeune homme planté devant lui.
Sa gorge se serre et devient sèche quand sa main lui montre tremblante la chose en plein émoi, n’osant pas encore espérer quant à la cause de cette raideur si troublante.
- Avoue que tu viens de te mater un porno avant de venir ! Hi ! Hi !
Erwan regarde sa braguette est pique un énorme fard ne se rappelant plus de cette érection qui l’a pris dans le bus et dont il avait fini par ne plus en avoir conscience.
- Oups ! Excuse mais je crois plutôt que j’étais excité à l’idée de retrouver quelqu’un.
- Ah oui !! Et qui ça ?
Erwan hésite malgré le sourire toujours aussi fortement marqué qu’il a en face de lui.
- Heu !! J’ai rendu ma chambre et je risque de me retrouver SDF si je te le dis.
N’osant comprendre mais son cœur ratant un battement et sa poitrine se soulevant plus rapidement qu’à l’habitude.
- Entre au lieu de dire des bêtises !!
- Tu ne m’en veux pas ? Je suis vraiment gêné que ce soit aussi visible tu sais ?
Erwan sent son poignet pris par une main ferme, celle-ci le dirige aussitôt sans hésitation vers le pantalon ample de son propriétaire et lui plaque la main là où Erwan sent une barre toute aussi dure que la sienne.
- Tu vois !! Il n’y a pas que toi qui es dans cet état !
- Ramirez ! Je…
- Chut !! C’était juste pour te faire comprendre que tu me plais toi aussi, maintenant il n’y a pas le feu et nous ne sommes pas obligés de nous sauter dessus.
Erwan regarde le jeune homme au visage rayonnant et au corps si souple qui maintenant lui amène l’espoir d’avoir enfin trouvé ce qu’il commençait à désespérer depuis si longtemps.
Que ce soit un garçon plutôt qu’une fille, il s’en fout royalement même s’il en est encore étonné car ce qui compte c’est qu’il se sente bien avec lui.
Erwan capture les yeux brillants de Ramirez dans les siens ; il pense soudainement à ses parents et crispe ses mâchoires d’appréhension.
- J’en connais deux qui ne vont rien y comprendre !!!
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (125 / 150) (Aix) (Le pari perdu de Raphaël Éric et Thomas) (suite)
Le même sourire éclaire son visage quand il se laisse à son tour guider vers le lit encore chaud de mes premières turpitudes.
J’entends un murmure derrière moi qui me fais me retourner, les deux pipelettes se parlent à l’oreille se croyant d’une discrétion absolue.
- J’ai dit silence !! Deux heures de plus ce qui fait en fait cinq en tout déjà !! Fallait pas parier avec moi si vous ne vouliez pas le subir les gars, maintenant je ne veux plus vous entendre ou croyez-moi sur parole, je ne vous parlerais plus des vacances.
Apparemment la menace est largement suffisante car un silence de cimetière suit mes dernières paroles.
Je ne peux m’empêcher de sourire devant ses trois grands dadais nus offerts à moi sans aucune pudeur, exhibant à ma demande toutes les parties les plus intimes de leur anatomie.
Ma main pendant ce temps n’a pas cessé ses caresses lascives sur les abdos légèrement poilus de celui qui va bientôt connaître comme le premier vient d’en faire les frais, de l’arrêt brutal de mes ardeurs juste avant qu’il ne rende les armes.
Mais ça, il ne le sait pas et au vu de son visage rouge d’excitation, compte bien profiter de la situation pour prendre un super pied.
Je le fais s’agenouiller sur le lit, jambes bien écartées et les reins bien cambrés.
Aussitôt son petit trou m’apparaît encore délicatement masquer par ses poils drus et fins que je m’empresse d’écarter avec mes doigts avant de passer ma langue dessus.
- Arhh !!
Je prends mon slip au sol et le lui mets dans la bouche.
- Chut !!
- Mmm !!!
Je reprends alors ma caresse buccale en en rajoutant avec ma main libre qui passe doucement entre ses jambes lui flatter le sexe.
Sexe que je sens vibrer sous mes doigts et qui bande comme jamais, je souris devant le spectacle dont mes yeux s’abreuvent de ce corps offert et tremblant de désir.
Ses reins se cambrent encore plus quand sa poitrine vient s’écraser sur le matelas du lit ; ses fesses se tendent encore plus vers moi qui continue à lui dévorer l’anus y entrant maintenant entièrement la langue tant il est dilaté par le plaisir et l’envie de se faire prendre.
Je me redresse alors et mes mains viennent lui encercler le ventre alors que mon sexe tout luisant de foutre vient s’écraser sur son œillet qui l’absorbe aussitôt en le faisant se raidir davantage.
- Mmm !!!
Ce son de plaisir qu’il pousse, étouffer par mon slip dans sa bouche me fait frémir.
D’un coup de reins assez violent, j’entre en entier dans son intestin, mon entrée en force le fait couiner de bonheur et ses cuisses sont prises d’un soudain et irrésistible tremblement.
Comme tout à l’heure quand c’était mon tour de prendre le sexe viril de mon premier « supplicié » en moi, ma libido se déchaîne et pendant quelques minutes me transforme en bête de sexe qui rend fou mon partenaire recevant mon assaut en se pâmant de plaisir.
J’entends son souffle rauque et mes mains tenant fermement ses reins les sentent se durcir et se tendre. Je passe doucement en le cajolant au passage une main sous son ventre et je lui caresse longuement ses abdos durcis.
Son gland trempé de foutre vient s’écraser sur le dos de ma main au rythme des coups puissants que je lui assène avec vigueur.
Sa respiration passe alors en forte accélération et son cœur bat de plus en plus vite, me donnant le signal que j’attendais et comme la première fois c’est avec beaucoup de peine que je stoppe ma sodomie qui allait certainement me faire jouir en même temps que lui.
Je me retire lentement pendant qu’il tourne la tête vers moi les yeux montrant toute sa frustration de m’être arrêté si près de son orgasme qu’il sentait venir du plus profond de son corps.
Comme précédemment, je souris en prenant un petit air sadique et le fait se relever les jambes encore tremblantes du plaisir qu’il prenait.
Je le reconduis près des deux autres en louchant sur leurs croupes toujours aussi affriolantes, je vais comme ça paraît logique pour prendre en main le troisième qui attend manifestement son tour avec impatience.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (126 / 150) (Aix) (Hassan)
La conférence vidéo qu’il vient d’avoir avec son ambassade en Russie terminée, Hassan va directement dans son petit cabinet de toilette attenant à son bureau pour se passer un peu d’eau sur le visage qu’il a congestionné par la colère.
Le résumé de la réunion qu’a eue son ambassadeur avec le Président Russe lui reste dans la gorge et les dernières paroles de celui-ci à son encontre resteront graver dans sa mémoire jusqu’à ce que l’affront soit vengé ou que des excuses publiques lui soient données.
Hassan reprend place dans son fauteuil une fois qu’il s’est quelque peu calmé et donne quelques ordres qui déjà vont montrer à ce malotru mal embouché de quel bois il se chauffe.
Premièrement, il donne ordre à son ambassadeur de quitter le territoire soviétique une fois renvoyé tout le personnel et avoir brûlé ou emmené avec lui toute la paperasserie et les accords commerciaux que son représentant officiel détient sur place.
Deuxièmement, il donne un ordre d’embargo général sur toutes les importations et exportations en cours.
Troisièmement, il faxe une demande équivalente à tous les émirats et pays ayant avec lui un accord d’entraide ou de soutien.
Dernièrement, il ordonne le retour hors de ses frontières de tous les ressortissants Russes ou venant d’un pays allié à la Russie et qui prendra effet dès qu’il avalisera cet ordre le lendemain matin.
Avant de prendre cette dernière décision qui aura un impact fort au niveau international, il tient à avoir un entretien avec un représentant officiel de la république de Chine afin de s’assurer de sa neutralité pleine et entière envers cette dernière décision.
Il est minuit heure Française quand un fax lui est amené par son secrétaire particulier qui le lui tend avec un grand sourire aux lèvres qui ne laisse pas Hassan de marbre.
- Vous allez être content excellence !! L’émissaire désigné par Pékin au vu de l’urgence manifeste de votre demande et de la situation est une personne dont nous avons fait récemment la connaissance et avec laquelle vous avez assurément au moins un point d’entente en commun.
Hassan lit le fax et sourit.
- En effet !! Qui aurait cru qu’il avait aussi une importance politique ? Comme quoi il ne faut jamais s’étonner de rien dans la vie.
- M’autorisez-vous à prendre contact avec lui dès demain matin ?
Hassan repose le fax sur son bureau et regarde son secrétaire avec une vive lueur dans les yeux :
- Bien sûr !! Mais tu dois être fatigué, il est déjà tard.
Omar met un tour de clé à la porte et se retourne le visage épanoui :
- C’est que j’attendais que tu en aies terminé pour avoir mon petit câlin ?
Hassan le visage marquant son envie :
- Tu devras m’attendre encore un peu, je dois encore m’entretenir avec mon cousin Youssef.
- Tu penses en avoir pour longtemps ?
- Une petite heure tout au plus mais va donc te coucher !! Je saurais bien te réveiller à ma façon.
Omar retourne la clé dans l’autre sens en lui faisant un gros clin d’œil.
- Comme Son Excellence le désire, je suis au service de Son Excellence.
Hassan le regarde partir avec un petit air de regret assez comique qui fait chaud au cœur d’Omar qui l’aperçoit en refermant la porte.
C’est tout émoustillé à l’idée du réveil qu’il va connaître, qu’il s’en retourne tranquillement dans sa chambre pour y attendre celui qui depuis des années représente tout pour lui.
Youssef le croise dans le couloir de l’immense résidence, ils se saluent cordialement et le chirurgien reprend son chemin jusqu’au bureau d’Hassan non sans se faire la réflexion visiblement amusé que ce garçon est vraiment dévoué pour rester aussi tard au service de son prince.
***/***
Toc ! Toc ! Toc !
- Oui !!
Youssef entre et trouve son cousin tout pensif avec encore des étincelles dans les yeux, il rit gentiment en venant s’asseoir près de lui.
- Une nouvelle concubine en vue ?
Patrice qui remarque son sourire épanoui :
- Je vois ça !!
Taha sourit également mais ce n’est pas tout à fait pour les mêmes raisons, son instinct lui avait fait découvrir cette personne qui pourtant s’était faite discrète pour arriver derrière eux bien avant qu’elle ne se présente et s’il avait dirigé sciemment la conversation vers un sujet bien précis, c’est qu’il avait déjà repéré son manège et reconnu dans ses yeux cette flamme étrange que l’on nomme l’amour.
Le visage épanoui d’Erwan peut n’être dû qu’à la proposition de partager une roulotte dans le cirque et de rester ainsi plus près de ses amis, mais rien n’est moins sûr car il avait l’air de démontrer pareillement un grand plaisir d’être aussi ensemble tous les deux.
- À la vitesse où il est parti, il ne devrait pas être long à revenir.
- (Catherine) J’espère juste que le ménage est fait chez toi sinon ça la foutrait mal Hi ! Hi !
- Oups !! Excusez-moi mais je dois y aller !! Merci d’y avoir pensé !!
***/***
Erwan trépigne dans le bus qui le ramène jusque devant l’hôtel, il a le cœur rempli de joie à l’idée de passer ses vacances au cirque.
Il appelle ses parents pour les prévenir et aussi pour tâter le terrain de savoir s’ils vont le prendre mal ou pas.
Apparemment tout baigne pour eux et c’est en sifflotant qu’il pénètre enfin dans le hall de l’hôtel, prend sa clé et monte quatre à quatre dans sa chambre pour y reprendre ses affaires.
À peine dix minutes plus tard et il est déjà remonté dans le bus qui va en sens inverse cette fois-ci.
Il est doublement ravi, premièrement par les raisons déjà évoquées et ensuite par la personne qui lui a proposé si gentiment de venir partager sa roulotte.
Personne, qui dès les premiers regards ne lui était pas indifférente et dont il souhaitait faire mieux connaissance dans les jours à venir.
Du coup pense-t-il, ce sera plus rapide comme ça et s’il ne se rend pas encore bien compte du pourquoi d’autant de joie d’être avec cette personne, il n’est pas si naïf non plus pour ne pas comprendre qu’elle ne l’a pas laissé indifférent à sa bonne humeur et à son charme certain.
Du coup Erwan creuse un peu dans ses impressions et constate surpris qu’il n’y a pas que son cerveau qui réagit mais que son entrejambe se retrouve bien à l’étroit d’un coup.
Il s’interroge alors sur ce qu’il ressent réellement, perturbé quand même de la rapidité avec laquelle tout ça est arrivé.
Il n’aurait jamais cru en venant ici voir son ami que peut-être il y trouverait également autre chose qu’il espérait secrètement depuis un moment déjà.
Maintenant il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué se dit-il en riant bêtement tout seul.
Rien ne dit que cette proposition n’avait d’autres buts que celui tout bête de lui permettre de rester près de tout le monde.
Son sourire s’efface alors le temps de cette pensée, il se secoue alors en se disant qu’il verra bien où tout cela mènera et c’est en retrouvant son sourire, qu’il quitte le bus et entre dans le cirque.
***/***
En une demi-heure, la roulotte est rangée, nettoyée et parfumée.
Les draps sont changés, aussi bien les siens que ceux de la seconde chambre car il ne faut quand même pas trop espérer que ce beau gars qui lui a fait tourner la tête dès le premier jour soit dans les mêmes dispositions que les siennes.
Au moins il sera là tout prêt et ils verront bien alors où les mènera leur future cohabitation.
L’espoir reste permis et c’est le cœur léger avec un dernier regard de satisfaction sur l’état accueillant de sa roulotte que son corps et son esprit se mettent en état de veille, attendant avec fièvre qu’Erwan avec son sourire si craquant n’arrive et s’installe ici comme chez lui.
***/***
Erwan sa valise à la main se renseigne auprès d’un ouvrier du cirque, celui-ci lui indique où se trouve son futur logement et c’est d’un pas décidé qu’il s’y dirige ; Son jeans serré ne cache pas grand-chose de l’excitation tout autre qu’il n’arrive pas à juguler, Erwan n’y prend garde et c’est dans cet état de bandaison manifeste qu’il frappe à la porte de la roulotte aux couleurs rutilantes qui ne déparent pas des autres l’entourant et toutes aussi pimpantes.
La porte s’ouvre et un grand sourire l’accueille alors. Un sourire si resplendissant qu’il fait battre le cœur d’Erwan à cent à l’heure, la personne devant lui va pour lui céder la place afin qu’il puisse entrer à l’intérieur quand son regard s’arrête surpris devant la déformation manifeste de l’entrejambe du jeune homme planté devant lui.
Sa gorge se serre et devient sèche quand sa main lui montre tremblante la chose en plein émoi, n’osant pas encore espérer quant à la cause de cette raideur si troublante.
- Avoue que tu viens de te mater un porno avant de venir ! Hi ! Hi !
Erwan regarde sa braguette est pique un énorme fard ne se rappelant plus de cette érection qui l’a pris dans le bus et dont il avait fini par ne plus en avoir conscience.
- Oups ! Excuse mais je crois plutôt que j’étais excité à l’idée de retrouver quelqu’un.
- Ah oui !! Et qui ça ?
Erwan hésite malgré le sourire toujours aussi fortement marqué qu’il a en face de lui.
- Heu !! J’ai rendu ma chambre et je risque de me retrouver SDF si je te le dis.
N’osant comprendre mais son cœur ratant un battement et sa poitrine se soulevant plus rapidement qu’à l’habitude.
- Entre au lieu de dire des bêtises !!
- Tu ne m’en veux pas ? Je suis vraiment gêné que ce soit aussi visible tu sais ?
Erwan sent son poignet pris par une main ferme, celle-ci le dirige aussitôt sans hésitation vers le pantalon ample de son propriétaire et lui plaque la main là où Erwan sent une barre toute aussi dure que la sienne.
- Tu vois !! Il n’y a pas que toi qui es dans cet état !
- Ramirez ! Je…
- Chut !! C’était juste pour te faire comprendre que tu me plais toi aussi, maintenant il n’y a pas le feu et nous ne sommes pas obligés de nous sauter dessus.
Erwan regarde le jeune homme au visage rayonnant et au corps si souple qui maintenant lui amène l’espoir d’avoir enfin trouvé ce qu’il commençait à désespérer depuis si longtemps.
Que ce soit un garçon plutôt qu’une fille, il s’en fout royalement même s’il en est encore étonné car ce qui compte c’est qu’il se sente bien avec lui.
Erwan capture les yeux brillants de Ramirez dans les siens ; il pense soudainement à ses parents et crispe ses mâchoires d’appréhension.
- J’en connais deux qui ne vont rien y comprendre !!!
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (125 / 150) (Aix) (Le pari perdu de Raphaël Éric et Thomas) (suite)
Le même sourire éclaire son visage quand il se laisse à son tour guider vers le lit encore chaud de mes premières turpitudes.
J’entends un murmure derrière moi qui me fais me retourner, les deux pipelettes se parlent à l’oreille se croyant d’une discrétion absolue.
- J’ai dit silence !! Deux heures de plus ce qui fait en fait cinq en tout déjà !! Fallait pas parier avec moi si vous ne vouliez pas le subir les gars, maintenant je ne veux plus vous entendre ou croyez-moi sur parole, je ne vous parlerais plus des vacances.
Apparemment la menace est largement suffisante car un silence de cimetière suit mes dernières paroles.
Je ne peux m’empêcher de sourire devant ses trois grands dadais nus offerts à moi sans aucune pudeur, exhibant à ma demande toutes les parties les plus intimes de leur anatomie.
Ma main pendant ce temps n’a pas cessé ses caresses lascives sur les abdos légèrement poilus de celui qui va bientôt connaître comme le premier vient d’en faire les frais, de l’arrêt brutal de mes ardeurs juste avant qu’il ne rende les armes.
Mais ça, il ne le sait pas et au vu de son visage rouge d’excitation, compte bien profiter de la situation pour prendre un super pied.
Je le fais s’agenouiller sur le lit, jambes bien écartées et les reins bien cambrés.
Aussitôt son petit trou m’apparaît encore délicatement masquer par ses poils drus et fins que je m’empresse d’écarter avec mes doigts avant de passer ma langue dessus.
- Arhh !!
Je prends mon slip au sol et le lui mets dans la bouche.
- Chut !!
- Mmm !!!
Je reprends alors ma caresse buccale en en rajoutant avec ma main libre qui passe doucement entre ses jambes lui flatter le sexe.
Sexe que je sens vibrer sous mes doigts et qui bande comme jamais, je souris devant le spectacle dont mes yeux s’abreuvent de ce corps offert et tremblant de désir.
Ses reins se cambrent encore plus quand sa poitrine vient s’écraser sur le matelas du lit ; ses fesses se tendent encore plus vers moi qui continue à lui dévorer l’anus y entrant maintenant entièrement la langue tant il est dilaté par le plaisir et l’envie de se faire prendre.
Je me redresse alors et mes mains viennent lui encercler le ventre alors que mon sexe tout luisant de foutre vient s’écraser sur son œillet qui l’absorbe aussitôt en le faisant se raidir davantage.
- Mmm !!!
Ce son de plaisir qu’il pousse, étouffer par mon slip dans sa bouche me fait frémir.
D’un coup de reins assez violent, j’entre en entier dans son intestin, mon entrée en force le fait couiner de bonheur et ses cuisses sont prises d’un soudain et irrésistible tremblement.
Comme tout à l’heure quand c’était mon tour de prendre le sexe viril de mon premier « supplicié » en moi, ma libido se déchaîne et pendant quelques minutes me transforme en bête de sexe qui rend fou mon partenaire recevant mon assaut en se pâmant de plaisir.
J’entends son souffle rauque et mes mains tenant fermement ses reins les sentent se durcir et se tendre. Je passe doucement en le cajolant au passage une main sous son ventre et je lui caresse longuement ses abdos durcis.
Son gland trempé de foutre vient s’écraser sur le dos de ma main au rythme des coups puissants que je lui assène avec vigueur.
Sa respiration passe alors en forte accélération et son cœur bat de plus en plus vite, me donnant le signal que j’attendais et comme la première fois c’est avec beaucoup de peine que je stoppe ma sodomie qui allait certainement me faire jouir en même temps que lui.
Je me retire lentement pendant qu’il tourne la tête vers moi les yeux montrant toute sa frustration de m’être arrêté si près de son orgasme qu’il sentait venir du plus profond de son corps.
Comme précédemment, je souris en prenant un petit air sadique et le fait se relever les jambes encore tremblantes du plaisir qu’il prenait.
Je le reconduis près des deux autres en louchant sur leurs croupes toujours aussi affriolantes, je vais comme ça paraît logique pour prendre en main le troisième qui attend manifestement son tour avec impatience.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (126 / 150) (Aix) (Hassan)
La conférence vidéo qu’il vient d’avoir avec son ambassade en Russie terminée, Hassan va directement dans son petit cabinet de toilette attenant à son bureau pour se passer un peu d’eau sur le visage qu’il a congestionné par la colère.
Le résumé de la réunion qu’a eue son ambassadeur avec le Président Russe lui reste dans la gorge et les dernières paroles de celui-ci à son encontre resteront graver dans sa mémoire jusqu’à ce que l’affront soit vengé ou que des excuses publiques lui soient données.
Hassan reprend place dans son fauteuil une fois qu’il s’est quelque peu calmé et donne quelques ordres qui déjà vont montrer à ce malotru mal embouché de quel bois il se chauffe.
Premièrement, il donne ordre à son ambassadeur de quitter le territoire soviétique une fois renvoyé tout le personnel et avoir brûlé ou emmené avec lui toute la paperasserie et les accords commerciaux que son représentant officiel détient sur place.
Deuxièmement, il donne un ordre d’embargo général sur toutes les importations et exportations en cours.
Troisièmement, il faxe une demande équivalente à tous les émirats et pays ayant avec lui un accord d’entraide ou de soutien.
Dernièrement, il ordonne le retour hors de ses frontières de tous les ressortissants Russes ou venant d’un pays allié à la Russie et qui prendra effet dès qu’il avalisera cet ordre le lendemain matin.
Avant de prendre cette dernière décision qui aura un impact fort au niveau international, il tient à avoir un entretien avec un représentant officiel de la république de Chine afin de s’assurer de sa neutralité pleine et entière envers cette dernière décision.
Il est minuit heure Française quand un fax lui est amené par son secrétaire particulier qui le lui tend avec un grand sourire aux lèvres qui ne laisse pas Hassan de marbre.
- Vous allez être content excellence !! L’émissaire désigné par Pékin au vu de l’urgence manifeste de votre demande et de la situation est une personne dont nous avons fait récemment la connaissance et avec laquelle vous avez assurément au moins un point d’entente en commun.
Hassan lit le fax et sourit.
- En effet !! Qui aurait cru qu’il avait aussi une importance politique ? Comme quoi il ne faut jamais s’étonner de rien dans la vie.
- M’autorisez-vous à prendre contact avec lui dès demain matin ?
Hassan repose le fax sur son bureau et regarde son secrétaire avec une vive lueur dans les yeux :
- Bien sûr !! Mais tu dois être fatigué, il est déjà tard.
Omar met un tour de clé à la porte et se retourne le visage épanoui :
- C’est que j’attendais que tu en aies terminé pour avoir mon petit câlin ?
Hassan le visage marquant son envie :
- Tu devras m’attendre encore un peu, je dois encore m’entretenir avec mon cousin Youssef.
- Tu penses en avoir pour longtemps ?
- Une petite heure tout au plus mais va donc te coucher !! Je saurais bien te réveiller à ma façon.
Omar retourne la clé dans l’autre sens en lui faisant un gros clin d’œil.
- Comme Son Excellence le désire, je suis au service de Son Excellence.
Hassan le regarde partir avec un petit air de regret assez comique qui fait chaud au cœur d’Omar qui l’aperçoit en refermant la porte.
C’est tout émoustillé à l’idée du réveil qu’il va connaître, qu’il s’en retourne tranquillement dans sa chambre pour y attendre celui qui depuis des années représente tout pour lui.
Youssef le croise dans le couloir de l’immense résidence, ils se saluent cordialement et le chirurgien reprend son chemin jusqu’au bureau d’Hassan non sans se faire la réflexion visiblement amusé que ce garçon est vraiment dévoué pour rester aussi tard au service de son prince.
***/***
Toc ! Toc ! Toc !
- Oui !!
Youssef entre et trouve son cousin tout pensif avec encore des étincelles dans les yeux, il rit gentiment en venant s’asseoir près de lui.
- Une nouvelle concubine en vue ?
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li