01-09-2020, 12:52 PM
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (121 / 150) (Aix) (Le pari perdu de Raphaël Éric et Thomas) (suite)
Florian continue encore quelques minutes ses palpations manuelles et buccales.
Les sentant sur le point de craquer, il arrête de les exciter et se lève pour venir frotter son sexe énorme chacun à leurs tours entre leurs fesses consentantes.
De longs frissons leur parcourent le corps quand ils sentent la hampe virile du petit rouquin s’insinuer entre leurs lobes charnus et un râle de frustration quand il les quitte pour butiner entre celles d’un autre.
Ce petit jeu dure encore un moment puis Florian reprend sa place sur le siège et ses mains exploratrices repartent entre leurs jambes pour vérifier comme s’il en avait besoin l’état de tension de leurs sexes.
Satisfait de ses constatations, il sourit en commençant doucement à se masturber.
Les petits clapotis sonores de son gland humide contre la peau de son prépuce font comprendre aux trois compères la manipulation à laquelle s’adonne leur ami ; ils se regardent les yeux injectés de sang par l’envie irrépressible de se retourner pour mater le petit rouquin se donner du plaisir.
Florian s’en rend parfaitement compte et se garde bien de prononcer une parole, la contemplation de ses trois culs offerts commence sérieusement à l’exciter et sa branlette n’est pas loin d’arriver à sa conclusion.
Le son qu’émet sa gorge à ce moment-là commence à rendre fous nos trois lascars qui ne se contrôlant plus se jettent sur lui.
- Hep ! Hep ! Hep ! Qui vous a autorisés à changer de position ? Vous me devez une heure de plus, multiplié par trois donc trois heures de gages en plus. Reprenez votre position !! Et ne vous retournez plus c’est compris ? J’en prendrai un après l’autre et je vous laisserai saliver en imaginant ce que je lui fais Hi ! Hi ! En fait c’est le dernier qui va criser le plus Hi ! Hi ! En plus je pète la forme alors attendez-vous à plusieurs sollicitations de ma part. Je sens que la nuit va être très longue pour vous trois, hum !! Voyons voir par lequel je commence ?
Je caresse alors longuement chaque croupe exposée à mon regard et j’en sens une encore plus réceptive que les autres et je ne peux m’empêcher de sourire car c’était avec lui que mon envie était pour l’instant la plus forte.
Je masturbe légèrement encore pendant un moment les trois sexes et pose enfin ma main sur le ventre musclé de celui qui sera le premier de la soirée.
Je le tire vers moi et reçois en pleine tronche le sourire reconnaissant et excité à mort de mon copain.
Je l’amène doucement vers le lit où je le fais s’allonger avant de prendre place sur son corps et sceller mes lèvres aux siennes dans un baiser enflammé ; ses bras me couvrent tendrement le dos et me serrent encore plus contre lui, je sens sa peau frémir du désir qu’il a de moi et mes yeux prennent les siens en otage, nos lèvres toujours l’une contre l’autre se repaissant de la passion dévorante qu’elles éprouvent.
Son odeur particulière m’enivre, ça doit être réciproque car dans un même ensemble nos bouches se quittent pour aller butiner dans nos cous et derrière nos oreilles en inspirant très fort les effluves de nos cheveux déjà couverts de sueurs.
Étant le plus petit, mon sexe se frotte contre ses abdos alors que le sien s’insère entre mes cuisses et vient agacer mon anus qui n’en demandait pas tant et qui s’ouvre d’envie.
Ma tête se redresse et nos yeux une nouvelle fois se croisent, ses iris d’un vert très clair et agrandis par l’envie qu’il a de moi me font frissonner et mon excitation repart de plus belle.
Je cambre mes fesses et m’empale lentement sur son gland déjà tout lubrifié, ses yeux se ferment et ses abdos se durcissent.
Je pose mes mains sur sa poitrine en continuant à m’enfoncer doucement sur lui jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis contre mes bourses et l’intérieur de mes cuisses.
Je me redresse encore pour gagner quelques centimètres et je commence à onduler des fesses pour bien le sentir tout au fond de moi.
Ses yeux s’ouvrent de nouveaux et ses lèvres esquissent un sourire rempli de tendresse et du bonheur partagé de ne faire plus qu’un.
Ses mains attrapent mes hanches et les caressent avec une extrême délicatesse, se repaissant de mes formes fines et nerveuses.
Son bas-ventre ondule à son tour et je me relève suffisamment pour lui laisser l’espace nécessaire à ses petits coups de reins nerveux qui font coulisser son sexe contre mes parois en m’envoyant des ondes de plaisirs et de bien-être total.
Je me tourne un instant vers la croupe toujours offerte de mes deux amis et une forte chaleur me prend le visage devant la beauté de ses formes alléchantes.
Les coups de reins se font plus virils et mes yeux se reportent sur le visage de mon ami qui tout comme moi est rouge d’excitation.
Je sens aux gonflements de son gland qu’il n’est pas très loin de l’orgasme.
Je mets un de mes doigts sur mes lèvres pour lui faire comprendre qu’il doit se taire et presque à regret, j’ôte son bâton de plaisir de mon corps le laissant perplexe.
Un petit sourire sadique suffit à lui faire comprendre que pour l’instant son tour est passé et qu’il devra encore garder un certain temps son envie de jouir.
Quand je me lève en lui faisant signe de me suivre, le regard désespéré qu’il me jette alors m’arrête un instant hésitant, mais le gage doit encore durer longtemps et ils n’ont pas fini tous les trois d’en baver car j’ai bien l’intention de m’amuser avec eux quitte à ce que j’en subisse « avec plaisir » les conséquences une fois qu’ils seront libérés du gage et voudront certainement se venger.
Je le remets dans la même position que les autres en lui tapotant le sexe amusé et me tourne vers les deux autres beaux petits culs rebondit qui attendent toujours leurs tours.
Comme la première fois, je caresse le ventre qui tressaute de surprise et se durcit au contact de celui que j’ai choisi pour venir me rejoindre.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (122 / 150) (Au cirque) (Erwan) (L’inconnu « e »)
Petit retour en arrière en fin d’après-midi ce jour-là.
Erwan fait plus ample connaissance avec quelques-uns des nombreux amis de Florian et il en profite pour écouter et se faire une idée de tous ces couples ainsi que des interactions qu’ils ont entre eux.
Il repère assez vite les affinités de chacun et s’interroge même parfois sur les relations qu’ils ont pu ou peuvent bien avoir entre certains d’entre eux.
Erwan ne se sent pas du tout mis à l’écart mais comprend bien qu’étant entré très récemment dans la bande, qu’ils ne soient pas encore aussi attachés à lui qu’ils le sont entre eux tous.
D’ailleurs il repère vite que c’est exactement pareil pour le jeune Taha qui paraît perdu dans toute cette foule, il le rejoint alors et se rend compte qu’il est en admiration devant les magnifiques alezans qui continuent de répéter leur spectacle sous les yeux vigilant de leur dresseur.
Il vient donc tout naturellement s’asseoir près de lui et très vite à son tour devient attentif à ce qu’il se déroule sur la piste.
Il sursaute après quelques minutes de contemplations quand Taha lui parle.
- Ces animaux sont très beaux, il n’y en a pas là d’où je viens.
Erwan en hoche la tête :
- De si belles bêtes sont très rares, il faut des générations de sélections pour arriver à une telle perfection.
Taha reste muet, le principe de la sélection naturelle lui est compréhensible et ne trouve donc rien à rajouter aux paroles du jeune blanc.
- (Erwan curieux) J’ai appris que tu n’étais arrivé qu’hier, ils t’ont trouvé une place pour dormir ?
- (Taha) J’ai dormi avec Florian et Thomas la nuit dernière, Patrice viendra me chercher tout à l’heure pour me montrer où m’installer le temps que je vais passer ici.
- Ha !! Tu ne le sais encore pas ?
- Non !
- Tu es toi aussi un ami de Florian alors ?
Taha tourne la tête vers Erwan.
- Je ne le connaissais pas avant d’arriver, je suis juste venu lui apporter un message.
- (Erwan curieux) Et tu aimerais qu’il le devienne ?
- (Taha surpris) Qu’il devienne quoi ?
- Et bien ! Ton ami !!
Taha réfléchit un instant puis sourit :
- J’aimerais bien oui, mais je n’ai pas l’impression qu’il s’intéresse beaucoup à moi. Mais toi, tu es son ami ?
Erwan sourit au jeune Massaï.
- Pas depuis très longtemps mais je pense que oui.
Taha lui prend la main et la lui serre fermement.
- Tu pourrais peut-être lui parler pour qu’il accepte de croire la raison qui m’a fait venir dans ce pays.
- Pourquoi ne te croirait-il pas ?
- Parce que tout simplement moi-même j’ai de la peine à y croire.
- Houlà !!! C’est bien compliqué tout ça !!
Taha lui explique alors dans ses termes la raison de sa venue, Erwan l’écoute et au fur et à mesure ses yeux s’agrandissent de stupeurs devant les implications surréalistes de ce qu’il lui raconte.
Il a du mal à croire à cette histoire de dieux venus sur terre et dont l’un d’entre eux serait entré dans l’esprit de Florian, malgré tout ne voulant pas vexer le jeune homme ni le traiter de menteur, il écoute jusqu’au bout ses explications abracadabrantesques.
Taha n’est pas dupe :
- Toi-même ne me crois pas, je le lis sur ton visage. Je t’assure pourtant que tout ça c’est la réalité et que moi-même j’ai eu beaucoup de peine à y croire. Je n’aurais pas vu de mes yeux le dieu transparent dans la clairière des pierres qui soignent, je serais comme toi à penser que j’ai un démon dans ma tête.
Erwan regarde le jeune homme et y voit dans ses yeux qu’il croit dans tout ce qu’il vient de lui révéler.
Étant un garçon plutôt pragmatique, Erwan ne peut pas adhérer à cette idée de dieux.
Il préfère donc promettre à Taha qu’il en parlera à Florian et change aussitôt après de sujet.
- Comment trouves-tu les amis de Florian ?
- Étranges dans leurs comportements !
- (Erwan étonné) Ah oui ? Comment ça étrange ?
Taha se souvient de la discussion qu’il a eue avec Patrice, son œil habitué au guet et à la chasse remarque tout de suite la présence qui s’installe non loin derrière eux et qui de toute évidence écoute leur conversation.
S’il n’en dit rien à Erwan, c’est qu’il a déjà remarqué les regards que pose cette personne depuis hier sur le jeune blanc près de lui et qu’il connaît bien ce regard.
Aussi préfère-t-il l’ignorer pour l’instant et répondre à la question d’Erwan sur ses dernières paroles.
- S’aimer entre garçons une fois devenus hommes n’est pas dans nos coutumes et je ne vois que ce genre de comportement autour de moi depuis que je suis là.
- Ça doit te paraître bizarre alors ? Tu dois trouver ça choquant !
- Oui et non ! Tout du moins pas dans le sens que tu crois. En fait je suis plus étonné que choqué, je lis beaucoup d’amour dans leurs yeux et c’est une attitude nouvelle pour moi.
- Tu pourrais concevoir d’aimer un garçon ?
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (123 / 150) (Au cirque) (Erwan) (L’inconnu "e") (suite)
- Je ne crois pas, non ! J’ai eu ce genre de relation avant d’être homme car chez nous le contact avec les femmes ne doit pas se faire avant ça et j’avais besoin d’évacuer et de découvrir comme tout le monde mes envies de sexe. Mes partenaires d’alors étaient et sont toujours mes amis, seulement il n’y avait pas l’amour que je vois ici et qui pour moi ne peut être donné qu’à une femme.
- (Erwan troublé) Je comprends !!
Taha le regard pénétrant :
- Tu en es bien sûr ?
- (Erwan surpris) Oui pourquoi ? J’ai connu moi aussi les rapports entre garçons et ensuite ceux avec des femmes.
- Mais tu n’as toujours pas trouvé l’amour ?
- Exact !! Pas encore !!
Taha avec une lueur d’amusement dans les yeux :
- Pourrais-tu le trouver avec un garçon ?
Erwan hésite, la question du jeune homme s’est déjà posée à lui et il en connaît la réponse.
Les yeux attentifs du jeune noir fixés sur lui attendent avec intérêt ses prochaines paroles, peut-il avouer ou pas ce qui jusqu’alors n’était que dans sa tête ? Oui, pourquoi pas.
- L’amour ne laisse pas le choix s’il est réciproque.
- (Taha sourit) J’ai vu partir certaines personnes chassées de ma tribu pour ces raisons que je ne comprenais pas alors. Maintenant ma vision change et je comprends ta réponse, les sentiments que j’ai lu dans les yeux de tes amis sont très forts et j’en suis heureux pour eux.
- Tu es un drôle de gars quand même, il faut le reconnaître !!
- (Taha amical) J’ai beaucoup appris chez les pères blancs du dispensaire et la tolérance de ses hommes de bien m’a fait souvent réfléchir. Là où je vis, seul le destin de la tribu compte et il faut des hommes et des femmes pour faire les enfants qui plus tard viendront en aide à leurs parents. Ici vous êtes nombreux, trop peut-être et donc ce n’est pas gênant pour votre tribu d’accepter qu’il n’en soit pas ainsi pour tout le monde.
- Hé bien !! Si on m’avait dit que je prendrais une telle leçon de tolérance d’un jeune homme comme toi !!
Taha comprend bien le sens des paroles du garçon près de lui.
- Vous nous dites « sauvages », mais nous ne sommes que « différents », l’esprit n’est pas que dans la tête d’un peuple ou dans la couleur de sa peau.
- Je m’en rends bien compte à présent, tu es un mec bien Taha et je suis heureux de te connaître. Malgré toutes nos différences, nous arrivons à avoir une conversation pleine de sagesse.
Sur la piste principale, les acrobates depuis presque un quart d’heure déjà, ont remplacé les pur-sang et s’entraînent à leurs tours.
Quelqu’un depuis un moment suit avec avidité la conversation des deux garçons assis sur les gradins, ses yeux n’arrivent pas à se détacher de la nuque d’Erwan et son cœur bat plus rapidement devant cette vision.
Les paroles entendues lui laissent l’espoir, infime soit-il que le garçon objet de son intérêt puisse trouver ici en sa personne l’amour qu’il recherche toujours.
De le savoir libre et célibataire libère une grande part de ses craintes et lui donne envie de tenter sa chance à la première occasion qui se présentera.
Erwan encore une fois ressent cette présence qui le fixe, machinalement il se masse la nuque pour effacer ces picotements troublants.
Patrice et sa compagne arrivent vers eux et du coup lui ôtent cette impression de l’esprit.
Il sourit au jeune couple qui vient directement s’asseoir près d’eux.
- (Erwan amical) Vous êtes venus chercher Taha pour lui montrer où il va loger ?
- (Patrice) Il ne sera pas loin puisque Tony s’est proposé de le prendre dans sa roulotte, il y a une chambre de libre depuis que Stella s’est mariée avec un des membres de la troupe.
- (Taha souriant) J’aime beaucoup Tony même si sa femme est trop bizarre et je suis heureux de pouvoir rester dans ce cirque. La ville des blancs est trop agitée et bruyante pour moi.
Erwan avec une petite pointe de jalousie :
- Veinard !! Ça m’aurait bien plus de rester ici à moi aussi.
- (Une voix derrière eux) Qu’à cela ne tienne ! J’ai de la place dans ma roulotte si tu veux.
Ils se retournent tous étonnés, Erwan voit alors qui est la personne qui vient de parler et sourit en la reconnaissant.
- C’est vrai ??
- Si je te le dis !! J’ai une roulotte que j’ai héritée de mes grands-parents et il y a largement la place pour deux personnes.
- Tu es sûr que je ne te dérangerai pas ?
- Je ne te l’aurai pas proposé si c’était le cas, alors !! Tu es partant ?
Erwan les yeux luisants de joie :
- Et comment que je suis partant !! Il n’est pas trop tard pour ce soir ? Non ? Alors je fonce chercher ma valise et je reviens.
Erwan se lève d’un bond et tout guilleret, sort du chapiteau pour aller directement à l’hôtel reprendre ses affaires.
Patrice sourit en le voyant aussi impatient.
- Il n’a pas fallu lui répéter deux fois Hi ! Hi ! Tu ne sais pas le plaisir que tu lui fais en lui ayant proposé de l’héberger chez toi le temps des vacances !
- Le plaisir est aussi pour moi.
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