01-09-2020, 12:43 PM
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (115 / 150) (Aix) (Chan et Dante) (L’échange de rôle) (fin)
Chan sent les lèvres qui embrassent avec passion sa corolle livrée de manière impudique aux envies de son copain, les baisers sur cette partie de lui qu’il croyait jusqu’alors insensible lui envoient des sensations nouvelles et d’un plaisir extrême.
Dante lui aussi découvre pour la première fois la saveur de cet endroit si intime, les bisous qu’il donne à cette chair frémissante lui amènent également des perceptions inconnues.
Ses lèvres explorent le sillon légèrement poilu pour revenir régulièrement à cet endroit qui les attire de par ses frémissements incessants et sa douceur rugueuse si spéciale.
Sa langue sort à son tour venant laper et humidifier cette chair rose et plissée, elle force et pénètre doucement à l’intérieur comme le ferait un petit sexe.
Il sent l’effet de cette langue gourmande sur son copain qui donne de petits coups de reins pour qu’elle aille encore plus profondément en lui et lui diffuse encore plus de plaisirs.
La corolle s’ouvre de plus en plus et c’est un puits rond qui laisse apparaître les parois rouge sang bouillant d’envie de se faire remplir par le sexe énorme maintenant de son jeune compagnon.
Dante comprend le désir de son ami et sourit en repartant à l’assaut de son corps, le laissant pour l’instant frustré de son envie de se faire prendre.
Sa bouche délivre de nouveau des bisous en remontant sur le pubis aux poils doux, elle remonte encore pour énerver le nombril si mignon au centre de son ventre.
Chan râle maintenant en continu, son corps lui envoie des pulsions si intenses que sa tête donne des va-et-vient de gauche à droite incontrôlés.
La langue de Dante remonte encore sur son corps jusqu’à atteindre ses tétons frémissants qui durcissent et deviennent d’une extrême sensibilité quand il les sent happer par la succion des lèvres dévorantes alternant sur chacun d’eux.
Cette embrassade lancinante atteint maintenant son cou, Chan devient comme fou sous la caresse et sa gorge envoie maintenant des sons rauques en continu tant les vagues de plaisirs qui lui arrivent directement au cerveau sont puissantes.
Dante termine sous l’oreille cette cajolerie humide avant de passer à un autre fantasme qu’il a en tête depuis quelque temps déjà ; son sexe bandé suit à son tour le même chemin que sa bouche et vient titiller lui aussi les zones érogènes de son bel eurasien qui maintenant est dans un autre monde.
Dante lui soulève la tête pour amener son sexe palpitant devant les lèvres entrouvertes de son amant ; plusieurs petites poussées nerveuses montrent à celui-ci ce dont quoi a envie son homme et Chan sans se faire prier le prend amoureusement dans sa bouche.
Dante sous les sensations qu’il ressent alors en a les cuisses qui sont prises de tremblements nerveux.
Il pousse de plus en plus loin sa queue raide jusqu’à atteindre la gorge de Chan, il lui reste encore quelques centimètres pour que son sexe soit entièrement absorbé par cette bouche avide.
Chan prend sa respiration et de lui-même laisse passer le gland palpitant dans sa gorge.
L’impression d’étouffement est vite réprimée, il trouve alors la parfaite synchronisation pour alterner les va-et-vient profonds et la prise d’air nécessaire.
Dante sent le passage de son gland dans cette partie cartilagineuse et ses fesses sont secouées de spasmes tellement la sensation nouvelle l’envoie à son tour dans un ailleurs de pur plaisir.
Il est conscient des pulsations de son sexe et comprend que s’il n’y prend garde, il va jouir dans la gorge offerte de son ami.
Il va pour se retirer quand un doigt inquisiteur lui transperce l’anus et déclenche l’orgasme libérateur qui déverse son sperme épais au fond de la gorge de Chan qui hoquette sous l’abondance du liquide à la saveur acidulée qui lui remplit le conduit et manque de l’étouffer.
Dante ne manque pas à sa réputation d’endurance, son sexe toujours aussi raide sort lentement de la bouche de son ami.
Il regarde un instant attendri le visage rouge de son chéri avant de bouger lestement et de reprendre sa position initiale, les genoux de Chan sur ses épaules et c’est avec un « han » de bûcheron qu’il le pénètre jusqu’à la garde.
Chan pas encore tout à fait remis de sa prise en gorge précédente éprouve alors une énorme sensation de chaleur dans son corps et son sexe gorgé de sang se soulève de son ventre, lâchant au passage quelques gouttes de sperme qui lui couvrent le gland.
Dante reste un moment immobile dans la gaine qui l’enserre, l’excitation qui ne l’a pas quitté gonfle son sexe et écarte encore plus les parois anales dans lesquelles il commence à coulisser d’abord doucement puis de plus en plus fermement jusqu’à saillir de la façon la plus virile qui soit le garçon qui lui a pris son cœur.
Chan halète de plus en plus fort, il tente par tous les moyens de retarder l’énorme orgasme qu’il sent monter en lui.
Les coups de boutoirs de plus en plus violents de son compagnon qui le pilonne sans retenue, lui font un effet terrible, son corps tout entier est comme un brasier quand il n’en peut plus de se retenir et que son corps se cabre sous le plaisir intense qui lui remonte comme une boule de feu du ventre vers son cerveau.
Un dernier et puissant coup de reins libère pour la deuxième fois Dante qui ahane sous la décharge de plaisir qui part de son bas-ventre et répand sa liqueur de vie au plus profond de son compagnon tétanisé.
Celui-ci appuie fortement de ses genoux sur ses épaules et dans un cri puissant, son sperme part dans les airs comme la lave d’un volcan le laissant exsangue sous l’impact de cette première jouissance anale.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (116 / 150) (Vladimir)
Vladimir arpente nerveusement les couloirs du Kremlin, il vient d’apprendre l’accident entre le cargo et le porte-conteneurs et attend le rapport de son service de renseignements.
N’ayant eu aucune nouvelle de Nicolaï et de sa mission, Vladimir trépigne d’autant d’incompétence et n’attend que d’en savoir plus avant de déclencher d’autres actions.
Il arrive enfin à son bureau où déjà un homme ayant pris rendez-vous dans l’urgence l’attend.
Vêtu d’une djellaba blanche et d’un keffieh de la même couleur, l’homme imposant dans sa prestance se lève dès qu’il entend les pas de son hôte.
- (L’homme en s’inclinant) Monsieur le Président, je vous apporte les respects de mon prince.
Vladimir connaît bien cet homme avec qui il mène des négociations très fructueuses, aussi répond-il à sa marque de respect par une inclination du buste dont il n’est pas habitué.
- Monsieur l’ambassadeur !! Vous rapporterez mes respects à son altesse.
- Je n’y manquerai pas excellence !!
Vladimir fait signe à l’ambassadeur de s’asseoir dans le fauteuil faisant face au sien et vient prendre place derrière son bureau.
- Quel est le but de votre demande d’entretien pour le moins inhabituelle ?
- Son altesse Hassan Hal Malouf a appris que vous vous intéressiez à une certaine personne.
Vladimir soudainement captivé par la conversation.
- Ah oui !! Et de qui s’agirait-il ??
L’ambassadeur voit bien l’intérêt soudain de son interlocuteur.
- D’un jeune chirurgien dont son altesse ne saurait accepter qu’il lui arrive quoi que ce soit de néfaste.
- En admettant que nous parlions de la même personne, j’aimerais connaître les raisons d’une telle « protection » de la part de l’émir Hassan ?
- Vous ignorez peut-être l’accident dont a été victime l’héritier de l’émirat ?
- (Vladimir surpris) En effet !! Poursuivez, je vous prie !
- Le jeune prince Amid était donné pour au mieux handicapé à vie suite à un crash aérien. Certains disent même que sa vie était en jeu et que sans l’intervention de ce jeune chirurgien, c’est le cadavre du jeune prince que nous aurions dû faire transférer jusque chez nous.
- Où a eu lieu cet accident ?
- A l’approche de l’aéroport de Roissy en France.
(Vladimir a alors un rictus soulagé) Nous ne parlons certainement pas de la même personne alors.
L’ambassadeur plus diplomate que jamais :
- Vous avez l’air bien sûr de vous Monsieur le président, pourtant nos services ont repéré des hommes à vous dans le périmètre où est actuellement ce jeune homme.
- (Vladimir sursaute) Mais ce n’est pas possible voyons !! La personne qui nous intéresse est à l’autre bout de la France !!
- Je le sais très bien Monsieur le Président et je réitère la demande expresse de son altesse.
- (Vladimir nerveux) Mais enfin !! Ce ne sont pas vos affaires !!
L’ambassadeur gardant un calme olympien :
- Je crains que si Monsieur le Président.
Vladimir va pour vilipender cet homme trop sûr de lui quand quelqu’un frappe à la porte et entre avec un dossier sous le bras.
- (Vladimir) Oui !!
- Le rapport que vous avez demandé monsieur !
- (Vladimir à l’ambassadeur) Excusez-moi un instant je vous prie ! Une affaire ne demandant aucun retard.
L’ambassadeur en croisant les bras :
- Faites donc Monsieur le Président, je comprends bien que les affaires d’États soient plus importantes que notre petite discussion.
Vladimir fait signe à l’homme d’approcher, il lui prend le porte-documents des mains et le congédie d’un geste rapide ; il sort alors le dossier qu’il contient et en prend rapidement connaissance, son visage change du tout au tout au fur et à mesure qu’il apprend ce qu’il en est advenu de ses hommes ou du moins de leurs disparitions et de la mort de son chef des services secrets.
L’ambassadeur habitué à lire sur les expressions des visages de ses interlocuteurs voit bien la colère et la contrariété de cet homme si puissant et fait très vite le rapprochement avec ce qu’il a appris il y a peu de temps encore.
Son visage par contre reste serein même s’il commence à se demander comment tout cela va se terminer.
Vladimir referme le dossier et son regard se reporte sur son visiteur.
- Que savez-vous d’autre sur cette affaire ?
L’ambassadeur réfléchi très vite car de sa réponse dépendront certainement les relations futures entre leurs deux pays.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (117 / 150) (Vladimir) (fin)
- Vos hommes ne reviendront pas, leur mission a échoué et les services de la DST se sont occupés de leurs cadavres.
- (Vladimir se relève d’un bond) Quoi !!!
- Calmez-vous Monsieur le président ! Il est trop tard pour y faire quoi que ce soit et je peux vous assurer que nous n’y sommes pour rien.
Vladimir en tremble de colère mais finit par se rasseoir, troublé malgré tout du calme de l’ambassadeur.
- Que leur est-il arrivé ?
- Tout ce que nous savons c’est que la nuit dernière quatre de nos hommes ont assisté quatre hommes des services secrets Français à récupérer les cadavres de six quidams de nationalité russe. Certains d’entre eux étant déjà fichés, il n’a pas été difficile de faire la corrélation avec vous et c’est pour cette raison que je suis là aujourd’hui. Son altesse aimerait connaître les motifs de leurs présences et par la même occasion savoir ce que vous avez l’intention de faire maintenant.
- Ils étaient déjà morts quand vous êtes arrivés dites-vous ? Mais alors qui sont les auteurs de ces meurtres ?
- D’après les traces qui ont été relevées, ce serait des fauves du cirque où ils se trouvaient qui pour une raison encore inconnue se seraient retrouvée en liberté qui en seraient les auteurs. Nous avons également retrouvé le cadavre d’un lion près des corps de vos hommes. Si personne n’est intervenu plus tôt c’est tout simplement à cause de la drogue que vos hommes ont déversée dans le repas du soir et qui a endormi tout le personnel du cirque. Nous pensons que la personne chargée de nourrir ces fauves s’est endormie elle aussi sans avoir pu refermer la cage. Je reconnais que tout ça paraît extraordinaire mais nous n’avons pas trouvé d’autres options à ces cadavres retrouvés en pleine nuit.
- Vos hommes n’ont rien vu ?? Pourtant vous dites vous-même qu’ils étaient là-bas en surveillance.
- Nos hommes surveillaient le jeune garçon qui n’était pas présent ce soir-là mais dînait avec son altesse et quelques amis à lui.
Vladimir reste un long moment sans prononcer une parole, perdu dans ses pensées et troublé par tout ce qu’il vient d’apprendre.
Plus il reçoit d’informations et plus des nouvelles questions se posent dans son esprit, tout ça lui paraissant irréel.
À moins d’une histoire abracadabrante inventée de toutes pièces pour lui cacher les faits et reporter la mort de ses hommes à des circonstances exceptionnelles, mort dont il n’arrive pas à concevoir la réalité tant tout ceci lui paraît extravagant.
- Vous ne pensez pas tout de même que je vais adhérer à un tel tas d’ineptie ??
- Je vous assure Monsieur le président que ce sont toutes les informations que nous avons sur cette affaire, peut-être que le gouvernement Français vous en dira plus car je ne doute pas qu’ils demandent des explications sur la présence de vos hommes sur leur territoire.
Vladimir grommelle quelques paroles inintelligibles.
- Je verrais ça avec eux, ce n’est pas votre affaire.
- Je le conçois volontiers Monsieur le président, c’était juste dans le cadre de l’explication que vous me demandiez. Que dois-je rapporter à mon prince sur sa demande ?
Vladimir en tapant du poing sur son bureau.
- Qu’il se mêle de ses affaires et reste sagement avec son harem sur son tas de sable s’il ne veut pas d’ennuis !!
L’ambassadeur pâlit sous l’injure.
- Dois-je vraiment rapporter vos propos à mon prince ?
- Certainement !! Et dites-lui aussi qu’il n’a pas intérêt à vouloir essayer de contrecarrer mes projets quels qu’ils soient !!
- Vous êtes sous le coup de la colère et j’ose espérer que vous en redeviendrez vous-même rapidement. (L’ambassadeur se lève) J’attendrais donc que vous soyez calmé pour reprendre cette conversation, veuillez m’autoriser à vous laisser Monsieur le Président.
- C’est ça !! Foutez-moi le camp !!
L’ambassadeur devient blême sous l’insulte, il s’incline néanmoins pour saluer son interlocuteur et quitte le bureau d’une démarche raide.
Ce n’est qu’une fois dans sa limousine qu’il laisse aller sa fureur, son chauffeur surveillant d’un œil incrédule la colère de cet homme habituellement si courtois.
Vladimir lance avec fureur tout ce qui se trouve sur son bureau et qui va s’écraser aux quatre coins de la pièce.
Seul le téléphone reste en place et c’est d’une main encore tremblante de rage mal contenue qu’il décroche le combiné.
Quelques minutes plus tard, un homme à l’embonpoint certain entre pas rassuré dans le saint des saints et reste figé raide comme un piquet devant son chef.
- (Vladimir) Nicolaï est mort, tu prends sa place !! Je ne te conseille pas d’être aussi mauvais qu’il l’a été ses derniers jours !! Tu vas reprendre ses affaires en cours.
- Bien monsieur !!
Vladimir lui lance le rapport à la figure.
- Et tu vas mener à bien cette mission en la reprenant là où il s’est planté royalement !! Je veux ce garçon tu m’entends ?
- Oui monsieur !!
- Qu’importe ce que ça coûtera, je veux savoir qui il est et pourquoi il est aussi important pour tous ses connards !!
- Bien monsieur !!
L’homme quitte le bureau et s’essuie de la sueur lui couvrant le front, il part alors dans celui de Nicolaï y chercher les informations qui lui manquent sur cette étrange mission dont il apprend à l’instant l’existence.
Vladimir sort une bouteille de vodka du tiroir de son bureau et en boit une impressionnante lampée au goulot.
Un sourire cruel orne son visage quand il la repose fermement sur le plan de travail, ses yeux se plissent et deviennent rêveurs quelques secondes.
- Où que tu sois mon gars, je te retrouverai. Crois-moi, tu me dévoileras tous tes secrets !! De gré ou de force !!
Chan sent les lèvres qui embrassent avec passion sa corolle livrée de manière impudique aux envies de son copain, les baisers sur cette partie de lui qu’il croyait jusqu’alors insensible lui envoient des sensations nouvelles et d’un plaisir extrême.
Dante lui aussi découvre pour la première fois la saveur de cet endroit si intime, les bisous qu’il donne à cette chair frémissante lui amènent également des perceptions inconnues.
Ses lèvres explorent le sillon légèrement poilu pour revenir régulièrement à cet endroit qui les attire de par ses frémissements incessants et sa douceur rugueuse si spéciale.
Sa langue sort à son tour venant laper et humidifier cette chair rose et plissée, elle force et pénètre doucement à l’intérieur comme le ferait un petit sexe.
Il sent l’effet de cette langue gourmande sur son copain qui donne de petits coups de reins pour qu’elle aille encore plus profondément en lui et lui diffuse encore plus de plaisirs.
La corolle s’ouvre de plus en plus et c’est un puits rond qui laisse apparaître les parois rouge sang bouillant d’envie de se faire remplir par le sexe énorme maintenant de son jeune compagnon.
Dante comprend le désir de son ami et sourit en repartant à l’assaut de son corps, le laissant pour l’instant frustré de son envie de se faire prendre.
Sa bouche délivre de nouveau des bisous en remontant sur le pubis aux poils doux, elle remonte encore pour énerver le nombril si mignon au centre de son ventre.
Chan râle maintenant en continu, son corps lui envoie des pulsions si intenses que sa tête donne des va-et-vient de gauche à droite incontrôlés.
La langue de Dante remonte encore sur son corps jusqu’à atteindre ses tétons frémissants qui durcissent et deviennent d’une extrême sensibilité quand il les sent happer par la succion des lèvres dévorantes alternant sur chacun d’eux.
Cette embrassade lancinante atteint maintenant son cou, Chan devient comme fou sous la caresse et sa gorge envoie maintenant des sons rauques en continu tant les vagues de plaisirs qui lui arrivent directement au cerveau sont puissantes.
Dante termine sous l’oreille cette cajolerie humide avant de passer à un autre fantasme qu’il a en tête depuis quelque temps déjà ; son sexe bandé suit à son tour le même chemin que sa bouche et vient titiller lui aussi les zones érogènes de son bel eurasien qui maintenant est dans un autre monde.
Dante lui soulève la tête pour amener son sexe palpitant devant les lèvres entrouvertes de son amant ; plusieurs petites poussées nerveuses montrent à celui-ci ce dont quoi a envie son homme et Chan sans se faire prier le prend amoureusement dans sa bouche.
Dante sous les sensations qu’il ressent alors en a les cuisses qui sont prises de tremblements nerveux.
Il pousse de plus en plus loin sa queue raide jusqu’à atteindre la gorge de Chan, il lui reste encore quelques centimètres pour que son sexe soit entièrement absorbé par cette bouche avide.
Chan prend sa respiration et de lui-même laisse passer le gland palpitant dans sa gorge.
L’impression d’étouffement est vite réprimée, il trouve alors la parfaite synchronisation pour alterner les va-et-vient profonds et la prise d’air nécessaire.
Dante sent le passage de son gland dans cette partie cartilagineuse et ses fesses sont secouées de spasmes tellement la sensation nouvelle l’envoie à son tour dans un ailleurs de pur plaisir.
Il est conscient des pulsations de son sexe et comprend que s’il n’y prend garde, il va jouir dans la gorge offerte de son ami.
Il va pour se retirer quand un doigt inquisiteur lui transperce l’anus et déclenche l’orgasme libérateur qui déverse son sperme épais au fond de la gorge de Chan qui hoquette sous l’abondance du liquide à la saveur acidulée qui lui remplit le conduit et manque de l’étouffer.
Dante ne manque pas à sa réputation d’endurance, son sexe toujours aussi raide sort lentement de la bouche de son ami.
Il regarde un instant attendri le visage rouge de son chéri avant de bouger lestement et de reprendre sa position initiale, les genoux de Chan sur ses épaules et c’est avec un « han » de bûcheron qu’il le pénètre jusqu’à la garde.
Chan pas encore tout à fait remis de sa prise en gorge précédente éprouve alors une énorme sensation de chaleur dans son corps et son sexe gorgé de sang se soulève de son ventre, lâchant au passage quelques gouttes de sperme qui lui couvrent le gland.
Dante reste un moment immobile dans la gaine qui l’enserre, l’excitation qui ne l’a pas quitté gonfle son sexe et écarte encore plus les parois anales dans lesquelles il commence à coulisser d’abord doucement puis de plus en plus fermement jusqu’à saillir de la façon la plus virile qui soit le garçon qui lui a pris son cœur.
Chan halète de plus en plus fort, il tente par tous les moyens de retarder l’énorme orgasme qu’il sent monter en lui.
Les coups de boutoirs de plus en plus violents de son compagnon qui le pilonne sans retenue, lui font un effet terrible, son corps tout entier est comme un brasier quand il n’en peut plus de se retenir et que son corps se cabre sous le plaisir intense qui lui remonte comme une boule de feu du ventre vers son cerveau.
Un dernier et puissant coup de reins libère pour la deuxième fois Dante qui ahane sous la décharge de plaisir qui part de son bas-ventre et répand sa liqueur de vie au plus profond de son compagnon tétanisé.
Celui-ci appuie fortement de ses genoux sur ses épaules et dans un cri puissant, son sperme part dans les airs comme la lave d’un volcan le laissant exsangue sous l’impact de cette première jouissance anale.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (116 / 150) (Vladimir)
Vladimir arpente nerveusement les couloirs du Kremlin, il vient d’apprendre l’accident entre le cargo et le porte-conteneurs et attend le rapport de son service de renseignements.
N’ayant eu aucune nouvelle de Nicolaï et de sa mission, Vladimir trépigne d’autant d’incompétence et n’attend que d’en savoir plus avant de déclencher d’autres actions.
Il arrive enfin à son bureau où déjà un homme ayant pris rendez-vous dans l’urgence l’attend.
Vêtu d’une djellaba blanche et d’un keffieh de la même couleur, l’homme imposant dans sa prestance se lève dès qu’il entend les pas de son hôte.
- (L’homme en s’inclinant) Monsieur le Président, je vous apporte les respects de mon prince.
Vladimir connaît bien cet homme avec qui il mène des négociations très fructueuses, aussi répond-il à sa marque de respect par une inclination du buste dont il n’est pas habitué.
- Monsieur l’ambassadeur !! Vous rapporterez mes respects à son altesse.
- Je n’y manquerai pas excellence !!
Vladimir fait signe à l’ambassadeur de s’asseoir dans le fauteuil faisant face au sien et vient prendre place derrière son bureau.
- Quel est le but de votre demande d’entretien pour le moins inhabituelle ?
- Son altesse Hassan Hal Malouf a appris que vous vous intéressiez à une certaine personne.
Vladimir soudainement captivé par la conversation.
- Ah oui !! Et de qui s’agirait-il ??
L’ambassadeur voit bien l’intérêt soudain de son interlocuteur.
- D’un jeune chirurgien dont son altesse ne saurait accepter qu’il lui arrive quoi que ce soit de néfaste.
- En admettant que nous parlions de la même personne, j’aimerais connaître les raisons d’une telle « protection » de la part de l’émir Hassan ?
- Vous ignorez peut-être l’accident dont a été victime l’héritier de l’émirat ?
- (Vladimir surpris) En effet !! Poursuivez, je vous prie !
- Le jeune prince Amid était donné pour au mieux handicapé à vie suite à un crash aérien. Certains disent même que sa vie était en jeu et que sans l’intervention de ce jeune chirurgien, c’est le cadavre du jeune prince que nous aurions dû faire transférer jusque chez nous.
- Où a eu lieu cet accident ?
- A l’approche de l’aéroport de Roissy en France.
(Vladimir a alors un rictus soulagé) Nous ne parlons certainement pas de la même personne alors.
L’ambassadeur plus diplomate que jamais :
- Vous avez l’air bien sûr de vous Monsieur le président, pourtant nos services ont repéré des hommes à vous dans le périmètre où est actuellement ce jeune homme.
- (Vladimir sursaute) Mais ce n’est pas possible voyons !! La personne qui nous intéresse est à l’autre bout de la France !!
- Je le sais très bien Monsieur le Président et je réitère la demande expresse de son altesse.
- (Vladimir nerveux) Mais enfin !! Ce ne sont pas vos affaires !!
L’ambassadeur gardant un calme olympien :
- Je crains que si Monsieur le Président.
Vladimir va pour vilipender cet homme trop sûr de lui quand quelqu’un frappe à la porte et entre avec un dossier sous le bras.
- (Vladimir) Oui !!
- Le rapport que vous avez demandé monsieur !
- (Vladimir à l’ambassadeur) Excusez-moi un instant je vous prie ! Une affaire ne demandant aucun retard.
L’ambassadeur en croisant les bras :
- Faites donc Monsieur le Président, je comprends bien que les affaires d’États soient plus importantes que notre petite discussion.
Vladimir fait signe à l’homme d’approcher, il lui prend le porte-documents des mains et le congédie d’un geste rapide ; il sort alors le dossier qu’il contient et en prend rapidement connaissance, son visage change du tout au tout au fur et à mesure qu’il apprend ce qu’il en est advenu de ses hommes ou du moins de leurs disparitions et de la mort de son chef des services secrets.
L’ambassadeur habitué à lire sur les expressions des visages de ses interlocuteurs voit bien la colère et la contrariété de cet homme si puissant et fait très vite le rapprochement avec ce qu’il a appris il y a peu de temps encore.
Son visage par contre reste serein même s’il commence à se demander comment tout cela va se terminer.
Vladimir referme le dossier et son regard se reporte sur son visiteur.
- Que savez-vous d’autre sur cette affaire ?
L’ambassadeur réfléchi très vite car de sa réponse dépendront certainement les relations futures entre leurs deux pays.
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (117 / 150) (Vladimir) (fin)
- Vos hommes ne reviendront pas, leur mission a échoué et les services de la DST se sont occupés de leurs cadavres.
- (Vladimir se relève d’un bond) Quoi !!!
- Calmez-vous Monsieur le président ! Il est trop tard pour y faire quoi que ce soit et je peux vous assurer que nous n’y sommes pour rien.
Vladimir en tremble de colère mais finit par se rasseoir, troublé malgré tout du calme de l’ambassadeur.
- Que leur est-il arrivé ?
- Tout ce que nous savons c’est que la nuit dernière quatre de nos hommes ont assisté quatre hommes des services secrets Français à récupérer les cadavres de six quidams de nationalité russe. Certains d’entre eux étant déjà fichés, il n’a pas été difficile de faire la corrélation avec vous et c’est pour cette raison que je suis là aujourd’hui. Son altesse aimerait connaître les motifs de leurs présences et par la même occasion savoir ce que vous avez l’intention de faire maintenant.
- Ils étaient déjà morts quand vous êtes arrivés dites-vous ? Mais alors qui sont les auteurs de ces meurtres ?
- D’après les traces qui ont été relevées, ce serait des fauves du cirque où ils se trouvaient qui pour une raison encore inconnue se seraient retrouvée en liberté qui en seraient les auteurs. Nous avons également retrouvé le cadavre d’un lion près des corps de vos hommes. Si personne n’est intervenu plus tôt c’est tout simplement à cause de la drogue que vos hommes ont déversée dans le repas du soir et qui a endormi tout le personnel du cirque. Nous pensons que la personne chargée de nourrir ces fauves s’est endormie elle aussi sans avoir pu refermer la cage. Je reconnais que tout ça paraît extraordinaire mais nous n’avons pas trouvé d’autres options à ces cadavres retrouvés en pleine nuit.
- Vos hommes n’ont rien vu ?? Pourtant vous dites vous-même qu’ils étaient là-bas en surveillance.
- Nos hommes surveillaient le jeune garçon qui n’était pas présent ce soir-là mais dînait avec son altesse et quelques amis à lui.
Vladimir reste un long moment sans prononcer une parole, perdu dans ses pensées et troublé par tout ce qu’il vient d’apprendre.
Plus il reçoit d’informations et plus des nouvelles questions se posent dans son esprit, tout ça lui paraissant irréel.
À moins d’une histoire abracadabrante inventée de toutes pièces pour lui cacher les faits et reporter la mort de ses hommes à des circonstances exceptionnelles, mort dont il n’arrive pas à concevoir la réalité tant tout ceci lui paraît extravagant.
- Vous ne pensez pas tout de même que je vais adhérer à un tel tas d’ineptie ??
- Je vous assure Monsieur le président que ce sont toutes les informations que nous avons sur cette affaire, peut-être que le gouvernement Français vous en dira plus car je ne doute pas qu’ils demandent des explications sur la présence de vos hommes sur leur territoire.
Vladimir grommelle quelques paroles inintelligibles.
- Je verrais ça avec eux, ce n’est pas votre affaire.
- Je le conçois volontiers Monsieur le président, c’était juste dans le cadre de l’explication que vous me demandiez. Que dois-je rapporter à mon prince sur sa demande ?
Vladimir en tapant du poing sur son bureau.
- Qu’il se mêle de ses affaires et reste sagement avec son harem sur son tas de sable s’il ne veut pas d’ennuis !!
L’ambassadeur pâlit sous l’injure.
- Dois-je vraiment rapporter vos propos à mon prince ?
- Certainement !! Et dites-lui aussi qu’il n’a pas intérêt à vouloir essayer de contrecarrer mes projets quels qu’ils soient !!
- Vous êtes sous le coup de la colère et j’ose espérer que vous en redeviendrez vous-même rapidement. (L’ambassadeur se lève) J’attendrais donc que vous soyez calmé pour reprendre cette conversation, veuillez m’autoriser à vous laisser Monsieur le Président.
- C’est ça !! Foutez-moi le camp !!
L’ambassadeur devient blême sous l’insulte, il s’incline néanmoins pour saluer son interlocuteur et quitte le bureau d’une démarche raide.
Ce n’est qu’une fois dans sa limousine qu’il laisse aller sa fureur, son chauffeur surveillant d’un œil incrédule la colère de cet homme habituellement si courtois.
Vladimir lance avec fureur tout ce qui se trouve sur son bureau et qui va s’écraser aux quatre coins de la pièce.
Seul le téléphone reste en place et c’est d’une main encore tremblante de rage mal contenue qu’il décroche le combiné.
Quelques minutes plus tard, un homme à l’embonpoint certain entre pas rassuré dans le saint des saints et reste figé raide comme un piquet devant son chef.
- (Vladimir) Nicolaï est mort, tu prends sa place !! Je ne te conseille pas d’être aussi mauvais qu’il l’a été ses derniers jours !! Tu vas reprendre ses affaires en cours.
- Bien monsieur !!
Vladimir lui lance le rapport à la figure.
- Et tu vas mener à bien cette mission en la reprenant là où il s’est planté royalement !! Je veux ce garçon tu m’entends ?
- Oui monsieur !!
- Qu’importe ce que ça coûtera, je veux savoir qui il est et pourquoi il est aussi important pour tous ses connards !!
- Bien monsieur !!
L’homme quitte le bureau et s’essuie de la sueur lui couvrant le front, il part alors dans celui de Nicolaï y chercher les informations qui lui manquent sur cette étrange mission dont il apprend à l’instant l’existence.
Vladimir sort une bouteille de vodka du tiroir de son bureau et en boit une impressionnante lampée au goulot.
Un sourire cruel orne son visage quand il la repose fermement sur le plan de travail, ses yeux se plissent et deviennent rêveurs quelques secondes.
- Où que tu sois mon gars, je te retrouverai. Crois-moi, tu me dévoileras tous tes secrets !! De gré ou de force !!
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li