31-08-2020, 09:13 AM
Le soir nous avions commencé à faire les bagages car le lendemain nous devions reprendre la route pour rentrer.
Au matin nous avions pris le petit-déjeuner pour ensuite charger la camionnette avec les bagages. Papa avait été rapporté la clef du chalet et nous avions pris la route du retour.
Le trajet s’était très bien passé. Nous n’avions pas d’embouteillage. Une fois arrivé chez nous, Jacques avait téléphoné à ses parents pour qu’ils viennent les rechercher.
Une fois que Jacques fut sur le point de repartir chez lui avec son papa, l’au revoir a été très pénible tant pour Jacques que pour moi. Nous nous étions enlacés en pleur durant au moins cinq minutes. Personne n’osait dire quelque chose. Le papa de Jacques avait remercié mes parents pour avoir pris avec nous Jacques pour une semaine au ski. Papa lui avait répété qu’il l’avait fait de bon cœur et que c’était une manière de montrer qu’il était sensible au lien qui m’unissait avec Jacques.
Une fois que la voiture ramenant Jacques chez lui fut sortie de l’allée de jardin, je m’étais effondré en larme. Je savais que je n’allais plus pouvoir passer d’aussi bons moments avec lui, comme nous venions d’en vivre durant une semaine.
Maman m’avait pris dans ses bras. Une fois un peu remis de mes émotions, j’avais rejoint ma chambre pour me mettre au lit.
Le matin en me levant j’avais comme la gueule de bois, sans avoir bu. J’étais sonné de savoir que Jacques ne serait plus là dans quelques jours. J’avais pris ma douche et ensuite j’avais mangé un bout de pain, je n’avais pas faim. J’étais remonté dans ma chambre pour écouter de la musique.
J’étais descendu pour le repas de midi et je n’avais mangé que quelques bouchées, j’avais l’appétit coupé. Ma sœur Delphine voyait très bien que je n’étais pas dans mon assiette, me proposa d’aller faire un tour pour nous aérer le corps et l’esprit. Nous étions allés faire une balade de deux heures.
Une fois de retour à la maison maman m’avait averti que Jacques avait téléphoné. Il m’avait invité à passer la journée prochaine et la nuit chez lui, c’était son papa qui avait insisté.
Je ne savais que penser de cette invitation. Je n’allais pas la refuser, mais j’avais une appréhension de prolonger ainsi l’adieu indéfiniment !
J’avais recontacté Jacques pour lui dire que je serai chez lui le lendemain matin vers 10 heures ; mais Jacques souhaitait que je sois déjà arrivé vers 9 heures !
La soirée m’avait parue interminable. J’étais monté dans ma chambre et je m’étais mis au lit pour la nuit.
Bip, bip, bip, c’était le réveil, il était 7 heures et demie. J’étais directement allé me doucher et j’avais mangé un bout avant d’aller prendre le bus pour aller chez Jacques. J’étais arrivé chez lui à 8 heures 45. Jacques m’avait accueilli les bras ouverts, il m’attendait avec impatience. Il avait pris mon sac des mains, il contenait mes effets pour me changer et l’avait déposé dans le coffre de la voiture de son père. Puis en se tournant vers moi, il m’a dit :
Jac : Surprise, surprise !
Moi : Quoi, mais …
Jac : Ne t’inquiète pas, c’est mon père qui nous fait un surprise. Tu es d’accord de nous accompagner ?
Moi : Mais oui, bien sûr !
Jac :« Je ne te dis rien maintenant, tu le découvriras le moment venu !
J’étais franchement intrigué. J’avais vu Alexis qui était d’une excellente humeur J’avais été salué la maman de Jacques, Béatrice. Je voyais qu’eux aussi avaient préparé leurs sacs pour partir. Nous allions donc être à cinq durant deux jours semblait-il !
Nous voilà donc tous embarqués dans la voiture. Nous quittons Bruxelles pour une destination qui m’était inconnue. Alain prenait la direction de l’autoroute des Ardennes vers Liège. Il y avait de plus en plus de neige sur les côtés de la route. Ensuite nous allions en direction de la ville de Francorchamps. C’est là qu’il y avait ce très beau circuit de voitures. Je me souvenais y avoir été à quelques reprises pour voir les 24 heures au virage de Stavelot. Que de souvenirs ! Et ensuite nous avions pris quelques petites routes pour nous retrouver non loin de Malmedy. Nous étions arrivés dans un petit village, nous avions repris une toute petite route menant à l’extérieur de celui-ci. Nous nous étions arrêtés devant une très belle bâtisse en pierres du pays. C’était en fait une grande ferme restaurée. C’était un bâtiment splendide.
Jacques et moi nous étions impressionnés, de même qu’Alexis. Alain, le papa de Jacques avait loué cette ancienne ferme pour deux jours. Nous entrions dans un immense hall d’entrée. Puis il y avait un grand living composé d’une salle à manger où une grande table en chêne d’un seul tenant trônait en son centre. Il n’y avait pas moins de douze chaises, elles aussi en chêne. Il y avait également un billard. Puis la partie salon avec plusieurs fauteuils et un divan. Puis par une baie vitrée nous avions pu voir la piscine intérieure chauffée et à température, avec un coin sauna et jacuzzi. C’était dément. Puis au premier étage, il y avait deux grandes chambres avec chacune une salle de bain attenante et ensuite au second étage une autre grande chambre avec une salle de bain, ainsi qu’un dortoir avec trois lits superposés et une grande salle de jeux. Nous avions pu ensuite découvrir le très grand jardin avec une vue imprenable vers les Fagnes.
Les parents de Jacques avaient pris une chambre au premier étage ainsi qu’Alexis, Jacques et moi nous avions pris celle du second étage.
Une fois installés, Alain avait proposé de s’habiller pour aller faire du ski de fond ! Quelle excellente idée. Nous étions très vite en tenue. Nous avions repris l’auto en direction des pistes de ski de fond. Nous avions loué sur place les skis et les bâtons, qui avaient été réservés.
Quelle belle fin de matinée. Jacques et moi nous nous amusions avec Alexis à aller le plus vite possible sur certains tronçons, puis il y avait des descentes, bref nous étions très heureux de pouvoir glisser sur une piste bien enneigée ! Les parents de Jacques suivaient à leur aise derrière nous.
A la pause de midi, ou plus tôt celle de 13 heures trente, nous avions remis les skis au loueur. Alain avait réservé une table dans un restaurant de cette station de ski de fond. Nous avions mangé un repas revigorant. Tout le monde était content et heureux de cette matinée !
Nous avions profité du beau temps pour faire un tour à pieds dans les Fagnes. Le paysage était splendide. Nous étions ébahis par le spectacle qui nous était offert par cette nature hivernale sous ce soleil bas qui donnait au paysage des allures lunaires et un peu extraterrestres ! La neige était tombée en abondance et tout, vraiment tout était d’un blanc immaculé !
Une fois que le soleil s’était couché à l’horizon, laissant des couleurs rosâtres sur la neige, nous avions repris la voiture pour rentrer à notre logement. Une fois rentré, j’avais susurré aux oreilles de Jacques l’envie d’aller plonger une tête dans la piscine. Jacques m’avait alors dit de prendre sur moi et de le demander moi-même à son père. J’avais alors demandé à Alain :
Moi : Alain, je ne sais pas si tu es d’accord, mais j’ai envie, tout comme Jacques, d’aller piquer une tête dans la piscine !
Al : Pour moi pas de problème !
Moi : Alain, je n’ai pas de maillot, j’espère que cela ne te dérange pas si nous nous baignons sans maillot, soit nus
Al : Pour moi c’est la même chose, cela ne me choque pas, au contraire !
Moi : Merci Alain, car à la maison, chez nous, nous nageons toujours nus dans la piscine !
Al : Vous faites comme vous voulez !
Hop, ni une ni deux, nous voilà les trois garçons nus au milieu de la piscine. La maman de Jacques préparait le gouter. Alain lui regardait si tout était en ordre pour la nuit. Alain était venu nous rejoindre dans la piscine suivit par Béatrice, en tenue d’Eve et d’Adam. Nous étions tous heureux. Je ne savais pas que les parents de Jacques étaient si ouverts. Nous avions passé un bon moment dans l’eau. Puis Béatrice avait une collation au bord de la piscine. Quelle superbe ambiance très familiale.
J’avais remarqué qu’Alexis avait les poils pubiens bien taillés. Je me demandais pourquoi il prenait ainsi soin de sa toison. Il avait un sexe de belle grandeur. Nous nous étions essuyés et j’avais parlé un peu avec Jacques. Nous nous étions ensuite rhabillés pour faire une partie de billard pendant que Béatrice préparait le souper. A un moment j’avais dit à Jacques que nous devrions peut-être donner un coup de main pour mettre la table pour aider sa maman. Alain voyant que nous allions donner un coup de main à Béatrice, il s’était mis en train pour préparer l’apéro et les boissons pour le repas. Alexis s’était occupé de ranger les abords de la piscine.
Jacques et moi nous avions dressé la table. Alain avait débouché deux bouteilles de vin. Alexis avait ouvert sachets et les boîtes de chips et de zakouskis. Bref nous étions prêts à passer un bon moment.
J’avais encore cette idée de départ de Jacques dans la tête. Je commençais à gamberger. Pourquoi les parents de Jacques m’avaient-ils invité. Jacques était pour moi mon ami, mon amour, ils le savaient très bien. Notre séparation allait être encore plus pénible ! Je ne savais que penser. C’est Jacques qui m’avait dit :
Jac : Oh Phil, tu es dans la lune !
Moi : Excuse-moi Jacques, mais je ne sais pas ce que je fais ici avec vous. Tu as oublié que nous serons séparés dans quelques jours ! ’
Jac : Je sais Phil, mais papa voulait nous offrir encore deux jours ensemble !
Moi : Oh Jacques, ça part d’un très bon sentiment, mais ça me fait du mal. Je ne sais qu’en penser !
Je m’étais une nouvelle fois effondré en larme. Béatrice voyant ça s’était approchée de moi pour me prendre dans les bras, même Jacques pleurait aussi. Béatrice comprenait très bien que me faisait du mal ainsi qu’à Jacques. C’est Alexis qui nous avait sorti de ce moment de déprime en sortant des blagues à six sous.
Nous étions passés à table, mais l’appétit n’était pas là. J’avais mangé pour faire plaisir à Béatrice et faire honneur à son plat. Je n’avais pris qu’un verre de vin, en suite j’avais bu de l’eau. Je n’avais pas pris de dessert, je n’avais pas le cœur à manger une part de gâteau.
Nous nous étions installés dans le salon devant la cheminée où un bon feu de bois brûlait. Il y avait un peu de musique en sourdine. Nous ne parlions pas beaucoup, nous profitions du feu. Alain s’était servi un verre de cognac qu’il sirotait doucement, Béatrice avait pris une infusion et nous les jeunes nous avions des jus de fruits ou de la limonade.
Vers minuit, Alain avait dit qu’il était temps d’aller se coucher, pour être debout le lendemain matin vers neuf heures pour ne pas perdre de temps pour les activités.
Jacques et moi nous avions souhaité une très bonne nuit au reste de la famille et nous étions montés dans notre chambre. Une fois dans la chambre, j’avais regardé Jacques dans les yeux. Il faisait de même. Je savais qu’il pensait la même chose que moi, que c’était de plus en plus difficile d’être ensemble en sachant que dans une petite semaine nous serions séparés.
J’avais avancé ma bouche vers celle de Jacques. Nos lèvres s’étaient frôlées. Puis elles s’étaient une nouvelle fois rencontrées, puis finalement elles se sont unies pour laisser nos langues pénétrer dans la bouche de l’être aimé. Nous nous étions embrassés durant quelques minutes. Nous nous étions déshabillés pour prendre une douche. L’eau était à peine tiède, nous n’étions donc pas restés longtemps sous la douche.
C’est donc nu que nous nous étions couchés dans le lit. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Puis Jacques m’avait susurré à l’oreille qu’il voulait se donner à moi. Moi aussi j’avais envie d’aimer Jacques. J’étais alors allé prendre des capotes et du lubrifiant dans mon sac. J’avais enduit la rondelle de Jacques de lubrifiant et avec mon doigt, j’avais bien lubrifié son anus. J’avais même pu entrer deux doigts en même temps. Mon sexe était déjà bandé depuis le début, il ne restait plus qu’à enfiler la capote. J’avançais mon pénis vers la rondelle de mon ami. Puis doucement, tendrement j’introduisais mon phallus dans sa grotte. J’y allais progressivement laissant le temps à Jacques de se sentir bien pour ne pas avoir mal. Puis une fois mon vis enfoncé jusqu’à la garde, j’avais entamé des mouvements lents de va et vient. Je prenais le temps, je m’appliquais et je changeais de rythme en vue de donner du plaisir. Jacques commençait à gémir de bonheur, j’y allais alors de plus en plus rapidement en alternant avec des mouvements plus lents et plus lascifs. Puis je voyais de Jacques appréciait d’être ainsi sodomisé. Moi de mon côté je sentais que j’allais bientôt jouir, je poursuivais mes mouvements de va et vient et puis je m’étais cabré et j’avais éjaculé six jets de sperme au fond de la capote. Jacques gémissait de plaisir !
Nous nous étions ensuite couchés sur le lit, le temps de reprendre nos esprits. Puis c’est Jacques qui avait voulu me faire l’amour. Il avait pris le lubrifiant et une capote. Il m’avait élargi la rondelle avec ses doigts, il avait enfilé la capote sur son membre dressé. Délicatement il avait présenté le bout du gland recouvert de latex au niveau de mon anus. Il commençait alors à me pénétrer centimètres par centimètres. Je sentais son sexe bandé s’introduire au fur et à mesure dans mon anus. Je n’avais aucune sensation de mal, mais bien du plaisir. Jacques s’était alors mis à me pistonné l’anus par des va et vient en alternant la rapidité des mouvements. Je commençais à gémir, je sentais qu’il était très près de ma prostate et je ressentais de plus en plus de sensations agréables et jouissives. J’étais parti au septième ciel. Mon Jacques avait fait des progrès, il savait me procurer du bonheur. Puis j’avais senti mon amant se raidir et ensuite laisser partir au fond de la capote six jets de sperme bien chaud. Je gémissais comme ce n’était pas permis. J’avais peur d’alerter toute la maisonnée.
Nous nous étions alors affalés côte à côte sur ce lit, témoin de cette ivresse partagée. Nous nous étions aimés. Nous nous étions donnés l’un à l’autre, sans retenue et sans arrière-pensée.
Nous étions allés reprendre une douche, un peu froide, avant de nous coucher dans le lit. Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin.
Au matin nous avions pris le petit-déjeuner pour ensuite charger la camionnette avec les bagages. Papa avait été rapporté la clef du chalet et nous avions pris la route du retour.
Le trajet s’était très bien passé. Nous n’avions pas d’embouteillage. Une fois arrivé chez nous, Jacques avait téléphoné à ses parents pour qu’ils viennent les rechercher.
Une fois que Jacques fut sur le point de repartir chez lui avec son papa, l’au revoir a été très pénible tant pour Jacques que pour moi. Nous nous étions enlacés en pleur durant au moins cinq minutes. Personne n’osait dire quelque chose. Le papa de Jacques avait remercié mes parents pour avoir pris avec nous Jacques pour une semaine au ski. Papa lui avait répété qu’il l’avait fait de bon cœur et que c’était une manière de montrer qu’il était sensible au lien qui m’unissait avec Jacques.
Une fois que la voiture ramenant Jacques chez lui fut sortie de l’allée de jardin, je m’étais effondré en larme. Je savais que je n’allais plus pouvoir passer d’aussi bons moments avec lui, comme nous venions d’en vivre durant une semaine.
Maman m’avait pris dans ses bras. Une fois un peu remis de mes émotions, j’avais rejoint ma chambre pour me mettre au lit.
Le matin en me levant j’avais comme la gueule de bois, sans avoir bu. J’étais sonné de savoir que Jacques ne serait plus là dans quelques jours. J’avais pris ma douche et ensuite j’avais mangé un bout de pain, je n’avais pas faim. J’étais remonté dans ma chambre pour écouter de la musique.
J’étais descendu pour le repas de midi et je n’avais mangé que quelques bouchées, j’avais l’appétit coupé. Ma sœur Delphine voyait très bien que je n’étais pas dans mon assiette, me proposa d’aller faire un tour pour nous aérer le corps et l’esprit. Nous étions allés faire une balade de deux heures.
Une fois de retour à la maison maman m’avait averti que Jacques avait téléphoné. Il m’avait invité à passer la journée prochaine et la nuit chez lui, c’était son papa qui avait insisté.
Je ne savais que penser de cette invitation. Je n’allais pas la refuser, mais j’avais une appréhension de prolonger ainsi l’adieu indéfiniment !
J’avais recontacté Jacques pour lui dire que je serai chez lui le lendemain matin vers 10 heures ; mais Jacques souhaitait que je sois déjà arrivé vers 9 heures !
La soirée m’avait parue interminable. J’étais monté dans ma chambre et je m’étais mis au lit pour la nuit.
Bip, bip, bip, c’était le réveil, il était 7 heures et demie. J’étais directement allé me doucher et j’avais mangé un bout avant d’aller prendre le bus pour aller chez Jacques. J’étais arrivé chez lui à 8 heures 45. Jacques m’avait accueilli les bras ouverts, il m’attendait avec impatience. Il avait pris mon sac des mains, il contenait mes effets pour me changer et l’avait déposé dans le coffre de la voiture de son père. Puis en se tournant vers moi, il m’a dit :
Jac : Surprise, surprise !
Moi : Quoi, mais …
Jac : Ne t’inquiète pas, c’est mon père qui nous fait un surprise. Tu es d’accord de nous accompagner ?
Moi : Mais oui, bien sûr !
Jac :« Je ne te dis rien maintenant, tu le découvriras le moment venu !
J’étais franchement intrigué. J’avais vu Alexis qui était d’une excellente humeur J’avais été salué la maman de Jacques, Béatrice. Je voyais qu’eux aussi avaient préparé leurs sacs pour partir. Nous allions donc être à cinq durant deux jours semblait-il !
Nous voilà donc tous embarqués dans la voiture. Nous quittons Bruxelles pour une destination qui m’était inconnue. Alain prenait la direction de l’autoroute des Ardennes vers Liège. Il y avait de plus en plus de neige sur les côtés de la route. Ensuite nous allions en direction de la ville de Francorchamps. C’est là qu’il y avait ce très beau circuit de voitures. Je me souvenais y avoir été à quelques reprises pour voir les 24 heures au virage de Stavelot. Que de souvenirs ! Et ensuite nous avions pris quelques petites routes pour nous retrouver non loin de Malmedy. Nous étions arrivés dans un petit village, nous avions repris une toute petite route menant à l’extérieur de celui-ci. Nous nous étions arrêtés devant une très belle bâtisse en pierres du pays. C’était en fait une grande ferme restaurée. C’était un bâtiment splendide.
Jacques et moi nous étions impressionnés, de même qu’Alexis. Alain, le papa de Jacques avait loué cette ancienne ferme pour deux jours. Nous entrions dans un immense hall d’entrée. Puis il y avait un grand living composé d’une salle à manger où une grande table en chêne d’un seul tenant trônait en son centre. Il n’y avait pas moins de douze chaises, elles aussi en chêne. Il y avait également un billard. Puis la partie salon avec plusieurs fauteuils et un divan. Puis par une baie vitrée nous avions pu voir la piscine intérieure chauffée et à température, avec un coin sauna et jacuzzi. C’était dément. Puis au premier étage, il y avait deux grandes chambres avec chacune une salle de bain attenante et ensuite au second étage une autre grande chambre avec une salle de bain, ainsi qu’un dortoir avec trois lits superposés et une grande salle de jeux. Nous avions pu ensuite découvrir le très grand jardin avec une vue imprenable vers les Fagnes.
Les parents de Jacques avaient pris une chambre au premier étage ainsi qu’Alexis, Jacques et moi nous avions pris celle du second étage.
Une fois installés, Alain avait proposé de s’habiller pour aller faire du ski de fond ! Quelle excellente idée. Nous étions très vite en tenue. Nous avions repris l’auto en direction des pistes de ski de fond. Nous avions loué sur place les skis et les bâtons, qui avaient été réservés.
Quelle belle fin de matinée. Jacques et moi nous nous amusions avec Alexis à aller le plus vite possible sur certains tronçons, puis il y avait des descentes, bref nous étions très heureux de pouvoir glisser sur une piste bien enneigée ! Les parents de Jacques suivaient à leur aise derrière nous.
A la pause de midi, ou plus tôt celle de 13 heures trente, nous avions remis les skis au loueur. Alain avait réservé une table dans un restaurant de cette station de ski de fond. Nous avions mangé un repas revigorant. Tout le monde était content et heureux de cette matinée !
Nous avions profité du beau temps pour faire un tour à pieds dans les Fagnes. Le paysage était splendide. Nous étions ébahis par le spectacle qui nous était offert par cette nature hivernale sous ce soleil bas qui donnait au paysage des allures lunaires et un peu extraterrestres ! La neige était tombée en abondance et tout, vraiment tout était d’un blanc immaculé !
Une fois que le soleil s’était couché à l’horizon, laissant des couleurs rosâtres sur la neige, nous avions repris la voiture pour rentrer à notre logement. Une fois rentré, j’avais susurré aux oreilles de Jacques l’envie d’aller plonger une tête dans la piscine. Jacques m’avait alors dit de prendre sur moi et de le demander moi-même à son père. J’avais alors demandé à Alain :
Moi : Alain, je ne sais pas si tu es d’accord, mais j’ai envie, tout comme Jacques, d’aller piquer une tête dans la piscine !
Al : Pour moi pas de problème !
Moi : Alain, je n’ai pas de maillot, j’espère que cela ne te dérange pas si nous nous baignons sans maillot, soit nus
Al : Pour moi c’est la même chose, cela ne me choque pas, au contraire !
Moi : Merci Alain, car à la maison, chez nous, nous nageons toujours nus dans la piscine !
Al : Vous faites comme vous voulez !
Hop, ni une ni deux, nous voilà les trois garçons nus au milieu de la piscine. La maman de Jacques préparait le gouter. Alain lui regardait si tout était en ordre pour la nuit. Alain était venu nous rejoindre dans la piscine suivit par Béatrice, en tenue d’Eve et d’Adam. Nous étions tous heureux. Je ne savais pas que les parents de Jacques étaient si ouverts. Nous avions passé un bon moment dans l’eau. Puis Béatrice avait une collation au bord de la piscine. Quelle superbe ambiance très familiale.
J’avais remarqué qu’Alexis avait les poils pubiens bien taillés. Je me demandais pourquoi il prenait ainsi soin de sa toison. Il avait un sexe de belle grandeur. Nous nous étions essuyés et j’avais parlé un peu avec Jacques. Nous nous étions ensuite rhabillés pour faire une partie de billard pendant que Béatrice préparait le souper. A un moment j’avais dit à Jacques que nous devrions peut-être donner un coup de main pour mettre la table pour aider sa maman. Alain voyant que nous allions donner un coup de main à Béatrice, il s’était mis en train pour préparer l’apéro et les boissons pour le repas. Alexis s’était occupé de ranger les abords de la piscine.
Jacques et moi nous avions dressé la table. Alain avait débouché deux bouteilles de vin. Alexis avait ouvert sachets et les boîtes de chips et de zakouskis. Bref nous étions prêts à passer un bon moment.
J’avais encore cette idée de départ de Jacques dans la tête. Je commençais à gamberger. Pourquoi les parents de Jacques m’avaient-ils invité. Jacques était pour moi mon ami, mon amour, ils le savaient très bien. Notre séparation allait être encore plus pénible ! Je ne savais que penser. C’est Jacques qui m’avait dit :
Jac : Oh Phil, tu es dans la lune !
Moi : Excuse-moi Jacques, mais je ne sais pas ce que je fais ici avec vous. Tu as oublié que nous serons séparés dans quelques jours ! ’
Jac : Je sais Phil, mais papa voulait nous offrir encore deux jours ensemble !
Moi : Oh Jacques, ça part d’un très bon sentiment, mais ça me fait du mal. Je ne sais qu’en penser !
Je m’étais une nouvelle fois effondré en larme. Béatrice voyant ça s’était approchée de moi pour me prendre dans les bras, même Jacques pleurait aussi. Béatrice comprenait très bien que me faisait du mal ainsi qu’à Jacques. C’est Alexis qui nous avait sorti de ce moment de déprime en sortant des blagues à six sous.
Nous étions passés à table, mais l’appétit n’était pas là. J’avais mangé pour faire plaisir à Béatrice et faire honneur à son plat. Je n’avais pris qu’un verre de vin, en suite j’avais bu de l’eau. Je n’avais pas pris de dessert, je n’avais pas le cœur à manger une part de gâteau.
Nous nous étions installés dans le salon devant la cheminée où un bon feu de bois brûlait. Il y avait un peu de musique en sourdine. Nous ne parlions pas beaucoup, nous profitions du feu. Alain s’était servi un verre de cognac qu’il sirotait doucement, Béatrice avait pris une infusion et nous les jeunes nous avions des jus de fruits ou de la limonade.
Vers minuit, Alain avait dit qu’il était temps d’aller se coucher, pour être debout le lendemain matin vers neuf heures pour ne pas perdre de temps pour les activités.
Jacques et moi nous avions souhaité une très bonne nuit au reste de la famille et nous étions montés dans notre chambre. Une fois dans la chambre, j’avais regardé Jacques dans les yeux. Il faisait de même. Je savais qu’il pensait la même chose que moi, que c’était de plus en plus difficile d’être ensemble en sachant que dans une petite semaine nous serions séparés.
J’avais avancé ma bouche vers celle de Jacques. Nos lèvres s’étaient frôlées. Puis elles s’étaient une nouvelle fois rencontrées, puis finalement elles se sont unies pour laisser nos langues pénétrer dans la bouche de l’être aimé. Nous nous étions embrassés durant quelques minutes. Nous nous étions déshabillés pour prendre une douche. L’eau était à peine tiède, nous n’étions donc pas restés longtemps sous la douche.
C’est donc nu que nous nous étions couchés dans le lit. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Puis Jacques m’avait susurré à l’oreille qu’il voulait se donner à moi. Moi aussi j’avais envie d’aimer Jacques. J’étais alors allé prendre des capotes et du lubrifiant dans mon sac. J’avais enduit la rondelle de Jacques de lubrifiant et avec mon doigt, j’avais bien lubrifié son anus. J’avais même pu entrer deux doigts en même temps. Mon sexe était déjà bandé depuis le début, il ne restait plus qu’à enfiler la capote. J’avançais mon pénis vers la rondelle de mon ami. Puis doucement, tendrement j’introduisais mon phallus dans sa grotte. J’y allais progressivement laissant le temps à Jacques de se sentir bien pour ne pas avoir mal. Puis une fois mon vis enfoncé jusqu’à la garde, j’avais entamé des mouvements lents de va et vient. Je prenais le temps, je m’appliquais et je changeais de rythme en vue de donner du plaisir. Jacques commençait à gémir de bonheur, j’y allais alors de plus en plus rapidement en alternant avec des mouvements plus lents et plus lascifs. Puis je voyais de Jacques appréciait d’être ainsi sodomisé. Moi de mon côté je sentais que j’allais bientôt jouir, je poursuivais mes mouvements de va et vient et puis je m’étais cabré et j’avais éjaculé six jets de sperme au fond de la capote. Jacques gémissait de plaisir !
Nous nous étions ensuite couchés sur le lit, le temps de reprendre nos esprits. Puis c’est Jacques qui avait voulu me faire l’amour. Il avait pris le lubrifiant et une capote. Il m’avait élargi la rondelle avec ses doigts, il avait enfilé la capote sur son membre dressé. Délicatement il avait présenté le bout du gland recouvert de latex au niveau de mon anus. Il commençait alors à me pénétrer centimètres par centimètres. Je sentais son sexe bandé s’introduire au fur et à mesure dans mon anus. Je n’avais aucune sensation de mal, mais bien du plaisir. Jacques s’était alors mis à me pistonné l’anus par des va et vient en alternant la rapidité des mouvements. Je commençais à gémir, je sentais qu’il était très près de ma prostate et je ressentais de plus en plus de sensations agréables et jouissives. J’étais parti au septième ciel. Mon Jacques avait fait des progrès, il savait me procurer du bonheur. Puis j’avais senti mon amant se raidir et ensuite laisser partir au fond de la capote six jets de sperme bien chaud. Je gémissais comme ce n’était pas permis. J’avais peur d’alerter toute la maisonnée.
Nous nous étions alors affalés côte à côte sur ce lit, témoin de cette ivresse partagée. Nous nous étions aimés. Nous nous étions donnés l’un à l’autre, sans retenue et sans arrière-pensée.
Nous étions allés reprendre une douche, un peu froide, avant de nous coucher dans le lit. Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin.