26-05-2025, 03:15 PM
Et il me colle une claque sur le cul, faisant rire les autres gardes. Je continue mon chemin. Granville Faucon est encore à deux jours. J'en profite pour discuter avec les gens qui s'y rendent aussi. On croise aussi de nombreux brigands qui marchent en formation. A présent, je marche depuis quelques heures, en compagnie d'un beau garçon qui doit avoir dans les 18 ans. Jansus est très bavard. Je lui demande pourquoi tant de personnes se rendent à Granville.
Et vous savez ce que fait ce coquin ? Il pose sa main au niveau de mon service trois pièces pour confirmer mes dires.
Au même moment on croise encore des brigands.
Je reconnais en lui l’un des premiers espions qu'on a formé. Tout au long du trajet il nous met en garde contre les mouchards payés par le seigneur Faucon qui pullulent de partout. Il nous en montre quelques-uns dans notre colonne.
On passe la nuit dans un relais où Janus prend une chambre. Cette nuit-là je ne fais que le minimum syndical pour le faire grimper aux rideaux prétextant que le lendemain on a une très longue marche pour arriver jusqu'à Grandville. C'est avec Orian qu'on fait route le lendemain. Quelques mouchards sont venus parler avec nous durant le trajet. Orian dit qu'il va rejoindre d'autres marchands avec qui il travaille, Janus dit qu'il vient pour acheter des esclaves et moi que je suis un étranger qui voyage de congrégation en congrégation pour connaître le monde. Souvent ils me demandent d'où j'arrive et jusqu'à présent je n'ai rencontré personne qui sache où sont les terres du seigneur Goéland.
D’ailleurs les questions sont toujours les deux mêmes:
En général ça ne va pas plus loin. Orian me conseille de descendre dans la même auberge que lui. Ils sont plusieurs à y être installés. Et le patron est un de leurs informateurs, c’est plus sûr. Je reste à Grandville le temps de la foire. Janus a trouvé ses esclaves et avec le petit jeune à grosse queue qu'il a acheté, on a passé des nuits divines. Ce jeunot - qui doit avoir 18 ou19 ans - est né pour le sexe. Il en a toujours envie.
La rumeur s'est rependue en ville parce que de partout les gens plient bagages. Les charrettes encombrent les rues et les bagarres sont fréquentes. Mais bon, on est cinq hommes, à pied et peu chargés. On passe facilement. Orian et les autres marchands sont partis. On passe la porte grâce à une bourse judicieusement donnée à un garde. Et finalement on rejoint Orian.
On traverse la rivière et on file en direction d'un bois où on entre et une gorge étroite s'ouvre devant nous. On y entre. Les marchands ont sorti leurs armes. Jansus envoie un des soldats avertir de notre arrivée. La rencontre se passe bien et doucement la confiance s'établit entre nous. Les marchands montent leur camp. Plus tard un des hommes que j'ai laissé à l'orée du petit bois vient nous avertir que de nombreux soldats sillonnent le coin et que déjà certains soldats ramènent, sous bonne escorte, des gens ayant fui la ville.
…
Ça fait maintenant trois jours qu'on est là, à attendre. Les soldats ont arrêté de patrouiller. Un des espions de Jansus lui a fait savoir qu'en ville plusieurs personnes ont été torturées et exécutées pour le meurtre du fils du seigneur Faucon. La rumeur dit que c'est tel ou tel seigneur qui les a payés pour le faire. Mais la plus courante est que ce serait Ronin qui a organisé tout ça pour devenir seigneur plus vite.
Heureusement, hier, un autre espion est venu nous dire qu'il a trouvé où Ronin est enfermé. C'est à deux jours de marche d’ici. On met au point une stratégie. J'emprunte une charrette et un cheval aux marchands. Jansus, Xale, le jeune esclave que Janus a acheté et à qui il a promis la liberté s'il nous aide, Orian et moi, on se fera passer pour des putains mâles, adeptes de la nouvelle façon de baiser. Le reste de la troupe nous suivra à une demi-journée de marche se faisant passer pour des brigands envoyés par le seigneur pour sécuriser la frontière.
On se débrouille d'arriver au château juste un peu avant la nuit…
Un petit moment plus tard, un homme arrive.
Je fais durer le marchandage assez longtemps. C'est ce que j'avais pu observer lors de la foire.
On entre et les portes se referment derrière nous. des soldats nous fouillent et d’autres fouillent notre charrette.
Une fois seuls aux bains.
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- C'est la grande foire annuelle. Il y aura de tout à acheter.
- Et que veux-tu acheter ?
- Il me faudrait un ou deux esclaves très forts, pour le travail des champs et un plus jeune pour mon amusement.
- Tu as entendu parler de cette nouvelle façon de baiser ?
- Oui, ça aussi je veux essayer. Il paraît que c'est vraiment différent et que tu en retires une grande jouissance.
- Ce n'est pas il paraît. Tu en retires vraiment une grande jouissance.
- Comment tu le sais ?
- Il y a un mois j'étais sur les terres du seigneur Merle et j'ai croisé la route de ses catins d’un nouveau genre et j'ai pris deux garçons pour quelques jours. Ça n'a été que du bonheur.
- Si ce soir je paye la chambre et que je t'offre à manger, tu veux bien me donner un avant-goût de ce que tu as fait avec eux ?
- Tu es un garçon charmant et tout le plaisir sera pour moi.
- Mais tu sais, je préfère la prendre plutôt que de la mettre.
- J'aime autant la prendre que la mettre alors ça sera parfait pour moi. Mais changeons de sujet, Jansus, parce que tu me l'as rendue dure.
Et vous savez ce que fait ce coquin ? Il pose sa main au niveau de mon service trois pièces pour confirmer mes dires.
- Je sens que ce soir je vais être comblé.
Au même moment on croise encore des brigands.
- Dis-moi Jansus, c'est quoi tous ces soldats ?
- Je n'en sais trop rien. On dit que notre seigneur craint que les fiefs voisins l'attaquent, alors il renforce les frontières. Il paraît qu'il a même fait alliance avec le seigneur Aigle. Pour sceller cela, notre seigneur va se marier avec la fille du seigneur aigle. Ce mariage fait rire tout le monde.
- Pourquoi ça ?
- Tu dois venir vraiment de loin, Dany, pour ne pas savoir que sa future épouse n’a pas 20 ans et que le seigneur Faucon en a 57. La fille du seigneur Aigle devait initialement se marier avec le petit fils, Ronin, qui a 18 ans. Mais comme sa femme est morte il y a peu et de façon étrange, du coup il en cherchait une autre et c'est sur la promise de son petit-fils qu'il a mis la main. Comme son petit-fils protestait il l'a fait exiler et enfermer dans un lointain château.
- Tu devrais faire attention à ce que tu dis à voix haute, garçon, plus d'un est en prison et il n'ont pas dit le quart de ce que tu viens de dire à cet étranger.
- Qui es-tu, l’homme ?
- Un marchand qui va rejoindre ses compagnons à Granville pour la foire. Je m'appelle Orian.
Je reconnais en lui l’un des premiers espions qu'on a formé. Tout au long du trajet il nous met en garde contre les mouchards payés par le seigneur Faucon qui pullulent de partout. Il nous en montre quelques-uns dans notre colonne.
- Comment sais-tu qu'ils sont des mouchards, Orian ?
- Je fais souvent la route et c'est souvent que je les vois.
- Et qui nous dit que toi Orian tu n'en es pas un ?
- Il suffirait que j'appelle les gardes qui nous encadrent et leur répéter ce que tu as dit, là tantôt, pour qu'ils me récompensent et que toi et l'étranger vous vous retrouviez en prison. Mais je ne le ferai pas. Encore un conseil Jansus, j’ai entendu le début de votre conversation et si tu te décides à essayer cette nouvelle manière de baiser, ne prends qu'un garçon. Sinon les esclaves que tu vas acheter devront te porter pour rentrer chez toi.
- Toi aussi, tu as essayé cette nouvelle façon de baiser ?
- Oui, mais les garçons ne m'intéressent pas. J'ai choisi une fille et ça n'a été que pur bonheur. Si l'étranger a aussi bien appris que moi, ce soir tu vas apprécier ce que vous allez faire.
On passe la nuit dans un relais où Janus prend une chambre. Cette nuit-là je ne fais que le minimum syndical pour le faire grimper aux rideaux prétextant que le lendemain on a une très longue marche pour arriver jusqu'à Grandville. C'est avec Orian qu'on fait route le lendemain. Quelques mouchards sont venus parler avec nous durant le trajet. Orian dit qu'il va rejoindre d'autres marchands avec qui il travaille, Janus dit qu'il vient pour acheter des esclaves et moi que je suis un étranger qui voyage de congrégation en congrégation pour connaître le monde. Souvent ils me demandent d'où j'arrive et jusqu'à présent je n'ai rencontré personne qui sache où sont les terres du seigneur Goéland.
D’ailleurs les questions sont toujours les deux mêmes:
- Elles sont où ces terres ?
- Ce sont les dernières terres avant la grande mer. Après il n'y a plus rien que l’eau.
- C'est des terres riches ?
- Dessus, il n'y a que landes et forêts. La richesse de la seigneurie vient de la mer et des poissons que ses gens pêchent ou du sel qu'ils vendent.
En général ça ne va pas plus loin. Orian me conseille de descendre dans la même auberge que lui. Ils sont plusieurs à y être installés. Et le patron est un de leurs informateurs, c’est plus sûr. Je reste à Grandville le temps de la foire. Janus a trouvé ses esclaves et avec le petit jeune à grosse queue qu'il a acheté, on a passé des nuits divines. Ce jeunot - qui doit avoir 18 ou19 ans - est né pour le sexe. Il en a toujours envie.
- Réveillez-vous vite les garçons, faites vos bagages et quittez la ville.
- Mais qu'est-ce qu’ il se passe, Orian ?
- Il paraît que le fils du seigneur Faucon est mourant. Le bruit court que c'est la nouvelle femme de son père qui l'a fait empoisonner. Et si ça s’avère être vrai et qu'il meurt, les gardes vont fermer les portes et tout le monde sera interrogé et tous ceux qu’ils considéreront suspects seront arrêtés et torturés jusqu'à ce qu'ils avouent leur crime. Je pense que c'est pour justifier d'entrer en guerre contre un seigneur voisin.
- Envoie quelqu'un avertir qui tu sais et dis-lui de se tenir sur ses gardes.
- Rejoignez nous à la porte sud. On vous attendra autant qu'on peut.
La rumeur s'est rependue en ville parce que de partout les gens plient bagages. Les charrettes encombrent les rues et les bagarres sont fréquentes. Mais bon, on est cinq hommes, à pied et peu chargés. On passe facilement. Orian et les autres marchands sont partis. On passe la porte grâce à une bourse judicieusement donnée à un garde. Et finalement on rejoint Orian.
- Il faut avancer, sans s'arrêter, car le seigneur va envoyer des soldats. Comme nous sommes partis, nous sommes tous des coupables en puissance. S'ils nous rattrapent on devra se battre et vaincre ou mourir.
- Je connais un endroit où nous cacher à quelques lieux d'ici où l'on ne nous trouvera pas. Mais il faut faire vite et il faudra effacer nos traces au passage de la rivière.
- Comment connais-tu cet endroit, Jansus ?
- Ronin, le petit-fils, et moi sommes amis depuis très longtemps. Je vous ai menti, je ne suis pas un riche paysan mais le fils et héritier du seigneur Geai.
- Et qu'es-tu venu faire, ici, sur les terres du seigneur Faucon ?
- Trouver où mon ami est enfermé et le libérer. Ces deux hommes là ne sont pas des esclaves mais des soldats de mon père et d'autres nous attendent là où je veux vous conduire. C'est Ronin qui m'a montré cet endroit.
- Qui nous dit que tu ne vas pas nous tendre un piège et nous tuer tous pour nous voler ?
- Orian, je sais que tu as confiance en Dany. Donc prends mon poignard, Dany, et attache moi les mains. Je me tiendrai à coté de toi et tu pourras me tuer si c'est un piège.
- On va faire comme ça.
On traverse la rivière et on file en direction d'un bois où on entre et une gorge étroite s'ouvre devant nous. On y entre. Les marchands ont sorti leurs armes. Jansus envoie un des soldats avertir de notre arrivée. La rencontre se passe bien et doucement la confiance s'établit entre nous. Les marchands montent leur camp. Plus tard un des hommes que j'ai laissé à l'orée du petit bois vient nous avertir que de nombreux soldats sillonnent le coin et que déjà certains soldats ramènent, sous bonne escorte, des gens ayant fui la ville.
- On est coincé ici tant qu'ils continueront les recherches. C'est une bonne cachette mais c'est une souricière.
- Non, Dany, en remontant la vallée il y a deux sorties pour nous échapper.
- D’accord, bon maintenant on fait quoi ? On attend un jour ou deux que ça se calme ou on s'en va demain dès qu'il fait jour ?
- Tu feras comme tu veux, Dany. Nous, nous restons. J'ai envoyé il y a plusieurs jours, bien avant que je vienne, plusieurs hommes sur tout le fief du seigneur Faucon visiter les châteaux et les villes pour savoir où est emprisonné Ronin. Tous les jours un homme différent va voir si l'un d'entre eux est au lieu de rendez-vous avec des renseignements. Ça fait longtemps que mon père envoie des espions sur les terres des seigneurs Faucon et Aigle.
- Tu peux m'en dire un peu plus, sur eux ?
- Ils sont cousins. Leur grand-père, qui était le seigneur aigle de l’époque, a donné sa fille au seigneur faucon. Et quand elle a eu deux enfants de lui, elle l'a fait assassiner. Enfin il a eu un ''accident’’. On ne saura jamais la vérité sur sa mort. Et c'est elle qui a pris la régence du fief jusqu'à la majorité de son fils, le seigneur actuel. C'est le seigneur Aigle le cerveau des deux, aujourd’hui. C’est lui qui manigance tout.
- Comment sais-tu ça ?
- Le seigneur faucon est imbu de sa personne et le seigneur aigle sait le flatter. Je suppose que c'est lui qui a dû lui suggérer de prendre pour épouse la future femme de son petit-fils, que c'est lui aussi qui a fait empoisonner le fils. Le fait que Ronin ose protester, n'a fait que faciliter la chose à son grand-père pour l'emprisonner mais ça a compliqué la tâche du seigneur Aigle, puisqu’il ne sait pas où a été enfermé Ronin…
- Oh! Je vois, celui-ci a sûrement prévu de les faire mourir tous les deux et étant son plus proche parent, récupérer la seigneurie et n'en faire plus qu’une avec la sienne.
- Tu réfléchis vite et bien, Dany.
…
Ça fait maintenant trois jours qu'on est là, à attendre. Les soldats ont arrêté de patrouiller. Un des espions de Jansus lui a fait savoir qu'en ville plusieurs personnes ont été torturées et exécutées pour le meurtre du fils du seigneur Faucon. La rumeur dit que c'est tel ou tel seigneur qui les a payés pour le faire. Mais la plus courante est que ce serait Ronin qui a organisé tout ça pour devenir seigneur plus vite.
Heureusement, hier, un autre espion est venu nous dire qu'il a trouvé où Ronin est enfermé. C'est à deux jours de marche d’ici. On met au point une stratégie. J'emprunte une charrette et un cheval aux marchands. Jansus, Xale, le jeune esclave que Janus a acheté et à qui il a promis la liberté s'il nous aide, Orian et moi, on se fera passer pour des putains mâles, adeptes de la nouvelle façon de baiser. Le reste de la troupe nous suivra à une demi-journée de marche se faisant passer pour des brigands envoyés par le seigneur pour sécuriser la frontière.
On se débrouille d'arriver au château juste un peu avant la nuit…
- Holà du château !
- Passez votre chemin. On n'a besoin de rien marchands.
- Nous ne sommes pas des marchands. On est des catins de la nouvelle façon de baiser. On voudrait trouver refuge chez vous pour cette nuit.
- Je vais chercher le chef, attendez là. C'est lui qui décidera.
Un petit moment plus tard, un homme arrive.
- Vous voulez notre protection, ça peut se faire mais il va falloir payer pour ça.
- Nous n'avons pas beaucoup d'argent seigneur, mais si ta demande est honnête, nous payerons.
- Nous voulons aussi que vous nous fassiez profiter de votre savoir-faire.
- Tu en demandes beaucoup seigneur. Nous, c'est combien de personnes ?
- Tu es bien curieux l’homme.
- C'est simplement pour savoir si nous serons assez nombreux à nous quatre pour vous satisfaire.
- Ça vous fera trois hommes chacun, vous y arriverez ?
- Trois, ça fait beaucoup pour un seul homme.
Je fais durer le marchandage assez longtemps. C'est ce que j'avais pu observer lors de la foire.
- Donc seigneur, on est d’accord. Tu nous offres le gîte et le couvert pour ce soir et demain matin et tu nous donneras une pièce en or chacun ? Et un seul homme à la fois comme promis ? Et chacun de nous pourra choisir qui il veut ?
- Oui, je n'ai qu'une parole. Et tous nous prendrons un bain avant de venir vous voir comme tu l’as demandé. Alors tu acceptes ?
- Ouvrez nous les portes.
On entre et les portes se referment derrière nous. des soldats nous fouillent et d’autres fouillent notre charrette.
- Ils n'ont pas d'armes.
- À quoi nous serviraient des armes, seigneur ?
- À vous défendre, vous et vos biens.
- Notre bien le plus précieux est notre vie et notre savoir-faire qui nous nourrit. Alors pourquoi les risquer pour un cheval et une charrette ?
- Vous êtes des sages. Vous nous montrez votre savoir-faire ?
- Permets nous, seigneur, de d'abord prendre un bain et ensuite offre nous à manger, le temps que toi et tes hommes vous vous laviez. Ensuite nous vous montrerons notre art.
- Toi, conduis les au bain. Il faudra la mériter, votre pièce chacun.
Une fois seuls aux bains.
- Ils ne sont pas nombreux. On peut se charger d'eux, tout seuls.
- On fait comment, Dany ?
- Comme il y a quatre gardes qui restent en fonction sur les remparts, on en aura chacun deux à gérer. On en prend un chacun, comme prévu, on le fait jouir avec une pipe pour le calmer. On lui demande de sortir et on fait pareil à l’autre et quand il a joui on le tue. On rappelle l'autre et on le tue, dès qu'il entre.
- Dany, je n'ai jamais tué personne et je ne me sens pas de le faire.
- Alors, Xale, il faudra que tu les retiennes le plus longtemps possible le temps qu'on puisse s'occuper des nôtres et nous viendrons nous occuper des tiens.
- Ça je peux le faire. Il y en a deux plus jeunes que les autres. Laissez-les-moi.
- Comme tu voudras. On sort nus pour leur donner envie?
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