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Le fils de putes - gaetanbg - 07-04-2025 Bonsoir à tous , je me lance dans une nouvelle série de textes plus ou moins longs intitulée ''le fils de putes'' . ces textes comportent des scènes sexuelles hétéro , bi ou gay . Suite à la nouvelle charte de Slygame je vous prie d'excuser les quelques anachronismes du premier récit que j'ai réécrit à la va vite . pour ne pas perturber les autres auteurs , comme pour bébé je publierai le lundi Bonne lecture Une fois de plus je me retrouve dans un coin que je ne connais pas et complètement à poil. J'ai de la chance. À quelques mètres près je me retrouvais au bas d'une falaise et c’en aurait été fini de moi. Cette putain de machine m'a encore rematérialisé au milieu de nulle part. Au-dessus de moi deux lunes brillent. Loin au fond de l'horizon un soleil commence à apparaître… Comment ça, qu’est-ce que je raconte? oOoOo
Je crois que si je veux que vous compreniez ce qu'il m’arrive, il va falloir que je commence par vous raconter ma vie, dès le début. Pour faire court, je suis un fils de putes dans tous les sens du terme. Mon père et ma mère se sont rencontrés alors qu'elle n’avait que15 ans et lui 18. Ma mère faisait un CAP de coiffure et mon père (un bon à rien, d'après les parents de ma mère) vivait de petits boulots et de petits trafics. Son seul problème c'est qu'il passait pratiquement tout son pognon dans le shit. Ça a matché direct entre eux. Et, quelques semaines après leur rencontre, ma mère est tombée enceinte. Mes grands-parents voulaient qu'elle se fasse avorter mais comme elle n'a pas voulu, elle s'est retrouvée dans la chambre de bonnes qu’occupait mon père. Entre son maigre salaire d’apprentie, le peu d'argent que mon père rapportait à la maison, ça n'a pas été facile et, du jour où je suis né, ça l'a été encore moins. Les seuls souvenirs que j'ai de mon père c'est les quelques photos rangées dans une boite que ma mère garde précieusement au fond d'un tiroir et j’avoue qu’il était assez beau, à l’époque. Ma mère bossant en journée, et ne pouvant pas faire confiance à mon père pour me garder, c'est une vielle veuve qui vivait un étage en dessous de chez nous qui me gardait. Et comme mes parents n'avaient pas d'argent elle se faisait payer ''en nature'' par mon père une fois par semaine. S'étant rendu compte qu’avec ses coups de bite il pourrait gagner de l’argent facile sans trop forcer, mon père, qui était un vrai beau gosse, monnaya ses charmes. Et l'argent commença à rentrer. Mais plus l'argent rentrait, plus il achetait de la drogue. Et plus il en prenait moins il bandait. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, (si j’ose dire) il changea de clientèle et au lieu de sa queue, c'est sa bouche et son cul qu'il tarifa. Et ça marcha encore mieux qu'avec les femmes. Je devais avoir presque 3 ans quand la veuve prit deux autres enfants en garde – six et huit ans - pour arrondir ses fins de mois. On allait les chercher à la sortie de l’école, on goûtait et elle leur faisait faire leurs devoirs. Pour que je ne les perturbe pas, la vieille me donnait une feuille et un crayon pour que je fasse aussi mes ‘’devoirs’’ comme les grands, comme ça, je lui foutais la paix. Et quelle ne fut pas sa surprise, quand, six mois plus tard, je me suis mis à écrire aussi bien que le gamin qui avait six ans. Ce qui la surprit encore plus c'est quelques semaines plus tard quand je me mis à réciter les tables de multiplication que le plus grand avait du mal à retenir et qu’elle lui faisait répéter inlassablement. La vieille étant une ancienne institutrice… Chassez le naturel et il revient au galop. Du coup, au lieu de jouer en journée comme je le faisais jusqu'à présent, j'avais droit à des cours particuliers tout le jour. Elle me gava si bien de son savoir qu'à 6 ans, quand il a fallu que je rentre à l’école, je savais lire, écrire, compter, que plus aucune règle de grammaire ne m'échappait exceptions comprises et je conjuguais tous les verbes réguliers et irréguliers sans aucune erreur. Les dates de l'histoire de France, la géographie française, européenne et même mondiale n'avaient (quasi) plus aucun secret pour moi. Le directeur de l'école convoqua mes parents, au vu de la situation et, pour une fois, mon père était plutôt lucide. Et c'est ainsi, que ''le singe savant'' comme il m'avait appelé, se retrouva en pension dans un institut pour élèves surdoués. C'est plus ou moins à cette époque que ma mère changea de vocation. La patronne où elle avait fini son apprentissage ne la garda pas. Mon père maintenant tapait dans les drogues dures et tout l'argent de ses passes y passait ! Comment ma mère en est venue à se prostituer également ? Elle ne me l'a jamais trop expliqué. Je savais que pour faire rentrer de l'argent elle allait coiffer les gens à domicile et, j’appris plus tard, qu’un jour un client lui a proposé un gros pourboire contre une gâterie… Il faut dire que depuis bien longtemps mon père ne la touchait plus. Et l’appât du gain associé au manque de plaisir charnel… Bref ! Elle se créa ainsi une clientèle par le bouche à oreille. Elle prit également des cours de massages pour se diversifier et, ma mère étant une très belle fille, son petit commerce devint de plus en plus lucratif. Si bien qu'elle se désintéressa de la coiffure. Dans mon institut de singes savants, j’apprenais, j'apprenais sans cesse, une véritable éponge et j'étais devenu un as de l’informatique. Les vacances étaient moins studieuses, je les passais dans la rue à faire le con dans le quartier. C'est souvent que je rentrais à la maison avec un œil au beurre noir ou mes habits en piteux état, parce que je m'étais bagarré. J'avais un peu plus de 12 ans quand, une après-midi, ma mère est venue me récupérer au pensionnat. On avait retrouvé, dans un squat, mon père mort d'une overdose. La cérémonie a été rapide. Après la crémation on a vidé ses cendres au pied d'un arbre et pour toute oraison funèbre il a eu droit de la part de ma mère à ''un emmerdement de moins à gérer''. Puis elle m'a reconduit au pensionnat. Un médecin me diagnostiqua hyperactif et suggéra que je me trouve une occupation qui permette de me dépenser. Du coup pour me ''calmer'' je me mis au sport. Je courais, je faisais du karaté, du kendo, de la muscu et tout un tas d'autres sports. Et, là aussi, je finis par y exceller. Mais je n'étais jamais calmé longtemps. C'est un légionnaire en retraite, client régulier de ma mère, qui me prit en main les week-ends et les vacances. Il avait la cinquantaine et 30 ans de légion derrière lui dont 15 ans comme instructeur en close combat, avec ou sans arme. C'est avec lui que j'ai été initié au tir au pistolet et au fusil avant l'âge de 13 ans. C'est grâce à lui qu'à l’âge de15 ans je ne craignais plus d'affronter un mec, bien plus grand et bien plus fort que moi, qu'il soit armé ou non. Me sachant un crac en informatique, plusieurs gars du quartier venaient me voir quand leur ordi merdait et me glissaient la pièce pour mon travail. Petit à petit, mon ‘’compte en banque’’ grossissait. Je voulais m'acheter un ordi pour la maison. On n'avait pas internet mais nos voisins l'avaient et comme c'est moi qui avait installé leurs ordis… je connaissais leurs codes wifi. Depuis mes 13 ans, la branlette n'avait plus aucun secret pour moi. J'avais même comparé avec quelques potes sous les douches du dortoir pour savoir qui avait la plus grosse . Mais d'être encore puceau à 15 ans, ça me foutait les boules. Le soir, au dortoir, impossible de se connecter pour mater un film de boule et s'en taper une– restriction du réseau. Aussi, en journée, je téléchargeais en catimini tout un tas de films pornos que je stockais sur des clefs USB… que je louais à mes potes. Il a fallu que j'ai 18 pour ne plus l'être . Un vendredi soir, alors que je rentrais à la maison pour le week-end, je fus accosté par un gars du quartier. Si moi on me surnommait ''le fils de putes'‘, lui c'était ''tire jus'‘. Il avait ramassé une saloperie dans son ordi et il voulait que j'y jette un œil. Ma mère bossant à la maison, j'avais deux heures à lui consacrer. Ce n’était pas une saloperie qu'il avait ramassée mais tout un tas! Au bout d'une heure son ordi refonctionnait impeccablement.
Et pendant une heure il me montra tout son savoir-faire. Il m'a fait jouir deux fois avec sa bouche et une fois, avec son cul. Entre mecs au pensionnat, on disait toujours, qu'il ne fallait pas mourir bête et qu'il fallait essayer au moins une fois avec un mec. Pour un premier essai je trouve que le mien était validé et même transformé. Il ne me restait plus qu'à le faire avec une meuf pour voir à quoi ça ressemblait et surtout pour perdre complètement mon statut de puceau. Ce qui arriva un mois plus tard. Cela s’est passé chez un couple dans la trentaine. Toujours pour voir ce qu'avait un ordi défaillant. Le mari était allé sur un site dangereux et depuis, il était bloqué. L’ordi, pas le mari, bien sûr. On m’a demandé si je pouvais le réparer contre rémunération. Le jour où j’avais la possibilité de faire la réparation, le mari était au boulot et c’est la femme qui me reçut cet après-midi lâ. J'avais réussi l’opération et j'en faisais le nettoyage complet, j’ouvris même les sites cachés par le mari et sa femme qui me regardait travailler, voyant ce qu'il avait écrit et les commentaires des meufs avec qui il l’avait cocufiée, m'avait payé la somme convenue et, comme pourboire, elle avait pris mon pucelage. Ce fut sa vengeance! J'avais tout autant aimé le faire avec elle qu'avec ‘’tire jus’’. Tire jus chez qui je dus retourner pour une mise à jours de sa bécane et qui, en contrepartie, me vida les couilles et - ô surprise! - me fit même découvrir le plaisir prostatique, à l’aide de ses sex-toys. Hé oui, mon cul a apprécié! Au fil de mes interventions, aux clients qui me plaisaient, je proposais un payement moins onéreux si le pourboire se faisait en nature. Beaucoup furent surpris… au début! Le nombre de pannes réelles diminua et les fictives se multiplièrent. Pour finir, je fis honneur à l’héritage de mes parents: j'étais devenu le vrai et parfait fils de putes. J'étais bi - recto verso avec les mecs – et je gagnais du blé en baisant. Je pus enfin acheter l'ordi dernier cri dont je rêvais… Ce fut mon cadeau à moi-même pour mes 18 ans. Et commençais ma carrière de hacker. J'avais ouvert au bureau de tabac un compte en ligne, j'avais hacké un organisme d'état en passant les pares feu les doigts dans le nez et mon compte gonflait très vite. Au bout de quelques semaines je m'en pris à un autre. À 18 ans et demi, j'avais déjà six comptes avec plein de zéros dessus. Et à 18 ans et huit mois… Je me retrouvais devant le juge des enfants parce que je m'étais fait bêtement gauler pour avoir trafiqué, via le site de l’éducation nationale, plusieurs bulletins scolaires. Ceci contre des prestations en nature de mes potes, bien évidemment. Le juge demanda une expertise psychiatrique pour moi et le rapport des experts fut loin d'être tendre à mon égard. Pour eux j'étais amoral, voir machiavélique et apathique, émotionnellement parlant. J'avais aussi eu droit à un encéphalogramme. C'est là que les spécialistes se sont rendus compte que j'utilisais près de 50% de mon cerveau alors que la norme de l'époque disait que l'on n'en utilisait pas plus de 10%. Il laissa le choix à ma mère. Soit, je restais jusqu'à mes 21 ans dans un centre éducatif fermé mais compte tenu de mon niveau intellectuel, il doutait que ça me serve à quelque chose, soit dans un pensionnat militaire où certains cas comme le mien pouvaient s'épanouir dans cet encadrement mais sous haute surveillance. C'est ce que ma mère choisit pour moi. Je la remercie encore de ce choix. Après quelques jours d'adaptation et quelques bastons, pour remettre en place ceux qui avaient des vues gratuites sur mon cul, je m'y suis senti comme un poisson dans l’eau. Il y avait là tout ce dont j'avais besoin : du sport intensif 3 heures par jour, des manœuvres en extérieur pour mettre en application les cours de tactiques militaires qu'on étudiait, de la baston encadrée, avec les techniques de combat qu'on nous enseignait et… du cul, du cul! Parce que tout un tas d'ados entre 18 et 21 ans, enfermés H/24 dans un même lieu, ça dégage des mètres cubes de testostérones, d'hormones en ébullition et de phéromones. Lors de mon ''admission'' dans cette école militaire, on m'a fait passer tout un tas de QCM de plus en plus difficiles. Je m'en étais sorti haut la main. J'avais une culture générale exhaustive, je parlais à présent plusieurs langues couramment. Et la facilité avec laquelle j'avais appris le latin, le grec ancien et à déchiffrer les hiéroglyphes et autres écritures oubliées, en surprit plus d’un. C'est en lisant ''l'art de la guerre'' de Sun Tzu que je me suis intéressé à la stratégie et à la tactique militaire. Je me mis à étudier les grandes batailles des généraux les plus célèbres depuis l'antiquité jusqu'à nos jours. C'était le pied total. Mais ce n'est qu'après avoir lu ''le prince'' de Machiavel que mon esprit s’éclaira. Je mis en pratique mes récentes acquisitions intellectuelles posant un pion par ci, un autre par là et en quelques semaines je devenais le caïd du pensionnat, sans que la hiérarchie ne s'en rende compte. Quand, la veille de mes 21 ans, on me proposa de sortir, comme beaucoup le faisaient, je les surpris en refusant, prétextant vouloir finir mon année et ma formation. J'étais trop bien là. J'avais tout ce qu'il me fallait et surtout du cul. Même les hétéros les plus virulents avaient un jour tâté de ma queue. Je ne les avais pas forcés. Ce n'était pas mon genre. C'est eux qui étaient venus me voir, soit pour avoir un privilège, soit pour pouvoir se venger d'un autre sans risque de représailles. Tous connaissaient le tarif. Il n'y a qu'Arnaud qui venait me voir sans rien vouloir en contrepartie. Mais avec Arnaud, c'était différent. Avec lui je ne baisais pas, on faisait l’amour. C'est son père qui l'avait mis là, quand il l'avait surpris en train de baiser avec son pote chez lui. Pour le dresser et lui faire passer ses mauvaises habitudes, avait-il dit. La première fois qu'il était venu me voir c'était pour que j'aille parler à certains gars qui s'en prenaient à lui. Ce qu'il m'avait dit, sur le coup, m'avait beaucoup fait rire.
Ses yeux m’ont regardé avec gourmandise, alors qu’il approchait déjà ses mains de ma braguette tout en me répondant:
Oh!Mais c'est vrai, j'ai oublié de vous parler de moi. Je m'appelle Tomaso ou Tom le plus souvent. À cette époque j'avais 18 ans. Maintenant j'en ai 25. Je suis blond, les yeux bleus. Je mesure 1,85 m pour 80 kg de muscles. Pour l'instant ça vous suffit, ça ne sert à rien de vous faire plus envie. Bref! Arnaud ne fut plus jamais maltraité, malgré le nombre de mecs qui lui sont passés dessus après. C’était même devenu une espèce de mascotte et gare à qui voulait s’en prendre à lui. L'année est bientôt finie. Il ne reste que quatre mois avant que je m'en aille. Certains préparent ma succession. Mais les postulants ne me plaisent pas. Aussi, en douce, je me débrouille pour les éradiquer de la succession par des manœuvres dignes du fils de putes que je suis. J'ai juste le temps de finir et d’installer mon dauphin avant de partir. Quand je passe la porte, ma mère est là, à m'attendre avec un taxi. On s'embrasse et le taxi démarre. C'est en silence qu'on fait le voyage. Le chauffeur de taxi essaye bien de nous faire la conversation mais devant notre mutisme, il finit par se taire. Il s'arrête dans un quartier que je ne connais pas. Ma mère descend et je la suis, en prenant mon sac. Elle se tourne vers moi.
L'appartement est sympa. Une grande pièce à vivre avec une cuisine ouverte et deux chambres, avec chacune sa salle de bain.
Au fond du couloir une autre porte donne sur des escaliers qui descendent au salon. Ça sent l'encens et les huiles essentielles lorsque j'ouvre la porte.
Une fois dans l’appartement.
Tout au long du repas elle me parle de ce qu'elle a fait pendant ces trois ans. Je lui parle de ma vie au pensionnat militaire. Certaines anecdotes la font sourire, d'autres rire. La première nuit, dans ma chambre je n'arrive pas à dormir. C'est trop calme. Il n'y a pas les bruits qui me sont familiers: des lits qui grincent alors que leurs propriétaires se branlent, la toux des uns ou des autres ou les ronflements léger de Charles qui occupait le lit voisin. Du coup, j'enfile mes affaires de sport à l’aube et je pars courir dans ce quartier que je ne connais pas. Au bout d'une heure je rentre. Ma mère vient de se lever.
Quand je reviens, j'ai juste enfilé un pantalon de jogging à même la peau et un tee-shirt. Je me fais un café que je bois tout en discutant avec ma mère qui me demande ce que je vais faire de ma journée. Une fois de plus elle me demande si je veux de l’argent. Je lui dis que j'ai quelques centaines d'euros d'avance. Mais, surtout, j'espère que mes six comptes n'auront pas été bloqués. J’ai, si mes souvenirs sont bons, juste après avoir désactivé les systèmes de l’arnaque, entre 15 et 20 000 euros sur chacun d’eux. Pour les garder en mouvement, j'avais planifié des virements, des uns aux autres. Bon, direction le cybercafé. Dans ma boite il y a les codes d'accès aux six et leurs cartes de retrait. Au cybercafé: Merde, elles sont toutes périmées! Mais mes comptes sont toujours actifs, c’est déjà bien. Tiens, c'est quoi ce septième papier ? Ah oui! C'est le compte que j'avais fait juste avant de me faire coincer et que je n'ai pas eu le temps de clôturer. Ma petite magouille doit toujours être active, une chance que personne ne l’aie découverte! Je me connecte au compte et là, c'est LE choc. Dessus il y a plus d'un million d’euros. Je sors un disque dur de ma boite, je repirate le site et je vais supprimer le programme que j'y avais inséré. Bon, il n’y a plus moyen de remonter jusqu’au numéro du compte. La prochaine étape est de me refaire des cartes valides. Je retourne dans mon ancien quartier - que je reconnais avec peine. Une fois les cartes en poche, je rentre. En route je croise plusieurs magasins sympas où je reviendrai demain. Je m’arrête devant la vitrine d’un magasin de téléphonie. J'entre mais faute d'attestation de résidence, on me refuse un abonnement. Je reviendrai demain, avec ma mère. La première semaine, je vais la passer en formalités et courses de tous genres. D'abord, la mairie pour me faire faire des papiers d’identité, avec ma mère. De là on passe acheter un téléphone et un abonnement. Pour plus de simplicité on le prend au nom de ma mère et je fournis un RIB où être prélevé mensuellement. De là, comme on passe devant une auto-école je m'y inscris pour le permis voiture et le permis moto. Puis, comme il est bientôt 11 heures, ma mère m'abandonne pour aller ouvrir l’institut. Il paraît qu'il y aura foule cet après-midi. J'y suis attendu pour 13 heures afin que ma mère me présente aux quatre employées présentes et après on ira manger au resto avec ma mère. Et cette après-midi, ça sera shopping fringues pour moi. Parce que j'avoue qu'au bout de seulement deux jours, je commence déjà à être à court. A 13 h précise, j'entre à l'institut et je fais la connaissance des filles. Adèle et Gina mais aussi Laurette et Lamia (une très belle beurette). Les filles sont sympas et c’est presque en chœur qu’elles me proposent toutes un massage gratuit… que je n'aurai jamais. Ma mère intervenant aussitôt!
De là on va dans un petit restaurant du quartier et c'est là, tout juste assis, que ma mère me demande cash:
C'est à ce moment que je lui balance mes petites magouilles d'avant le pensionnat militaire… mais je me garde bien de lui parler du dernier compte. Elle a déjà suffisamment d’informations à digérer pour le moment ! 18 RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 08-04-2025 Oooh! Un beau mec bien foutu et surdoué, intelligent et machiavélique, cultivé, rompu aux techniques de combat et autres formes de corps-à-corps, c'est séduisant à tous les niveaux de perception ^^ Tom est de la graine de génie (du mal) qui fait un parfait 'villain' de franchise Marvel ![]() Je m'installe avec mon seau de pop-corn et quelques litres d'ice tea green... RE: Le fils de putes - bech - 08-04-2025 La petite intro en italique fait penser à un roman de science fiction. La suite est plus classique. On apprend comment s'est déroulée l'enfance de Tomaso, ses dons, ses méthodes pour gagner de l'argent ... Finalement, lorsqu'il sort du pensionnat militaire, il est riche et sa mère veuve a pu commencer à financer une maison qui est aussi son lieu de travail. Attendons la suite. Pour la publication le lundi, j'en avais tenu compte lorsque j'ai choisi de publier dans cette rubrique Le monde de Cylian les mercredi et samedi. C'est dans la rubrique gay que je publie les lundi et jeudi les récits de Valdomar. Donc, on ne se fera pas de concurrence pour la place en tête de liste d'une rubrique lorsqu'on publie un nouveau chapitre. Pour ma part, si sur un site je trouve les caractères trop petits, je zoome et le navigateur enregistre les réglage pour les fois suivantes. Du coup, les caractères nettement plus gros pour un récits particulier peuvent me gêner. Là, j'ai préféré copier coller ton texte dans un éditeur de textes pour le lire. RE: Le fils de putes - emmanolife - 09-04-2025 Chouette, un nouveau récit de gaetanbg ! Son nouveau héros n'a pas l'air trop sentimental ni étouffé par les scrupules moraux, on a hâte de voir dans quelle direction il va voguer. RE: Le fils de putes - stuka132 - 09-04-2025 bon je m installe.... a lundi !!! merci encore RE: Le fils de putes - gaetanbg - 14-04-2025 Dans l'après-midi, je fais chauffer à tour de rôle mes cartes de crédit. Je m'achète toute une garde-robe allant de fringues classes à celles plus décontractées. J'ai déjà quatre sacs dans chaque main, quand je passe devant un magasin spécialisé ne vendant que des sous-vêtements. J'y entre. Le jeune vendeur me fait penser à Arnaud. J'en attrape une mi- molle. Tout souriant, il vient vers moi.
Il m'en présente tout un tas, de formes et de matières différentes.
J'en prends une quinzaine parmi ceux qui me plaisent et la première chose que je remarque en entrant dans la cabine, c'est une caméra camouflée, comme il y a chez ma mère. J'y pose un boxer dessus. Non mais, on va pas me mater à poil, sans contrepartie. Surtout si je ne sais pas qui va visionner l’enregistrement ! Je retire mes fringues et commence l’essayage, régulièrement le gars me demande s'ils me vont, s'il ne faut pas une taille plus petite ou plus grande… Justement, l’un des derniers que j’enfile, me serre un peu trop aux hanches et en me voyant dans le miroir, je me dis que le relief de ma bite est plus que visible, limite obscène! Ma mi molle est instantanément de retour et je suis obligé de la mettre sur le côté pour être à l’aise. Dans la même seconde, le fils de putes que je suis veut s’amuser de la situation. J’appelle le vendeur en lui disant que l’un des shortys est trop petit d’une taille. Ce qui était prévisible, il me demande: quel en est le modèle? J’ouvre aussitôt le rideau en grand et lui réponds, innocemment: Celui- ci. Regarde, il me serre la taille! Ce n’est pas ma taille que ses prunelles bleues fixent, alors que je suis planté face à lui. Quelques longues secondes plus tard, il sursaute en m’entendant dire: Le même mais en XL, je pense que ce sera bon! Et je referme le rideau. Je me marre intérieurement, en pensant à sa tête lorsqu’il a bloqué sur mon service trois pièces. J’ai cru qu’il allait avoir un malaise! Il est de nouveau derrière le rideau et bredouille qu’il a trouvé un XL. J’entrouvre suffisamment le tissu afin qu’il puisse voir que je suis nu, cette fois. Je lui prends le shorty des mains et lui rends l’autre puis relâche le rideau. Là, il a carrément viré au rouge. Je sors 10 minutes plus tard, rhabillé, et je lui en prends une bonne douzaine. Il m'en offre trois supplémentaires, choisis par lui. C’est avec une carte de fidélité en poche et son plus beau sourire en prime qu’il m’accompagne à la porte qu’il vient m’ouvrir. C’est son «Au revoir! J’espère te revoir bientôt.» qui me fait sourire en franchissant le seuil. Il en a oublié son vouvoiement commercial. Je ne suis qu'à quelques pas de la maison, quand deux gars essaient de me piquer mes sacs. Voyant que je résiste ils sortent chacun un couteau et me menacent avec. Le premier prend un tel coup de pied dans les couilles que ça le sèche sur place tandis que le second veut m'attaquer sur le flanc. Lui se retrouve vite avec l'épaule déboîtée et à droit à aussi à son coup de pied dans les couilles. Je les fouille et je pique leurs portefeuilles. Ensuite je récupère les couteaux. Les flics arrivent et les embarquent. Plusieurs personnes témoignent en ma faveur. De toute façon, la caméra de l'institut a tout filmé, si nécessaire. Mais je ne m’inquiète pas trop, selon l’officier qui a pris mes coordonnées, ces deux clowns sont bien connus des autorités. Demain je dois aller déposer plainte. Ça m'a fait de la peine, de devoir les frapper. Ils étaient plutôt beaux gosses et ce n’est pas comme ça que j'aurai voulu les rencontrer. Ça fait trois jours que je n’ai pas baisé et ça commence à me manquer. Au pensionnat, je baisais au minimum une fois par jour, sans compter les pipes occasionnelles faites par des gars qui avaient besoin que je leur rende service. Ma mère est sortie voir ce qu’il se passait ,en entendant les sirènes loin d'être catastrophée par ce qu'il vient de se passer, puisque je n’ai pas une seule égratignure. Il paraît que ça arrive de temps en temps, ce genre de vol à la tire avec des gens qui ne font que passer dans le quartier. Bon, demain il faut que j'aille m'inscrire au MMA fight-club que j'ai vu en haut de la rue. Après j'irai acheter ce qu'il me faut en tenues de sport. La première chose que ma mère fait, quand elle remonte après avoir fermé l'institut, c'est d'inspecter les fringues que j'ai acheté. Elle sourit quand elle voit les boxers et a l’œil pétillant, en découvrant les trois que j’ai reçu… Ce sont les plus sexy. Enfin, on passe à table.
Ma mère me laisse, ce soir elle a un rendez-vous. Je zappe un peu et je vais me coucher. Je m'inscris sur 2 ou 3 sites de rencontre. Mais comme je n'ai pas de photos ça ne marche pas… Je suis con, j'installe l'appli sur mon téléphone, je prends quelques photos de moi plus ou moins habillé et c'est parti. Tout un tas de vieux me proposent du fric et ceux que je contacte me prennent pour un fake. Ça promet. Au bout d'un moment j'en ai marre, je me trouve un film de boules pour me branler. J'en ai choisi un bi, pour bien me stimuler. Le lendemain, je croise ma mère. Elle rentre de son rendez-vous. Je pars courir mais cette fois, en partant de l'autre côté. Ça me permet de trouver un magasin de sport sympa. J'y viendrai tout à l’heure. Je découvre aussi un chouette parc. J'en fais le tour en courant et croise quelques joggeurs matinaux. Rien de bandant mais à surveiller le week-end on ne sait jamais. Il faut aussi que je me trouve une salle de sport parce que le resto tous les jours avec ma mère, ça ne va pas le faire. Et moi, qu'est-ce-que je fais dès que je rentre après avoir pris la douche ? Je me tape un bon gros petit-déjeuner ! Je m'habille et je file au poste de police. Le planton de l'accueil me demande ce que je veux et on me conduit dans un bureau. Un gars entre.
Ça m'a pris une heure cette connerie. Bon allez, le club de fight. Il est où déjà ? Je galère un peu pour le retrouver. Je pousse la porte et j'entre, en me dirigeant vers le comptoir d’accueil. Personne mais ça parle dans la pièce à côté.
D’un bloc, ils se tournent tous les trois vers moi. Une fois la surprise passée les lascars d'hier se mettent en garde. Le gars qui discutait avec eux s’interpose, avant de m’adresser la parole.
Direction le magasin de sport. J’entre. Y'a un gars perché sur un escabeau qui range des boites en hauteur. Sûr que c’est un sportif, rien qu’en voyant son gabarit. Son survêtement est un peu descendu et montre une partie de ses fesses. Je m’en demande même si il porte un sous-vêtement. Son tee-shirt remonte, à chacun de ses mouvements et, ma fois, la vue n'est pas déplaisante. Sans se retourner il me dit:
Je fouine sur un portant, voir si quelque chose me plaît. Mais bon, c'est pas top.
Pour faire simple je me suis foutu à poil dans la cabine. Je la passe. Ça me serre et ça me compresse le matériel. Je le lui dis. J'en essaie deux autres et c'est pas beaucoup mieux.
Je vous passe tous les essayages que j'ai fait mais j'ai juste le temps de poser les affaires que je viens d'acheter à la maison et aller rejoindre ma mère au bistrot où elle m'attend, au bar, en buvant un verre.
Je bois mon verre et on passe à table. Ma mère est déjà au courant que je n'ai pas déposé plainte – ça je lui avais dit -, que je suis passé m’inscrire au club de fight et que j'ai passé un grand moment au magasin de sport d'où je suis sorti avec de nombreux sacs… Où elle est impatiente de mettre son nez, évidemment!
Quand on arrive à destination la limousine du monsieur nous attend. Ce n'est que le soir pour le dîner qu'on rencontre nos hôtes pris par une réunion imprévue toute la journée. La meuf est plus que baisable alors dès le premier soir je lui sors le grand jeu. Et ça lui plaît. Et comme je suis en manque et en grande forme, elle a droit à des tours «gratuits». C'est comme ça que j'ai fait mes premiers pas dans le métier. Comme prévu, le soir on doit aller dans un restaurant classe et que «je n'ai rien à me mettre!» selon elle, on fait les boutiques et j'en ressors avec plein de cadeaux à chaque fois. Surtout, après que je lui ai mis une belle ramonée dans la cabine, entre deux essayages. Elle m'avouera plus tard que c'était l’un de ses plus gros fantasmes: les endroits insolites avec le risque d’être découverts. Et pour me remercier de l'avoir assouvie, juste avant de repartir, elle m'offre une boite, à n'ouvrir que dans le train, après le départ. C'est une montre, vous savez celles qui ont une petite couronne comme logo. Quand elle l'a vue ma mère a juste dit ''la vache, elle ne s'est pas foutue de ta gueule! '' et elle a replongé son nez dans un magazine de mode.
Grâce, un peu à ma mère et au bouche à oreille, le nombre de mes clientes augmente régulièrement. Et comme je suis nourri, blanchi et logé, c'est de l’argent de poche que je gagne. Le gars qui a formé ma mère m'accepte comme stagiaire non rémunéré pour un trimestre maximum. Très vite j'apprends les bases des différents types de massages. La plupart du temps c'est sur des hommes que je m’entraîne, la clientèle féminine est plutôt réservée aux deux filles du personnel. Mais hommes ou femmes, qu'est-ce que ça peut faire, un corps est un corps. Pas vrai ? Ce sont surtout des quadras ou des quinquagénaires qui viennent et même des plus vieux. Souvent, ils bandent et Francis est moins regardant que ma mère, pour un petit billet de plus il le leur fait passer. Il m'a laissé libre de le faire ou pas. Un petit billet pour faire une branlette, ça ne se refuse pas. Au bout de deux mois et demi, il me dit qu'il n'a plus rien à m’apprendre. Il me faut encore un mois en travaillant ma mère au corps tous les jours pour qu'on accroche ma photo avec celles des filles. Et comme, du coup, j’ai beaucoup de temps libre, j'arrive très vite à avoir mon code puis mon permis de voiture et celui de moto. 36 RE: Le fils de putes - bech - 14-04-2025 Hé bien, je sais pas combien il en a acheté de jeans pour inciter les voleurs à les récupérer. Moi, en principe, je les achète par 2. Peut-être que ses agresseurs deviendront ensuite des relations. Il a l'air de bien se débrouiller Tomaso quoique la mère aussi, même si elle a un institut de massage, elle a d'autres solutions pour arrondir ses fins de mois. RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 17-04-2025 Je n'ai jamais porté de coquille, mais comme pour les boxers, je n'imaginais pas qu'on les essaie à même la peau ^^ Après, c'est un bon moyen pour tester l'intérêt du vendeur, c'est p-ê moins évident dans les magasins de sport, mais dans ceux de fringues, c'est rare de tomber sur des vendeurs full hétéro, et comme Tom est un bouchon qui va sur tous les goulots... ![]() |