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Le fils de putes - gaetanbg - 07-04-2025 Bonsoir à tous , je me lance dans une nouvelle série de textes plus ou moins longs intitulée ''le fils de putes'' . ces textes comportent des scènes sexuelles hétéro , bi ou gay . Suite à la nouvelle charte de Slygame je vous prie d'excuser les quelques anachronismes du premier récit que j'ai réécrit à la va vite . pour ne pas perturber les autres auteurs , comme pour bébé je publierai le lundi Bonne lecture Une fois de plus je me retrouve dans un coin que je ne connais pas et complètement à poil. J'ai de la chance. À quelques mètres près je me retrouvais au bas d'une falaise et c’en aurait été fini de moi. Cette putain de machine m'a encore rematérialisé au milieu de nulle part. Au-dessus de moi deux lunes brillent. Loin au fond de l'horizon un soleil commence à apparaître… Comment ça, qu’est-ce que je raconte? oOoOo
Je crois que si je veux que vous compreniez ce qu'il m’arrive, il va falloir que je commence par vous raconter ma vie, dès le début. Pour faire court, je suis un fils de putes dans tous les sens du terme. Mon père et ma mère se sont rencontrés alors qu'elle n’avait que15 ans et lui 18. Ma mère faisait un CAP de coiffure et mon père (un bon à rien, d'après les parents de ma mère) vivait de petits boulots et de petits trafics. Son seul problème c'est qu'il passait pratiquement tout son pognon dans le shit. Ça a matché direct entre eux. Et, quelques semaines après leur rencontre, ma mère est tombée enceinte. Mes grands-parents voulaient qu'elle se fasse avorter mais comme elle n'a pas voulu, elle s'est retrouvée dans la chambre de bonnes qu’occupait mon père. Entre son maigre salaire d’apprentie, le peu d'argent que mon père rapportait à la maison, ça n'a pas été facile et, du jour où je suis né, ça l'a été encore moins. Les seuls souvenirs que j'ai de mon père c'est les quelques photos rangées dans une boite que ma mère garde précieusement au fond d'un tiroir et j’avoue qu’il était assez beau, à l’époque. Ma mère bossant en journée, et ne pouvant pas faire confiance à mon père pour me garder, c'est une vielle veuve qui vivait un étage en dessous de chez nous qui me gardait. Et comme mes parents n'avaient pas d'argent elle se faisait payer ''en nature'' par mon père une fois par semaine. S'étant rendu compte qu’avec ses coups de bite il pourrait gagner de l’argent facile sans trop forcer, mon père, qui était un vrai beau gosse, monnaya ses charmes. Et l'argent commença à rentrer. Mais plus l'argent rentrait, plus il achetait de la drogue. Et plus il en prenait moins il bandait. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, (si j’ose dire) il changea de clientèle et au lieu de sa queue, c'est sa bouche et son cul qu'il tarifa. Et ça marcha encore mieux qu'avec les femmes. Je devais avoir presque 3 ans quand la veuve prit deux autres enfants en garde – six et huit ans - pour arrondir ses fins de mois. On allait les chercher à la sortie de l’école, on goûtait et elle leur faisait faire leurs devoirs. Pour que je ne les perturbe pas, la vieille me donnait une feuille et un crayon pour que je fasse aussi mes ‘’devoirs’’ comme les grands, comme ça, je lui foutais la paix. Et quelle ne fut pas sa surprise, quand, six mois plus tard, je me suis mis à écrire aussi bien que le gamin qui avait six ans. Ce qui la surprit encore plus c'est quelques semaines plus tard quand je me mis à réciter les tables de multiplication que le plus grand avait du mal à retenir et qu’elle lui faisait répéter inlassablement. La vieille étant une ancienne institutrice… Chassez le naturel et il revient au galop. Du coup, au lieu de jouer en journée comme je le faisais jusqu'à présent, j'avais droit à des cours particuliers tout le jour. Elle me gava si bien de son savoir qu'à 6 ans, quand il a fallu que je rentre à l’école, je savais lire, écrire, compter, que plus aucune règle de grammaire ne m'échappait exceptions comprises et je conjuguais tous les verbes réguliers et irréguliers sans aucune erreur. Les dates de l'histoire de France, la géographie française, européenne et même mondiale n'avaient (quasi) plus aucun secret pour moi. Le directeur de l'école convoqua mes parents, au vu de la situation et, pour une fois, mon père était plutôt lucide. Et c'est ainsi, que ''le singe savant'' comme il m'avait appelé, se retrouva en pension dans un institut pour élèves surdoués. C'est plus ou moins à cette époque que ma mère changea de vocation. La patronne où elle avait fini son apprentissage ne la garda pas. Mon père maintenant tapait dans les drogues dures et tout l'argent de ses passes y passait ! Comment ma mère en est venue à se prostituer également ? Elle ne me l'a jamais trop expliqué. Je savais que pour faire rentrer de l'argent elle allait coiffer les gens à domicile et, j’appris plus tard, qu’un jour un client lui a proposé un gros pourboire contre une gâterie… Il faut dire que depuis bien longtemps mon père ne la touchait plus. Et l’appât du gain associé au manque de plaisir charnel… Bref ! Elle se créa ainsi une clientèle par le bouche à oreille. Elle prit également des cours de massages pour se diversifier et, ma mère étant une très belle fille, son petit commerce devint de plus en plus lucratif. Si bien qu'elle se désintéressa de la coiffure. Dans mon institut de singes savants, j’apprenais, j'apprenais sans cesse, une véritable éponge et j'étais devenu un as de l’informatique. Les vacances étaient moins studieuses, je les passais dans la rue à faire le con dans le quartier. C'est souvent que je rentrais à la maison avec un œil au beurre noir ou mes habits en piteux état, parce que je m'étais bagarré. J'avais un peu plus de 12 ans quand, une après-midi, ma mère est venue me récupérer au pensionnat. On avait retrouvé, dans un squat, mon père mort d'une overdose. La cérémonie a été rapide. Après la crémation on a vidé ses cendres au pied d'un arbre et pour toute oraison funèbre il a eu droit de la part de ma mère à ''un emmerdement de moins à gérer''. Puis elle m'a reconduit au pensionnat. Un médecin me diagnostiqua hyperactif et suggéra que je me trouve une occupation qui permette de me dépenser. Du coup pour me ''calmer'' je me mis au sport. Je courais, je faisais du karaté, du kendo, de la muscu et tout un tas d'autres sports. Et, là aussi, je finis par y exceller. Mais je n'étais jamais calmé longtemps. C'est un légionnaire en retraite, client régulier de ma mère, qui me prit en main les week-ends et les vacances. Il avait la cinquantaine et 30 ans de légion derrière lui dont 15 ans comme instructeur en close combat, avec ou sans arme. C'est avec lui que j'ai été initié au tir au pistolet et au fusil avant l'âge de 13 ans. C'est grâce à lui qu'à l’âge de15 ans je ne craignais plus d'affronter un mec, bien plus grand et bien plus fort que moi, qu'il soit armé ou non. Me sachant un crac en informatique, plusieurs gars du quartier venaient me voir quand leur ordi merdait et me glissaient la pièce pour mon travail. Petit à petit, mon ‘’compte en banque’’ grossissait. Je voulais m'acheter un ordi pour la maison. On n'avait pas internet mais nos voisins l'avaient et comme c'est moi qui avait installé leurs ordis… je connaissais leurs codes wifi. Depuis mes 13 ans, la branlette n'avait plus aucun secret pour moi. J'avais même comparé avec quelques potes sous les douches du dortoir pour savoir qui avait la plus grosse . Mais d'être encore puceau à 15 ans, ça me foutait les boules. Le soir, au dortoir, impossible de se connecter pour mater un film de boule et s'en taper une– restriction du réseau. Aussi, en journée, je téléchargeais en catimini tout un tas de films pornos que je stockais sur des clefs USB… que je louais à mes potes. Il a fallu que j'ai 18 pour ne plus l'être . Un vendredi soir, alors que je rentrais à la maison pour le week-end, je fus accosté par un gars du quartier. Si moi on me surnommait ''le fils de putes'‘, lui c'était ''tire jus'‘. Il avait ramassé une saloperie dans son ordi et il voulait que j'y jette un œil. Ma mère bossant à la maison, j'avais deux heures à lui consacrer. Ce n’était pas une saloperie qu'il avait ramassée mais tout un tas! Au bout d'une heure son ordi refonctionnait impeccablement.
Et pendant une heure il me montra tout son savoir-faire. Il m'a fait jouir deux fois avec sa bouche et une fois, avec son cul. Entre mecs au pensionnat, on disait toujours, qu'il ne fallait pas mourir bête et qu'il fallait essayer au moins une fois avec un mec. Pour un premier essai je trouve que le mien était validé et même transformé. Il ne me restait plus qu'à le faire avec une meuf pour voir à quoi ça ressemblait et surtout pour perdre complètement mon statut de puceau. Ce qui arriva un mois plus tard. Cela s’est passé chez un couple dans la trentaine. Toujours pour voir ce qu'avait un ordi défaillant. Le mari était allé sur un site dangereux et depuis, il était bloqué. L’ordi, pas le mari, bien sûr. On m’a demandé si je pouvais le réparer contre rémunération. Le jour où j’avais la possibilité de faire la réparation, le mari était au boulot et c’est la femme qui me reçut cet après-midi lâ. J'avais réussi l’opération et j'en faisais le nettoyage complet, j’ouvris même les sites cachés par le mari et sa femme qui me regardait travailler, voyant ce qu'il avait écrit et les commentaires des meufs avec qui il l’avait cocufiée, m'avait payé la somme convenue et, comme pourboire, elle avait pris mon pucelage. Ce fut sa vengeance! J'avais tout autant aimé le faire avec elle qu'avec ‘’tire jus’’. Tire jus chez qui je dus retourner pour une mise à jours de sa bécane et qui, en contrepartie, me vida les couilles et - ô surprise! - me fit même découvrir le plaisir prostatique, à l’aide de ses sex-toys. Hé oui, mon cul a apprécié! Au fil de mes interventions, aux clients qui me plaisaient, je proposais un payement moins onéreux si le pourboire se faisait en nature. Beaucoup furent surpris… au début! Le nombre de pannes réelles diminua et les fictives se multiplièrent. Pour finir, je fis honneur à l’héritage de mes parents: j'étais devenu le vrai et parfait fils de putes. J'étais bi - recto verso avec les mecs – et je gagnais du blé en baisant. Je pus enfin acheter l'ordi dernier cri dont je rêvais… Ce fut mon cadeau à moi-même pour mes 18 ans. Et commençais ma carrière de hacker. J'avais ouvert au bureau de tabac un compte en ligne, j'avais hacké un organisme d'état en passant les pares feu les doigts dans le nez et mon compte gonflait très vite. Au bout de quelques semaines je m'en pris à un autre. À 18 ans et demi, j'avais déjà six comptes avec plein de zéros dessus. Et à 18 ans et huit mois… Je me retrouvais devant le juge des enfants parce que je m'étais fait bêtement gauler pour avoir trafiqué, via le site de l’éducation nationale, plusieurs bulletins scolaires. Ceci contre des prestations en nature de mes potes, bien évidemment. Le juge demanda une expertise psychiatrique pour moi et le rapport des experts fut loin d'être tendre à mon égard. Pour eux j'étais amoral, voir machiavélique et apathique, émotionnellement parlant. J'avais aussi eu droit à un encéphalogramme. C'est là que les spécialistes se sont rendus compte que j'utilisais près de 50% de mon cerveau alors que la norme de l'époque disait que l'on n'en utilisait pas plus de 10%. Il laissa le choix à ma mère. Soit, je restais jusqu'à mes 21 ans dans un centre éducatif fermé mais compte tenu de mon niveau intellectuel, il doutait que ça me serve à quelque chose, soit dans un pensionnat militaire où certains cas comme le mien pouvaient s'épanouir dans cet encadrement mais sous haute surveillance. C'est ce que ma mère choisit pour moi. Je la remercie encore de ce choix. Après quelques jours d'adaptation et quelques bastons, pour remettre en place ceux qui avaient des vues gratuites sur mon cul, je m'y suis senti comme un poisson dans l’eau. Il y avait là tout ce dont j'avais besoin : du sport intensif 3 heures par jour, des manœuvres en extérieur pour mettre en application les cours de tactiques militaires qu'on étudiait, de la baston encadrée, avec les techniques de combat qu'on nous enseignait et… du cul, du cul! Parce que tout un tas d'ados entre 18 et 21 ans, enfermés H/24 dans un même lieu, ça dégage des mètres cubes de testostérones, d'hormones en ébullition et de phéromones. Lors de mon ''admission'' dans cette école militaire, on m'a fait passer tout un tas de QCM de plus en plus difficiles. Je m'en étais sorti haut la main. J'avais une culture générale exhaustive, je parlais à présent plusieurs langues couramment. Et la facilité avec laquelle j'avais appris le latin, le grec ancien et à déchiffrer les hiéroglyphes et autres écritures oubliées, en surprit plus d’un. C'est en lisant ''l'art de la guerre'' de Sun Tzu que je me suis intéressé à la stratégie et à la tactique militaire. Je me mis à étudier les grandes batailles des généraux les plus célèbres depuis l'antiquité jusqu'à nos jours. C'était le pied total. Mais ce n'est qu'après avoir lu ''le prince'' de Machiavel que mon esprit s’éclaira. Je mis en pratique mes récentes acquisitions intellectuelles posant un pion par ci, un autre par là et en quelques semaines je devenais le caïd du pensionnat, sans que la hiérarchie ne s'en rende compte. Quand, la veille de mes 21 ans, on me proposa de sortir, comme beaucoup le faisaient, je les surpris en refusant, prétextant vouloir finir mon année et ma formation. J'étais trop bien là. J'avais tout ce qu'il me fallait et surtout du cul. Même les hétéros les plus virulents avaient un jour tâté de ma queue. Je ne les avais pas forcés. Ce n'était pas mon genre. C'est eux qui étaient venus me voir, soit pour avoir un privilège, soit pour pouvoir se venger d'un autre sans risque de représailles. Tous connaissaient le tarif. Il n'y a qu'Arnaud qui venait me voir sans rien vouloir en contrepartie. Mais avec Arnaud, c'était différent. Avec lui je ne baisais pas, on faisait l’amour. C'est son père qui l'avait mis là, quand il l'avait surpris en train de baiser avec son pote chez lui. Pour le dresser et lui faire passer ses mauvaises habitudes, avait-il dit. La première fois qu'il était venu me voir c'était pour que j'aille parler à certains gars qui s'en prenaient à lui. Ce qu'il m'avait dit, sur le coup, m'avait beaucoup fait rire.
Ses yeux m’ont regardé avec gourmandise, alors qu’il approchait déjà ses mains de ma braguette tout en me répondant:
Oh!Mais c'est vrai, j'ai oublié de vous parler de moi. Je m'appelle Tomaso ou Tom le plus souvent. À cette époque j'avais 18 ans. Maintenant j'en ai 25. Je suis blond, les yeux bleus. Je mesure 1,85 m pour 80 kg de muscles. Pour l'instant ça vous suffit, ça ne sert à rien de vous faire plus envie. Bref! Arnaud ne fut plus jamais maltraité, malgré le nombre de mecs qui lui sont passés dessus après. C’était même devenu une espèce de mascotte et gare à qui voulait s’en prendre à lui. L'année est bientôt finie. Il ne reste que quatre mois avant que je m'en aille. Certains préparent ma succession. Mais les postulants ne me plaisent pas. Aussi, en douce, je me débrouille pour les éradiquer de la succession par des manœuvres dignes du fils de putes que je suis. J'ai juste le temps de finir et d’installer mon dauphin avant de partir. Quand je passe la porte, ma mère est là, à m'attendre avec un taxi. On s'embrasse et le taxi démarre. C'est en silence qu'on fait le voyage. Le chauffeur de taxi essaye bien de nous faire la conversation mais devant notre mutisme, il finit par se taire. Il s'arrête dans un quartier que je ne connais pas. Ma mère descend et je la suis, en prenant mon sac. Elle se tourne vers moi.
L'appartement est sympa. Une grande pièce à vivre avec une cuisine ouverte et deux chambres, avec chacune sa salle de bain.
Au fond du couloir une autre porte donne sur des escaliers qui descendent au salon. Ça sent l'encens et les huiles essentielles lorsque j'ouvre la porte.
Une fois dans l’appartement.
Tout au long du repas elle me parle de ce qu'elle a fait pendant ces trois ans. Je lui parle de ma vie au pensionnat militaire. Certaines anecdotes la font sourire, d'autres rire. La première nuit, dans ma chambre je n'arrive pas à dormir. C'est trop calme. Il n'y a pas les bruits qui me sont familiers: des lits qui grincent alors que leurs propriétaires se branlent, la toux des uns ou des autres ou les ronflements léger de Charles qui occupait le lit voisin. Du coup, j'enfile mes affaires de sport à l’aube et je pars courir dans ce quartier que je ne connais pas. Au bout d'une heure je rentre. Ma mère vient de se lever.
Quand je reviens, j'ai juste enfilé un pantalon de jogging à même la peau et un tee-shirt. Je me fais un café que je bois tout en discutant avec ma mère qui me demande ce que je vais faire de ma journée. Une fois de plus elle me demande si je veux de l’argent. Je lui dis que j'ai quelques centaines d'euros d'avance. Mais, surtout, j'espère que mes six comptes n'auront pas été bloqués. J’ai, si mes souvenirs sont bons, juste après avoir désactivé les systèmes de l’arnaque, entre 15 et 20 000 euros sur chacun d’eux. Pour les garder en mouvement, j'avais planifié des virements, des uns aux autres. Bon, direction le cybercafé. Dans ma boite il y a les codes d'accès aux six et leurs cartes de retrait. Au cybercafé: Merde, elles sont toutes périmées! Mais mes comptes sont toujours actifs, c’est déjà bien. Tiens, c'est quoi ce septième papier ? Ah oui! C'est le compte que j'avais fait juste avant de me faire coincer et que je n'ai pas eu le temps de clôturer. Ma petite magouille doit toujours être active, une chance que personne ne l’aie découverte! Je me connecte au compte et là, c'est LE choc. Dessus il y a plus d'un million d’euros. Je sors un disque dur de ma boite, je repirate le site et je vais supprimer le programme que j'y avais inséré. Bon, il n’y a plus moyen de remonter jusqu’au numéro du compte. La prochaine étape est de me refaire des cartes valides. Je retourne dans mon ancien quartier - que je reconnais avec peine. Une fois les cartes en poche, je rentre. En route je croise plusieurs magasins sympas où je reviendrai demain. Je m’arrête devant la vitrine d’un magasin de téléphonie. J'entre mais faute d'attestation de résidence, on me refuse un abonnement. Je reviendrai demain, avec ma mère. La première semaine, je vais la passer en formalités et courses de tous genres. D'abord, la mairie pour me faire faire des papiers d’identité, avec ma mère. De là on passe acheter un téléphone et un abonnement. Pour plus de simplicité on le prend au nom de ma mère et je fournis un RIB où être prélevé mensuellement. De là, comme on passe devant une auto-école je m'y inscris pour le permis voiture et le permis moto. Puis, comme il est bientôt 11 heures, ma mère m'abandonne pour aller ouvrir l’institut. Il paraît qu'il y aura foule cet après-midi. J'y suis attendu pour 13 heures afin que ma mère me présente aux quatre employées présentes et après on ira manger au resto avec ma mère. Et cette après-midi, ça sera shopping fringues pour moi. Parce que j'avoue qu'au bout de seulement deux jours, je commence déjà à être à court. A 13 h précise, j'entre à l'institut et je fais la connaissance des filles. Adèle et Gina mais aussi Laurette et Lamia (une très belle beurette). Les filles sont sympas et c’est presque en chœur qu’elles me proposent toutes un massage gratuit… que je n'aurai jamais. Ma mère intervenant aussitôt!
De là on va dans un petit restaurant du quartier et c'est là, tout juste assis, que ma mère me demande cash:
C'est à ce moment que je lui balance mes petites magouilles d'avant le pensionnat militaire… mais je me garde bien de lui parler du dernier compte. Elle a déjà suffisamment d’informations à digérer pour le moment ! 18 RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 08-04-2025 Oooh! Un beau mec bien foutu et surdoué, intelligent et machiavélique, cultivé, rompu aux techniques de combat et autres formes de corps-à-corps, c'est séduisant à tous les niveaux de perception ^^ Tom est de la graine de génie (du mal) qui fait un parfait 'villain' de franchise Marvel ![]() Je m'installe avec mon seau de pop-corn et quelques litres d'ice tea green... RE: Le fils de putes - bech - 08-04-2025 La petite intro en italique fait penser à un roman de science fiction. La suite est plus classique. On apprend comment s'est déroulée l'enfance de Tomaso, ses dons, ses méthodes pour gagner de l'argent ... Finalement, lorsqu'il sort du pensionnat militaire, il est riche et sa mère veuve a pu commencer à financer une maison qui est aussi son lieu de travail. Attendons la suite. Pour la publication le lundi, j'en avais tenu compte lorsque j'ai choisi de publier dans cette rubrique Le monde de Cylian les mercredi et samedi. C'est dans la rubrique gay que je publie les lundi et jeudi les récits de Valdomar. Donc, on ne se fera pas de concurrence pour la place en tête de liste d'une rubrique lorsqu'on publie un nouveau chapitre. Pour ma part, si sur un site je trouve les caractères trop petits, je zoome et le navigateur enregistre les réglage pour les fois suivantes. Du coup, les caractères nettement plus gros pour un récits particulier peuvent me gêner. Là, j'ai préféré copier coller ton texte dans un éditeur de textes pour le lire. RE: Le fils de putes - emmanolife - 09-04-2025 Chouette, un nouveau récit de gaetanbg ! Son nouveau héros n'a pas l'air trop sentimental ni étouffé par les scrupules moraux, on a hâte de voir dans quelle direction il va voguer. RE: Le fils de putes - stuka132 - 09-04-2025 bon je m installe.... a lundi !!! merci encore RE: Le fils de putes - gaetanbg - 14-04-2025 Dans l'après-midi, je fais chauffer à tour de rôle mes cartes de crédit. Je m'achète toute une garde-robe allant de fringues classes à celles plus décontractées. J'ai déjà quatre sacs dans chaque main, quand je passe devant un magasin spécialisé ne vendant que des sous-vêtements. J'y entre. Le jeune vendeur me fait penser à Arnaud. J'en attrape une mi- molle. Tout souriant, il vient vers moi.
Il m'en présente tout un tas, de formes et de matières différentes.
J'en prends une quinzaine parmi ceux qui me plaisent et la première chose que je remarque en entrant dans la cabine, c'est une caméra camouflée, comme il y a chez ma mère. J'y pose un boxer dessus. Non mais, on va pas me mater à poil, sans contrepartie. Surtout si je ne sais pas qui va visionner l’enregistrement ! Je retire mes fringues et commence l’essayage, régulièrement le gars me demande s'ils me vont, s'il ne faut pas une taille plus petite ou plus grande… Justement, l’un des derniers que j’enfile, me serre un peu trop aux hanches et en me voyant dans le miroir, je me dis que le relief de ma bite est plus que visible, limite obscène! Ma mi molle est instantanément de retour et je suis obligé de la mettre sur le côté pour être à l’aise. Dans la même seconde, le fils de putes que je suis veut s’amuser de la situation. J’appelle le vendeur en lui disant que l’un des shortys est trop petit d’une taille. Ce qui était prévisible, il me demande: quel en est le modèle? J’ouvre aussitôt le rideau en grand et lui réponds, innocemment: Celui- ci. Regarde, il me serre la taille! Ce n’est pas ma taille que ses prunelles bleues fixent, alors que je suis planté face à lui. Quelques longues secondes plus tard, il sursaute en m’entendant dire: Le même mais en XL, je pense que ce sera bon! Et je referme le rideau. Je me marre intérieurement, en pensant à sa tête lorsqu’il a bloqué sur mon service trois pièces. J’ai cru qu’il allait avoir un malaise! Il est de nouveau derrière le rideau et bredouille qu’il a trouvé un XL. J’entrouvre suffisamment le tissu afin qu’il puisse voir que je suis nu, cette fois. Je lui prends le shorty des mains et lui rends l’autre puis relâche le rideau. Là, il a carrément viré au rouge. Je sors 10 minutes plus tard, rhabillé, et je lui en prends une bonne douzaine. Il m'en offre trois supplémentaires, choisis par lui. C’est avec une carte de fidélité en poche et son plus beau sourire en prime qu’il m’accompagne à la porte qu’il vient m’ouvrir. C’est son «Au revoir! J’espère te revoir bientôt.» qui me fait sourire en franchissant le seuil. Il en a oublié son vouvoiement commercial. Je ne suis qu'à quelques pas de la maison, quand deux gars essaient de me piquer mes sacs. Voyant que je résiste ils sortent chacun un couteau et me menacent avec. Le premier prend un tel coup de pied dans les couilles que ça le sèche sur place tandis que le second veut m'attaquer sur le flanc. Lui se retrouve vite avec l'épaule déboîtée et à droit à aussi à son coup de pied dans les couilles. Je les fouille et je pique leurs portefeuilles. Ensuite je récupère les couteaux. Les flics arrivent et les embarquent. Plusieurs personnes témoignent en ma faveur. De toute façon, la caméra de l'institut a tout filmé, si nécessaire. Mais je ne m’inquiète pas trop, selon l’officier qui a pris mes coordonnées, ces deux clowns sont bien connus des autorités. Demain je dois aller déposer plainte. Ça m'a fait de la peine, de devoir les frapper. Ils étaient plutôt beaux gosses et ce n’est pas comme ça que j'aurai voulu les rencontrer. Ça fait trois jours que je n’ai pas baisé et ça commence à me manquer. Au pensionnat, je baisais au minimum une fois par jour, sans compter les pipes occasionnelles faites par des gars qui avaient besoin que je leur rende service. Ma mère est sortie voir ce qu’il se passait ,en entendant les sirènes loin d'être catastrophée par ce qu'il vient de se passer, puisque je n’ai pas une seule égratignure. Il paraît que ça arrive de temps en temps, ce genre de vol à la tire avec des gens qui ne font que passer dans le quartier. Bon, demain il faut que j'aille m'inscrire au MMA fight-club que j'ai vu en haut de la rue. Après j'irai acheter ce qu'il me faut en tenues de sport. La première chose que ma mère fait, quand elle remonte après avoir fermé l'institut, c'est d'inspecter les fringues que j'ai acheté. Elle sourit quand elle voit les boxers et a l’œil pétillant, en découvrant les trois que j’ai reçu… Ce sont les plus sexy. Enfin, on passe à table.
Ma mère me laisse, ce soir elle a un rendez-vous. Je zappe un peu et je vais me coucher. Je m'inscris sur 2 ou 3 sites de rencontre. Mais comme je n'ai pas de photos ça ne marche pas… Je suis con, j'installe l'appli sur mon téléphone, je prends quelques photos de moi plus ou moins habillé et c'est parti. Tout un tas de vieux me proposent du fric et ceux que je contacte me prennent pour un fake. Ça promet. Au bout d'un moment j'en ai marre, je me trouve un film de boules pour me branler. J'en ai choisi un bi, pour bien me stimuler. Le lendemain, je croise ma mère. Elle rentre de son rendez-vous. Je pars courir mais cette fois, en partant de l'autre côté. Ça me permet de trouver un magasin de sport sympa. J'y viendrai tout à l’heure. Je découvre aussi un chouette parc. J'en fais le tour en courant et croise quelques joggeurs matinaux. Rien de bandant mais à surveiller le week-end on ne sait jamais. Il faut aussi que je me trouve une salle de sport parce que le resto tous les jours avec ma mère, ça ne va pas le faire. Et moi, qu'est-ce-que je fais dès que je rentre après avoir pris la douche ? Je me tape un bon gros petit-déjeuner ! Je m'habille et je file au poste de police. Le planton de l'accueil me demande ce que je veux et on me conduit dans un bureau. Un gars entre.
Ça m'a pris une heure cette connerie. Bon allez, le club de fight. Il est où déjà ? Je galère un peu pour le retrouver. Je pousse la porte et j'entre, en me dirigeant vers le comptoir d’accueil. Personne mais ça parle dans la pièce à côté.
D’un bloc, ils se tournent tous les trois vers moi. Une fois la surprise passée les lascars d'hier se mettent en garde. Le gars qui discutait avec eux s’interpose, avant de m’adresser la parole.
Direction le magasin de sport. J’entre. Y'a un gars perché sur un escabeau qui range des boites en hauteur. Sûr que c’est un sportif, rien qu’en voyant son gabarit. Son survêtement est un peu descendu et montre une partie de ses fesses. Je m’en demande même si il porte un sous-vêtement. Son tee-shirt remonte, à chacun de ses mouvements et, ma fois, la vue n'est pas déplaisante. Sans se retourner il me dit:
Je fouine sur un portant, voir si quelque chose me plaît. Mais bon, c'est pas top.
Pour faire simple je me suis foutu à poil dans la cabine. Je la passe. Ça me serre et ça me compresse le matériel. Je le lui dis. J'en essaie deux autres et c'est pas beaucoup mieux.
Je vous passe tous les essayages que j'ai fait mais j'ai juste le temps de poser les affaires que je viens d'acheter à la maison et aller rejoindre ma mère au bistrot où elle m'attend, au bar, en buvant un verre.
Je bois mon verre et on passe à table. Ma mère est déjà au courant que je n'ai pas déposé plainte – ça je lui avais dit -, que je suis passé m’inscrire au club de fight et que j'ai passé un grand moment au magasin de sport d'où je suis sorti avec de nombreux sacs… Où elle est impatiente de mettre son nez, évidemment!
Quand on arrive à destination la limousine du monsieur nous attend. Ce n'est que le soir pour le dîner qu'on rencontre nos hôtes pris par une réunion imprévue toute la journée. La meuf est plus que baisable alors dès le premier soir je lui sors le grand jeu. Et ça lui plaît. Et comme je suis en manque et en grande forme, elle a droit à des tours «gratuits». C'est comme ça que j'ai fait mes premiers pas dans le métier. Comme prévu, le soir on doit aller dans un restaurant classe et que «je n'ai rien à me mettre!» selon elle, on fait les boutiques et j'en ressors avec plein de cadeaux à chaque fois. Surtout, après que je lui ai mis une belle ramonée dans la cabine, entre deux essayages. Elle m'avouera plus tard que c'était l’un de ses plus gros fantasmes: les endroits insolites avec le risque d’être découverts. Et pour me remercier de l'avoir assouvie, juste avant de repartir, elle m'offre une boite, à n'ouvrir que dans le train, après le départ. C'est une montre, vous savez celles qui ont une petite couronne comme logo. Quand elle l'a vue ma mère a juste dit ''la vache, elle ne s'est pas foutue de ta gueule! '' et elle a replongé son nez dans un magazine de mode.
Grâce, un peu à ma mère et au bouche à oreille, le nombre de mes clientes augmente régulièrement. Et comme je suis nourri, blanchi et logé, c'est de l’argent de poche que je gagne. Le gars qui a formé ma mère m'accepte comme stagiaire non rémunéré pour un trimestre maximum. Très vite j'apprends les bases des différents types de massages. La plupart du temps c'est sur des hommes que je m’entraîne, la clientèle féminine est plutôt réservée aux deux filles du personnel. Mais hommes ou femmes, qu'est-ce que ça peut faire, un corps est un corps. Pas vrai ? Ce sont surtout des quadras ou des quinquagénaires qui viennent et même des plus vieux. Souvent, ils bandent et Francis est moins regardant que ma mère, pour un petit billet de plus il le leur fait passer. Il m'a laissé libre de le faire ou pas. Un petit billet pour faire une branlette, ça ne se refuse pas. Au bout de deux mois et demi, il me dit qu'il n'a plus rien à m’apprendre. Il me faut encore un mois en travaillant ma mère au corps tous les jours pour qu'on accroche ma photo avec celles des filles. Et comme, du coup, j’ai beaucoup de temps libre, j'arrive très vite à avoir mon code puis mon permis de voiture et celui de moto. 36 RE: Le fils de putes - bech - 14-04-2025 Hé bien, je sais pas combien il en a acheté de jeans pour inciter les voleurs à les récupérer. Moi, en principe, je les achète par 2. Peut-être que ses agresseurs deviendront ensuite des relations. Il a l'air de bien se débrouiller Tomaso quoique la mère aussi, même si elle a un institut de massage, elle a d'autres solutions pour arrondir ses fins de mois. RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 17-04-2025 Je n'ai jamais porté de coquille, mais comme pour les boxers, je n'imaginais pas qu'on les essaie à même la peau ^^ Après, c'est un bon moyen pour tester l'intérêt du vendeur, c'est p-ê moins évident dans les magasins de sport, mais dans ceux de fringues, c'est rare de tomber sur des vendeurs full hétéro, et comme Tom est un bouchon qui va sur tous les goulots... ![]() RE: Le fils de putes - gaetanbg - 22-04-2025 Tout doucement je me fais une clientèle . J'ai presque autant d'hommes que de femmes. Mais chez ma mère pas de petits billets supplémentaires pour une petite branlette… et c’est dommage car beaucoup de serviettes se soulèvent seules, alors que je pétris les chairs masculines. Certaines clientes doivent aussi être émoustillées par ma pratique, puisque les pointes de leurs tétons trahissent leurs émotions. Je viens d'en finir avec une cliente quand elle me demande à brûle-pourpoint:
Le soir même j'en parle à ma mère… qui est récalcitrante. Elle se voit mal envoyer les filles à droite ou à gauche en charriant la table de massage d'une main et une sacoche contenant les huiles de massage et huiles essentielles de l’autre. À force d'insister elle me donne son accord pour que j’en fasse l’essai… qui a fort bien marché. Depuis, je lui ai créé un site web où on paye en ligne les prestations que l'on demande, les affaires se portent au mieux et pour m'avoir il faut maintenant compter une semaine d’attente. Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un nouveau client. C'est un mec la mi- cinquantaine. Je monte mon matériel tout en lui demandant quel type de massage il veut et avec quelles huiles essentielles il préfère se faire masser. Je lui explique les différentes variantes possible, selon le choix de massage qu’il a payé. Il me demande quelle tenue mettre pour se faire masser.
Nu, il s'installe, le ventre sur la table de massage et je commence mon office. Pour un mec dans la cinquantaine il a de beaux restes. Il semble aimer ce que je lui fais, ses muscles se relâchent complètement. Quand j'en ai fini avec son dos il se retourne… et sa queue est au beau fixe. À la fin de ma prestation, il me propose un billet de 50 euros pour que je le «finisse». Pendant que je remballe mon matériel:
… Dany c'est mon nom pour le boulot, les clients ne savent pas que, mère et patronne, ne sont qu’une seule et même personne. Et là, je lui sors une fable à faire pleurer les pierres. Mes parents et ma sœur tués dans un accident de voiture à cause d'un camion, moi placé en orphelinats ou des maisons d'accueil … et l'argent ce sont les assurances et les sommes versées par la société de transport pour les préjudices que j'ai eu. Je lui précise que je viens de les toucher puisqu’il fallait attendre mes 21 ans . …
14 h précises il est là. Il ouvre la porte d’entrée, il met en route le compteur électrique, me fait entrer et referme. Il ouvre une porte sur la droite au bas des escaliers. C'est le garage. Au fond du garage une autre porte qui donne sur une petite cour entourée de chaque côté par les murs aveugles des immeubles mitoyens et fermée d'un haut mur percé d'une porte qui donne sur la rue derrière. Il n'y a pas grand-chose à voir dans les étages si ce n'est deux grandes pièces vides avec deux fenêtres de chaque côté. Les combles sont hauts parce que même au bord du mur je peux me tenir droit.
Je vais vite à mon rendez-vous de 17 h et je me dépêche de rentrer. Ce soir, j'ai un autre rendez-vous ‘’ massage’’ mais cette fois, pris sur mon site d'escorte. C'est un jeune gay qui a 20 ans et ses amis lui offrent un ‘’spécial complet’’ prestation de deux heures. Depuis que je suis dans le métier, ça sera le premier mec à qui je vais offrir mes services sexuels, chouette, ce minet va faire remonter en moi de bons souvenirs. J'ai échangé plusieurs mails avec l'organisateur, pour mieux connaître le garçon. Au fil des échanges je me suis fait une petite idée de la personnalité de mon futur client. J'ai en tête tout un scénario qui devrait l'empêcher de dormir une bonne partie de la soirée. 21 heures, je sonne à sa porte. J'ai avec moi mes outils de massage. Il m'ouvre, surpris. Je lui tends l'enveloppe avec le petit mot que ses amis m'ont donné pour lui. Il le lit, devient rouge et finit par me fait entrer.
Au sortir de la douche il bande comme un âne et ses yeux n’ont pas quitté de vue mon sexe… qui n’est plus tout à fait au repos. C'est avec une serviette nouée autour de la taille que je le suis, quand on retourne au salon. J'installe la table de massage et je le fais s’y allonger, nu, sur le ventre. Ce garçon a un corps magnifique et complètement glabre. Je le masse avec plaisir. Le gars avec qui j'ai échangé des mails m'a parlé un peu de son copain. Il est plutôt passif, et s'il n'a pas souvent des aventures – un timide, paraît-il. Il se sert beaucoup de ses sex-toys. Alors quand j'en arrive à ses fesses je m'amuse à bien exciter son petit trou tout lisse… où j'ose plusieurs doigts, pour son plus grand plaisir. Et quand je lui demande de se retourner, il est rouge vif mais affiche un superbe sourire et je vois que mon massage lui a été profitable. Il y a une grosse tâche de sperme où était sa queue et son ventre ainsi que son gland sont poisseux. Après lui avoir massé le devant – ce qui l’a complètement revigoré - on va dans sa chambre où je lui fais l'amour deux fois, de toute ma science. C'est au moment où je devrais lui dire qu’il est temps pour moi de prendre congé que tout rougissant, il me demande gentiment si je veux passer la nuit avec lui. C'est lui qui me réveille en me taillant une pipe. Je le remercie en lui bouffant le cul et en lui faisant l'amour, avant de partir. La nuit et le petit coup du matin, ne sont pas prévus dans la prestation négociée mais il faut savoir se sacrifier, parfois. (N’est-ce pas?) Cet après-midi, je n'ai que le massage d'une cliente, devenue régulière, qui se limite à un massage tantrique de son sexe jusqu'à ce qu'elle jouisse. Eh oui, en cachette de ma mère, Adèle, a bien voulu me montrer tout ses petits secrets, me servant à la fois d'instructeur et de cobaye. En échange je lui mettais un bon coup de bite, discret, parce que son mec - qui est en prison depuis un an - est dangereux et très jaloux, cependant ne pas avoir du sexe en réel lui manque, même si sa collection de sex-toys ne chôme pas. Il ne faut pas croire que le reste du temps je ne fais rien. Tous les matins je cours, ensuite je vais faire une heure de muscu à la salle et deux soirs par semaine je vais au club de fight où je retrouve souvent les deux mini-loubards – on a sympathisé… mais de loin. Et pour me défouler je me suis inscrit dans un club de tir qui prête des armes. C'est là que j'ai rencontré Marc, un homme de 46 ans qui, deux jours par semaine, donne des cours d'utilisation d'armes blanches anciennes. Ça va de la lance en passant par l'arc ou l'épée mais aussi de la fronde, des bolas et bien d'autres encore. Là aussi, il me faut peu de temps pour que j’excelle. C'est au lancé de couteaux que je me suis surpris moi-même, avec la rapidité d’apprentissage d’atteindre la cible. Puis, c'est Benoît, un gars du quartier, un monte-en-l’air, travaillant dans les quartiers chics de la ville, qui en échange de la réparation de son ordi m'apprend à crocheter les serrures. Ça ne me servira jamais à rien mais bon c'est tout ce qu'il a pour me payer mon travail – faut dire que physiquement c’est vraiment pas ma came, sa gueule a plus de boutons que son clavier d'ordi. Je passe le week-end avec une dame BCBG dans un hôtel en Bretagne. Elle est moche, radine et à part le missionnaire, elle n'a aucune imagination. Quel gâchis! Le mardi, je revois le propriétaire de la maison. Je l'ai massé en étant nu, selon son souhait et je me suis beaucoup occupé de son petit trou - qui n'est plus aussi petit, après le massage. En plus du supplément négocié à la base, il me donne un très, très, très bon pourboire. Faut dire qu’il a joui deux fois et qu’il a kiffé que je sois épilé intégral. Puis, avant même de nous être rhabillé, il me montre les plans. Celui du loft est juste parfait. Sauf qu'en haut il y a quatre chambres de prévues.
Trois jours après, j'ai rendez-vous avec Armand ( le maître d'œuvre) à son bureau. J'y vais avec le plan qui m’intéresse, je lui dis les modifications que je veux faire dessus. Il prend beaucoup de notes et quand j'ai fini de parler c'est à son tour. On se met d'accord sur mes désidératas. Il fera la demande de permis de construire à ma place. Il me tiendra au courant par mail et si tout se passe bien on ne se reverra que pour la livraison du produit fini... 2 semaines après je signe chez le notaire. Je fais les virements et je reçois 3 jeux de clefs. J'en donne 2 à Armand et les travaux commencent la semaine suivante, à la surprise de tous. Une fois par semaine je reçois un fichier photo qui me montre l'avancée des travaux. Pour tout ce qui est huisserie, portes, serrures, je demande à Benoît lesquelles sont les plus sécures et dures à forcer. C'est, évidemment, celles que je fais installer. Trois mois plus tard, après avoir fait plusieurs fois le tour de la maison je signe un quitus à Armand. Il ne reste plus qu'à la meubler… Et à dire à ma mère que la maison m’appartient. Je fais ça un soir après la fermeture de l’institut. Elle le prend plutôt bien, même si je vois qu’elle semble dubitative quant à la façon dont je vais devoir rembourser cet achat. Bien sûr, il faut vite aller voir à quoi ça ressemble. On passe par derrière pour plus de discrétion. C'est le cas de le dire, on entre par la petite porte. Après avoir fait le tour elle trouve ça très bien. On rentre manger.
Et je lui déballe ma combine. Elle en bégaie tellement elle est en colère contre moi. Et dès que j'essaie de me défendre elle m'en remet une couche… Pour , au bout d’une Très looongue heure, finalement décréter que c'est de l'argent bien dépensé. C'est avec elle que je vais choisir tout ce qu'il faut pour la meubler. Là, pareil, par souci de discrétion, une fois mes achats faits, c'est Armand qui se charge de tout monter et installer.
Demain, j'ai 22 ans. Ma mère est partie depuis deux jours pour la semaine. Pour ne pas être seul, je sors en boite. C'est une soirée étudiante qui est prévue dans l’établissement. Quand je passe à la caisse le gars me demande ma carte d'étudiant et je lui fais mon regard de chien battu, en lui disant que je l'ai oubliée. Il me croit et me demande 10 euros d’entrée puis me tend un ticket qui me donne droit à une boisson. C'est bondé. Je vais danser un peu et je me rabats sur le bar qui n'en est pas moins peuplé que la piste de danse. Ça torche sec. Il y a déjà pas mal de viande saoule. D'où je suis je vois toute la salle et le bar. J'assiste à quelques échanges pas très clairs mais ça ne me regarde pas. Une main se pose sur mon épaule. C'est le petit minou que je suis allé masser pour son anniversaire - Simon. Il me fait la bise.
Ni l'un ni l'autre n’est venu en voiture. C'est à pied qu'on va chez lui. Dès qu'il y a un coin sombre on en profite pour se rouler des pelles, se tripoter et en traversant un parc il en profite même pour me tailler une pipe derrière un bosquet. Il stoppe juste avant que j'éjacule, cet enfoiré. J'ai beau râler, le supplier rien n'y fait. Il veut que je me réserve pour ses fesses. Pff!
On arrive, on entre dans l'ascenseur et entre deux étages, il le stoppe. Son regard devient lubrique. Il me pousse contre la paroi du fond, s'agenouille devant moi en ouvrant mon jean et en baissant mon pantalon et mon boxer. Heureusement que j'ai débandé entre-temps, sinon il m'arrachait la queue.
Il m'avale en me caressant les fesses. Je bande comme un âne en quelques secondes. Il en a les larmes aux yeux quand il m'avale en gorge profonde. Et quand je suis bien dur et bien chaud il se relève, baisse son pantalon et son boxer, m'enfile une capote, prend place, face au miroir, en cambrant bien ses fesses, et me dit :
Je fais comme il dit. Ses sphincters cèdent sous ma poussée et ma queue s'enfonce d’une traite, sans problème, entre ses fesses. Quand mon pubis les touche je me mets à pomper en lui à grands coups de reins, si puissants qu'il est collé contre la paroi. Il arrange sa queue. Au bout de 5 minutes j'ai déjà envie de gicler. Je commence à ralentir mais il me dit de continuer le rythme rapide, qu'il va jouir. Quelques secondes après, son cul se contracte sur ma queue, il gémit de plus en plus fort et je sens son point de non-retour atteint. Il tremble de la tête aux pieds et son anus spasme sur ma bite. Je n'en peux plus et je lâche mon sperme dans la capote, enfoncé bien au fond de son cul. Je me retire, il se retourne et me roule une pelle magistrale. On se rhabille et il remet l'ascenseur en route. Une fois chez lui, il est redevenu le petit garçon timide de la première fois. Il m'offre un coca, on discute un peu et il me propose une douche. On s'y caresse, on se lave, on se suce et de là on va à la chambre où on fait tendrement l’amour. On vient de jouir quand la porte de la chambre s'ouvre sur trois mecs - dont son colocataire, qui prend la parole.
Son pote referme la porte. On se câline le temps que nos queues reprennent de la vigueur. De l'autre côté de la cloison ça baise, sans nul doute. Enfin ça commence. Par moment on entend des bribes de conversation. ''oui continue, avale bien ma queue, putain, c'est trop bon comme tu me bouffes le cul, oui enfonce bien ton doigt, oui vas-y continue'‘.
Quand on ouvre la porte il y en a deux qui se sucent et le troisième bouffe le cul de celui du dessus.
Un autre gars et moi on n'est qu’actif, les 2 autres sont versa. Il n'y a que Simon qui est passif et qui a eu droit à nos 4 queues. Les 2 versa ont eu droit à 3 parce qu'ils se sont pris l'un l'autre au cours de la soirée et vers la fin, alors que le jour se lève, il n'y a plus que moi qui aie la queue encore raide. C'est vrai qu'en tant que travailleur du sexe j'ai plein de combines pour faire jouir mes partenaires sans jouir moi-même. Simon me prend par la main et on retourne à sa chambre. Il s'allonge sur le lit, remonte ses jambes au niveau de sa tête et me demande de le prendre tant que je n'aurai pas joui. Il a le temps de jouir 2 fois sans se toucher avant que je jouisse. On se fait un bisou et on s’endort. 52 RE: Le fils de putes - stuka132 - 22-04-2025 c est chaud c'est detaile sans etre vulgaire .. du Gaetan !! j adore! RE: Le fils de putes - gaetanbg - 28-04-2025 On se réveille presque au même moment. Simon me fait un grand sourire avant de se coller à moi en me faisant des petits bisous. On aurait bien continué mais l'envie de pisser qu'on a, autant lui que moi, est trop forte. On se lève et on traverse le salon nos queues bien droites nous précédant. Ça fait rire les gars qui sont en train de préparer le petit-déjeuner. On en profite pour prendre une douche et on rejoint les autres qui , comme nous , sont à poil.
Simon pique un fard. Loïc s'en rend compte.
La conversation dérive sur les fantasmes de chacun. Pour Antoine c'est d'avoir un harem de minets passifs et bien gaulé toujours prêts à le satisfaire, pour Loïc qui est un grand fan de mangas et de jeux vidéo c'est de trouver des gars avec qui baiser dans les tenues de leurs héros favoris. Pour Rémi c'est un peu pareil. Lui ça serait de faire des jeux de rôle style le grand frère qui forme son petit frère, ou maître esclave, avec un peu de SM soft.
Il passe sous la table et commence à nous branler et à nous sucer. À ma grande surprise Antoine va le rejoindre. La position n'étant pas confortable, à la longue, on se retrouve vite tous les cinq au lit où on remet le couvert. Antoine et Rémi sont en 69 et à quelques centimètres de ma bouche j'ai un cul qui s’agite. Loïc s'occupe de ma queue et Simon de la sienne.
Je lui fais ça tellement bien qu'il ne se rend compte que j'y ai enfilé un doigt que quand je me mets à jouer avec sa prostate.
Quand il jouit, Rémi n'arrive pas à tout avaler et il s'en prend un max aussi sur la tronche. Je retire mon doigt. Antoine demande à Rémi de se mettre à quatre pattes, lui bouffe le cul et y enfile un doigt.
J'enfile mon doigt dans le cul de Rémi, je trouve sa prostate.
Je les laisse à leurs affaires et j'enfile la capote que Loïc me tend et le pénètre. Il est déjà installé bien confortablement dans le cul de Simon. On jouit presque tous au même moment. On va tous prendre une douche et on se rhabille.
Il n'y a pas grand monde. On s'installe sur une table à l’écart. Ils parlent cours, ensemble. En particulier d'un prof qui leur pourrit la vie en leur donnant des sujets de partiel plus qu’ardus. Jusqu’à présent aucun étudiant n'a réussi à obtenir plus que la moyenne avec lui.
Ils m'attendent, dehors. J'ai pris aussi mon ordi. On rentre chez Simon et Loïc. J'allume mon ordi, je branche le disque dur et Simon me donne sa clef USB dont j'analyse le codage. Je demande aussi la sienne à Loïc. Et après mon investigation, je déclare:
Ils font ce que je leur demande et au bout de quelques minutes j'ai piraté toutes leurs photos, vidéos et leurs mots de passe. Sans qu’ils s’en doutent.
Antoine doit insister mais une heure après, son père est là avec les deux ordinateurs. Je lui explique vite fait ce qu'il se passe et il me demande s'il peut faire venir un de ses hommes – spécialiste qui y comprendra plus que lui dans ce que je raconte. J’accepte. Quand le second flic arrive je commence à lui expliquer le système intégré aux clés et comme on parle le même langage, ça va très vite. Je leur montre comment le prof s'y prend en utilisant les ordis de Rémi et d’Antoine.
Les gendarmes partent. Antoine et Rémi repartent avec eux. Loïc va bosser ses cours. Je vais avec Simon dans sa chambre. Lui aussi doit bosser.
Une ou deux fois par jour, je reçois un SMS de Simon sur mon numéro privé. J'ai déjà échangé quelques mails avec le gendarme et petit à petit, ensemble, on arrive à une solution qu'on teste la semaine suivante sur des ordis qu'ils ont récupérés lors d'une perquisition.
C'est Antoine qui trouve la solution. Le lundi ils sont dans une salle où derrière le bureau du prof il y a une salle plus petite qui sert à entreposer d’anciens matériels et où personne ne va jamais. De toute façon elle est fermée à clef et c’est le concierge qui la détient. C'est à la rentrée des vacances de Toussaint que les flics décident d’agir. Et c’est le lendemain, après avoir eu les éléments nécessaire à son inculpation, que je reçois une photo du flic: celle du prof avec les menottes, avec juste un mot ‘’Merci’’. C'est par les journaux mais aussi les indiscrétions d'Antoine et du flic, que j'ai des détails. En plus des nudes et autres vidéos à caractère sexuelle qu’il piquait à ses élèves… Ce ‘’gentil prof’’ donnait des cours de rattrapage, bénévolement à des ados de 13 à 18 ans et évidemment, leur fournissait les mêmes clés USB… avec les conséquences qu’il est facile d’imaginer! La crise est passée et par pur plaisir, de temps en temps, je retourne voir Simon. Une de mes clientes (de gigolo) me parle d'une de ses amies, «une originale!» selon ses termes, qui voudrait faire un plan à trois. Elle avec deux jeunes hommes. Elle est chargée de me sonder, afin de savoir si c’était envisageable de le faire par mon entremise. Je lui dis que son amie n'a qu'à me contacter via mon site et qu'on pourra en discuter directement ensemble. C'est ce que son amie fait. Elle me dit ce qu'elle veut et de suite je pense à Simon. Il sera le parfait deuxième. Quand je passe lui en parler, il accepte de suite et on doit faire l'amour pour faire passer nos érections, tant l’anticipation de cette future baise nous a excité. oOOOo
Après nos prouesses acrobatiques avec cette furie et une pause bien nécessaire, au moment de la quitter, elle me tend l'enveloppe contenant notre salaire. Je la mets dans ma poche et ce n'est que quand on est sortis que je compte. Elle ne s'est pas foutue de notre gueule, en rajoutant le pourboire. Je donne sa part à Simon qui n'en revient pas.
oOOOo
Sautons quelques années - où j'ai profité de la vie et des plaisirs qu'elle donne. J'habite maintenant ma maison. J'ai repris des cours sur quelques lacunes que je voulais combler … Un soir, en rentrant chez moi, je sens une piqûre dans mon cou et… plus rien. Quand j'ouvre les yeux, je suis attaché, à poil, sur un lit médicalisé, avec des fils branchés de partout. Un homme en blouse blanche, me tourne le dos.
On entre dans son bureau où un autre mec nous attend assis dans un fauteuil.
C'est l'homme assis sur le fauteuil qui répond.
Merde, mais comment ils sont au courant de tout ça ?
Une heure après, bardé de fils de partout qui sont branchés à un gros ordinateur, je m'installe devant l’écran d’un portable.
Au début c'est trop facile puis… ça se corse de plus en plus. J'ai droit à, de la logique, des maths, de la physique, de la chimie, je zappe celui de botanique parce j'avoue que je n'y connais rien. Ça me prend quatre plombes. je termine juste au moment où un gars m'apporte le repas. Pendant tout ce temps, le vieux n’a fait que scruter des écrans et des diagrammes et jeter, de temps en temps, un œil sur moi.
Quand on reprend, j'ai droit à une visite médicale complète. Et quand je dis complète, c’est COMPLÈTE! c’est le check-up du siècle. C’est pendant 3 jours que je passe examen sur examen et tests après tests. Ça me donne l’impression d’être un astronaute en pleine préparation , lol! Puis pendant deux jours, plus rien. Le jour suivant c'est le général qui doit arriver. Au matin, un soldat m'a donné une tenue de sport en me disant de l’enfiler. Ça me change de la combinaison de travail que j’avais jusqu’ici. Toujours accompagné par deux soldats, j'arrive dans un hangar où plusieurs gars m’attendent, avec le général. Celui-ci me dit :
J'en prends pas mal mais j'en rends bien plus. Au bout de cinq gars je fais une pause, le temps de boire un coup. Et je recommence. Puis j'ai droit à une séance de tir où je fais un très bon score. Dans l'après-midi j'ai enfin droit de sortir en plein air pour courir autour d'un stade. C’est immense! Je dois être sur une base militaire. Mais où, ça j'en sais rien. Après les combats, le tir avec différentes armes, la course… Maintenant, on me pose sur le faîte du toit d'un hangar et c'est sur la poutre centrale que je dois traverser. Après j'ai droit à un filin tendu à 10 m de haut et je dois franchir l’espace, d’un bout à l’autre, sur une distance de 50 m … J’ai la chance de ne pas connaître le vertige. Puis c’est de l’escalade, de la natation,… et ça continue comme ça, trois jours durant. Ça commence à me saouler ces conneries, surtout que je n’ai toujours pas eu d’explication sur le pourquoi de ma présence. Au bout de deux semaines, on me conduit dans un bureau. Il y a le prof et le général. Ils me font asseoir. C'est le général qui commence à parler.
*** Je vais vous épargner les explications scientifique de ce vieux schnock, tellement il se la pète avec son charabia. En bref: Cet espèce de savant fou travaille depuis des lustres sur la téléportation, espérant pouvoir déplacer l’homme instantanément. Au bout d’une vingtaine d’ années, certains résultats furent concluant et l’état a tout de suite pris en charge ses travaux… En faisant des expériences avec des animaux, l'appareil avait ramené, en même temps que le rongeur, la coquille vide d'un animal n'existant pas sur terre. Ils ont ensuite essayé d'envoyer des machines robotisées qui, elles, ne sont jamais revenues… La machine ne semblait fonctionner qu’avec des organismes vivants. Puis le professeur s'est rendu compte qu'il y a des fenêtres opportunes qui facilitent le transfert dans des univers parallèles. Parce que, oui, le sujet n'est pas téléporté ailleurs sur terre ni même sur une autre planète mais dans un univers parallèle à la terre. Comment le sait-il? Parce qu’ils ont fini par y envoyer un homme… qui en est revenu fou et nu! Mais, le gars, dans ses délires, parle de ce qu'il a vu et vécu là-bas. Ils ont décidé de renvoyer un homme mais cette fois avec un esprit scientifique (qui se sert de 20% de son cerveau). Lui est revenu au bout des cinq jours impartis, conscient mais mourant et également nu. Il n'a pas eu de chance. La machine l'a envoyé dans un univers parallèle correspondant à notre jurassique. Il s'est caché la majeure partie du temps mais il s’est fait attaquer par une bête, juste avant d'être rappelé par la machine. Avant de succomber, il a réussi à leur dire qu'il y était arrivé nu. Tout ce qu'il avait emporté avec lui ayant disparu pendant le voyage… Ceci expliquant la nudité du premier gars à son retour et que nul robot ne soit revenu! Depuis, cela faisait plus de trois ans qu'ils recherchait le sujet parfait et c'est en consultant les dossiers de tous les lycées, via des algorithmes de recherches, qu'ils sont tombés sur le mien. Il y a maintenant plus de huit mois que je suis sous surveillance et qu’ils étudiaient ma vie au microscope, c'est comme ça qu'ils ont trouvé toutes mes petites magouilles et autres… spécificités, dirons-nous! Reprenons avec Charbon. ***
On fait une pause avec le prof et je suis le général dans son bureau. La discussion est âpre et difficile. Finalement on arrive à un accord. 25 000 euros par mois, un pourcentage sur les bénéfices dégagés à la suite des découvertes faites dans les mondes parallèles et commercialisées, ensuite, sur le nôtre et 10 millions versés à ma mère au cas où je ne reviendrai pas d'une mission. Et, cerise sur le gâteau, le tout exonéré d’impôts. Notre accord conclu, retour chez le professeur qui me parle de ce que je vais devoir apprendre en formation accélérée pendant les trois prochains mois. Ça va de: la taille de pierres pour fabriquer des armes rudimentaires, comment allumer un feu, comment survivre en pleine nature en mangeant des plantes ou en piégeant des animaux, comment fabriquer des explosifs basiques, comment me soigner grâce à certaines plantes ou herbes et bien d'autres choses du genre. Là encore, j'ai dû négocier pour pouvoir le faire sans devoir rester sur la base. De nuit, c'est avec un bracelet de géolocalisation à la cheville qu'un fourgon fermé me dépose devant chez moi. Ça fait un mois que je suis parti. Pour ma mère je m'étais mis au vert à la suite d’un gros scandale, m'étant fait choper par les flics mais comme ils n'avaient aucune preuve mais de fortes présomptions et qu'ils ne voulaient pas que je disparaisse dans la nature, j'avais été relâché à condition de porter un bracelet. Une autre condition à ma libération avait été que j’effectue des travaux d'intérêt généraux du lundi au samedi inclus. C'est l'excuse pour que je puisse être formé, là où j'ai des lacunes. Mais ce que je vais faire en premier c'est baiser. Parce que le régime branlette pendant un mois (enfin, presque, parce j'ai aussi été testé sexuellement, pour voir mes capacités) ça ne satisfait pas son homme, loin de là. Je vous passe la formation de jour et mes nuits de baises intensives pour rattraper le temps perdu, avec Simon ou des clientes plus qu'heureuses de mes prouesses. Enfin, l'explication que j'ai avec ma mère où je lui déballe la vérité… qu’elle assimile difficilement! Je sais à présent où est la base et je m'y pointe à moto, deux jours avant, comme on me l'a demandé. J'ai droit à un check up complet, en plus d’une flopée de conseils … Trois heures avant l'heure H, je vais au labo me préparer. Enfin «préparer» est un grand mot. Le prof, toujours aussi aimable, me demande de me foutre à poil. Ce vieux doit avoir un complexe parce qu'il me donne aussitôt une serviette pour cacher ma queue et il commence à me coller des électrodes sur tout le corps… C'est couvert de ces pastilles collantes que je vais m'asseoir sur un fauteuil métallique qui ressemble plus à une chaise électrique qu'à un moyen de transport inter dimensionnel. Avec célérité, le prof relie toutes les électrodes qu'il vient de poser sur moi à des fils qui, eux, sont reliés au gros ordinateur… Le compte à rebours commence. À zéro, c'est juste quelques picotements qui traversent mon corps. Tout d'un coup une douleur atroce vrille ma tête. Et puis plus rien… Quand je me réveille, j'ai un mal de tête monstrueux qui me fait gerber tout ce que j'ai dans l’estomac. Entre deux régurgitations, mon cerveau enregistre qu'il va bientôt faire jour, l’aube se lève. Je n'ai que la force de me dissimuler sous les buissons proches, avant de tomber dans les pommes… RE: Le fils de putes - fablelionsilencieux - 28-04-2025 ![]() RE: Le fils de putes - bech - 28-04-2025 Une histoire de science fiction ! On se doutait depuis le début que Tomaso est surdoué, mais chaque nouveau (long) chapitre de ce récit apporte des surprises. Et tu passes d'un sujet à l'autre très rapidement. RE: Le fils de putes - emmanolife - 29-04-2025 Il va maintenant pouvoir exporter ses nombreux talents au Jurassique ! Les dinosaures seront-ils sensibles à son charme ? RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 29-04-2025 L’évolution du scénario est plutôt abrupte ! 0.0 Quant aux options proposées par le général et le savant fou, quelques années de prison - pour détournement et crimes en col blanc ? – ou une expédition, suicidaire au mieux, qui en fera un légume au pire… Tommaso n’est pas bien plus doué en négociation salariale qu’en botanique ^^ Je ne capte pas trop le but de l’évaluation de ses capacités sexuelles, s’il se retrouve dans un univers principalement peuplé de grands reptiles, mais je manque parfois d’imagination. |