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Le fils de putes - Version imprimable

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Le fils de putes - gaetanbg - 07-04-2025

Bonsoir à tous , 
je me lance dans une nouvelle série de textes plus ou moins longs intitulée ''le fils de putes'' . ces textes comportent des scènes sexuelles hétéro , bi ou gay . Suite à la nouvelle charte de Slygame je vous prie d'excuser les quelques anachronismes du premier récit que j'ai réécrit à la va vite . 
pour ne pas perturber les autres auteurs , comme pour bébé je publierai le lundi 
Bonne lecture 


  Une fois de plus je me retrouve dans un coin que je ne connais pas et complètement à poil. J'ai de la chance. À quelques mètres près je me retrouvais au bas d'une falaise et c’en aurait été fini de moi. Cette putain de machine m'a encore rematérialisé au milieu de nulle part. Au-dessus de moi deux lunes brillent. Loin au fond de l'horizon un soleil commence à apparaître…


Comment ça, qu’est-ce que je raconte?


oOoOo

Je crois que si je veux que vous compreniez ce qu'il m’arrive, il va falloir que je commence par vous raconter ma vie, dès le début. Pour faire court, je suis un fils de putes dans tous les sens du terme.


Mon père et ma mère se sont rencontrés alors qu'elle n’avait que15 ans et lui 18. Ma mère faisait un CAP de coiffure et mon père (un bon à rien, d'après les parents de ma mère) vivait de petits boulots et de petits trafics. Son seul problème c'est qu'il passait pratiquement tout son pognon dans le shit. Ça a matché direct entre eux. Et, quelques semaines après leur rencontre, ma mère est tombée enceinte. Mes grands-parents voulaient qu'elle se fasse avorter mais comme elle n'a pas voulu, elle s'est retrouvée dans la chambre de bonnes qu’occupait mon père. Entre son maigre salaire d’apprentie, le peu d'argent que mon père rapportait à la maison, ça n'a pas été facile et, du jour où je suis né, ça l'a été encore moins.


Les seuls souvenirs que j'ai de mon père c'est les quelques photos rangées dans une boite que ma mère garde précieusement au fond d'un tiroir et j’avoue qu’il était assez beau, à l’époque. Ma mère bossant en journée, et ne pouvant pas faire confiance à mon père pour me garder, c'est une vielle veuve qui vivait un étage en dessous de chez nous qui me gardait. Et comme mes parents n'avaient pas d'argent elle se faisait payer ''en nature'' par mon père une fois par semaine.


S'étant rendu compte qu’avec ses coups de bite il pourrait gagner de l’argent facile sans trop forcer, mon père, qui était un vrai beau gosse, monnaya ses charmes. Et l'argent commença à rentrer. Mais plus l'argent rentrait, plus il achetait de la drogue. Et plus il en prenait moins il bandait. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, (si j’ose dire) il changea de clientèle et au lieu de sa queue, c'est sa bouche et son cul qu'il tarifa. Et ça marcha encore mieux qu'avec les femmes.


Je devais avoir presque 3 ans quand la veuve prit deux autres enfants en garde – six et huit ans - pour arrondir ses fins de mois. On allait les chercher à la sortie de l’école, on goûtait et elle leur faisait faire leurs devoirs. Pour que je ne les perturbe pas, la vieille me donnait une feuille et un crayon pour que je fasse aussi mes ‘’devoirs’’ comme les grands, comme ça, je lui foutais la paix. Et quelle ne fut pas sa surprise, quand, six mois plus tard, je me suis mis à écrire aussi bien que le gamin qui avait six ans. Ce qui la surprit encore plus c'est quelques semaines plus tard quand je me mis à réciter les tables de multiplication que le plus grand avait du mal à retenir et qu’elle lui faisait répéter inlassablement. La vieille étant une ancienne institutrice… Chassez le naturel et il revient au galop.


Du coup, au lieu de jouer en journée comme je le faisais jusqu'à présent, j'avais droit à des cours particuliers tout le jour. Elle me gava si bien de son savoir qu'à 6 ans, quand il a fallu que je rentre à l’école, je savais lire, écrire, compter,
que plus aucune règle de grammaire ne m'échappait exceptions comprises et je conjuguais tous les verbes réguliers et irréguliers sans aucune erreur. Les dates de l'histoire de France, la géographie française, européenne et même mondiale n'avaient (quasi) plus aucun secret pour moi.


Le directeur de l'école convoqua mes parents, au vu de la situation et, pour une fois, mon père était plutôt lucide. Et c'est ainsi, que ''le singe savant'' comme il m'avait appelé, se retrouva en pension dans un institut pour élèves surdoués. C'est plus ou moins à cette époque que ma mère changea de vocation. La patronne où elle avait fini son apprentissage ne la garda pas. Mon père maintenant tapait dans les drogues dures et tout l'argent de ses passes y passait !


Comment ma mère en est venue à se prostituer également ?


Elle ne me l'a jamais trop expliqué. Je savais que pour faire rentrer de l'argent elle allait coiffer les gens à domicile et, j’appris plus tard, qu’un jour un client lui a proposé un gros pourboire contre une gâterie… Il faut dire que depuis bien longtemps mon père ne la touchait plus. Et l’appât du gain associé au manque de plaisir charnel… Bref !


Elle se créa ainsi une clientèle par le bouche à oreille. Elle prit également des cours de massages pour se diversifier et, ma mère étant une très belle fille, son petit commerce devint de plus en plus lucratif. Si bien qu'elle se désintéressa de la coiffure.


Dans mon institut de singes savants, j’apprenais, j'apprenais sans cesse, une véritable éponge et j'étais devenu un as de l’informatique.


Les vacances étaient moins studieuses, je les passais dans la rue à faire le con dans le quartier. C'est souvent que je rentrais à la maison avec un œil au beurre noir ou mes habits en piteux état, parce que je m'étais bagarré.


J'avais un peu plus de 12 ans quand, une après-midi, ma mère est venue me récupérer au pensionnat. On avait retrouvé, dans un squat, mon père mort d'une overdose. La cérémonie a été rapide. Après la crémation on a vidé ses cendres au pied d'un arbre et pour toute oraison funèbre il a eu droit de la part de ma mère à ''un emmerdement de moins à gérer''. Puis elle m'a reconduit au pensionnat.


Un médecin me diagnostiqua hyperactif et suggéra que je me trouve une occupation qui permette de me dépenser. Du coup pour me ''calmer'' je me mis au sport. Je courais, je faisais du karaté, du kendo, de la muscu et tout un tas d'autres sports. Et, là aussi, je finis par y exceller. Mais je n'étais jamais calmé longtemps.


C'est un légionnaire en retraite, client régulier de ma mère, qui me prit en main les week-ends et les vacances. Il avait la cinquantaine et 30 ans de légion derrière lui dont 15 ans comme instructeur en close combat, avec ou sans arme. C'est avec lui que j'ai été initié au tir au pistolet et au fusil avant l'âge de 13 ans. C'est grâce à lui qu'à l’âge de15 ans je ne craignais plus d'affronter un mec, bien plus grand et bien plus fort que moi, qu'il soit armé ou non.


Me sachant un crac en informatique, plusieurs gars du quartier venaient me voir quand leur ordi merdait et me glissaient la pièce pour mon travail. Petit à petit, mon ‘’compte en banque’’ grossissait. Je voulais m'acheter un ordi pour la maison. On n'avait pas internet mais nos voisins l'avaient et comme c'est moi qui avait installé leurs ordis… je connaissais leurs codes wifi.


Depuis mes 13 ans, la branlette n'avait plus aucun secret pour moi. J'avais même comparé avec quelques potes sous les douches du dortoir pour savoir qui avait la plus grosse . Mais d'être encore puceau à 15 ans, ça me foutait les boules.


Le soir, au dortoir, impossible de se connecter pour mater un film de boule et s'en taper une– restriction du réseau. Aussi, en journée, je téléchargeais en catimini tout un tas de films pornos que je stockais sur des clefs USB… que je louais à mes potes.


Il a fallu que j'ai 18 pour ne plus l'être . Un vendredi soir, alors que je rentrais à la maison pour le week-end, je fus accosté par un gars du quartier. Si moi on me surnommait ''le fils de putes'‘, lui c'était ''tire jus'‘. Il avait ramassé une saloperie dans son ordi et il voulait que j'y jette un œil. Ma mère bossant à la maison, j'avais deux heures à lui consacrer. Ce n’était pas une saloperie qu'il avait ramassée mais tout un tas!
Au bout d'une heure son ordi refonctionnait impeccablement.

  • Combien je te dois ?
  • Combien peux-tu me donner ?
  • Bin! En ce moment je ne suis pas trop en fonds. Tu t'es occupé de mon ordi une heure, si tu veux, je m'occupe de toi une heure aussi.
  • Tu veux dire quoi, par-là ?
  • Je te donne du plaisir pendant une heure. Beaucoup de plaisir. Ça te va ?


Et pendant une heure il me montra tout son savoir-faire. Il m'a fait jouir deux fois avec sa bouche et une fois, avec son cul. Entre mecs au pensionnat, on disait toujours, qu'il ne fallait pas mourir bête et qu'il fallait essayer au moins une fois avec un mec. Pour un premier essai je trouve que le mien était validé et même transformé. Il ne me restait plus qu'à le faire avec une meuf pour voir à quoi ça ressemblait et surtout pour perdre complètement mon statut de puceau. Ce qui arriva un mois plus tard.


Cela s’est passé chez un couple dans la trentaine. Toujours pour voir ce qu'avait un ordi défaillant. Le mari était allé sur un site dangereux et depuis, il était bloqué. L’ordi, pas le mari, bien sûr. On m’a demandé si je pouvais le réparer contre rémunération. Le jour où j’avais la possibilité de faire la réparation, le mari était au boulot et c’est la femme qui me reçut cet après-midi lâ.


J'avais réussi l’opération et j'en faisais le nettoyage complet, j’ouvris même les sites cachés par le mari et sa femme qui me regardait travailler, voyant ce qu'il avait écrit et les commentaires des meufs avec qui il l’avait cocufiée, m'avait payé la somme convenue et, comme pourboire, elle avait pris mon pucelage. Ce fut sa vengeance!


J'avais tout autant aimé le faire avec elle qu'avec ‘’tire jus’’.


Tire jus chez qui je dus retourner pour une mise à jours de sa bécane et qui, en contrepartie, me vida les couilles et - ô surprise! - me fit même découvrir le plaisir prostatique, à l’aide de ses sex-toys. Hé oui, mon cul a apprécié!


Au fil de mes interventions, aux clients qui me plaisaient, je proposais un payement moins onéreux si le pourboire se faisait en nature. Beaucoup furent surpris… au début!


Le nombre de pannes réelles diminua et les fictives se multiplièrent. Pour finir, je fis honneur à l’héritage de mes parents: j'étais devenu le vrai et parfait fils de putes. J'étais bi - recto verso avec les mecs – et je gagnais du blé en baisant. Je pus enfin acheter l'ordi dernier cri dont je rêvais… Ce fut mon cadeau à moi-même pour mes 18 ans.


Et commençais ma carrière de hacker. J'avais ouvert au bureau de tabac un compte en ligne, j'avais hacké un organisme d'état en passant les pares feu les doigts dans le nez et mon compte gonflait très vite. Au bout de quelques semaines je m'en pris à un autre. À 18 ans et demi, j'avais déjà six comptes avec plein de zéros dessus.


Et à 18 ans et huit mois…
Je me retrouvais devant le juge des enfants parce que je m'étais fait bêtement gauler pour avoir trafiqué, via le site de l’éducation nationale, plusieurs bulletins scolaires. Ceci contre des prestations en nature de mes potes, bien évidemment.

Le juge demanda une expertise psychiatrique pour moi et le rapport des experts fut loin d'être tendre à mon égard. Pour eux j'étais amoral, voir machiavélique et apathique, émotionnellement parlant.


J'avais aussi eu droit à un encéphalogramme. C'est là que les spécialistes se sont rendus compte que j'utilisais près de 50% de mon cerveau alors que la norme de l'époque disait que l'on n'en utilisait pas plus de 10%.


Il laissa le choix à ma mère. Soit, je restais jusqu'à mes 21 ans dans un centre éducatif fermé mais compte tenu de mon niveau intellectuel, il doutait que ça me serve à quelque chose, soit dans un pensionnat militaire où certains cas comme le mien pouvaient s'épanouir dans cet encadrement mais sous haute surveillance.


C'est ce que ma mère choisit pour moi. Je la remercie encore de ce choix. Après quelques jours d'adaptation et quelques bastons, pour remettre en place ceux qui avaient des vues gratuites sur mon cul, je m'y suis senti comme un poisson dans l’eau.


Il y avait là tout ce dont j'avais besoin : du sport intensif 3 heures par jour, des manœuvres en extérieur pour mettre en application les cours de tactiques militaires qu'on étudiait, de la baston encadrée, avec les techniques de combat qu'on nous enseignait et… du cul, du cul! Parce que tout un tas d'ados entre 18 et 21 ans, enfermés H/24 dans un même lieu, ça dégage des mètres cubes de testostérones, d'hormones en ébullition et de phéromones.


Lors de mon ''admission'' dans cette école militaire, on m'a fait passer tout un tas de QCM de plus en plus difficiles. Je m'en étais sorti haut la main. J'avais une culture générale exhaustive, je parlais à présent plusieurs langues couramment. Et la facilité avec laquelle j'avais appris le latin, le grec ancien et à déchiffrer les hiéroglyphes et autres écritures oubliées, en surprit plus d’un.


C'est en lisant ''l'art de la guerre'' de Sun Tzu que je me suis intéressé à la stratégie et à la tactique militaire. Je me mis à étudier les grandes batailles des généraux les plus célèbres depuis l'antiquité jusqu'à nos jours. C'était le pied total. Mais ce n'est qu'après avoir lu ''le prince'' de Machiavel que mon esprit s’éclaira. Je mis en pratique mes récentes acquisitions intellectuelles posant un pion par ci, un autre par là et en quelques semaines je devenais le caïd du pensionnat, sans que la hiérarchie ne s'en rende compte.


Quand, la veille de mes 21 ans, on me proposa de sortir, comme beaucoup le faisaient, je les surpris en refusant, prétextant vouloir finir mon année et ma formation. J'étais trop bien là. J'avais tout ce qu'il me fallait et surtout du cul. Même les hétéros les plus virulents avaient un jour tâté de ma queue. Je ne les avais pas forcés. Ce n'était pas mon genre. C'est eux qui étaient venus me voir, soit pour avoir un privilège, soit pour pouvoir se venger d'un autre sans risque de représailles. Tous connaissaient le tarif.


Il n'y a qu'Arnaud qui venait me voir sans rien vouloir en contrepartie. Mais avec Arnaud, c'était différent. Avec lui je ne baisais pas, on faisait l’amour. C'est son père qui l'avait mis là, quand il l'avait surpris en train de baiser avec son pote chez lui. Pour le dresser et lui faire passer ses mauvaises habitudes, avait-il dit. La première fois qu'il était venu me voir c'était pour que j'aille parler à certains gars qui s'en prenaient à lui. Ce qu'il m'avait dit, sur le coup, m'avait beaucoup fait rire.

  • Je m'en fous qu'ils me baisent. Bien au contraire, même.
  • Alors, tu attends quoi de moi ?
  • Que tu leur dises qu'ils soient plus délicats, qu'ils me préparent un minimum avant de me sauter. Qu'ils me balancent deux ou trois mollards sur la rondelle et qu'ils m'ouvrent un peu en m'enfilant des doigts avant de me niquer, histoire de me lubrifier un peu le tuyau et de m'élargir un minimum. Je peux les sucer aussi pour que leurs bites glissent mieux, j'adore ça de toutes façons et même avaler. Mais j’en ai marre d’être maltraité par ces gros cons!
  • Pardon si je me marre mais ta façon de raconter est assez cash! Je pense avoir compris ce que tu veux… Tu acceptes de me montrer tes capacités, comme ça, je pourrais mieux leur expliquer ?


Ses yeux m’ont regardé avec gourmandise, alors qu’il approchait déjà ses mains de ma braguette tout en me répondant:

  • Avec grand plaisir, Tom.


Oh!Mais c'est vrai, j'ai oublié de vous parler de moi. Je m'appelle Tomaso ou Tom le plus souvent. À cette époque j'avais 18 ans. Maintenant j'en ai 25. Je suis blond, les yeux bleus. Je mesure 1,85 m pour 80 kg de muscles. Pour l'instant ça vous suffit, ça ne sert à rien de vous faire plus envie.


Bref! Arnaud ne fut plus jamais maltraité, malgré le nombre de mecs qui lui sont passés dessus après. C’était même devenu une espèce de mascotte et gare à qui voulait s’en prendre à lui.


L'année est bientôt finie. Il ne reste que quatre mois avant que je m'en aille. Certains préparent ma succession. Mais les postulants ne me plaisent pas. Aussi, en douce, je me débrouille pour les éradiquer de la succession par des manœuvres dignes du fils de putes que je suis. J'ai juste le temps de finir et d’installer mon dauphin avant de partir.


Quand je passe la porte, ma mère est là, à m'attendre avec un taxi. On s'embrasse et le taxi démarre. C'est en silence qu'on fait le voyage. Le chauffeur de taxi essaye bien de nous faire la conversation mais devant notre mutisme, il finit par se taire. Il s'arrête dans un quartier que je ne connais pas. Ma mère descend et je la suis, en prenant mon sac. Elle se tourne vers moi.

  • Surprise! J'ai déménagé, l’année passée. J'ai acheté la maison. En bas c'est mon institut de massage et dessus c'est notre appartement. Allez viens, on monte!
  • Mais comment tu as fait pour acheter ça ?
  • Comme tout le monde, j'ai fait un crédit. Mais j'ai quand même versé plus de la moitié de la somme, lors de la signature.
  • Tu as arrêté ton ‘’autre’’ boulot ?
  • Tu plaisantes. Il me plaît trop. Je n'ai que 36 ans.
  • Tu en fais beaucoup moins. On te donnerait tout juste 25 ans.
  • Merci mon fils. Tu es un amour. Viens, je te fais visiter.


L'appartement est sympa. Une grande pièce à vivre avec une cuisine ouverte et deux chambres, avec chacune sa salle de bain.

  • Pose ton sac dans la chambre de droite, je vais te faire visiter le salon de massage.


Au fond du couloir une autre porte donne sur des escaliers qui descendent au salon. Ça sent l'encens et les huiles essentielles lorsque j'ouvre la porte.

  • Alors, à droite, tu as un sauna et à gauche, un hammam. Là, tu as une douche, là, les toilettes. De chaque côté tu as deux salles de massage et là, tu as la réception.
  • C'est quoi les photos de toutes ces meufs sur le mur ?
  • C'est les masseuses. Tu viens prendre rendez-vous avec la masseuse de ton choix et la masseuse retient une salle de massage. Mais je vois ton œil gourmand, tu n'y toucheras pas, Tomaso.
  • Maman, promis, je n'y toucherai pas. C'est des vrais massages ou c'est des massages sexuels?
  • Je te vois venir, Tom. Non, mon commerce est un commerce respectable. Après, les filles, en dehors de leur boulot, font ce qu'elles veulent avec les clients mais ici tout reste correct. D'ailleurs regarde au-dessus de la porte. Ça ressemble à une alarme incendie mais c'est des caméras.
  • Du coup, il n'y a que des hommes qui viennent.
  • Détrompe-toi. Beaucoup de femmes viennent se faire masser. Mais c'est principalement la clientèle d'Adèle et de Gina, les femmes.
  • Pourquoi elles et pas les autres ?
  • La seule chose que je tolère c'est la masturbation féminine. Et Adèle et Gina sont de vraies spécialistes.
  • Il va falloir que je prenne des leçons avec elles. Parce que, depuis ces deux ans, à part des bites et des culs masculins, j'ai dû perdre la main.
  • Ha, ha, ha! On en reparlera plus tard. Viens, on remonte.


Une fois dans l’appartement.

  • Tom, j'ai donné toutes tes anciennes affaires, sauf , bien entendu, ton ordinateur et la boite que tu m'avais donné à garder. Je vais te donner de l'argent pour que demain tu puisses aller te refaire une garde-robe.
  • Ce n’est pas urgent. Maman. On verra ça plus tard. Demain je vais aller dans un cybercafé. J'ai des choses à voir.
  • Tu sais qu'ici on a internet, aussi.
  • Oui, mais pour ce que je veux voir, je préfère le faire d’ailleurs. C'est trop facile de tracer une adresse IP.
  • Au fait! Tom, j'ai oublié de te dire quelque chose.
  • Ah oui et c'est quoi ?
  • Tu es beau mon fils, plus beau qu’à ton départ. Encore plus beau que l'était ton père.
  • Merci Maman. Venant d'une femme aussi belle que toi, ça me va droit au cœur.
  • Bon, Tom, pour ce soir je t'invite fêter ton retour au restaurant. Ça te va ?
  • Bien sûr.


Tout au long du repas elle me parle de ce qu'elle a fait pendant ces trois ans. Je lui parle de ma vie au pensionnat militaire. Certaines anecdotes la font sourire, d'autres rire. La première nuit, dans ma chambre je n'arrive pas à dormir. C'est trop calme. Il n'y a pas les bruits qui me sont familiers: des lits qui grincent alors que leurs propriétaires se branlent, la toux des uns ou des autres ou les ronflements léger de Charles qui occupait le lit voisin. Du coup, j'enfile mes affaires de sport à l’aube et je pars courir dans ce quartier que je ne connais pas. Au bout d'une heure je rentre. Ma mère vient de se lever.

  • Bin! Tu es déjà debout ,toi ?
  • Tu sais, 3 ans à se lever à 6 h le matin ça laisse des traces.
  • Mais tu arrives d’où ?
  • J'ai fait un petit tour du quartier en courant. Comme ça, ça m'a fait mon sport et j'ai déjà pu repérer deux - trois choses.
  • Tu prends quoi pour ton petit-déjeuner ?
  • Du café. Mais fais ce que tu as à faire. Je prends une douche et je me débrouillerai seul.
  • Je vais t’attendre. On n'ouvre qu'à 11 heures.




Quand je reviens, j'ai juste enfilé un pantalon de jogging à même la peau et un tee-shirt. Je me fais un café que je bois tout en discutant avec ma mère qui me demande ce que je vais faire de ma journée. Une fois de plus elle me demande si je veux de l’argent. Je lui dis que j'ai quelques centaines d'euros d'avance. Mais, surtout, j'espère que mes six comptes n'auront pas été bloqués. J’ai, si mes souvenirs sont bons, juste après avoir désactivé les systèmes de l’arnaque, entre 15 et 20 000 euros sur chacun d’eux. Pour les garder en mouvement, j'avais planifié des virements, des uns aux autres. Bon, direction le cybercafé. Dans ma boite il y a les codes d'accès aux six et leurs cartes de retrait.


Au cybercafé:


Merde, elles sont toutes périmées!
Mais mes comptes sont toujours actifs, c’est déjà bien. Tiens, c'est quoi ce septième papier ? Ah oui! C'est le compte que j'avais fait juste avant de me faire coincer et que je n'ai pas eu le temps de clôturer. Ma petite magouille doit toujours être active, une chance que personne ne l’aie découverte!


Je me connecte au compte et là, c'est LE choc. Dessus il y a plus d'un million d’euros. Je sors un disque dur de ma boite, je repirate le site et je vais supprimer le programme que j'y avais inséré. Bon, il n’y a plus moyen de remonter jusqu’au numéro du compte. La prochaine étape est de me refaire des cartes valides.


Je retourne dans mon ancien quartier - que je reconnais avec peine. Une fois les cartes en poche, je rentre. En route je croise plusieurs magasins sympas où je reviendrai demain. Je m’arrête devant la vitrine d’un magasin de téléphonie. J'entre mais faute d'attestation de résidence, on me refuse un abonnement. Je reviendrai demain, avec ma mère.


La première semaine, je vais la passer en formalités et courses de tous genres. D'abord, la mairie pour me faire faire des papiers d’identité, avec ma mère. De là on passe acheter un téléphone et un abonnement. Pour plus de simplicité on le prend au nom de ma mère et je fournis un RIB où être prélevé mensuellement. De là, comme on passe devant une auto-école je m'y inscris pour le permis voiture et le permis moto. Puis, comme il est bientôt 11 heures, ma mère m'abandonne pour aller ouvrir l’institut.


Il paraît qu'il y aura foule cet après-midi. J'y suis attendu pour 13 heures afin que ma mère me présente aux quatre employées présentes et après on ira manger au resto avec ma mère. Et cette après-midi, ça sera shopping fringues pour moi. Parce que j'avoue qu'au bout de seulement deux jours, je commence déjà à être à court.


A 13 h précise, j'entre à l'institut et je fais la connaissance des filles. Adèle et Gina mais aussi Laurette et Lamia (une très belle beurette). Les filles sont sympas et c’est presque en chœur qu’elles me proposent toutes un massage gratuit… que je n'aurai jamais. Ma mère intervenant aussitôt!

  • La première qui touche à mon fils je la vire. C'est bien compris ?
  • On disait ça pour plaisanter, Madame.
  • Et moi, je vous le dis sans plaisanter. Bon, je vais manger avec mon fils. Je serai revenue avant le rush.


De là on va dans un petit restaurant du quartier et c'est là, tout juste assis, que ma mère me demande cash:

  • Tomaso, tu le sors d'où tout cet argent que tu as dépensé ce matin ? Et acheter un téléphone à plus de mille euros, mais ça va pas la tête ?
  • J'ai quelques économies.
  • Et tu les sors d'où, ces fameuses économies ?


C'est à ce moment que je lui balance mes petites magouilles d'avant le pensionnat militaire… mais je me garde bien de lui parler du dernier compte. Elle a déjà suffisamment d’informations à digérer pour le moment !

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RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 08-04-2025

Oooh! Un beau mec bien foutu et surdoué, intelligent et machiavélique, cultivé, rompu aux techniques de combat et autres formes de corps-à-corps, c'est séduisant à tous les niveaux de perception ^^ Tom est de la graine de génie (du mal) qui fait un parfait 'villain' de franchise Marvel Big Grin
Je m'installe avec mon seau de pop-corn et quelques litres d'ice tea green...


RE: Le fils de putes - bech - 08-04-2025

La petite intro en italique fait penser à un roman de science fiction. La suite est plus classique. On apprend comment s'est déroulée l'enfance de Tomaso, ses dons, ses méthodes pour gagner de l'argent ...

Finalement, lorsqu'il sort du pensionnat militaire, il est riche et sa mère veuve a pu commencer à financer une maison qui est aussi son lieu de travail. Attendons la suite.

Pour la publication le lundi, j'en avais tenu compte lorsque j'ai choisi de publier dans cette rubrique Le monde de Cylian les mercredi et samedi. C'est dans la rubrique gay que je publie les lundi et jeudi les récits de Valdomar. Donc, on ne se fera pas de concurrence pour la place en tête de liste d'une rubrique lorsqu'on publie un nouveau chapitre.

Pour ma part, si sur un site je trouve les caractères trop petits, je zoome et le navigateur enregistre les réglage pour les fois suivantes. Du coup, les caractères nettement plus gros pour un récits particulier peuvent me gêner. Là, j'ai préféré copier coller ton texte dans un éditeur de textes pour le lire.


RE: Le fils de putes - emmanolife - 09-04-2025

Chouette, un nouveau récit de gaetanbg !

Son nouveau héros n'a pas l'air trop sentimental ni étouffé par les scrupules moraux, on a hâte de voir dans quelle direction il va voguer.


RE: Le fils de putes - stuka132 - 09-04-2025

bon je m installe.... a lundi !!! merci encore


RE: Le fils de putes - gaetanbg - 14-04-2025

Dans l'après-midi, je fais chauffer à tour de rôle mes cartes de crédit. Je m'achète toute une garde-robe allant de fringues classes à celles plus décontractées. J'ai déjà quatre sacs dans chaque main, quand je passe devant un magasin spécialisé ne vendant que des sous-vêtements. J'y entre. Le jeune vendeur me fait penser à Arnaud. J'en attrape une mi- molle. Tout souriant, il vient vers moi.

  • Je peux vous renseigner ?
  • Oui, je voudrais quelques slips ou boxers parce que j'avoue que ceux que j'ai sont un peu usés et plus trop à la mode.
  • D’accord, en quelle matière les voulez-vous ?
  • Je ne sais pas. Tu peux me proposer quoi ?
  • Voyons, premièrement, en quelle taille ?
  • Je pense qu'il me faut du L, c'est ce que j'avais comme taille au pensionnat d’où je sors.
  • Ok, je reviens!


Il m'en présente tout un tas, de formes et de matières différentes.

  • Si vous voulez en essayer quelques-uns, vous avez une cabine d'essayage, juste là.


J'en prends une quinzaine parmi ceux qui me plaisent et la première chose que je remarque en entrant dans la cabine, c'est une caméra camouflée, comme il y a chez ma mère. J'y pose un boxer dessus. Non mais, on va pas me mater à poil, sans contrepartie. Surtout si je ne sais pas qui va visionner l’enregistrement !


Je retire mes fringues et commence l’essayage, régulièrement le gars me demande s'ils me vont, s'il ne faut pas une taille plus petite ou plus grande… Justement, l’un des derniers que j’enfile, me serre un peu trop aux hanches et en me voyant dans le miroir, je me dis que le relief de ma bite est plus que visible, limite obscène! Ma mi molle est instantanément de retour et je suis obligé de la mettre sur le côté pour être à l’aise. Dans la même seconde, le fils de putes que je suis veut s’amuser de la situation. J’appelle le vendeur en lui disant que l’un des shortys est trop petit d’une taille. Ce qui était prévisible, il me demande: quel en est le modèle? J’ouvre aussitôt le rideau en grand et lui réponds, innocemment: Celui- ci. Regarde, il me serre la taille! Ce n’est pas ma taille que ses prunelles bleues fixent, alors que je suis planté face à lui. Quelques longues secondes plus tard, il sursaute en m’entendant dire: Le même mais en XL, je pense que ce sera bon! Et je referme le rideau. Je me marre intérieurement, en pensant à sa tête lorsqu’il a bloqué sur mon service trois pièces. J’ai cru qu’il allait avoir un malaise!


Il est de nouveau derrière le rideau et bredouille qu’il a trouvé un XL.
J’entrouvre suffisamment le tissu afin qu’il puisse voir que je suis nu, cette fois. Je lui prends le shorty des mains et lui rends l’autre puis relâche le rideau. Là, il a carrément viré au rouge.


Je sors 10 minutes plus tard, rhabillé, et je lui en prends une bonne douzaine. Il m'en offre trois supplémentaires, choisis par lui. C’est avec une carte de fidélité en poche et son plus beau sourire en prime qu’il m’accompagne à la porte qu’il vient m’ouvrir. C’est son «Au revoir! J’espère te revoir bientôt.» qui me fait sourire en franchissant le seuil. Il en a oublié son vouvoiement commercial.


Je ne suis qu'à quelques pas de la maison, quand deux gars essaient de me piquer mes sacs. Voyant que je résiste ils sortent chacun un couteau et me menacent avec. Le premier prend un tel coup de pied dans les couilles que ça le sèche sur place tandis que le second veut m'attaquer sur le flanc. Lui se retrouve vite avec l'épaule déboîtée et à droit à aussi à son coup de pied dans les couilles. Je les fouille et je pique leurs portefeuilles. Ensuite je récupère les couteaux.


Les flics arrivent et les embarquent. Plusieurs personnes témoignent en ma faveur. De toute façon, la caméra de l'institut a tout filmé, si nécessaire. Mais je ne m’inquiète pas trop, selon l’officier qui a pris mes coordonnées, ces deux clowns sont bien connus des autorités.


Demain je dois aller déposer plainte. Ça m'a fait de la peine, de devoir les frapper. Ils étaient plutôt beaux gosses et ce n’est pas comme ça que j'aurai voulu les rencontrer.


Ça fait trois jours que je n’ai pas baisé et ça commence à me manquer. Au pensionnat, je baisais au minimum une fois par jour, sans compter les pipes occasionnelles faites par des gars qui avaient besoin que je leur rende service.


Ma mère est sortie voir ce qu’il se passait ,en entendant les sirènes loin d'être catastrophée par ce qu'il vient de se passer, puisque je n’ai pas une seule égratignure. Il paraît que ça arrive de temps en temps, ce genre de vol à la tire avec des gens qui ne font que passer dans le quartier.

Bon, demain il faut que j'aille m'inscrire au MMA fight-club que j'ai vu en haut de la rue. Après j'irai acheter ce qu'il me faut en tenues de sport. La première chose que ma mère fait, quand elle remonte après avoir fermé l'institut, c'est d'inspecter les fringues que j'ai acheté. Elle sourit quand elle voit les boxers et a l’œil pétillant, en découvrant les trois que j’ai reçu… Ce sont les plus sexy.


Enfin, on passe à table.

  • Tu vas aller déposer plainte, demain ?
  • Je n’en sais rien. Ils ne m'ont rien piqué, je me suis défoulé dans l’action mais maintenant ma colère est passée, alors, je crois pas que je vais le faire. Tu les connais ?
  • Oui! Je les croise de temps en temps. C'est pas des mauvais gars, ils sont juste un peu paumés. Je pense que la raclée que tu leur as mis suffit comme punition.
  • Alors, j'irai demain chez les flics leur dire que je ne dépose pas plainte. De toute façon je leur ai piqué leurs portefeuilles où il y a leurs cartes d'identité et même un peu de pognon. J'irai leur rendre. Et je crois que demain soir, je vais sortir.
  • Tu fais ce que tu veux, tu es majeur. Mais fais gaffe quand même. Si tu veux, plus bas il y a un bar sympa, où les gens du quartier ont l'habitude de se rencontrer. Ils y font des bons plats du jour. On ira demain, si ça te dit. J'en profiterai pour te présenter. Si on te demande tu dis simplement que tu étais au pensionnat pour tes études. Moins ils en savent, mieux c’est.
  • De toute façon, tu sais que je ne suis pas un grand bavard.
  • Dis-moi, que comptes-tu faire de ta vie, Tom ?
  • Je n’en sais rien, pour l’instant… Ça serait possible que je reste ici et voir ce que je peux faire ?
  • Andouille, bien sûr que tu peux rester ici autant que tu veux. Tu es chez toi. Je ne vais pas te foutre à la porte. Mais quand tu auras bouffé tout ton pognon, tu comptes travailler honnêtement ou tu vas encore vivre de petites magouilles jusqu'à ce que tu te fasses coincer une nouvelle fois ?
  • Ça serait possible que je fasse un stage chez toi ?
  • Non, chez moi, pas question. On n’a pas la formation pour faire de l’apprentissage. En revanche, je vais téléphoner au gars chez qui j'ai appris. Je ne pense pas qu'il refuse de te former. C'est à quelques kilomètres d'ici mais en bus, ça se fait bien. Mais avec le bagage que tu as tu es sûr de vouloir faire masseur ?
  • Dans un premier temps, oui. Après, on verra. Au pire je referai une petite arnaque histoire de me refaire une santé financière.
  • Quand tu parles comme ça, on dirait ton père. Tu n'as aucune ambition?
  • C'est pas que je n'ai pas d’ambition, c'est juste que j'ai 21 ans, je viens de perdre 3 années de liberté et que je veux profiter de ma jeunesse.


Ma mère me laisse, ce soir elle a un rendez-vous. Je zappe un peu et je vais me coucher. Je m'inscris sur 2 ou 3 sites de rencontre. Mais comme je n'ai pas de photos ça ne marche pas… Je suis con, j'installe l'appli sur mon téléphone, je prends quelques photos de moi plus ou moins habillé et c'est parti. Tout un tas de vieux me proposent du fric et ceux que je contacte me prennent pour un fake. Ça promet. Au bout d'un moment j'en ai marre, je me trouve un film de boules pour me branler. J'en ai choisi un bi, pour bien me stimuler.


Le lendemain, je croise ma mère. Elle rentre de son rendez-vous. Je pars courir mais cette fois, en partant de l'autre côté. Ça me permet de trouver un magasin de sport sympa. J'y viendrai tout à l’heure. Je découvre aussi un chouette parc. J'en fais le tour en courant et croise quelques joggeurs matinaux. Rien de bandant mais à surveiller le week-end on ne sait jamais. Il faut aussi que je me trouve une salle de sport parce que le resto tous les jours avec ma mère, ça ne va pas le faire.


Et moi, qu'est-ce-que je fais dès que je rentre après avoir pris la douche ? Je me tape un bon gros petit-déjeuner ! Je m'habille et je file au poste de police. Le planton de l'accueil me demande ce que je veux et on me conduit dans un bureau. Un gars entre.

  • Ah oui, c'est vous qui vous êtes fait agresser hier en rentrant chez vous. C'est bien ça ?
  • Oui, c'est bien ça.
  • Vous venez déposer plainte ?
  • En fait, je viens vous dire que je ne déposerai pas de plainte contre eux. Ils ne m'ont rien volé. Alors ça ne sert à rien d'encombrer les tribunaux pour des conneries. Et puis avec la raclée que je leur ai mise, ça m'étonnerait qu'ils recommencent tout de suite.
  • C'est des gars du quartier qui vous ont fait ça. C'est des petits loubards bien connus de nos services. Ils vivent de petits larcins. C'est dommage que vous ne déposiez pas plainte. On aurait pu les envoyer quelques temps en prison pour les calmer. Enfin, c'est votre choix.
  • Il ne vous reste plus qu'à les libérer.
  • Ça fait bien longtemps qu'ils sont sortis. Au poste on n'a que deux cellules et hier elles étaient prises par des ivrognes complètement bourrés. Mais quand même, vous êtes sûr de ne pas vouloir déposer plainte ? Ils vous ont quand même agressé au couteau.
  • Qu'est-ce-que vous racontez ? Ils ont essayé de me tirer mes sacs et comme je résistais ils ont voulu me frapper et ils sont tombés sur un os. Mais ils n'avaient pas de couteaux et de toute façon ça n'aurait rien changé.
  • Pourtant, c'est ce que les témoins ont dit. Mais bon, on n’a pas retrouvé d’armes et on ne peut pas toujours se fier à ce qu'ils disent avoir vu. Souvent leur imagination leur joue des tours. Vous savez vous battre ?
  • J'étais dans un lycée militaire et en sport on avait du close combat et j'étais plutôt bon à ce jeu-là. Ça m'a servi.
  • Ah, je comprends mieux le pourquoi du comment, maintenant. Bon, puisque vous ne déposez pas plainte vous pouvez y aller.
  • Bonne journée messieurs.


Ça m'a pris une heure cette connerie. Bon allez, le club de fight. Il est où déjà ? Je galère un peu pour le retrouver. Je pousse la porte et j'entre, en me dirigeant vers le comptoir d’accueil. Personne mais ça parle dans la pièce à côté.

  • Mais j'en sais rien moi Karl, j'ai même pas vu le coup arriver.
  • Il se bat comme Rambo, ce mec et je sais pas comment il a fait pour nous sécher tous les deux aussi vite. Merde tu nous connais. On n'est pas né de la dernière pluie.
  • Et tu nous as vu combattre sur le ring. Tu sais ce qu'on vaut quand même.
  • Et c'est qui ce gars ? T'es sûr que tu ne l'avais jamais vu, Laszlo ?
  • Mais oui, sûr et certain. Demande à Paulo si tu ne me crois pas.
  • On n'en sait rien. C'est la première fois qu'on le voyait dans le quartier et c'est pour ça qu'on a voulu lui tirer ses sacs.
  • C'est qui, qui vous a mis sur ce coup-là ?
  • C'est le marchand de jeans. Si un client fait des gros achats chez lui, il nous appelle, on lui tire ses sacs et on les lui rapporte et il nous donne la moitié du prix que le gars a payé.
  • Vous et vos combines de merde. Vous allez finir par vous retrouver en taule tous les deux. Ça sera bien fait pour vos gueules. Essayez de vous renseigner pour savoir qui c'est ce mec et d'où il sort.
  • Vous voulez savoir quoi, exactement, sur moi ?


D’un bloc, ils se tournent tous les trois vers moi. Une fois la surprise passée les lascars d'hier se mettent en garde. Le gars qui discutait avec eux s’interpose, avant de m’adresser la parole.

  • On peut savoir ce que tu veux ?
  • Je venais me renseigner pour m’inscrire.
  • Vous deux, on se revoie tout à l'heure. Allez dégagez.
  • Pas si vite les comiques, j'ai des trucs à vous. Je vous les rend. Au fait, ce matin je suis allé au poste de police et je n'ai pas déposé plainte contre vous. Ils ont classé l’affaire.
  • Pourquoi t'as fait ça ?
  • D'où je sors, des petites frappes comme vous j'en ai maté des douzaines.
  • T'étais en zonzon ?
  • Je suis pas si con que vous pour y aller. Prenez vos affaires et du vent !
  • Mais t'es qui, bordel ?
  • Ma mère tient l'institut de massage.
  • Ta mère c'est Line ? On savait pas qu'elle avait un fils. Désolé mec. Si on avait su, on t'aurait pas touché.
  • C'est plutôt moi qui vous ai touché. Non?
  • Bon allez, cassez vous tous les deux. Alors comme ça tu veux t'inscrire au club.
  • C'est pour ça que je suis venu.
  • Ok, je te donne tous les papiers qu'il faut pour t’inscrire, là c'est la liste du matériel de base qu'il te faut. Si t'as pas trop de tunes, on prête la partie matérielle aussi.
  • Non, c'est bon ça ira.
  • Tu combats dans quel style ?
  • J'ai pas vraiment de style. Quand je me bats c'est pour gagner, alors je m’adapte.
  • T'es un vrai fils de putes, alors. Oh, merde, excuse-moi, je ne voulais pas t'insulter.
  • Y'a pas de mal. Depuis que je suis tout gamin, je sais le boulot que fait ma mère. Et pour info, mon père vendait aussi son cul. Lui, pour se payer sa dope. Alors…
  • Ok, je te laisse aller faire tes achats. Tu peux venir t’entraîner quand tu veux. La salle est ouverte de 7 h à 21 h. le mardi et le vendredi soir c'est plutôt réservé aux gamins. Mais tu peux venir quand même pour frapper dans les sacs, si ça te chante. Au fait si tu vas acheter tes affaires au magasin à l'autre bout du quartier, tu lui montres la liste. Il te fera des prix.
  • Ok, merci. Je vais y passer. À plus.
  • Si t'as rien à faire demain soir, c'est la soirée combats. Si tu veux tester deux ou trois adversaires t'es le bienvenu et comme ça, je pourrai voir ton niveau. On commence à 20 heures.
  • Ok, je serai là.


Direction le magasin de sport. J’entre. Y'a un gars perché sur un escabeau qui range des boites en hauteur. Sûr que c’est un sportif, rien qu’en voyant son gabarit. Son survêtement est un peu descendu et montre une partie de ses fesses. Je m’en demande même si il porte un sous-vêtement. Son tee-shirt remonte, à chacun de ses mouvements et, ma fois, la vue n'est pas déplaisante. Sans se retourner il me dit:

  • J'en ai pour 2 minutes et je suis à vous.
  • Prends ton temps. Pendant ce temps je regarde si quelque chose me plaît.


Je fouine sur un portant, voir si quelque chose me plaît. Mais bon, c'est pas top.

  • Qu'est-ce que je peux pour toi ?
  • Déjà ce qu'il y a là sur cette liste et aussi différentes tenues mais j’espère que t'as d'autres survêtements que ces mochetés ?
  • Ha, ha! Ceux-là sont des fins de séries et donc de vieux modèles. Voyons ta liste. Ha, tu t'es inscrit au club de fight. C’est cool. Suis moi par là, ça sera plus simple. Tu connais ton tour de tête ?
  • C'est du 59.
  • T'es bien le premier qui le sache. Essaie ça. Ça va, ça ne te serre pas.
  • Ça va, il va bien. Pour les gants sors du 9 ou du 10 en taille. Ça dépendra de comment ils sont dedans.
  • Fais voir que je te les attache, tu as un sac là, si tu veux les essayer.
  • Je vais prendre la taille 10. Les 9 me vont mais quand j'aurai la main bandée je pense qu'ils vont trop me serrer.
  • Tu veux que je te bande la main ?
  • Si tu veux… Mais tu fais ça comme un chef.
  • Je suis aussi inscrit au club et on s'aide à s'équiper parce que ça, seul, c'est trop chiant à faire. Bon alors tu prends lesquels ?
  • Je confirme, je garde les 10.
  • Ok et pour la coquille, je mets quelle taille ?
  • Alors là, bonne question. Je n'en ai jamais porté.
  • Sans paraître indiscret, t'es monté comment ?
  • On dira normal, plus.
  • Au fait moi c'est Brice et toi ?
  • Tom. Enchanté Brice.
  • Tu as la cabine d'essayage qui est là. Normalement je ne les fais pas essayer. Je vais faire une exception pour toi, comme tu es du club. Comme tu le vois ça a la forme d'une poire. Bon essaye celle-là et dis-moi comment tu te sens dedans.


Pour faire simple je me suis foutu à poil dans la cabine. Je la passe. Ça me serre et ça me compresse le matériel. Je le lui dis. J'en essaie deux autres et c'est pas beaucoup mieux.

  • Dis-moi, ce qui ne va pas.
  • Toutes celle que tu viens de me donner quand je les mets ça coince ma queue contre mes couilles et ça me gêne.
  • D'accord, je vois. Mais niveau largeur, ça te va ?
  • Oui, impeccable. Par contre, Brice, si c'est possible d'en avoir qui n'ont pas une coupe de string parce que, tu vois, cette ficelle qui me rentre dans le cul ça va vite me saouler.
  • T'inquiète pas. Celle que je vais te proposer c'est prévu pour mettre dans des jock-straps, comme la première que tu as essayé. Mais sur le devant de la coquille, au lieu d'être plate, elle a la forme d'un sexe en relief et l’intérieur est creux de même. Ça te donnera plus d’aisance. Tiens, essaie-la et tu me dis.
  • Il me faut la taille juste au-dessus, si tu as .
  • Je t'apporte ça de suite. Alors elle te va mieux celle-là ?
  • Elle est juste parfaite. Brice, t'aurais pas aussi des jock-strap simple, sans poche à coquille? Des modèles un peu cool, pour tous les jours.
  • Oui, bien sûr. Mais tu portes ça, toi ?
  • Pour courir, je trouve que ça maintient bien et tu n'as pas le frottement du boxer qui finit par te chauffer.


Je vous passe tous les essayages que j'ai fait mais j'ai juste le temps de poser les affaires que je viens d'acheter à la maison et aller rejoindre ma mère au bistrot où elle m'attend, au bar, en buvant un verre.

  • Le voilà qui arrive. Le rouquin , je te présente mon fils, Tom.
  • Enchanté, Tom. Qu'est-ce que je t’offre ?
  • Un coca, ça ira.
  • Tu es sûr que tu ne veux pas quelque chose de plus fort ?
  • Sûr et certain.
  • Alors, va pour un coca.


Je bois mon verre et on passe à table. Ma mère est déjà au courant que je n'ai pas déposé plainte – ça je lui avais dit -, que je suis passé m’inscrire au club de fight et que j'ai passé un grand moment au magasin de sport d'où je suis sorti avec de nombreux sacs… Où elle est impatiente de mettre son nez, évidemment!
  • Que sais-tu encore d’autre dont je ne suis pas au courant et qui pourrait m’intéresser ?
  • Rien, si ce n'est que le gars qui tient le magasin de jeans se chie dessus parce qu'il sait que tu sais que c'est lui qui t'a balancé à ses potes.
  • Je crois que je vais aller lui faire une petite visite histoire de le remercier. Juste pour lui mettre la pression.
  • Fous lui la paix pour le moment, c’est toujours bien d’avoir de bonnes cartes à abattre plus tard. Y'a les deux mecs à qui tu as cassé la gueule hier qui sont passés au magasin. Ils m'ont laissé un numéro de téléphone pour toi. Il faut que tu les appelles.
  • Ils veulent quoi ?
  • D'après ce que j'ai compris, se faire pardonner en t'offrant une soirée.
  • On verra ça. J'avais déjà prévu de sortir ce soir.
  • C'est toi qui voit… Le rouquin, combien je te dois?
  • C'est bon, laisse tomber, c'est pour moi.
  • Je te remercie, le rouquin. À plus.
  • À plus Line, à bientôt Tom.
  • Pourquoi il n'a pas voulu qu'on paye ?
  • Un des gars qui t'a agressé, le Paulo, c'est son fils. Comme tu ne l’as pas enfoncé, c'est sa façon de te remercier, sans en avoir l’air.
  • Il est cool, ce mec!
  • Fais quand même gaffe à ce que tu dis devant lui. Il a la réputation de balancer certaines informations aux flics, pour être tranquille. À l’arrière de son bar il y a deux chambres qu'il loue à l’heure, tout le monde le sait pourtant il n'a jamais été emmerdé.
  • Ah, ok. Je le saurai comme ça.
  • On n'en a pas encore parlé Tom, mais si tu pouvais éviter de ramener tes conquêtes à la maison ça serait bien. Sauf si c'est le ou la bonne.
  • Maman, j'ai 21 ans. Alors le bon ou la bonne c'est pas avant 10 ans au moins. Je compte bien en profiter un max. Toi qui sait tout, tu peux me dire où il y a une bonne salle de sport par ici ? Je n'en ai pas vu, aux alentours.
  • Non, à part la petite salle de fitness où je vais, je n’ai pas ça en tête. Tu devrais retourner voir le gars du magasin de sport. Il est au courant de tout ce qu'il y a dans le quartier. C'est un office du tourisme, à lui tout seul.
  • J'attends que ça ouvre et j'y retourne.
  • Dis-moi, demain je pars sur la cote pour trois jours. Veux-tu m’accompagner ?
  • Tu y vas pour bosser ou pour te reposer ?
  • Un peu des deux et mon invitation n’est pas tout à fait désintéressée. C'est un bon et généreux client que je rejoins et qui me demande parfois un jeune homme pour une amie à lui. Je l'ai vue déjà plusieurs fois, elle a 26 ans et est très mignonne. Sa seule exigence c'est que l’homme soit blond avec les yeux bleus et plutôt musclé. Habituellement je prends l’un des escorts de mes connaissances. Mais si ça te dit, tu feras tout aussi bien l’affaire.
  • Ça paye bien ?
  • 3000 euros, pour les 3 jours plus les frais et, évidemment, les cadeaux qu'elle te ferait.
  • Putain, je pensais pas que ça payait autant.
  • Comment tu crois que j'ai réussi à payer la moitié de l'immeuble cash ?
  • Ok, je t’accompagne.
  • On prend le premier TGV demain matin pour Monaco. Prépare ta valise ce soir.
  • Et dedans, j'y mets quoi comme fringues ?
  • Un peu de tout mais ne les choisis pas trop classe. Si on doit sortir, on ira faire les boutiques à ses frais.


Quand on arrive à destination la limousine du monsieur nous attend. Ce n'est que le soir pour le dîner qu'on rencontre nos hôtes pris par une réunion imprévue toute la journée. La meuf est plus que baisable alors dès le premier soir je lui sors le grand jeu. Et ça lui plaît. Et comme je suis en manque et en grande forme, elle a droit à des tours «gratuits». C'est comme ça que j'ai fait mes premiers pas dans le métier.


Comme prévu, le soir on doit aller dans un restaurant classe et que «je n'ai rien à me mettre!» selon elle, on fait les boutiques et j'en ressors avec plein de cadeaux à chaque fois. Surtout, après que je lui ai mis une belle ramonée dans la cabine, entre deux essayages. Elle m'avouera plus tard que c'était l’un de ses plus gros fantasmes: les endroits insolites avec le risque d’être découverts. Et pour me remercier de l'avoir assouvie, juste avant de repartir, elle m'offre une boite, à n'ouvrir que dans le train, après le départ. C'est une montre, vous savez celles qui ont une petite couronne comme logo. Quand elle l'a vue ma mère a juste dit ''la vache, elle ne s'est pas foutue de ta gueule! '' et elle a replongé son nez dans un magazine de mode.

  • Tom, réveille toi, on arrive.
  • Déjà ?
  • On n'était pas sortis de la gare que tu dormais déjà.
  • C'est que je n'ai pas trop dormi de 3 jours. Il faut bien que je récupère.
  • Sors les valises, j’arrive.


Grâce, un peu à ma mère et au bouche à oreille, le nombre de mes clientes augmente régulièrement. Et comme je suis nourri, blanchi et logé, c'est de l’argent de poche que je gagne.


Le gars qui a formé ma mère m'accepte comme stagiaire non rémunéré pour un trimestre maximum. Très vite j'apprends les bases des différents types de massages. La plupart du temps c'est sur des hommes que je m’entraîne, la clientèle féminine est plutôt réservée aux deux filles du personnel. Mais hommes ou femmes, qu'est-ce que ça peut faire, un corps est un corps. Pas vrai ? Ce sont surtout des quadras ou des quinquagénaires qui viennent et même des plus vieux. Souvent, ils bandent et Francis est moins regardant que ma mère, pour un petit billet de plus il le leur fait passer. Il m'a laissé libre de le faire ou pas. Un petit billet pour faire une branlette, ça ne se refuse pas. Au bout de deux mois et demi, il me dit qu'il n'a plus rien à m’apprendre. Il me faut encore un mois en travaillant ma mère au corps tous les jours pour qu'on accroche ma photo avec celles des filles.


Et comme, du coup, j’ai beaucoup de temps libre, j'arrive très vite à avoir mon code puis mon permis de voiture et celui de moto.


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RE: Le fils de putes - bech - 14-04-2025

Hé bien, je sais pas combien il en a acheté de jeans pour inciter les voleurs à les récupérer. Moi, en principe, je les achète par 2.
Peut-être que ses agresseurs deviendront ensuite des relations.
Il a l'air de bien se débrouiller Tomaso quoique la mère aussi, même si elle a un institut de massage, elle a d'autres solutions pour arrondir ses fins de mois.


RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 17-04-2025

Je n'ai jamais porté de coquille, mais comme pour les boxers, je n'imaginais pas qu'on les essaie à même la peau ^^ Après, c'est un bon moyen pour tester l'intérêt du vendeur, c'est p-ê moins évident dans les magasins de sport, mais dans ceux de fringues, c'est rare de tomber sur des vendeurs full hétéro, et comme Tom est un bouchon qui va sur tous les goulots... Big Grin


RE: Le fils de putes - gaetanbg - 22-04-2025

Tout doucement je me fais une clientèle . J'ai presque autant d'hommes que de femmes. Mais chez ma mère pas de petits billets supplémentaires pour une petite branlette… et c’est dommage car beaucoup de serviettes se soulèvent seules, alors que je pétris les chairs masculines. Certaines clientes doivent aussi être émoustillées par ma pratique, puisque les pointes de leurs tétons trahissent leurs émotions.


Je viens d'en finir avec une cliente quand elle me demande à brûle-pourpoint:

  • A tout hasard! Vous ne vous déplacez pas à domicile pour faire des massages ?
  • On ne l'a jamais fait mais c'est une idée à envisager, pourquoi pas.
  • Si vous changez d’avis, faites moi signe. Ça pourrait m'intéresser moi et sûrement d'autres personnes.
  • Je vous promets d'en parler à la direction dès ce soir.


Le soir même j'en parle à ma mère… qui est récalcitrante. Elle se voit mal envoyer les filles à droite ou à gauche en charriant la table de massage d'une main et une sacoche contenant les huiles de massage et huiles essentielles de l’autre. À force d'insister elle me donne son accord pour que j’en fasse l’essai… qui a fort bien marché.


Depuis, je lui ai créé un site web où on paye en ligne les prestations que l'on demande, les affaires se portent au mieux et pour m'avoir il faut maintenant compter une semaine d’attente.


Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un nouveau client. C'est un mec la mi- cinquantaine. Je monte mon matériel tout en lui demandant quel type de massage il veut et avec quelles huiles essentielles il préfère se faire masser. Je lui explique les différentes variantes possible, selon le choix de massage qu’il a payé. Il me demande quelle tenue mettre pour se faire masser.

  • Vous avez pris un massage complet. Le mieux c'est que vous vous mettiez nu. Sinon un caleçon ou une petite serviette pour couvrir votre intimité mais, attention, les taches d’huile ne partent pas toutes à la lessive!
  • A poil! C'est pas un problème, je suis naturiste.


Nu, il s'installe, le ventre sur la table de massage et je commence mon office. Pour un mec dans la cinquantaine il a de beaux restes.


Il semble aimer ce que je lui fais, ses muscles se relâchent complètement. Quand j'en ai fini avec son dos il se retourne… et sa queue est au beau fixe. À la fin de ma prestation, il me propose un billet de 50 euros pour que je le «finisse».


Pendant que je remballe mon matériel:

  • Tu vois… au fait. je peux te dire tu ?
  • Oui, bien sûr.
  • Je ne regrette que deux choses dans ton massage, très bien fait, ceci dit. La première, c'est quand tu me massais les fesses et que tu sois resté aussi éloigné de mon petit trou. Il fait pourtant partie de mon corps. Et l'autre c'est que tu ne m'as pas massé en étant nu, toi aussi. Si je refais appel à tes services, ça pourrait être des options envisageables ?
  • Tout se négocie, pourquoi pas. En revanche si ça se produit, ce qui n'est pas encore certain, on ne touche qu'avec les yeux. Ce sera toujours moi le maître du jeu.
  • Ça va de soi… Au fait, tu sais qu'on est en quelque sorte voisin ?
  • Pardon ? Je ne comprends pas de quoi vous me parlez.
  • La maison toujours fermée, juste à côté de l'institut de massage, elle est à moi.
  • Je vois! Mais pourquoi reste elle inhabitée?
  • J’y habitais encore il y a moins de 5 ans, avant d’acheter ici. J'avais commencé à y faire effectuer des travaux de rafraîchissement, en vue de la mettre en location mais comme l’entrepreneur n’avançait pas et qu’il l’a pris de haut quand je m’en suis plains, je l’ai viré et j’ai demandé à d’autres sociétés de me faire des devis. Mais depuis, j’ai eu le temps de réfléchir et je crois que je vais la vendre. Plus d’entrepreneur à gérer et quand j’entends tous les problèmes que peuvent causer certains locataires… Je n'ai plus envie de m'emmerder avec des locations.
  • C'est foutu comment, dedans ?
  • En bas, là où il y avait un magasin et sa réserve j'en ai fait un grand garage où tu peux facilement mettre deux ou trois voitures et au-dessus deux étages de 80 m2 plus des combles, aménageables et une petite cour derrière.
  • Et vous vendez ça combien ?
  • Le notaire m'a dit que pour m'en débarrasser et ne pas être emmerdé par les impôts 450 000 euros ça serait parfait.
  • Ça serait possible de la visiter ?
  • Tu veux me l’acheter ?
  • Pourquoi pas. Il faudra bien que j’aie un truc à moi un jour ou l'autre et c'est vraiment pas loin de mon boulot. Ha, ha, ha!
  • Ça c’est une certitude Mais Dany, tu penses pouvoir réunir l'argent pour payer ?





Dany c'est mon nom pour le boulot, les clients ne savent pas que, mère et patronne, ne sont qu’une seule et même personne. Et là, je lui sors une fable à faire pleurer les pierres. Mes parents et ma sœur tués dans un accident de voiture à cause d'un camion, moi placé en orphelinats ou des maisons d'accueil … et l'argent ce sont les assurances et les sommes versées par la société de transport pour les préjudices que j'ai eu. Je lui précise que je viens de les toucher puisqu’il fallait attendre mes 21 ans .




  • Tu as quel âge, Dany ?
  • J'en aurai 22 dans 8 mois.
  • Si tu veux cet après-midi à 14 heures on se retrouve devant la maison ?
  • Normalement, ça doit être bon. Je consulte mon planning… Oui, c'est bon. Je n'ai pas de rendez-vous fixé avant 17 h.


14 h précises il est là. Il ouvre la porte d’entrée, il met en route le compteur électrique, me fait entrer et referme. Il ouvre une porte sur la droite au bas des escaliers. C'est le garage. Au fond du garage une autre porte qui donne sur une petite cour entourée de chaque côté par les murs aveugles des immeubles mitoyens et fermée d'un haut mur percé d'une porte qui donne sur la rue derrière. Il n'y a pas grand-chose à voir dans les étages si ce n'est deux grandes pièces vides avec deux fenêtres de chaque côté. Les combles sont hauts parce que même au bord du mur je peux me tenir droit.

  • Alors, Dany, tu en penses quoi de la maison ?
  • Pas mal du tout, l’immeuble est sain, bien isolé et il y a du double vitrage partout. Cependant, c'est compliqué d’imaginer un agencement qui me plairait et serait pratique à l’usage.
  • La prochaine fois que tu viendras me masser, fais moi penser à te montrer des plans que j'avais fait faire. Il y en a un où j'avais prévu de faire un appartement par étage, un autre où il y avait 2 lofts sur les 3 étages et un autre encore où seuls les 2 premiers étages servaient.
  • Ça me donnera peut-être une idée de ce que je pourrai en faire. Vous pouvez attendre de m'avoir montré les plans, avant de la mettre en vente ?
  • Mieux! J'attendrai même ta réponse avant de le faire. J'ai repris un rendez-vous avec toi pour la semaine prochaine. Tu pourras attendre jusque-là pour voir les plans ?
  • Oui pas de souci, à la semaine prochaine, alors. Au revoir!


Je vais vite à mon rendez-vous de 17 h et je me dépêche de rentrer. Ce soir, j'ai un autre rendez-vous ‘’ massage’’ mais cette fois, pris sur mon site d'escorte. C'est un jeune gay qui a 20 ans et ses amis lui offrent un ‘’spécial complet’’ prestation de deux heures. Depuis que je suis dans le métier, ça sera le premier mec à qui je vais offrir mes services sexuels, chouette, ce minet va faire remonter en moi de bons souvenirs. J'ai échangé plusieurs mails avec l'organisateur, pour mieux connaître le garçon. Au fil des échanges je me suis fait une petite idée de la personnalité de mon futur client.


J'ai en tête tout un scénario qui devrait l'empêcher de dormir une bonne partie de la soirée.
21 heures, je sonne à sa porte. J'ai avec moi mes outils de massage. Il m'ouvre, surpris. Je lui tends l'enveloppe avec le petit mot que ses amis m'ont donné pour lui. Il le lit, devient rouge et finit par me fait entrer.

  • Je dois faire quoi ? On ne m'a jamais massé.
  • As-tu déjà pris ta douche ?
  • Non, pas encore. J'allais le faire.
  • Allons y ensemble, si tu veux.
  • Tu… tu veux venir te doucher avec moi ?
  • Ce n'est pas prévu, je veux juste t'aider à te laver et te détendre. Mais si ça te fait plaisir, je veux bien me doucher avec toi.
  • Ça sera la première fois que je me douche avec quelqu’un… mais oui!


Au sortir de la douche il bande comme un âne et ses yeux n’ont pas quitté de vue mon sexe… qui n’est plus tout à fait au repos. C'est avec une serviette nouée autour de la taille que je le suis, quand on retourne au salon. J'installe la table de massage et je le fais s’y allonger, nu, sur le ventre. Ce garçon a un corps magnifique et complètement glabre. Je le masse avec plaisir. Le gars avec qui j'ai échangé des mails m'a parlé un peu de son copain. Il est plutôt passif, et s'il n'a pas souvent des aventures – un timide, paraît-il. Il se sert beaucoup de ses sex-toys. Alors quand j'en arrive à ses fesses je m'amuse à bien exciter son petit trou tout lisse… où j'ose plusieurs doigts, pour son plus grand plaisir. Et quand je lui demande de se retourner, il est rouge vif mais affiche un superbe sourire et je vois que mon massage lui a été profitable. Il y a une grosse tâche de sperme où était sa queue et son ventre ainsi que son gland sont poisseux.


Après lui avoir massé le devant – ce qui l’a complètement revigoré - on va dans sa chambre où je lui fais l'amour deux fois, de toute ma science. C'est au moment où je devrais lui dire qu’il est temps pour moi de prendre congé que tout rougissant, il me demande gentiment si je veux passer la nuit avec lui.


C'est lui qui me réveille en me taillant une pipe. Je le remercie en lui bouffant le cul et en lui faisant l'amour, avant de partir. La nuit et le petit coup du matin, ne sont pas prévus dans la prestation négociée mais il faut savoir se sacrifier, parfois. (N’est-ce pas?)


Cet après-midi, je n'ai que le massage d'une cliente, devenue régulière, qui se limite à un massage tantrique de son sexe jusqu'à ce qu'elle jouisse. Eh oui, en cachette de ma mère, Adèle, a bien voulu me montrer tout ses petits secrets, me servant à la fois d'instructeur et de cobaye. En échange je lui mettais un bon coup de bite, discret, parce que son mec - qui est en prison depuis un an - est dangereux et très jaloux, cependant ne pas avoir du sexe en réel lui manque, même si sa collection de sex-toys ne chôme pas.


Il ne faut pas croire que le reste du temps je ne fais rien. Tous les matins je cours, ensuite je vais faire une heure de muscu à la salle et deux soirs par semaine je vais au club de fight où je retrouve souvent les deux mini-loubards – on a sympathisé… mais de loin.


Et pour me défouler je me suis inscrit dans un club de tir qui prête des armes. C'est là que j'ai rencontré Marc, un homme de 46 ans qui, deux jours par semaine, donne des cours d'utilisation d'armes blanches anciennes. Ça va de la lance en passant par l'arc ou l'épée mais aussi de la fronde, des bolas et bien d'autres encore. Là aussi, il me faut peu de temps pour que j’excelle. C'est au lancé de couteaux que je me suis surpris moi-même, avec la rapidité d’apprentissage d’atteindre la cible.


Puis, c'est Benoît, un gars du quartier, un monte-en-l’air, travaillant dans les quartiers chics de la ville, qui en échange de la réparation de son ordi m'apprend à crocheter les serrures. Ça ne me servira jamais à rien mais bon c'est tout ce qu'il a pour me payer mon travail – faut dire que physiquement c’est vraiment pas ma came, sa gueule a plus de boutons que son clavier d'ordi.


Je passe le week-end avec une dame BCBG dans un hôtel en Bretagne. Elle est moche, radine et à part le missionnaire, elle n'a aucune imagination. Quel gâchis!


Le mardi, je revois le propriétaire de la maison. Je l'ai massé en étant nu, selon son souhait et je me suis beaucoup occupé de son petit trou - qui n'est plus aussi petit, après le massage. En plus du supplément négocié à la base, il me donne un très, très, très bon pourboire. Faut dire qu’il a joui deux fois et qu’il a kiffé que je sois épilé intégral.


Puis, avant même de nous être rhabillé, il me montre les plans. Celui du loft est juste parfait. Sauf qu'en haut il y a quatre chambres de prévues.

  • Alors le plan te plaît ?
  • En grande partie. Coté cours je ne vais faire qu'une chambre avec sa salle de bain privative et un grand dressing.
  • Oui, c'est bien aussi mais ça va te faire une chambre de moins.
  • Je ne compte pas faire des chambres d'hôtes chez moi.
  • On peut signer le compromis de vente ?
  • Dès que vous voulez.
  • J'en ai des pré remplis. Il ne reste plus qu'à mettre ton nom, la somme et signer. Et je le contre signerai pour dire que j’accepte. Il ne me restera plus qu'à voir avec le notaire quand on pourra signer la vente définitive. Cependant je te demanderai un chèque de banque certifié.
  • Ça ne sera pas possible. J'ai un compte en ligne et pas de chéquier. Mais je vous ferai un virement immédiat chez le notaire. Pareil pour ses frais.
  • Ça me va aussi. Pour les travaux tu vas procéder comment ?
  • Ça, j'en sais rien. Je n’y connais rien en travaux.
  • Si ça peut t'aider je téléphone au maître d'œuvre qui a fait les plans et je lui dis de te contacter. C’était lui qui aurait dû reprendre les travaux, il n'est pas cher et très sérieux.
  • Je veux bien, merci.


Trois jours après, j'ai rendez-vous avec Armand ( le maître d'œuvre) à son bureau. J'y vais avec le plan qui m’intéresse, je lui dis les modifications que je veux faire dessus. Il prend beaucoup de notes et quand j'ai fini de parler c'est à son tour. On se met d'accord sur mes désidératas. Il fera la demande de permis de construire à ma place. Il me tiendra au courant par mail et si tout se passe bien on ne se reverra que pour la livraison du produit fini...


2 semaines après je signe chez le notaire.
Je fais les virements et je reçois 3 jeux de clefs. J'en donne 2 à Armand et les travaux commencent la semaine suivante, à la surprise de tous. Une fois par semaine je reçois un fichier photo qui me montre l'avancée des travaux. Pour tout ce qui est huisserie, portes, serrures, je demande à Benoît lesquelles sont les plus sécures et dures à forcer. C'est, évidemment, celles que je fais installer.




Trois mois plus tard, après avoir fait plusieurs fois le tour de la maison je signe un quitus à Armand. Il ne reste plus qu'à la meubler… Et à dire à ma mère que la maison m’appartient. Je fais ça un soir après la fermeture de l’institut. Elle le prend plutôt bien, même si je vois qu’elle semble dubitative quant à la façon dont je vais devoir rembourser cet achat. Bien sûr, il faut vite aller voir à quoi ça ressemble. On passe par derrière pour plus de discrétion. C'est le cas de le dire, on entre par la petite porte. Après avoir fait le tour elle trouve ça très bien. On rentre manger.

  • Alors, ça y est, tu vas partir ?
  • Pourquoi? tu me mets dehors!
  • Mais qu'est-ce que tu racontes comme connerie? J’imagine juste que, maintenant que tu as ta maison, tu vas vouloir ton indépendance.
  • Je suis bien ici, avec toi. Donc, il n’y a pas d’urgence… C'est juste qu'il faut que je t'avoue autre chose. C'est comment j'ai fait pour la payer.


Et je lui déballe ma combine. Elle en bégaie tellement elle est en colère contre moi. Et dès que j'essaie de me défendre elle m'en remet une couche… Pour , au bout d’une Très looongue heure, finalement décréter que c'est de l'argent bien dépensé.


C'est avec elle que je vais choisir tout ce qu'il faut pour la meubler. Là, pareil, par souci de discrétion, une fois mes achats faits, c'est Armand qui se charge de tout monter et installer.

  • Ça a vraiment de la gueule maintenant que c'est meublé, Tom. C'est presque dommage que ça reste inhabité.
  • Si tu veux, on déménage d’ici.
  • Idiot, on n'est pas bien chez moi ?
  • Bien sûr que oui, Maman.
  • Alors on va continuer à la jouer discret et quand tu te seras enfin décidé à avoir un travail à plein temps honorable, tu pourras toujours dire que tu le loues meublé.
  • Mais qu'est-ce que tu reproches au travail que je fais ?
  • Il n'est pas digne du potentiel que tu as.
  • Peut-être, mais il me plaît, Maman.
  • Que tu es énervant parfois. Tu mériterais des gifles.
  • Moi aussi, je t'aime maman.


Demain, j'ai 22 ans.


Ma mère est partie depuis deux jours pour la semaine. Pour ne pas être seul, je sors en boite. C'est une soirée étudiante qui est prévue dans l’établissement. Quand je passe à la caisse le gars me demande ma carte d'étudiant et je lui fais mon regard de chien battu, en lui disant que je l'ai oubliée. Il me croit et me demande 10 euros d’entrée puis me tend un ticket qui me donne droit à une boisson. C'est bondé. Je vais danser un peu et je me rabats sur le bar qui n'en est pas moins peuplé que la piste de danse. Ça torche sec. Il y a déjà pas mal de viande saoule. D'où je suis je vois toute la salle et le bar. J'assiste à quelques échanges pas très clairs mais ça ne me regarde pas.


Une main se pose sur mon épaule. C'est le petit minou que je suis allé masser pour son anniversaire - Simon. Il me fait la bise.

  • Encore merci pour ce que tu as fait pour mon anniversaire. Je m'en souviendrai toute ma vie tellement tu m'as donné du plaisir. Je serai milliardaire je t'embaucherai à l’année.
  • Bin dit donc, je t'ai vraiment marqué.
  • Plus que tu ne peux l’imaginer.
  • Et si je te propose de t’accompagner chez toi, là, tout de suite, afin de remettre ça ,tu dis quoi ?
  • Oh! C'est cruel de te foutre de ma gueule. Tu veux que je le prenne où, le fric pour te payer ?
  • Et si je te dis que c'est gratuit aujourd’hui, tu en penses quoi ?
  • Hein! Donne moi deux minutes, le temps d'aller dire à mes potes que je rentre et on y va.


Ni l'un ni l'autre n’est venu en voiture. C'est à pied qu'on va chez lui. Dès qu'il y a un coin sombre on en profite pour se rouler des pelles, se tripoter et en traversant un parc il en profite même pour me tailler une pipe derrière un bosquet. Il stoppe juste avant que j'éjacule, cet enfoiré. J'ai beau râler, le supplier rien n'y fait. Il veut que je me réserve pour ses fesses. Pff!

  • On est bientôt arrivé… Si tu veux bien, on va satisfaire un de mes fantasmes dans 5 minutes. Tu vas vite comprendre!

On arrive, on entre dans l'ascenseur et entre deux étages, il le stoppe. Son regard devient lubrique. Il me pousse contre la paroi du fond, s'agenouille devant moi en ouvrant mon jean et en baissant mon pantalon et mon boxer. Heureusement que j'ai débandé entre-temps, sinon il m'arrachait la queue.

  • Cool! Elle est de nouveau molle. J'adore sentir une bite grossir dans ma bouche.
  • Dépêche toi alors parce que je ne vais pas tarder à rebander.


Il m'avale en me caressant les fesses. Je bande comme un âne en quelques secondes. Il en a les larmes aux yeux quand il m'avale en gorge profonde. Et quand je suis bien dur et bien chaud il se relève, baisse son pantalon et son boxer, m'enfile une capote, prend place, face au miroir, en cambrant bien ses fesses, et me dit :

  • Vas-y, baise moi fort et fais moi jouir. Prends moi d'un coup, je me suis préparé.


Je fais comme il dit. Ses sphincters cèdent sous ma poussée et ma queue s'enfonce d’une traite, sans problème, entre ses fesses. Quand mon pubis les touche je me mets à pomper en lui à grands coups de reins, si puissants qu'il est collé contre la paroi. Il arrange sa queue. Au bout de 5 minutes j'ai déjà envie de gicler. Je commence à ralentir mais il me dit de continuer le rythme rapide, qu'il va jouir.


Quelques secondes après, son cul se contracte sur ma queue, il gémit de plus en plus fort et je sens son point de non-retour atteint. Il tremble de la tête aux pieds et son anus spasme sur ma bite. Je n'en peux plus et je lâche mon sperme dans la capote, enfoncé bien au fond de son cul. Je me retire, il se retourne et me roule une pelle magistrale. On se rhabille et il remet l'ascenseur en route.


Une fois chez lui, il est redevenu le petit garçon timide de la première fois. Il m'offre un coca, on discute un peu et il me propose une douche. On s'y caresse, on se lave, on se suce et de là on va à la chambre où on fait tendrement l’amour. On vient de jouir quand la porte de la chambre s'ouvre sur trois mecs - dont son colocataire, qui prend la parole.

  • Oups, désolé, je ne voulais pas vous déranger. J’ignorai que tu étais accompagné. Je voulais seulement voir si tu étais bien rentré. Je vous laisse tranquille mais si on vous empêche de dormir parce qu'on fait trop de bruit, vous n'aurez qu'à venir nous rejoindre.


Son pote referme la porte. On se câline le temps que nos queues reprennent de la vigueur. De l'autre côté de la cloison ça baise, sans nul doute. Enfin ça commence. Par moment on entend des bribes de conversation. ''oui continue, avale bien ma queue, putain, c'est trop bon comme tu me bouffes le cul, oui enfonce bien ton doigt, oui vas-y continue'‘.

  • Dany, participer à une partouze, c’est un autre de mes fantasmes. Tu veux qu'on les rejoigne ?
  • Tu en as encore beaucoup des fantasmes de ce genre ?
  • Plus qu'un, après je les aurai tous faits.
  • Et c'est quoi ton troisième fantasme ?
  • Un plan à trois, avec un mec et une meuf.
  • T'es bi, toi ?
  • C'est plus compliqué que ça. Avec les meufs je suis très actif limite un peu domi mais avec les mecs je suis une vraie salope qui adore boire leur jus et se faire démonter le cul. Alors Dany! Ça te dit qu'on les rejoigne?
  • Tu sais que moi non plus je n'ai jamais fait de partouze Simon ?
  • T'es sérieux ? Pourtant avec ton boulot je pensais que tu avais tout vu.
  • Et non, Simon, tu vois moi aussi j'ai des lacunes. Le plus que j’ai fait c’est avec deux potes. On va les rejoindre ?


Quand on ouvre la porte il y en a deux qui se sucent et le troisième bouffe le cul de celui du dessus.

  • On peut s’incruster ?
  • Sans problème. On se demandait combien de temps vous alliez mettre pour venir.


Un autre gars et moi on n'est qu’actif, les 2 autres sont versa. Il n'y a que Simon qui est passif et qui a eu droit à nos 4 queues. Les 2 versa ont eu droit à 3 parce qu'ils se sont pris l'un l'autre au cours de la soirée et vers la fin, alors que le jour se lève, il n'y a plus que moi qui aie la queue encore raide. C'est vrai qu'en tant que travailleur du sexe j'ai plein de combines pour faire jouir mes partenaires sans jouir moi-même. Simon me prend par la main et on retourne à sa chambre. Il s'allonge sur le lit, remonte ses jambes au niveau de sa tête et me demande de le prendre tant que je n'aurai pas joui. Il a le temps de jouir 2 fois sans se toucher avant que je jouisse. On se fait un bisou et on s’endort.

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RE: Le fils de putes - stuka132 - 22-04-2025

c est chaud   c'est detaile sans etre vulgaire  .. du Gaetan !! j adore!


RE: Le fils de putes - gaetanbg - 28-04-2025

On se réveille presque au même moment. Simon me fait un grand sourire avant de se coller à moi en me faisant des petits bisous. On aurait bien continué mais l'envie de pisser qu'on a, autant lui que moi, est trop forte. On se lève et on traverse le salon nos queues bien droites nous précédant. Ça fait rire les gars qui sont en train de préparer le petit-déjeuner. On en profite pour prendre une douche et on rejoint les autres qui , comme nous , sont à poil.

  • Quand vous êtes rentrés vous n'avez rien remarqué dans l’ascenseur ?
  • Non, rien de spécial. Y'avait quoi dans l’ascenseur ?
  • Y'avait plein de sperme qui avait coulé sur la glace. Y'a sûrement quelqu'un qui s'est branlé et qui a joui dessus.


Simon pique un fard. Loïc s'en rend compte.

  • Simon, tu vas pas me dire que c'est toi et Dany.
  • Eh bien si, c'est nous. Dany m'a pris dans l'ascenseur et il a fait ça tellement bien que j'ai juté contre la glace sans me toucher. C'était un de mes fantasmes.
  • Tu en as beaucoup des fantasmes comme celui-là ?
  • J'en avais 3 mais il ne m'en reste plus qu'un à satisfaire. Mais vous ne pouvez pas m'aider à moins qu'un d'entre vous soit bi et qu'il connaisse une meuf qui a envie d'un plan à 3 Rémi.
  • Tu viens de dire que tu en avais 3 mais tu n'as pas parlé du deuxième. C'est quoi ?
  • C'était faire une partouze et me faire baiser par tous les participants. C'est ce que j'ai fait hier soir, Antoine.


La conversation dérive sur les fantasmes de chacun. Pour Antoine c'est d'avoir un harem de minets passifs et bien gaulé toujours prêts à le satisfaire, pour Loïc qui est un grand fan de mangas et de jeux vidéo c'est de trouver des gars avec qui baiser dans les tenues de leurs héros favoris. Pour Rémi c'est un peu pareil. Lui ça serait de faire des jeux de rôle style le grand frère qui forme son petit frère, ou maître esclave, avec un peu de SM soft.

  • Et toi, Dany, c'est quoi tes fantasmes ?
  • Je n'en ai qu'un et il est bien plus sage que les vôtres.
  • Bon, bin, vas-y accouche.
  • Ça serait de trouver un gars qui m'accepte tel que je suis, avec qui je pourrais partager des choses.
  • En gros tu te cherches un mec, quoi.
  • Oui et c'est pas facile.
  • Attends, tu vas pas me dire qu'un beau gosse comme toi a du mal à trouver des mecs.
  • Déjà, c'est pas si souvent que ça que je me tape des mecs, le dernier avec qui je suis allé ça a été Simon pour son anniversaire. Alors tu vois, les autres, c'était pas hier.
  • Tu vas pas nous faire croire que depuis 2 mois tu n'as plus baisé.
  • Avec des mecs si, en revanche j'ai niqué plusieurs meufs entre temps.
  • Ok, t'es bi, mais qu'est-ce qui t'empêche de te taper des mecs quand tu en as envie.
  • Mes boulots, simplement.
  • C'est quoi ces boulots de merde que tu fais ?
  • Le premier, c'est masseur et je suis aussi un travailleur du sexe.
  • Tu veux dire que t’es un gigolo ? Qu'une bonne femme t’entretient ?
  • Non, même pas. Je fais la pute, pour parler cru. J'ai un site où les gens me contactent, me disent ce qu'ils attendent de moi, j'envoie le tarif et si ça leur convient on prend rendez-vous ensemble.
  • Tu fais que les femmes ou tu fais aussi les mecs ?
  • En massage, j’ai la formation pour les deux. J’ai autant de femmes que de mecs. Mais comme gigolo, jusqu’à présent, je n'ai jamais eu de demande de la part de mecs.
  • Pourtant pour l'anniversaire de Simon, vous avez bien baisé ensemble.
  • Oui, c'est vrai. Pour l'anniversaire de Simon vous aviez payé pour un massage sensuel avec finition. Mais le sujet m'a inspiré et je trouvais que c'était un peu juste comme cadeau d'anniversaire, alors, je lui ai fait le mien. Et puis il était si beau et si timide, allongé sur ma table, à frissonner chaque fois que je posais mes mains sur lui.
  • On sait pas ce que tu lui as fait mais tu as transformé notre petit puceau timide en vraie furie du sexe… Qu'est-ce qu’ il t’arrive, Simon ? Tu glisses de ta chaise!
  • Non, je me laisse glisser! Continuez à parler. J'ai mieux à faire.


Il passe sous la table et commence à nous branler et à nous sucer. À ma grande surprise Antoine va le rejoindre. La position n'étant pas confortable, à la longue, on se retrouve vite tous les cinq au lit où on remet le couvert. Antoine et Rémi sont en 69 et à quelques centimètres de ma bouche j'ai un cul qui s’agite. Loïc s'occupe de ma queue et Simon de la sienne.

  • Antoine, j'ai envie de te bouffer le cul. Je peux ?
  • Oui, vas-y Dany, j'aime ça.


Je lui fais ça tellement bien qu'il ne se rend compte que j'y ai enfilé un doigt que quand je me mets à jouer avec sa prostate.

  • WOW! Putain, tu me fais quoi là, Dany ? C'est trop bon. Continue.


Quand il jouit, Rémi n'arrive pas à tout avaler et il s'en prend un max aussi sur la tronche. Je retire mon doigt. Antoine demande à Rémi de se mettre à quatre pattes, lui bouffe le cul et y enfile un doigt.

  • Tu fais quoi, Antoine, avec ton doigt ? Ce n’est pas ton doigt que je veux mais ta queue.
  • Je veux te faire d’abord comme Dany m'a fait. C'est trop bon. Dany, tu veux bien me montrer comment faire ?


J'enfile mon doigt dans le cul de Rémi, je trouve sa prostate.

  • Enfile aussi ton doigt, Antoine. Tu sens la petite boule, là ?
  • Oui, je la sens. Je fais quoi maintenant ?
  • Tu appuies dessus, tu joues avec, tu la frottes plus ou moins fort. Tu vas voir, Rémi va grave aimer ça.


Je les laisse à leurs affaires et j'enfile la capote que Loïc me tend et le pénètre. Il est déjà installé bien confortablement dans le cul de Simon. On jouit presque tous au même moment. On va tous prendre une douche et on se rhabille.

  • J'ai faim, on se fait un mac do ou on va au resto U ?
  • Je ne suis pas trop en fonds en ce moment. Si vous voulez allez-vous faire un mac do, j'irai au resto U.
  • Je vous offre le mac do à tous, Simon.
  • Mais j'ai pas dit ça pour ça, Dany.
  • Oui, je sais. Mais tu m'as invité chez toi, vous m'avez offert le petit-déjeuner. Alors je peux bien vous offrir le mac do.
  • On est des gros mangeurs. On voudrait pas te ruiner. Offre le mac do à Simon et nous on se payera les nôtres.
  • Comme vous voulez mais c'est de bon cœur que je vous l’offrirais.


Il n'y a pas grand monde. On s'installe sur une table à l’écart. Ils parlent cours, ensemble. En particulier d'un prof qui leur pourrit la vie en leur donnant des sujets de partiel plus qu’ardus. Jusqu’à présent aucun étudiant n'a réussi à obtenir plus que la moyenne avec lui.

  • Si au moins on pouvait pirater son ordi on saurait à quoi s’attendre.
  • Ça se passe comment vos examens ?
  • Au début de l'année il nous a demandé d'acheter une clef USB chacun qu'il a codé pour savoir laquelle était à qui et il nous met les sujets dessus. Il nous les donne au début de l'examen et les reprend au bout du temps imparti. Il nous les rend pour la correction de l’examen, nous les laisse 2 ou 3 jours et on doit les lui rendre pour le prochain. Ça me fait penser que je dois prendre la mienne sinon demain je vais me faire pourrir.
  • Vous les avez, là, avec vous ?
  • Oui, depuis 3 jours.
  • Vous pouvez m'attendre une demi-heure, le temps que je fasse l'aller-retour jusque chez moi ?
  • Si tu veux, mais tu vas faire quoi, chez toi ?
  • Je veux aller récupérer un disque dur.
  • Et que veux-tu faire de ce disque dur ?
  • Vous verrez bien.


Ils m'attendent, dehors. J'ai pris aussi mon ordi. On rentre chez Simon et Loïc. J'allume mon ordi, je branche le disque dur et Simon me donne sa clef USB dont j'analyse le codage. Je demande aussi la sienne à Loïc. Et après mon investigation, je déclare:

  • C’est un putain d'enfoiré, votre prof!
  • Tu as vu les sujets qu'il nous donne.
  • Oui mais c’est pas tout. Simon, Loïc vous voulez pas mettre en route vos ordis ?
  • Pourquoi faire ?
  • Je vais vous montrer. Simon, reprends ta clef USB et mets là sur ton ordi. Fais pareil Loïc.


Ils font ce que je leur demande et au bout de quelques minutes j'ai piraté toutes leurs photos, vidéos et leurs mots de passe. Sans qu’ils s’en doutent.

  • Bon, alors, tu vas nous donner les questions du prochain devoir ou… ?
  • Les mecs! Ça vous dit que je vous montre des photos cochonnes ?
  • Si c'est les tiennes, avec joie.
  • Heu, non, ce n’est pas les miennes mais les tiennes et celles de Simon.
  • C'est c’laaaaa, oui ! Tu les sortirais d'où nos photos ? Tu n'as pas touché à nos ordis et moi, j'en n'ai même pas, dedans.
  • En plus tu me mens, Loïc. Viens, je te montre en action.
  • Merde! C'est une vidéo que j'ai faite en train de me branler. Mais comment tu as fait ?
  • Y'a un putain de virus dans le codage de vos USB. J'avais jamais vu ça. Il suffit que les clefs soient branchées sur vos ordis pour que votre prof accède à toutes vos données personnelles pendant que vous planchez sur vos devoirs.
  • Oh! Tu es sûr de ce que tu dis, Dany ?
  • Non, Antoine, j'en suis certain. Et la tienne doit être pareille.
  • Vous voulez bien m'accompagner chez moi ? Dany, je voudrais que tu en parles à mon père.
  • C'est qui ton père ?
  • C'est le commandant de la brigade de gendarmerie.
  • Tu sais avec mon boulot je préfère éviter les condés. Pas que j'ai quelque chose à me reprocher mais tu vois, Antoine, dans le milieu où je travaille, si on me voit entrer à la gendarmerie autrement qu'avec les menottes aux poignets je vais passer pour une balance.
  • Ok, je comprends, je lui téléphone et je lui demande de venir ici avec mon ordi et ma clef. Ça te va comme ça ?
  • Oui! Tu crois qu'il peut récupérer aussi celui de Rémi au passage ?
  • Oui, c'est quasi sur sa route. Je lui téléphone ?
  • Vas-y fais le.


Antoine doit insister mais une heure après, son père est là avec les deux ordinateurs. Je lui explique vite fait ce qu'il se passe et il me demande s'il peut faire venir un de ses hommes – spécialiste qui y comprendra plus que lui dans ce que je raconte. J’accepte. Quand le second flic arrive je commence à lui expliquer le système intégré aux clés et comme on parle le même langage, ça va très vite. Je leur montre comment le prof s'y prend en utilisant les ordis de Rémi et d’Antoine.

  • Bon, on sait qu'il pirate les ordis de ses élèves. Mais ça ne nous dit pas quelles données il pirate.
  • Pour ça il faudrait balancer un contre virus dans son ordi, du même style que le sien, pour savoir ce qu’il vise exactement.
  • Tu peux faire ça, Dany ?
  • Faut que j'y réfléchisse mais ça doit pouvoir se faire.
  • J'y réfléchis de mon côté et toi du tien, le premier qui trouve avertit l’autre. Je te file mon mail professionnel, ça sera plus simple.
  • Mais en attendant nous on fait quoi ?
  • Rien, surtout rien sinon le prof va se rendre compte que sa magouille a été découverte et il aura le temps d’effacer toutes les preuves.
  • Les garçons, ceci est maintenant une affaire de gendarmerie, tout ça doit rester entre nous sept. Je peux vous faire confiance pour ne rien dire ?
  • Ok, c'est d’accord.


Les gendarmes partent. Antoine et Rémi repartent avec eux. Loïc va bosser ses cours. Je vais avec Simon dans sa chambre. Lui aussi doit bosser.

  • Dany, on peut s'échanger nos 06 ?
  • Oui Simon. De toute façon j’allais te le demander car on va se revoir. Donne moi ton tel je t’appelle…
  • C'est bon. Je t’enregistre. Tiens! pourquoi j'en ai reçu deux ? C'est qui l’autre ?
  • Le premier c'est Dany. C'est… on dira mon téléphone professionnel. L'autre c'est Tomaso, mon vrai prénom, et c'est mon téléphone privé. Vous n'êtes que très peu à l’avoir.


Une ou deux fois par jour, je reçois un SMS de Simon sur mon numéro privé. J'ai déjà échangé quelques mails avec le gendarme et petit à petit, ensemble, on arrive à une solution qu'on teste la semaine suivante sur des ordis qu'ils ont récupérés lors d'une perquisition.

  • Alors, ça marche? Demande le père d’Antoine.
  • Ça marche ! Très bien, même. En gros, on a mis un virus dans une vidéo. Dès qu'il va la lire le virus s'installera dans son ordi et chaque fois qu'il piratera, les données piratées s’implanteront également dans un sous dossier planqué et auquel il ne saura pas avoir accès. Le seul problème, c'est qu'il faudra qu'on soit suffisamment prêt de lui pour pouvoir, nous aussi, pirater ce que lui aura piraté.


C'est Antoine qui trouve la solution. Le lundi ils sont dans une salle où derrière le bureau du prof il y a une salle plus petite qui sert à entreposer d’anciens matériels et où personne ne va jamais. De toute façon elle est fermée à clef et c’est le concierge qui la détient.


C'est à la rentrée des vacances de Toussaint que les flics décident d’agir. Et c’est le lendemain, après avoir eu les éléments nécessaire à son inculpation, que je reçois une photo du flic: celle du prof avec les menottes, avec juste un mot ‘’Merci’’. C'est par les journaux mais aussi les indiscrétions d'Antoine et du flic, que j'ai des détails. En plus des nudes et autres vidéos à caractère sexuelle qu’il piquait à ses élèves… Ce ‘’gentil prof’’ donnait des cours de rattrapage, bénévolement à des ados de 13 à 18 ans et évidemment, leur fournissait les mêmes clés USB… avec les conséquences qu’il est facile d’imaginer!


La crise est passée et par pur plaisir, de temps en temps, je retourne voir Simon.


Une de mes clientes (de gigolo) me parle d'une de ses amies, «une originale!» selon ses termes, qui voudrait faire un plan à trois. Elle avec deux jeunes hommes. Elle est chargée de me sonder, afin de savoir si c’était envisageable de le faire par mon entremise. Je lui dis que son amie n'a qu'à me contacter via mon site et qu'on pourra en discuter directement ensemble.


C'est ce que son amie fait. Elle me dit ce qu'elle veut et de suite je pense à Simon. Il sera le parfait deuxième. Quand je passe lui en parler, il accepte de suite et on doit faire l'amour pour faire passer nos érections, tant l’anticipation de cette future baise nous a excité.


oOOOo


Après nos prouesses acrobatiques avec cette furie et une pause bien nécessaire, au moment de la quitter, elle me tend l'enveloppe contenant notre salaire. Je la mets dans ma poche et ce n'est que quand on est sortis que je compte. Elle ne s'est pas foutue de notre gueule, en rajoutant le pourboire. Je donne sa part à Simon qui n'en revient pas.

  • Tu gagnes toujours autant, quand tu vas chez quelqu’un ?
  • Non, là, c'est exceptionnel parce qu'on était deux et qu'elle nous a également demandé de nous amuser ensemble pendant qu'elle se branlait. Alors! ça t'a plu ce qu'on a fait ?
  • Grave trop et si elle te rappelle, tu peux compter sur moi. J'ai trop kiffé ça, de le faire avec elle et toi, en même temps.
  • Moi aussi j'ai bien aimé, je retiens ta candidature.
  • Tu ne comptes jamais l'argent, devant tes clients ?
  • Non, ça ne se fait pas.
  • Mais tu ne t'es jamais fait arnaquer ?
  • Si, trois fois, déjà.
  • Et t'as rien dit ?
  • Non, en revanche, si les clientes veulent à nouveau me réserver, je refuse. Et si elles insistent trop je leur dis pourquoi. Généralement ça coupe court à la conversation. Au fait! Tu vas pouvoir te lever demain, Simon ?
  • Oui ça ira. Demain je ne commence qu'à 10 heures. Le prof n'a toujours pas été remplacé.


oOOOo


Sautons quelques années - où j'ai profité de la vie et des plaisirs qu'elle donne. J'habite maintenant ma maison. J'ai repris des cours sur quelques lacunes que je voulais combler …


Un soir, en rentrant chez moi, je sens une piqûre dans mon cou et… plus rien. Quand j'ouvre les yeux, je suis attaché, à poil, sur un lit médicalisé, avec des fils branchés de partout. Un homme en blouse blanche, me tourne le dos.

  • Eh! Je suis où ? Qu’est-ce que vous me voulez ?
  • Ah, enfin, vous êtes réveillé. Pour répondre à votre première question, dans mon laboratoire et pour la seconde, ça va dépendre du résultat des tests que vous allez subir.
  • Hein! Et si je refuse de les passer ?
  • Calmer vous, jeune homme! J’ai profité que vous étiez endormi pour faire de premières évaluations. Laissez moi vous enlever tous ces électrodes, ensuite je vous donnerai de quoi vous habiller et je vous demanderai de bien vouloir me suivre dans mon bureau où nous pourrons discuter plus tranquillement. Il est inutile d'essayer de vous enfuir, une fois que vos entraves seront enlevées, le bâtiment est très bien gardé et sécurisé.

On entre dans son bureau où un autre mec nous attend assis dans un fauteuil.

  • Asseyez-vous Tomaso, on en a pour un petit moment à discuter.
  • Allez-y, commencez, j'ai un boulot qui m’attend.
  • Oui, oui, comme tout le monde. Comme je vous l'ai dit nous allons vous faire passer des tests d'aptitude physique, psychologique et d'autres encore dont je vous laisse la surprise.
  • Et si je refuse de les passer ?


C'est l'homme assis sur le fauteuil qui répond.

  • Dans ce cas-là, c'est la prison qui vous attend.
  • En quel honneur ? J'ai rien à me reprocher.
  • À part détournement de fonds sur plusieurs administrations françaises pour une valeur approximative d'un million deux cent mille euros. Fraude fiscale, car vous n'avez jamais déclaré vos gains d'escorte. Faire travailler des gens au noir chez vous, lors de la rénovation de votre maison… Vous voulez que je continue ou ça vous suffit ? Si vous passez les tests et que vous n'êtes pas celui qu'on recherche, vous serez libéré et vous n'entendrez plus jamais parler de nous ni même de ce que nous savons. Vous ne voulez pas les passer, c'est votre choix mais attendez-vous à plusieurs longues années de prison, même avec un très bon avocat.


Merde, mais comment ils sont au courant de tout ça ?

  • Ça consiste en quoi, vos tests ?
  • Pour commencer vous allez avoir des tests de QI divers et variés. Puis des tests physiques. Vous serez aussi mis en situation et ce sera à vous de vous en sortir… Je vous laisse la surprise de découvrir ça au fur et à mesure.
  • Ok! Et on commence quand ? Et pendant combien de temps?
  • Tout de suite si vous voulez et si vous vous sentez en forme. Et ne vous inquiétez pas pour le temps que cela prendra, pour vos proches, vous êtes parti précipitamment pour une durée indéterminée. Mais laissez moi vous présenter le professeur Charbon en charge du programme et je suis le général Carbone en charge de la sécurité.
  • Suivez moi jeune homme. Je vais vous équiper.


Une heure après, bardé de fils de partout qui sont branchés à un gros ordinateur, je m'installe devant l’écran d’un portable.

  • Appuyez sur ‘enter’ pour commencer, si vous voulez arrêter appuyez sur pause.
  • Et si j'ai envie de pisser ?
  • On vous apportera de quoi vous satisfaire. Vous commencez quand vous voulez. Vous en avez pour quelques heures. On vous apportera aussi de quoi manger dans quatre heures.


Au début c'est trop facile puis… ça se corse de plus en plus. J'ai droit à, de la logique, des maths, de la physique, de la chimie, je zappe celui de botanique parce j'avoue que je n'y connais rien. Ça me prend quatre plombes. je termine juste au moment où un gars m'apporte le repas.
Pendant tout ce temps, le vieux n’a fait que scruter des écrans et des diagrammes et jeter, de temps en temps, un œil sur moi.

  • C'est bon, j'ai fini.
  • Vous ne voulez pas les relire ou les corriger ?
  • Je pense avoir répondu à tout, sauf en botanique où je n'y connais rien. Je veux bien mettre des réponses au hasard mais ça ne sera que de la chance et du temps perdu.
  • Dans ce cas-là passons à d'autres tests.
  • On se calme prof. Je vais déjà souffler un coup et puis essayer de bouffer ce qu'il y a sur ce plateau, si on peut appeler ça de la bouffe, ensuite j'irai pisser et après on pourra s'y remettre.
  • Si vous préférez perdre votre temps en fariboles, faites ce que vous voulez.
  • On dit bien ''un esprit sain dans un corps sain'' prof et mes ‘’fariboles’’ sont nécessaires à mon équilibre. Par contre, avec l’aspect dégueulasse de la bouffe que vous me donnez, je ne sais pas si je ne vais pas mourir empoisonné avant. En revanche, si vous pouviez me dire où sont les toilettes, j’apprécierai!
  • Je vous appelle quelqu'un pour vous accompagner.
  • Vous savez, prof, depuis que j'ai trois ans, j'arrive à pisser seul.
  • Si vous sortez de ce labo seul, à l’heure actuelle, vous allez avoir la moitié des gardes de l'étage sur le dos.


Quand on reprend, j'ai droit à une visite médicale complète. Et quand je dis complète, c’est COMPLÈTE! c’est le check-up du siècle. C’est pendant 3 jours que je passe examen sur examen et tests après tests. Ça me donne l’impression d’être un astronaute en pleine préparation , lol! Puis pendant deux jours, plus rien. Le jour suivant c'est le général qui doit arriver. Au matin, un soldat m'a donné une tenue de sport en me disant de l’enfiler. Ça me change de la combinaison de travail que j’avais jusqu’ici. Toujours accompagné par deux soldats, j'arrive dans un hangar où plusieurs gars m’attendent, avec le général. Celui-ci me dit :

  • Maintenant, on va voir ce que tu peux valoir physiquement. On sait que tu es bon en sport et que tu te débrouilles bien en combat, avec ou sans arme. Nous avons étudié ton dossier d’internat et je pense que tu es prometteur. Aussi, on est là pour te tester. Chacun de ces hommes est instructeur et a une spécialité en combat, ils vont se mesurer à toi.
  • Ok, c'est quoi les règles ?
  • Gagner, par tous les moyens.
  • Ça me va.
  • Alors, commençons.


J'en prends pas mal mais j'en rends bien plus. Au bout de cinq gars je fais une pause, le temps de boire un coup. Et je recommence. Puis j'ai droit à une séance de tir où je fais un très bon score. Dans l'après-midi j'ai enfin droit de sortir en plein air pour courir autour d'un stade. C’est immense! Je dois être sur une base militaire. Mais où, ça j'en sais rien. Après les combats, le tir avec différentes armes, la course…


Maintenant, on me pose sur le faîte du toit d'un hangar et c'est sur la poutre centrale que je dois traverser. Après j'ai droit à un filin tendu à 10 m de haut et je dois franchir l’espace, d’un bout à l’autre, sur une distance de 50 m … J’ai la chance de ne pas connaître le vertige. Puis c’est de l’escalade, de la natation,… et ça continue comme ça, trois jours durant. Ça commence à me saouler ces conneries, surtout que je n’ai toujours pas eu d’explication sur le pourquoi de ma présence.


Au bout de deux semaines, on me conduit dans un bureau. Il y a le prof et le général. Ils me font asseoir. C'est le général qui commence à parler.

  • Tom, du point de vue physique et sportif tu es au top. Point de vue self défense, avec ou sans arme, les instructeurs t'ont traité de: sacré fils de pute. Ne le prends pas mal, pour eux c'est la meilleure appréciation qu'ils peuvent faire sur toi. Tu as donc validé toute cette partie. Je laisse le professeur Charbon te donner les résultats des tests qu’il t’a fait passer.
  • Jeune homme, votre cas me laisse perplexe. Si j'en crois les ordinateurs vous êtes le candidat idéal pour ce programme. Cependant vos tests psychologiques me font douter des résultats des ordinateurs. Vous êtes amoral, asocial, vénal, manipulateur, perfide, profiteur et bien d'autres choses encore.
  • Vous prenez pas la tête à me dire ce que je suis, prof, je le sais. Si vous n'étiez pas allé aussi longtemps à l’école, en me traitant également de fils de putes, ça aurait résumé tout ce que vous venez de dire sur moi.
  • Ne m'interrompez pas jeune homme. Je n'en ai pas fini avec vous. Pour mon plus grand déplaisir vous êtes notre seul candidat valable, alors, moi aussi, j'approuve votre choix.
  • Bon, vous allez accoucher et me dire ce que vous attendez de moi, maintenant.
  • Je vous ai déjà dit de ne pas me couper quand je parl...
  • Allez, ras le bol. Général, appelez qui vous voulez et emmenez moi en zonzon parce que l'autre là, il commence à me saouler grave avec ses grands airs. Je vais finir par lui en coller une!
  • Calme toi Tomaso. Et vous professeur venez en au fait…


***


Je vais vous épargner les explications scientifique de ce vieux schnock, tellement il se la pète avec son charabia.
En bref:


Cet espèce de savant fou travaille depuis des lustres sur la téléportation, espérant pouvoir déplacer l’homme instantanément. Au bout d’une vingtaine d’ années, certains résultats furent concluant et l’état a tout de suite pris en charge ses travaux…


En faisant des expériences avec des animaux, l'appareil avait ramené, en même temps que le rongeur, la coquille vide d'un animal n'existant pas sur terre. Ils ont ensuite essayé d'envoyer des machines robotisées qui, elles, ne sont jamais revenues… La machine ne semblait fonctionner qu’avec des organismes vivants.
Puis le professeur s'est rendu compte qu'il y a des fenêtres opportunes qui facilitent le transfert dans des univers parallèles. Parce que, oui, le sujet n'est pas téléporté ailleurs sur terre ni même sur une autre planète mais dans un univers parallèle à la terre.


Comment le sait-il?


Parce qu’ils ont fini par y envoyer un homme… qui en est revenu fou et nu! Mais, le gars, dans ses délires, parle de ce qu'il a vu et vécu là-bas. Ils ont décidé de renvoyer un homme mais cette fois avec un esprit scientifique (qui se sert de 20% de son cerveau). Lui est revenu au bout des cinq jours impartis, conscient mais mourant et également nu. Il n'a pas eu de chance. La machine l'a envoyé dans un univers parallèle correspondant à notre jurassique. Il s'est caché la majeure partie du temps mais il s’est fait attaquer par une bête, juste avant d'être rappelé par la machine. Avant de succomber, il a réussi à leur dire qu'il y était arrivé nu. Tout ce qu'il avait emporté avec lui ayant disparu pendant le voyage… Ceci expliquant la nudité du premier gars à son retour et que nul robot ne soit revenu!


Depuis, cela faisait plus de trois ans qu'ils recherchait le sujet parfait et c'est en consultant les dossiers de tous les lycées, via des algorithmes de recherches, qu'ils sont tombés sur le mien. Il y a maintenant plus de huit mois que je suis sous surveillance et qu’ils étudiaient ma vie au microscope, c'est comme ça qu'ils ont trouvé toutes mes petites magouilles et autres… spécificités, dirons-nous!


Reprenons avec Charbon.


***

  • La prochaine fenêtre est dans trois mois. Vous partirez à ce moment-là.
  • D'après ce que vous venez de dire Prof, vous me proposez un aller simple pour une destination inconnue et où je vais arriver à poil et peut-être y laisser ma peau.
  • Oui, c'est à peu près ça. Mais il s'agit d'un aller-retour et non pas d'un aller simple, comme vous dites.
  • Et j'ai une chance sur deux de devenir fou et une chance sur… je ne sais combien, de me faire tuer.
  • C'est pour ça qu'on a testé vos capacités à vous défendre et vous avez passé haut la mains tous les tests les plus durs.
  • D'accord et ça me rapporte quoi de participer à votre programme ?
  • Vous allez faire avancer la science, vous allez découvrir des mondes nouveaux d'où, dans la mesure du possible, vous rapporterez des informations ou des artefacts qui permettront de faire avancer la science dans notre monde et de propulser ainsi notre pays à la tête des pays développés.
  • Ça, je m'en fous de ce que vous voulez faire des découvertes que je ferai. Je vous parle de choses concrètes professeur. Ça va me rapporter combien, en pognon, d'aller dans vos mondes parallèles ?
  • Je lui parle avenir de notre pays, de l'avenir de notre planète, il me répond argent.
  • Si c'est pour faire ça à l'œil je préfère aller en prison. Je vais prendre quoi ? 5 ou 10 ans très grand maximum. J'en sortirai à 25 maximum 30 ans. Il me restera une cinquantaine d'année à vivre tranquille. Alors, oui, définitivement je préfère aller en prison. Je refuse de participer à votre programme.
  • Mais, mais, mais… vous ne pouvez pas nous faire ça! Le temps de retrouver un autre sujet, de le former, nous ferait perdre beaucoup trop de temps.
  • Alors mettez la main au porte-monnaie. Et ne soyez pas radins. Vous qui savez tout de moi, vous connaissez mon train de vie.
  • Vous verrez ça avec le général. Alors, vous accepterez ?
  • Je vous le dirai, après avoir discuté monnaie avec le général.
  • Tom, ça ne va pas dépendre que de moi. Le budget pour ce programme est faramineux mais comme pour le moment il n'a rien rapporté, de plus en plus de monde dans les hautes sphères veut qu'on l'abandonne pour se servir de l'argent qui nous est alloué pour d'autres choses plus utiles selon eux et surtout, qui permettraient leurs réélections.


On fait une pause avec le prof et je suis le général dans son bureau. La discussion est âpre et difficile. Finalement on arrive à un accord. 25 000 euros par mois, un pourcentage sur les bénéfices dégagés à la suite des découvertes faites dans les mondes parallèles et commercialisées, ensuite, sur le nôtre et 10 millions versés à ma mère au cas où je ne reviendrai pas d'une mission. Et, cerise sur le gâteau, le tout exonéré d’impôts.


Notre accord conclu, retour chez le professeur qui me parle de ce que je vais devoir apprendre en formation accélérée pendant les trois prochains mois. Ça va de: la taille de pierres pour fabriquer des armes rudimentaires, comment allumer un feu, comment survivre en pleine nature en mangeant des plantes ou en piégeant des animaux, comment fabriquer des explosifs basiques, comment me soigner grâce à certaines plantes ou herbes et bien d'autres choses du genre. Là encore, j'ai dû négocier pour pouvoir le faire sans devoir rester sur la base.


De nuit, c'est avec un bracelet de géolocalisation à la cheville qu'un fourgon fermé me dépose devant chez moi. Ça fait un mois que je suis parti. Pour ma mère je m'étais mis au vert à la suite d’un gros scandale, m'étant fait choper par les flics mais comme ils n'avaient aucune preuve mais de fortes présomptions et qu'ils ne voulaient pas que je disparaisse dans la nature, j'avais été relâché à condition de porter un bracelet. Une autre condition à ma libération avait été que j’effectue des travaux d'intérêt généraux du lundi au samedi inclus. C'est l'excuse pour que je puisse être formé, là où j'ai des lacunes. Mais ce que je vais faire en premier c'est baiser. Parce que le régime branlette pendant un mois (enfin, presque, parce j'ai aussi été testé sexuellement, pour voir mes capacités) ça ne satisfait pas son homme, loin de là.


Je vous passe la formation de jour et mes nuits de baises intensives pour rattraper le temps perdu, avec Simon ou des clientes plus qu'heureuses de mes prouesses. Enfin, l'explication que j'ai avec ma mère où je lui déballe la vérité… qu’elle assimile difficilement!


Je sais à présent où est la base et je m'y pointe à moto, deux jours avant, comme on me l'a demandé. J'ai droit à un check up complet, en plus d’une flopée de conseils …


Trois heures avant l'heure H, je vais au labo me préparer. Enfin «préparer» est un grand mot. Le prof, toujours aussi aimable, me demande de me foutre à poil. Ce vieux doit avoir un complexe parce qu'il me donne aussitôt une serviette pour cacher ma queue et il commence à me coller des électrodes sur tout le corps…


C'est couvert de ces pastilles collantes que je vais m'asseoir sur un fauteuil métallique qui ressemble plus à une chaise électrique qu'à un moyen de transport inter dimensionnel. Avec célérité, le prof relie toutes les électrodes qu'il vient de poser sur moi à des fils qui, eux, sont reliés au gros ordinateur…


Le compte à rebours commence.


À zéro, c'est juste quelques picotements qui traversent mon corps. Tout d'un coup une douleur atroce vrille ma tête. Et puis plus rien…


Quand je me réveille, j'ai un mal de tête monstrueux qui me fait gerber tout ce que j'ai dans l’estomac. Entre deux régurgitations, mon cerveau enregistre qu'il va bientôt faire jour, l’aube se lève. Je n'ai que la force de me dissimuler sous les buissons proches, avant de tomber dans les pommes…


RE: Le fils de putes - fablelionsilencieux - 28-04-2025

Big GrinUn coucou en passant !


RE: Le fils de putes - bech - 28-04-2025

Une histoire de science fiction !
On se doutait depuis le début que Tomaso est surdoué, mais chaque nouveau (long) chapitre de ce récit apporte des surprises. Et tu passes d'un sujet à l'autre très rapidement.


RE: Le fils de putes - emmanolife - 29-04-2025

Il va maintenant pouvoir exporter ses nombreux talents au Jurassique ! Les dinosaures seront-ils sensibles à son charme ?


RE: Le fils de putes - lelivredejeremie - 29-04-2025

L’évolution du scénario est plutôt abrupte ! 0.0 Quant aux options proposées par le général et le savant fou, quelques années de prison - pour détournement et crimes en col blanc ? – ou une expédition, suicidaire au mieux, qui en fera un légume au pire… Tommaso n’est pas bien plus doué en négociation salariale qu’en botanique ^^
Je ne capte pas trop le but de l’évaluation de ses capacités sexuelles, s’il se retrouve dans un univers principalement peuplé de grands reptiles, mais je manque parfois d’imagination.