19-05-2025, 07:41 PM
Le soir quand je rentre au château je n'ai pas pu aider grand nombre de blessés, certains – trop gravement atteint - étaient déjà agonisant à mon arrivée et une grande partie avait déjà été soignés par leurs proches. Quand je rentre, Lippo et Artium sont dans un petit salon et discutent.
…
On se retrouve vite nus en train de barboter à trois dans un grand bac d’eau chaude à souhait. On s'aide à se laver le dos, l’un l’autre … et le manque de sexe fait réagir nos anatomies. On bande, tous les trois. Quand il voit ma queue raide, Artium sourit d’un air gourmand.
Le repas avalé, on se retrouve dans sa chambre. Il commence à se déshabiller.
Je commence par l’embrasser sensuellement. S'il est surpris au début, il y prend vite goût. Quand sa tunique tombe à terre et que je me mets à le caresser de partout, que je joue avec ses seins il gémit. Et quand il voit que je prends sa queue en bouche il a un geste de recul.
La pipe que je lui fais le laisse amorphe après qu'il ait joui dans ma bouche. Et sachant qu'il aime autant la mettre que la prendre je lui bouffe le cul longuement avant d'y mettre un doigt et de jouer avec sa prostate tout en le resuçant. Quand je le prends il n'y a plus un centimètre carré de son corps qui ne soit pur plaisir. Quand il jouit - sans se toucher - il me tire à lui et m’embrasse.
On a fait l'amour une bonne partie de la nuit. C'est Artium qui nous réveille quand il entre dans la chambre, en matinée.
Artium me fonce aussitôt dessus et d'une prise, je l'envoie valdinguer, cul par-dessus tête, sur le lit. Lippo éclate de rire.
…
Rigor se remet doucement.
Lippo envoie des espions dans tous les fiefs autour du sien et quelques émissaires à certains seigneurs. L'excuse c'est qu'il recherche une épouse. Et oui! Je lui ai aussi appris à faire du bien à une fille. La première servante qui partagea notre lit n’en est ressortie que parce qu'on la mise dehors. Elle ne voulait plus le quitter.
Artium a réussi à faire cracher le morceau à son frère quant à son ressenti avec moi et maintenant que Rigor va bien mieux, il veut - il me supplie - de leur montrer comment on fait l’amour dans mon pays. Je les fais languir un peu avant de céder. Je sais, par des indiscrétions de Lippo, que Artium aime mieux la prendre que la mettre. Et en auscultant Rigor, ces derniers temps, je me suis rendu compte qu'il a entre les jambes un beau morceau très réactif.
Il me faut presque une semaine pour leur apprendre les bases et j'avoue que Artium est un élève très, très, doué et plein d’imagination. C'est lui qui a suggéré qu'on joue au petit train ou qui s'est porté volontaire pour être ''l'agneau au tourne broche'‘. C'est en baisant avec eux que j'ai eu une idée géniale qui me vint à l’esprit. Et, plus tard, quand j'en parle à Lippo il est tout de suite conquis. Mais je vous le raconterai plus tard.
Après plusieurs essais avec quelques fabricants de fer on a réussi à trouver le juste dosage entre le minerai et la quantité de charbon. Ceux qui maintenant l'utilisent ont des rendements trois fois plus importants que les autres. Le seul problème c'est qu'ici tout se fait à la main.
Lippo, qui maintenant est habitué à mes idées farfelues, me laisse faire ce que je veux. Et quand je lui demande des charpentiers pour construire une machine, il me dit de faire comme bon me semble.
Quand la roue à aube est en place, Lippo, passe voir le résultat, il trouve que ça fait un joli bruit mais que cette eau qui clapote lui donne envie de pisser ! Je suis mort de rire car il a effectivement sorti sa bite pour pisser un broc, aussitôt dit.
Ce n'est que quand je fais rajouter des roues dentées sur le tronc qui supporte la roue et qu'après on y ajoute les structures que j'ai faites fabriquées pas d'autres artisans - qui se demandaient bien à quoi pourraient bien servir ces gros marteaux - que les forgerons se rendent compte qu'ils n'auront plus à forcer pour travailler le fer. C'est à partir de là que la production de fer de qualité est devenue la principale industrie du fief.
Mais revenons à mon idée.
Les mœurs, dans cette dimension, sont plus libres que dans la nôtre. Même si une grande partie de la population est principalement hétéro, le fait est que: beaucoup de personnes aiment les deux genres ou n'aime que le leur et que ceci n'est pas sujet à discrimination. J'ai donc décidé de choisir dans les soldats - les plus jeunes et les plus fidèles - quelques garçons que je vais former au sexe. Sur la vingtaine des présélectionnés, j'en élimine au fur et à mesure des entretiens que j’ai avec eux; oui, ils sont bons soldats, mignons, bien faits, bien pourvus par dame nature –
Car, évidemment, je les ai tous vu nus et bandés - mais leur niveau intellectuel est trop faiblard pour leur futur emploi. Au total, j'en ai sélectionné six. Un qui n'aime que les filles, un qui n'aime que les garçons et les quatre autres qui aiment les deux sexes.
Pour celui qui n'aime que les filles, j'ai demandé à la servante que Lippo et moi avions mis dans notre lit la première, de le dégrossir. Pour celui qui n'aime que les garçons c'est Artium et Rigor qui s'en chargent. Pour les quatre autres c'est Lippo et moi qui nous en chargeons, avec quelques servantes qui sont déjà passées dans notre lit. Au bout de trois semaines de sexe intensif, ils sont prêts – et ravis.
Dans un premier temps on les envoie sillonner la seigneurie pour trouver des garçons et filles comme eux, intelligents et beaux, prêts à rendre service à leur seigneur. Et de nous les envoyer.
Une fois formés ils sont envoyés par groupe d'une petite dizaine dans les seigneuries aux alentours de celle de Lippo, pour commencer, puis dans de plus lointaines au fil du temps. Ils ont pour but de rapporter tout ce qu'il s'y passe. Leur commerce? ils ont pour profession de se vendre et pour publicité d’amener une façon extraordinaire de jouir.
Parallèlement à ça, la fabrication de fer étant excédentaire et le fer produit étant d'excellente qualité, on crée un réseau parallèle de renseignement. Eux vendront des lingots de fer. Certains rejoignent des caravanes marchandes, d'autres se déplacent seuls. Et, petit à petit, les renseignements arrivent de partout. C'est comme ça que l'on apprend que le seigneur Faucon rassemble de nombreuses troupes de brigands.
Lippo en informe les seigneuries tout autour de celles du seigneur faucon qui elles aussi ont été dévastées à plus ou moins grande échelle par des raids de brigands. Je décide d'aller voir par moi-même ce qu'il se passe sur les terres du seigneur Faucon. Je renfile la tenue que le frère supérieur m'a donnée et je fais un détour pour rentrer sur les terres du seigneur Faucon du côté ouest.
Au passage de la frontière tout est fouillé, chariots, besaces et fouille au corps. N'ayant sur le dos que la bure que je porte, ma fouille aurait dû être rapide mais les palpations du jeune et beau garde me font immanquablement bander. Il me sourit et me demande de le suivre. Il m’emmène dans une pièce dont il ferme la porte dès le seuil franchi. Il baisse son pantalon et se penche sur le bureau. Je sais ce qu'il me reste à faire. Mais je le fais à la mode locale, sans chichi. Je le besogne si bien que je le féconde et tant que j'y suis, je reste planté dans son cul, le temps de lui faire une branlette express. En sortant, il se la joue macho.
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- S'il meurt, j'irai me faire frère dans une congrégation.
- Tu ne peux pas faire ça, Artium. Tu es mon frère de sang et j'ai besoin de toi.
- Comprends moi Lippo, sans lui je n'ai plus de raison de vivre.
- Je sais qu'il est ta raison de vivre Artium et j'admire votre amour. Je voudrais vivre le même que le tien. Ah Dany, alors ?
- Je n'ai pas pu faire grand-chose Lippo. J'ai juste donné quelques conseils pour les soigner et aider quelques-uns pour leurs bandages. Je suis passé voir Rigor, avant de vous rejoindre. Son état est stable, c’est encourageant.
- Demain, les paysans qui n’ont pas participé à la bataille repartiront chez eux. Les premiers rapports que j'ai du passage de la troupe des brigands ne sont pas alarmants. Quelques maisons ou fermes brûlées mais rien de plus. Ce sera compensé par l'énorme butin qu'on a récupéré dans leur camp.
- Lippo, redistribue le6 à ceux qui se sont battus pour toi. Donne le plus à ceux qui ont tout perdu. C'est eux qui en ont le plus besoin.
- As-tu commencé à en faire l’inventaire ?
- Oui. Il y a de nombreuses charrettes de grain. Plusieurs autres avec des objets précieux et un coffre avec plus d'or et de bijoux que je n'en ai jamais vu.
- Et que comptes tu en faire ?
- Je ne sais pas. Je n'y ai pas encore réfléchi. Tu en ferais quoi toi Dany s'il était tien et que tu sois seigneur ?
- Je diminuerai les impôts, j'améliorerai l'état des routes, je ferai construire des écoles pour apprendre à tout le monde à lire et à écrire.
- Tu ne te ferais pas construire un beau château ?
- Pour quoi faire? Tu as déjà un beau château, Lippo. À quoi te servirait il d'en avoir un deuxième… Vois-tu, là, tout de suite, j'échange volontiers tout ton or contre un bon bain.
- C'est vrai qu'on a besoin d'un bon bain. Tu nous accompagnes, Artium ?
- Oui, moi aussi un bon bain me fera du bien.
- Et alors, à part le bain, que te manque-t-il pour faire ton bonheur, Dany ?
- Je ne sais pas si j'ose te le dire, Lippo.
- Allons, nous sommes entre amis. Non ?
- C'est le sexe, Lippo. Depuis que je suis sur tes terres je n'ai fait que me masturber. J'ai envie de sentir un corps vibrer contre le mien et de partager le plaisir avec… elle ou lui.
- Tu pratiques les deux sexes ?
- Oui, sans différence. J'éprouve du plaisir autant avec une femme qu'avec un homme même si je pense avoir plus d'attirance pour un garçon bien fait que pour une fille gironde.
- Pourquoi n'en as-tu pas profité jusque-là ? Les esclaves n'ont rien à refuser. Après le bain tu n'auras qu'à aller t'en choisir un.
- Seigneur, dans mon pays l'esclavage n'existe plus, depuis longtemps. Et avoir du sexe avec quelqu'un qui ne le veut pas est très sévèrement puni par la loi.
- Et comment le punit on ?
- En le mettant en prison pour une, plus ou moins longue, peine suivant son crime.
- Comment ça ? Explique moi.
- Si c'est un garçon qui viole une fille de son âge il doit pendant son temps de prison qui est de 2 à 5 ans travailler et l'argent qu'il gagne sert à compenser son acte et il est reversé à sa victime. Et, si la différence d’âge est plus importante, la durée de la sentence est d’autant plus longue.
- Et si, quand il ressort de prison, il recommence ?
- Dans ce cas la peine est bien plus sévère. On le castre et il est mis en prison pour le reste de sa vie. Ça dissuade pas mal l’envie de récidive et rarement nos juges doivent donner des jugements de telles extrémités.
- Je comprends, rien que d’y penser, ça fait froid dans le dos!
- Bon, on va le prendre ce bain ?
…
On se retrouve vite nus en train de barboter à trois dans un grand bac d’eau chaude à souhait. On s'aide à se laver le dos, l’un l’autre … et le manque de sexe fait réagir nos anatomies. On bande, tous les trois. Quand il voit ma queue raide, Artium sourit d’un air gourmand.
- Ma queue te plaît, Artium ?
- Oui Dany, elle est grosse et bien droite. Je suis sûr que Rigor et moi on serait heureux de t'accueillir dans notre couche.
- Ça serait avec plaisir. Vous êtes l'un et l'autre de très jolis garçons.
- Tu préfères la mettre ou la prendre ?
- L'une ou l'autre façon me plaît mais il faudra aussi que je vous montre comment on fait l'amour dans mon pays. Elle est tout à fait différente de la vôtre.
- Quand mon Rigor sera en forme, si tu le désires, on t'invitera à partager notre couche.
- Ça sera avec plaisir que je viendrai.
- Et tu me le montrerais à moi aussi, Dany ?
- Bien sur Lippo. Je ne savais pas que toi aussi tu aimais les garçons.
- Comme toi, j'aime les deux sexes. Je sais qu'un jour je devrai prendre femme pour avoir un descendant qui me succédera plus tard mais je n’ai pas encore trouvé la bonne personne. Le seigneur Aigle m'a proposé sa fille mais elle est laide à faire peur et aussi fourbe que son père.
- En parlant de lui, que comptes tu faire ?
- Qu'est-ce que je peux faire contre lui ? Il a une armée puissante, les murs de ses villes sont les plus hauts et les plus épais qui soient. Si je lui déclare la guerre, mon armée se fera battre et il annexera mon fief avec le sien et n'en sera que plus puissant encore.
- Tu devrais envoyer des espions, pour surveiller ce qu'il fait. Et si j'étais toi j'en enverrai aussi dans les fiefs autour du tien mais aussi autour de celui du seigneur faucon.
- À quoi cela servir a-t-il, Dany ?
- À avoir une vue d'ensemble sur ce qu'il se passe ailleurs et de ce qui s’y trame, afin de pouvoir réagir en conséquence suffisamment vite et le cas échéant, t'allier avec d'autres seigneurs, en cas d’attaque.
- Assez parlé politique. Allons manger et après tu me montreras comment vous faites l'amour dans ton pays.
- Avec plaisir, Lippo.
Le repas avalé, on se retrouve dans sa chambre. Il commence à se déshabiller.
- Attends seigneur, laisse moi faire et te montrer des choses que vous ne pratiquez pas dans votre pays.
- Pourquoi? Dans ton pays, il ne faut pas être nu, pour le faire ?
- C'est plus pratique quand on est nu, certes, mais avant il y a tout un tas de choses que tu peux faire.
Je commence par l’embrasser sensuellement. S'il est surpris au début, il y prend vite goût. Quand sa tunique tombe à terre et que je me mets à le caresser de partout, que je joue avec ses seins il gémit. Et quand il voit que je prends sa queue en bouche il a un geste de recul.
- N'aies pas peur, seigneur. Tu verras, tu vas aimer comme tout le reste…
- Oh! Tu me fais trembler comme si j'avais de la fièvre.
- Et là, je vais te faire mourir de plaisir. Laisse toi faire.
La pipe que je lui fais le laisse amorphe après qu'il ait joui dans ma bouche. Et sachant qu'il aime autant la mettre que la prendre je lui bouffe le cul longuement avant d'y mettre un doigt et de jouer avec sa prostate tout en le resuçant. Quand je le prends il n'y a plus un centimètre carré de son corps qui ne soit pur plaisir. Quand il jouit - sans se toucher - il me tire à lui et m’embrasse.
- Tu sais Dany que tu as failli me faire mourir de plaisir. Tu as d'autres secrets à m’apprendre ?
- Encore plusieurs, seigneurs.
- Laisse à ton élève essayer de te donner du plaisir. Tu n'as pas encore joui.
On a fait l'amour une bonne partie de la nuit. C'est Artium qui nous réveille quand il entre dans la chambre, en matinée.
- Bonjour à vous. Il est temps de vous lever. Il fait grand jour depuis longtemps.
- Bonjour Artium, tu as l'air bien joyeux ce matin. Comment ça se fait ?
- Rigor est revenu à lui. On a pu un peu parler. Je l'ai aidé à manger et puis il s'est rendormi.
- Je passerai le voir tout à l'heure et je lui changerai son bandage.
- Dis-moi, Lippo, c'est comment de baiser à la façon de chez Dany ?
- Tu le découvriras en même temps que Rigor, mon frère.
- Mais dis-moi au moins si c'est bon.
- «Bon» n'est pas le meilleur terme pour ça. C'est bien trop faible. Et même dans tes baises les plus folles tu n'as jamais dû éprouver autant de plaisir que moi cette nuit. Dis-moi Dany, avec les femmes tu as des secrets comme tu m'en as appris tant cette nuit ?
- J'en ai autant, seigneur, tout aussi bons pour elles.
- Tu me les apprendras ?
- Bien sûr seigneur. Encore faut-il trouver une femme qui nous accepte tous les deux dans son lit.
- Bon, quand vous aurez fini de parler cul, on pourra aller s’entraîner avec les gardes. Tu t’entraînais aussi dans ton pays, Dany ?
- Bien sûr, comme tout le monde. Mais je le faisais avec des maîtres.
- Tu nous montreras ça, Dany. Quelle est ton arme de prédilection ?
- Je n'en ai aucune. Quelle que soit l'arme que j'ai, je me débrouille avec.
- Et si tu n'en as pas ?
- À mains nues c'est là que je suis le meilleur.
Artium me fonce aussitôt dessus et d'une prise, je l'envoie valdinguer, cul par-dessus tête, sur le lit. Lippo éclate de rire.
- Il n'y a pas que ton ‘’golfière’’ que tu peux faire voler. Je ne pensais pas que tu allais apprendre à Artium à le faire aussi.
- Mais, mais, comment as tu fais ça, Dany ?
- Une montgolfière, Lippo, en un mot. Et pour toi, je me suis servi de ta force et de ma souplesse, Artium. Se servir de la force de son adversaire est la base de cette façon de combattre. Je t'apprendrai ça également.
…
Rigor se remet doucement.
Lippo envoie des espions dans tous les fiefs autour du sien et quelques émissaires à certains seigneurs. L'excuse c'est qu'il recherche une épouse. Et oui! Je lui ai aussi appris à faire du bien à une fille. La première servante qui partagea notre lit n’en est ressortie que parce qu'on la mise dehors. Elle ne voulait plus le quitter.
Artium a réussi à faire cracher le morceau à son frère quant à son ressenti avec moi et maintenant que Rigor va bien mieux, il veut - il me supplie - de leur montrer comment on fait l’amour dans mon pays. Je les fais languir un peu avant de céder. Je sais, par des indiscrétions de Lippo, que Artium aime mieux la prendre que la mettre. Et en auscultant Rigor, ces derniers temps, je me suis rendu compte qu'il a entre les jambes un beau morceau très réactif.
Il me faut presque une semaine pour leur apprendre les bases et j'avoue que Artium est un élève très, très, doué et plein d’imagination. C'est lui qui a suggéré qu'on joue au petit train ou qui s'est porté volontaire pour être ''l'agneau au tourne broche'‘. C'est en baisant avec eux que j'ai eu une idée géniale qui me vint à l’esprit. Et, plus tard, quand j'en parle à Lippo il est tout de suite conquis. Mais je vous le raconterai plus tard.
Après plusieurs essais avec quelques fabricants de fer on a réussi à trouver le juste dosage entre le minerai et la quantité de charbon. Ceux qui maintenant l'utilisent ont des rendements trois fois plus importants que les autres. Le seul problème c'est qu'ici tout se fait à la main.
Lippo, qui maintenant est habitué à mes idées farfelues, me laisse faire ce que je veux. Et quand je lui demande des charpentiers pour construire une machine, il me dit de faire comme bon me semble.
Quand la roue à aube est en place, Lippo, passe voir le résultat, il trouve que ça fait un joli bruit mais que cette eau qui clapote lui donne envie de pisser ! Je suis mort de rire car il a effectivement sorti sa bite pour pisser un broc, aussitôt dit.
Ce n'est que quand je fais rajouter des roues dentées sur le tronc qui supporte la roue et qu'après on y ajoute les structures que j'ai faites fabriquées pas d'autres artisans - qui se demandaient bien à quoi pourraient bien servir ces gros marteaux - que les forgerons se rendent compte qu'ils n'auront plus à forcer pour travailler le fer. C'est à partir de là que la production de fer de qualité est devenue la principale industrie du fief.
Mais revenons à mon idée.
Les mœurs, dans cette dimension, sont plus libres que dans la nôtre. Même si une grande partie de la population est principalement hétéro, le fait est que: beaucoup de personnes aiment les deux genres ou n'aime que le leur et que ceci n'est pas sujet à discrimination. J'ai donc décidé de choisir dans les soldats - les plus jeunes et les plus fidèles - quelques garçons que je vais former au sexe. Sur la vingtaine des présélectionnés, j'en élimine au fur et à mesure des entretiens que j’ai avec eux; oui, ils sont bons soldats, mignons, bien faits, bien pourvus par dame nature –
Car, évidemment, je les ai tous vu nus et bandés - mais leur niveau intellectuel est trop faiblard pour leur futur emploi. Au total, j'en ai sélectionné six. Un qui n'aime que les filles, un qui n'aime que les garçons et les quatre autres qui aiment les deux sexes.
Pour celui qui n'aime que les filles, j'ai demandé à la servante que Lippo et moi avions mis dans notre lit la première, de le dégrossir. Pour celui qui n'aime que les garçons c'est Artium et Rigor qui s'en chargent. Pour les quatre autres c'est Lippo et moi qui nous en chargeons, avec quelques servantes qui sont déjà passées dans notre lit. Au bout de trois semaines de sexe intensif, ils sont prêts – et ravis.
Dans un premier temps on les envoie sillonner la seigneurie pour trouver des garçons et filles comme eux, intelligents et beaux, prêts à rendre service à leur seigneur. Et de nous les envoyer.
Une fois formés ils sont envoyés par groupe d'une petite dizaine dans les seigneuries aux alentours de celle de Lippo, pour commencer, puis dans de plus lointaines au fil du temps. Ils ont pour but de rapporter tout ce qu'il s'y passe. Leur commerce? ils ont pour profession de se vendre et pour publicité d’amener une façon extraordinaire de jouir.
Parallèlement à ça, la fabrication de fer étant excédentaire et le fer produit étant d'excellente qualité, on crée un réseau parallèle de renseignement. Eux vendront des lingots de fer. Certains rejoignent des caravanes marchandes, d'autres se déplacent seuls. Et, petit à petit, les renseignements arrivent de partout. C'est comme ça que l'on apprend que le seigneur Faucon rassemble de nombreuses troupes de brigands.
Lippo en informe les seigneuries tout autour de celles du seigneur faucon qui elles aussi ont été dévastées à plus ou moins grande échelle par des raids de brigands. Je décide d'aller voir par moi-même ce qu'il se passe sur les terres du seigneur Faucon. Je renfile la tenue que le frère supérieur m'a donnée et je fais un détour pour rentrer sur les terres du seigneur Faucon du côté ouest.
Au passage de la frontière tout est fouillé, chariots, besaces et fouille au corps. N'ayant sur le dos que la bure que je porte, ma fouille aurait dû être rapide mais les palpations du jeune et beau garde me font immanquablement bander. Il me sourit et me demande de le suivre. Il m’emmène dans une pièce dont il ferme la porte dès le seuil franchi. Il baisse son pantalon et se penche sur le bureau. Je sais ce qu'il me reste à faire. Mais je le fais à la mode locale, sans chichi. Je le besogne si bien que je le féconde et tant que j'y suis, je reste planté dans son cul, le temps de lui faire une branlette express. En sortant, il se la joue macho.
- Quand tu repartiras étranger, repasse par là. Je me ferai un vrai plaisir de te fouiller une fois de plus bien en profondeur.
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