19-05-2025, 09:55 AM
Épisode 20
Ce fut à ce moment que Rudy entra dans la salle de bain avec une serviette propre dans les bras.
Surpris de me voir avec une de ses protections à la main, il resta immobile. Il me regarda entièrement en s’attardant un peu plus sur mon sous vêtement. Il ferma les robinets de la baignoire car l’eau avait atteint un niveau correct. L’eau fumait beaucoup. Elle devait être brûlante.
Il s’approcha de moi et il posa la serviette à côté du lavabo. À nouveau il tourna la tête vers moi. Il s’avança encore plus et m’enlaça. Nos têtes étaient si proches l’une de l’autre que je sentais son souffle chaud contre mon visage. Mon cœur cognait de plus en plus fort. Je perçus une tension sexuelle s’installer entre nous. Ne pouvant pas attendre plus longtemps, je vins l’embrasser une première fois timidement puis, hâtivement, une seconde fois plus intensément. Très rapidement nos bouches s’ouvrirent et nos langues s’entremêlèrent.
La sensation qu’il me procurait était exquise. Mais un peu en deçà de ce que j’avais vécu au travail. Sûrement car ses vêtements formaient une barrière entre nous qui m’empêchaient de ressentir sa peau douce et chaude.
Je glissai mes mains sous son T-shirt pour venir lui caresser le dos. Il voulut se reculer, mais je l’en empêchai avec mes bras qui l’entouraient. Constatant que je ne le lâchais plus, il s’empressa de retirer son haut qu’il jeta dans la pièce et il reprit notre embrassade encore plus vivement. Comme si le fait que je le retinsse l’avait excité.
Lui aussi me caressait le dos. Une de ses mains venait même caresser une de mes fesses par-dessus mon boxer. J’aimais ça et mon sexe me le prouvait. Il était si rigide que le peu de mouvements contre Rudy me faisait le décalotter.
N’interrompant sans aucune manière notre étreinte, mes doigts se mirent à explorer le postérieur de Rudy. Ne me comblant pas totalement, je décidai de lui retirer son bermuda. Je me cambrai en arrière afin de faciliter l’accès à son bouton de ceinture. Je l’ouvris puis j’abaissai sa braguette délicatement et son vêtement chuta à ses pieds. Je me recollai contre lui et je percevais son sexe dur contre le mien.
Sans que je m’y attende, Rudy passa une main sous mon dernier tissu et il massa une de mes fesses. Cette surprise cumulée à son toucher divin fit bondir mon pénis qui provoqua sa sortie d’un tiers de son corps en dehors de mon boxer. Mon gland était venu se loger à côté du nombril de mon amant. Je sentis que cette zone s’humidifiait à cause du liquide pré-séminal que j’y déposais.
Nous étions tous les deux surexcités par la situation et aucun de nous ne voulait interrompre ce plaisir nouveau. Bien au contraire. Nos respirations étaient vives et profondes. À de rares occasions, Rudy émettait un léger gémissement voluptueux. Pour rien au monde, je ne voulais vivre autre chose que le moment présent.
Mon partenaire se détacha de moi. Il me fit reculer contre la porte. Il baissa ses yeux sur mon sexe qui dépassait de mon sous vêtement. Étant jaloux qu’il puisse voir mon anatomie et pas moi, je retirai son boxer sans prévenir. Son pénis se libéra dans un mouvement brutal et il vint claquer contre son bas ventre. Il était magnifique et j’avais envie de toucher ses parties les plus intimes. Je débutai par caresser ses testicules. Il devait apprécier, car je sentais sa queue tressauter. Réussir à lui faire plaisir renforça également le mien. Il se plaqua contre moi pour m’embrasser de nouveau sans s’interrompre. En même temps que je massais délicatement ses bourses douces, ses mains firent glisser mon boxer à terre. Nous étions enfin nus tous les deux, seuls et profitant de cet instant charnel jouissif. Rudy était très excité. Il réalisait des oscillations avec son bassin entraînant nos verges l’une contre l’autre à faire des aller retours de haut en bas. La chaleur de nos corps et notre libido élevées déposèrent une fine pellicule humide sur nos peaux, facilitant les frottements entre nous. À chaque pression contre moi, Rudy étirait mon prépuce semblablement à une masturbation. Mes deux mains se positionnèrent contre ses fesses pour lui faire comprendre de poursuivre son action car j’aimais ce qu’il faisait.
Sa respiration et son bassin accrurent leur rythme. À ce stade, je ne contrôlais plus rien : j’étais entièrement dévoué à Rudy et aux sensations qu’il me procurait. Même si je ne voyais pas son pénis, je le sentais bien coulisser contre moi. Je me le représentais dans mon imagination, moite et son gland complètement découvert. Nos mouilles fusionnantes venaient lubrifier naturellement nos chibres. Quelle magnifique illustration de ce qui passait réellement entre nous !
Je cessai un instant notre baisser pour retrouver un peu de souffle. Rudy n’interrompit pas ses frottements contre moi. Nous nous regardâmes quelques secondes, puis il remit sa langue dans ma bouche après avoir constaté qu’il me faisait beaucoup de bien.
Mes poumons avaient de plus en plus de mal à trouver l’air et ma respiration s’accéléra encore d’un cran. Je commençai à gémir discrètement. Rudy accéléra encore ces gestes de friction. Je ne pouvais plus me retenir et dans un râle de plaisir, j’expulsai le fruit de notre ébat sur nos bas ventres comprimés. Mon dernier jet n’était pas encore sorti lorsque mon amant gémit intensément en libérant sa semence en même temps que moi. Je ressentais chaque expulsion de son sperme sur mon ventre. Il était chaud et visqueux. Il se mélangeait au mien et ils coulèrent le long de nos sexes distendus.
Nous arrêtâmes enfin notre baiser. Nous rigolions satisfaits de notre jouissance. Pour ma part, satisfait était un faible mot. J’étais comblé. Je n’avais aucun regret bien au contraire. Rudy a su me faire monter au septième ciel et il m’a fait éprouver des sensations que je pensais inaccessibles.
Mon partenaire fit un pas en arrière. En reculant, nos ventres se décollèrent. Ils étaient luisants et recouverts d’éjaculat. Nos sexes n’étaient plus bandés mais ils étaient encore d’une taille supérieure à la normale et recouverts d’une pellicule blanchâtre. Le gland de Rudy était encore à l’air libre, rouge et luisant tandis que mon prépuce avait déjà commencé à recouvrir ma couronne.
- T’as bien aimé ? me demanda-t-il.
- Plus que ça encore. C’était… waouh ! Tu sais que c’est la première fois que je fais des choses avec un homme. Et je ne regrette pas que ça soit avec toi. Les joues de Rudy rougirent.
- Je suis content. Même si ce n’était pas ma première fois, je n’ai jamais eu autant de complicité. C’était comme si j’avais fusionné avec toi, m’avoua-t-il.
On s’embrassa spontanément de manière lascive, partageant une nouvelle fois la viscosité de nos corps. Ce fut bref mais tendre.
- Cette fois-ci, je crois que j’ai bien mérité ma douche, annonçais-je.
- Je crois aussi. Tenez, le bain de monsieur est prêt, me dit-il en dirigeant sa main vers la baignoire.
Sans me faire prier davantage, je plongeai mes pieds dans l’eau. Elle était encore bien chaude et je mis quelques instants avant de m’y allonger complètement. Avec mes mains, je retirai le liquide blanc de mon ventre. Rudy était là à me contempler puis il s’approcha de moi. Sans un mot, il monta dans la baignoire. Il se tenait debout, dos à moi, ce qui me permis de contempler ses fesses musclées. Elles étaient rondes mais pas trop, assez fermes… bref elles étaient parfaites. Il s’assit entre mes jambes et il s’allongea contre mon buste, sa tête venant se loger sous mon menton.
- Ça ne te gêne pas que je m’incruste ?
- Non. Au contraire.
Ce fut à ce moment que Rudy entra dans la salle de bain avec une serviette propre dans les bras.
Surpris de me voir avec une de ses protections à la main, il resta immobile. Il me regarda entièrement en s’attardant un peu plus sur mon sous vêtement. Il ferma les robinets de la baignoire car l’eau avait atteint un niveau correct. L’eau fumait beaucoup. Elle devait être brûlante.
Il s’approcha de moi et il posa la serviette à côté du lavabo. À nouveau il tourna la tête vers moi. Il s’avança encore plus et m’enlaça. Nos têtes étaient si proches l’une de l’autre que je sentais son souffle chaud contre mon visage. Mon cœur cognait de plus en plus fort. Je perçus une tension sexuelle s’installer entre nous. Ne pouvant pas attendre plus longtemps, je vins l’embrasser une première fois timidement puis, hâtivement, une seconde fois plus intensément. Très rapidement nos bouches s’ouvrirent et nos langues s’entremêlèrent.
La sensation qu’il me procurait était exquise. Mais un peu en deçà de ce que j’avais vécu au travail. Sûrement car ses vêtements formaient une barrière entre nous qui m’empêchaient de ressentir sa peau douce et chaude.
Je glissai mes mains sous son T-shirt pour venir lui caresser le dos. Il voulut se reculer, mais je l’en empêchai avec mes bras qui l’entouraient. Constatant que je ne le lâchais plus, il s’empressa de retirer son haut qu’il jeta dans la pièce et il reprit notre embrassade encore plus vivement. Comme si le fait que je le retinsse l’avait excité.
Lui aussi me caressait le dos. Une de ses mains venait même caresser une de mes fesses par-dessus mon boxer. J’aimais ça et mon sexe me le prouvait. Il était si rigide que le peu de mouvements contre Rudy me faisait le décalotter.
N’interrompant sans aucune manière notre étreinte, mes doigts se mirent à explorer le postérieur de Rudy. Ne me comblant pas totalement, je décidai de lui retirer son bermuda. Je me cambrai en arrière afin de faciliter l’accès à son bouton de ceinture. Je l’ouvris puis j’abaissai sa braguette délicatement et son vêtement chuta à ses pieds. Je me recollai contre lui et je percevais son sexe dur contre le mien.
Sans que je m’y attende, Rudy passa une main sous mon dernier tissu et il massa une de mes fesses. Cette surprise cumulée à son toucher divin fit bondir mon pénis qui provoqua sa sortie d’un tiers de son corps en dehors de mon boxer. Mon gland était venu se loger à côté du nombril de mon amant. Je sentis que cette zone s’humidifiait à cause du liquide pré-séminal que j’y déposais.
Nous étions tous les deux surexcités par la situation et aucun de nous ne voulait interrompre ce plaisir nouveau. Bien au contraire. Nos respirations étaient vives et profondes. À de rares occasions, Rudy émettait un léger gémissement voluptueux. Pour rien au monde, je ne voulais vivre autre chose que le moment présent.
Mon partenaire se détacha de moi. Il me fit reculer contre la porte. Il baissa ses yeux sur mon sexe qui dépassait de mon sous vêtement. Étant jaloux qu’il puisse voir mon anatomie et pas moi, je retirai son boxer sans prévenir. Son pénis se libéra dans un mouvement brutal et il vint claquer contre son bas ventre. Il était magnifique et j’avais envie de toucher ses parties les plus intimes. Je débutai par caresser ses testicules. Il devait apprécier, car je sentais sa queue tressauter. Réussir à lui faire plaisir renforça également le mien. Il se plaqua contre moi pour m’embrasser de nouveau sans s’interrompre. En même temps que je massais délicatement ses bourses douces, ses mains firent glisser mon boxer à terre. Nous étions enfin nus tous les deux, seuls et profitant de cet instant charnel jouissif. Rudy était très excité. Il réalisait des oscillations avec son bassin entraînant nos verges l’une contre l’autre à faire des aller retours de haut en bas. La chaleur de nos corps et notre libido élevées déposèrent une fine pellicule humide sur nos peaux, facilitant les frottements entre nous. À chaque pression contre moi, Rudy étirait mon prépuce semblablement à une masturbation. Mes deux mains se positionnèrent contre ses fesses pour lui faire comprendre de poursuivre son action car j’aimais ce qu’il faisait.
Sa respiration et son bassin accrurent leur rythme. À ce stade, je ne contrôlais plus rien : j’étais entièrement dévoué à Rudy et aux sensations qu’il me procurait. Même si je ne voyais pas son pénis, je le sentais bien coulisser contre moi. Je me le représentais dans mon imagination, moite et son gland complètement découvert. Nos mouilles fusionnantes venaient lubrifier naturellement nos chibres. Quelle magnifique illustration de ce qui passait réellement entre nous !
Je cessai un instant notre baisser pour retrouver un peu de souffle. Rudy n’interrompit pas ses frottements contre moi. Nous nous regardâmes quelques secondes, puis il remit sa langue dans ma bouche après avoir constaté qu’il me faisait beaucoup de bien.
Mes poumons avaient de plus en plus de mal à trouver l’air et ma respiration s’accéléra encore d’un cran. Je commençai à gémir discrètement. Rudy accéléra encore ces gestes de friction. Je ne pouvais plus me retenir et dans un râle de plaisir, j’expulsai le fruit de notre ébat sur nos bas ventres comprimés. Mon dernier jet n’était pas encore sorti lorsque mon amant gémit intensément en libérant sa semence en même temps que moi. Je ressentais chaque expulsion de son sperme sur mon ventre. Il était chaud et visqueux. Il se mélangeait au mien et ils coulèrent le long de nos sexes distendus.
Nous arrêtâmes enfin notre baiser. Nous rigolions satisfaits de notre jouissance. Pour ma part, satisfait était un faible mot. J’étais comblé. Je n’avais aucun regret bien au contraire. Rudy a su me faire monter au septième ciel et il m’a fait éprouver des sensations que je pensais inaccessibles.
Mon partenaire fit un pas en arrière. En reculant, nos ventres se décollèrent. Ils étaient luisants et recouverts d’éjaculat. Nos sexes n’étaient plus bandés mais ils étaient encore d’une taille supérieure à la normale et recouverts d’une pellicule blanchâtre. Le gland de Rudy était encore à l’air libre, rouge et luisant tandis que mon prépuce avait déjà commencé à recouvrir ma couronne.
- T’as bien aimé ? me demanda-t-il.
- Plus que ça encore. C’était… waouh ! Tu sais que c’est la première fois que je fais des choses avec un homme. Et je ne regrette pas que ça soit avec toi. Les joues de Rudy rougirent.
- Je suis content. Même si ce n’était pas ma première fois, je n’ai jamais eu autant de complicité. C’était comme si j’avais fusionné avec toi, m’avoua-t-il.
On s’embrassa spontanément de manière lascive, partageant une nouvelle fois la viscosité de nos corps. Ce fut bref mais tendre.
- Cette fois-ci, je crois que j’ai bien mérité ma douche, annonçais-je.
- Je crois aussi. Tenez, le bain de monsieur est prêt, me dit-il en dirigeant sa main vers la baignoire.
Sans me faire prier davantage, je plongeai mes pieds dans l’eau. Elle était encore bien chaude et je mis quelques instants avant de m’y allonger complètement. Avec mes mains, je retirai le liquide blanc de mon ventre. Rudy était là à me contempler puis il s’approcha de moi. Sans un mot, il monta dans la baignoire. Il se tenait debout, dos à moi, ce qui me permis de contempler ses fesses musclées. Elles étaient rondes mais pas trop, assez fermes… bref elles étaient parfaites. Il s’assit entre mes jambes et il s’allongea contre mon buste, sa tête venant se loger sous mon menton.
- Ça ne te gêne pas que je m’incruste ?
- Non. Au contraire.