22-04-2025, 03:28 PM
Tout doucement je me fais une clientèle . J'ai presque autant d'hommes que de femmes. Mais chez ma mère pas de petits billets supplémentaires pour une petite branlette… et c’est dommage car beaucoup de serviettes se soulèvent seules, alors que je pétris les chairs masculines. Certaines clientes doivent aussi être émoustillées par ma pratique, puisque les pointes de leurs tétons trahissent leurs émotions.
Je viens d'en finir avec une cliente quand elle me demande à brûle-pourpoint:
Le soir même j'en parle à ma mère… qui est récalcitrante. Elle se voit mal envoyer les filles à droite ou à gauche en charriant la table de massage d'une main et une sacoche contenant les huiles de massage et huiles essentielles de l’autre. À force d'insister elle me donne son accord pour que j’en fasse l’essai… qui a fort bien marché.
Depuis, je lui ai créé un site web où on paye en ligne les prestations que l'on demande, les affaires se portent au mieux et pour m'avoir il faut maintenant compter une semaine d’attente.
Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un nouveau client. C'est un mec la mi- cinquantaine. Je monte mon matériel tout en lui demandant quel type de massage il veut et avec quelles huiles essentielles il préfère se faire masser. Je lui explique les différentes variantes possible, selon le choix de massage qu’il a payé. Il me demande quelle tenue mettre pour se faire masser.
Nu, il s'installe, le ventre sur la table de massage et je commence mon office. Pour un mec dans la cinquantaine il a de beaux restes.
Il semble aimer ce que je lui fais, ses muscles se relâchent complètement. Quand j'en ai fini avec son dos il se retourne… et sa queue est au beau fixe. À la fin de ma prestation, il me propose un billet de 50 euros pour que je le «finisse».
Pendant que je remballe mon matériel:
…
Dany c'est mon nom pour le boulot, les clients ne savent pas que, mère et patronne, ne sont qu’une seule et même personne. Et là, je lui sors une fable à faire pleurer les pierres. Mes parents et ma sœur tués dans un accident de voiture à cause d'un camion, moi placé en orphelinats ou des maisons d'accueil … et l'argent ce sont les assurances et les sommes versées par la société de transport pour les préjudices que j'ai eu. Je lui précise que je viens de les toucher puisqu’il fallait attendre mes 21 ans .
…
14 h précises il est là. Il ouvre la porte d’entrée, il met en route le compteur électrique, me fait entrer et referme. Il ouvre une porte sur la droite au bas des escaliers. C'est le garage. Au fond du garage une autre porte qui donne sur une petite cour entourée de chaque côté par les murs aveugles des immeubles mitoyens et fermée d'un haut mur percé d'une porte qui donne sur la rue derrière. Il n'y a pas grand-chose à voir dans les étages si ce n'est deux grandes pièces vides avec deux fenêtres de chaque côté. Les combles sont hauts parce que même au bord du mur je peux me tenir droit.
Je vais vite à mon rendez-vous de 17 h et je me dépêche de rentrer. Ce soir, j'ai un autre rendez-vous ‘’ massage’’ mais cette fois, pris sur mon site d'escorte. C'est un jeune gay qui a 20 ans et ses amis lui offrent un ‘’spécial complet’’ prestation de deux heures. Depuis que je suis dans le métier, ça sera le premier mec à qui je vais offrir mes services sexuels, chouette, ce minet va faire remonter en moi de bons souvenirs. J'ai échangé plusieurs mails avec l'organisateur, pour mieux connaître le garçon. Au fil des échanges je me suis fait une petite idée de la personnalité de mon futur client.
J'ai en tête tout un scénario qui devrait l'empêcher de dormir une bonne partie de la soirée.
21 heures, je sonne à sa porte. J'ai avec moi mes outils de massage. Il m'ouvre, surpris. Je lui tends l'enveloppe avec le petit mot que ses amis m'ont donné pour lui. Il le lit, devient rouge et finit par me fait entrer.
Au sortir de la douche il bande comme un âne et ses yeux n’ont pas quitté de vue mon sexe… qui n’est plus tout à fait au repos. C'est avec une serviette nouée autour de la taille que je le suis, quand on retourne au salon. J'installe la table de massage et je le fais s’y allonger, nu, sur le ventre. Ce garçon a un corps magnifique et complètement glabre. Je le masse avec plaisir. Le gars avec qui j'ai échangé des mails m'a parlé un peu de son copain. Il est plutôt passif, et s'il n'a pas souvent des aventures – un timide, paraît-il. Il se sert beaucoup de ses sex-toys. Alors quand j'en arrive à ses fesses je m'amuse à bien exciter son petit trou tout lisse… où j'ose plusieurs doigts, pour son plus grand plaisir. Et quand je lui demande de se retourner, il est rouge vif mais affiche un superbe sourire et je vois que mon massage lui a été profitable. Il y a une grosse tâche de sperme où était sa queue et son ventre ainsi que son gland sont poisseux.
Après lui avoir massé le devant – ce qui l’a complètement revigoré - on va dans sa chambre où je lui fais l'amour deux fois, de toute ma science. C'est au moment où je devrais lui dire qu’il est temps pour moi de prendre congé que tout rougissant, il me demande gentiment si je veux passer la nuit avec lui.
C'est lui qui me réveille en me taillant une pipe. Je le remercie en lui bouffant le cul et en lui faisant l'amour, avant de partir. La nuit et le petit coup du matin, ne sont pas prévus dans la prestation négociée mais il faut savoir se sacrifier, parfois. (N’est-ce pas?)
Cet après-midi, je n'ai que le massage d'une cliente, devenue régulière, qui se limite à un massage tantrique de son sexe jusqu'à ce qu'elle jouisse. Eh oui, en cachette de ma mère, Adèle, a bien voulu me montrer tout ses petits secrets, me servant à la fois d'instructeur et de cobaye. En échange je lui mettais un bon coup de bite, discret, parce que son mec - qui est en prison depuis un an - est dangereux et très jaloux, cependant ne pas avoir du sexe en réel lui manque, même si sa collection de sex-toys ne chôme pas.
Il ne faut pas croire que le reste du temps je ne fais rien. Tous les matins je cours, ensuite je vais faire une heure de muscu à la salle et deux soirs par semaine je vais au club de fight où je retrouve souvent les deux mini-loubards – on a sympathisé… mais de loin.
Et pour me défouler je me suis inscrit dans un club de tir qui prête des armes. C'est là que j'ai rencontré Marc, un homme de 46 ans qui, deux jours par semaine, donne des cours d'utilisation d'armes blanches anciennes. Ça va de la lance en passant par l'arc ou l'épée mais aussi de la fronde, des bolas et bien d'autres encore. Là aussi, il me faut peu de temps pour que j’excelle. C'est au lancé de couteaux que je me suis surpris moi-même, avec la rapidité d’apprentissage d’atteindre la cible.
Puis, c'est Benoît, un gars du quartier, un monte-en-l’air, travaillant dans les quartiers chics de la ville, qui en échange de la réparation de son ordi m'apprend à crocheter les serrures. Ça ne me servira jamais à rien mais bon c'est tout ce qu'il a pour me payer mon travail – faut dire que physiquement c’est vraiment pas ma came, sa gueule a plus de boutons que son clavier d'ordi.
Je passe le week-end avec une dame BCBG dans un hôtel en Bretagne. Elle est moche, radine et à part le missionnaire, elle n'a aucune imagination. Quel gâchis!
Le mardi, je revois le propriétaire de la maison. Je l'ai massé en étant nu, selon son souhait et je me suis beaucoup occupé de son petit trou - qui n'est plus aussi petit, après le massage. En plus du supplément négocié à la base, il me donne un très, très, très bon pourboire. Faut dire qu’il a joui deux fois et qu’il a kiffé que je sois épilé intégral.
Puis, avant même de nous être rhabillé, il me montre les plans. Celui du loft est juste parfait. Sauf qu'en haut il y a quatre chambres de prévues.
Trois jours après, j'ai rendez-vous avec Armand ( le maître d'œuvre) à son bureau. J'y vais avec le plan qui m’intéresse, je lui dis les modifications que je veux faire dessus. Il prend beaucoup de notes et quand j'ai fini de parler c'est à son tour. On se met d'accord sur mes désidératas. Il fera la demande de permis de construire à ma place. Il me tiendra au courant par mail et si tout se passe bien on ne se reverra que pour la livraison du produit fini...
2 semaines après je signe chez le notaire.
Je fais les virements et je reçois 3 jeux de clefs. J'en donne 2 à Armand et les travaux commencent la semaine suivante, à la surprise de tous. Une fois par semaine je reçois un fichier photo qui me montre l'avancée des travaux. Pour tout ce qui est huisserie, portes, serrures, je demande à Benoît lesquelles sont les plus sécures et dures à forcer. C'est, évidemment, celles que je fais installer.
Trois mois plus tard, après avoir fait plusieurs fois le tour de la maison je signe un quitus à Armand. Il ne reste plus qu'à la meubler… Et à dire à ma mère que la maison m’appartient. Je fais ça un soir après la fermeture de l’institut. Elle le prend plutôt bien, même si je vois qu’elle semble dubitative quant à la façon dont je vais devoir rembourser cet achat. Bien sûr, il faut vite aller voir à quoi ça ressemble. On passe par derrière pour plus de discrétion. C'est le cas de le dire, on entre par la petite porte. Après avoir fait le tour elle trouve ça très bien. On rentre manger.
Et je lui déballe ma combine. Elle en bégaie tellement elle est en colère contre moi. Et dès que j'essaie de me défendre elle m'en remet une couche… Pour , au bout d’une Très looongue heure, finalement décréter que c'est de l'argent bien dépensé.
C'est avec elle que je vais choisir tout ce qu'il faut pour la meubler. Là, pareil, par souci de discrétion, une fois mes achats faits, c'est Armand qui se charge de tout monter et installer.
Demain, j'ai 22 ans.
Ma mère est partie depuis deux jours pour la semaine. Pour ne pas être seul, je sors en boite. C'est une soirée étudiante qui est prévue dans l’établissement. Quand je passe à la caisse le gars me demande ma carte d'étudiant et je lui fais mon regard de chien battu, en lui disant que je l'ai oubliée. Il me croit et me demande 10 euros d’entrée puis me tend un ticket qui me donne droit à une boisson. C'est bondé. Je vais danser un peu et je me rabats sur le bar qui n'en est pas moins peuplé que la piste de danse. Ça torche sec. Il y a déjà pas mal de viande saoule. D'où je suis je vois toute la salle et le bar. J'assiste à quelques échanges pas très clairs mais ça ne me regarde pas.
Une main se pose sur mon épaule. C'est le petit minou que je suis allé masser pour son anniversaire - Simon. Il me fait la bise.
Ni l'un ni l'autre n’est venu en voiture. C'est à pied qu'on va chez lui. Dès qu'il y a un coin sombre on en profite pour se rouler des pelles, se tripoter et en traversant un parc il en profite même pour me tailler une pipe derrière un bosquet. Il stoppe juste avant que j'éjacule, cet enfoiré. J'ai beau râler, le supplier rien n'y fait. Il veut que je me réserve pour ses fesses. Pff!
On arrive, on entre dans l'ascenseur et entre deux étages, il le stoppe. Son regard devient lubrique. Il me pousse contre la paroi du fond, s'agenouille devant moi en ouvrant mon jean et en baissant mon pantalon et mon boxer. Heureusement que j'ai débandé entre-temps, sinon il m'arrachait la queue.
Il m'avale en me caressant les fesses. Je bande comme un âne en quelques secondes. Il en a les larmes aux yeux quand il m'avale en gorge profonde. Et quand je suis bien dur et bien chaud il se relève, baisse son pantalon et son boxer, m'enfile une capote, prend place, face au miroir, en cambrant bien ses fesses, et me dit :
Je fais comme il dit. Ses sphincters cèdent sous ma poussée et ma queue s'enfonce d’une traite, sans problème, entre ses fesses. Quand mon pubis les touche je me mets à pomper en lui à grands coups de reins, si puissants qu'il est collé contre la paroi. Il arrange sa queue. Au bout de 5 minutes j'ai déjà envie de gicler. Je commence à ralentir mais il me dit de continuer le rythme rapide, qu'il va jouir.
Quelques secondes après, son cul se contracte sur ma queue, il gémit de plus en plus fort et je sens son point de non-retour atteint. Il tremble de la tête aux pieds et son anus spasme sur ma bite. Je n'en peux plus et je lâche mon sperme dans la capote, enfoncé bien au fond de son cul. Je me retire, il se retourne et me roule une pelle magistrale. On se rhabille et il remet l'ascenseur en route.
Une fois chez lui, il est redevenu le petit garçon timide de la première fois. Il m'offre un coca, on discute un peu et il me propose une douche. On s'y caresse, on se lave, on se suce et de là on va à la chambre où on fait tendrement l’amour. On vient de jouir quand la porte de la chambre s'ouvre sur trois mecs - dont son colocataire, qui prend la parole.
Son pote referme la porte. On se câline le temps que nos queues reprennent de la vigueur. De l'autre côté de la cloison ça baise, sans nul doute. Enfin ça commence. Par moment on entend des bribes de conversation. ''oui continue, avale bien ma queue, putain, c'est trop bon comme tu me bouffes le cul, oui enfonce bien ton doigt, oui vas-y continue'‘.
Quand on ouvre la porte il y en a deux qui se sucent et le troisième bouffe le cul de celui du dessus.
Un autre gars et moi on n'est qu’actif, les 2 autres sont versa. Il n'y a que Simon qui est passif et qui a eu droit à nos 4 queues. Les 2 versa ont eu droit à 3 parce qu'ils se sont pris l'un l'autre au cours de la soirée et vers la fin, alors que le jour se lève, il n'y a plus que moi qui aie la queue encore raide. C'est vrai qu'en tant que travailleur du sexe j'ai plein de combines pour faire jouir mes partenaires sans jouir moi-même. Simon me prend par la main et on retourne à sa chambre. Il s'allonge sur le lit, remonte ses jambes au niveau de sa tête et me demande de le prendre tant que je n'aurai pas joui. Il a le temps de jouir 2 fois sans se toucher avant que je jouisse. On se fait un bisou et on s’endort.
52
Je viens d'en finir avec une cliente quand elle me demande à brûle-pourpoint:
- A tout hasard! Vous ne vous déplacez pas à domicile pour faire des massages ?
- On ne l'a jamais fait mais c'est une idée à envisager, pourquoi pas.
- Si vous changez d’avis, faites moi signe. Ça pourrait m'intéresser moi et sûrement d'autres personnes.
- Je vous promets d'en parler à la direction dès ce soir.
Le soir même j'en parle à ma mère… qui est récalcitrante. Elle se voit mal envoyer les filles à droite ou à gauche en charriant la table de massage d'une main et une sacoche contenant les huiles de massage et huiles essentielles de l’autre. À force d'insister elle me donne son accord pour que j’en fasse l’essai… qui a fort bien marché.
Depuis, je lui ai créé un site web où on paye en ligne les prestations que l'on demande, les affaires se portent au mieux et pour m'avoir il faut maintenant compter une semaine d’attente.
Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un nouveau client. C'est un mec la mi- cinquantaine. Je monte mon matériel tout en lui demandant quel type de massage il veut et avec quelles huiles essentielles il préfère se faire masser. Je lui explique les différentes variantes possible, selon le choix de massage qu’il a payé. Il me demande quelle tenue mettre pour se faire masser.
- Vous avez pris un massage complet. Le mieux c'est que vous vous mettiez nu. Sinon un caleçon ou une petite serviette pour couvrir votre intimité mais, attention, les taches d’huile ne partent pas toutes à la lessive!
- A poil! C'est pas un problème, je suis naturiste.
Nu, il s'installe, le ventre sur la table de massage et je commence mon office. Pour un mec dans la cinquantaine il a de beaux restes.
Il semble aimer ce que je lui fais, ses muscles se relâchent complètement. Quand j'en ai fini avec son dos il se retourne… et sa queue est au beau fixe. À la fin de ma prestation, il me propose un billet de 50 euros pour que je le «finisse».
Pendant que je remballe mon matériel:
- Tu vois… au fait. je peux te dire tu ?
- Oui, bien sûr.
- Je ne regrette que deux choses dans ton massage, très bien fait, ceci dit. La première, c'est quand tu me massais les fesses et que tu sois resté aussi éloigné de mon petit trou. Il fait pourtant partie de mon corps. Et l'autre c'est que tu ne m'as pas massé en étant nu, toi aussi. Si je refais appel à tes services, ça pourrait être des options envisageables ?
- Tout se négocie, pourquoi pas. En revanche si ça se produit, ce qui n'est pas encore certain, on ne touche qu'avec les yeux. Ce sera toujours moi le maître du jeu.
- Ça va de soi… Au fait, tu sais qu'on est en quelque sorte voisin ?
- Pardon ? Je ne comprends pas de quoi vous me parlez.
- La maison toujours fermée, juste à côté de l'institut de massage, elle est à moi.
- Je vois! Mais pourquoi reste elle inhabitée?
- J’y habitais encore il y a moins de 5 ans, avant d’acheter ici. J'avais commencé à y faire effectuer des travaux de rafraîchissement, en vue de la mettre en location mais comme l’entrepreneur n’avançait pas et qu’il l’a pris de haut quand je m’en suis plains, je l’ai viré et j’ai demandé à d’autres sociétés de me faire des devis. Mais depuis, j’ai eu le temps de réfléchir et je crois que je vais la vendre. Plus d’entrepreneur à gérer et quand j’entends tous les problèmes que peuvent causer certains locataires… Je n'ai plus envie de m'emmerder avec des locations.
- C'est foutu comment, dedans ?
- En bas, là où il y avait un magasin et sa réserve j'en ai fait un grand garage où tu peux facilement mettre deux ou trois voitures et au-dessus deux étages de 80 m2 plus des combles, aménageables et une petite cour derrière.
- Et vous vendez ça combien ?
- Le notaire m'a dit que pour m'en débarrasser et ne pas être emmerdé par les impôts 450 000 euros ça serait parfait.
- Ça serait possible de la visiter ?
- Tu veux me l’acheter ?
- Pourquoi pas. Il faudra bien que j’aie un truc à moi un jour ou l'autre et c'est vraiment pas loin de mon boulot. Ha, ha, ha!
- Ça c’est une certitude Mais Dany, tu penses pouvoir réunir l'argent pour payer ?
…
Dany c'est mon nom pour le boulot, les clients ne savent pas que, mère et patronne, ne sont qu’une seule et même personne. Et là, je lui sors une fable à faire pleurer les pierres. Mes parents et ma sœur tués dans un accident de voiture à cause d'un camion, moi placé en orphelinats ou des maisons d'accueil … et l'argent ce sont les assurances et les sommes versées par la société de transport pour les préjudices que j'ai eu. Je lui précise que je viens de les toucher puisqu’il fallait attendre mes 21 ans .
…
- Tu as quel âge, Dany ?
- J'en aurai 22 dans 8 mois.
- Si tu veux cet après-midi à 14 heures on se retrouve devant la maison ?
- Normalement, ça doit être bon. Je consulte mon planning… Oui, c'est bon. Je n'ai pas de rendez-vous fixé avant 17 h.
14 h précises il est là. Il ouvre la porte d’entrée, il met en route le compteur électrique, me fait entrer et referme. Il ouvre une porte sur la droite au bas des escaliers. C'est le garage. Au fond du garage une autre porte qui donne sur une petite cour entourée de chaque côté par les murs aveugles des immeubles mitoyens et fermée d'un haut mur percé d'une porte qui donne sur la rue derrière. Il n'y a pas grand-chose à voir dans les étages si ce n'est deux grandes pièces vides avec deux fenêtres de chaque côté. Les combles sont hauts parce que même au bord du mur je peux me tenir droit.
- Alors, Dany, tu en penses quoi de la maison ?
- Pas mal du tout, l’immeuble est sain, bien isolé et il y a du double vitrage partout. Cependant, c'est compliqué d’imaginer un agencement qui me plairait et serait pratique à l’usage.
- La prochaine fois que tu viendras me masser, fais moi penser à te montrer des plans que j'avais fait faire. Il y en a un où j'avais prévu de faire un appartement par étage, un autre où il y avait 2 lofts sur les 3 étages et un autre encore où seuls les 2 premiers étages servaient.
- Ça me donnera peut-être une idée de ce que je pourrai en faire. Vous pouvez attendre de m'avoir montré les plans, avant de la mettre en vente ?
- Mieux! J'attendrai même ta réponse avant de le faire. J'ai repris un rendez-vous avec toi pour la semaine prochaine. Tu pourras attendre jusque-là pour voir les plans ?
- Oui pas de souci, à la semaine prochaine, alors. Au revoir!
Je vais vite à mon rendez-vous de 17 h et je me dépêche de rentrer. Ce soir, j'ai un autre rendez-vous ‘’ massage’’ mais cette fois, pris sur mon site d'escorte. C'est un jeune gay qui a 20 ans et ses amis lui offrent un ‘’spécial complet’’ prestation de deux heures. Depuis que je suis dans le métier, ça sera le premier mec à qui je vais offrir mes services sexuels, chouette, ce minet va faire remonter en moi de bons souvenirs. J'ai échangé plusieurs mails avec l'organisateur, pour mieux connaître le garçon. Au fil des échanges je me suis fait une petite idée de la personnalité de mon futur client.
J'ai en tête tout un scénario qui devrait l'empêcher de dormir une bonne partie de la soirée.
21 heures, je sonne à sa porte. J'ai avec moi mes outils de massage. Il m'ouvre, surpris. Je lui tends l'enveloppe avec le petit mot que ses amis m'ont donné pour lui. Il le lit, devient rouge et finit par me fait entrer.
- Je dois faire quoi ? On ne m'a jamais massé.
- As-tu déjà pris ta douche ?
- Non, pas encore. J'allais le faire.
- Allons y ensemble, si tu veux.
- Tu… tu veux venir te doucher avec moi ?
- Ce n'est pas prévu, je veux juste t'aider à te laver et te détendre. Mais si ça te fait plaisir, je veux bien me doucher avec toi.
- Ça sera la première fois que je me douche avec quelqu’un… mais oui!
Au sortir de la douche il bande comme un âne et ses yeux n’ont pas quitté de vue mon sexe… qui n’est plus tout à fait au repos. C'est avec une serviette nouée autour de la taille que je le suis, quand on retourne au salon. J'installe la table de massage et je le fais s’y allonger, nu, sur le ventre. Ce garçon a un corps magnifique et complètement glabre. Je le masse avec plaisir. Le gars avec qui j'ai échangé des mails m'a parlé un peu de son copain. Il est plutôt passif, et s'il n'a pas souvent des aventures – un timide, paraît-il. Il se sert beaucoup de ses sex-toys. Alors quand j'en arrive à ses fesses je m'amuse à bien exciter son petit trou tout lisse… où j'ose plusieurs doigts, pour son plus grand plaisir. Et quand je lui demande de se retourner, il est rouge vif mais affiche un superbe sourire et je vois que mon massage lui a été profitable. Il y a une grosse tâche de sperme où était sa queue et son ventre ainsi que son gland sont poisseux.
Après lui avoir massé le devant – ce qui l’a complètement revigoré - on va dans sa chambre où je lui fais l'amour deux fois, de toute ma science. C'est au moment où je devrais lui dire qu’il est temps pour moi de prendre congé que tout rougissant, il me demande gentiment si je veux passer la nuit avec lui.
C'est lui qui me réveille en me taillant une pipe. Je le remercie en lui bouffant le cul et en lui faisant l'amour, avant de partir. La nuit et le petit coup du matin, ne sont pas prévus dans la prestation négociée mais il faut savoir se sacrifier, parfois. (N’est-ce pas?)
Cet après-midi, je n'ai que le massage d'une cliente, devenue régulière, qui se limite à un massage tantrique de son sexe jusqu'à ce qu'elle jouisse. Eh oui, en cachette de ma mère, Adèle, a bien voulu me montrer tout ses petits secrets, me servant à la fois d'instructeur et de cobaye. En échange je lui mettais un bon coup de bite, discret, parce que son mec - qui est en prison depuis un an - est dangereux et très jaloux, cependant ne pas avoir du sexe en réel lui manque, même si sa collection de sex-toys ne chôme pas.
Il ne faut pas croire que le reste du temps je ne fais rien. Tous les matins je cours, ensuite je vais faire une heure de muscu à la salle et deux soirs par semaine je vais au club de fight où je retrouve souvent les deux mini-loubards – on a sympathisé… mais de loin.
Et pour me défouler je me suis inscrit dans un club de tir qui prête des armes. C'est là que j'ai rencontré Marc, un homme de 46 ans qui, deux jours par semaine, donne des cours d'utilisation d'armes blanches anciennes. Ça va de la lance en passant par l'arc ou l'épée mais aussi de la fronde, des bolas et bien d'autres encore. Là aussi, il me faut peu de temps pour que j’excelle. C'est au lancé de couteaux que je me suis surpris moi-même, avec la rapidité d’apprentissage d’atteindre la cible.
Puis, c'est Benoît, un gars du quartier, un monte-en-l’air, travaillant dans les quartiers chics de la ville, qui en échange de la réparation de son ordi m'apprend à crocheter les serrures. Ça ne me servira jamais à rien mais bon c'est tout ce qu'il a pour me payer mon travail – faut dire que physiquement c’est vraiment pas ma came, sa gueule a plus de boutons que son clavier d'ordi.
Je passe le week-end avec une dame BCBG dans un hôtel en Bretagne. Elle est moche, radine et à part le missionnaire, elle n'a aucune imagination. Quel gâchis!
Le mardi, je revois le propriétaire de la maison. Je l'ai massé en étant nu, selon son souhait et je me suis beaucoup occupé de son petit trou - qui n'est plus aussi petit, après le massage. En plus du supplément négocié à la base, il me donne un très, très, très bon pourboire. Faut dire qu’il a joui deux fois et qu’il a kiffé que je sois épilé intégral.
Puis, avant même de nous être rhabillé, il me montre les plans. Celui du loft est juste parfait. Sauf qu'en haut il y a quatre chambres de prévues.
- Alors le plan te plaît ?
- En grande partie. Coté cours je ne vais faire qu'une chambre avec sa salle de bain privative et un grand dressing.
- Oui, c'est bien aussi mais ça va te faire une chambre de moins.
- Je ne compte pas faire des chambres d'hôtes chez moi.
- On peut signer le compromis de vente ?
- Dès que vous voulez.
- J'en ai des pré remplis. Il ne reste plus qu'à mettre ton nom, la somme et signer. Et je le contre signerai pour dire que j’accepte. Il ne me restera plus qu'à voir avec le notaire quand on pourra signer la vente définitive. Cependant je te demanderai un chèque de banque certifié.
- Ça ne sera pas possible. J'ai un compte en ligne et pas de chéquier. Mais je vous ferai un virement immédiat chez le notaire. Pareil pour ses frais.
- Ça me va aussi. Pour les travaux tu vas procéder comment ?
- Ça, j'en sais rien. Je n’y connais rien en travaux.
- Si ça peut t'aider je téléphone au maître d'œuvre qui a fait les plans et je lui dis de te contacter. C’était lui qui aurait dû reprendre les travaux, il n'est pas cher et très sérieux.
- Je veux bien, merci.
Trois jours après, j'ai rendez-vous avec Armand ( le maître d'œuvre) à son bureau. J'y vais avec le plan qui m’intéresse, je lui dis les modifications que je veux faire dessus. Il prend beaucoup de notes et quand j'ai fini de parler c'est à son tour. On se met d'accord sur mes désidératas. Il fera la demande de permis de construire à ma place. Il me tiendra au courant par mail et si tout se passe bien on ne se reverra que pour la livraison du produit fini...
2 semaines après je signe chez le notaire.
Je fais les virements et je reçois 3 jeux de clefs. J'en donne 2 à Armand et les travaux commencent la semaine suivante, à la surprise de tous. Une fois par semaine je reçois un fichier photo qui me montre l'avancée des travaux. Pour tout ce qui est huisserie, portes, serrures, je demande à Benoît lesquelles sont les plus sécures et dures à forcer. C'est, évidemment, celles que je fais installer.
Trois mois plus tard, après avoir fait plusieurs fois le tour de la maison je signe un quitus à Armand. Il ne reste plus qu'à la meubler… Et à dire à ma mère que la maison m’appartient. Je fais ça un soir après la fermeture de l’institut. Elle le prend plutôt bien, même si je vois qu’elle semble dubitative quant à la façon dont je vais devoir rembourser cet achat. Bien sûr, il faut vite aller voir à quoi ça ressemble. On passe par derrière pour plus de discrétion. C'est le cas de le dire, on entre par la petite porte. Après avoir fait le tour elle trouve ça très bien. On rentre manger.
- Alors, ça y est, tu vas partir ?
- Pourquoi? tu me mets dehors!
- Mais qu'est-ce que tu racontes comme connerie? J’imagine juste que, maintenant que tu as ta maison, tu vas vouloir ton indépendance.
- Je suis bien ici, avec toi. Donc, il n’y a pas d’urgence… C'est juste qu'il faut que je t'avoue autre chose. C'est comment j'ai fait pour la payer.
Et je lui déballe ma combine. Elle en bégaie tellement elle est en colère contre moi. Et dès que j'essaie de me défendre elle m'en remet une couche… Pour , au bout d’une Très looongue heure, finalement décréter que c'est de l'argent bien dépensé.
C'est avec elle que je vais choisir tout ce qu'il faut pour la meubler. Là, pareil, par souci de discrétion, une fois mes achats faits, c'est Armand qui se charge de tout monter et installer.
- Ça a vraiment de la gueule maintenant que c'est meublé, Tom. C'est presque dommage que ça reste inhabité.
- Si tu veux, on déménage d’ici.
- Idiot, on n'est pas bien chez moi ?
- Bien sûr que oui, Maman.
- Alors on va continuer à la jouer discret et quand tu te seras enfin décidé à avoir un travail à plein temps honorable, tu pourras toujours dire que tu le loues meublé.
- Mais qu'est-ce que tu reproches au travail que je fais ?
- Il n'est pas digne du potentiel que tu as.
- Peut-être, mais il me plaît, Maman.
- Que tu es énervant parfois. Tu mériterais des gifles.
- Moi aussi, je t'aime maman.
Demain, j'ai 22 ans.
Ma mère est partie depuis deux jours pour la semaine. Pour ne pas être seul, je sors en boite. C'est une soirée étudiante qui est prévue dans l’établissement. Quand je passe à la caisse le gars me demande ma carte d'étudiant et je lui fais mon regard de chien battu, en lui disant que je l'ai oubliée. Il me croit et me demande 10 euros d’entrée puis me tend un ticket qui me donne droit à une boisson. C'est bondé. Je vais danser un peu et je me rabats sur le bar qui n'en est pas moins peuplé que la piste de danse. Ça torche sec. Il y a déjà pas mal de viande saoule. D'où je suis je vois toute la salle et le bar. J'assiste à quelques échanges pas très clairs mais ça ne me regarde pas.
Une main se pose sur mon épaule. C'est le petit minou que je suis allé masser pour son anniversaire - Simon. Il me fait la bise.
- Encore merci pour ce que tu as fait pour mon anniversaire. Je m'en souviendrai toute ma vie tellement tu m'as donné du plaisir. Je serai milliardaire je t'embaucherai à l’année.
- Bin dit donc, je t'ai vraiment marqué.
- Plus que tu ne peux l’imaginer.
- Et si je te propose de t’accompagner chez toi, là, tout de suite, afin de remettre ça ,tu dis quoi ?
- Oh! C'est cruel de te foutre de ma gueule. Tu veux que je le prenne où, le fric pour te payer ?
- Et si je te dis que c'est gratuit aujourd’hui, tu en penses quoi ?
- Hein! Donne moi deux minutes, le temps d'aller dire à mes potes que je rentre et on y va.
Ni l'un ni l'autre n’est venu en voiture. C'est à pied qu'on va chez lui. Dès qu'il y a un coin sombre on en profite pour se rouler des pelles, se tripoter et en traversant un parc il en profite même pour me tailler une pipe derrière un bosquet. Il stoppe juste avant que j'éjacule, cet enfoiré. J'ai beau râler, le supplier rien n'y fait. Il veut que je me réserve pour ses fesses. Pff!
- On est bientôt arrivé… Si tu veux bien, on va satisfaire un de mes fantasmes dans 5 minutes. Tu vas vite comprendre!
On arrive, on entre dans l'ascenseur et entre deux étages, il le stoppe. Son regard devient lubrique. Il me pousse contre la paroi du fond, s'agenouille devant moi en ouvrant mon jean et en baissant mon pantalon et mon boxer. Heureusement que j'ai débandé entre-temps, sinon il m'arrachait la queue.
- Cool! Elle est de nouveau molle. J'adore sentir une bite grossir dans ma bouche.
- Dépêche toi alors parce que je ne vais pas tarder à rebander.
Il m'avale en me caressant les fesses. Je bande comme un âne en quelques secondes. Il en a les larmes aux yeux quand il m'avale en gorge profonde. Et quand je suis bien dur et bien chaud il se relève, baisse son pantalon et son boxer, m'enfile une capote, prend place, face au miroir, en cambrant bien ses fesses, et me dit :
- Vas-y, baise moi fort et fais moi jouir. Prends moi d'un coup, je me suis préparé.
Je fais comme il dit. Ses sphincters cèdent sous ma poussée et ma queue s'enfonce d’une traite, sans problème, entre ses fesses. Quand mon pubis les touche je me mets à pomper en lui à grands coups de reins, si puissants qu'il est collé contre la paroi. Il arrange sa queue. Au bout de 5 minutes j'ai déjà envie de gicler. Je commence à ralentir mais il me dit de continuer le rythme rapide, qu'il va jouir.
Quelques secondes après, son cul se contracte sur ma queue, il gémit de plus en plus fort et je sens son point de non-retour atteint. Il tremble de la tête aux pieds et son anus spasme sur ma bite. Je n'en peux plus et je lâche mon sperme dans la capote, enfoncé bien au fond de son cul. Je me retire, il se retourne et me roule une pelle magistrale. On se rhabille et il remet l'ascenseur en route.
Une fois chez lui, il est redevenu le petit garçon timide de la première fois. Il m'offre un coca, on discute un peu et il me propose une douche. On s'y caresse, on se lave, on se suce et de là on va à la chambre où on fait tendrement l’amour. On vient de jouir quand la porte de la chambre s'ouvre sur trois mecs - dont son colocataire, qui prend la parole.
- Oups, désolé, je ne voulais pas vous déranger. J’ignorai que tu étais accompagné. Je voulais seulement voir si tu étais bien rentré. Je vous laisse tranquille mais si on vous empêche de dormir parce qu'on fait trop de bruit, vous n'aurez qu'à venir nous rejoindre.
Son pote referme la porte. On se câline le temps que nos queues reprennent de la vigueur. De l'autre côté de la cloison ça baise, sans nul doute. Enfin ça commence. Par moment on entend des bribes de conversation. ''oui continue, avale bien ma queue, putain, c'est trop bon comme tu me bouffes le cul, oui enfonce bien ton doigt, oui vas-y continue'‘.
- Dany, participer à une partouze, c’est un autre de mes fantasmes. Tu veux qu'on les rejoigne ?
- Tu en as encore beaucoup des fantasmes de ce genre ?
- Plus qu'un, après je les aurai tous faits.
- Et c'est quoi ton troisième fantasme ?
- Un plan à trois, avec un mec et une meuf.
- T'es bi, toi ?
- C'est plus compliqué que ça. Avec les meufs je suis très actif limite un peu domi mais avec les mecs je suis une vraie salope qui adore boire leur jus et se faire démonter le cul. Alors Dany! Ça te dit qu'on les rejoigne?
- Tu sais que moi non plus je n'ai jamais fait de partouze Simon ?
- T'es sérieux ? Pourtant avec ton boulot je pensais que tu avais tout vu.
- Et non, Simon, tu vois moi aussi j'ai des lacunes. Le plus que j’ai fait c’est avec deux potes. On va les rejoindre ?
Quand on ouvre la porte il y en a deux qui se sucent et le troisième bouffe le cul de celui du dessus.
- On peut s’incruster ?
- Sans problème. On se demandait combien de temps vous alliez mettre pour venir.
Un autre gars et moi on n'est qu’actif, les 2 autres sont versa. Il n'y a que Simon qui est passif et qui a eu droit à nos 4 queues. Les 2 versa ont eu droit à 3 parce qu'ils se sont pris l'un l'autre au cours de la soirée et vers la fin, alors que le jour se lève, il n'y a plus que moi qui aie la queue encore raide. C'est vrai qu'en tant que travailleur du sexe j'ai plein de combines pour faire jouir mes partenaires sans jouir moi-même. Simon me prend par la main et on retourne à sa chambre. Il s'allonge sur le lit, remonte ses jambes au niveau de sa tête et me demande de le prendre tant que je n'aurai pas joui. Il a le temps de jouir 2 fois sans se toucher avant que je jouisse. On se fait un bisou et on s’endort.
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