17-04-2025, 11:04 AM
Chapitre 29
Cette nuit, nous avons dormi ensemble. Nous avons posé les deux matelas par terre, l'un contre l'autre, les avons bloqué entre un lit et un gros coffre et nous nous sommes endormis nus, l'un contre l'autre...
Pour une fois, ce matin, c'est moi qui émerge le premier. Je sens Robin dans mon dos.
Sa chaleur, son souffle tranquille et apaisé bercent mon réveil. Je me retourne doucement pour lui faire face. Il est beau, mon cœur bat plus vite...
Je regarde l'heure, 8h47, il est tôt. Je n'ai plus envie de dormir, j'ai envie de Robin !
Je lui caresse doucement la peau, lui dépose quelques baisers... il ne bronche pas.
Je décide de lui faire une petite surprise. Je me tourne pour me placer tête-bêche par rapport à lui et j'approche doucement la tête de son sexe. Il est au repos, adorable petit appendice, si innocent et fragile et pourtant fort et puissant...
Je le caresse de la main mais sans attendre qu'il se réveille, je l'introduis dans ma bouche. Je le suçote tout en lui malaxant doucement les couilles...
Il ne tarde pas à prendre de la vigueur et lentement se déploie. Je ne peux plus le garder tout entier en bouche. Il est chaud maintenant. Son gland n'est pas décalotté alors je fait glisser le prépuce et je concentre mes caresses sur la le gland.
Il gémit un peu, peut-être est-il à moitié réveillé. Je redescends à la base puis prend ses deux boules dans la bouche et doucement, joue avec elles...
Je sens soudain un contact humide sur mon sexe en érection, je tourne la tête et m'aperçois qu'il est réveillé et me rend la pareille. C'est maintenant un concert de gémissements étouffés, de grognements sourds qui accompagne la montée du plaisir...
Je sens son sexe palpiter, se raidir encore et il déverse dans ma bouche sa chaude liqueur. Je manque de m'étrangler et avale ce nectar inconnu comme un filtre d'amour.
Il a un goût différent du mien, plus acre mais aussi plus parfumé. Pendant ce temps Robin continue de s'activer sur ma tige et alors qu'il me lèche le gland je sens à mon tour la sève monter.
Je gicle en soupirant de plaisir et lui asperge le visage de sperme...
— Ben dis donc ça c'est un réveil qui donne la pêche ! Si c'était comme ça tous les jours c'est sûr, je serai heureux de commencer n'importe quelle journée !
— Bonjour toi ! me dit-il, les yeux pleins d'amour.
— Bonjour toi ! Je t'aime ! et en me redressant je l'embrasse avidement.
Nous restons un long moment blottis l'un contre l'autre, immobiles et silencieux, simplement à goûter le plaisir de nos deux corps chauds et détendus...
— Bon c'est pas pour gâcher la fête mais j'crois qu'il est plus prudent de remettre tout en place...
— Ouai, c'est clair, faut pas prendre de risque inutile.
Même si nous nous sentons maintenant en sécurité dans la chambre, il ne serait peut-être pas judicieux ou ce serait tout simplement gênant de faire comprendre à un membre de la famille qu'il ne doit pas rentrer...
On remet donc les matelas en place et on se remet sagement chacun dans notre lit, en attendant que la maison s'éveille.
...
Birgit et Dieter sont partis se promener sitôt après le petit déjeuner et nous sommes seuls, tous les cinq, à la maison. C'est l'effervescence dans la cuisine. Ils seront de retour vers une heure et il faut que le repas que nous sommes entrain de préparer soit prêt !
Andreas, qui à l'air de savoir où il va, dirige la manœuvre et nous nous affairons à la préparation.
Je m'occupe de l'entrée avec Michaël, une salade de crudités avec du surimi, ce qui correspond tout à fait à mon niveau de compétence...
Florian et Robin font un gâteau au chocolat et Andreas s'occupe du rôti et de la garniture tout en surveillant si le reste se passe bien.
C'est vraiment super sympa. Je ne pensais pas que faire la cuisine pouvait être aussi agréable. On discute, on se chamaille, on se fait houspiller par le chef parce qu'on n'écoute pas ses conseils et on rigole dès qu'il y en a un qui fait une bêtise, ce qui arrive très souvent.
...
Quand les deux parents sont de retour, nous venons juste, Michaël et moi, de dresser la table. Le timing est parfait !
Le repas se déroule merveilleusement. Nous assurons le service alors que Dieter et Birgit jouent le rôle des convives. C'est, l'espace d'un repas, le monde à l'envers !
Nous recevons force compliments et tout le monde est très fier. Nous pour le travail effectué et la satisfaction d'avoir bien cuisiné et les parents pour la façon dont les enfants se sont pris en charge et pour le plaisir de les féliciter.
Après le dessert, délicieux, merci Florian et Robin, Andreas sert le café à ses parents tandis que Florian et Mickaël partent chercher les cadeaux.
— Dieter : Es war wirklich lecker! ich gratuliere euch, ich habe sehr gut gegessen. (C'était vraiment délicieux ! Je vous félicite, j'ai très bien mangé.)
— Birgit : Ja ich hätte gern dass alle Tage mein Namenstag sei! Das wäre wunderbar! Nichts zu tun, alles perfekt... (Oui, j'aimerai que ce soit tous les jours ma fête ! Ce serait formidable ! Rien à faire, tout est parfait...)
Les deux petits rentrent alors dans le salon, les bras chargés.
— Florian : Das ist für dich Mutti (C'est pour toi Maman) dit Florian en lui tendant un gros paquet.
— Michaël : Und das ist auch für dich Mutti (Ca aussi c'est pour toi Maman) rajoute fièrement Michaël en lui remettant une grande enveloppe dans laquelle nous avons glissé son dessin et l'adaptation de la chanson de Barbara que j'avais commencé hier après midi et que nous avons terminé hier soir avec Robin.
— Birgit : So, alles für mich, vielen Dank ! (Tout ça pour moi, merci beaucoup !)dit Birgit en feignant la surprise.
Elle ouvre le premier gros paquet et découvre lentement... un grand couteau de cuisine, une paire de gants pour la vaisselle, un bol, une petite louche et autres ustensiles de cuisine, chacun emballé dans une quantité invraisemblable de papier...
Elle éclate de rire, suivit de près par tout le monde.
— Birgit : Ich hätte ein bisschen warten sollen bevor ich euch für diese Geschenke danke! (J'aurai peut-être du attendre un peu avant de vous remercier !) et feignant la grande déception, rajoute "ihr habt mich hereingelegt! (Vous m'avez bien eu !)
— Florian : Es gibt doch noch etwas Mutti! (Il y a encore quelque chose, Maman !)
Feignant l'incrédulité, Birgit, découvre alors parmi d'autres papiers, une petite boite.
— Birgit : Was kann es doch sein? Büroklammerdose ? (Qu'est ce que ça peut bien être ? Une boite de trombones ?)
Elle ouvre avec méfiance le petit paquet et découvre une magnifique paire de boucles d'oreille.
— Birgit : Ach sie sind herrlich! Jetzt kann ich euch wirklich danken! (Oh, elles sont magnifiques ! Maintenant je peux vraiment vous remercier !) rajoute-t-elle radieuse.
— Michaël : Und es gibt auch etwas anderes Mutti! (Et il y a encore autre chose, Maman !)
— Birgit : Ja ich hatte es nicht vergessen! (Oui, je n'ai pas oublié !)
Elle ouvre l'enveloppe délicatement et en sort en premier le dessin de Michaël et, plié en deux, notre poème.
— Wie schön ! Das hast du für mich gezeichnet! Herrlich Michaël Comme c'est joli ! Tu l'as dessiné pour moi ! Magnifique Michaël !) et elle l'embrasse pour la plus grande joie du petit garçon.
— Michaël : Und das haben Thomas und Robin geschrieben! (Et ça c'est Thomas et Robin qui l'ont écrit !) lui indique-t-il en désignant la feuille pliée.
Birgit prend la feuille, la déplie et commence à lire.
— Birgit : Ach, ins französische ! Das wird schwer sein! (Ah, en français ! Ça va être dur !)
Elle parcourt le poème des yeux, s'interrompt et presque avec les larmes aux yeux, se tourne vers nous.
— Birgit : Das ist fantastisch! Das betrifft mich so viel! Vielen Dank Thomas und Robin, es ist wirklich herrlich!" (C'est superbe ! Ça me touche énormément ! Merci Thomas, merci Robin. C'est vraiment magnifique !) et, s'adressant à Dieter et à ses enfants, rajoute " ich werde es ins Deutsch zu überstezen versuchen. (je vais essayer de vous le traduire en allemand).
Laatzen
Bien sûr ce n'est pas la Maine
Mais ça ne m' fait pas de peine
Car c'est joli tout de même
A Laatzen, à Laatzen
Pas de château, pas de Loire
Qui passe et fait l'histoire
Mais l'amour y fleurit sans peine
A Laatzen, à Laatzen
Vous savez mieux que nous je pense
L'histoire de tous nos rois de France
Dieter, Birgit, Andreas et Florian
Et aussi Michaël à Laatzen
Et que personne ne s'offense
Mais les contes de mon adolescence
Commenceront tous, je le pense
A Laatzen, à Laatzen
Bien sûr nous nous avons la Maine
Mais cela ne doit pas vous faire de peine
Car mon Dieu que les roses sont belles
A Laatzen, à Laatzen
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de certains poèmes
Vous, vous êtes la joie même
A Laatzen, à Laatzen
Et tant pis pour ceux qui s'en étonnent
Et que les autres me pardonnent
Mais les enfants sont les mêmes
A Angers ou à Laatzen
Et faites qu'un jour j'y revienne
Pour voir ce qu'ils deviennent
Car de les quitter, mon cœur saigne,
Les enfants blonds de Laatzen
Et lorsque sonnera le glas de ce charme
Que retentira l'ultime alarme
Mon cœur versera plus d'une larme
Pour Laatzen, pour Laatzen
(Adaptation libre de la chanson de Barbara, Göttingen)
Wir wollen mit diesem Gedicht ihr alle bedanken und besonders du,Birgit, weil ihr uns unsere Liebegeschichte zu leben erlauben habt... (Nous voulons avec ce poème, tous vous remercier et particulièrement toi, Birgit, parce que grâce à vous notre histoire d'amour a pu exister)
Wir erleben hier die schönsten Tage unseres Lebens und wir werden ewig dankbar sein... (Nous vivons ici les plus beaux jours de notre vie et nous vous en serons éternellement reconnaissants)
Thomas et Robin
Cette nuit, nous avons dormi ensemble. Nous avons posé les deux matelas par terre, l'un contre l'autre, les avons bloqué entre un lit et un gros coffre et nous nous sommes endormis nus, l'un contre l'autre...
Pour une fois, ce matin, c'est moi qui émerge le premier. Je sens Robin dans mon dos.
Sa chaleur, son souffle tranquille et apaisé bercent mon réveil. Je me retourne doucement pour lui faire face. Il est beau, mon cœur bat plus vite...
Je regarde l'heure, 8h47, il est tôt. Je n'ai plus envie de dormir, j'ai envie de Robin !
Je lui caresse doucement la peau, lui dépose quelques baisers... il ne bronche pas.
Je décide de lui faire une petite surprise. Je me tourne pour me placer tête-bêche par rapport à lui et j'approche doucement la tête de son sexe. Il est au repos, adorable petit appendice, si innocent et fragile et pourtant fort et puissant...
Je le caresse de la main mais sans attendre qu'il se réveille, je l'introduis dans ma bouche. Je le suçote tout en lui malaxant doucement les couilles...
Il ne tarde pas à prendre de la vigueur et lentement se déploie. Je ne peux plus le garder tout entier en bouche. Il est chaud maintenant. Son gland n'est pas décalotté alors je fait glisser le prépuce et je concentre mes caresses sur la le gland.
Il gémit un peu, peut-être est-il à moitié réveillé. Je redescends à la base puis prend ses deux boules dans la bouche et doucement, joue avec elles...
Je sens soudain un contact humide sur mon sexe en érection, je tourne la tête et m'aperçois qu'il est réveillé et me rend la pareille. C'est maintenant un concert de gémissements étouffés, de grognements sourds qui accompagne la montée du plaisir...
Je sens son sexe palpiter, se raidir encore et il déverse dans ma bouche sa chaude liqueur. Je manque de m'étrangler et avale ce nectar inconnu comme un filtre d'amour.
Il a un goût différent du mien, plus acre mais aussi plus parfumé. Pendant ce temps Robin continue de s'activer sur ma tige et alors qu'il me lèche le gland je sens à mon tour la sève monter.
Je gicle en soupirant de plaisir et lui asperge le visage de sperme...
— Ben dis donc ça c'est un réveil qui donne la pêche ! Si c'était comme ça tous les jours c'est sûr, je serai heureux de commencer n'importe quelle journée !
— Bonjour toi ! me dit-il, les yeux pleins d'amour.
— Bonjour toi ! Je t'aime ! et en me redressant je l'embrasse avidement.
Nous restons un long moment blottis l'un contre l'autre, immobiles et silencieux, simplement à goûter le plaisir de nos deux corps chauds et détendus...
— Bon c'est pas pour gâcher la fête mais j'crois qu'il est plus prudent de remettre tout en place...
— Ouai, c'est clair, faut pas prendre de risque inutile.
Même si nous nous sentons maintenant en sécurité dans la chambre, il ne serait peut-être pas judicieux ou ce serait tout simplement gênant de faire comprendre à un membre de la famille qu'il ne doit pas rentrer...
On remet donc les matelas en place et on se remet sagement chacun dans notre lit, en attendant que la maison s'éveille.
...
Birgit et Dieter sont partis se promener sitôt après le petit déjeuner et nous sommes seuls, tous les cinq, à la maison. C'est l'effervescence dans la cuisine. Ils seront de retour vers une heure et il faut que le repas que nous sommes entrain de préparer soit prêt !
Andreas, qui à l'air de savoir où il va, dirige la manœuvre et nous nous affairons à la préparation.
Je m'occupe de l'entrée avec Michaël, une salade de crudités avec du surimi, ce qui correspond tout à fait à mon niveau de compétence...
Florian et Robin font un gâteau au chocolat et Andreas s'occupe du rôti et de la garniture tout en surveillant si le reste se passe bien.
C'est vraiment super sympa. Je ne pensais pas que faire la cuisine pouvait être aussi agréable. On discute, on se chamaille, on se fait houspiller par le chef parce qu'on n'écoute pas ses conseils et on rigole dès qu'il y en a un qui fait une bêtise, ce qui arrive très souvent.
...
Quand les deux parents sont de retour, nous venons juste, Michaël et moi, de dresser la table. Le timing est parfait !
Le repas se déroule merveilleusement. Nous assurons le service alors que Dieter et Birgit jouent le rôle des convives. C'est, l'espace d'un repas, le monde à l'envers !
Nous recevons force compliments et tout le monde est très fier. Nous pour le travail effectué et la satisfaction d'avoir bien cuisiné et les parents pour la façon dont les enfants se sont pris en charge et pour le plaisir de les féliciter.
Après le dessert, délicieux, merci Florian et Robin, Andreas sert le café à ses parents tandis que Florian et Mickaël partent chercher les cadeaux.
— Dieter : Es war wirklich lecker! ich gratuliere euch, ich habe sehr gut gegessen. (C'était vraiment délicieux ! Je vous félicite, j'ai très bien mangé.)
— Birgit : Ja ich hätte gern dass alle Tage mein Namenstag sei! Das wäre wunderbar! Nichts zu tun, alles perfekt... (Oui, j'aimerai que ce soit tous les jours ma fête ! Ce serait formidable ! Rien à faire, tout est parfait...)
Les deux petits rentrent alors dans le salon, les bras chargés.
— Florian : Das ist für dich Mutti (C'est pour toi Maman) dit Florian en lui tendant un gros paquet.
— Michaël : Und das ist auch für dich Mutti (Ca aussi c'est pour toi Maman) rajoute fièrement Michaël en lui remettant une grande enveloppe dans laquelle nous avons glissé son dessin et l'adaptation de la chanson de Barbara que j'avais commencé hier après midi et que nous avons terminé hier soir avec Robin.
— Birgit : So, alles für mich, vielen Dank ! (Tout ça pour moi, merci beaucoup !)dit Birgit en feignant la surprise.
Elle ouvre le premier gros paquet et découvre lentement... un grand couteau de cuisine, une paire de gants pour la vaisselle, un bol, une petite louche et autres ustensiles de cuisine, chacun emballé dans une quantité invraisemblable de papier...
Elle éclate de rire, suivit de près par tout le monde.
— Birgit : Ich hätte ein bisschen warten sollen bevor ich euch für diese Geschenke danke! (J'aurai peut-être du attendre un peu avant de vous remercier !) et feignant la grande déception, rajoute "ihr habt mich hereingelegt! (Vous m'avez bien eu !)
— Florian : Es gibt doch noch etwas Mutti! (Il y a encore quelque chose, Maman !)
Feignant l'incrédulité, Birgit, découvre alors parmi d'autres papiers, une petite boite.
— Birgit : Was kann es doch sein? Büroklammerdose ? (Qu'est ce que ça peut bien être ? Une boite de trombones ?)
Elle ouvre avec méfiance le petit paquet et découvre une magnifique paire de boucles d'oreille.
— Birgit : Ach sie sind herrlich! Jetzt kann ich euch wirklich danken! (Oh, elles sont magnifiques ! Maintenant je peux vraiment vous remercier !) rajoute-t-elle radieuse.
— Michaël : Und es gibt auch etwas anderes Mutti! (Et il y a encore autre chose, Maman !)
— Birgit : Ja ich hatte es nicht vergessen! (Oui, je n'ai pas oublié !)
Elle ouvre l'enveloppe délicatement et en sort en premier le dessin de Michaël et, plié en deux, notre poème.
— Wie schön ! Das hast du für mich gezeichnet! Herrlich Michaël Comme c'est joli ! Tu l'as dessiné pour moi ! Magnifique Michaël !) et elle l'embrasse pour la plus grande joie du petit garçon.
— Michaël : Und das haben Thomas und Robin geschrieben! (Et ça c'est Thomas et Robin qui l'ont écrit !) lui indique-t-il en désignant la feuille pliée.
Birgit prend la feuille, la déplie et commence à lire.
— Birgit : Ach, ins französische ! Das wird schwer sein! (Ah, en français ! Ça va être dur !)
Elle parcourt le poème des yeux, s'interrompt et presque avec les larmes aux yeux, se tourne vers nous.
— Birgit : Das ist fantastisch! Das betrifft mich so viel! Vielen Dank Thomas und Robin, es ist wirklich herrlich!" (C'est superbe ! Ça me touche énormément ! Merci Thomas, merci Robin. C'est vraiment magnifique !) et, s'adressant à Dieter et à ses enfants, rajoute " ich werde es ins Deutsch zu überstezen versuchen. (je vais essayer de vous le traduire en allemand).
Laatzen
Bien sûr ce n'est pas la Maine
Mais ça ne m' fait pas de peine
Car c'est joli tout de même
A Laatzen, à Laatzen
Pas de château, pas de Loire
Qui passe et fait l'histoire
Mais l'amour y fleurit sans peine
A Laatzen, à Laatzen
Vous savez mieux que nous je pense
L'histoire de tous nos rois de France
Dieter, Birgit, Andreas et Florian
Et aussi Michaël à Laatzen
Et que personne ne s'offense
Mais les contes de mon adolescence
Commenceront tous, je le pense
A Laatzen, à Laatzen
Bien sûr nous nous avons la Maine
Mais cela ne doit pas vous faire de peine
Car mon Dieu que les roses sont belles
A Laatzen, à Laatzen
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de certains poèmes
Vous, vous êtes la joie même
A Laatzen, à Laatzen
Et tant pis pour ceux qui s'en étonnent
Et que les autres me pardonnent
Mais les enfants sont les mêmes
A Angers ou à Laatzen
Et faites qu'un jour j'y revienne
Pour voir ce qu'ils deviennent
Car de les quitter, mon cœur saigne,
Les enfants blonds de Laatzen
Et lorsque sonnera le glas de ce charme
Que retentira l'ultime alarme
Mon cœur versera plus d'une larme
Pour Laatzen, pour Laatzen
(Adaptation libre de la chanson de Barbara, Göttingen)
Wir wollen mit diesem Gedicht ihr alle bedanken und besonders du,Birgit, weil ihr uns unsere Liebegeschichte zu leben erlauben habt... (Nous voulons avec ce poème, tous vous remercier et particulièrement toi, Birgit, parce que grâce à vous notre histoire d'amour a pu exister)
Wir erleben hier die schönsten Tage unseres Lebens und wir werden ewig dankbar sein... (Nous vivons ici les plus beaux jours de notre vie et nous vous en serons éternellement reconnaissants)
Thomas et Robin