Chapitre 16
Je suis bien dans mon lit. Je suis comme toujours la tête contre le mur. Le jour est levé et j'ai entendu quelques bruits plus tôt mais je me suis rendormi. Je savoure cet état de passage entre le sommeil et l'éveil : c'est le meilleur moment de la journée et quand je peux je le fais durer...
Soudain, la soirée d'hier me revient en mémoire et je me réveille d'un coup. Je veux me retourner pour voir Robin et me cogne contre... lui !
« Robin est dans mon lit !!! »
— Ah, ben quand même !... Tu sais que tu es mignon quand tu dors !... Mais surtout tu dors vraiment comme une souche...
— Robin !
Il se penche sur moi et m'embrasse doucement d'abord puis furieusement. Je lui rends son baiser et nous roulons enlacés sur nous même dans le petit lit...
Je l'embrasse partout sur le visage, je m'enivre de l'odeur de ses cheveux, je mordille le lobe de son oreille et descends dans son cou. Sa pomme d'Adam fait des allers retours incessants...
Je descends encore plus bas et caresse ses pectoraux si majestueux, je joue avec la pointe de ses seins. Ils sont érigés et tout durs, je les embrasse, je les suçote, les cajole de ma langue...
Robin gémit et se laisse faire comme privé de toute volonté...
Je caresse maintenant son ventre chaud, ses abdos sont sculptés sous mes doigts. Un mince filet de poils descend de son nombril vers son caleçon noir...
Ce n'est plus un caleçon, c'est un oriflamme, un étendard... il est complètement déformé par son sexe érigé. Je touche d'abord timidement le tissu brillant et doux puis le caresse à travers le vêtement. Il est chaud. Je descend plus bas et pelote doucement ses couilles puis m'enhardis et passe une main par une des jambes. Je touche ses couilles et les fais doucement rouler dans ma main. Je remonte et m'empare de son pénis turgescent. Il est brûlant, raide, plaqué contre son ventre et parait vraiment gros. Je le suis du bout des doigts jusqu'à son extrémité...
Robin jusque là passif, me saute soudain dessus, se place à califourchon sur moi et entreprend de me lécher le corps. Sa langue râpeuse me tire des gémissements de plaisir et à mon tour je m'abandonne à ses caresses fiévreuses. Mon sexe est dur et presque douloureux.
Robin s'en saisit, l'embrasse à travers mon caleçon, le mordille. Puis il descend sur mes jambes se relève à demi et tire doucement sur mon vêtement, le descendant à mi-cuisse puis complètement. Il fait alors de même et m'apparaît nu fièrement érigé en souriant victorieusement.
Nous nous embrassons à nouveau et je sens son sexe chaud contre mon ventre comme il doit sentir le mien. Je lui caresse les fesses et nous restons ainsi un long moment bouche contre bouche, sexe contre sexe...
Robin se redresse et ses mains s'emparent à nouveau de mon sexe, le frôlent du bout des doigts, caressent mon gland gonflé de désir...
— Arrête Robin ! Arrête je vais jouir !
— C'est pas grave ! Viens !
Je sens ma verge se gonfler encore, se raidir telle une tige de verre, avant de se briser victime d'une trop grande tension. Je râle de plaisir et sens le sperme brûlant m'éclabousser le corps. Je suis vidé, je suis comblé...
Robin me contemple, plein d'amour, ses beaux yeux verts étincelants comme des émeraudes de feu...
Je reprends mes esprits, me redresse et le plaque sur le lit. Je regarde son sexe magnifique, complètement décalotté, le caresse, le bizouille tendrement. Puis doucement d'une main, je commence à aller et venir le long de cette tige vibrante tandis que de l'autre je joue avec ses boules si fragiles.
Il gémit à nouveau.
— Oui continue ! Oui c'est ça ! Encore ! Plus vite...
— ... Thomas je jouis !
Je l'observe subjugué. Ses yeux se ferment, son visage se crispe. Il se tord et se jette contre moi. Je sens son sperme ruisseler contre mon ventre et nous restons enlacés comme deux amants comblés...
...
— Robin, tu peux pas savoir comme je suis heureux...
— Si tu l'es à la moitié de ce que je suis, je pense que je comprends...
— Non, je veux dire... je rêve de cet instant presque depuis que je suis monté dans la voiture de ton père alors...
— Et moi depuis que je t'ai regardé dormir dans le train, que tu bandais et que je mourrai d'envie de t'embrasser...
...
— Bon on va se doucher et on prend le petit déj parce que j'ai la dalle moi ! murmure Robin.
— C'est vrai qu'avec l'arrosage que je viens de me prendre, la douche c'est pas un luxe...
— Oh, tu peux parler j'ai l'impression que tu m'en as collé partout !
— Allez viens il faut que j'examine ces problèmes de tuyauterie...
...
A deux sous la douche, privilège d'être seuls dont il faut profiter, nos corps mettent peu de temps à retrouver de leur allant.
Dès que je commence à le savonner avec mon gel douche, à toucher sa peau, je rebande immédiatement et je constate amusé qu'il n'est pas de reste.
Je le caresse langoureusement passant et repassant sur ses muscles saillants, m'attardant sur des zones sensibles... et alors que je caresse ses fesses il commence à se branler doucement. Puis il s'arrête et me lave amoureusement à son tour. Nous finissons par nous branler mutuellement avant de jouir quasiment de concert... avant de nous laisser rincer de longues minutes par le chaud jet d'eau sous lequel nous demeurons enlacés et provisoirement repus.
...
Le petit déj est vite englouti mais il est déjà 11h30. Nous avons passé plus de deux heures à nous câliner ce matin et c'est si bon. Rien que d'y repenser j'en frissonne...
Nous sommes allongés sur le canapé dans le salon, bercés par la musique des Cranberries qui sort de notre chambre là-haut. Moment privilégié où le simple fait d'être ensemble suffit à notre bonheur.
— C'était vraiment gonflé de ta part hier soir lui dis-je
— Tu veux dire quand je t'ai demander de danser le slow ?
— Oui
— J'étais hyper tendu, je savais pas comment faire... j'avais l'impression que je te plaisais... mais j'étais pas sûr que tu étais gay tu vois, alors je me suis dis je fais comme si c'est un gage idiot et on verra...
— J'en reviens pas. J'étais paniqué et je savais pas si c'était une connerie ou si t'étais sérieux...
— En tous les cas moi au bout de deux minutes j'ai senti un gros truc chaud qui poussait à travers ton jean et j'ai su que j'avais ma chance me dit-il en riant...
— N'empêche si j'avais pas fait tout le boulot on serait encore à se demander comment faire chacun dans notre coin... poursuit-il en m'embrassant.
— Moi, je te dévore des yeux depuis le début, j'ai fait une crise de jalousie quand tu m'as dit dimanche que tu trouvais que Kathrin était une bombe et tu sais, tu m'as vraiment entendu pleurer l'autre soir ! Je suis fou de toi mais je suis vraiment trop timide, j'ai pas ton assurance de beau gosse musclé mais... maintenant tu vas voir de quel bois je me chauffe !
Et je lui saute dessus en tentant de le jeter par terre. Bien entendu je n'ai aucune chance mais ce n'est déjà plus l'objectif de la mêlée...
Je commence à déboutonner son pantalon et à le caresser vigoureusement à travers son boxer blanc...
— Putain Thomas arrête ! Ils vont tous rentrer bientôt ! On va quand même pas se mettre à poil dans le salon !
— Merde oui, t'as raison ! Dommage... dis-je en posant un regard appuyé sur son entre jambes car Robin arbore une grosse bosse, moulée dans son bel habit blanc...
« Dommage ! Oui dommage, mais il y aura d'autres occasions...
... Nom de Dieu ! Comme je suis heureux »
Je suis bien dans mon lit. Je suis comme toujours la tête contre le mur. Le jour est levé et j'ai entendu quelques bruits plus tôt mais je me suis rendormi. Je savoure cet état de passage entre le sommeil et l'éveil : c'est le meilleur moment de la journée et quand je peux je le fais durer...
Soudain, la soirée d'hier me revient en mémoire et je me réveille d'un coup. Je veux me retourner pour voir Robin et me cogne contre... lui !
« Robin est dans mon lit !!! »
— Ah, ben quand même !... Tu sais que tu es mignon quand tu dors !... Mais surtout tu dors vraiment comme une souche...
— Robin !
Il se penche sur moi et m'embrasse doucement d'abord puis furieusement. Je lui rends son baiser et nous roulons enlacés sur nous même dans le petit lit...
Je l'embrasse partout sur le visage, je m'enivre de l'odeur de ses cheveux, je mordille le lobe de son oreille et descends dans son cou. Sa pomme d'Adam fait des allers retours incessants...
Je descends encore plus bas et caresse ses pectoraux si majestueux, je joue avec la pointe de ses seins. Ils sont érigés et tout durs, je les embrasse, je les suçote, les cajole de ma langue...
Robin gémit et se laisse faire comme privé de toute volonté...
Je caresse maintenant son ventre chaud, ses abdos sont sculptés sous mes doigts. Un mince filet de poils descend de son nombril vers son caleçon noir...
Ce n'est plus un caleçon, c'est un oriflamme, un étendard... il est complètement déformé par son sexe érigé. Je touche d'abord timidement le tissu brillant et doux puis le caresse à travers le vêtement. Il est chaud. Je descend plus bas et pelote doucement ses couilles puis m'enhardis et passe une main par une des jambes. Je touche ses couilles et les fais doucement rouler dans ma main. Je remonte et m'empare de son pénis turgescent. Il est brûlant, raide, plaqué contre son ventre et parait vraiment gros. Je le suis du bout des doigts jusqu'à son extrémité...
Robin jusque là passif, me saute soudain dessus, se place à califourchon sur moi et entreprend de me lécher le corps. Sa langue râpeuse me tire des gémissements de plaisir et à mon tour je m'abandonne à ses caresses fiévreuses. Mon sexe est dur et presque douloureux.
Robin s'en saisit, l'embrasse à travers mon caleçon, le mordille. Puis il descend sur mes jambes se relève à demi et tire doucement sur mon vêtement, le descendant à mi-cuisse puis complètement. Il fait alors de même et m'apparaît nu fièrement érigé en souriant victorieusement.
Nous nous embrassons à nouveau et je sens son sexe chaud contre mon ventre comme il doit sentir le mien. Je lui caresse les fesses et nous restons ainsi un long moment bouche contre bouche, sexe contre sexe...
Robin se redresse et ses mains s'emparent à nouveau de mon sexe, le frôlent du bout des doigts, caressent mon gland gonflé de désir...
— Arrête Robin ! Arrête je vais jouir !
— C'est pas grave ! Viens !
Je sens ma verge se gonfler encore, se raidir telle une tige de verre, avant de se briser victime d'une trop grande tension. Je râle de plaisir et sens le sperme brûlant m'éclabousser le corps. Je suis vidé, je suis comblé...
Robin me contemple, plein d'amour, ses beaux yeux verts étincelants comme des émeraudes de feu...
Je reprends mes esprits, me redresse et le plaque sur le lit. Je regarde son sexe magnifique, complètement décalotté, le caresse, le bizouille tendrement. Puis doucement d'une main, je commence à aller et venir le long de cette tige vibrante tandis que de l'autre je joue avec ses boules si fragiles.
Il gémit à nouveau.
— Oui continue ! Oui c'est ça ! Encore ! Plus vite...
— ... Thomas je jouis !
Je l'observe subjugué. Ses yeux se ferment, son visage se crispe. Il se tord et se jette contre moi. Je sens son sperme ruisseler contre mon ventre et nous restons enlacés comme deux amants comblés...
...
— Robin, tu peux pas savoir comme je suis heureux...
— Si tu l'es à la moitié de ce que je suis, je pense que je comprends...
— Non, je veux dire... je rêve de cet instant presque depuis que je suis monté dans la voiture de ton père alors...
— Et moi depuis que je t'ai regardé dormir dans le train, que tu bandais et que je mourrai d'envie de t'embrasser...
...
— Bon on va se doucher et on prend le petit déj parce que j'ai la dalle moi ! murmure Robin.
— C'est vrai qu'avec l'arrosage que je viens de me prendre, la douche c'est pas un luxe...
— Oh, tu peux parler j'ai l'impression que tu m'en as collé partout !
— Allez viens il faut que j'examine ces problèmes de tuyauterie...
...
A deux sous la douche, privilège d'être seuls dont il faut profiter, nos corps mettent peu de temps à retrouver de leur allant.
Dès que je commence à le savonner avec mon gel douche, à toucher sa peau, je rebande immédiatement et je constate amusé qu'il n'est pas de reste.
Je le caresse langoureusement passant et repassant sur ses muscles saillants, m'attardant sur des zones sensibles... et alors que je caresse ses fesses il commence à se branler doucement. Puis il s'arrête et me lave amoureusement à son tour. Nous finissons par nous branler mutuellement avant de jouir quasiment de concert... avant de nous laisser rincer de longues minutes par le chaud jet d'eau sous lequel nous demeurons enlacés et provisoirement repus.
...
Le petit déj est vite englouti mais il est déjà 11h30. Nous avons passé plus de deux heures à nous câliner ce matin et c'est si bon. Rien que d'y repenser j'en frissonne...
Nous sommes allongés sur le canapé dans le salon, bercés par la musique des Cranberries qui sort de notre chambre là-haut. Moment privilégié où le simple fait d'être ensemble suffit à notre bonheur.
— C'était vraiment gonflé de ta part hier soir lui dis-je
— Tu veux dire quand je t'ai demander de danser le slow ?
— Oui
— J'étais hyper tendu, je savais pas comment faire... j'avais l'impression que je te plaisais... mais j'étais pas sûr que tu étais gay tu vois, alors je me suis dis je fais comme si c'est un gage idiot et on verra...
— J'en reviens pas. J'étais paniqué et je savais pas si c'était une connerie ou si t'étais sérieux...
— En tous les cas moi au bout de deux minutes j'ai senti un gros truc chaud qui poussait à travers ton jean et j'ai su que j'avais ma chance me dit-il en riant...
— N'empêche si j'avais pas fait tout le boulot on serait encore à se demander comment faire chacun dans notre coin... poursuit-il en m'embrassant.
— Moi, je te dévore des yeux depuis le début, j'ai fait une crise de jalousie quand tu m'as dit dimanche que tu trouvais que Kathrin était une bombe et tu sais, tu m'as vraiment entendu pleurer l'autre soir ! Je suis fou de toi mais je suis vraiment trop timide, j'ai pas ton assurance de beau gosse musclé mais... maintenant tu vas voir de quel bois je me chauffe !
Et je lui saute dessus en tentant de le jeter par terre. Bien entendu je n'ai aucune chance mais ce n'est déjà plus l'objectif de la mêlée...
Je commence à déboutonner son pantalon et à le caresser vigoureusement à travers son boxer blanc...
— Putain Thomas arrête ! Ils vont tous rentrer bientôt ! On va quand même pas se mettre à poil dans le salon !
— Merde oui, t'as raison ! Dommage... dis-je en posant un regard appuyé sur son entre jambes car Robin arbore une grosse bosse, moulée dans son bel habit blanc...
« Dommage ! Oui dommage, mais il y aura d'autres occasions...
... Nom de Dieu ! Comme je suis heureux »