Chapitre 12
Je prends conscience que le jour s'est levé et jette un œil sur le réveil. Il est 7h09. Super ! J'ai vingt minutes d'avance sur notre horaire de lever.
« C'est bien la première fois que j'émerge avant la sonnerie du réveil pour aller à l'école et que j'en suis heureux ! Tout arrive ! »
Je me lève sur la pointe des pieds et me dirige vers le lit de Robin. Il est allongé sur le côté. La couette repoussée au fond du lit, ne couvre plus guère que ses jambes laissant apparaître son torse si harmonieusement musclé et ses puissantes épaules... son caleçon noir ressort sur sa peau blanche.... Son visage est calme et reposé, des mèches de ses beaux cheveux noirs bouclés retombent sur son front...
- Comme tu es beau Robin et comme je t'aime murmuré-je à moi-même.
Je le contemple silencieusement. J'ai envie caresser sa peau, de l'embrasser partout...
Je reprends brusquement contact avec la réalité, m'arrache à cette vision de rêve et sors doucement de la chambre.
Dix minutes plus tard il dort encore quand je reviens de la douche. Je m'approche à nouveau et lui secoue gentiment l'épaule.
— Robin ! Robin réveille-toi t'es à la bourre !
Il ouvre les yeux et me regarde surpris.
— Comment ça se fait que je n'ai pas entendu ma montre sonner....
Il me regarde soupçonneux, vérifie l'heure et reprend :
— C'est des conneries !
— Au fait, bonjour mon petit Robin lui dis-je en lui plantant un gros smack sur la joue !
— Ok, bien joué, je m'incline !... Mais je suis un peu déçu, même pas de chatouilles, rien du tout...
Je lui saute dessus et une mêlée sauvage s'en suit. Robin est deux fois plus costaud que moi mais heureusement il est dix fois plus chatouilleux... ça équilibre les forces !
A un moment, il met une main sur le bas de mon dos et touche en même temps le haut de ma fesse. Je réalise alors que ça fait sans doute un moment que j'ai perdu ma serviette... et que je suis à poil à moitié couché sur lui !
— Merde, Robin ça craint ! T'aurais pu me dire...
— Ouai c'est ça ! Mais j'avais pas envie de me priver du spectacle, moi ! réplique-t-il en me fixant de ses beaux yeux verts illuminés...
...
— Thomas, il faut que tu prennes des affaires de rechange et une serviette car nous avons sport ce matin me dit Andreas pendant le petit déjeuner.
Je manque de m'étrangler avec mon thé.
— Oui d'accord.
Je suis tout d'un coup moins enthousiaste car l'idée de prendre une douche avec toute la classe me refroidit carrément.
« Je ne suis pas juif et ce sont pas des nazis mais avec ma bite circoncise, ils vont tous me mater ! Alors déjà qu'il faudra que je me contrôle pour ne pas bander dans une situation aussi chaude... ça ne va pas être simple... »
...
Les trois premières heures se déroulent très agréablement.
Maths, en 1ère heure, ou je me balade toujours. Le prof m'a envoyé au tableau faire une correction d'un exo balaise et je m'en suis bien tiré. Sur ce coup là je suis assez fier de moi.
J'ai retrouvé avec plaisir le cours d'histoire-géo où nous avons terminé le chapitre sur la France (j'ai appris plein de trucs) et ensuite anglais où j'ai plus souffert car je n'ai que trois ans d'anglais alors que les allemands en sont à leur 7ème année !
Robin s'est tapé de l'espagnol, il n'a rien compris pendant une heure, il était un peu furibard.
Il est visiblement très populaire dans sa classe car un paquets de filles et de garçons étaient autour de lui quand je l'ai rejoint à la récré.
J'essaie de ne plus faire mon jaloux, j'ai l'impression que depuis deux jours on s'est encore rapproché et que peut-être...
...
Le cours de sport tant redouté arrive. Les garçons de deux classes sont réunis et comme c'est la dernière séance on fait tournoi de foot : quatre équipes de 7 avec 6 joueurs en permanence sur le terrain. Je ne suis pas très bon mais comme j'en ai fait trois ans j'assure correctement.
A un moment, sur une action chaude, Andreas, qui joue contre moi, m'a fauché involontairement et j'ai pris une méchante gamelle, j'ai cru qu'il m'avait bousillé la cheville mais non ça a l'air d'aller. Ce sont les joueurs qui s'auto arbitrent et c'est très correct.
C'est hyper crevant mais ça fait du bien !
Le prof nous demande d'arrêter parce que c'est l'heure et nous rentrons au vestiaire.
Le moment fatidique arrive. J'essaie de ne pas y penser mais je suis assez tendu.
Je commence à me déshabiller très lentement comme pour retarder l'échéance...
Ils sont rapidement plusieurs à sa balader nus ou en slip, caleçon et boxer dans le vestiaire et je ne peux m'empêcher de les regarder discrètement (j'espère).
Franz, le meilleur joueur de mon équipe, est à côté de moi, complètement à poil, il me parle et je fais des efforts surhumains pour le regarder dans les yeux. C'est un super beau gars, grand, blond, costaud, avec un visage très fin. Il a une bite énorme, presque aussi grande que la mienne en érection, et j'ai du mal à ne pas la fixer !
J'enlève maintenant mon t-shirt.
J'ai l'impression de faire un strip poker et de perdre à chaque tour donc... inéluctablement condamné à finir à poil !
Quand Friedrich, un autre joueur super mignon sort de la douche et vient se rhabiller tout près de moi, je craque et me mets à mater son cul et ses couilles.
C'est maintenant une profusion de corps nus ruisselants : des sexes de toutes les tailles, des couilles qui pendent, des culs magnifiques.
L'inévitable se produit : je bande !
...
Et plus le temps passe, plus je bande fort ! Je suis complètement à l'agonie...
— Was is los Thomas ! (Qu'est-ce qui se passe Thomas) me demande Andreas en me voyant encore à moitié habillé Kommst du mit mir duschen ? (Tu viens te doucher avec moi ?)
— Ja, ja ich komme !(Oui, oui j'arrive !)
Désespéré je baisse doucement mon short. Je sens mon sexe dur remplir tout le slip, je mets une main devant et fais glisser mon short jusqu'à mes chevilles de l'autre. Mon slip blanc, complètement trempé de sueur, est presque transparent par endroits...
Dans 30 secondes, je suis mort...
Andreas est toujours là debout à m'attendre, impudique, son sexe juste devant mes yeux...
Je vis un rêve qui a viré au cauchemar !
Dans 10 secondes, je suis mort...
Je commence à baisser l'ultime rempart de ma décence, de ma réputation... de ma vie, quand Andreas intervient et me fait signe de remettre mon short.
— Komm mit mir (suis moi) dit-il en remettant également le sien.
On sort du vestiaire. Nous sommes seuls dans le grand gymnase maintenant vide. Il me regarde dans les yeux...
— Bist du ein Schwul?... ach, ich meine bist du gay? (T'es PD ?... euh, je veux dire, tu es gay?)
...
J'ai du mal à respirer, j'ai l'impression que tout s'effondre autour de moi.
Il me fixe toujours, son regard n'est pas dur, il est interrogateur peut-être même soucieux...
— Ja... ja ich bin gay (Oui... oui je suis gay) réponds-je enfin en sentant les larmes m'envahir les yeux.
— Scheise! Ich verstehe. Warte mal hier! (Merde ! Je comprends. Attends moi ici !)
Il rentre dans le bureau du prof et revient quelques minutes plus tard un tube de pommade à la main puis retourne dans le vestiaire et ressort aussitôt.
— Ich habe ihnen gesagt, dass dein Knöchel dir weht macht, dass ich dich mit Salbe pflegen werde und auch dass, sie auf uns nicht warten sollten (Je leur ait dit que tu avais mal à la cheville, que je te mettais un peu de pommade et qu'ils ne nous attendent pas)
— ... danke Andreas, danke... danke sehr! (... merci Andreas, merci... merci beaucoup !)
Il me masse maintenant la cheville, lentement et avec précaution comme si je souffrais réellement...
...
— Andreas ? Weiß du, ich glaube es war die andere... (Andreas ? Tu sais, je crois que c'était l'autre...)
Nous nous regardons dans les yeux un moment... et nous partons dans un fou rire incontrôlable...
...
— Komm, es gibt keine mehr! (Viens, il n'y a plus personne !) me dit-il au bout de quelques minutes.
Nous pénétrons à nouveau dans le vestiaire déserté, Andreas enlève son short. Il est à nouveau nu devant moi.
— Komm! Jetzt hast du nichts mehr zu fürchten! (Viens ! Maintenant tu n'as plus rien à craindre !)
Je le suis, abasourdi.
« Putain, il sait que je suis gay et il à l'air de s'en foutre complètement ! Il se douche à côté de moi comme s'il ne s'était rien passé... il est... extraordinaire ! »
Malgré tout je bande à moitié et je suis très gêné. Andreas doit forcément le voir mais il l'ignore complètement et me reparle du foot de tout à l'heure comme si de rien n'était. C'est tout simplement incroyable !
...
Après l'avoir mille fois remercié, nous quittons le vestiaire et allons rejoindre les autres pour déjeuner.
— Thomas, ich werde niemals dein Geheimnis ausquatschen, ich schwöre! (Thomas je ne parlerai de ton secret à personne, je te le jure !) me dit-il en chemin.
Je n'y avais même pas pensé ! Un frisson rétrospectif me passe dans le dos. Je le remercie pour la cent millième fois et nous rejoignons les autres.
...
Je prends conscience que j'ai là plus qu'un copain de quelques jours, j'ai un véritable ami sur lequel on peut compter et qui vient de m'en donner toutes les preuves...
Je suis encore un peu secoué, j'ai du mal à atterrir...
Mais grâce à Andreas...
... je suis en vie... et j'ai envie de vivre !
Je prends conscience que le jour s'est levé et jette un œil sur le réveil. Il est 7h09. Super ! J'ai vingt minutes d'avance sur notre horaire de lever.
« C'est bien la première fois que j'émerge avant la sonnerie du réveil pour aller à l'école et que j'en suis heureux ! Tout arrive ! »
Je me lève sur la pointe des pieds et me dirige vers le lit de Robin. Il est allongé sur le côté. La couette repoussée au fond du lit, ne couvre plus guère que ses jambes laissant apparaître son torse si harmonieusement musclé et ses puissantes épaules... son caleçon noir ressort sur sa peau blanche.... Son visage est calme et reposé, des mèches de ses beaux cheveux noirs bouclés retombent sur son front...
- Comme tu es beau Robin et comme je t'aime murmuré-je à moi-même.
Je le contemple silencieusement. J'ai envie caresser sa peau, de l'embrasser partout...
Je reprends brusquement contact avec la réalité, m'arrache à cette vision de rêve et sors doucement de la chambre.
Dix minutes plus tard il dort encore quand je reviens de la douche. Je m'approche à nouveau et lui secoue gentiment l'épaule.
— Robin ! Robin réveille-toi t'es à la bourre !
Il ouvre les yeux et me regarde surpris.
— Comment ça se fait que je n'ai pas entendu ma montre sonner....
Il me regarde soupçonneux, vérifie l'heure et reprend :
— C'est des conneries !
— Au fait, bonjour mon petit Robin lui dis-je en lui plantant un gros smack sur la joue !
— Ok, bien joué, je m'incline !... Mais je suis un peu déçu, même pas de chatouilles, rien du tout...
Je lui saute dessus et une mêlée sauvage s'en suit. Robin est deux fois plus costaud que moi mais heureusement il est dix fois plus chatouilleux... ça équilibre les forces !
A un moment, il met une main sur le bas de mon dos et touche en même temps le haut de ma fesse. Je réalise alors que ça fait sans doute un moment que j'ai perdu ma serviette... et que je suis à poil à moitié couché sur lui !
— Merde, Robin ça craint ! T'aurais pu me dire...
— Ouai c'est ça ! Mais j'avais pas envie de me priver du spectacle, moi ! réplique-t-il en me fixant de ses beaux yeux verts illuminés...
...
— Thomas, il faut que tu prennes des affaires de rechange et une serviette car nous avons sport ce matin me dit Andreas pendant le petit déjeuner.
Je manque de m'étrangler avec mon thé.
— Oui d'accord.
Je suis tout d'un coup moins enthousiaste car l'idée de prendre une douche avec toute la classe me refroidit carrément.
« Je ne suis pas juif et ce sont pas des nazis mais avec ma bite circoncise, ils vont tous me mater ! Alors déjà qu'il faudra que je me contrôle pour ne pas bander dans une situation aussi chaude... ça ne va pas être simple... »
...
Les trois premières heures se déroulent très agréablement.
Maths, en 1ère heure, ou je me balade toujours. Le prof m'a envoyé au tableau faire une correction d'un exo balaise et je m'en suis bien tiré. Sur ce coup là je suis assez fier de moi.
J'ai retrouvé avec plaisir le cours d'histoire-géo où nous avons terminé le chapitre sur la France (j'ai appris plein de trucs) et ensuite anglais où j'ai plus souffert car je n'ai que trois ans d'anglais alors que les allemands en sont à leur 7ème année !
Robin s'est tapé de l'espagnol, il n'a rien compris pendant une heure, il était un peu furibard.
Il est visiblement très populaire dans sa classe car un paquets de filles et de garçons étaient autour de lui quand je l'ai rejoint à la récré.
J'essaie de ne plus faire mon jaloux, j'ai l'impression que depuis deux jours on s'est encore rapproché et que peut-être...
...
Le cours de sport tant redouté arrive. Les garçons de deux classes sont réunis et comme c'est la dernière séance on fait tournoi de foot : quatre équipes de 7 avec 6 joueurs en permanence sur le terrain. Je ne suis pas très bon mais comme j'en ai fait trois ans j'assure correctement.
A un moment, sur une action chaude, Andreas, qui joue contre moi, m'a fauché involontairement et j'ai pris une méchante gamelle, j'ai cru qu'il m'avait bousillé la cheville mais non ça a l'air d'aller. Ce sont les joueurs qui s'auto arbitrent et c'est très correct.
C'est hyper crevant mais ça fait du bien !
Le prof nous demande d'arrêter parce que c'est l'heure et nous rentrons au vestiaire.
Le moment fatidique arrive. J'essaie de ne pas y penser mais je suis assez tendu.
Je commence à me déshabiller très lentement comme pour retarder l'échéance...
Ils sont rapidement plusieurs à sa balader nus ou en slip, caleçon et boxer dans le vestiaire et je ne peux m'empêcher de les regarder discrètement (j'espère).
Franz, le meilleur joueur de mon équipe, est à côté de moi, complètement à poil, il me parle et je fais des efforts surhumains pour le regarder dans les yeux. C'est un super beau gars, grand, blond, costaud, avec un visage très fin. Il a une bite énorme, presque aussi grande que la mienne en érection, et j'ai du mal à ne pas la fixer !
J'enlève maintenant mon t-shirt.
J'ai l'impression de faire un strip poker et de perdre à chaque tour donc... inéluctablement condamné à finir à poil !
Quand Friedrich, un autre joueur super mignon sort de la douche et vient se rhabiller tout près de moi, je craque et me mets à mater son cul et ses couilles.
C'est maintenant une profusion de corps nus ruisselants : des sexes de toutes les tailles, des couilles qui pendent, des culs magnifiques.
L'inévitable se produit : je bande !
...
Et plus le temps passe, plus je bande fort ! Je suis complètement à l'agonie...
— Was is los Thomas ! (Qu'est-ce qui se passe Thomas) me demande Andreas en me voyant encore à moitié habillé Kommst du mit mir duschen ? (Tu viens te doucher avec moi ?)
— Ja, ja ich komme !(Oui, oui j'arrive !)
Désespéré je baisse doucement mon short. Je sens mon sexe dur remplir tout le slip, je mets une main devant et fais glisser mon short jusqu'à mes chevilles de l'autre. Mon slip blanc, complètement trempé de sueur, est presque transparent par endroits...
Dans 30 secondes, je suis mort...
Andreas est toujours là debout à m'attendre, impudique, son sexe juste devant mes yeux...
Je vis un rêve qui a viré au cauchemar !
Dans 10 secondes, je suis mort...
Je commence à baisser l'ultime rempart de ma décence, de ma réputation... de ma vie, quand Andreas intervient et me fait signe de remettre mon short.
— Komm mit mir (suis moi) dit-il en remettant également le sien.
On sort du vestiaire. Nous sommes seuls dans le grand gymnase maintenant vide. Il me regarde dans les yeux...
— Bist du ein Schwul?... ach, ich meine bist du gay? (T'es PD ?... euh, je veux dire, tu es gay?)
...
J'ai du mal à respirer, j'ai l'impression que tout s'effondre autour de moi.
Il me fixe toujours, son regard n'est pas dur, il est interrogateur peut-être même soucieux...
— Ja... ja ich bin gay (Oui... oui je suis gay) réponds-je enfin en sentant les larmes m'envahir les yeux.
— Scheise! Ich verstehe. Warte mal hier! (Merde ! Je comprends. Attends moi ici !)
Il rentre dans le bureau du prof et revient quelques minutes plus tard un tube de pommade à la main puis retourne dans le vestiaire et ressort aussitôt.
— Ich habe ihnen gesagt, dass dein Knöchel dir weht macht, dass ich dich mit Salbe pflegen werde und auch dass, sie auf uns nicht warten sollten (Je leur ait dit que tu avais mal à la cheville, que je te mettais un peu de pommade et qu'ils ne nous attendent pas)
— ... danke Andreas, danke... danke sehr! (... merci Andreas, merci... merci beaucoup !)
Il me masse maintenant la cheville, lentement et avec précaution comme si je souffrais réellement...
...
— Andreas ? Weiß du, ich glaube es war die andere... (Andreas ? Tu sais, je crois que c'était l'autre...)
Nous nous regardons dans les yeux un moment... et nous partons dans un fou rire incontrôlable...
...
— Komm, es gibt keine mehr! (Viens, il n'y a plus personne !) me dit-il au bout de quelques minutes.
Nous pénétrons à nouveau dans le vestiaire déserté, Andreas enlève son short. Il est à nouveau nu devant moi.
— Komm! Jetzt hast du nichts mehr zu fürchten! (Viens ! Maintenant tu n'as plus rien à craindre !)
Je le suis, abasourdi.
« Putain, il sait que je suis gay et il à l'air de s'en foutre complètement ! Il se douche à côté de moi comme s'il ne s'était rien passé... il est... extraordinaire ! »
Malgré tout je bande à moitié et je suis très gêné. Andreas doit forcément le voir mais il l'ignore complètement et me reparle du foot de tout à l'heure comme si de rien n'était. C'est tout simplement incroyable !
...
Après l'avoir mille fois remercié, nous quittons le vestiaire et allons rejoindre les autres pour déjeuner.
— Thomas, ich werde niemals dein Geheimnis ausquatschen, ich schwöre! (Thomas je ne parlerai de ton secret à personne, je te le jure !) me dit-il en chemin.
Je n'y avais même pas pensé ! Un frisson rétrospectif me passe dans le dos. Je le remercie pour la cent millième fois et nous rejoignons les autres.
...
Je prends conscience que j'ai là plus qu'un copain de quelques jours, j'ai un véritable ami sur lequel on peut compter et qui vient de m'en donner toutes les preuves...
Je suis encore un peu secoué, j'ai du mal à atterrir...
Mais grâce à Andreas...
... je suis en vie... et j'ai envie de vivre !