06-02-2025, 10:50 AM
Chapitre 10
— Tommy ! Réveille toi ! me lance Robin en arrachant la couette et en me chatouillant les côtes.
— Non Robin ! Arrête t'es pas drôle !!
Décidément ça devient un rituel qu'il me réveille le matin. Mais je ne vais pas me plaindre il y a pire !
Il sort de la douche et sent bon le citron !
« On dirait qu'il a pris mon gel douche... »
Brusquement il arrête de me torturer et se penche vers moi.
— Au fait, bonjour Tommy et me dépose un petit bisou sur le front. Il se recule aussitôt et entreprend de s'habiller. Je reste songeur allongé sur le dos, à demi relevé, appuyé sur mes coudes, quand il enlève la serviette nouée autour de sa taille et se retourne vers moi...
Je le dévore des yeux...
— .... .. .. .. ........ . ... .. . ....... . . .. . .... . .
J'ai l'image mais j'ai plus le son !!
— Thomas tu m'écoutes ?
— Hein ?
— Je disais : t'as fait de beaux rêves on dirait.
Je suis son regard des yeux : mon caleçon joue les chapiteaux et on dirait que le mat va crever la toile !
— Oh excuse, je suis désolé... dis-je gêné en plaçant mes mains devant mon sexe. Je vais prendre ma douche ! bafouillé-je en sautant du lit.
— Oui c'est ça ! Mais froide hein ! Sinon ça va pas s'arranger ! me répond-il écroulé de rire.
Encore heureux, il n'y a personne dans la salle de bain. J'enlève précipitamment mon caleçon et me réfugie sous l'eau brûlante. Je sens que je suis écarlate et je m'invective copieusement à voix basse :
— Quel con putain ! Mais quel gros con !
Petit à petit je me calme...
Je ferme les yeux et je me repasse la scène au ralentit, plan par plan : la serviette qui tombe... les belles fesses musclées de Robin... il se retourne lentement... me regarde avec un air malicieux mais sérieux en même temps... son sexe au repos... magnifique... assez long... d'un beau brun doré... pas circoncis... j'aperçois un bout du gland rose... ses couilles qui se balancent doucement au gré de ses mouvements... loin en dessous de la forêt de poils de son pubis...
Je me repasse le film en boucle tout en m'emparant de mon pénis raide comme jamais et l'astique frénétiquement.
Je suis tellement excité que quelques dizaines de secondes me suffisent. Je me raidis complètement, me cambre en arrière et expulse une quantité phénoménale de sperme sur la vitre de la cabine...
Je suis à moitié sonné et je halète bruyamment...
Je reste un long moment immobile sous le puissant jet d'eau sans penser à rien laissant mon corps se calmer et mon esprit revenir à la surface.
« Putain j'ai jamais joui comme ça !!! »
...
— Alors c'est bon t'as calmé la bête ? me demande Robin à mon retour.
— Oui ça va mieux. Excuse moi encore...
— Je sais ce que c'est, les émotions, à notre âge ça descend vite dans les caleçons ! Du coup ça m'a aussi rappelé les exigences de mon corps ! Et j'ai fait comme toi !
Je percute soudain qu'il est en train de me dire qu'il vient de se branler dans la chambre pendant que je m'astiquais sous la douche.
Je ne peux m'empêcher d'imaginer la scène et m'empourpre à nouveau en sentant mon sexe se raidir furieusement sous la serviette.
« Bon, calme toi Thomas, calme toi ! »
— Allez dépêche toi, euh je t'attends dans la cuisine ! me lance Robin en regardant la bosse qui grossit entre mes jambes.
— Ok, j'arrive tout de suite...
Dieter, le mari de Birgit est déjà en bas en train de lire le journal. Le petit déjeuner est vite pris et nous partons dans leur deuxième voiture pour la gare. On discute un peu de son métier. Il est informaticien dans une entreprise de transport à Hanover et s'y rend tous les jours par le train.
Il fait donc le trajet avec nous jusqu'à la gare centrale de Hanover. Avant de nous séparer, il nous accompagne au guichet, nous regarde acheter nos billets de retour et vérifie aussi que nous savons dans quel bus monter. Il est vraiment très attentionné et nous le quittons en le remerciant chaleureusement.
Il est déjà 8H47, nous sommes en retard. Nous courrons vers l'arrêt du bus 24 que Dieter vient de nous indiquer, tout excités à l'idée de revoir nos compagnons de voyage.
...
En descendant du bus j'aperçois un petit groupe à une cinquante de mètres de là sur le trottoir. Nous nous hâtons à grandes enjambées et les rejoignons devant le 125 de la HandelnStrasse, notre lieu de rendez-vous. On a moins de dix minutes de retard, c'est bon !
Patrick et Jutta sont là et nous nous dirigeons vers eux.
— Hallo Patrick ! Hallo Jutta !
— Ach ja diese sind hier endlich! Wie geht's Jungen? (Ah les voilà enfin ! Comment ça va les garçons ?)
— Es geht mir sehr gut, vielen Dank répond Robin avec beaucoup d'assurance. (je vais très bien, merci beaucoup)
— So geht es auch für mich ajoutai-je. (moi aussi)
— Vous êtes les derniers, on va pouvoir commencer déclare Patrick. Aller tout le monde rentre ! On va commencer » poursuit-il à l'attention du groupe.
— Dépêche-toi Thomas, on va se mettre à côté de Marjo et Alexis me dit Robin.
Je les cherche de yeux et les aperçois enfin qui nous font de grands signes de la main.
On va avoir plein de trucs à se raconter... mais j'en garderai certains pour moi, ça c'est sûr !
— Tommy ! Réveille toi ! me lance Robin en arrachant la couette et en me chatouillant les côtes.
— Non Robin ! Arrête t'es pas drôle !!
Décidément ça devient un rituel qu'il me réveille le matin. Mais je ne vais pas me plaindre il y a pire !
Il sort de la douche et sent bon le citron !
« On dirait qu'il a pris mon gel douche... »
Brusquement il arrête de me torturer et se penche vers moi.
— Au fait, bonjour Tommy et me dépose un petit bisou sur le front. Il se recule aussitôt et entreprend de s'habiller. Je reste songeur allongé sur le dos, à demi relevé, appuyé sur mes coudes, quand il enlève la serviette nouée autour de sa taille et se retourne vers moi...
Je le dévore des yeux...
— .... .. .. .. ........ . ... .. . ....... . . .. . .... . .
J'ai l'image mais j'ai plus le son !!
— Thomas tu m'écoutes ?
— Hein ?
— Je disais : t'as fait de beaux rêves on dirait.
Je suis son regard des yeux : mon caleçon joue les chapiteaux et on dirait que le mat va crever la toile !
— Oh excuse, je suis désolé... dis-je gêné en plaçant mes mains devant mon sexe. Je vais prendre ma douche ! bafouillé-je en sautant du lit.
— Oui c'est ça ! Mais froide hein ! Sinon ça va pas s'arranger ! me répond-il écroulé de rire.
Encore heureux, il n'y a personne dans la salle de bain. J'enlève précipitamment mon caleçon et me réfugie sous l'eau brûlante. Je sens que je suis écarlate et je m'invective copieusement à voix basse :
— Quel con putain ! Mais quel gros con !
Petit à petit je me calme...
Je ferme les yeux et je me repasse la scène au ralentit, plan par plan : la serviette qui tombe... les belles fesses musclées de Robin... il se retourne lentement... me regarde avec un air malicieux mais sérieux en même temps... son sexe au repos... magnifique... assez long... d'un beau brun doré... pas circoncis... j'aperçois un bout du gland rose... ses couilles qui se balancent doucement au gré de ses mouvements... loin en dessous de la forêt de poils de son pubis...
Je me repasse le film en boucle tout en m'emparant de mon pénis raide comme jamais et l'astique frénétiquement.
Je suis tellement excité que quelques dizaines de secondes me suffisent. Je me raidis complètement, me cambre en arrière et expulse une quantité phénoménale de sperme sur la vitre de la cabine...
Je suis à moitié sonné et je halète bruyamment...
Je reste un long moment immobile sous le puissant jet d'eau sans penser à rien laissant mon corps se calmer et mon esprit revenir à la surface.
« Putain j'ai jamais joui comme ça !!! »
...
— Alors c'est bon t'as calmé la bête ? me demande Robin à mon retour.
— Oui ça va mieux. Excuse moi encore...
— Je sais ce que c'est, les émotions, à notre âge ça descend vite dans les caleçons ! Du coup ça m'a aussi rappelé les exigences de mon corps ! Et j'ai fait comme toi !
Je percute soudain qu'il est en train de me dire qu'il vient de se branler dans la chambre pendant que je m'astiquais sous la douche.
Je ne peux m'empêcher d'imaginer la scène et m'empourpre à nouveau en sentant mon sexe se raidir furieusement sous la serviette.
« Bon, calme toi Thomas, calme toi ! »
— Allez dépêche toi, euh je t'attends dans la cuisine ! me lance Robin en regardant la bosse qui grossit entre mes jambes.
— Ok, j'arrive tout de suite...
Dieter, le mari de Birgit est déjà en bas en train de lire le journal. Le petit déjeuner est vite pris et nous partons dans leur deuxième voiture pour la gare. On discute un peu de son métier. Il est informaticien dans une entreprise de transport à Hanover et s'y rend tous les jours par le train.
Il fait donc le trajet avec nous jusqu'à la gare centrale de Hanover. Avant de nous séparer, il nous accompagne au guichet, nous regarde acheter nos billets de retour et vérifie aussi que nous savons dans quel bus monter. Il est vraiment très attentionné et nous le quittons en le remerciant chaleureusement.
Il est déjà 8H47, nous sommes en retard. Nous courrons vers l'arrêt du bus 24 que Dieter vient de nous indiquer, tout excités à l'idée de revoir nos compagnons de voyage.
...
En descendant du bus j'aperçois un petit groupe à une cinquante de mètres de là sur le trottoir. Nous nous hâtons à grandes enjambées et les rejoignons devant le 125 de la HandelnStrasse, notre lieu de rendez-vous. On a moins de dix minutes de retard, c'est bon !
Patrick et Jutta sont là et nous nous dirigeons vers eux.
— Hallo Patrick ! Hallo Jutta !
— Ach ja diese sind hier endlich! Wie geht's Jungen? (Ah les voilà enfin ! Comment ça va les garçons ?)
— Es geht mir sehr gut, vielen Dank répond Robin avec beaucoup d'assurance. (je vais très bien, merci beaucoup)
— So geht es auch für mich ajoutai-je. (moi aussi)
— Vous êtes les derniers, on va pouvoir commencer déclare Patrick. Aller tout le monde rentre ! On va commencer » poursuit-il à l'attention du groupe.
— Dépêche-toi Thomas, on va se mettre à côté de Marjo et Alexis me dit Robin.
Je les cherche de yeux et les aperçois enfin qui nous font de grands signes de la main.
On va avoir plein de trucs à se raconter... mais j'en garderai certains pour moi, ça c'est sûr !