23-03-2025, 04:53 AM
Chapitre 10
¾ Tu es bien comme ton père, mon cher Jim…
La réplique de Kamji fit tressaillir Jim alors que le sorcier présentait son chibre épais à l'entrée de son fondement serré. Quatre puissants Koloss maintenaient fermement le détective allongé sur le dos sur une épaisse table de pierre brute, les mollets posés sur les épaules du sorcier. Son pantalon était en lambeau et sa chemise avait pour ainsi dire disparu. La chaleur qui émanait du gland rouge et gonflé contrastait avec le froid de la roche qui lui envahissait le dos. Il essaya une fois encore de se dégager mais les Koloss le tenaient avec trop de force par les bras et les jambes.
Comment les choses avaient-elles pu tourner si mal ? ne cessait-il de se demander.
Pourtant, tout s'était déroulé selon le plan établi… du moins au début. L'équipe composée de Jim, Peter, Tamara, Mike, Thomas, Tamos, Olivier et son frère Nicolas s'était rendue jusqu'aux Grottes de la perdition. Ces grottes ne se nommaient pas ainsi par hasard et sans les connaissances précises de Peter sur la topographie des lieux, jamais Jim ne s'y serait retrouvé. Kamji s'était trouvé une planque des plus efficaces ; faites de nombreux boyaux souterrains qui se divisaient sans cesse. De plus, elles recelaient de multiples pièges et la roche, friable par endroit, rendait certains passages impraticables.
Après de multiples détours, ils étaient parvenus à une vaste sale qui servait apparemment de laboratoire de recherche au sorcier. Furtivement, ils s'y étaient introduits et avaient commencé à inspecter les lieux. Puis, ne décelant aucune menace imminente, ils s'étaient enhardis jusqu’à commencer à examiner le travail de leur ennemi. C'est à cet instant qu'ils avaient relâché leur vigilance et c'est à ce même instant qu'ils avaient perdu la bataille. Un éclair d'énergie bleue avait brusquement traversé la sale et frappé Tamara de plein fouet. La magicienne s'était effondrée sur le champ, alors que des légions de Koloss se déversaient dans la pièce. Les autres membres de l'équipe s'étaient regroupés autour de leur amie tombée tandis que Kamji en personne pénétrait dans la pièce.
¾ Désolé ma chère fille, avait alors déclaré le sorcier, mais je ne peux me permettre de t'affronter aujourd'hui.
¾ Que lui avez-vous fait s'était exclamé Mike en s'élançant vers le sorcier.
Mais avant qu'il ne puisse l'atteindre, deux Koloss s'étaient saisis de lui et l'avaient plaqué au sol.
¾ Oh, ne t'inquiète pas pour elle, elle s'en remettra, elle est juste inconsciente. Pour qui me prends-tu, je ne tuerais pas ma fille ! Elle est juste trop puissante pour que je l'affronte aujourd'hui.
¾ Qu'attends-tu de nous, Kamji, s'était alors exclamé Jim.
¾ Mais rien du tout mon cher… c'est vous qui êtes venu me voir… Mais maintenant que vous êtes là, je serais bien bête de ne pas en profiter… et de ne pas en faire profiter mes légions… des hommes de votre qualité ne sont pas facile à trouver… J'en vois parmi vous qui feraient de très bon reproducteurs ou qui pourraient, à défaut, servir de nourrisseur.
¾ Tu… tu… tu n'oserais pas ! s'était alors exclamé le détective.
Un sourire sadique s'était dessiné sur les lèvres du sorcier tandis que l'angoisse envahissait le groupe d'hommes.
¾ Et je pense que je vais même prendre beaucoup de plaisir à admirer le spectacle.
Et du spectacle il y en eut lorsque, d'un claquement de doigt, Kamji lâcha ses Koloss sur la petite équipe. Jim essaya de s'interposer mais se retrouva plaqué au sol par au moins quatre démons à la peau rouge.
« Celui-là est pour moi ! avait-il entendu hurler le sorcier. »
Jim avait alors vu les autres tomber un à un. D'abord Peter puis Olivier et son frère. Tamos s'interposa entre une dizaine de Koloss et Thomas, tentant de le protéger, mais même un Kriss ne peut rien contre une armée de Koloss excités par une promesse de reproducteur. Bientôt la caverne résonnait de cris de douleur, puis de jouissance d’hommes en cours de fécondation. Jim voyait Tamos essayer de se dégager pour essayer de délivrer Thomas, deux verges solidement plantées en lui. Les démons qui le pénétraient semblaient prendre un plaisir particulier à exhiber leur victime devant le Kriss.
Le détective s'était alors sentit soulevé et plaqué sur une dalle de pierre alors que ses vêtements lui étaient arrachés.
Voilà comment ils en étaient arrivés là.
Jim sentit la verge dure du sorcier forcer l'entrée de son fondement serré. Il s'était pris de multiples chibres, des plus petits aux plus énormes mais son fondement semblait toujours s'adapter à l'intrusion. Mais cette fois-ci les choses étaient différentes et il sentait chaque centimètre s'introduire douloureusement en lui. Il se contorsionna pour essayer d'échapper à la pénétration, mais il était trop bien maintenu.
¾ Je vais te faire un cadeau Jim… après tout, tu le mérites avec ce que tu m'as apporté. Je vais lever la malédiction qui pèse sur toi… ou plutôt la modifier…
Le regard du sorcier s’était rivé dans celui du détective alors qu'il allait et venait dans ses intestins. Jim haletait, il avait chaud, ses joues étaient rouges et son sexe gonflait malgré lui. Il poussait de petits cris rauques qu'il était incapable de réprimer. Il se sentait sale et excité malgré lui.
¾ Oui, tu te souviens, Jim, ou tout du moins ton corps se souvient lui. La dernière fois aussi, tu as aimé ça.
Le détective essaya de détourner les yeux.
« Regarde-moi ! s'exclama le sorcier. Oui c'est ça, rappelle-toi de la dernière fois, je suis sûr qu'au fond de toi tu t'en souviens… [les souvenirs enfouis tentaient de se frayer un chemin dans le cerveau de Jim qui s'y refusait]
ton père était là… [Non… tenir]
il nous regardait… [Non… il ne fallait pas… il fallait tenir]
et il aimait ça ! [et les digues cédèrent sous la pression des souvenir] »
Il venait de fêter ses 18 ans et son père avait fini par accepter de l'emmener avec lui à la chasse. Jim savait qu'il ne s'agissait pas d'une chasse ordinaire, il était au fait des choses du monde démoniaque... enfin, bien moins qu'il ne pensait l'être. A 18 ans on se croit immortel, s'est bien connu et Jim harcelait son père pour qu'il l'emmène avec lui, ce que ce dernier avait fini par accepter.
Ce soir-là, lorsque les deux hommes s'en étaient allés, rien ne laissait présager du drame qu'ils allaient vivre. Il s'agissait d'une affaire simple, Anthony devait rassembler des informations sur une nouvelle espèce démoniaque qui semblait se développer anormalement. Rien de dangereux ni de menaçant la dedans, d'autant plus que les deux hommes savaient se défendre comme l'indiquait leur carrure. Anthony Anderson avait alors 38 ans. Dans la force de l'âge, il pratiquait activement les arts martiaux et la boxe et entraînait son fils depuis des années à ces mêmes disciplines. Si l'on omettait les vingt ans qui les séparaient, les deux hommes se ressemblaient étonnamment. Grands et athlétiques tous les deux, ils possédaient en outre les mêmes yeux marron et les mêmes cheveux blonds coupés courts. Ils avaient revêtu la même tenue de chasse, un t-shirt noir à longues manches, révélant leurs torses développés et une paire de jean d'un bleu presque noir serrée sur leurs cuisses musclées et fermée par une ceinture de cuir. Sous le t-shirt d'Anthony, la marque en relief de deux plaques militaires se dessinaient, preuve d'un passé au service de la nation.
Les deux hommes s'étaient rendus sur les lieux de la dernière apparition des fameux démons et après avoir établi une planque, bien à l'abri de la végétation, ils avaient attendu patiemment. Les minutes puis les heures s'étaient succédées sans que rien ni personne ne se manifesta et s'est lorsque le père et le fils rebroussèrent chemin qu'ils rencontrèrent l'homme qui allait sceller le destin de Jim.
A cet instant, ce qui frappa Jim, fut le bleu des yeux qui le scrutaient. L'homme était aussi grand que lui et d'un brun aussi profond que ses yeux étaient bleus. Il portait un pantalon de toile épaisse et sombre et un t-shirt blanc qui moulait son torse musclé. Le sourire aux lèvres, il s'était approché de Jim d’une démarche féline et était venu se planter devant lui.
¾ Qu'est-ce que tu m'amènes là, Tony, avait demandé Kamji.
¾ Qu'est-ce que tu fous là Kam, je t'avais dit de ne pas te montrer ce soir, avait répliqué Anthony.
¾ Je ne pouvais pas rater la première chasse du fils prodigue.
Kamji avait commencé à tourner autour de Jim, admirant la musculature du jeune homme.
— Papa… qu'est-ce qui se passe s'était-il alors exclamé, un peu apeuré, malgré tout.
— Rien, ne bouge pas.
— Oui, ton père à raison, ne bouge pas et laisse-toi faire…, lui aussi il aime se laisser faire.
Le sorcier s'était collé derrière lui et ses mains s'étaient posées sur ses pectoraux moulés dans son t-shirt noir. Puis elles avaient saisi le maillot et d'une violente traction l'avait déchiré en deux, révélant un torse musclé et imberbe. Jim avait essayé de réagir, de repousser l'homme, mais ce dernier semblait exercer sur lui une force qui le paralysait. L'homme lui avait alors retiré les lambeaux de son vêtement puis s'était à nouveau collé derrière lui, lui caressant le torse de ses deux mains expertes, s'attardant sur les tétons roses du jeune homme qu'il titilla puis pinça durement.
— Papa… je… je… je peux pas bouger…. Aide-moi !
Il sentait un barreau dur contre ses fesses, à travers la toile épaisse des deux pantalons et quand la main du sorcier vint saisir son entre-jambe, la peur s'empara de lui. Il regarda son père, implorant son aide, mais ce dernier ne bougeait pas ; pire encore, une bosse commençait à se voir entre ses jambes et une auréole de liquide s'élargissait au même endroit.
— Regarde comme il est beau Anthony, murmurait le sorcier, regarde ton fils, il est comme toi… aussi sensible que toi à mon pouvoir…
— A… a… arrête… je… je t'en supplie, avait alors hoqueté le père de Jim, le souffle court, les joues rougies par l'excitation. Ne fait pas ça Kam…
— Allez, maintenant, déshabille-toi Tony, montre à ton fils comme je t'ai bien éduqué.
— N… non… s'il te plait… pas… pas… ça…
— Aller Tony… de toute façon tu sais que tu ne peux pas me résister. Et toi Jimmy regarde ton père, oui, ouvre grand les yeux… regarde le bien.
Jim avait alors vu se père enlever son t-shirt et dévoiler son torse puissant et couvert de poils blonds et courts. Puis Anthony avait retiré ses épaisses chaussures de cuir et ses chaussettes noires avant de déboucler sa ceinture et de retirer son jean. Une large tache de précum ornait son boxer de coton blanc déformé par un énorme barreau.
— Retire ça aussi, ça va te gêner…
Antony s'était une nouvelle fois exécuté et un sexe massif d'une vingtaine de centimètre avait jaillit du vêtement de coton. Le membre épais et veineux ne semblait pas encore gonflé à son maximum et son gland rouge d'où suintait un liquide visqueux et abondant ne sortait pas encore totalement de son écrin de peau.
— Regarde comme il est beau, avait murmuré Kamji à l'oreille de Jim tout en la lui mordillant.
Anthony se tenait debout devant les deux hommes, complètement nu, la tête baissée, une expression honteuse au visage.
— Tu te demandes peut-être pourquoi ton père ne vient pas t'aider, Jimmy, pourquoi il m'obéit si aveuglément…
Jim n'avait pas répondu, mais en effet, c'était LA question qu'il se posait !
... Ton père t'a-t-il déjà parlé de ta mère ?
— Ne… ne… ne fait pas ça Kam… avait tenté de s'interposer son père.
— Allons… allons… Tony, le petit a maintenant l'âge d'être mis au courant.
Jim, bien que terrifié par la situation, ne pouvait empêcher le sorcier de piquer sa curiosité. Depuis des années il questionnait son père sur sa mère, mais ce dernier avait toujours éludé la question, lui racontant qu'elle était morte alors qu'il était très jeune dans un accident de voiture.
— Je sais qu'elle est décédée lorsque j'étais très jeune, déclara Jim, répétant ainsi les paroles de son père.
— En effet, oui, mais savais-tu que c'est ton père qui a provoqué sa mort.
— Je ne vous crois pas ! s'était alors rebellé Jim, dans les bras du sorcier qui le caressait toujours. Papa ! dit lui que c'est faux !
Mais son père, tête baissée, n'avait pas réagi, au grand désespoir de son fils.
— Je vais te raconter toute l'histoire, Jimmy, ne t'en fait pas, je vais te présenter ce qu'est réellement ton père.
La main droite de Kamji s'insinua sous la ceinture de Jim et vint saisir son sexe encore mou et commença à le caresser.
— Tes parents se sont rencontrés lorsqu'ils étaient très jeunes. Leurs propres parents appartenaient à un cercle de combattants humains qui s'était voué à la lutte contre le monde démoniaque. Très tôt, ils comprirent qu'ils s'aimaient et à dix-huit ans ils se mariaient avec la bénédiction des anciens de leur cercle. Ils s'installèrent ensemble dans une petite maison qui avait appartenu à la mère de ton père et partagèrent leur vie entre recherches et chasses nocturnes. Au cours des deux années qui suivirent, ils ne se quittèrent pas puis ta mère tomba enceinte et je crois que ton père fut ce jour-là le plus heureux des hommes. Les premiers mois de grossesses se déroulèrent sans soucis. Ta mère continuait à partager les chasses de ton père bien que ce dernier souhaitait qu'elle arrête et c'est le soir de sa dernière sortie que les choses tournèrent mal.
Ils s'étaient vus confié une mission simple, retrouver un démon poursuivi pour avoir vendu des objets démoniaques à des humains. Ils avaient trouvé une piste grâce à un informateur de confiance qui leur avait appris que le démon en question se terrait dans les égouts. Ta mère hésitait à poursuivre cette piste qui lui semblait trop évidente, mais ton père la convainquît d'y aller. Ils se rendirent donc dans les égouts, mais au lieu de trouver leur démon, ils furent attaqués par l'un des démons les plus dangereux, une Hydre de Lerne. Sais-tu de quoi il s'agit ?
Jim acquiesça. Il avait vu des illustrations de la créature dans les livres de son père. Elle possédait un corps reptilien de lézard et entre cinq et cent têtes de serpents capables de libérer un violent poison.
— La bête attaqua ton père mais ta mère s'interposa et la créature la mordit. Ton père réussit à les extirper de ce piège mais lorsqu'ils revinrent chez eux, ta mère souffrait déjà des effets du poison. Ton père consulta le cercle qui ne pouvait rien pour elle, puis au comble du désespoir il vint me trouver. Nous ne nous connaissions pas à l'époque, mais j'étais déjà un sorcier puissant et reconnu à la réputation établie et c'est contre l'avis de son cercle qu'il vint me trouver. L'état de ta mère était déjà critique et il s'en voulait de l'avoir convaincu de le suivre dans les égouts et de ne pas avoir été capable de la défendre. C'est donc un homme brisé et prêt à tout qui vint me trouver. Je me souviens de l'état dans lequel il était, complètement hagard, me suppliant de l'aider si je le pouvais, me déclarant qu'il était prêt à tout, prêt à me donner tout ce que je voudrais. Les émotions et les humains sont deux choses qui ne font pas bon ménage mon garçon. Elles les fragilisent, les rendent vulnérables, mais ils semblent toujours s'y complaire.
Je dois t'avouer que j'ai failli lui refuser mon aide, connaissant le cercle auquel il appartenait et sa fâcheuse tendance à éliminer ceux qui le gênaient. Puis un plan commença à voir jour dans mon esprit. J'avais devant moi l'un des membres les plus actifs de l'un des cercles les plus puissants du pays. Et ce membre me promettait de réaliser tous mes désirs. Je lui fis donc la proposition suivante : si je vous sauvais, toi ou ta mère, il m'appartiendrait pour toujours. Ton père n'hésita pas et accepta de sceller ce pacte. Au fait Jimmy, sais-tu comment on scelle un pacte avec un sorcier ?
— Non… je…
— Alors regarde… car lui non plus ne le savait pas…
Kamji posa ses mains sur les tempes su jeune homme qui se retrouva projeté dans une caverne sombre...
Jim vit deux hommes, l'un debout qu'il identifia comme Kamji et l'autre à genou devant lui qui s'avéra être une version plus jeune de son père. Il s'approcha mais aucun des deux hommes ne réagit, comme si aucun d'eux ne le percevait et ce qu'il découvrit le glaça. Son père avait posé ses mains sur les hanches du sorcier et sa bouche allait et venait sur un sexe d'une bonne trentaine de centimètres. Kamji lui maintenait fermement la tête de ses deux mains et imprimait un rythme soutenu à la fellation. La scène dura plusieurs minutes puis d'un mouvement brusque, le sorcier s'enfonça au plus profond de la gorge d'Anthony dont les yeux s'ouvrirent grand de terreur. Il essaya de se débattre, incapable de respirer, mais rien n'y fit. Jim vit le sorcier sourire puis rejeter sa tête en arrière et devina qu'il venait d'éjaculer dans la gorge de son père. Il le maintint encore quelques secondes dans cette position puis le relâche. Anthony, toussa, haleta, peinant à reprendre son souffle. Du sperme s'écoulait de sa bouche mais la majeur partie avait probablement été avalée.
— Le pacte est scellé maintenant, tu peux sauver ma femme et mon fils ! avait alors déclaré Anthony, d'une voix rendu rauque par la fellation et le sperme du sorcier.
— Pas tout à fait, retourne-toi maintenant et baisse ton pantalon.
— Je… hein… quoi…
— Si tu veux que je les sauve, le pacte doit être scellé ainsi . Mais peut-être ne tiens-tu pas tant que cela à eux.
Jim vit l'horreur et le désespoir se succéder sur le visage de son père mais il obtempéra. Il se retourna à genou et défit son pantalon qu'il baissa à mi-cuisses puis posa ses mains devant lui, à quatre pattes, le dos cambré. Kamji vint se placé derrière lui, son sexe toujours bandé et gluant du sperme qu'il venait de verser. Le sorcier s'agenouilla entre les jambes de l'homme et posa les mains sur les hanches, nues et offertes. Anthony frissonna quand les mains montèrent sur ses flancs et relevèrent son t-shirt, caressant son torse imberbe dont le sorcier pinça les tétons. L'homme gémit sous le traitement.
— Humm… très sensible à ce que je vois…
Kamji quitta les tétons durcis et posa ses mains sur les épaules de sa victime et appuya dessus d'un coup sec. Les coudes de l'homme cédèrent et il se retrouva plaqué au sol, les fesses relevées, le sorcier plaqué contre son dos.
— Maintenant sert les dents, ça va être un peu douloureux.
Jim vit le gland rouge et luisant se poser contre l'anus de son père qui frémit et gémit d'anticipation puis se cambra de douleur lorsque le mandrin commençait à le pénétrer. Il voulut se redresser mais Kamji le maintenait avec trop de fermeté pour qu'il puisse se dégager de l'étreinte. Anthony serrait les dents, refusant de se laisser aller à crier. Il devait se montrer fort. Mais quand, entré à moitié, le sorcier recula de quelques centimètre puis s'introduisit tout entier dans le fondement vierge, ses bonnes résolutions cédèrent et l'homme se laissa aller à hurler.
Le sorcier allait et venait maintenant à un rythme effréné. Anthony ne criait plus, il semblait avoir repris le contrôle de lui-même. Les dents serrées, le front dégoulinant de sueur, il subissait les assauts avec bravoure. Puis Jim, vit quelque chose qu'il n'avait pas encore remarqué ; le sexe de son père qui ne cessait de grossir. Il devint bientôt dur et du précum commença à s'en écouler formant une flaque puis les abdominaux saillant de l'homme se contractèrent et plusieurs jets d'un sperme épais s'écrasèrent au sol dans la flaque de précum. L'anneau anal d'Anthony dut se resserrer alors car Kamji se redressa puis se libéra pour la deuxième fois dans sa victime. Rapidement, le sorcier se retira et se rhabilla alors que l'homme restait dans la position humiliante que lui avait donnée son tortionnaire.
— Je vois que tu y as pris goût, s'était alors exclamé Kamji, moqueur. Mais rhabille-toi si tu veux que j'aide ta femme.
Alors que dans sa vision Anthony se rhabillait Jim s'était soudainement senti aspiré et avait regagné les bras du sorcier qui le caressait toujours.
— Vois-tu mon cher Jim, depuis ce jour-là, ton père ne peut aller à l'encontre de mes désirs… de tous mes désirs… regarde bien…
Un démon à la peau rouge apparut, trainant à sa suite un jeune homme de l'âge de Jim totalement imberbe et nu.
— Non pas ça… pitié Kam… l'avait supplié Anthony.
— Ton fils a le droit de te voir tel que tu es Tony… Allez, tu sais ce que tu as à faire.
Anthony s'était emparé du jeune homme et faisant fi de sa résistance l'avait couché au sol, sur le dos, avant de s'allonger sur lui, lui maintenant les mains au-dessus de la tête, et de plaquer la bouche sur le sienne. Jim voyait la langue de son père pénétrer la bouche du jeune homme. Une salive abondante s'écoulait sur les joues des deux amants.
Jim sentit les mains de Kamji défaire son pantalon qui tomba à ses chevilles et c'est alors qu'il s'aperçut, en regardant son boxer blanc trempé, qu'il bandait depuis plusieurs minutes déjà. Le sorcier s'empara de son sexe dur et gluant et commença à le masturber lentement.
— Oui, tu es comme ton père…
Jim retourna son attention vers Anthony qui avait maintenant retourné le jeune homme sur le ventre et tentait de s'introduire en lui, bien que le fondement semble trop étroit pour le recevoir. D'une main, l'homme bâillonnait son jeune amant alors que de l'autre, il dirigeait son membre épais.
— Regarde bien ce qui va suivre…
Kamji fit signe au démon à la peau rouge et aux muscles saillant qui avait amené le jeune homme. Ce dernier retira son pantalon noir et vint se placer derrière d'Anthony. Le démon pris son sexe - massif et tendu - et le plaça contre l'anus de l'homme qui écarta un peu plus les jambes pour se laisser pénétrer.
— Oui, voilà ce qu'est ton père… et voilà ce qu'il aime par-dessus tout…
Le sexe du démon s'introduisit et se fraya un chemin dans l’anus serré qui se dilata pour l'accepter. La poussée du démon fit du même coup entrer le sexe de l'homme dans l'anus du jeune. Anthony se retourna vers le démon qui lui sourit et les deux êtres s'embrassèrent goulument. Le démon imprimait son rythme au trio et Jim voyait son père en plein extase entre ses deux mâles.
— Tu aimerais être à sa place Jimmy… je suis sûr.
Jim déglutit.
— Jamais ! s'exclama-t-il
Kamji ricana.
— Tu es, définitivement, bien comme ton père et c'est maintenant à toi d'honorer son contrat.
— Hein… quoi… mais j'ai rien signé moi.
— Inutile, ton père l'a fait pour toi. Il ne s'est pas simplement engagé pour lui mais également pour les hommes de sa descendance pour trois générations et tu es de la première…
— NON !! Avait alors hurlé Jim en repoussant le sorcier.
Il ne sut jamais comment il était parvenu à la faire, mais Kamji se retrouva projeté en arrière. Jim aussi surpris que Kamji voulu s'enfuir mais il se prit les pieds dans son pantalon et s'étala de tout son long et avant qu'il ne puisse se relever, Kamji était allongé sur lui.
— Ca, tu vas me le payer, Jimmy !
Il passa une main sous le cou de Jim et dégagea son sexe de l'autre puis, le maintenant fermement, il le pénétra d'un coup sec et violent. Les yeux de Jim s'emplirent de larme et sa bouche s'ouvrit mais aucun son n'en sortit. La douleur fut atroce. Il ferma les yeux et lorsqu'il les rouvrir, il avait la tête plaquée au sol et le sorcier se déchainait en lui. En face de lui, il voyait son père le regarder et s'exciter du spectacle qu'il observait. Kamji poursuivit sa besogne plusieurs minutes durant et Jim se laissa faire sans trop savoir pourquoi. Puis il sentit un liquide chaud se rependre dans son fondement et quelque chose changea en lui, avant que tout ne devienne noir.
Kamji allait et venait le pistonner. Jim sentait le chibre entrer et sortir, il entendait des gémissements de plaisir qui raisonnait malgré les bruits de lutte qui se poursuivait un peu partout… ses gémissements de plaisir se rendit-il compte.
— Alors Jim, tu te souviens de tout maintenant… tu es définitivement comme ton père hein. Et tu sais, Jim, j'ai décidé de te faire un cadeau… de changer ta malédiction… et après tu seras à moi… vraiment comme ton père. Les Koloss l’avaient lâché comme s'ils étaient attirés par autre chose. Il était libre maintenant mais se sentait incapable de bouger.
Kamji récupéra une petite fiole fermé d'un bouchon en liège de la poche de son pantalon baissé. Elle semblait très ancienne et contenait un liquide blanc nacré. Il lui sourit sournoisement puis, se penchant en avant il l'attrapa par les cheveux et l'obligea à en avaler le contenu. La substance était épaisse, onctueuse en bouche, à la fois douce et poivrée et Jim n'eut d'autre choix que de l'avaler entièrement. Alors tout sembla changer, les couleurs se firent plus intenses, les sons plus denses, les sensations plus fortes. Il sentait douloureusement Kamji en lui, voyait l'intensité du sourire lubrique, percevait ses halètements alors que son mouvement s'accélérait puis il le vit se raidir et se figer, la douleur se dessinant sur ses traits.
— Aie ! Qu…, essaya d'articuler le sorcier les yeux exorbités alors que son sexe s'était mis à palpiter et qu'un liquide chaud se rependait en Jim. Puis Jim vit Kamji se retourner et interpeler quelqu'un. Jim se sentait bizarre, quelque chose changeait en lui puis tout redevint noir.
Révélations
¾ Tu es bien comme ton père, mon cher Jim…
La réplique de Kamji fit tressaillir Jim alors que le sorcier présentait son chibre épais à l'entrée de son fondement serré. Quatre puissants Koloss maintenaient fermement le détective allongé sur le dos sur une épaisse table de pierre brute, les mollets posés sur les épaules du sorcier. Son pantalon était en lambeau et sa chemise avait pour ainsi dire disparu. La chaleur qui émanait du gland rouge et gonflé contrastait avec le froid de la roche qui lui envahissait le dos. Il essaya une fois encore de se dégager mais les Koloss le tenaient avec trop de force par les bras et les jambes.
Comment les choses avaient-elles pu tourner si mal ? ne cessait-il de se demander.
Pourtant, tout s'était déroulé selon le plan établi… du moins au début. L'équipe composée de Jim, Peter, Tamara, Mike, Thomas, Tamos, Olivier et son frère Nicolas s'était rendue jusqu'aux Grottes de la perdition. Ces grottes ne se nommaient pas ainsi par hasard et sans les connaissances précises de Peter sur la topographie des lieux, jamais Jim ne s'y serait retrouvé. Kamji s'était trouvé une planque des plus efficaces ; faites de nombreux boyaux souterrains qui se divisaient sans cesse. De plus, elles recelaient de multiples pièges et la roche, friable par endroit, rendait certains passages impraticables.
Après de multiples détours, ils étaient parvenus à une vaste sale qui servait apparemment de laboratoire de recherche au sorcier. Furtivement, ils s'y étaient introduits et avaient commencé à inspecter les lieux. Puis, ne décelant aucune menace imminente, ils s'étaient enhardis jusqu’à commencer à examiner le travail de leur ennemi. C'est à cet instant qu'ils avaient relâché leur vigilance et c'est à ce même instant qu'ils avaient perdu la bataille. Un éclair d'énergie bleue avait brusquement traversé la sale et frappé Tamara de plein fouet. La magicienne s'était effondrée sur le champ, alors que des légions de Koloss se déversaient dans la pièce. Les autres membres de l'équipe s'étaient regroupés autour de leur amie tombée tandis que Kamji en personne pénétrait dans la pièce.
¾ Désolé ma chère fille, avait alors déclaré le sorcier, mais je ne peux me permettre de t'affronter aujourd'hui.
¾ Que lui avez-vous fait s'était exclamé Mike en s'élançant vers le sorcier.
Mais avant qu'il ne puisse l'atteindre, deux Koloss s'étaient saisis de lui et l'avaient plaqué au sol.
¾ Oh, ne t'inquiète pas pour elle, elle s'en remettra, elle est juste inconsciente. Pour qui me prends-tu, je ne tuerais pas ma fille ! Elle est juste trop puissante pour que je l'affronte aujourd'hui.
¾ Qu'attends-tu de nous, Kamji, s'était alors exclamé Jim.
¾ Mais rien du tout mon cher… c'est vous qui êtes venu me voir… Mais maintenant que vous êtes là, je serais bien bête de ne pas en profiter… et de ne pas en faire profiter mes légions… des hommes de votre qualité ne sont pas facile à trouver… J'en vois parmi vous qui feraient de très bon reproducteurs ou qui pourraient, à défaut, servir de nourrisseur.
¾ Tu… tu… tu n'oserais pas ! s'était alors exclamé le détective.
Un sourire sadique s'était dessiné sur les lèvres du sorcier tandis que l'angoisse envahissait le groupe d'hommes.
¾ Et je pense que je vais même prendre beaucoup de plaisir à admirer le spectacle.
Et du spectacle il y en eut lorsque, d'un claquement de doigt, Kamji lâcha ses Koloss sur la petite équipe. Jim essaya de s'interposer mais se retrouva plaqué au sol par au moins quatre démons à la peau rouge.
« Celui-là est pour moi ! avait-il entendu hurler le sorcier. »
Jim avait alors vu les autres tomber un à un. D'abord Peter puis Olivier et son frère. Tamos s'interposa entre une dizaine de Koloss et Thomas, tentant de le protéger, mais même un Kriss ne peut rien contre une armée de Koloss excités par une promesse de reproducteur. Bientôt la caverne résonnait de cris de douleur, puis de jouissance d’hommes en cours de fécondation. Jim voyait Tamos essayer de se dégager pour essayer de délivrer Thomas, deux verges solidement plantées en lui. Les démons qui le pénétraient semblaient prendre un plaisir particulier à exhiber leur victime devant le Kriss.
Le détective s'était alors sentit soulevé et plaqué sur une dalle de pierre alors que ses vêtements lui étaient arrachés.
Voilà comment ils en étaient arrivés là.
Jim sentit la verge dure du sorcier forcer l'entrée de son fondement serré. Il s'était pris de multiples chibres, des plus petits aux plus énormes mais son fondement semblait toujours s'adapter à l'intrusion. Mais cette fois-ci les choses étaient différentes et il sentait chaque centimètre s'introduire douloureusement en lui. Il se contorsionna pour essayer d'échapper à la pénétration, mais il était trop bien maintenu.
¾ Je vais te faire un cadeau Jim… après tout, tu le mérites avec ce que tu m'as apporté. Je vais lever la malédiction qui pèse sur toi… ou plutôt la modifier…
Le regard du sorcier s’était rivé dans celui du détective alors qu'il allait et venait dans ses intestins. Jim haletait, il avait chaud, ses joues étaient rouges et son sexe gonflait malgré lui. Il poussait de petits cris rauques qu'il était incapable de réprimer. Il se sentait sale et excité malgré lui.
¾ Oui, tu te souviens, Jim, ou tout du moins ton corps se souvient lui. La dernière fois aussi, tu as aimé ça.
Le détective essaya de détourner les yeux.
« Regarde-moi ! s'exclama le sorcier. Oui c'est ça, rappelle-toi de la dernière fois, je suis sûr qu'au fond de toi tu t'en souviens… [les souvenirs enfouis tentaient de se frayer un chemin dans le cerveau de Jim qui s'y refusait]
ton père était là… [Non… tenir]
il nous regardait… [Non… il ne fallait pas… il fallait tenir]
et il aimait ça ! [et les digues cédèrent sous la pression des souvenir] »
***
Il venait de fêter ses 18 ans et son père avait fini par accepter de l'emmener avec lui à la chasse. Jim savait qu'il ne s'agissait pas d'une chasse ordinaire, il était au fait des choses du monde démoniaque... enfin, bien moins qu'il ne pensait l'être. A 18 ans on se croit immortel, s'est bien connu et Jim harcelait son père pour qu'il l'emmène avec lui, ce que ce dernier avait fini par accepter.
Ce soir-là, lorsque les deux hommes s'en étaient allés, rien ne laissait présager du drame qu'ils allaient vivre. Il s'agissait d'une affaire simple, Anthony devait rassembler des informations sur une nouvelle espèce démoniaque qui semblait se développer anormalement. Rien de dangereux ni de menaçant la dedans, d'autant plus que les deux hommes savaient se défendre comme l'indiquait leur carrure. Anthony Anderson avait alors 38 ans. Dans la force de l'âge, il pratiquait activement les arts martiaux et la boxe et entraînait son fils depuis des années à ces mêmes disciplines. Si l'on omettait les vingt ans qui les séparaient, les deux hommes se ressemblaient étonnamment. Grands et athlétiques tous les deux, ils possédaient en outre les mêmes yeux marron et les mêmes cheveux blonds coupés courts. Ils avaient revêtu la même tenue de chasse, un t-shirt noir à longues manches, révélant leurs torses développés et une paire de jean d'un bleu presque noir serrée sur leurs cuisses musclées et fermée par une ceinture de cuir. Sous le t-shirt d'Anthony, la marque en relief de deux plaques militaires se dessinaient, preuve d'un passé au service de la nation.
Les deux hommes s'étaient rendus sur les lieux de la dernière apparition des fameux démons et après avoir établi une planque, bien à l'abri de la végétation, ils avaient attendu patiemment. Les minutes puis les heures s'étaient succédées sans que rien ni personne ne se manifesta et s'est lorsque le père et le fils rebroussèrent chemin qu'ils rencontrèrent l'homme qui allait sceller le destin de Jim.
A cet instant, ce qui frappa Jim, fut le bleu des yeux qui le scrutaient. L'homme était aussi grand que lui et d'un brun aussi profond que ses yeux étaient bleus. Il portait un pantalon de toile épaisse et sombre et un t-shirt blanc qui moulait son torse musclé. Le sourire aux lèvres, il s'était approché de Jim d’une démarche féline et était venu se planter devant lui.
¾ Qu'est-ce que tu m'amènes là, Tony, avait demandé Kamji.
¾ Qu'est-ce que tu fous là Kam, je t'avais dit de ne pas te montrer ce soir, avait répliqué Anthony.
¾ Je ne pouvais pas rater la première chasse du fils prodigue.
Kamji avait commencé à tourner autour de Jim, admirant la musculature du jeune homme.
— Papa… qu'est-ce qui se passe s'était-il alors exclamé, un peu apeuré, malgré tout.
— Rien, ne bouge pas.
— Oui, ton père à raison, ne bouge pas et laisse-toi faire…, lui aussi il aime se laisser faire.
Le sorcier s'était collé derrière lui et ses mains s'étaient posées sur ses pectoraux moulés dans son t-shirt noir. Puis elles avaient saisi le maillot et d'une violente traction l'avait déchiré en deux, révélant un torse musclé et imberbe. Jim avait essayé de réagir, de repousser l'homme, mais ce dernier semblait exercer sur lui une force qui le paralysait. L'homme lui avait alors retiré les lambeaux de son vêtement puis s'était à nouveau collé derrière lui, lui caressant le torse de ses deux mains expertes, s'attardant sur les tétons roses du jeune homme qu'il titilla puis pinça durement.
— Papa… je… je… je peux pas bouger…. Aide-moi !
Il sentait un barreau dur contre ses fesses, à travers la toile épaisse des deux pantalons et quand la main du sorcier vint saisir son entre-jambe, la peur s'empara de lui. Il regarda son père, implorant son aide, mais ce dernier ne bougeait pas ; pire encore, une bosse commençait à se voir entre ses jambes et une auréole de liquide s'élargissait au même endroit.
— Regarde comme il est beau Anthony, murmurait le sorcier, regarde ton fils, il est comme toi… aussi sensible que toi à mon pouvoir…
— A… a… arrête… je… je t'en supplie, avait alors hoqueté le père de Jim, le souffle court, les joues rougies par l'excitation. Ne fait pas ça Kam…
— Allez, maintenant, déshabille-toi Tony, montre à ton fils comme je t'ai bien éduqué.
— N… non… s'il te plait… pas… pas… ça…
— Aller Tony… de toute façon tu sais que tu ne peux pas me résister. Et toi Jimmy regarde ton père, oui, ouvre grand les yeux… regarde le bien.
Jim avait alors vu se père enlever son t-shirt et dévoiler son torse puissant et couvert de poils blonds et courts. Puis Anthony avait retiré ses épaisses chaussures de cuir et ses chaussettes noires avant de déboucler sa ceinture et de retirer son jean. Une large tache de précum ornait son boxer de coton blanc déformé par un énorme barreau.
— Retire ça aussi, ça va te gêner…
Antony s'était une nouvelle fois exécuté et un sexe massif d'une vingtaine de centimètre avait jaillit du vêtement de coton. Le membre épais et veineux ne semblait pas encore gonflé à son maximum et son gland rouge d'où suintait un liquide visqueux et abondant ne sortait pas encore totalement de son écrin de peau.
— Regarde comme il est beau, avait murmuré Kamji à l'oreille de Jim tout en la lui mordillant.
Anthony se tenait debout devant les deux hommes, complètement nu, la tête baissée, une expression honteuse au visage.
— Tu te demandes peut-être pourquoi ton père ne vient pas t'aider, Jimmy, pourquoi il m'obéit si aveuglément…
Jim n'avait pas répondu, mais en effet, c'était LA question qu'il se posait !
... Ton père t'a-t-il déjà parlé de ta mère ?
— Ne… ne… ne fait pas ça Kam… avait tenté de s'interposer son père.
— Allons… allons… Tony, le petit a maintenant l'âge d'être mis au courant.
Jim, bien que terrifié par la situation, ne pouvait empêcher le sorcier de piquer sa curiosité. Depuis des années il questionnait son père sur sa mère, mais ce dernier avait toujours éludé la question, lui racontant qu'elle était morte alors qu'il était très jeune dans un accident de voiture.
— Je sais qu'elle est décédée lorsque j'étais très jeune, déclara Jim, répétant ainsi les paroles de son père.
— En effet, oui, mais savais-tu que c'est ton père qui a provoqué sa mort.
— Je ne vous crois pas ! s'était alors rebellé Jim, dans les bras du sorcier qui le caressait toujours. Papa ! dit lui que c'est faux !
Mais son père, tête baissée, n'avait pas réagi, au grand désespoir de son fils.
— Je vais te raconter toute l'histoire, Jimmy, ne t'en fait pas, je vais te présenter ce qu'est réellement ton père.
La main droite de Kamji s'insinua sous la ceinture de Jim et vint saisir son sexe encore mou et commença à le caresser.
— Tes parents se sont rencontrés lorsqu'ils étaient très jeunes. Leurs propres parents appartenaient à un cercle de combattants humains qui s'était voué à la lutte contre le monde démoniaque. Très tôt, ils comprirent qu'ils s'aimaient et à dix-huit ans ils se mariaient avec la bénédiction des anciens de leur cercle. Ils s'installèrent ensemble dans une petite maison qui avait appartenu à la mère de ton père et partagèrent leur vie entre recherches et chasses nocturnes. Au cours des deux années qui suivirent, ils ne se quittèrent pas puis ta mère tomba enceinte et je crois que ton père fut ce jour-là le plus heureux des hommes. Les premiers mois de grossesses se déroulèrent sans soucis. Ta mère continuait à partager les chasses de ton père bien que ce dernier souhaitait qu'elle arrête et c'est le soir de sa dernière sortie que les choses tournèrent mal.
Ils s'étaient vus confié une mission simple, retrouver un démon poursuivi pour avoir vendu des objets démoniaques à des humains. Ils avaient trouvé une piste grâce à un informateur de confiance qui leur avait appris que le démon en question se terrait dans les égouts. Ta mère hésitait à poursuivre cette piste qui lui semblait trop évidente, mais ton père la convainquît d'y aller. Ils se rendirent donc dans les égouts, mais au lieu de trouver leur démon, ils furent attaqués par l'un des démons les plus dangereux, une Hydre de Lerne. Sais-tu de quoi il s'agit ?
Jim acquiesça. Il avait vu des illustrations de la créature dans les livres de son père. Elle possédait un corps reptilien de lézard et entre cinq et cent têtes de serpents capables de libérer un violent poison.
— La bête attaqua ton père mais ta mère s'interposa et la créature la mordit. Ton père réussit à les extirper de ce piège mais lorsqu'ils revinrent chez eux, ta mère souffrait déjà des effets du poison. Ton père consulta le cercle qui ne pouvait rien pour elle, puis au comble du désespoir il vint me trouver. Nous ne nous connaissions pas à l'époque, mais j'étais déjà un sorcier puissant et reconnu à la réputation établie et c'est contre l'avis de son cercle qu'il vint me trouver. L'état de ta mère était déjà critique et il s'en voulait de l'avoir convaincu de le suivre dans les égouts et de ne pas avoir été capable de la défendre. C'est donc un homme brisé et prêt à tout qui vint me trouver. Je me souviens de l'état dans lequel il était, complètement hagard, me suppliant de l'aider si je le pouvais, me déclarant qu'il était prêt à tout, prêt à me donner tout ce que je voudrais. Les émotions et les humains sont deux choses qui ne font pas bon ménage mon garçon. Elles les fragilisent, les rendent vulnérables, mais ils semblent toujours s'y complaire.
Je dois t'avouer que j'ai failli lui refuser mon aide, connaissant le cercle auquel il appartenait et sa fâcheuse tendance à éliminer ceux qui le gênaient. Puis un plan commença à voir jour dans mon esprit. J'avais devant moi l'un des membres les plus actifs de l'un des cercles les plus puissants du pays. Et ce membre me promettait de réaliser tous mes désirs. Je lui fis donc la proposition suivante : si je vous sauvais, toi ou ta mère, il m'appartiendrait pour toujours. Ton père n'hésita pas et accepta de sceller ce pacte. Au fait Jimmy, sais-tu comment on scelle un pacte avec un sorcier ?
— Non… je…
— Alors regarde… car lui non plus ne le savait pas…
Kamji posa ses mains sur les tempes su jeune homme qui se retrouva projeté dans une caverne sombre...
***
Jim vit deux hommes, l'un debout qu'il identifia comme Kamji et l'autre à genou devant lui qui s'avéra être une version plus jeune de son père. Il s'approcha mais aucun des deux hommes ne réagit, comme si aucun d'eux ne le percevait et ce qu'il découvrit le glaça. Son père avait posé ses mains sur les hanches du sorcier et sa bouche allait et venait sur un sexe d'une bonne trentaine de centimètres. Kamji lui maintenait fermement la tête de ses deux mains et imprimait un rythme soutenu à la fellation. La scène dura plusieurs minutes puis d'un mouvement brusque, le sorcier s'enfonça au plus profond de la gorge d'Anthony dont les yeux s'ouvrirent grand de terreur. Il essaya de se débattre, incapable de respirer, mais rien n'y fit. Jim vit le sorcier sourire puis rejeter sa tête en arrière et devina qu'il venait d'éjaculer dans la gorge de son père. Il le maintint encore quelques secondes dans cette position puis le relâche. Anthony, toussa, haleta, peinant à reprendre son souffle. Du sperme s'écoulait de sa bouche mais la majeur partie avait probablement été avalée.
— Le pacte est scellé maintenant, tu peux sauver ma femme et mon fils ! avait alors déclaré Anthony, d'une voix rendu rauque par la fellation et le sperme du sorcier.
— Pas tout à fait, retourne-toi maintenant et baisse ton pantalon.
— Je… hein… quoi…
— Si tu veux que je les sauve, le pacte doit être scellé ainsi . Mais peut-être ne tiens-tu pas tant que cela à eux.
Jim vit l'horreur et le désespoir se succéder sur le visage de son père mais il obtempéra. Il se retourna à genou et défit son pantalon qu'il baissa à mi-cuisses puis posa ses mains devant lui, à quatre pattes, le dos cambré. Kamji vint se placé derrière lui, son sexe toujours bandé et gluant du sperme qu'il venait de verser. Le sorcier s'agenouilla entre les jambes de l'homme et posa les mains sur les hanches, nues et offertes. Anthony frissonna quand les mains montèrent sur ses flancs et relevèrent son t-shirt, caressant son torse imberbe dont le sorcier pinça les tétons. L'homme gémit sous le traitement.
— Humm… très sensible à ce que je vois…
Kamji quitta les tétons durcis et posa ses mains sur les épaules de sa victime et appuya dessus d'un coup sec. Les coudes de l'homme cédèrent et il se retrouva plaqué au sol, les fesses relevées, le sorcier plaqué contre son dos.
— Maintenant sert les dents, ça va être un peu douloureux.
Jim vit le gland rouge et luisant se poser contre l'anus de son père qui frémit et gémit d'anticipation puis se cambra de douleur lorsque le mandrin commençait à le pénétrer. Il voulut se redresser mais Kamji le maintenait avec trop de fermeté pour qu'il puisse se dégager de l'étreinte. Anthony serrait les dents, refusant de se laisser aller à crier. Il devait se montrer fort. Mais quand, entré à moitié, le sorcier recula de quelques centimètre puis s'introduisit tout entier dans le fondement vierge, ses bonnes résolutions cédèrent et l'homme se laissa aller à hurler.
Le sorcier allait et venait maintenant à un rythme effréné. Anthony ne criait plus, il semblait avoir repris le contrôle de lui-même. Les dents serrées, le front dégoulinant de sueur, il subissait les assauts avec bravoure. Puis Jim, vit quelque chose qu'il n'avait pas encore remarqué ; le sexe de son père qui ne cessait de grossir. Il devint bientôt dur et du précum commença à s'en écouler formant une flaque puis les abdominaux saillant de l'homme se contractèrent et plusieurs jets d'un sperme épais s'écrasèrent au sol dans la flaque de précum. L'anneau anal d'Anthony dut se resserrer alors car Kamji se redressa puis se libéra pour la deuxième fois dans sa victime. Rapidement, le sorcier se retira et se rhabilla alors que l'homme restait dans la position humiliante que lui avait donnée son tortionnaire.
— Je vois que tu y as pris goût, s'était alors exclamé Kamji, moqueur. Mais rhabille-toi si tu veux que j'aide ta femme.
Alors que dans sa vision Anthony se rhabillait Jim s'était soudainement senti aspiré et avait regagné les bras du sorcier qui le caressait toujours.
***
Un démon à la peau rouge apparut, trainant à sa suite un jeune homme de l'âge de Jim totalement imberbe et nu.
— Non pas ça… pitié Kam… l'avait supplié Anthony.
— Ton fils a le droit de te voir tel que tu es Tony… Allez, tu sais ce que tu as à faire.
Anthony s'était emparé du jeune homme et faisant fi de sa résistance l'avait couché au sol, sur le dos, avant de s'allonger sur lui, lui maintenant les mains au-dessus de la tête, et de plaquer la bouche sur le sienne. Jim voyait la langue de son père pénétrer la bouche du jeune homme. Une salive abondante s'écoulait sur les joues des deux amants.
Jim sentit les mains de Kamji défaire son pantalon qui tomba à ses chevilles et c'est alors qu'il s'aperçut, en regardant son boxer blanc trempé, qu'il bandait depuis plusieurs minutes déjà. Le sorcier s'empara de son sexe dur et gluant et commença à le masturber lentement.
— Oui, tu es comme ton père…
Jim retourna son attention vers Anthony qui avait maintenant retourné le jeune homme sur le ventre et tentait de s'introduire en lui, bien que le fondement semble trop étroit pour le recevoir. D'une main, l'homme bâillonnait son jeune amant alors que de l'autre, il dirigeait son membre épais.
— Regarde bien ce qui va suivre…
Kamji fit signe au démon à la peau rouge et aux muscles saillant qui avait amené le jeune homme. Ce dernier retira son pantalon noir et vint se placer derrière d'Anthony. Le démon pris son sexe - massif et tendu - et le plaça contre l'anus de l'homme qui écarta un peu plus les jambes pour se laisser pénétrer.
— Oui, voilà ce qu'est ton père… et voilà ce qu'il aime par-dessus tout…
Le sexe du démon s'introduisit et se fraya un chemin dans l’anus serré qui se dilata pour l'accepter. La poussée du démon fit du même coup entrer le sexe de l'homme dans l'anus du jeune. Anthony se retourna vers le démon qui lui sourit et les deux êtres s'embrassèrent goulument. Le démon imprimait son rythme au trio et Jim voyait son père en plein extase entre ses deux mâles.
— Tu aimerais être à sa place Jimmy… je suis sûr.
Jim déglutit.
— Jamais ! s'exclama-t-il
Kamji ricana.
— Tu es, définitivement, bien comme ton père et c'est maintenant à toi d'honorer son contrat.
— Hein… quoi… mais j'ai rien signé moi.
— Inutile, ton père l'a fait pour toi. Il ne s'est pas simplement engagé pour lui mais également pour les hommes de sa descendance pour trois générations et tu es de la première…
— NON !! Avait alors hurlé Jim en repoussant le sorcier.
Il ne sut jamais comment il était parvenu à la faire, mais Kamji se retrouva projeté en arrière. Jim aussi surpris que Kamji voulu s'enfuir mais il se prit les pieds dans son pantalon et s'étala de tout son long et avant qu'il ne puisse se relever, Kamji était allongé sur lui.
— Ca, tu vas me le payer, Jimmy !
Il passa une main sous le cou de Jim et dégagea son sexe de l'autre puis, le maintenant fermement, il le pénétra d'un coup sec et violent. Les yeux de Jim s'emplirent de larme et sa bouche s'ouvrit mais aucun son n'en sortit. La douleur fut atroce. Il ferma les yeux et lorsqu'il les rouvrir, il avait la tête plaquée au sol et le sorcier se déchainait en lui. En face de lui, il voyait son père le regarder et s'exciter du spectacle qu'il observait. Kamji poursuivit sa besogne plusieurs minutes durant et Jim se laissa faire sans trop savoir pourquoi. Puis il sentit un liquide chaud se rependre dans son fondement et quelque chose changea en lui, avant que tout ne devienne noir.
***
Kamji allait et venait le pistonner. Jim sentait le chibre entrer et sortir, il entendait des gémissements de plaisir qui raisonnait malgré les bruits de lutte qui se poursuivait un peu partout… ses gémissements de plaisir se rendit-il compte.
— Alors Jim, tu te souviens de tout maintenant… tu es définitivement comme ton père hein. Et tu sais, Jim, j'ai décidé de te faire un cadeau… de changer ta malédiction… et après tu seras à moi… vraiment comme ton père. Les Koloss l’avaient lâché comme s'ils étaient attirés par autre chose. Il était libre maintenant mais se sentait incapable de bouger.
Kamji récupéra une petite fiole fermé d'un bouchon en liège de la poche de son pantalon baissé. Elle semblait très ancienne et contenait un liquide blanc nacré. Il lui sourit sournoisement puis, se penchant en avant il l'attrapa par les cheveux et l'obligea à en avaler le contenu. La substance était épaisse, onctueuse en bouche, à la fois douce et poivrée et Jim n'eut d'autre choix que de l'avaler entièrement. Alors tout sembla changer, les couleurs se firent plus intenses, les sons plus denses, les sensations plus fortes. Il sentait douloureusement Kamji en lui, voyait l'intensité du sourire lubrique, percevait ses halètements alors que son mouvement s'accélérait puis il le vit se raidir et se figer, la douleur se dessinant sur ses traits.
— Aie ! Qu…, essaya d'articuler le sorcier les yeux exorbités alors que son sexe s'était mis à palpiter et qu'un liquide chaud se rependait en Jim. Puis Jim vit Kamji se retourner et interpeler quelqu'un. Jim se sentait bizarre, quelque chose changeait en lui puis tout redevint noir.
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