31-12-2024, 06:04 AM
(Modification du message : 31-12-2024, 06:30 AM par fablelionsilencieux.)
Chapitre 2
Le Conseil des Ombres
- C'est hors de question ! s'exclama Jim Anderson.
Il se tenait assis à l'extrémité d'une grande table de bois ovale de cinq mètre de long dont les beaux jours avaient disparu depuis bien longtemps. Neuf individus se répartissaient de chaque coté, équitablement, sur le reste du meuble.
« Inutile de nous mettre tous en danger, j'irai avec Paul et uniquement avec lui, cela fait parti de ses attributions », continua-t-il.
- Le Conseil des Ombres doit approuver ce type d'action… commença le jeune homme blond d'une vingtaine d'années assis juste à sa gauche en bondissant sur ses pieds.
- Je sais très bien ce que doit ou ne doit pas faire le Conseil, Liam, je te rappelle que c'est moi qui l'ai créé, le coupa Jim avec colère. Mais cette information m'a été délivrée personnellement et non au conseil. Je vous en fais juste part par courtoisie, un point c'est tout. (Il se radoucit.) Je sais que tu es inquiet Liam, l'année qui vient de s'écoulé a été dure pour chacun d'entre nous, mais il faut parfois savoir prendre des risques pour obtenir des résultats.
Le jeune homme se rassit, momentanément calmé mais pas moins inquiet, le grincement des pieds de sa chaise raisonnant sur les parois rocheuses de la caverne qui leur servait de camp de base depuis un an maintenant ; caverne qui avaient vu s'affronter Jim et quelques autres à Kamji, le sorcier responsable de la malédiction dont il était victime depuis des années et de la mort de son père, le sorcier responsable de la mise au point du fléau baptisé Or Blanc qui ravageait le monde depuis sa création. Cette drogue issue du sperme de Mike, un jeune homme partiellement transformé en démon Kriss, additionné de l'ADN d'un individu, faisait dudit individu le jouet sexuel du receveur du mélange qui, par la suite, oubliait tout. Sans raison apparente, le produit ne fonctionnait que sur les être humains mâles, ne touchant ni les femmes, ni les démons. Au départ sa diffusion s'était trouvée freinée par son mode d'administration par voie anale, mais rapidement des dérivées administrables par voie orale ou même diffusables par l'air avaient fait leur apparition. Dès lors les victimes s'étaient faites de plus en plus nombreuses et une industrie malsaine s'était peu à peu développée. Des « Agents », comme ils aimaient à se faire appeler, proposait pour des sommes variables de tourner le film de vos rêves mettant en seine les acteurs de votre choix. Rapidement des vidéos étaient apparues sur le net, mettant en jeu des hommes victimes de l'Or Blanc. Si l'un d'eux seulement avait reçu la drogue, il prenait rapidement l'ascendant sur l'autre et le soumettaient à des heures d'actes sexuels, la durée dépendant de la dose reçue, mais si les deux étaient victimes, chacun ayant reçu l'ADN de l'autre, s'engageait un combat furieux à l'issue duquel le vainqueur violait sauvagement le vaincu.
Curieusement, aucune blessure grave n'avait été recensée, mais de l'avis de Jim, ce n'était qu'une question de temps. Les premières vidéos n'avaient mis en scène que des anonymes, des victimes de collègues de travail, de camarades de sport, de fac, ou d'amis malintentionnés. Certains faisaient même administrer leur propre ADN à celui sur lequel il fantasmait en secret depuis des années. Puis rapidement, des personnages plus en vues, des célébrités s'étaient retrouvées victimes à leur tour ; Quoi de plus excitant que de voir vos acteur favoris se livrer à des heures de coïts ininterrompus annonçaient les publicités qui florissaient ça et là. Petit à petit, le monde était tombé dans une décadence où l'Or Blanc permettait de discréditer n'importe quel homme politique en le présentant dans des situations des plus gênantes. Puis les hommes n'osèrent plus sortirent de chez eux de peur de devenir à leur tour des victimes. La psychose gagna bientôt tous les pays à mesure que le fléau se rependait et l'état d'urgence fut décrété un peu partout, restreignant les libertés individuelles et la circulation des informations. Parallèlement, certains démons décidèrent de profiter de la situation chaotique pour sortir de l'ombre et s'en prendre aux humains. Des gouvernements tombèrent, d'autres se muèrent en dictatures et en six mois, plus de deux-milles ans de civilisation se retrouvèrent réduits à néant.
Jim avait observé les évènements, se sentant coupable de n'avoir pu éviter l'apparition de la drogue et, rassemblant autour de lui des personnes de confiance, il avait créé le Conseil des Ombres, une organisation aux multiples objectifs dont le but avoué était la découverte d'un vaccin qui permettrait de protéger la population de l'Or Blanc. Il s'était établi à l'abri des grottes où Kamji avait développé son produit, sécurisant les lieux pour empêcher toute intrusion du sorcier. Dans un premier temps, le conseil s'était formé autour de Thomas, le père de Mike, et Tamos, le démon Kriss, chargés des relations avec le monde démoniaque, d'Olivier et de Nicolas, deux frères, anciennes victimes de Jim, chargés de lui fournir les proies dont il avait besoin pour palier aux effets de la malédiction . Par la suite, d'autres s'étaient joints au petit groupe. Ainsi, Liam, un jeune homme blond aux allures de jeune premier était maintenant chargé des relations du Conseil avec les humains, Peter, un ancien avocat d'une quarantaine d'année gérait les finances du groupe et Paul, un militaire à la retraire et ancienne victime de Jim s'occupait des projets de défense. Par la suite Mike, le fils de Thomas partiellement transformé en démon Kriss, s'était joint au groupe après près de cinq mois passés à traqué Kamji dans le but de l'obliger à lui rendre sa complète humanité. Mais, fait prisonnier par le sorcier, il n'était parvenu à s'échapper qu'avec le concours de Tamara, la fille de Kamji et tous les deux avaient intégré le Conseil. Jim, dans un premier temps, s'était opposé à l'arrivée de Tamara contre laquelle il s'était battu lors de la création de l'Or Blanc - Mike lui demandait, sur sa seule bonne fois, de faire confiance à l'une de ses pires ennemis - mais, bien qu'il la maintienne toujours sous étroite surveillance, il ne pouvait dénigrer l'atout incroyable qu'elle était devenue. Son savoir en sorcellerie aussi bien qu'en médecine ou en génétique en faisait une arme des plus précieuses contre son père devenu, à la grande surprise du détective, son pire ennemi. Elle lui avait également fourni de nombreuses informations sur sn pères, ses caches et sur le fait qu'il s'était venté d'avoir mis au point un antidote à l'Or Blanc mais malheureusement, elle en ignorait la composition. Il soupçonnait l'affection qu'elle portait à Mike être à l'origine de son revirement d'allégeance, mais il ignorait tout des ses réelles motivations, ce qui ne cessait de l'inquiéter. Aujourd'hui, avec Mike, elle gérait le département Recherche et Développement, sans doute la branche la plus importante du Conseil.
Au fil des mois Jim et ses alliés avaient noué des contacts avec les bribes des gouvernements qui persistaient tant bien que mal, collecté des informations, entamé la mise au point d'un vaccin, aidé des groupes de résistance, faisant du Conseil des Ombres le fer de lance de la lutte contre l'Or Blanc.
Jim observa un à un ses collaborateurs. Il en était venu à les considérer comme sa famille et leur inquiétude à son égard l'émouvait autant qu'elle l'énervait. Les informations qu'il tenait du journaliste de l'Observeur faisaient état d'une rencontre entre Kamji et l'un de ses plus gros clients et Jim était bien décidé à faire échouer la transaction… et peu importe le danger encouru.
- Peut-on connaître le lieu de l'échange, intervint Tamara. Je comprends très bien que tu veuilles limiter les risques en y allant avec Paul, mais si tu rencontre des difficultés tu n'auras rien gagné du tout.
Jim hésita un instant puis céda.
- La transaction doit se faire à vingt et une heure ce soir au nord de la ville. Je vous laisserai l'adresse, mais il est hors de question que vous nous accompagniez.
- Si tu ne nous donne pas de nouvelles dans les deux heures nous interviendrons, cela te convient-il ?
- C'est d'accord, acquiesça Jim. (De toute façon, il doutait de réussir à leur faire lâcher prise et Tamara avait raison. S'il ne s'en sortait pas, il n'aurait rien gagné.) Passons maintenant aux affaires courantes. Peter…
- Avec Liam, nous venons de signer deux nouveaux partenariats de recherche avec deux gouvernements. Le dollar semble se maintenir et nous soutenons l'euro du mieux que nous le pouvons avec l'aide des gouvernements locaux. Nous ne pouvons nous permettre de laisser les systèmes monétaires les plus importants péricliter. Nous avons pris contact avec certains de nos agents dans les pays asiatiques et du Moyen-Orient et ils semblent penser qu'il serait temps d'en approcher les principaux dirigeants.
- J'ai toute confiance en vous, faites comme bon vous semble. Tamara, où en sont tes recherches.
- En ce qui concerne le vaccin, nous ne disposons pas de formule stable ; j'ai réalisé plusieurs essais mais rien de probant pour le moment. Si seulement je pouvais réaliser des tests en condition réelles, je…
- Tu connais mon avis sur la question, Tamara, la coupa Jim.
La jeune femme soupira, résignée.
- Oui, et je respecte ton choix mais…
- C'est non… la coupa de nouveau le détective.
- Très bien… très bien. En tous les cas, notre autre projet avance mieux et je pense pouvoir proposer un antidote temporaire à ton état afin de limiter tes… besoins…
- Je me tiens à ta disposition pour les tests quand tu le jugeras nécessaire, lui répondit Jim.
- Merci de me faire confiance.
Jim hocha la tête puis se tourna vers Olivier et Nicolas, les deux frères chargés de lui fournir les hommes permettant de satisfaire ses besoins. Il était de notoriété publique que Jim les maintenait sous son emprise en leur administrant des doses de sperme, mais même si certains jugeai cette pratique des plus douteuse, personne ne trouvait à y redire réellement, surtout que les deux hommes semblaient en redemander.
Olivier, le plus âgé des deux pris la parole.
- Nous avons ce qu'il te faut pour la semaine à venir, en attendant que Tamara te fournisse un antidote.
- Très bien, nous nous verrons après la réunion. Quelqu'un a-t-il autre chose à ajouter ? repris Jim.
Personne ne répondit.
« Très bien, dans ce cas la réunion est terminée, bon courage à tous. Olivier et Nicolas, je vous attends ici dans un quart d'heure. Paul, reste un instant s'il te plait, nous devons planifier l'intervention de ce soir »
Tous se levèrent et sortirent de la pièce, laissant Jim et Paul seuls.
***
Un quart d'heure plus tard, Paul sortait de la salle de réunion et Olivier et Nicolas y entraient, accompagnés d'un jeune homme d'une vingtaine d'année, grand, noir, les épaules larges et le crâne rasé, portant des tatouages témoignant de son appartenance à un gang quelconque, l'un de ceux qui profitait du désordre ambiant pour faire régner la terreur sur la ville. Ses chaînes en or tintaient comme il se débattait, insultant copieusement les deux hommes qui le maintenaient fermement bien que ses mains soient attachées dans son dos par des menottes en métal argenté. Il portait une paire de jean bleus élimés et un débardeur blanc laissant deviner des pectoraux ferme et imberbes.
Olivier et Nicolas le firent pénétrer dans la pièce où les attendait patiemment Jim. Il avait retiré sa chemise et les attendait juste vêtu de son pantalon, les pieds nus sur le sol de roche brute.
- Amené le ici, dit-il aux deux frères.
Les deux hommes s'exécutèrent et maintinrent fermement le jeune noir debout devant le détective.
- D'où le tenez-vous celui là ? Comment s'appelle-t-il ?
- Il fait parti du de la bande que nous avons arrêté à l'aide de Paul et de ses hommes, alors qu'ils tentaient de s'en prendre à des familles réfugiés dans un immeuble désaffecté. Celui-ci, Roméo, je crois qu'il s'appelle, s'apprêtait à agresser une jeune fille appartenant à une famille qui refusait de payer un… comment disent-ils déjà… droit de protection.
Jim saisit brutalement l'entre-jambe du jeune noir de sa main droite et serra. L'autre serra les dents mais ne cria pas.
- Alors comme ça Roméo, on aime les jeunes filles non consentantes… (Il se tourna vers Olivier et son frère). Il ne s'est jamais fait sodomisé, j'espère, leur demanda-t-il.
- Quoi…qu…, commença le noir. Je suis pas PD moi, bande de bâtards. Si je vous choppe je vais vous le faire regretter, je…
Son laïus s'arrêta brusquement, interrompu par la gifle magistrale que venait de lui asséner Jim.
- Je pense que j'ai ma réponse, dit Jim, calmement. De toute façon, tu te comporteras comme tous les autres, tu en redemanderas…
Il fit signe à Olivier et Nicolas de le positionner sur la table. Ces dernier le saisirent par les épaules et le plaquèrent face contre le plateau de bois, pliés en deux, les pieds au sol. Jim se plaça derrière lui et fit glisser ses mains jusqu'au bouton du jean qu'il dégrafa sans problème. L'autre se cabra mais, fermement maintenu par les deux frères, ne parvint qu'à s'épuiser davantage. Jim fit glisser le pantalon le long des cuisses nerveuses de sa victime qui tremblait maintenant de peur et d'anticipation, révélant un boxer blanc immaculé qui suivit le même chemin. Le détective enfonça un doigt enduit de salive entre les fesses imberbes du noir qui alternait maintenant entre insultes et supplications, promettant monts et merveilles pour échapper à son sort. A son tour Jim défit sa ceinture et son pantalon glissa bientôt à ses pieds. Son sexe, déjà dur, suintait de précum, trempant son ample caleçon à carreaux. Glissant sa main à l'intérieur du vêtement tendu, il en ressortit son énorme chibre et essuya le précum sur le débardeur blanc de Roméo.
- Après ce que tu as fait, tu mérite de souffrir un peu… je veux que tu te souviennes de ce qu'il en coute de vouloir t'en prendre aux plus faibles que toi… Tenez-le bien, dit-il à l'attention de ses deux acolytes.
Il posa les mains sur les hanches fines, ses mains blanches contrastant avec la peau noire et positionna son gland tendu à l'entrée du trou serré puis poussa. L'anus vierge se rebella, refusant l'entrée du membre massif.
- Putain… mais arrêter ! Vous allez me déchirer le cul ! gueula le noir.
- Pousse si tu veux moins souffrir et détend toi ! répliqua Jim en augmentant la pression déjà trop forte.
Le noir serrait les dents, les larmes aux yeux, tentant d'empêcher l'intrusion. Mais rien n'y fit et bientôt, il sentit le morceau de chair massif se frayer un chemin dans ses entrailles. Il poussa pour essayer de chasser le membre, mais ne parvint qu'à en faciliter l'entrée et bientôt Jim réussit à s'enfoncer de moitié dans l'étroit conduit. Il s'arrêta un instant et fit mine de se retirer afin que l'autre se détende mais sitôt qu'il sentit le soulagement l'envahir, il le saisit fermement par les hanche et l'empala complètement sur l'énorme verge. Le noir ouvrit grand la bouche mais aucun son n'en sortit. Les yeux exorbités, il tentait de reprendre ses esprits autant que sa respiration. Rien ne l'avait préparé à la douleur qu'il ressentait à présent, encore accentué par le pilonnage en règle qu'il commençait à subir. Jim, toujours fermement accrochés aux hanches du jeune noir faisait coulisser son membre sans discontinuer, prenant malgré lui plaisir à sentir la chaleur du corps offert enserrer son sexe. il accéléra le rythme encore et encore, propulsant sa victime contre le plateau de bois de la table. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, il fit pivoter Roméo, le retournant sur le dos, ses cuisses positionnés sur les épaules du détective. Son visage n'exprimait plus de douleur, mais ses joues rougies, sa respiration saccadée et le sourire extatique qui étirait ses lèvre témoignaient de l'effet des sécrétions du liquide qui s'écoulait du chibre plongé en lui. Son sexe était maintenant dur comme du marbre et se dressait fièrement vers le détective, laissant s'écouler un liquide clair et muqueux.
Dans un dernier effort Jim accéléra le rythme puis s'immobilisa au fond des entrailles qu'il occupait et s'y libéra, stimulant du même coup le jeune noir. Voyant les muscles abdominaux du ventre plat de sa victime commencer à se contracter rythmiquement, le détective se retira rapidement et eut juste le temps de prendre en bouche le membre dressé et de le caller bien au fond de sa gorge avant de recevoir de longue et épaisse giclées de sperme chaud. Il pompa Roméo plusieurs minutes encore , afin d'extirper jusqu'à la dernière goutte du liquide amer et sucré, lui déclenchant deux nouvelles éjaculations, lui vidant complètement les testicules. Enfin, rassasié, il se redressa et observa le jeune homme à demi-conscient qui lui faisait face, n'éprouvant, pour la première fois depuis bien longtemps, aucun remord pour ce qu'il venait de faire subir. Dans ce nouveau monde contre lequel il luttait, la loi du plus fort s'appliquait et Roméo et les siens allaient devoir rapidement comprendre que le Conseil ne les laisserait pas faire régner la terreur.
- Ramenez-le comme ça et à poils, dans la cellule avec les autres. Je veux qu'ils le voient dans cet état et qu'ils prennent conscience de ce qui les attend. Je veux qu'ils puissent voir le sperme s'écouler de ses fesses et qu'ils comprennent qu'il y a pris du plaisir. Je doute qu'ils apprécient ceux qui aiment se faire enculer…
Le Conseil des Ombres
- C'est hors de question ! s'exclama Jim Anderson.
Il se tenait assis à l'extrémité d'une grande table de bois ovale de cinq mètre de long dont les beaux jours avaient disparu depuis bien longtemps. Neuf individus se répartissaient de chaque coté, équitablement, sur le reste du meuble.
« Inutile de nous mettre tous en danger, j'irai avec Paul et uniquement avec lui, cela fait parti de ses attributions », continua-t-il.
- Le Conseil des Ombres doit approuver ce type d'action… commença le jeune homme blond d'une vingtaine d'années assis juste à sa gauche en bondissant sur ses pieds.
- Je sais très bien ce que doit ou ne doit pas faire le Conseil, Liam, je te rappelle que c'est moi qui l'ai créé, le coupa Jim avec colère. Mais cette information m'a été délivrée personnellement et non au conseil. Je vous en fais juste part par courtoisie, un point c'est tout. (Il se radoucit.) Je sais que tu es inquiet Liam, l'année qui vient de s'écoulé a été dure pour chacun d'entre nous, mais il faut parfois savoir prendre des risques pour obtenir des résultats.
Le jeune homme se rassit, momentanément calmé mais pas moins inquiet, le grincement des pieds de sa chaise raisonnant sur les parois rocheuses de la caverne qui leur servait de camp de base depuis un an maintenant ; caverne qui avaient vu s'affronter Jim et quelques autres à Kamji, le sorcier responsable de la malédiction dont il était victime depuis des années et de la mort de son père, le sorcier responsable de la mise au point du fléau baptisé Or Blanc qui ravageait le monde depuis sa création. Cette drogue issue du sperme de Mike, un jeune homme partiellement transformé en démon Kriss, additionné de l'ADN d'un individu, faisait dudit individu le jouet sexuel du receveur du mélange qui, par la suite, oubliait tout. Sans raison apparente, le produit ne fonctionnait que sur les être humains mâles, ne touchant ni les femmes, ni les démons. Au départ sa diffusion s'était trouvée freinée par son mode d'administration par voie anale, mais rapidement des dérivées administrables par voie orale ou même diffusables par l'air avaient fait leur apparition. Dès lors les victimes s'étaient faites de plus en plus nombreuses et une industrie malsaine s'était peu à peu développée. Des « Agents », comme ils aimaient à se faire appeler, proposait pour des sommes variables de tourner le film de vos rêves mettant en seine les acteurs de votre choix. Rapidement des vidéos étaient apparues sur le net, mettant en jeu des hommes victimes de l'Or Blanc. Si l'un d'eux seulement avait reçu la drogue, il prenait rapidement l'ascendant sur l'autre et le soumettaient à des heures d'actes sexuels, la durée dépendant de la dose reçue, mais si les deux étaient victimes, chacun ayant reçu l'ADN de l'autre, s'engageait un combat furieux à l'issue duquel le vainqueur violait sauvagement le vaincu.
Curieusement, aucune blessure grave n'avait été recensée, mais de l'avis de Jim, ce n'était qu'une question de temps. Les premières vidéos n'avaient mis en scène que des anonymes, des victimes de collègues de travail, de camarades de sport, de fac, ou d'amis malintentionnés. Certains faisaient même administrer leur propre ADN à celui sur lequel il fantasmait en secret depuis des années. Puis rapidement, des personnages plus en vues, des célébrités s'étaient retrouvées victimes à leur tour ; Quoi de plus excitant que de voir vos acteur favoris se livrer à des heures de coïts ininterrompus annonçaient les publicités qui florissaient ça et là. Petit à petit, le monde était tombé dans une décadence où l'Or Blanc permettait de discréditer n'importe quel homme politique en le présentant dans des situations des plus gênantes. Puis les hommes n'osèrent plus sortirent de chez eux de peur de devenir à leur tour des victimes. La psychose gagna bientôt tous les pays à mesure que le fléau se rependait et l'état d'urgence fut décrété un peu partout, restreignant les libertés individuelles et la circulation des informations. Parallèlement, certains démons décidèrent de profiter de la situation chaotique pour sortir de l'ombre et s'en prendre aux humains. Des gouvernements tombèrent, d'autres se muèrent en dictatures et en six mois, plus de deux-milles ans de civilisation se retrouvèrent réduits à néant.
Jim avait observé les évènements, se sentant coupable de n'avoir pu éviter l'apparition de la drogue et, rassemblant autour de lui des personnes de confiance, il avait créé le Conseil des Ombres, une organisation aux multiples objectifs dont le but avoué était la découverte d'un vaccin qui permettrait de protéger la population de l'Or Blanc. Il s'était établi à l'abri des grottes où Kamji avait développé son produit, sécurisant les lieux pour empêcher toute intrusion du sorcier. Dans un premier temps, le conseil s'était formé autour de Thomas, le père de Mike, et Tamos, le démon Kriss, chargés des relations avec le monde démoniaque, d'Olivier et de Nicolas, deux frères, anciennes victimes de Jim, chargés de lui fournir les proies dont il avait besoin pour palier aux effets de la malédiction . Par la suite, d'autres s'étaient joints au petit groupe. Ainsi, Liam, un jeune homme blond aux allures de jeune premier était maintenant chargé des relations du Conseil avec les humains, Peter, un ancien avocat d'une quarantaine d'année gérait les finances du groupe et Paul, un militaire à la retraire et ancienne victime de Jim s'occupait des projets de défense. Par la suite Mike, le fils de Thomas partiellement transformé en démon Kriss, s'était joint au groupe après près de cinq mois passés à traqué Kamji dans le but de l'obliger à lui rendre sa complète humanité. Mais, fait prisonnier par le sorcier, il n'était parvenu à s'échapper qu'avec le concours de Tamara, la fille de Kamji et tous les deux avaient intégré le Conseil. Jim, dans un premier temps, s'était opposé à l'arrivée de Tamara contre laquelle il s'était battu lors de la création de l'Or Blanc - Mike lui demandait, sur sa seule bonne fois, de faire confiance à l'une de ses pires ennemis - mais, bien qu'il la maintienne toujours sous étroite surveillance, il ne pouvait dénigrer l'atout incroyable qu'elle était devenue. Son savoir en sorcellerie aussi bien qu'en médecine ou en génétique en faisait une arme des plus précieuses contre son père devenu, à la grande surprise du détective, son pire ennemi. Elle lui avait également fourni de nombreuses informations sur sn pères, ses caches et sur le fait qu'il s'était venté d'avoir mis au point un antidote à l'Or Blanc mais malheureusement, elle en ignorait la composition. Il soupçonnait l'affection qu'elle portait à Mike être à l'origine de son revirement d'allégeance, mais il ignorait tout des ses réelles motivations, ce qui ne cessait de l'inquiéter. Aujourd'hui, avec Mike, elle gérait le département Recherche et Développement, sans doute la branche la plus importante du Conseil.
Au fil des mois Jim et ses alliés avaient noué des contacts avec les bribes des gouvernements qui persistaient tant bien que mal, collecté des informations, entamé la mise au point d'un vaccin, aidé des groupes de résistance, faisant du Conseil des Ombres le fer de lance de la lutte contre l'Or Blanc.
Jim observa un à un ses collaborateurs. Il en était venu à les considérer comme sa famille et leur inquiétude à son égard l'émouvait autant qu'elle l'énervait. Les informations qu'il tenait du journaliste de l'Observeur faisaient état d'une rencontre entre Kamji et l'un de ses plus gros clients et Jim était bien décidé à faire échouer la transaction… et peu importe le danger encouru.
- Peut-on connaître le lieu de l'échange, intervint Tamara. Je comprends très bien que tu veuilles limiter les risques en y allant avec Paul, mais si tu rencontre des difficultés tu n'auras rien gagné du tout.
Jim hésita un instant puis céda.
- La transaction doit se faire à vingt et une heure ce soir au nord de la ville. Je vous laisserai l'adresse, mais il est hors de question que vous nous accompagniez.
- Si tu ne nous donne pas de nouvelles dans les deux heures nous interviendrons, cela te convient-il ?
- C'est d'accord, acquiesça Jim. (De toute façon, il doutait de réussir à leur faire lâcher prise et Tamara avait raison. S'il ne s'en sortait pas, il n'aurait rien gagné.) Passons maintenant aux affaires courantes. Peter…
- Avec Liam, nous venons de signer deux nouveaux partenariats de recherche avec deux gouvernements. Le dollar semble se maintenir et nous soutenons l'euro du mieux que nous le pouvons avec l'aide des gouvernements locaux. Nous ne pouvons nous permettre de laisser les systèmes monétaires les plus importants péricliter. Nous avons pris contact avec certains de nos agents dans les pays asiatiques et du Moyen-Orient et ils semblent penser qu'il serait temps d'en approcher les principaux dirigeants.
- J'ai toute confiance en vous, faites comme bon vous semble. Tamara, où en sont tes recherches.
- En ce qui concerne le vaccin, nous ne disposons pas de formule stable ; j'ai réalisé plusieurs essais mais rien de probant pour le moment. Si seulement je pouvais réaliser des tests en condition réelles, je…
- Tu connais mon avis sur la question, Tamara, la coupa Jim.
La jeune femme soupira, résignée.
- Oui, et je respecte ton choix mais…
- C'est non… la coupa de nouveau le détective.
- Très bien… très bien. En tous les cas, notre autre projet avance mieux et je pense pouvoir proposer un antidote temporaire à ton état afin de limiter tes… besoins…
- Je me tiens à ta disposition pour les tests quand tu le jugeras nécessaire, lui répondit Jim.
- Merci de me faire confiance.
Jim hocha la tête puis se tourna vers Olivier et Nicolas, les deux frères chargés de lui fournir les hommes permettant de satisfaire ses besoins. Il était de notoriété publique que Jim les maintenait sous son emprise en leur administrant des doses de sperme, mais même si certains jugeai cette pratique des plus douteuse, personne ne trouvait à y redire réellement, surtout que les deux hommes semblaient en redemander.
Olivier, le plus âgé des deux pris la parole.
- Nous avons ce qu'il te faut pour la semaine à venir, en attendant que Tamara te fournisse un antidote.
- Très bien, nous nous verrons après la réunion. Quelqu'un a-t-il autre chose à ajouter ? repris Jim.
Personne ne répondit.
« Très bien, dans ce cas la réunion est terminée, bon courage à tous. Olivier et Nicolas, je vous attends ici dans un quart d'heure. Paul, reste un instant s'il te plait, nous devons planifier l'intervention de ce soir »
Tous se levèrent et sortirent de la pièce, laissant Jim et Paul seuls.
***
Un quart d'heure plus tard, Paul sortait de la salle de réunion et Olivier et Nicolas y entraient, accompagnés d'un jeune homme d'une vingtaine d'année, grand, noir, les épaules larges et le crâne rasé, portant des tatouages témoignant de son appartenance à un gang quelconque, l'un de ceux qui profitait du désordre ambiant pour faire régner la terreur sur la ville. Ses chaînes en or tintaient comme il se débattait, insultant copieusement les deux hommes qui le maintenaient fermement bien que ses mains soient attachées dans son dos par des menottes en métal argenté. Il portait une paire de jean bleus élimés et un débardeur blanc laissant deviner des pectoraux ferme et imberbes.
Olivier et Nicolas le firent pénétrer dans la pièce où les attendait patiemment Jim. Il avait retiré sa chemise et les attendait juste vêtu de son pantalon, les pieds nus sur le sol de roche brute.
- Amené le ici, dit-il aux deux frères.
Les deux hommes s'exécutèrent et maintinrent fermement le jeune noir debout devant le détective.
- D'où le tenez-vous celui là ? Comment s'appelle-t-il ?
- Il fait parti du de la bande que nous avons arrêté à l'aide de Paul et de ses hommes, alors qu'ils tentaient de s'en prendre à des familles réfugiés dans un immeuble désaffecté. Celui-ci, Roméo, je crois qu'il s'appelle, s'apprêtait à agresser une jeune fille appartenant à une famille qui refusait de payer un… comment disent-ils déjà… droit de protection.
Jim saisit brutalement l'entre-jambe du jeune noir de sa main droite et serra. L'autre serra les dents mais ne cria pas.
- Alors comme ça Roméo, on aime les jeunes filles non consentantes… (Il se tourna vers Olivier et son frère). Il ne s'est jamais fait sodomisé, j'espère, leur demanda-t-il.
- Quoi…qu…, commença le noir. Je suis pas PD moi, bande de bâtards. Si je vous choppe je vais vous le faire regretter, je…
Son laïus s'arrêta brusquement, interrompu par la gifle magistrale que venait de lui asséner Jim.
- Je pense que j'ai ma réponse, dit Jim, calmement. De toute façon, tu te comporteras comme tous les autres, tu en redemanderas…
Il fit signe à Olivier et Nicolas de le positionner sur la table. Ces dernier le saisirent par les épaules et le plaquèrent face contre le plateau de bois, pliés en deux, les pieds au sol. Jim se plaça derrière lui et fit glisser ses mains jusqu'au bouton du jean qu'il dégrafa sans problème. L'autre se cabra mais, fermement maintenu par les deux frères, ne parvint qu'à s'épuiser davantage. Jim fit glisser le pantalon le long des cuisses nerveuses de sa victime qui tremblait maintenant de peur et d'anticipation, révélant un boxer blanc immaculé qui suivit le même chemin. Le détective enfonça un doigt enduit de salive entre les fesses imberbes du noir qui alternait maintenant entre insultes et supplications, promettant monts et merveilles pour échapper à son sort. A son tour Jim défit sa ceinture et son pantalon glissa bientôt à ses pieds. Son sexe, déjà dur, suintait de précum, trempant son ample caleçon à carreaux. Glissant sa main à l'intérieur du vêtement tendu, il en ressortit son énorme chibre et essuya le précum sur le débardeur blanc de Roméo.
- Après ce que tu as fait, tu mérite de souffrir un peu… je veux que tu te souviennes de ce qu'il en coute de vouloir t'en prendre aux plus faibles que toi… Tenez-le bien, dit-il à l'attention de ses deux acolytes.
Il posa les mains sur les hanches fines, ses mains blanches contrastant avec la peau noire et positionna son gland tendu à l'entrée du trou serré puis poussa. L'anus vierge se rebella, refusant l'entrée du membre massif.
- Putain… mais arrêter ! Vous allez me déchirer le cul ! gueula le noir.
- Pousse si tu veux moins souffrir et détend toi ! répliqua Jim en augmentant la pression déjà trop forte.
Le noir serrait les dents, les larmes aux yeux, tentant d'empêcher l'intrusion. Mais rien n'y fit et bientôt, il sentit le morceau de chair massif se frayer un chemin dans ses entrailles. Il poussa pour essayer de chasser le membre, mais ne parvint qu'à en faciliter l'entrée et bientôt Jim réussit à s'enfoncer de moitié dans l'étroit conduit. Il s'arrêta un instant et fit mine de se retirer afin que l'autre se détende mais sitôt qu'il sentit le soulagement l'envahir, il le saisit fermement par les hanche et l'empala complètement sur l'énorme verge. Le noir ouvrit grand la bouche mais aucun son n'en sortit. Les yeux exorbités, il tentait de reprendre ses esprits autant que sa respiration. Rien ne l'avait préparé à la douleur qu'il ressentait à présent, encore accentué par le pilonnage en règle qu'il commençait à subir. Jim, toujours fermement accrochés aux hanches du jeune noir faisait coulisser son membre sans discontinuer, prenant malgré lui plaisir à sentir la chaleur du corps offert enserrer son sexe. il accéléra le rythme encore et encore, propulsant sa victime contre le plateau de bois de la table. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, il fit pivoter Roméo, le retournant sur le dos, ses cuisses positionnés sur les épaules du détective. Son visage n'exprimait plus de douleur, mais ses joues rougies, sa respiration saccadée et le sourire extatique qui étirait ses lèvre témoignaient de l'effet des sécrétions du liquide qui s'écoulait du chibre plongé en lui. Son sexe était maintenant dur comme du marbre et se dressait fièrement vers le détective, laissant s'écouler un liquide clair et muqueux.
Dans un dernier effort Jim accéléra le rythme puis s'immobilisa au fond des entrailles qu'il occupait et s'y libéra, stimulant du même coup le jeune noir. Voyant les muscles abdominaux du ventre plat de sa victime commencer à se contracter rythmiquement, le détective se retira rapidement et eut juste le temps de prendre en bouche le membre dressé et de le caller bien au fond de sa gorge avant de recevoir de longue et épaisse giclées de sperme chaud. Il pompa Roméo plusieurs minutes encore , afin d'extirper jusqu'à la dernière goutte du liquide amer et sucré, lui déclenchant deux nouvelles éjaculations, lui vidant complètement les testicules. Enfin, rassasié, il se redressa et observa le jeune homme à demi-conscient qui lui faisait face, n'éprouvant, pour la première fois depuis bien longtemps, aucun remord pour ce qu'il venait de faire subir. Dans ce nouveau monde contre lequel il luttait, la loi du plus fort s'appliquait et Roméo et les siens allaient devoir rapidement comprendre que le Conseil ne les laisserait pas faire régner la terreur.
- Ramenez-le comme ça et à poils, dans la cellule avec les autres. Je veux qu'ils le voient dans cet état et qu'ils prennent conscience de ce qui les attend. Je veux qu'ils puissent voir le sperme s'écouler de ses fesses et qu'ils comprennent qu'il y a pris du plaisir. Je doute qu'ils apprécient ceux qui aiment se faire enculer…
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