23-12-2024, 03:09 PM
Chapitre 1
Les locaux de l'Observeur, le fameux journal du monde démoniaque, n'avaient pas bougés depuis leur création des centaines d'années auparavant. Enfouis profondément sous terre, leurs bureaux faisaient parti des zones les mieux protégées du monde démoniaque. Mais si son emplacement n'avait pas changé, sa formule elle ne ressemblait plus en rien au bulletin d'une page publié à l'origine. D'abord mensuel puis hebdomadaire, sa parution était maintenant quotidienne et s'étalait une vingtaine de page en papier recyclé. Ce détail, mis en avant par la rédaction, avait toujours amusé Jim. Comme quoi chez les démons aussi, il y avait des écologistes.
Le détective progressait au travers d'un large couloir creusé à même la roche, foulant d'un pas vif le sol recouvert d'une fine couche de sable. Son informateur, un journaliste du journal, lui avait donné rendez-vous au siège du périodique, un lieu des plus protégé où seuls quelques élus étaient acceptés. Surpris par cette invitation, Jim avait cependant accepté de se rendre sur place compte-tenu de l'information promise, l'emplacement de l'une des planques de Kamji en ville, mais il était également curieux de découvrir un lieu si mythique.
L'endroit dans lequel il se déplaçait avait des allures de grotte et des torches accrochées aux parois diffusaient une lueur orangée, allongeant démesurément les ombres des occupants. A l'extrémité du corridor une gigantesque double porte de bois sombre bloquait totalement le passage. Un linteau de marbre surmontait l'encadrement fait du même matériau. Au-dessus, un tympan soutenait un bas-relief sculpté représentant des scènes de copulation entre des démons ailés et cornus et des êtres humains terrifiés. Gravés dans le cadre et le linteau et recouvertes de feuilles d'or, des runes de protection empêchaient quiconque de pénétrer dans le lieu s'il n'y avait pas été invité. Leur puissance était légendaire et détruisait à coup sûr tout intrus qui les aurait approchées à moins de quelques mètres. Heureusement pour Jim, il était attendu et son contact au journal semblait avoir fait le nécessaire pour lui permettre d'entrer. Il s'arrêta devant l'imposante porte et du saisir à deux mains le heurtoir de bronze afin de le faire claquer.
Les portes s'ouvrirent brusquement sur une vaste pièce envahie de lumière où tout ne semblait que marbre et dorures. Au plafond, des voutes en ogive, typique du style gothique, répartissaient le poids de l'ouvrage sur des rangées de colonnes ouvragées. Jim avança, ses pas raisonnant dans le vaste espace complètement vide. Au fond, il distingua un portique de pierre qui semblait donner sur le néant. Il s'en approcha avec précaution, examinant son centre où l'obscurité semblait régner puis brusquement, sans qu'il ne puisse rien y faire, il se retrouva happé. Un bref instant se sentit jaugé, examiné, comme si des mains invisibles le fouillaient sans aucune pudeur. Ses vêtements semblaient avoir disparu et la fouille se fit plus profonde, des doigts invisibles s'enfonçant profondément en lui, fouillant son inimité. Et aussi brusquement qu'il y était entré, il fut expulsé du néant, projeté à travers un portique similaire à celui qu'il avait emprunté.
Sonné, il se retrouva à quatre pattes sur une épaisse moquette rouge, les yeux baissés sur une paire de mocassins noirs.
- Toujours aussi ponctuel mon cher Jim, entendit-il prononcer.
Il leva les yeux vers un homme en costume sombre, très élégant. Brun aux cheveux courts, les épaules larges et le ventre plat, il ne paraissait guère avoir plus d'une quarantaine d'année. Mais bien que Jim ignore son âge exact, il savait que le démon qui se tenait devant lui avait largement dépassé son centième anniversaire.
- Bonjour Gustave, tu sais bien que je ne peux pas te résister, réplica-t-il, pince-sans-rire.
Un léger sourire passa sur les lèvres du démon que rien ne semblait différencier d'un humain ordinaire.
- Je vois que tu t'es habillé pour me plaire Jimmy, dit-il en l'examinant de la tête aux pieds alors qu'il se relevait. Le détective avait revêtu son seul costume, un pantalon et une veste beige clair sur une chemise blanche rehaussée par une cravate noire. Il savait le journaliste attiré par les hommes et plus prompt à la confidence face à un interlocuteur qui lui plaisait. Mais il connaissait aussi les travers du démon et son besoin vital de se nourrir d'énergie sexuelle qu'il captait en jouant les voyeurs. Le détective savait en venant qu'il en serait quitte pour une séance de masturbation. L'autre le regarderait faire et capterait les ondes de jouissance libérées. Il espérait juste ne pas tâcher son costume lorsqu'il se livrerait à ce petit plaisir solitaire.
- Tu as dit que tu disposais d'informations sur l'endroit où se trouve le sorcier Kamji, attaqua-t-il directement.
- Jimmy… Jimmy… ne soit donc pas si pressé. Nous avons tout notre temps. Viens donc t'asseoir un peu, après tout ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu…
Jim embrassa la vaste pièce du regard. Il avait atterri directement dans le bureau de son informateur. Le sol, recouvert d'une épaisse moquette rouge, contrastait avec la blancheur des mûrs. Bien que sans réelle délimitation, l'endroit possédait deux espaces bien distincts. Devant lui, un grand bureau d'angle de verre et de métal occupait le tiers gauche de l'espace. A l'opposé, deux confortables fauteuils de cuirs entouraient une table basse renfermant un bar que Jim imaginait bien garni. Au mur, des livres traitant de sujets divers et variés s'empilaient sur de multiples rayonnages.
Le détective suivit le démon vers le salon et à l'instar de son hôte, s'assit dans l'un des fauteuils de cuir.
- Je te sers un verre Jimmy ?
- Pourquoi pas, répondit-il.
- Whisky ?
- Single malt ?
Le démon sourit.
- Je sais faire plaisir à mes invités…
Jim dégusta la boisson pendant un instant puis décida de revenir à la charge.
- En ce qui concerne notre affaire…
- Toujours aussi impatient à ce que je vois… soupira l'autre. Soit, mais tu sais que l'on n'a jamais rien, sans rien, de nos jours…
- Je m'en doute, répondit Jim avec ironie. Comme d'habitude je suppose, poursuivit-il en écartant un peu les jambes, posant sa main droite sur son entre-jambe et commençant à se caresser.
- Cette information vaut bien plus d'énergie sexuelle que ce que tu me proposes là.
Jim déglutit péniblement, il aurait du s'en douter. Les démons étaient d'un naturel pervers et ceux qui aimaient les hommes, l'étaient encore plus.
- Quel est ton prix, demanda Jim résigné.
Copuler avec ce démon le dégoutait. D'une part parce qu'il s'agissait justement d'un démon et d'autre part parce qu'il ressemblait trait pour trait à un humain de sexe mâle. La malédiction dont il était victime depuis des années l'obligeant déjà à des relations sexuelles avec des hommes et des démons de diverses espèces, il aurait préféré ne pas avoir à remettre le couvert aujourd'hui.
- Figure-toi, Jimmy, que je me suis récemment aperçu de quelque chose. He oui, c'est idiot, malgré mon âge, j'arrive encore à apprendre de nouvelles choses sur mon état. Il semble que certaines relations sexuelles fournissent plus d'énergie que d'autres… lorsque le sexe se mélange aux regrets, à l'animalité, à la douleur et au dégoût, l'énergie est des plus puissantes.
- … et tu souhaites donc que je te résiste alors que tu essaieras de me baiser… le coupa Jim atterré.
- Pas tout à fait…
Brusquement Jim vit le portique par lequel il était entré s'activer et deux hommes en sortir, l'un jeune adulte et l'autre plus âgé. Brun aux cheveux courts, les yeux bleus, ils semblaient avoir un air de famille prononcé. Le plus âgé devait avoir la petite quarantaine et portait un costume sombre et une chemise blanche qui laissait deviner un torse musclé. Le plus jeune devait avoir tout juste vingt ans. Vêtu d'un jean délavé et d'une chemise à carreau, il se tenait en retrait derrière son ainé qui semblait faire rempart de son corps.
« Je te présente Marc et son fils Antoine, continua le démon en indiquant les deux hommes. Vois-tu Antoine a récemment eu quelques déboire avec certaines espèces démoniaques et il se trouve qu'il s'est fait fécondé par un démon Frog… »
Les démons Frog, pour ce que Jim en savais tiraient leur nom de leur peau verte et de leur apparence de batracien, quant à leur mode de reproduction, il n'en savait absolument rien.
- Et en quoi cela me concerne-t-il, dit Jim.
D'un signe de tête, Gustave indiqua aux deux hommes de venir les rejoindre.
- Et bien, il se trouve qu'il est très difficile d'extraire un embryon de Frog, une fois implanté dans l'estomac de sa victime la seule manière de la détruite est de l'enduire d'un sperme aux propriétés particulière, comme le tiens…
- Oui… je commence à comprendre, repris le détective, mais je ne vois pas en quoi ça va pouvoir t'aider. Tu sais que mes « victimes » sont toujours consentantes…
- En fait, ce n'est pas toi qui me fourniras ce dont j'ai besoin… mais voilà le marché. Marc, ici présent, grand hétéro devant l'éternel, est venu me voir pour aider son fils. Je te passe les détails du pourquoi du comment qui ne présente aucun intérêt. Toujours est-il qu'il accepte de « s'occuper » de son fils si toi, en échange tu le débarrasse de la chose qu'il a dans l'estomac.
- Et pourquoi est-ce que j'accepterais ?
- Mais pour les informations que je peux te fournir, bien sûr !... suit un peu s'il te plait.
- Et toi tu récupères l'énergie d'une relation entre hétéro. T'es vraiment tordu…
- Oui, merci. Alors que penses-tu de mon plan.
- Je n'ai pas le choix à priori…
- Le choix… voilà une notion intéressante à propos de laquelle nous pourrions débattre pendant des heures que nous n'avons justement pas ; alors c'est oui ou c'est non ?
Jim regarda le jeune homme et son père. Tous les deux avaient les yeux baissés sur le sol, totalement soumis.
- Très bien j'accepte.
- A la bonne heure !
Le journaliste se leva de son fauteuil et l'indiqua aux deux hommes alors qu'il s'assit sur l'accoudoir de celui de Jim.
« Messieurs, je vous laisse procéder. »
Les deux hommes se regardèrent gênés, puis le père commença à se déshabiller. Sa veste glissa a terre puis il commença à déboutonner sa chemise, dévoilant peut à peut son torse massif et poilu.
« Allez Antoine, aide donc un peu ton père. »
Le jeune homme vint se placer devant son ainé et déboucla sa ceinture de cuir puis défit le bouton du pantalon noir et fit glisser la fermeture de la braguette. Le tissu fin glissa eu pied de Marc dévoilant un boxer blanc immaculé au centre duquel une impressionnante proéminence laissait présager un sexe massif bien qu'au repos. L'homme défit les boutons de la chemise de son fils et en écarta les pans. Le torse du jeune homme apparut, finement musclé et totalement imberbe, puis son jean fut rapidement déboutonné et retiré.
Marc entraîna son fils toujours vêtu de son boxer vers le fauteuil laissé libre pat Gustave et lui fit placer les mains sur les accoudoirs. Le jeune homme se retrouva plié en deux, les fesses bien cambrées vers son géniteur. Marc fit glisser le sous-vêtement blanc d'Antoine jusqu'à ses chevilles puis entreprit de caresser la rosette offerte, cherchant à la préparer tout en sortant son sexe mou de l'autre main.
Jim observait la scène depuis son fauteuil. Il voyait les deux hommes de profil, le fils grimaçant sous les assauts des doigts épais de son père qui, de son côté, essayait de bander en se masturbant vigoureusement. A ses côté, Gustave souriait, se gavant de l'énergie qui commençait à émaner des deux hommes. Jim reporta son regard vers les deux victimes. L'aîné, les yeux fermés, continuait de stimuler son membre qui peinait à durcir, essayant sûrement de se remémorer une situation excitante capable de l'y aider. Peu à peu le chibre grossit puis se durcit, atteignant des proportions plus qu'honorables pour un humain. Gustave lui lança un lacet qu'il venait de récupérer sur l'une des chaussures de sport du jeune et le lança à Marc.
- Attache la fermement, je ne voudrais pas qu'elle retombe pendant l'action.
L'homme saisit le lacet et le noua à la base de son sexe, faisant encore davantage ressortir les veines gonflées du membre ; puis il plaça son gland violacé contre la rondelle serré d'Antoine et commença à pousser. Le jeune homme cria sous l'assaut, essayant d'avancer pour échapper à l'invasion, mais Marc le maintint fermement par les hanches. Le jeune homme serra les dents, s'obligeant à détendre son anus serré pour permettre l'entrée de son géniteur qui, honteux continuait la difficile pénétration, avançant centimètre par centimètre son chibre massif. Arc-bouté sur les fesses de son fils, Marc parvint à entrer l'intégralité de son membre, s'excusant à chaque instant auprès de don fils, puis il entama un va-et-vient ample sur toute sa longueur. Antoine supportait bravement l'épreuve mais ne pouvait s'empêcher de crier de temps à autre, surtout lorsque son père commença à accélérer le rythme, poussant des grognements à chaque nouvelle pénétration. Les yeux clos, Marc haletait; une rougeur diffuse, témoin de son plaisir, se rependant sur son visage.
- Ouvre les yeux ! lui intima Gustave. Tu n'es pas là pour prendre du plaisir !
L'homme s'exécuta, mais même l'étrangeté de la situation ne parvint pas à faire retomber son excitation et il ne tarda pas libérer son sperme dans les entrailles de son fils, s'effondrant sur lui de tout son poids, le faisant s'écrouler sur le fauteuil vide.
Pendant un instant, les deux hommes restèrent immobiles, Marc haletant et Antoine sanglotant, puis le père se releva et se tourna vers Gustave, le dégout inscrit sur le visage.
- Tu as eu ce que tu voulais démon, maintenant aide mon fils !
Gustave tiqua.
- En fait non. Tu n'as pas pu t'empêcher de prendre du plaisir, je l'ai senti ; l'énergie que vous avez produit n'était pas aussi intense que je l'aurais souhaité !
- Ce n'est pas vrai s'indigna l'homme ! Comment oses-tu…
- Mais j'ose… j'ose… mon cher, le coupa Gustave, et tu ferais bien de me montrer un peu de respect. Après tout, c'est toi qui es venu me réclamer mon aide, toi qui m'as supplié de venir au secours de ton fils !
Marc, rageur, ne répondit pas, serrant les dents pour ne pas commettre l'irréparable. Il avait besoin du démon, il le savait.
- Qu'est-ce que tu veux de plus, tu veux que je recommence…
- Humm… non, tu serais capable d'y reprendre du plaisir, fit Gustave par pur provocation.
L'autre accusa le coup mais courba l'échine sous l'insulte.
- Mais je pense qu'il serait bon que ton fils te rende la pareille…
- Quoi !! Mais je ne suis pas…
- Tu n'es pas quoi, l'interrompit de nouveau Gustave, après tout ce ne serait que justice de laisser à Antoine la possibilité de goûter au plaisir auquel tu viens d'être initié.
- Papa, je..., commença Antoine.
- Tais-toi, l'interrompit son père. Tais-toi, nous ferons ce qu'il demande, continua-t-il, sans oser croiser le regard de son fils.
Sans attendre, il se mit à quatre pattes sur le sol, prenant appuis sur la table basse qui faisait face au siège sur lequel se tenait Jim et Gustave, son sexe maintenu bandé par le lacet toujours noué.
- Vas-y, dépêche-toi, qu'on en finisse !, ordonna-t-il à son fils.
Antoine hésita un instant puis vint se placer derrière son géniteur. Il cracha dans sa main et déposa sa salive sur l'anus de son père qui frémit sous le contact, laissant échapper un gémissement d'angoisse.
Gustave recommença à sourire. C'était à ce moment, là où l'angoisse de l'inconnu, l'anticipation de la douleur, étreignait ses invité, qu'il se nourrissait le plus.
Antoine plaça son sexe bandé contre l'ouverture du fondement de son père et hésita un instant.
- Pardon… je ne peux…
- Fait ce qu'il te demande ! dépêche-toi, cracha son père.
Le jeune homme, au comble de l'angoisse, saisit les hanches de son géniteur et poussa d'un coup sec et violent, enfonçant d'un seul coup ses dix-sept centimètres de chair dans le fondement vierge. Marc fut brutalement repoussé en avant, s'effondrant sur la table basse, la respiration coupée par la violence de l'assaut, les yeux écarquillés et remplis de larmes. Il ouvrit grand la bouche pour pousser un cri qui ne vint pas, les traits déformés par la douleur. Sans attendre Antoine se retira, libérant le trou qu'il venait de forcer puis se réintroduisit à nouveau entamant un pilonnage en règle du fondement paternel. Marc, sous le choc, encaissait les assauts répétés du chibre de son fils, haletant, la bouche ouverte, pour reprendre sa respiration. Des larmes coulaient abondamment de ses yeux grands ouverts, totalement soumis à la volonté de son jeune tortionnaire. L'épreuve dura près d'une dizaine de minutes au cours desquelles le jeune homme ne ralentit pas le rythme, puis il sortit brusquement de l'anus soumis et le recouvrit d'une abondante coulée de sperme gluant et blanchâtre.
Pendant un instant, personne ne réagit. Jim se tourna vers Gustave qui, les yeux exorbités, un sourire extatique aux lèvres, jouissait encore de la sodomie violente à laquelle ils venaient d'assister. Entre ses jambes, une proéminence impressionnante s'était formée et un liquide suintait à travers la toile de son pantalon.
- Fantastique…, parvint à dire le démon en revenant peu à peu à la réalité, … ce jeune homme est tout simplement fantastique. Il mérite amplement sa récompense, continua-t-il en se tournant vers Jim en quête d'approbation.
Jim déglutit péniblement. La scène à laquelle il venait d'assister l'avait choqué… et excité en même temps.
- Si tu le dis, parvint-il à articuler en prenant un air dégagé.
Jim se leva, décidé à en finir le plus vite possible, mais le journaliste lui posa une main sur le bras, lui intimant par la même de rester assis.
- Voyons Jimmy, laissons donc notre ami venir chercher son du. (Il se retourna vers Antoine). Tu sais ce que tu as à faire, mon garçon. Et surtout, tu ne dois pas consommer son précum, il te rendrait euphorique et son sperme perdrait tout effet.
Jim resta un instant sous le choc de cette nouvelle révélation. Il connaissait certaines des vertus de son sperme et de son précum, mais Gustave semblait toujours mieux informé. Mais la question qui le taraudait le plus était comment le gamin allait pouvoir recevoir son monstrueux chibre sans précum pour le préparer. Gustave du percevoir l'hésitation du détective car bientôt il expliqua :
« Ne t'en fait pas Jimmy, les anus, à cet âge, sont des plus élastiques. »
Antoine délaissa son père encore à-demi inconscient sur la table basse pour venir se placer a genou devant Jim et lui écarta les cuisses afin de se glisser entre. Il défit la ceinture et le bouton du pantalon de l'homme puis fit glisser la braguette et, glissant sa main droite sous la toile du boxer blanc, il en ressortit une masse de clair à demi-bandée qu'il commença à masturber, sa main gauche caressant les abdominaux saillants et recouverts d'un abondant duvet blond de son partenaire. Jim ferma les yeux, se laissant aller aux sensations que lui procurait le doux va-et-vient le long de son membre. Il était maintenant habitué à bander presque sur commande à force de devoir copuler avec nombres d'hommes et de démons parfois des plus repoussants et sa tige, obéissante, ne tarda pas à atteindre sa taille maximale, suintante de précum. Antoine récupéra la chemise de coton blanc de son père et épongea l'abondant liquide pré-séminal qui s'écoulait du méat, accélérant son mouvement pour mener Jim à la jouissance. Le détective ne résista que peu de temps à ce vigoureux traitement et lorsque le jeune homme sentit les abdominaux de son partenaire se contracter, il rejeta la chemise au loin et calla la verge turgescente de son partenaire au fond de sa gorge pour recevoir les abondantes giclées de sperme directement dans son estomac, manquant de l'étouffer à chaque nouvelle giclée, déglutissant sans discontinuer pour ne perdre aucune goutte de l'antidote. Une fois qu'il fut certains d'avoir tout récolté, il recracha le membre et repris sa respiration, à-demi étouffé ; puis sans perdre un instant, il monta sur le fauteuil de Jim, à califourchon sur lui, présentant le chibre encore bandée à l'entrée de son anus. Une fois le membre en position, il commença à se baisser, essayant sans succès de faire entrer l'organe en lui. Le gland brulant tenta de pénétrer l'orifice trop petit pour lui, faisant grimacer le gamin qui s'obstinait à le faire entrer. Emu par sa détresse, Jim l'encouragea en posant ses mains sur ses hanches, augmentant progressivement la pression afin de forcer la résistance qui céda brusquement. Antoine, surpris, tenta de se relever, mais il perdit l'équilibre et se retrouva empalé sur la moitié du chibre tendu. Courageux, il n'émit qu'un petit cri de surprise et, la tête basculé en arrière, bouche grande ouverte et yeux écarquillés, il se laissa progressivement descendre. Jim éprouva un plaisir énorme à sentir le fondement étroit coulisser sur lui et ne put se retenir d'éjaculer, lorsque le garçon atteignit ses genoux. Ils restèrent ainsi un moment, un peu du sperme de Jim s'échappant des fesses offertes. Avec précaution, le jeune homme se releva, se débarrassant avec un soulagement évident, du barreau de chair qui venait de le défoncer.
L'Observeur
Les locaux de l'Observeur, le fameux journal du monde démoniaque, n'avaient pas bougés depuis leur création des centaines d'années auparavant. Enfouis profondément sous terre, leurs bureaux faisaient parti des zones les mieux protégées du monde démoniaque. Mais si son emplacement n'avait pas changé, sa formule elle ne ressemblait plus en rien au bulletin d'une page publié à l'origine. D'abord mensuel puis hebdomadaire, sa parution était maintenant quotidienne et s'étalait une vingtaine de page en papier recyclé. Ce détail, mis en avant par la rédaction, avait toujours amusé Jim. Comme quoi chez les démons aussi, il y avait des écologistes.
Le détective progressait au travers d'un large couloir creusé à même la roche, foulant d'un pas vif le sol recouvert d'une fine couche de sable. Son informateur, un journaliste du journal, lui avait donné rendez-vous au siège du périodique, un lieu des plus protégé où seuls quelques élus étaient acceptés. Surpris par cette invitation, Jim avait cependant accepté de se rendre sur place compte-tenu de l'information promise, l'emplacement de l'une des planques de Kamji en ville, mais il était également curieux de découvrir un lieu si mythique.
L'endroit dans lequel il se déplaçait avait des allures de grotte et des torches accrochées aux parois diffusaient une lueur orangée, allongeant démesurément les ombres des occupants. A l'extrémité du corridor une gigantesque double porte de bois sombre bloquait totalement le passage. Un linteau de marbre surmontait l'encadrement fait du même matériau. Au-dessus, un tympan soutenait un bas-relief sculpté représentant des scènes de copulation entre des démons ailés et cornus et des êtres humains terrifiés. Gravés dans le cadre et le linteau et recouvertes de feuilles d'or, des runes de protection empêchaient quiconque de pénétrer dans le lieu s'il n'y avait pas été invité. Leur puissance était légendaire et détruisait à coup sûr tout intrus qui les aurait approchées à moins de quelques mètres. Heureusement pour Jim, il était attendu et son contact au journal semblait avoir fait le nécessaire pour lui permettre d'entrer. Il s'arrêta devant l'imposante porte et du saisir à deux mains le heurtoir de bronze afin de le faire claquer.
Les portes s'ouvrirent brusquement sur une vaste pièce envahie de lumière où tout ne semblait que marbre et dorures. Au plafond, des voutes en ogive, typique du style gothique, répartissaient le poids de l'ouvrage sur des rangées de colonnes ouvragées. Jim avança, ses pas raisonnant dans le vaste espace complètement vide. Au fond, il distingua un portique de pierre qui semblait donner sur le néant. Il s'en approcha avec précaution, examinant son centre où l'obscurité semblait régner puis brusquement, sans qu'il ne puisse rien y faire, il se retrouva happé. Un bref instant se sentit jaugé, examiné, comme si des mains invisibles le fouillaient sans aucune pudeur. Ses vêtements semblaient avoir disparu et la fouille se fit plus profonde, des doigts invisibles s'enfonçant profondément en lui, fouillant son inimité. Et aussi brusquement qu'il y était entré, il fut expulsé du néant, projeté à travers un portique similaire à celui qu'il avait emprunté.
Sonné, il se retrouva à quatre pattes sur une épaisse moquette rouge, les yeux baissés sur une paire de mocassins noirs.
- Toujours aussi ponctuel mon cher Jim, entendit-il prononcer.
Il leva les yeux vers un homme en costume sombre, très élégant. Brun aux cheveux courts, les épaules larges et le ventre plat, il ne paraissait guère avoir plus d'une quarantaine d'année. Mais bien que Jim ignore son âge exact, il savait que le démon qui se tenait devant lui avait largement dépassé son centième anniversaire.
- Bonjour Gustave, tu sais bien que je ne peux pas te résister, réplica-t-il, pince-sans-rire.
Un léger sourire passa sur les lèvres du démon que rien ne semblait différencier d'un humain ordinaire.
- Je vois que tu t'es habillé pour me plaire Jimmy, dit-il en l'examinant de la tête aux pieds alors qu'il se relevait. Le détective avait revêtu son seul costume, un pantalon et une veste beige clair sur une chemise blanche rehaussée par une cravate noire. Il savait le journaliste attiré par les hommes et plus prompt à la confidence face à un interlocuteur qui lui plaisait. Mais il connaissait aussi les travers du démon et son besoin vital de se nourrir d'énergie sexuelle qu'il captait en jouant les voyeurs. Le détective savait en venant qu'il en serait quitte pour une séance de masturbation. L'autre le regarderait faire et capterait les ondes de jouissance libérées. Il espérait juste ne pas tâcher son costume lorsqu'il se livrerait à ce petit plaisir solitaire.
- Tu as dit que tu disposais d'informations sur l'endroit où se trouve le sorcier Kamji, attaqua-t-il directement.
- Jimmy… Jimmy… ne soit donc pas si pressé. Nous avons tout notre temps. Viens donc t'asseoir un peu, après tout ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu…
Jim embrassa la vaste pièce du regard. Il avait atterri directement dans le bureau de son informateur. Le sol, recouvert d'une épaisse moquette rouge, contrastait avec la blancheur des mûrs. Bien que sans réelle délimitation, l'endroit possédait deux espaces bien distincts. Devant lui, un grand bureau d'angle de verre et de métal occupait le tiers gauche de l'espace. A l'opposé, deux confortables fauteuils de cuirs entouraient une table basse renfermant un bar que Jim imaginait bien garni. Au mur, des livres traitant de sujets divers et variés s'empilaient sur de multiples rayonnages.
Le détective suivit le démon vers le salon et à l'instar de son hôte, s'assit dans l'un des fauteuils de cuir.
- Je te sers un verre Jimmy ?
- Pourquoi pas, répondit-il.
- Whisky ?
- Single malt ?
Le démon sourit.
- Je sais faire plaisir à mes invités…
Jim dégusta la boisson pendant un instant puis décida de revenir à la charge.
- En ce qui concerne notre affaire…
- Toujours aussi impatient à ce que je vois… soupira l'autre. Soit, mais tu sais que l'on n'a jamais rien, sans rien, de nos jours…
- Je m'en doute, répondit Jim avec ironie. Comme d'habitude je suppose, poursuivit-il en écartant un peu les jambes, posant sa main droite sur son entre-jambe et commençant à se caresser.
- Cette information vaut bien plus d'énergie sexuelle que ce que tu me proposes là.
Jim déglutit péniblement, il aurait du s'en douter. Les démons étaient d'un naturel pervers et ceux qui aimaient les hommes, l'étaient encore plus.
- Quel est ton prix, demanda Jim résigné.
Copuler avec ce démon le dégoutait. D'une part parce qu'il s'agissait justement d'un démon et d'autre part parce qu'il ressemblait trait pour trait à un humain de sexe mâle. La malédiction dont il était victime depuis des années l'obligeant déjà à des relations sexuelles avec des hommes et des démons de diverses espèces, il aurait préféré ne pas avoir à remettre le couvert aujourd'hui.
- Figure-toi, Jimmy, que je me suis récemment aperçu de quelque chose. He oui, c'est idiot, malgré mon âge, j'arrive encore à apprendre de nouvelles choses sur mon état. Il semble que certaines relations sexuelles fournissent plus d'énergie que d'autres… lorsque le sexe se mélange aux regrets, à l'animalité, à la douleur et au dégoût, l'énergie est des plus puissantes.
- … et tu souhaites donc que je te résiste alors que tu essaieras de me baiser… le coupa Jim atterré.
- Pas tout à fait…
Brusquement Jim vit le portique par lequel il était entré s'activer et deux hommes en sortir, l'un jeune adulte et l'autre plus âgé. Brun aux cheveux courts, les yeux bleus, ils semblaient avoir un air de famille prononcé. Le plus âgé devait avoir la petite quarantaine et portait un costume sombre et une chemise blanche qui laissait deviner un torse musclé. Le plus jeune devait avoir tout juste vingt ans. Vêtu d'un jean délavé et d'une chemise à carreau, il se tenait en retrait derrière son ainé qui semblait faire rempart de son corps.
« Je te présente Marc et son fils Antoine, continua le démon en indiquant les deux hommes. Vois-tu Antoine a récemment eu quelques déboire avec certaines espèces démoniaques et il se trouve qu'il s'est fait fécondé par un démon Frog… »
Les démons Frog, pour ce que Jim en savais tiraient leur nom de leur peau verte et de leur apparence de batracien, quant à leur mode de reproduction, il n'en savait absolument rien.
- Et en quoi cela me concerne-t-il, dit Jim.
D'un signe de tête, Gustave indiqua aux deux hommes de venir les rejoindre.
- Et bien, il se trouve qu'il est très difficile d'extraire un embryon de Frog, une fois implanté dans l'estomac de sa victime la seule manière de la détruite est de l'enduire d'un sperme aux propriétés particulière, comme le tiens…
- Oui… je commence à comprendre, repris le détective, mais je ne vois pas en quoi ça va pouvoir t'aider. Tu sais que mes « victimes » sont toujours consentantes…
- En fait, ce n'est pas toi qui me fourniras ce dont j'ai besoin… mais voilà le marché. Marc, ici présent, grand hétéro devant l'éternel, est venu me voir pour aider son fils. Je te passe les détails du pourquoi du comment qui ne présente aucun intérêt. Toujours est-il qu'il accepte de « s'occuper » de son fils si toi, en échange tu le débarrasse de la chose qu'il a dans l'estomac.
- Et pourquoi est-ce que j'accepterais ?
- Mais pour les informations que je peux te fournir, bien sûr !... suit un peu s'il te plait.
- Et toi tu récupères l'énergie d'une relation entre hétéro. T'es vraiment tordu…
- Oui, merci. Alors que penses-tu de mon plan.
- Je n'ai pas le choix à priori…
- Le choix… voilà une notion intéressante à propos de laquelle nous pourrions débattre pendant des heures que nous n'avons justement pas ; alors c'est oui ou c'est non ?
Jim regarda le jeune homme et son père. Tous les deux avaient les yeux baissés sur le sol, totalement soumis.
- Très bien j'accepte.
- A la bonne heure !
Le journaliste se leva de son fauteuil et l'indiqua aux deux hommes alors qu'il s'assit sur l'accoudoir de celui de Jim.
« Messieurs, je vous laisse procéder. »
Les deux hommes se regardèrent gênés, puis le père commença à se déshabiller. Sa veste glissa a terre puis il commença à déboutonner sa chemise, dévoilant peut à peut son torse massif et poilu.
« Allez Antoine, aide donc un peu ton père. »
Le jeune homme vint se placer devant son ainé et déboucla sa ceinture de cuir puis défit le bouton du pantalon noir et fit glisser la fermeture de la braguette. Le tissu fin glissa eu pied de Marc dévoilant un boxer blanc immaculé au centre duquel une impressionnante proéminence laissait présager un sexe massif bien qu'au repos. L'homme défit les boutons de la chemise de son fils et en écarta les pans. Le torse du jeune homme apparut, finement musclé et totalement imberbe, puis son jean fut rapidement déboutonné et retiré.
Marc entraîna son fils toujours vêtu de son boxer vers le fauteuil laissé libre pat Gustave et lui fit placer les mains sur les accoudoirs. Le jeune homme se retrouva plié en deux, les fesses bien cambrées vers son géniteur. Marc fit glisser le sous-vêtement blanc d'Antoine jusqu'à ses chevilles puis entreprit de caresser la rosette offerte, cherchant à la préparer tout en sortant son sexe mou de l'autre main.
Jim observait la scène depuis son fauteuil. Il voyait les deux hommes de profil, le fils grimaçant sous les assauts des doigts épais de son père qui, de son côté, essayait de bander en se masturbant vigoureusement. A ses côté, Gustave souriait, se gavant de l'énergie qui commençait à émaner des deux hommes. Jim reporta son regard vers les deux victimes. L'aîné, les yeux fermés, continuait de stimuler son membre qui peinait à durcir, essayant sûrement de se remémorer une situation excitante capable de l'y aider. Peu à peu le chibre grossit puis se durcit, atteignant des proportions plus qu'honorables pour un humain. Gustave lui lança un lacet qu'il venait de récupérer sur l'une des chaussures de sport du jeune et le lança à Marc.
- Attache la fermement, je ne voudrais pas qu'elle retombe pendant l'action.
L'homme saisit le lacet et le noua à la base de son sexe, faisant encore davantage ressortir les veines gonflées du membre ; puis il plaça son gland violacé contre la rondelle serré d'Antoine et commença à pousser. Le jeune homme cria sous l'assaut, essayant d'avancer pour échapper à l'invasion, mais Marc le maintint fermement par les hanches. Le jeune homme serra les dents, s'obligeant à détendre son anus serré pour permettre l'entrée de son géniteur qui, honteux continuait la difficile pénétration, avançant centimètre par centimètre son chibre massif. Arc-bouté sur les fesses de son fils, Marc parvint à entrer l'intégralité de son membre, s'excusant à chaque instant auprès de don fils, puis il entama un va-et-vient ample sur toute sa longueur. Antoine supportait bravement l'épreuve mais ne pouvait s'empêcher de crier de temps à autre, surtout lorsque son père commença à accélérer le rythme, poussant des grognements à chaque nouvelle pénétration. Les yeux clos, Marc haletait; une rougeur diffuse, témoin de son plaisir, se rependant sur son visage.
- Ouvre les yeux ! lui intima Gustave. Tu n'es pas là pour prendre du plaisir !
L'homme s'exécuta, mais même l'étrangeté de la situation ne parvint pas à faire retomber son excitation et il ne tarda pas libérer son sperme dans les entrailles de son fils, s'effondrant sur lui de tout son poids, le faisant s'écrouler sur le fauteuil vide.
Pendant un instant, les deux hommes restèrent immobiles, Marc haletant et Antoine sanglotant, puis le père se releva et se tourna vers Gustave, le dégout inscrit sur le visage.
- Tu as eu ce que tu voulais démon, maintenant aide mon fils !
Gustave tiqua.
- En fait non. Tu n'as pas pu t'empêcher de prendre du plaisir, je l'ai senti ; l'énergie que vous avez produit n'était pas aussi intense que je l'aurais souhaité !
- Ce n'est pas vrai s'indigna l'homme ! Comment oses-tu…
- Mais j'ose… j'ose… mon cher, le coupa Gustave, et tu ferais bien de me montrer un peu de respect. Après tout, c'est toi qui es venu me réclamer mon aide, toi qui m'as supplié de venir au secours de ton fils !
Marc, rageur, ne répondit pas, serrant les dents pour ne pas commettre l'irréparable. Il avait besoin du démon, il le savait.
- Qu'est-ce que tu veux de plus, tu veux que je recommence…
- Humm… non, tu serais capable d'y reprendre du plaisir, fit Gustave par pur provocation.
L'autre accusa le coup mais courba l'échine sous l'insulte.
- Mais je pense qu'il serait bon que ton fils te rende la pareille…
- Quoi !! Mais je ne suis pas…
- Tu n'es pas quoi, l'interrompit de nouveau Gustave, après tout ce ne serait que justice de laisser à Antoine la possibilité de goûter au plaisir auquel tu viens d'être initié.
- Papa, je..., commença Antoine.
- Tais-toi, l'interrompit son père. Tais-toi, nous ferons ce qu'il demande, continua-t-il, sans oser croiser le regard de son fils.
Sans attendre, il se mit à quatre pattes sur le sol, prenant appuis sur la table basse qui faisait face au siège sur lequel se tenait Jim et Gustave, son sexe maintenu bandé par le lacet toujours noué.
- Vas-y, dépêche-toi, qu'on en finisse !, ordonna-t-il à son fils.
Antoine hésita un instant puis vint se placer derrière son géniteur. Il cracha dans sa main et déposa sa salive sur l'anus de son père qui frémit sous le contact, laissant échapper un gémissement d'angoisse.
Gustave recommença à sourire. C'était à ce moment, là où l'angoisse de l'inconnu, l'anticipation de la douleur, étreignait ses invité, qu'il se nourrissait le plus.
Antoine plaça son sexe bandé contre l'ouverture du fondement de son père et hésita un instant.
- Pardon… je ne peux…
- Fait ce qu'il te demande ! dépêche-toi, cracha son père.
Le jeune homme, au comble de l'angoisse, saisit les hanches de son géniteur et poussa d'un coup sec et violent, enfonçant d'un seul coup ses dix-sept centimètres de chair dans le fondement vierge. Marc fut brutalement repoussé en avant, s'effondrant sur la table basse, la respiration coupée par la violence de l'assaut, les yeux écarquillés et remplis de larmes. Il ouvrit grand la bouche pour pousser un cri qui ne vint pas, les traits déformés par la douleur. Sans attendre Antoine se retira, libérant le trou qu'il venait de forcer puis se réintroduisit à nouveau entamant un pilonnage en règle du fondement paternel. Marc, sous le choc, encaissait les assauts répétés du chibre de son fils, haletant, la bouche ouverte, pour reprendre sa respiration. Des larmes coulaient abondamment de ses yeux grands ouverts, totalement soumis à la volonté de son jeune tortionnaire. L'épreuve dura près d'une dizaine de minutes au cours desquelles le jeune homme ne ralentit pas le rythme, puis il sortit brusquement de l'anus soumis et le recouvrit d'une abondante coulée de sperme gluant et blanchâtre.
Pendant un instant, personne ne réagit. Jim se tourna vers Gustave qui, les yeux exorbités, un sourire extatique aux lèvres, jouissait encore de la sodomie violente à laquelle ils venaient d'assister. Entre ses jambes, une proéminence impressionnante s'était formée et un liquide suintait à travers la toile de son pantalon.
- Fantastique…, parvint à dire le démon en revenant peu à peu à la réalité, … ce jeune homme est tout simplement fantastique. Il mérite amplement sa récompense, continua-t-il en se tournant vers Jim en quête d'approbation.
Jim déglutit péniblement. La scène à laquelle il venait d'assister l'avait choqué… et excité en même temps.
- Si tu le dis, parvint-il à articuler en prenant un air dégagé.
Jim se leva, décidé à en finir le plus vite possible, mais le journaliste lui posa une main sur le bras, lui intimant par la même de rester assis.
- Voyons Jimmy, laissons donc notre ami venir chercher son du. (Il se retourna vers Antoine). Tu sais ce que tu as à faire, mon garçon. Et surtout, tu ne dois pas consommer son précum, il te rendrait euphorique et son sperme perdrait tout effet.
Jim resta un instant sous le choc de cette nouvelle révélation. Il connaissait certaines des vertus de son sperme et de son précum, mais Gustave semblait toujours mieux informé. Mais la question qui le taraudait le plus était comment le gamin allait pouvoir recevoir son monstrueux chibre sans précum pour le préparer. Gustave du percevoir l'hésitation du détective car bientôt il expliqua :
« Ne t'en fait pas Jimmy, les anus, à cet âge, sont des plus élastiques. »
Antoine délaissa son père encore à-demi inconscient sur la table basse pour venir se placer a genou devant Jim et lui écarta les cuisses afin de se glisser entre. Il défit la ceinture et le bouton du pantalon de l'homme puis fit glisser la braguette et, glissant sa main droite sous la toile du boxer blanc, il en ressortit une masse de clair à demi-bandée qu'il commença à masturber, sa main gauche caressant les abdominaux saillants et recouverts d'un abondant duvet blond de son partenaire. Jim ferma les yeux, se laissant aller aux sensations que lui procurait le doux va-et-vient le long de son membre. Il était maintenant habitué à bander presque sur commande à force de devoir copuler avec nombres d'hommes et de démons parfois des plus repoussants et sa tige, obéissante, ne tarda pas à atteindre sa taille maximale, suintante de précum. Antoine récupéra la chemise de coton blanc de son père et épongea l'abondant liquide pré-séminal qui s'écoulait du méat, accélérant son mouvement pour mener Jim à la jouissance. Le détective ne résista que peu de temps à ce vigoureux traitement et lorsque le jeune homme sentit les abdominaux de son partenaire se contracter, il rejeta la chemise au loin et calla la verge turgescente de son partenaire au fond de sa gorge pour recevoir les abondantes giclées de sperme directement dans son estomac, manquant de l'étouffer à chaque nouvelle giclée, déglutissant sans discontinuer pour ne perdre aucune goutte de l'antidote. Une fois qu'il fut certains d'avoir tout récolté, il recracha le membre et repris sa respiration, à-demi étouffé ; puis sans perdre un instant, il monta sur le fauteuil de Jim, à califourchon sur lui, présentant le chibre encore bandée à l'entrée de son anus. Une fois le membre en position, il commença à se baisser, essayant sans succès de faire entrer l'organe en lui. Le gland brulant tenta de pénétrer l'orifice trop petit pour lui, faisant grimacer le gamin qui s'obstinait à le faire entrer. Emu par sa détresse, Jim l'encouragea en posant ses mains sur ses hanches, augmentant progressivement la pression afin de forcer la résistance qui céda brusquement. Antoine, surpris, tenta de se relever, mais il perdit l'équilibre et se retrouva empalé sur la moitié du chibre tendu. Courageux, il n'émit qu'un petit cri de surprise et, la tête basculé en arrière, bouche grande ouverte et yeux écarquillés, il se laissa progressivement descendre. Jim éprouva un plaisir énorme à sentir le fondement étroit coulisser sur lui et ne put se retenir d'éjaculer, lorsque le garçon atteignit ses genoux. Ils restèrent ainsi un moment, un peu du sperme de Jim s'échappant des fesses offertes. Avec précaution, le jeune homme se releva, se débarrassant avec un soulagement évident, du barreau de chair qui venait de le défoncer.
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