16-10-2024, 03:13 PM
(Modification du message : 16-10-2024, 03:19 PM par fablelionsilencieux.)
Doc Matt 04 : Gökhan et Burak, les jumeaux turcs
La vie n’est parfois pas ce qu’elle aurait dû être…
Je suis médecin… ou tout du moins j’aurais dû l’être si j’avais réussi le concours de médecine. Faute de quoi, je suis devenu infirmier, mais il n’est pas rare que je rende quelques services…
On me surnomme « Doc Matt, le médecin des pauvres », un surnom que je tiens de mon prénom Mathéo et du fait que je propose des consultations pas chères à tous les défavorisés que je peux faire bénéficier de mon savoir et surtout… je ne pose pas de question.
Vingt et une heure, je quitte l’hôtel délabré de Mama Tùl, la vieille bosniaque qui fait parfois appel à mes services pour ses clients immigrés clandestins. Pas mal de patients ce soir et j’ai terminé en beauté avec Almir dont je poursuis le formatage. Il est encore rétif mais sa fille avait de nouveau besoin de mes soins et comme il n’avait pas les moyens de payer… Il commence à s’élargir plus facilement et j’arrive à lui enfiler des plugs de bonne taille sans rencontrer trop de résistances. Je pense pouvoir bientôt le présenter à mon ami producteur Marco pour qu’il l’intègre dans l’une de ses productions pour adulte. Il serait parfait, je pense, pour l’un de ses projets spéciaux.
Après avoir chargé ma sacoche dans le coffre de ma vieille Clio II, j’ai à peine le temps de m’assoir sur le siège conducteur que mon téléphone vibre ; un message. Je soupire, j’espère que ce n’est pas une urgence… Perdu… Je vois le nom ‘’Faruk Aydın’’. Je grimace. Quand le turc me contacte, c’est généralement louche, mais il paye bien et m’assure une protection non négligeable quand je dois me rendre dans certains quartiers chauds.
Comme d’habitude, le message est bref : ‘’Appelle-moi, c’est urgent.’’
Pas de bonjour, pas de merci ; juste de l’efficace, sans fioriture. C’est ça Monsieur Aydin.
Adieu mon lit douillet. Je compose le numéro et il décroche dès la première sonnerie.
— Doc ! Contant de t’entendre ! Comment vas-tu l’ami.
Pour Faruk, tout le monde est son ami… jusqu’à ce qu’il ne le soit plus… L’homme est à la tête d’un vaste réseau traitant d’affaires plus louches les unes que les autres : drogue, combats illégaux, trafics en tous genres… Je l’ai rencontré il y a une dizaine d’année alors que j’assistais à l’un des tournois clandestins de ‘’Yağlı güreş’’(Lutte traditionnelle turque (source [https://fr.wikipedia.org/wiki/Lutte_turque Wikipédia]) qu’il organisait. J’avais toujours été fasciné par la lutte traditionnelle turque dans laquelle les lutteurs combattent torse nu, uniquement vêtus d’un ‘’kispet’’(Culotte traditionnelle) en peau de vache huilée serré sous les genoux. Enduits d'huile d'olive de la tête aux pieds, ils doivent renverser leur adversaire en passant leur main sous leur ceinture, puis le maintenir tête en bas et jambes en l'air, à la verticale, pendant quelques secondes. Les hommes qui la pratiquaient possèdent une musculature puissante et ronde et puent littéralement la virilité mais les combats dégagent également une puissante aura d’homoérotisme qui ne m’a jamais laissé indifférent. J’avais pu accéder à ce tournoi grâce à l’un de mes fidèles patients. L’homme appartenait à des cercles peu recommandables et, pour me remercier de l’avoir sorti d’une situation glauque, m’avait invité à y assister et présenté à Faruk. Les combats m’avaient impressionné et les ‘’pehlivans’’(lutteur) plus encore. Mais au cours de l’une des manches, l’un des combattants, un des fils de Faruk, avait été durement blessé. Mon patient avait alors proposé mes services. Je n’en menais pas large. Faruk était une montagne de muscles et de poils, une gueule de brute, des cheveux noirs et une barbe courte qui assombrissait encore davantage son visage. La quarantaine, ancien lutteur lui-même, il ne faisait aucun doute qu’il aurait pu me broyer la tête entre ses deux mains presque sans efforts. Tout à fait le genre que j’aimais soumettre, même s’il n’était en aucun cas à ma portée. Il m’avait fixé de ses yeux noirs qui contrastait avec son costume blanc avant de déclaré avec un fort accent turc : « Si tu soignes mon fils, je te serais redevable. » Ce qui, pour un homme comme lui signifiait beaucoup…
Je l’avais suivi et m’étais occupé du jeune homme d’une vingtaine d’année tant bien que mal. Il était salement amoché, mais rien de grave, hormis un bras cassé. A ma demande, Faruk m’avait fourni de quoi le soigner, chargeant deux de ces hommes de s’en occuper. Une colère froide coulait en lui et elle ne s’était pas calmé lorsque j’avais essayé de le rassurer, lui assurant que son fils irait bien. Il avait convoqué l’adversaire du jeune homme. Le malheureux ne devait pas avoir plus d’un vingt ans lui non plus bien que ses muscles soient déjà imposants. Sans lui laisser le temps de réagir, Faruk s’était déshabillé, ne gardant qu’un simple boxer en coton noir et s’était jeté sur lui, l’entrainant dans un violent combat. Le jeune homme avait bien essayé de se défendre, mais face à la puissance de l’homme et à sa rage, il s’était rapidement retrouvé la tête en bas, le turc le maintenant dans cette position, une main profondément plongée dans sa culotte de cuir. Puis il l’avait littéralement balancé au sol et s’était jeté sur lui pour lui arracher le vêtement à grande saccades. L’autre, les fesses à l’air, les cuisses entravées par son ‘’kispet’’, avait bien essayé de s’extraire de son emprise en rampant sur le sol, mais rien n’y avait fait. Faruk l’avait pénétré de ses doigts graissés par l’huile récupérée sur son corps, puis il l’avait puissamment sodomisé devant nous, s’en servant comme d’un exutoire à sa colère, faisant sortir la haine qui hurlait en lui. L’autre avait gueulé tant et plus mais il n’en avait eu cure. Il l’avait limé sans pitié jusqu’à ce que sa jouissance vienne le libéré. Alors le turc s’était calmé et il m’avait regardé dans les yeux. Le spectacle m’avait totalement fasciné et il s’en était rendu compte, rien ne pouvait lui échapper. Il m’avait souri d’un air qui disait clairement qu’il savait ce que j’étais et m’avait cédé sa place que j’avais prise sans hésiter.
Depuis ce jour, il fait régulièrement appel à moi, généralement lorsque l’un des combats tourne mal, mais il m’invite également parfois à partager certaines de ses prises.
— Bien monsieur Aydın et vous ?
— J’ai besoin de ton aide Doc.
Comme d’habitude, il ne perd guère de temps en platitudes. Ça m’allait.
— Que puis-je pour vous Monsieur Aydin ?
— Je t’envoie une adresse, dis-moi dans combien de temps tu peux être là.
Un ‘’bip’’ m’indique qu’un message viens d’arriver. Je le regarde ; c’est l’adresse en question. Ce n’est pas très loin, sur les docks, et à cette heure la circulation est fluide.
— Je serai là dans quinze minutes, Monsieur.
— Parfait. Quand tu seras devant, envoie un message. Je t’enverrai quelqu’un.
Le trajet me prend en réalité une dizaine de minutes. J’arrive devant un grand entrepôt et me gare. J’envoie un message à Faruk et deux minutes plus tard, son fils, Anil, celui que j’avais soigné quelques années plus tôt, sort du bâtiment. Il m’accueille, tout sourire, en me prenant dans ses bras. Depuis que je l’ai aidé, il me vénère littéralement. J’avoue sans honte en avoir bien profité et son cul n’a plus de secret pour moi. Je le l’ai jamais forcé, ni abîmé, tout au plus attaché et parfois quelque peu contraint, et je pense que c’est pour ça que son père m’a laissé faire. Je le prends fermement par la nuque et le plaque dos contre la voiture pour l’embrasser à pleine bouche. Il fond dans mes bras et j’aurais bien continué, si nous n’étions pas attendu.
Je m’écarte de lui mais le garde dans mes bras.
— Salut Anil, comment vas-tu ? Et Lamia ? Tu sais ce que veut ton père ?
— Ça va. Lamia est fatigué à cause du bébé, mais la naissance est pour bientôt. Quant à mon père, je te laisse voir avec lui, c’est plus sûr… tu le connais…
Anil s’était marié l’année précédente. J’avais été invité au mariage, dans la pure tradition turque. C’était la dernière fois où j’avais totalement profité de son corps, juste avant la cérémonie. J’avais joui en lui et savoir qu’il disait oui à sa femme alors que mon sperme le remplissait encore, bien retenu par le plug vibrant que je lui avais glissé, m’avait excité comme jamais. Faruk s’en était aperçu et m’avais fourni l’un de ses jeunes cousins pour me calmer. J’avais bien entendu profité du joli présent, à la fois innocent et si rétif qu’il m’avait fallu l’attacher solidement afin d’en user pleinement ; mais je n’avais pu totalement oublié Anil et m’étais longuement amusé à activer le plug aux moments les plus émouvants et intenses de la cérémonie et de la soirée qui s’en était suivie.
Lamia, la femme d’Anil, était maintenant enceinte et la naissance du bébé imminente. Il parait heureux et je suis content pour lui, mais je sais pertinemment qu’il reviendra me voir ; il a besoin d’être soumis par moment, son équilibre en dépend.
Il m’escorte dans l’entrepôt et m’entraine vers une porte tout au fond de l’immense hangar vide. Il entre sans frapper et je le suis. La pièce n’est pas grande et ressemble à s’y méprendre à un cabinet médical. Un bureau, une table d’examen et quelques appareils sont Les seuls mobiliers présents. Allongé sur la table, un jeune homme d’une vingtaine d’année, châtain clair et barbu, se tient le bras en grimaçant. Il ne porte qu’un boxer blanc et je peux admirer ça musculature puissante. Ce doit être l’un des ’’pehlivans’’ de Faruk. A côté de lui, assis sur une chaise, se trouve son exacte réplique, mais lui est habillé, simplement vêtu d’un vieux t-shirt et d’un pantalon de survêtement. Des jumeaux… et des spécimens magnifiques. Faruk se tient assis sur le bureau et se lève à mon entrée. Je suis surpris de sa tenue, lui qui habituellement n’arbore que des costumes hauts de gamme, ne porte aujourd’hui qu’un simple jean et un t-shirt noir, ce qui le rend, à mon avis, plus inquiétant encore.
— Ah Doc, merci d’être venu si vite.
Il parle très bien français, mais n’a jamais réussi se débarrasser complètement d’un léger accent turc. Il s’approche de moi et me serre la main puis me prend par la nuque et plaque mon front contre le sien.
— Hoş geldiniz (Bienvenue) Doc.
Puis il me donne deux bises avant de me relâcher.
— Hoş bulduk (Réponse à ‘’Hoş geldin’’ signifie littéralement ‘’nous nous sommes bien retrouvés’’) monsieur Aydın.
— Content de te voir Doc, j’ai besoin de tes services pour ces deux ‘’ahmak’’(Crétins).
Tout en parlant, il me montre les deux jeunes hommes qui n’osent pas lever la tête.
— Que se passe-t-il ?
Je pose ma trousse sur le bureau et m’approche d’eux.
— Cet aptalca (Idiot) s’appelle Gökhan, me dit-il en me montrant l’homme allongé sur la table. Il n’a rien trouvé de mieux que d’aller baiser la sœur d’un grec qui l'a su. Il s’est fait chopper par le père et s’est fait tabassé ; gününü gösterdiler herife !(Bien fait pour lui).
Je mets une paire de gants et commence mon examen du jeune homme. Des ecchymoses, mais à priori pas de plaies ouvertes ; c’est déjà ça. Quand j’examine son bras, il grimace et pousse un gémissement. Son frère, compatissant, pose une main protectrice sur son ventre.
— İyi olacaksın, İyi olacaksın. Adın ne ? Je lui demande.(Ça va aller, ça va aller. Comment t’appelles-tu ?)
Il semble inquiet pour son frère et ses yeux sont rougis de larmes. Les hommes virils et musclés qui s’écroulent ainsi m’ont toujours ému… Je pose une main sur son épaule et lui dit doucement :
— Merak etme. Onunla ben ilgilenirim. ( Calme-toi. Je vais m’occuper de lui)
Il me regarde, surpris que je parle sa langue mais je lis du soulagement dans ses yeux.
— Burak.
J’essaye de le repousser pour pouvoir être plus à l’aise dans mon examen mais il s’accroche à son frère. Faruk s’approche et lui murmure quelques mots à l’oreille.
— Burak, şimdi, bırak da doktor işini yapsın. (Burak, laisse le docteur faire son boulot.)
Il hésite un instant, mais les mots font leur effet et Faruk l’entraîne à l’écart. Je poursuis mon examen, arrachant un série de plaintes à mon patient.
— Je ne vois rien de casser mais son épaule est luxée. Il va falloir que je la réduise rapidement pendant que c’est encore chaud. Mais il va douiller…
— Il l’aura pas voler…
Décidément Faruk n’est pas content. L’homme est assis sur le bord du bureau et maintient fermement contre lui un Burak angoissé et prêt à bondir vers son frère en cas de besoin.
J’appelle Anil pour qu’il vienne m’aider à maintenir mon patient mais, par précaution, je lui injecte une dose de morphine. Au moins il planera un peu… et ça évitera peut-être que je m’en prenne une…
Je positionne Anil pour qu’il maintienne Gökhan convenablement et étend son bras. Le jeune homme pousse un cri de douleur et son frère jaillit des bras de Faruk pour le protéger. J’ai un moment de panique imaginant déjà le jumeau me démonter, mais Faruk le rattrape au dernier moment et l’envoie valser à l’autre bout de la pièce. Burak se relève, le visage déformé par la fureur et la peur et les deux hommes se jettent l’un sur l’autre… un combat de titans… J’aimerais l’admirer mais je préfère profiter du temp que me donne Faruk pour m’occuper de mon patient. Je me positionne de nouveau et après un bref hochement de tête à l’attention d’Anil, je commence la réduction. Gökhan gueule mais je ne m’en préoccupe pas ; la souffrance ne va durer qu’un instant.
— Tiens le bien Anil !
En fond sonore, j’entends des bruits de combat puis des jurons en turc, de nouveau bruits de combat, les craquements d’un meuble, un cri de douleur, de nouveaux jurons, puis des gémissements…
Je suis concentré sur ma tâche et ne me laisse pas distraire. Anil transpire à s’efforcer de maintenir Gökhan en place. Le jeune lutteur se contorsionne de plus en plus vivement et mon aide n’a d’autre choix que de se coucher sur lui pour parvenir à l’immobiliser. Je ne perds pas de temps et d’un coup sec, je tourne son bras d’un sens puis dans l’autre afin de tout remettre en place. Il hurle une dernière fois, tente de repousser Anil qui l’enserre puissamment, pesant de tout son poids sur lui, puis se calme aussi soudainement, sa respiration sifflante se calmant peu à peu.
Je pose une main sur le dos du futur papa pour lui faire signe de se relever et me tourne vers Faruk et Burak, espérant ne pas avoir à traiter de nouveau blessé. Le spectacle qui m’attend m’ôte toutefois tout doute et ma queue bondit. Faruk se tient couché sur le corps de Burak, son bras gauche passé au travers du cou du jeune homme en une prise d’étranglement, son autre main placée sur sa bouche pour l’empêcher de crier. Leurs t-shirts sont en lambeaux et laisse voir leurs muscles tendus par l’effort. Le corps velu de Faruk, luit de sueur et pèse lourdement sur l’autre. Le scène de soumission est déjà des plus sensuelles en elle-même, mais la suite la rend encore plus excitante. Faruk est parvenu, au cours de leur corps à corps, à découvrir les fesses de son adversaire. Il n’a pas essayé de lui retirer complètement son pantalon ; non, il le lui a juste suffisamment baissé pour dénuder ses fesses fermes. Puis, c’est son propre jeans qu’il avait réussi à ouvrir et maintenant, ses hanches vont et viennent contre le fessier rebondi, ne laissant aucun doute sur ce qu’il est en train de faire. J’ai déjà vu le sexe de Faruk, un mandrin massif et poilu de plus de vingt centimètres que je devine maintenant entrain de coulisser avec la régularité d’un piston dans son cylindre. Le « petit » a dû sacrément dérouiller, mais ce qui me choque le plus, c’est l’expression de son regard. Certes, ses yeux sont rougis de larmes, mais c’est avant tout le calme et la sérénité qui transpirent de ses traits, comme si être pleinement possédé et soumis répondait exactement à ses besoins. Il gémissait tout contre la main de son tortionnaire tandis que Faruk, le visage enfoui dans son cou, ondulait contre lui en grognant, comme un ours en rut.
— Putain, il bande !
La voix d’Anil me sort de mes rêveries. Je me tourne vers lui. Il a le regard fixé sur l’entre-jambe de Gökhan. Je m’approche pour mieux voir son boxer déformé par une monstrueuse érection. Je suis surpris, la morphine a normalement l’effet inverse à moins que... J’appuis sur son épaule luxée ; il pousse un grognement de douleur mais son sexe pulse sous le tissu moulant. Oui, c’est la douleur qui l’excite… il est maso… comme son frère. Mon regard passe de l’un à l’autre. Baruk prend son pied à se faire défoncer par l’énorme gourdin de Faruk alors de Gökhan trouve son plaisir dans la douleur de son épaule.
— Suce-le !
Avant que je ne m’en rende compte, l’ordre est sorti de ma bouche. Anil reste figé.
— Suce-le, Anil ! Il en a besoin.
Le jeune homme hésite mais je le vois se lécher les lèvres… il en baverait presque…
Avec une femme enceinte jusqu'aux yeux, depuis combien te temps n’a-t ’il pas baisé sa femme… n’a-t-il pas baisé tout court !!
Lentement, il tend la main vers la bosse où s’étale maintenant une tâche de liquide séminal et s’empare de l’élastique du boxer qu’il baisse doucement. A peine a-t-il commencé à tirer dessus qu’un sexe gonflé et luisant en jaillit, répandant sa douce odeur sucrée. J’ai suffisamment joué avec Anil pour connaître ses réaction dans une telle situation. Ses pupilles se dilatent, sa respiration s’accélèrent, ses narines s’évasent et il engloutit le magnifique mandrin jusqu’à la garde, le callant bien au fond de sa gorge. Je me glisse derrière lui, tout en le maintenant et me colle contre son dos, mon bassin contre ses fesses puis je pose ma main sur sa nuque pour maintenir sa gorge fermement empalée sur le sexe du jeune turc. Je le sens essayer de se redresser mais je sais ce qu’il lui faut. Il tousse, essaye de le recracher mais au fond de lui il sais qu’il lui en faut plus. De ma main libre j’ouvre son pantalon qui tombe à ses chevilles, suivi de son boxer et me contente d’ouvrir ma braguette pour me libérer. Je jette un dernier coup d’œil à Faruk qui rive son regard au mien tout en pénétrant violemment Burak. Le rythme est lent mais puissant, irrégulier afin que le jeune turc ne puisse s’y préparer. Le léger hochement de tête qu’il m’adresse me libère de mes dernières hésitations et j’enfile Anil d’un violent coup de rein. Le futur papa a toujours été souple et humide et ce jour ne fait pas exception à la règle. Je relâche un peu la pression sur sa nuque, mais il a à peine le temps de reprendre sa respiration que Gökhan l’attrape par les cheveux de sa main valide et le force à le reprendre complètement dans sa bouche.
J’adapte mon rythme sur celui de Faruk qui ne me quitte pas du regard, le corps d’Anil tressautant à chacun de mes coups de boutoir. Il tente de me repousser mais je lui coince les bras dans le dos tandis que Gökhan ondule du bassin pour rester tout en fond de sa gorge, ne l’autorisant presque pas à respirer.
La contrainte m’a toujours fascinée et je sais qu’Anil prend plaisir à ce que nous lui faisons subir, même si son corps semble dire le contraire. Gökhan paraît complètement ailleurs, tout à son plaisir. Les yeux fermés il prend procession de la gorge qui s’offre à lui comme si elle lui appartenait depuis toujours. Je suis si envoûté par la scène que je ne remarque l’arrivée de Faruk qu’à la grimace qui déforme brutalement les traits du jeune lutteur blessé. L’homme a quitté Burak qui git face contre terre, jambe écartées, du sperme s’échappant de ses fesses blanches. Il se tient maintenant à côté de moi, une main glissée entre les cuisses de l’autre jumeau, glissant au moins deux doigts dans le fondement serré. Son regard de me quitte pas, sombre et menaçant. Je sais l’honneur qu’il me fait en me laissant baiser son fils en sa présence ; c’est un peu comme s’il m’offrait une part de lui-même. Et je sais aussi qu’il peut changer d’avis à tout moment et que les choses pourraient très mal tourner pour moi. Mais rien ne vient et sa colère se cristallise brusquement vers Gökhan dont le boxer est brutalement arraché et les cuisses relevées. Le turc, viril, sans la moindre compassion pour sa future victime, grimpe sur la table médicalisée qui grince sous son poids et plonge son sexe, luisant de sperme et toujours dur, jusqu’à la garde dans le fondement serré. Rien ne semble pouvoir l’arrêter, ni les contorsions de Gökan qui tente de se redresser, ni la jouissance dont son frère a déjà fait les frais. Faruk penché en avant tient fermement le jeune lutteur, une main crispé sur sa gorge, le baisant sans aucune pitié. Anil, la tête libérée, tente de se redressée mais je le contrains à reprendre le membre turgescent de Gökhan bien au fond de sa gorge. Les yeux dans les yeux, Faruk et moi nous déchainons sur les fessiers des deux jeunes hommes. Pendant un cours instant, je crois qu’il me considère comme son égal, mais pour Faruk, il ne peut y avoir qu’un seul mâle ; lui. De sa main libre, il me saisit la nuque et avant que je ne puisse réagir, m’enfonce sa langue dans la bouche. Ordinairement, je ne me serais pas laissé faire, mais je sais le besoin de dominer qu’il éprouve et le laisser m’embrasser est un moindre mal. Il me fouille profondément et je le laisse faire, si peu habitué que je suis à me laisser soumettre. Je le sens gémir contre mes lèvres, une plainte à la fois rauque et gutturale qui résonne partout en moi, provoquant ma libération dans le fondement d’Anil. La jouissance me percute aussi brutalement qu’un camion lancée à pleine vitesse et je m’effondre sur le jeune Turc. Je sens alors Faruk se coucher sur nous, et chevaucher Gökhan de toute sa puissance, comme s’il nous dominait tous, jusqu’à ce qu’à son tour, il lâche prise dans un long râle.
Un profond silence envahit la pièce, tout juste perturbé par nos repirations haletantes. Une puissante odeur de sexe et de sueur m’envahit le nez tandis que je reprends mes esprits, vidé et serein. Faruk s’est déjà redressé et habillé, la mine sérieuse et sombre.
— Ces deux ’ahmak’’ ont eu ce qu’ils méritaient ! Mais ils vont maintenant devoir me rembourser tout ce que me coûte leurs "hata" (bêtises). Ton ami, le producteur, il doit bien pouvoir leur trouver un travail.
Je reste un instant sans voix. Jamais je n’avais parlé de Marco à Faruk et encore moins du type de production qu’il réalisait.
— Ne t’inquiète pas, continue-t-il, avant que je ne puisse lui répondre. Je sais parfaitement de quoi il s’agit. Mais je pense qu’il trouvera facilement une place dans ses productions spéciales pour ces deux-là…
— Heu… je… oui, bien sûr.
Ca n’est certainement pas la réponse la plus intelligente que j’aurais pu formuler, mais remettre mes idées en place occupait presque toutes mes capacités de raisonnement. Une chose était sûre, Marco allait faire très bon usage de ces deux-là… Bondés et pluggés, ils seraient parfaits.
La vie n’est parfois pas ce qu’elle aurait dû être…
Je suis médecin… ou tout du moins j’aurais dû l’être si j’avais réussi le concours de médecine. Faute de quoi, je suis devenu infirmier, mais il n’est pas rare que je rende quelques services…
On me surnomme « Doc Matt, le médecin des pauvres », un surnom que je tiens de mon prénom Mathéo et du fait que je propose des consultations pas chères à tous les défavorisés que je peux faire bénéficier de mon savoir et surtout… je ne pose pas de question.
Vingt et une heure, je quitte l’hôtel délabré de Mama Tùl, la vieille bosniaque qui fait parfois appel à mes services pour ses clients immigrés clandestins. Pas mal de patients ce soir et j’ai terminé en beauté avec Almir dont je poursuis le formatage. Il est encore rétif mais sa fille avait de nouveau besoin de mes soins et comme il n’avait pas les moyens de payer… Il commence à s’élargir plus facilement et j’arrive à lui enfiler des plugs de bonne taille sans rencontrer trop de résistances. Je pense pouvoir bientôt le présenter à mon ami producteur Marco pour qu’il l’intègre dans l’une de ses productions pour adulte. Il serait parfait, je pense, pour l’un de ses projets spéciaux.
Après avoir chargé ma sacoche dans le coffre de ma vieille Clio II, j’ai à peine le temps de m’assoir sur le siège conducteur que mon téléphone vibre ; un message. Je soupire, j’espère que ce n’est pas une urgence… Perdu… Je vois le nom ‘’Faruk Aydın’’. Je grimace. Quand le turc me contacte, c’est généralement louche, mais il paye bien et m’assure une protection non négligeable quand je dois me rendre dans certains quartiers chauds.
Comme d’habitude, le message est bref : ‘’Appelle-moi, c’est urgent.’’
Pas de bonjour, pas de merci ; juste de l’efficace, sans fioriture. C’est ça Monsieur Aydin.
Adieu mon lit douillet. Je compose le numéro et il décroche dès la première sonnerie.
— Doc ! Contant de t’entendre ! Comment vas-tu l’ami.
Pour Faruk, tout le monde est son ami… jusqu’à ce qu’il ne le soit plus… L’homme est à la tête d’un vaste réseau traitant d’affaires plus louches les unes que les autres : drogue, combats illégaux, trafics en tous genres… Je l’ai rencontré il y a une dizaine d’année alors que j’assistais à l’un des tournois clandestins de ‘’Yağlı güreş’’(Lutte traditionnelle turque (source [https://fr.wikipedia.org/wiki/Lutte_turque Wikipédia]) qu’il organisait. J’avais toujours été fasciné par la lutte traditionnelle turque dans laquelle les lutteurs combattent torse nu, uniquement vêtus d’un ‘’kispet’’(Culotte traditionnelle) en peau de vache huilée serré sous les genoux. Enduits d'huile d'olive de la tête aux pieds, ils doivent renverser leur adversaire en passant leur main sous leur ceinture, puis le maintenir tête en bas et jambes en l'air, à la verticale, pendant quelques secondes. Les hommes qui la pratiquaient possèdent une musculature puissante et ronde et puent littéralement la virilité mais les combats dégagent également une puissante aura d’homoérotisme qui ne m’a jamais laissé indifférent. J’avais pu accéder à ce tournoi grâce à l’un de mes fidèles patients. L’homme appartenait à des cercles peu recommandables et, pour me remercier de l’avoir sorti d’une situation glauque, m’avait invité à y assister et présenté à Faruk. Les combats m’avaient impressionné et les ‘’pehlivans’’(lutteur) plus encore. Mais au cours de l’une des manches, l’un des combattants, un des fils de Faruk, avait été durement blessé. Mon patient avait alors proposé mes services. Je n’en menais pas large. Faruk était une montagne de muscles et de poils, une gueule de brute, des cheveux noirs et une barbe courte qui assombrissait encore davantage son visage. La quarantaine, ancien lutteur lui-même, il ne faisait aucun doute qu’il aurait pu me broyer la tête entre ses deux mains presque sans efforts. Tout à fait le genre que j’aimais soumettre, même s’il n’était en aucun cas à ma portée. Il m’avait fixé de ses yeux noirs qui contrastait avec son costume blanc avant de déclaré avec un fort accent turc : « Si tu soignes mon fils, je te serais redevable. » Ce qui, pour un homme comme lui signifiait beaucoup…
Je l’avais suivi et m’étais occupé du jeune homme d’une vingtaine d’année tant bien que mal. Il était salement amoché, mais rien de grave, hormis un bras cassé. A ma demande, Faruk m’avait fourni de quoi le soigner, chargeant deux de ces hommes de s’en occuper. Une colère froide coulait en lui et elle ne s’était pas calmé lorsque j’avais essayé de le rassurer, lui assurant que son fils irait bien. Il avait convoqué l’adversaire du jeune homme. Le malheureux ne devait pas avoir plus d’un vingt ans lui non plus bien que ses muscles soient déjà imposants. Sans lui laisser le temps de réagir, Faruk s’était déshabillé, ne gardant qu’un simple boxer en coton noir et s’était jeté sur lui, l’entrainant dans un violent combat. Le jeune homme avait bien essayé de se défendre, mais face à la puissance de l’homme et à sa rage, il s’était rapidement retrouvé la tête en bas, le turc le maintenant dans cette position, une main profondément plongée dans sa culotte de cuir. Puis il l’avait littéralement balancé au sol et s’était jeté sur lui pour lui arracher le vêtement à grande saccades. L’autre, les fesses à l’air, les cuisses entravées par son ‘’kispet’’, avait bien essayé de s’extraire de son emprise en rampant sur le sol, mais rien n’y avait fait. Faruk l’avait pénétré de ses doigts graissés par l’huile récupérée sur son corps, puis il l’avait puissamment sodomisé devant nous, s’en servant comme d’un exutoire à sa colère, faisant sortir la haine qui hurlait en lui. L’autre avait gueulé tant et plus mais il n’en avait eu cure. Il l’avait limé sans pitié jusqu’à ce que sa jouissance vienne le libéré. Alors le turc s’était calmé et il m’avait regardé dans les yeux. Le spectacle m’avait totalement fasciné et il s’en était rendu compte, rien ne pouvait lui échapper. Il m’avait souri d’un air qui disait clairement qu’il savait ce que j’étais et m’avait cédé sa place que j’avais prise sans hésiter.
Depuis ce jour, il fait régulièrement appel à moi, généralement lorsque l’un des combats tourne mal, mais il m’invite également parfois à partager certaines de ses prises.
— Bien monsieur Aydın et vous ?
— J’ai besoin de ton aide Doc.
Comme d’habitude, il ne perd guère de temps en platitudes. Ça m’allait.
— Que puis-je pour vous Monsieur Aydin ?
— Je t’envoie une adresse, dis-moi dans combien de temps tu peux être là.
Un ‘’bip’’ m’indique qu’un message viens d’arriver. Je le regarde ; c’est l’adresse en question. Ce n’est pas très loin, sur les docks, et à cette heure la circulation est fluide.
— Je serai là dans quinze minutes, Monsieur.
— Parfait. Quand tu seras devant, envoie un message. Je t’enverrai quelqu’un.
Le trajet me prend en réalité une dizaine de minutes. J’arrive devant un grand entrepôt et me gare. J’envoie un message à Faruk et deux minutes plus tard, son fils, Anil, celui que j’avais soigné quelques années plus tôt, sort du bâtiment. Il m’accueille, tout sourire, en me prenant dans ses bras. Depuis que je l’ai aidé, il me vénère littéralement. J’avoue sans honte en avoir bien profité et son cul n’a plus de secret pour moi. Je le l’ai jamais forcé, ni abîmé, tout au plus attaché et parfois quelque peu contraint, et je pense que c’est pour ça que son père m’a laissé faire. Je le prends fermement par la nuque et le plaque dos contre la voiture pour l’embrasser à pleine bouche. Il fond dans mes bras et j’aurais bien continué, si nous n’étions pas attendu.
Je m’écarte de lui mais le garde dans mes bras.
— Salut Anil, comment vas-tu ? Et Lamia ? Tu sais ce que veut ton père ?
— Ça va. Lamia est fatigué à cause du bébé, mais la naissance est pour bientôt. Quant à mon père, je te laisse voir avec lui, c’est plus sûr… tu le connais…
Anil s’était marié l’année précédente. J’avais été invité au mariage, dans la pure tradition turque. C’était la dernière fois où j’avais totalement profité de son corps, juste avant la cérémonie. J’avais joui en lui et savoir qu’il disait oui à sa femme alors que mon sperme le remplissait encore, bien retenu par le plug vibrant que je lui avais glissé, m’avait excité comme jamais. Faruk s’en était aperçu et m’avais fourni l’un de ses jeunes cousins pour me calmer. J’avais bien entendu profité du joli présent, à la fois innocent et si rétif qu’il m’avait fallu l’attacher solidement afin d’en user pleinement ; mais je n’avais pu totalement oublié Anil et m’étais longuement amusé à activer le plug aux moments les plus émouvants et intenses de la cérémonie et de la soirée qui s’en était suivie.
Lamia, la femme d’Anil, était maintenant enceinte et la naissance du bébé imminente. Il parait heureux et je suis content pour lui, mais je sais pertinemment qu’il reviendra me voir ; il a besoin d’être soumis par moment, son équilibre en dépend.
Il m’escorte dans l’entrepôt et m’entraine vers une porte tout au fond de l’immense hangar vide. Il entre sans frapper et je le suis. La pièce n’est pas grande et ressemble à s’y méprendre à un cabinet médical. Un bureau, une table d’examen et quelques appareils sont Les seuls mobiliers présents. Allongé sur la table, un jeune homme d’une vingtaine d’année, châtain clair et barbu, se tient le bras en grimaçant. Il ne porte qu’un boxer blanc et je peux admirer ça musculature puissante. Ce doit être l’un des ’’pehlivans’’ de Faruk. A côté de lui, assis sur une chaise, se trouve son exacte réplique, mais lui est habillé, simplement vêtu d’un vieux t-shirt et d’un pantalon de survêtement. Des jumeaux… et des spécimens magnifiques. Faruk se tient assis sur le bureau et se lève à mon entrée. Je suis surpris de sa tenue, lui qui habituellement n’arbore que des costumes hauts de gamme, ne porte aujourd’hui qu’un simple jean et un t-shirt noir, ce qui le rend, à mon avis, plus inquiétant encore.
— Ah Doc, merci d’être venu si vite.
Il parle très bien français, mais n’a jamais réussi se débarrasser complètement d’un léger accent turc. Il s’approche de moi et me serre la main puis me prend par la nuque et plaque mon front contre le sien.
— Hoş geldiniz (Bienvenue) Doc.
Puis il me donne deux bises avant de me relâcher.
— Hoş bulduk (Réponse à ‘’Hoş geldin’’ signifie littéralement ‘’nous nous sommes bien retrouvés’’) monsieur Aydın.
— Content de te voir Doc, j’ai besoin de tes services pour ces deux ‘’ahmak’’(Crétins).
Tout en parlant, il me montre les deux jeunes hommes qui n’osent pas lever la tête.
— Que se passe-t-il ?
Je pose ma trousse sur le bureau et m’approche d’eux.
— Cet aptalca (Idiot) s’appelle Gökhan, me dit-il en me montrant l’homme allongé sur la table. Il n’a rien trouvé de mieux que d’aller baiser la sœur d’un grec qui l'a su. Il s’est fait chopper par le père et s’est fait tabassé ; gününü gösterdiler herife !(Bien fait pour lui).
Je mets une paire de gants et commence mon examen du jeune homme. Des ecchymoses, mais à priori pas de plaies ouvertes ; c’est déjà ça. Quand j’examine son bras, il grimace et pousse un gémissement. Son frère, compatissant, pose une main protectrice sur son ventre.
— İyi olacaksın, İyi olacaksın. Adın ne ? Je lui demande.(Ça va aller, ça va aller. Comment t’appelles-tu ?)
Il semble inquiet pour son frère et ses yeux sont rougis de larmes. Les hommes virils et musclés qui s’écroulent ainsi m’ont toujours ému… Je pose une main sur son épaule et lui dit doucement :
— Merak etme. Onunla ben ilgilenirim. ( Calme-toi. Je vais m’occuper de lui)
Il me regarde, surpris que je parle sa langue mais je lis du soulagement dans ses yeux.
— Burak.
J’essaye de le repousser pour pouvoir être plus à l’aise dans mon examen mais il s’accroche à son frère. Faruk s’approche et lui murmure quelques mots à l’oreille.
— Burak, şimdi, bırak da doktor işini yapsın. (Burak, laisse le docteur faire son boulot.)
Il hésite un instant, mais les mots font leur effet et Faruk l’entraîne à l’écart. Je poursuis mon examen, arrachant un série de plaintes à mon patient.
— Je ne vois rien de casser mais son épaule est luxée. Il va falloir que je la réduise rapidement pendant que c’est encore chaud. Mais il va douiller…
— Il l’aura pas voler…
Décidément Faruk n’est pas content. L’homme est assis sur le bord du bureau et maintient fermement contre lui un Burak angoissé et prêt à bondir vers son frère en cas de besoin.
J’appelle Anil pour qu’il vienne m’aider à maintenir mon patient mais, par précaution, je lui injecte une dose de morphine. Au moins il planera un peu… et ça évitera peut-être que je m’en prenne une…
Je positionne Anil pour qu’il maintienne Gökhan convenablement et étend son bras. Le jeune homme pousse un cri de douleur et son frère jaillit des bras de Faruk pour le protéger. J’ai un moment de panique imaginant déjà le jumeau me démonter, mais Faruk le rattrape au dernier moment et l’envoie valser à l’autre bout de la pièce. Burak se relève, le visage déformé par la fureur et la peur et les deux hommes se jettent l’un sur l’autre… un combat de titans… J’aimerais l’admirer mais je préfère profiter du temp que me donne Faruk pour m’occuper de mon patient. Je me positionne de nouveau et après un bref hochement de tête à l’attention d’Anil, je commence la réduction. Gökhan gueule mais je ne m’en préoccupe pas ; la souffrance ne va durer qu’un instant.
— Tiens le bien Anil !
En fond sonore, j’entends des bruits de combat puis des jurons en turc, de nouveau bruits de combat, les craquements d’un meuble, un cri de douleur, de nouveaux jurons, puis des gémissements…
Je suis concentré sur ma tâche et ne me laisse pas distraire. Anil transpire à s’efforcer de maintenir Gökhan en place. Le jeune lutteur se contorsionne de plus en plus vivement et mon aide n’a d’autre choix que de se coucher sur lui pour parvenir à l’immobiliser. Je ne perds pas de temps et d’un coup sec, je tourne son bras d’un sens puis dans l’autre afin de tout remettre en place. Il hurle une dernière fois, tente de repousser Anil qui l’enserre puissamment, pesant de tout son poids sur lui, puis se calme aussi soudainement, sa respiration sifflante se calmant peu à peu.
Je pose une main sur le dos du futur papa pour lui faire signe de se relever et me tourne vers Faruk et Burak, espérant ne pas avoir à traiter de nouveau blessé. Le spectacle qui m’attend m’ôte toutefois tout doute et ma queue bondit. Faruk se tient couché sur le corps de Burak, son bras gauche passé au travers du cou du jeune homme en une prise d’étranglement, son autre main placée sur sa bouche pour l’empêcher de crier. Leurs t-shirts sont en lambeaux et laisse voir leurs muscles tendus par l’effort. Le corps velu de Faruk, luit de sueur et pèse lourdement sur l’autre. Le scène de soumission est déjà des plus sensuelles en elle-même, mais la suite la rend encore plus excitante. Faruk est parvenu, au cours de leur corps à corps, à découvrir les fesses de son adversaire. Il n’a pas essayé de lui retirer complètement son pantalon ; non, il le lui a juste suffisamment baissé pour dénuder ses fesses fermes. Puis, c’est son propre jeans qu’il avait réussi à ouvrir et maintenant, ses hanches vont et viennent contre le fessier rebondi, ne laissant aucun doute sur ce qu’il est en train de faire. J’ai déjà vu le sexe de Faruk, un mandrin massif et poilu de plus de vingt centimètres que je devine maintenant entrain de coulisser avec la régularité d’un piston dans son cylindre. Le « petit » a dû sacrément dérouiller, mais ce qui me choque le plus, c’est l’expression de son regard. Certes, ses yeux sont rougis de larmes, mais c’est avant tout le calme et la sérénité qui transpirent de ses traits, comme si être pleinement possédé et soumis répondait exactement à ses besoins. Il gémissait tout contre la main de son tortionnaire tandis que Faruk, le visage enfoui dans son cou, ondulait contre lui en grognant, comme un ours en rut.
— Putain, il bande !
La voix d’Anil me sort de mes rêveries. Je me tourne vers lui. Il a le regard fixé sur l’entre-jambe de Gökhan. Je m’approche pour mieux voir son boxer déformé par une monstrueuse érection. Je suis surpris, la morphine a normalement l’effet inverse à moins que... J’appuis sur son épaule luxée ; il pousse un grognement de douleur mais son sexe pulse sous le tissu moulant. Oui, c’est la douleur qui l’excite… il est maso… comme son frère. Mon regard passe de l’un à l’autre. Baruk prend son pied à se faire défoncer par l’énorme gourdin de Faruk alors de Gökhan trouve son plaisir dans la douleur de son épaule.
— Suce-le !
Avant que je ne m’en rende compte, l’ordre est sorti de ma bouche. Anil reste figé.
— Suce-le, Anil ! Il en a besoin.
Le jeune homme hésite mais je le vois se lécher les lèvres… il en baverait presque…
Avec une femme enceinte jusqu'aux yeux, depuis combien te temps n’a-t ’il pas baisé sa femme… n’a-t-il pas baisé tout court !!
Lentement, il tend la main vers la bosse où s’étale maintenant une tâche de liquide séminal et s’empare de l’élastique du boxer qu’il baisse doucement. A peine a-t-il commencé à tirer dessus qu’un sexe gonflé et luisant en jaillit, répandant sa douce odeur sucrée. J’ai suffisamment joué avec Anil pour connaître ses réaction dans une telle situation. Ses pupilles se dilatent, sa respiration s’accélèrent, ses narines s’évasent et il engloutit le magnifique mandrin jusqu’à la garde, le callant bien au fond de sa gorge. Je me glisse derrière lui, tout en le maintenant et me colle contre son dos, mon bassin contre ses fesses puis je pose ma main sur sa nuque pour maintenir sa gorge fermement empalée sur le sexe du jeune turc. Je le sens essayer de se redresser mais je sais ce qu’il lui faut. Il tousse, essaye de le recracher mais au fond de lui il sais qu’il lui en faut plus. De ma main libre j’ouvre son pantalon qui tombe à ses chevilles, suivi de son boxer et me contente d’ouvrir ma braguette pour me libérer. Je jette un dernier coup d’œil à Faruk qui rive son regard au mien tout en pénétrant violemment Burak. Le rythme est lent mais puissant, irrégulier afin que le jeune turc ne puisse s’y préparer. Le léger hochement de tête qu’il m’adresse me libère de mes dernières hésitations et j’enfile Anil d’un violent coup de rein. Le futur papa a toujours été souple et humide et ce jour ne fait pas exception à la règle. Je relâche un peu la pression sur sa nuque, mais il a à peine le temps de reprendre sa respiration que Gökhan l’attrape par les cheveux de sa main valide et le force à le reprendre complètement dans sa bouche.
J’adapte mon rythme sur celui de Faruk qui ne me quitte pas du regard, le corps d’Anil tressautant à chacun de mes coups de boutoir. Il tente de me repousser mais je lui coince les bras dans le dos tandis que Gökhan ondule du bassin pour rester tout en fond de sa gorge, ne l’autorisant presque pas à respirer.
La contrainte m’a toujours fascinée et je sais qu’Anil prend plaisir à ce que nous lui faisons subir, même si son corps semble dire le contraire. Gökhan paraît complètement ailleurs, tout à son plaisir. Les yeux fermés il prend procession de la gorge qui s’offre à lui comme si elle lui appartenait depuis toujours. Je suis si envoûté par la scène que je ne remarque l’arrivée de Faruk qu’à la grimace qui déforme brutalement les traits du jeune lutteur blessé. L’homme a quitté Burak qui git face contre terre, jambe écartées, du sperme s’échappant de ses fesses blanches. Il se tient maintenant à côté de moi, une main glissée entre les cuisses de l’autre jumeau, glissant au moins deux doigts dans le fondement serré. Son regard de me quitte pas, sombre et menaçant. Je sais l’honneur qu’il me fait en me laissant baiser son fils en sa présence ; c’est un peu comme s’il m’offrait une part de lui-même. Et je sais aussi qu’il peut changer d’avis à tout moment et que les choses pourraient très mal tourner pour moi. Mais rien ne vient et sa colère se cristallise brusquement vers Gökhan dont le boxer est brutalement arraché et les cuisses relevées. Le turc, viril, sans la moindre compassion pour sa future victime, grimpe sur la table médicalisée qui grince sous son poids et plonge son sexe, luisant de sperme et toujours dur, jusqu’à la garde dans le fondement serré. Rien ne semble pouvoir l’arrêter, ni les contorsions de Gökan qui tente de se redresser, ni la jouissance dont son frère a déjà fait les frais. Faruk penché en avant tient fermement le jeune lutteur, une main crispé sur sa gorge, le baisant sans aucune pitié. Anil, la tête libérée, tente de se redressée mais je le contrains à reprendre le membre turgescent de Gökhan bien au fond de sa gorge. Les yeux dans les yeux, Faruk et moi nous déchainons sur les fessiers des deux jeunes hommes. Pendant un cours instant, je crois qu’il me considère comme son égal, mais pour Faruk, il ne peut y avoir qu’un seul mâle ; lui. De sa main libre, il me saisit la nuque et avant que je ne puisse réagir, m’enfonce sa langue dans la bouche. Ordinairement, je ne me serais pas laissé faire, mais je sais le besoin de dominer qu’il éprouve et le laisser m’embrasser est un moindre mal. Il me fouille profondément et je le laisse faire, si peu habitué que je suis à me laisser soumettre. Je le sens gémir contre mes lèvres, une plainte à la fois rauque et gutturale qui résonne partout en moi, provoquant ma libération dans le fondement d’Anil. La jouissance me percute aussi brutalement qu’un camion lancée à pleine vitesse et je m’effondre sur le jeune Turc. Je sens alors Faruk se coucher sur nous, et chevaucher Gökhan de toute sa puissance, comme s’il nous dominait tous, jusqu’à ce qu’à son tour, il lâche prise dans un long râle.
Un profond silence envahit la pièce, tout juste perturbé par nos repirations haletantes. Une puissante odeur de sexe et de sueur m’envahit le nez tandis que je reprends mes esprits, vidé et serein. Faruk s’est déjà redressé et habillé, la mine sérieuse et sombre.
— Ces deux ’ahmak’’ ont eu ce qu’ils méritaient ! Mais ils vont maintenant devoir me rembourser tout ce que me coûte leurs "hata" (bêtises). Ton ami, le producteur, il doit bien pouvoir leur trouver un travail.
Je reste un instant sans voix. Jamais je n’avais parlé de Marco à Faruk et encore moins du type de production qu’il réalisait.
— Ne t’inquiète pas, continue-t-il, avant que je ne puisse lui répondre. Je sais parfaitement de quoi il s’agit. Mais je pense qu’il trouvera facilement une place dans ses productions spéciales pour ces deux-là…
— Heu… je… oui, bien sûr.
Ca n’est certainement pas la réponse la plus intelligente que j’aurais pu formuler, mais remettre mes idées en place occupait presque toutes mes capacités de raisonnement. Une chose était sûre, Marco allait faire très bon usage de ces deux-là… Bondés et pluggés, ils seraient parfaits.
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