26-08-2020, 09:47 AM
Nous étions le 24 décembre et nos parents attendaient des invités pour passer le réveillon avec nous en famille. Puis cerise sur le gâteau, mon frère Olivier était venu avec Julie sa compagne. J’étais content de revoir mon frère. Il était arrivé la veille. J’avais eu l’occasion de parler un peu avec lui.
Moi : Oli, je suis si content que tu sois venu passer Noël à la maison.
Oli : Moi aussi mon Philou je suis content, tu sais que tu es mon petit frère adoré !
Moi : Oui, arrête, je vais bientôt avoir 18 ans, alors c’est bon !
Oli : Mais je te taquine !
Moi, prenant un ton neutre : Oli, j’ai quelque chose de très important à te dire. Voilà, je suis gay.
Oli : Oh là mon Philou, je ne le savais pas, mais je m’en doutais. Mais tu sais mon frérot adoré, pour moi ça ne change rien, tu sais que je t’aime et reste comme tu es, c’est ta vie et je la respecte.
Olivier m’avait pris dans ses bras pendant que je lui répondais :
Moi : Oh merci Oli, merci. Puis je veux te dire que j’ai un ami, tu sais c’est Jacques, un élève de ma classe.
Oli : Félicitations mon Philou. Et tu le connais depuis quand.
Moi : Quelques mois. Puis un jour ça a fait du grabuge à la maison, papa n’en savait rien.
Oli : Explique-moi, tu peux tout me dire.
J’avais donc expliqué à Olivier tout ce qui s’était passé, depuis la scène de la salle de bain jusqu’à l’annonce du départ de Jacques et de sa famille pour la Canada.
Oli : Eh bien, mince alors. Tu n’as pas de chance mon loulou !
Olivier m’avait une nouvelle fois pris dans ses bras et m’avait fait un gros câlin. Il m’avait dit que j’aurai pu le contacter et qu’il aurait tenté de me venir en aide. Je lui avais dit que je ne voulais pas le déranger et qu’il avait à s’occuper de son couple qui venait de prendre son envol pour l’avenir.
Il était vers le 19h45 ce 24 décembre et on sonnait à la porte d’entrée de la maison. Je savais qui devait venir pour passer le réveillon de Noël à la maison. Je m’étais donc levé et j’étais allé ouvrir la porte aux invités.
Moi : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain. Entrez.
Béa et Al : Bonsoir Phil.
Moi : Bonsoir Alexis, bonsoir Jacques.
Alex : Bonsoir Phil.
Jac : Bonsoir mon amour !
Moi : Allez, entrez-nous vous attendons au salon.
Mam : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain, bonsoir les enfants. Merci d’avoir accepté notre invitation à nous rejoindre pour passer le réveillon en notre compagnie.
Béa : Merci c’est très aimable à vous. Voici ces quelques gâteaux maisons, je les ai faits pour vous et peut-être pour agrémenter le café.
Mam : Merci, il ne fallait pas.
Al : Voici une bonne bouteille pour la soirée.
Papa : Merci Alain, il ne fallait pas. Eh bien nous allons y gouter.
Delphine avait salué les invités. Alexis était lui aussi très content de venir passer le réveillon J’avais présenté Olivier et Julie aux invités. Jacques était content de voir pour la première fois mon frère dont je lui avais parlé à maintes reprises. Nous étions une dizaine à participer à ce repas de réveillon.
Papa avait été cherché du champagne pour l’apéro. Tout le monde avait eu droit à sa flute, même Alexis. Maman avait fait des zakouskis chauds et papa avait préparé des petits toasts avec un tas de choses bien bonnes.
Les conversations allaient bon train. Olivier s’était approché de Jacques et moi. Il nous avait dit ceci :
Oli : Phil et Jacques vous êtres très amoureux à ce que j’ai pu savoir. Je ne vais plomber l’ambiance, mais quel dommage que tu doives Jacques, quitter la Belgique pour aller au Canada.
Moi : Tu sais Oli, nous ne pouvons que nous y résoudre. Je ne sais pas si notre amour pourra résister à un si long éloignement. Il y a un océan qui nous sépare. Puis il y aura les vacances, mais ce ne sera plus la même chose. Bon nous allons passer une semaine au ski, cela nous permettra de nous éclater.
Oli : Bien dit Phil. Jacques je suis heureux d’avoir pu te rencontrer. Vous méritez tous les deux d’être heureux, soit entre vous où alors, vous vous en doutez, avec un autre garçon. Ce sont les circonstances de la vie qui veulent ça.
Jac : Je sais Olivier, mais il nous faut nous en faire une raison. Nous allons quand même tenter de rester en contact et de nous aimer malgré le temps et la distance.
Oli : Très bien Jacques, je vous le souhaite à tous les deux. Allez, venez dans mes bras les deux amoureux.
Après l’apéro nous étions passés à table. Maman avait préparé du gibier, car en fait nous n’aimions pas la traditionnelle « dinde de Noël ». C’était du chevreuil sauce grand veneur avec des croquettes de pommes de terre, des poires et des abricots ainsi que de la compote d’airelles. Papa avait débouché deux bonnes bouteilles de Bordeaux millésimé.
Nous avions mangé l’excellent repas : tous les convives étaient élogieux quant à la qualité du gibier de ses accompagnements.
Certains d’entre nous avaient envie d’un bout de fromage. Maman avait déjà tout prévu et préparé le plateau. C’était papa qui était allé faire son choix chez le fromager du quartier.
Après le dessert, le café et le pousse café sans oublier les petits gâteaux de Béatrice, nos invités avaient décidés de rentrer chez eux, sauf Jacques qui restait loger avec moi. Pour Olivier et Julie, il y avait la chambre d’amis évidemment.
Nous avions passé un superbe réveillon. J’étais heureux de voir que nous deux familles s’appréciaient, mais j’avais un gout amer car je savais que nous allions être séparés Jacques et moi.
Bon, après une bonne douche nous étions allés nous coucher nus dans mon grand lit. Jacques me regardait, il avait plongé ses yeux dans les miens. J’étais un peu étonné, mais je fis de même. Il y avait des étincelles de bonheur dans les yeux de Jacques. Puis nos deux visages s’étaient rapprochés l’un de l’autre. Je sentais l’haleine de mon ami sur mes lèvres et le nez, il devait en être de même pour Jacques, il devait ressentir la même chose. Ensuite comme aimantées, nos bouches s’étaient soudées l’une à l’autre. Nous nous donnions de petits bisous furtifs. Nos bouches s’étaient ouvertes pour laisser nos langues aller à la conquête l’une de l’autre. Elles dansaient entre elles, elles se titillaient, elles se frôlaient pour mieux se toucher par la suite. Mon sexe était déjà à demi bandé, je me doutais bien que celui de Jacques prenait lui aussi plus de dimension. Nos mains entraient alors dans la danse et se baladaient sur nos corps nus, livrés à nos envies. Elles allaient et venaient au gré de leurs fantaisies. L’une ou l’autre frôlaient déjà nos membres dressés pour parfois venir caresser nos burnes elles aussi bien en proportion. Puis après avoir ré-ouvert les yeux nous avions dessoudé nos lèvres.
Nous nous regardions une nouvelle fois dans les yeux et sans rien dire, comme si c’était déjà convenu à l’avance, nos corps s’étaient retrouvés en position idéale pour venir gouter à l’attribut de l’être aimé et désiré. J’avais donné quelques baisers sur le gland déjà à moitié décalotté de Jacques. Ma langue avait commencé par parcourir le frein, cela donnait déjà des frissons à mon amour. Ensuite j’avais décalotté entièrement le gland avec mes lèvres.
Jacques de son côté avait déjà mis mon sexe bandé dans sa bouche, ses lèvres effectuaient une variante de pressions au passage de ma colonne de chair. C’était sa langue qui avait repris le dessus en venant léchouiller mon gland et mon frein.
Nous étions tous les deux comme hors du temps, nous étions à l’écoute de nos corps et bien entendu à l’écoute de celui à qui nous donnions du plaisir buccal.
J’avais maintenant englouti la queue de Jacques et j’accentuais le va et vient entre mes lèvres. Nous commencions chacun à râler de plaisir. Nous allions toujours à la limite de l’orgasme pour arrêter à temps en vue de prolonger le plaisir. Nos murmures en disaient long sur l’état de jouissance qui allait arriver. Nos corps étaient tendus et ivres de bonheur, dans un mouvement des muscles sous abdominaux et pelviens, nos corps s’étaient raidis presque en même temps et puis ce fut le tsunami de bonheur et de grandes sensations, nos poils étaient hérissés sur tout le corps et enfin nous laissions partir avec puissance toute la sève qui attendait cette ultime libération pour venir s’écraser au fond de nos gorges.
Nos corps étaient mouillés de sueur et nous nous étions repositionnés pour partager un baiser en mêlant nos semences.
Nous nous étions affalés l’un à côté de l’autre, le temps pour nous de récupérer un peu. Puis nous étions allés reprendre une douche toujours un peu dans un nuage de bonheur et de partage mutuel.
Après nous être rafraîchis et séchés, nous étions ressortis de la salle de bain, nus et nous avions croisés Delphine, en tenue d’Ève qui allait prendre sa douche à son tour. Elle affichait un large sourire, elle avait bien deviné la raison de cette seconde douche avant l’aller dormir. Elle ajoutait même :
Del : Je suis heureuse de voir que vous vous aimez si fort.
Moi : Pourquoi dis-tu ça.
Del : Tu sais Phil, vous n’avez pas été des plus discrets.
Jacques et moi avions piqué un phare. Puis nous avions souhaité une bonne nuit à ma grande sœur. Une fois dans la chambre nous nous étions couchés pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin.
Nous voilà tous enfin prêts pour faire du ski durant une semaine. Pour faire le trajet en direction de la France et plus précisément en direction de Chamrousse, nous étions partis en voiture. Papa avait loué une camionnette pour nous y rendre. En effet il y avait Delphine et Stéphanie, maman, papa ainsi que Jacques et moi. Nous étions donc six avec tout le matériel, soit les skis, les bottines, les bagages, etc.
Au fait la station de Chamrousse, c’est une station de ski qui a été utilisée lors des Jeux Olympiques d’Hiver en 1968. Il y avait eu entre autres la descente dames. Cette piste où eu lieu cette descente est en fait une piste noire fort prisée par les skieurs.
Le trajet s’était effectué sans problème. Les routes étaient dégagées mais un peu encombrées vers la fin du trajet. Nous étions arrivés au chalet que papa avait loué pour la semaine. Il était assez spacieux, trois chambres à coucher avec lit double, deux salles de bain, un grand séjour ouvert sur une terrasse et un dressing spécialement conçu pour entreposer les skis et tout le matériel.
Une fois installés, nous sommes allés faire un tour dans la station. Il y avait quelques boutiques, des restaurants, un cinéma, etc. Nous avions effectué les achats pour nous restaurer au chalet. Je savais que nous irions souvent manger à l’extérieur.
Jacques était emballé tout comme Stéphanie. Jacques avait déjà fait un peu de ski et n’était donc pas novice, nous aurions donc l’occasion de nous y mettre dès le lendemain matin. En ce qui concerne Stéphanie, elle n’avait fait que dix jours de ski en classe d’hiver avec son école. Bref, Delphine lui avait bien dit qu’elle serait toujours auprès d’elle. Papa avait d’ailleurs conseillé à Stéphanie de suivre peut-être quelques heures de remise à niveau avec un moniteur. Stéphanie était enchantée, car elle avait un peu d’appréhension.
La première nuit s’était bien passée. Nous avions, chaque couple, notre chambre. Papa avait donc bien fait les choses. Nous étions, Jacques et moi, restés assez sages ; nous nous étions embrassés et nous nous étions simplement branlés mutuellement.
Dès le matin, après être allé récupérer les forfaits pour la semaine, nous étions partis sur les pistes Jacques et moi.
Nous avions chacun une combinaison de ski. Nous étions partis sur le site skiable de la station. Nous voulions entre autres effectuer la descente dame des JO. Nous y étions et nous avions entrepris sa descente. C’est vrai que le début était assez pentu, mais nous n’en avions pas trop peur.
Vers 12h00 nous avions rejoint la famille pour manger un bout. Nous étions tous réunis sur la terrasse d’un établissement. Nous avions mangé de bon appétit, mais sans trop exagérer car nous voulions encore profiter des pistes pour l’après-midi.
Vers 15h30 alors que nous étions sur le tire-fesses, celui-ci s’était arrêté subitement. Nous étions à vue de nez à mi-chemin. Je ne sais pas si c’étaient les boissons du repas de midi ou alors le froid qui commençait à monter, mais je commençais à avoir envie de pisser. Je voyais Jacques qui était juste devant moi, qui lui aussi semblait avoir envie de pisser, il se dandinait d’une jambe à l’autre, signe d’un pipi pressant. Nous avions dû attendre et puis une bonne demi-heure plus tard, le tire-fesses avait repris du service.
Au moment où le tire-fesses s’est ébranlé, j’ai lâché prise et je me suis crouté comme un bleu. Mais en plus, pour en ajouter à ma situation, j’avais laissé passer un jet d’urine qui avait mouillé mon slip, puis un second jet alors que j’étais étendu sur la neige. Je n’avais pas pu me retenir et j’avais inondé ma combi, heureusement qu’elle était étanche. J’étais un sale petit pisseux. Jacques lui était arrivé au-dessus et avait entrepris la descente pour me rejoindre.
Jacques m’avait rejoint et nous avions terminé la descente à deux. Nous avions ensuite repris le tire-fesses pour renouveler une nouvelle descente.
A l’issue de celle-ci, j’avais vu à sa tête que Jacques n’était pas dans son assiette. De mon côté de commençais à avoir froid, surtout au niveau de mes attributs. J’avais demandé à Jacques ce qui se passait. Il m’avait dit, en ayant piqué un phare au niveau du visage, qu’il s’était pissé dessus alors qu’il attendait que le tire-fesses reparte.
Je m’étais mis à rire, en lui disant que moi aussi j’étais trempé car j’avais pissé moi aussi dans ma combi lorsque je m’étais croûté. J’avais alors vu un début de sourire sur les lèvres de Jacques.
Pour notre premier jour de ski, nous avions fait très fort, nous nous étions pissés dessus. Nous avions regagné le chalet pour nous changer et bien entendu pour y prendre une bonne douche. C’est donc à deux que nous étions sous la douche de la salle de bain réservée aux jeunes.
Moi : Oli, je suis si content que tu sois venu passer Noël à la maison.
Oli : Moi aussi mon Philou je suis content, tu sais que tu es mon petit frère adoré !
Moi : Oui, arrête, je vais bientôt avoir 18 ans, alors c’est bon !
Oli : Mais je te taquine !
Moi, prenant un ton neutre : Oli, j’ai quelque chose de très important à te dire. Voilà, je suis gay.
Oli : Oh là mon Philou, je ne le savais pas, mais je m’en doutais. Mais tu sais mon frérot adoré, pour moi ça ne change rien, tu sais que je t’aime et reste comme tu es, c’est ta vie et je la respecte.
Olivier m’avait pris dans ses bras pendant que je lui répondais :
Moi : Oh merci Oli, merci. Puis je veux te dire que j’ai un ami, tu sais c’est Jacques, un élève de ma classe.
Oli : Félicitations mon Philou. Et tu le connais depuis quand.
Moi : Quelques mois. Puis un jour ça a fait du grabuge à la maison, papa n’en savait rien.
Oli : Explique-moi, tu peux tout me dire.
J’avais donc expliqué à Olivier tout ce qui s’était passé, depuis la scène de la salle de bain jusqu’à l’annonce du départ de Jacques et de sa famille pour la Canada.
Oli : Eh bien, mince alors. Tu n’as pas de chance mon loulou !
Olivier m’avait une nouvelle fois pris dans ses bras et m’avait fait un gros câlin. Il m’avait dit que j’aurai pu le contacter et qu’il aurait tenté de me venir en aide. Je lui avais dit que je ne voulais pas le déranger et qu’il avait à s’occuper de son couple qui venait de prendre son envol pour l’avenir.
Il était vers le 19h45 ce 24 décembre et on sonnait à la porte d’entrée de la maison. Je savais qui devait venir pour passer le réveillon de Noël à la maison. Je m’étais donc levé et j’étais allé ouvrir la porte aux invités.
Moi : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain. Entrez.
Béa et Al : Bonsoir Phil.
Moi : Bonsoir Alexis, bonsoir Jacques.
Alex : Bonsoir Phil.
Jac : Bonsoir mon amour !
Moi : Allez, entrez-nous vous attendons au salon.
Mam : Bonsoir Béatrice, bonsoir Alain, bonsoir les enfants. Merci d’avoir accepté notre invitation à nous rejoindre pour passer le réveillon en notre compagnie.
Béa : Merci c’est très aimable à vous. Voici ces quelques gâteaux maisons, je les ai faits pour vous et peut-être pour agrémenter le café.
Mam : Merci, il ne fallait pas.
Al : Voici une bonne bouteille pour la soirée.
Papa : Merci Alain, il ne fallait pas. Eh bien nous allons y gouter.
Delphine avait salué les invités. Alexis était lui aussi très content de venir passer le réveillon J’avais présenté Olivier et Julie aux invités. Jacques était content de voir pour la première fois mon frère dont je lui avais parlé à maintes reprises. Nous étions une dizaine à participer à ce repas de réveillon.
Papa avait été cherché du champagne pour l’apéro. Tout le monde avait eu droit à sa flute, même Alexis. Maman avait fait des zakouskis chauds et papa avait préparé des petits toasts avec un tas de choses bien bonnes.
Les conversations allaient bon train. Olivier s’était approché de Jacques et moi. Il nous avait dit ceci :
Oli : Phil et Jacques vous êtres très amoureux à ce que j’ai pu savoir. Je ne vais plomber l’ambiance, mais quel dommage que tu doives Jacques, quitter la Belgique pour aller au Canada.
Moi : Tu sais Oli, nous ne pouvons que nous y résoudre. Je ne sais pas si notre amour pourra résister à un si long éloignement. Il y a un océan qui nous sépare. Puis il y aura les vacances, mais ce ne sera plus la même chose. Bon nous allons passer une semaine au ski, cela nous permettra de nous éclater.
Oli : Bien dit Phil. Jacques je suis heureux d’avoir pu te rencontrer. Vous méritez tous les deux d’être heureux, soit entre vous où alors, vous vous en doutez, avec un autre garçon. Ce sont les circonstances de la vie qui veulent ça.
Jac : Je sais Olivier, mais il nous faut nous en faire une raison. Nous allons quand même tenter de rester en contact et de nous aimer malgré le temps et la distance.
Oli : Très bien Jacques, je vous le souhaite à tous les deux. Allez, venez dans mes bras les deux amoureux.
Après l’apéro nous étions passés à table. Maman avait préparé du gibier, car en fait nous n’aimions pas la traditionnelle « dinde de Noël ». C’était du chevreuil sauce grand veneur avec des croquettes de pommes de terre, des poires et des abricots ainsi que de la compote d’airelles. Papa avait débouché deux bonnes bouteilles de Bordeaux millésimé.
Nous avions mangé l’excellent repas : tous les convives étaient élogieux quant à la qualité du gibier de ses accompagnements.
Certains d’entre nous avaient envie d’un bout de fromage. Maman avait déjà tout prévu et préparé le plateau. C’était papa qui était allé faire son choix chez le fromager du quartier.
Après le dessert, le café et le pousse café sans oublier les petits gâteaux de Béatrice, nos invités avaient décidés de rentrer chez eux, sauf Jacques qui restait loger avec moi. Pour Olivier et Julie, il y avait la chambre d’amis évidemment.
Nous avions passé un superbe réveillon. J’étais heureux de voir que nous deux familles s’appréciaient, mais j’avais un gout amer car je savais que nous allions être séparés Jacques et moi.
Bon, après une bonne douche nous étions allés nous coucher nus dans mon grand lit. Jacques me regardait, il avait plongé ses yeux dans les miens. J’étais un peu étonné, mais je fis de même. Il y avait des étincelles de bonheur dans les yeux de Jacques. Puis nos deux visages s’étaient rapprochés l’un de l’autre. Je sentais l’haleine de mon ami sur mes lèvres et le nez, il devait en être de même pour Jacques, il devait ressentir la même chose. Ensuite comme aimantées, nos bouches s’étaient soudées l’une à l’autre. Nous nous donnions de petits bisous furtifs. Nos bouches s’étaient ouvertes pour laisser nos langues aller à la conquête l’une de l’autre. Elles dansaient entre elles, elles se titillaient, elles se frôlaient pour mieux se toucher par la suite. Mon sexe était déjà à demi bandé, je me doutais bien que celui de Jacques prenait lui aussi plus de dimension. Nos mains entraient alors dans la danse et se baladaient sur nos corps nus, livrés à nos envies. Elles allaient et venaient au gré de leurs fantaisies. L’une ou l’autre frôlaient déjà nos membres dressés pour parfois venir caresser nos burnes elles aussi bien en proportion. Puis après avoir ré-ouvert les yeux nous avions dessoudé nos lèvres.
Nous nous regardions une nouvelle fois dans les yeux et sans rien dire, comme si c’était déjà convenu à l’avance, nos corps s’étaient retrouvés en position idéale pour venir gouter à l’attribut de l’être aimé et désiré. J’avais donné quelques baisers sur le gland déjà à moitié décalotté de Jacques. Ma langue avait commencé par parcourir le frein, cela donnait déjà des frissons à mon amour. Ensuite j’avais décalotté entièrement le gland avec mes lèvres.
Jacques de son côté avait déjà mis mon sexe bandé dans sa bouche, ses lèvres effectuaient une variante de pressions au passage de ma colonne de chair. C’était sa langue qui avait repris le dessus en venant léchouiller mon gland et mon frein.
Nous étions tous les deux comme hors du temps, nous étions à l’écoute de nos corps et bien entendu à l’écoute de celui à qui nous donnions du plaisir buccal.
J’avais maintenant englouti la queue de Jacques et j’accentuais le va et vient entre mes lèvres. Nous commencions chacun à râler de plaisir. Nous allions toujours à la limite de l’orgasme pour arrêter à temps en vue de prolonger le plaisir. Nos murmures en disaient long sur l’état de jouissance qui allait arriver. Nos corps étaient tendus et ivres de bonheur, dans un mouvement des muscles sous abdominaux et pelviens, nos corps s’étaient raidis presque en même temps et puis ce fut le tsunami de bonheur et de grandes sensations, nos poils étaient hérissés sur tout le corps et enfin nous laissions partir avec puissance toute la sève qui attendait cette ultime libération pour venir s’écraser au fond de nos gorges.
Nos corps étaient mouillés de sueur et nous nous étions repositionnés pour partager un baiser en mêlant nos semences.
Nous nous étions affalés l’un à côté de l’autre, le temps pour nous de récupérer un peu. Puis nous étions allés reprendre une douche toujours un peu dans un nuage de bonheur et de partage mutuel.
Après nous être rafraîchis et séchés, nous étions ressortis de la salle de bain, nus et nous avions croisés Delphine, en tenue d’Ève qui allait prendre sa douche à son tour. Elle affichait un large sourire, elle avait bien deviné la raison de cette seconde douche avant l’aller dormir. Elle ajoutait même :
Del : Je suis heureuse de voir que vous vous aimez si fort.
Moi : Pourquoi dis-tu ça.
Del : Tu sais Phil, vous n’avez pas été des plus discrets.
Jacques et moi avions piqué un phare. Puis nous avions souhaité une bonne nuit à ma grande sœur. Une fois dans la chambre nous nous étions couchés pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin.
Nous voilà tous enfin prêts pour faire du ski durant une semaine. Pour faire le trajet en direction de la France et plus précisément en direction de Chamrousse, nous étions partis en voiture. Papa avait loué une camionnette pour nous y rendre. En effet il y avait Delphine et Stéphanie, maman, papa ainsi que Jacques et moi. Nous étions donc six avec tout le matériel, soit les skis, les bottines, les bagages, etc.
Au fait la station de Chamrousse, c’est une station de ski qui a été utilisée lors des Jeux Olympiques d’Hiver en 1968. Il y avait eu entre autres la descente dames. Cette piste où eu lieu cette descente est en fait une piste noire fort prisée par les skieurs.
Le trajet s’était effectué sans problème. Les routes étaient dégagées mais un peu encombrées vers la fin du trajet. Nous étions arrivés au chalet que papa avait loué pour la semaine. Il était assez spacieux, trois chambres à coucher avec lit double, deux salles de bain, un grand séjour ouvert sur une terrasse et un dressing spécialement conçu pour entreposer les skis et tout le matériel.
Une fois installés, nous sommes allés faire un tour dans la station. Il y avait quelques boutiques, des restaurants, un cinéma, etc. Nous avions effectué les achats pour nous restaurer au chalet. Je savais que nous irions souvent manger à l’extérieur.
Jacques était emballé tout comme Stéphanie. Jacques avait déjà fait un peu de ski et n’était donc pas novice, nous aurions donc l’occasion de nous y mettre dès le lendemain matin. En ce qui concerne Stéphanie, elle n’avait fait que dix jours de ski en classe d’hiver avec son école. Bref, Delphine lui avait bien dit qu’elle serait toujours auprès d’elle. Papa avait d’ailleurs conseillé à Stéphanie de suivre peut-être quelques heures de remise à niveau avec un moniteur. Stéphanie était enchantée, car elle avait un peu d’appréhension.
La première nuit s’était bien passée. Nous avions, chaque couple, notre chambre. Papa avait donc bien fait les choses. Nous étions, Jacques et moi, restés assez sages ; nous nous étions embrassés et nous nous étions simplement branlés mutuellement.
Dès le matin, après être allé récupérer les forfaits pour la semaine, nous étions partis sur les pistes Jacques et moi.
Nous avions chacun une combinaison de ski. Nous étions partis sur le site skiable de la station. Nous voulions entre autres effectuer la descente dame des JO. Nous y étions et nous avions entrepris sa descente. C’est vrai que le début était assez pentu, mais nous n’en avions pas trop peur.
Vers 12h00 nous avions rejoint la famille pour manger un bout. Nous étions tous réunis sur la terrasse d’un établissement. Nous avions mangé de bon appétit, mais sans trop exagérer car nous voulions encore profiter des pistes pour l’après-midi.
Vers 15h30 alors que nous étions sur le tire-fesses, celui-ci s’était arrêté subitement. Nous étions à vue de nez à mi-chemin. Je ne sais pas si c’étaient les boissons du repas de midi ou alors le froid qui commençait à monter, mais je commençais à avoir envie de pisser. Je voyais Jacques qui était juste devant moi, qui lui aussi semblait avoir envie de pisser, il se dandinait d’une jambe à l’autre, signe d’un pipi pressant. Nous avions dû attendre et puis une bonne demi-heure plus tard, le tire-fesses avait repris du service.
Au moment où le tire-fesses s’est ébranlé, j’ai lâché prise et je me suis crouté comme un bleu. Mais en plus, pour en ajouter à ma situation, j’avais laissé passer un jet d’urine qui avait mouillé mon slip, puis un second jet alors que j’étais étendu sur la neige. Je n’avais pas pu me retenir et j’avais inondé ma combi, heureusement qu’elle était étanche. J’étais un sale petit pisseux. Jacques lui était arrivé au-dessus et avait entrepris la descente pour me rejoindre.
Jacques m’avait rejoint et nous avions terminé la descente à deux. Nous avions ensuite repris le tire-fesses pour renouveler une nouvelle descente.
A l’issue de celle-ci, j’avais vu à sa tête que Jacques n’était pas dans son assiette. De mon côté de commençais à avoir froid, surtout au niveau de mes attributs. J’avais demandé à Jacques ce qui se passait. Il m’avait dit, en ayant piqué un phare au niveau du visage, qu’il s’était pissé dessus alors qu’il attendait que le tire-fesses reparte.
Je m’étais mis à rire, en lui disant que moi aussi j’étais trempé car j’avais pissé moi aussi dans ma combi lorsque je m’étais croûté. J’avais alors vu un début de sourire sur les lèvres de Jacques.
Pour notre premier jour de ski, nous avions fait très fort, nous nous étions pissés dessus. Nous avions regagné le chalet pour nous changer et bien entendu pour y prendre une bonne douche. C’est donc à deux que nous étions sous la douche de la salle de bain réservée aux jeunes.