08-08-2024, 05:58 PM
Vous avez dû patienter mais voici une petite suite un peu particulière mais qui je l'espère vous plaira malgré tout ! La prochaine sera certaine beaucoup plus chaude, moins sérieuse et plus proche de la réalité de mes deux jeunes. Seul problème pour moi, j'hésite encore sur l'orientation que va adopter mon petit Louis...
Je me suis réveillé une première fois, vers l'Est on voyait que le soleil se préparait à nous réchauffer mais ce n'était pas encore vraiment le moment aussi après avoir été soulager ma vessie je me suis recouché. J'ai frissonné sans savoir si c'était la fraîcheur matinale ou si c'était la vue de Louis qui dormait encore ce qui n'empêchait pas une jolie érection de pointer sous le léger drap qui le couvrait. J'étais perplexe, comme la veille, d'un côté je ne pouvais m'empêcher d'avoir une envie de le serrer contre moi, de promener mes mains sur son corps, sur tout son corps. Mais depuis que je savais qu'il était marié, j'étais dans le doute le plus complet : depuis que j'étais arrivé à la Bergerie, il n'avait manifesté aucune tentative d'intimité, sauf ce baiser à l'arrivée qu'il m'avait accordé dans un élan très spontané. Bon, il faut admettre que je n'avais pas été au mieux de ma forme, que je n'étais peut-être pas très attirant mais un corps est un corps dont la vue ne peut laisser indifférent. Et j'avais parfaitement remarqué, malgré mon état, qu'il me regardait d'une manière qui me troublait.
Sa femme savait-elle que dans son adolescence Louis avait certainement ressenti une attraction pour les garçons, mais il était si jeune, si naïf que cela ne signifiait rien du fond de sa personnalité. Et pourtant, j'avais cette intuition que je ne le laissais pas indifférent, j'avais même l'impression qu'il luttait contre une envie qui devait se trouver en porte à faux entre la fidélité due à sa femme ou assouvir ce besoin qui émanait d'un corps nu, quasiment à disposition, le mien, dont il ne pouvait pas ne pas se souvenir.
Le froid m'a vraiment saisi, je me suis rapidement recouché, la tiédeur de mon corps avait fait place à des draps maintenant froids. Instinctivement, je me suis rapproché de la source de chaleur qui émanait du corps de mon compagnon, je me suis lové contre lui, mon poitrail contre son dos contrairement à mon bas-ventre qui voulait encore ignorer le contact avec ses fesses.
J'étais à peine allongé que Louis poussa un soupir au moment où nos deux corps se trouvèrent imbriqués l'un dans l'autre. Immédiatement mon sexe réagit vivement, mon membre se trouva spontanément plaqué entre ses deux fesses. Instinctivement, sans vraiment réaliser ce que je faisais, mon bras passa pardessus son corps, ma main reconnu le nœud de son nombril, mon petit doigt pénétra dans ce petit creux qu'il abandonna rapidement pour céder à l'attraction de ce qui était au-delà de sa légère toison et que mon esprit reconnut immédiatement. Au moment où ma main se saisit de son pénis, tout son corps fus brièvement saisi d'une contraction, j'entendis le soupir qu'il poussa, il écarta légèrement ses jambes comme pour me faciliter l'accès à ses deux petites boules. Mon membre était d'une rigidité maximum.
Oui, j'étais à moitié réveillé mais cela ne m'avait pas empêché de le regarder alors qu'il dormait nu, à mes côtés, couché sur le dos : il avait certes perdu cet aspect enfantin d'alors, mais il en restait néanmoins un je ne sais quoi qui m'émouvait au point que mon sexe avait tendance à évoluer d'une manière que vous connaissez bien en éveillant en moi des sensations qui, heureusement, n'avaient rien à voir avec mes clients du passé. Là, c'était comme une torpeur qui se développait en envahissant mon corps, dans les moindres recoins de mon intimité. J'avais même l'impression que mon cerveau était lui également englobé dans ce qui ressemblait à un brouillard épais mais qui laissait malgré tout deviner les objets dans un flou attirant.
Je croyais m'endormir mais en réalité tout mon être était en éveil, tout s'agitait dans ma tête et dans mon corps. C'était une agitation que je ne contrôlais que partiellement, entre un cerveau qui me recommandait la prudence et la retenue et un corps qui bouillonnait de plus en plus et qui me poussait à l'action.
Et pourtant, je retirais mon bras qui était immobile, mon corps mis une certaine distance du sien ce qui contribua à détendre quelque peu le tension de mon sexe.
À la lueur qui venait de la porte que nous avions laissé ouverte, je le regardais, je regardais son corps endormi et complètement détendu, il respirait calmement, son thorax se soulevait régulièrement. Ses cheveux blonds encadraient son visage et je me fis la réflexion qu'il avait besoin d'aller chez le coiffeur. Son nez, fin, était au milieu de sa figure ce qui me fit sourire intérieurement car où aurait-il pu être sinon à cet endroit ? Sa bouche était mise en valeur par la beauté de ses lèvres légèrement roses, juste charnues comme il le faut pour être terriblement attirantes au point que je ne puis m'empêcher d'y poser mon index pour une brève caresse qui provoqua un mouvement reflexe de sa part. Ses joues, je les reconnaissais, avec leurs deux petites fossettes tellement attendrissantes, toujours les mêmes.
Sa poitrine était totalement imberbe, comme lorsqu'il était un tout jeune adolescent, de sorte que ses deux petits seins étaient bien en évidence avec chacun leur petite auréole, l'une était parfaitement flasque alors que sur celle proche de moi, une petite pointe était nettement érigée, oh combien tentante.
Son ventre était plat avec ce nombril dans lequel, il y avait quelques instant, j'avais pris plaisir à introduire mon petit doigt en pensant à l'excitation qu'il aurait pu ressentir si s'aventure j'y avais implanté ma langue.
À partir de là, mon regard plongeait dans son intimité, pas la plus intime puisqu'il dormait sur le dos. Mais ce que je voyais à cet instant était largement suffisant pour mon plaisir et redonner une certaine vigueur à mon sexe. Même si, je l'ai dit, c'est son domaine bien à lui pour le moment du moins, je ne peux m'empêcher de vous le décrire avec une certaine précision. Il, je parle de son sexe comme s'il s'agissait d'un être vivant, reposait sur sa cuisse, comme blotti contre l'un de ses testicules, au repos même si on pouvait facilement pressentir que sa mise en action serait relativement facile. Ce sexe, il était exactement comme je les aime : long et mince. Long, ce qui autorise une pénétration au plus profond du corps du partenaire et mince ce qui laisse une marge de mouvement dans le rectum d'où des sensations extrêmes chez les deux partenaires : ils peuvent aussi bien donner que recevoir avec une grande complicité. La minceur a également un autre avantage, de minimiser la douleur lors du passage du sphincter même si à force de s'y habituer cette douleur finit par être partie intégrante du plaisir.
Tiens, je viens d'utiliser la terme de "sodomie". Que je vous dise tout de suite que je déteste ce terme qui, dans mon esprit, n'a aucune signification malgré sa relation biblique. En utilisant ce mot, car je ne peux souvent pas faire autrement, cela ne m'inspire pas. Je préfère parler de pénétration voire même du terme d'enculer franchement cru mais qui est au moins explicite. J'ai lu une fois l'expression de "se faire taper dans la rondelle" qui serait presque poétique !
Au point où j'en suis que je confesse que la sodomie ne représente pas pour moi le Graal des relations avec un garçon alors que tous les récits, qu'ils soient écrits ou oraux, considèrent que c'est le summum de la jouissance. Certes, j'apprécie également ce sentiment de plénitude que l'intromission d'un sexe procure aux partenaires et l'orgasme qu'il déclenche, pour plaisant qu'il soit je le reconnais, écrase tout autre sentiment ne serait par cette brève perte de conscience qu'il déclenche souvent.
J'en reviens au moment présent avec la description du sexe de Louis qui n'est pas circoncis mais qui, en l'occurrence, laisse paraître l'extrémité du gland avec son méat lequel laisse percevoir, me semble-t-il, une petite goutte perlée de precum. Est-ce une illusion de ma part ou peut-être même un espoir inavoué, où la démonstration d'une certaine excitation inconsciente à moins, sait-on jamais, qu'il ne dorme que très superficiellement où même qu'il joue le sommeil…
Ses deux petites boules étaient sagement enfermées dans le scrotum qui formait comme une enveloppe empêchant d'admirer ces petits organes tellement sensibles aux chocs bien sûr mais surtout aux caresses qui leur sont dispensées. Chez Louis ce petit sac était très haut et donnait l'impression d'entourer la base de son pénis, sa peau était tendue mais marquait néanmoins des signes de chairs de poule.
Lentement je commençais à avoir des doutes sur la réalité de son sommeil à plusieurs petits signes comme un très bref clignement de la paupière, une contraction de son sexe comme s'il répondait à une stimulation, il me semblait que son membre avait quelque peu pris du volume et surtout que son gland était de plus en plus mouillé. Je m'étais penché et j'avais pu humer cette odeur que j'aime tant, si caractéristique chez les garçons, et cela avait brutalement ravivé chez moi non seulement la raideur de mon organe mais également je ne pouvais que constater l'abondance soudaine de ma sécrétion.
Il me devenait de plus en plus difficile de dominer l'excitation qui s'emparait de tout mon corps en admirant cette vision qui semblait vouloir s'offrir à moi malgré la résistance de ma volonté intellectuelle. Ne croyez pas que Louis était un phénomène de la beauté humaine, il n'avait rien d'exceptionnel mais il avait cet avantage d'être là, à côté de moi, je n'avais qu'à tendre la main pour en disposer. Mais il dormait, il ne pouvait et ne m'avait pas donné son consentement, tendre ma main et me saisir de son corps était si facile mais le reste de mon éducation judéo-chrétienne m'empêchait de franchir cette ultime barrière, mais pour combien de temps encore ?
Je me suis réveillé une première fois, vers l'Est on voyait que le soleil se préparait à nous réchauffer mais ce n'était pas encore vraiment le moment aussi après avoir été soulager ma vessie je me suis recouché. J'ai frissonné sans savoir si c'était la fraîcheur matinale ou si c'était la vue de Louis qui dormait encore ce qui n'empêchait pas une jolie érection de pointer sous le léger drap qui le couvrait. J'étais perplexe, comme la veille, d'un côté je ne pouvais m'empêcher d'avoir une envie de le serrer contre moi, de promener mes mains sur son corps, sur tout son corps. Mais depuis que je savais qu'il était marié, j'étais dans le doute le plus complet : depuis que j'étais arrivé à la Bergerie, il n'avait manifesté aucune tentative d'intimité, sauf ce baiser à l'arrivée qu'il m'avait accordé dans un élan très spontané. Bon, il faut admettre que je n'avais pas été au mieux de ma forme, que je n'étais peut-être pas très attirant mais un corps est un corps dont la vue ne peut laisser indifférent. Et j'avais parfaitement remarqué, malgré mon état, qu'il me regardait d'une manière qui me troublait.
Sa femme savait-elle que dans son adolescence Louis avait certainement ressenti une attraction pour les garçons, mais il était si jeune, si naïf que cela ne signifiait rien du fond de sa personnalité. Et pourtant, j'avais cette intuition que je ne le laissais pas indifférent, j'avais même l'impression qu'il luttait contre une envie qui devait se trouver en porte à faux entre la fidélité due à sa femme ou assouvir ce besoin qui émanait d'un corps nu, quasiment à disposition, le mien, dont il ne pouvait pas ne pas se souvenir.
Le froid m'a vraiment saisi, je me suis rapidement recouché, la tiédeur de mon corps avait fait place à des draps maintenant froids. Instinctivement, je me suis rapproché de la source de chaleur qui émanait du corps de mon compagnon, je me suis lové contre lui, mon poitrail contre son dos contrairement à mon bas-ventre qui voulait encore ignorer le contact avec ses fesses.
J'étais à peine allongé que Louis poussa un soupir au moment où nos deux corps se trouvèrent imbriqués l'un dans l'autre. Immédiatement mon sexe réagit vivement, mon membre se trouva spontanément plaqué entre ses deux fesses. Instinctivement, sans vraiment réaliser ce que je faisais, mon bras passa pardessus son corps, ma main reconnu le nœud de son nombril, mon petit doigt pénétra dans ce petit creux qu'il abandonna rapidement pour céder à l'attraction de ce qui était au-delà de sa légère toison et que mon esprit reconnut immédiatement. Au moment où ma main se saisit de son pénis, tout son corps fus brièvement saisi d'une contraction, j'entendis le soupir qu'il poussa, il écarta légèrement ses jambes comme pour me faciliter l'accès à ses deux petites boules. Mon membre était d'une rigidité maximum.
Oui, j'étais à moitié réveillé mais cela ne m'avait pas empêché de le regarder alors qu'il dormait nu, à mes côtés, couché sur le dos : il avait certes perdu cet aspect enfantin d'alors, mais il en restait néanmoins un je ne sais quoi qui m'émouvait au point que mon sexe avait tendance à évoluer d'une manière que vous connaissez bien en éveillant en moi des sensations qui, heureusement, n'avaient rien à voir avec mes clients du passé. Là, c'était comme une torpeur qui se développait en envahissant mon corps, dans les moindres recoins de mon intimité. J'avais même l'impression que mon cerveau était lui également englobé dans ce qui ressemblait à un brouillard épais mais qui laissait malgré tout deviner les objets dans un flou attirant.
Je croyais m'endormir mais en réalité tout mon être était en éveil, tout s'agitait dans ma tête et dans mon corps. C'était une agitation que je ne contrôlais que partiellement, entre un cerveau qui me recommandait la prudence et la retenue et un corps qui bouillonnait de plus en plus et qui me poussait à l'action.
Et pourtant, je retirais mon bras qui était immobile, mon corps mis une certaine distance du sien ce qui contribua à détendre quelque peu le tension de mon sexe.
À la lueur qui venait de la porte que nous avions laissé ouverte, je le regardais, je regardais son corps endormi et complètement détendu, il respirait calmement, son thorax se soulevait régulièrement. Ses cheveux blonds encadraient son visage et je me fis la réflexion qu'il avait besoin d'aller chez le coiffeur. Son nez, fin, était au milieu de sa figure ce qui me fit sourire intérieurement car où aurait-il pu être sinon à cet endroit ? Sa bouche était mise en valeur par la beauté de ses lèvres légèrement roses, juste charnues comme il le faut pour être terriblement attirantes au point que je ne puis m'empêcher d'y poser mon index pour une brève caresse qui provoqua un mouvement reflexe de sa part. Ses joues, je les reconnaissais, avec leurs deux petites fossettes tellement attendrissantes, toujours les mêmes.
Sa poitrine était totalement imberbe, comme lorsqu'il était un tout jeune adolescent, de sorte que ses deux petits seins étaient bien en évidence avec chacun leur petite auréole, l'une était parfaitement flasque alors que sur celle proche de moi, une petite pointe était nettement érigée, oh combien tentante.
Son ventre était plat avec ce nombril dans lequel, il y avait quelques instant, j'avais pris plaisir à introduire mon petit doigt en pensant à l'excitation qu'il aurait pu ressentir si s'aventure j'y avais implanté ma langue.
À partir de là, mon regard plongeait dans son intimité, pas la plus intime puisqu'il dormait sur le dos. Mais ce que je voyais à cet instant était largement suffisant pour mon plaisir et redonner une certaine vigueur à mon sexe. Même si, je l'ai dit, c'est son domaine bien à lui pour le moment du moins, je ne peux m'empêcher de vous le décrire avec une certaine précision. Il, je parle de son sexe comme s'il s'agissait d'un être vivant, reposait sur sa cuisse, comme blotti contre l'un de ses testicules, au repos même si on pouvait facilement pressentir que sa mise en action serait relativement facile. Ce sexe, il était exactement comme je les aime : long et mince. Long, ce qui autorise une pénétration au plus profond du corps du partenaire et mince ce qui laisse une marge de mouvement dans le rectum d'où des sensations extrêmes chez les deux partenaires : ils peuvent aussi bien donner que recevoir avec une grande complicité. La minceur a également un autre avantage, de minimiser la douleur lors du passage du sphincter même si à force de s'y habituer cette douleur finit par être partie intégrante du plaisir.
Tiens, je viens d'utiliser la terme de "sodomie". Que je vous dise tout de suite que je déteste ce terme qui, dans mon esprit, n'a aucune signification malgré sa relation biblique. En utilisant ce mot, car je ne peux souvent pas faire autrement, cela ne m'inspire pas. Je préfère parler de pénétration voire même du terme d'enculer franchement cru mais qui est au moins explicite. J'ai lu une fois l'expression de "se faire taper dans la rondelle" qui serait presque poétique !
Au point où j'en suis que je confesse que la sodomie ne représente pas pour moi le Graal des relations avec un garçon alors que tous les récits, qu'ils soient écrits ou oraux, considèrent que c'est le summum de la jouissance. Certes, j'apprécie également ce sentiment de plénitude que l'intromission d'un sexe procure aux partenaires et l'orgasme qu'il déclenche, pour plaisant qu'il soit je le reconnais, écrase tout autre sentiment ne serait par cette brève perte de conscience qu'il déclenche souvent.
J'en reviens au moment présent avec la description du sexe de Louis qui n'est pas circoncis mais qui, en l'occurrence, laisse paraître l'extrémité du gland avec son méat lequel laisse percevoir, me semble-t-il, une petite goutte perlée de precum. Est-ce une illusion de ma part ou peut-être même un espoir inavoué, où la démonstration d'une certaine excitation inconsciente à moins, sait-on jamais, qu'il ne dorme que très superficiellement où même qu'il joue le sommeil…
Ses deux petites boules étaient sagement enfermées dans le scrotum qui formait comme une enveloppe empêchant d'admirer ces petits organes tellement sensibles aux chocs bien sûr mais surtout aux caresses qui leur sont dispensées. Chez Louis ce petit sac était très haut et donnait l'impression d'entourer la base de son pénis, sa peau était tendue mais marquait néanmoins des signes de chairs de poule.
Lentement je commençais à avoir des doutes sur la réalité de son sommeil à plusieurs petits signes comme un très bref clignement de la paupière, une contraction de son sexe comme s'il répondait à une stimulation, il me semblait que son membre avait quelque peu pris du volume et surtout que son gland était de plus en plus mouillé. Je m'étais penché et j'avais pu humer cette odeur que j'aime tant, si caractéristique chez les garçons, et cela avait brutalement ravivé chez moi non seulement la raideur de mon organe mais également je ne pouvais que constater l'abondance soudaine de ma sécrétion.
Il me devenait de plus en plus difficile de dominer l'excitation qui s'emparait de tout mon corps en admirant cette vision qui semblait vouloir s'offrir à moi malgré la résistance de ma volonté intellectuelle. Ne croyez pas que Louis était un phénomène de la beauté humaine, il n'avait rien d'exceptionnel mais il avait cet avantage d'être là, à côté de moi, je n'avais qu'à tendre la main pour en disposer. Mais il dormait, il ne pouvait et ne m'avait pas donné son consentement, tendre ma main et me saisir de son corps était si facile mais le reste de mon éducation judéo-chrétienne m'empêchait de franchir cette ultime barrière, mais pour combien de temps encore ?