27-07-2024, 11:59 PM
(Modification du message : 28-07-2024, 02:30 PM par fablelionsilencieux.)
Les livreurs
Par Tom Frack
Une sonnerie résonne dans ma tête, je ne dors déjà plus qu’à moitié. Je tends le bras droit mais ne rencontre que le vide. Je grogne. Ma femme me manque. Quinze jours qu’elle est partie voir sa mère qui « ne se sent pas bien !». Mon cul oui. Quinze jours que je n’ai touché personne, quinze jours sans avoir posé ma main sur ses seins fermes, glisser mes doigts entre ses cuisses douces. Quinze jours que je ne l’ai pas entendue gémir de plaisir en la pénétrant lentement, très lentement. Quinze jours que je n’ai pas senti sa chair se refermer autour de la mienne, sa langue jouer avec la mienne, sa peau… Oh non, c’est pas vrai, voilà que je bande comme un âne. Non, je ne dois pas me toucher, je dois attendre ce soir ; car c’est ce soir qu’elle revient, ce soir que je pourrai enfin mettre fin à cette trop longue attente. Je ne peux pas m’empêcher de poser mes doigts sur mes tétons durcis. Je glisse ma main sur mon torse glabre, l’insinue dans mon boxer, seul vêtement que je porte pour dormir, je sens mon sexe palpiter sous ma main. Je fais coulisser la peau autour de mon gland très doucement. Je ne veux pas jouir ! Je ne dois pas jouir ! Ma respiration s’accélère, j’ai chaud, je suis bien. Du précum commence à sortir de mon gland et se repend dans ma main. Je gémis. Je ne vais pas tenir !
Driiiiiinnnng !
Je sursaute. Mais qu’est-ce que… ah, oui, la sonnette de l’entrée. Mais quel est l’enfoi… Merde, la machine à laver. Il est déjà neuf heures !!
Je me jette hors du lit. Je dois à tout prix ouvrir la porte avant que les livreurs se barrent sinon ma femme ne va pas être contente ! Oh, non ! Pas du tout ! Et ce sera ceinture ce soir ! Je descends les escaliers quatre à quatre, longe le couloir. La maison est grande, c’est moi qui l’ai construite de mes mains… enfin en partie. Je suis maçon de formation et bientôt promu chef de chantier, à vingt-cinq ans, je suis plutôt satisfait. En ce moment tout baigne pour moi. Mon patron est plus que content de mon travail, je viens de me marier avec la femme que j’aime. Une seule ombre au tableau, une abstinence de quinze jours qui devrait prendre fin ce soir. Du moins, si j’arrive à temps.
J’arrive à la porte d’entrée, saisis la poignée et l’ouvre à la volée pour tomber nez à nez avec deux hommes interloqués. Pourquoi me regardent-ils bizarrement ? Qu’est-ce que… Brusquement, je saisis l’étrangeté de la scène. Ils doivent me prendre pour un malade. Je viens de leur ouvrir, juste vêtu d’un boxer de coton blanc déformé par une belle érection et je souffle comme un bœuf à cause du sprint que je viens de piquer.
Ce n’est pas que je sois mal foutu, au contraire, d’après les dires des personnes que j’ai fréquentées. Certes, je ne suis pas très grand, mais un mètre soixante-neuf ce n’est pas un nain non plus et ce que perds en taille, je le compense en muscles. Une chance parce que sinon jamais on ne me prendrait au sérieux. Blond aux yeux bleus, j’ai plutôt un look de surfeur californien et rares sont ceux qui me donnent mon âge.
— Euh… bonjour… (Faut que je me reprenne là ! Un peu de dignité, que diantre !). Excusez ma tenue mais je vous avais oublié et je… dormais. (Ben voyons, c’est ça, tu crois qu’ils vont te croire avec la gaule que t’as dans le calbut).
Je les observe un moment. Ils sont deux, plutôt jeunes et baraqués, un brun et un blond. Le brun porte une pochette remplie de documents – le chef, probablement. Les cheveux très courts, je lui donnerais mon âge. Il porte un pantalon de travail beige avec un nombre de poches impressionnantes dont certaines occupées par des outils ou des stylos, des chaussures de sécurité noires et un t-shirt blanc. L’autre est plus grand et plus massif. Ses cheveux blonds sont ras, ses bras tendent son t-shirt orange et ses cuisses moulées dans son jean sont impressionnantes. Ils m'observent tous les deux également.
— Bonjour. Monsieur Dupont ? Me demande le brun en me tendant la main.
Il semble avoir repris ses esprits et faire abstraction de ma tenue minimaliste. Machinalement je tends ma main droite et la lui serre. M’apercevant par la même des résidus de précum qui y subsistent… Avec un peu de chance il pensera que c’est de la sueur.
— Oui, c’est bien moi.
— On vous la met où, me demande-t-il en me montrant le lave-linge qui trône sur le trottoir.
— Heu… suivez-moi, je leur dis en rentrant dans la maison.
Ils prennent la machine, sans effort apparent et me suivent. Je les entraîne au sous-sol, jusqu’à la buanderie. L’escalier n’est pas très large et pas des plus pratique mais ils ne se plaignent pas et exécute leur tâche à la perfection sans éborgner le moindre mûr. Je leur indique l’emplacement et aussitôt ils se mettent à l’œuvre, déballent l’appareil, réalise les branchements et m’explique les quelques subtilités de la première mise en marche. Du service de grande classe. Puis le brun sort ses papiers et me fait signer le bon de réception.
— Bien, il vous reste cinquante euros à payer.
Merde, j’ai oublié mon chéquier à l’étage.
— Ah, oui, je vais vous faire le chèque en haut, suivez-moi.
On remonte au premier étage et je les installe dans la cuisine pendant que je vais chercher mon chéquier. Je reviens quelques secondes plus tard et m’acquitte du paiement.
— Tenez ! fis-je au chef, alors que l’autre attend à ses côtés.
— Merci, me dit-il.
Cette fois c’est moi qui leur tends la main pour les saluer et les remercier de leur travail, mais curieusement, ils ne s’en vont pas et me regardent, semblant attendre quelque chose.
— Y-a-t-il d’autres formalités, je demande alors, incertain.
— Et bien, habituellement, on nous donne un pourboire, me répond le blond.
Putain, j’aurai dû y penser. Encore une pratique désuète qui persiste.
— Je suis désolé mais je n’ai pas de monnaie. Habituellement, c’est ma femme qui gère ça et elle n’est pas là.
— On prend les billets aussi, me dit le blond.
Là, faut pas abuser mon gars. Après tout, j’ai payé la livraison !
— Désolé mais je n’ai vraiment rien, fis-je d’un ton plus catégorique.
Le blond se renfrogne et je vois le regard du brun qui s’attarde sur moi.
— On prend aussi les gâteries en nature, me dit-il.
Hein, qu’est-ce que… non mais ça va pas la tête!
Mais brusquement, je suis moins sûr de moi. Ils sont deux et plus costauds que moi. En plus, ma tenue ne me laisse guère de protection.
— Je pense que vous feriez mieux de partir, fis-je, alors que le blond me contourne.
Je suis maintenant entre les deux et je n’en mène pas large.
— Pourquoi ? C’est l’heure de notre pause, justement, me dit le brun en enlevant son t-shirt.
Son torse est musclé et aussi glabre que le mien. Bien que je soupçonne que cela ne soit pas naturel chez lui, contrairement à moi. Je jette un regard en arrière et le blond a fait la même chose. Son torse à lui est massif et recouvert d’une toison blonde et dense tondue courte.
J’essaye de m’échapper en courant vers la porte, mais le blond me prend en étau dans ses bras et me soulève comme un fétu de paille, puis brutalement, je me retrouve allongé sur le ventre, plaqué contre la table de la cuisine. Je relève la tête pour gueuler, mais je sens que l’on m’attrape par les cheveux et je vois le brun, un sourire vicieux aux lèvres, ouvrir sa braguette et sortir un mandrin d’un moins vingt centimètre, tendu à l’extrême. Le son n’a pas le temps de sortir de mes lèvres que son sexe envahit ma bouche et me bâillonne. Il se met alors à me limer la gueule comme j’avais prévu de le faire ce soir, bien installé dans le sexe de ma femme. Son gland épais butte régulièrement contre le fond de ma gorge et me provoque des hauts le cœur. Pendant ce temps le blond m’a attaché les mains dans le dos avec un torchon de cuisine et m’arrache maintenant mon boxer. J’essaye de le repousser avec mes pieds mais il m’immobilise facilement, d’autant plus facilement que je ne vois pas ce qui se passe derrière moi. Par contre je le sens. Je le sens douloureusement lorsqu’il m’enfonce un doigt entre les fesses. Je n’ai même pas le temps de tenter de résister qu’il est déjà entré. Mes abdominaux se contracte en signe de protestation alors que mon anus est ainsi violé digitalement.
— C’est trop serré, Marc, dit le blond au brun.
— Regarde si y a pas du beurre dans le frigo, lui répond-il.
Je le sens qui me quitte, sors son doigt de mes fesses, puis j’entends la porte du frigo.
— J’ai trouvé, dit brusquement le blond, apparemment content de sa découverte.
Je sens alors que l’on m’écarte les fesses et que l’on m’enduit l’anus de beurre. C’est froid. Je tente à nouveau de me débattre mais le blond me plaque bien contre la table. Il m’enfile alors un doigt puis deux. Le beurre fait son office et je n’y peux rien... Il me travaille la rondelle !
— Vas-y, on n’a pas beaucoup de temps, intervient alors le brun.
J’entends alors le papier de la tablette de beurre. Il doit en reprendre. Puis, je sens un barreau dur essayer de forcer mon anus. J’écarquille les yeux, je panique et je m’étouffe avec la verge qui occupe ma bouche. Je me tends, me cabre, mais le beurre empêche toute résistance et, inexorablement, je sens le chibre me pénétrer. Il ne doit pas être très long, car rapidement, je sens les cuisses du blond toucher les miennes. Il m’attrape par les hanches et commence à me pilonner. La douleur est puissante et je ne peux rien faire pour m’y soustraire. Mes deux livreurs se synchronisent et me liment en rythme. La table de la cuisine grince et j’espère qu’elle va tenir le coup.
Au bout de plusieurs minutes, je les sens ressortir de mes orifices et je m’effondre, à moitié inconscient sur le plateau de la table. Je tente de reprendre mon souffle, mais à peine ai-je le temps de réaliser ma libération que je sens des mains m’écarter les fesses et d’autres me saisir la tête. Je n’en peux plus. J’ouvre la bouche pour les supplier de me relâcher mais un sexe m’emplit la bouche. Il est différent du premier, plus petit et je comprends soudain qu’ils ont échangé de place. Un mandrin commence alors à s’introduire entre mes fesses. Il est gros, plus gros que le précédent. Je pousse pour l’empêcher d’entrer mais je suis à bout. Je sens qu’il exerce une pression mesurée, il attend que je cède, c’est trop dur…
Putain, je vais pas teni…
Le passage étant fait, mes sphincters finissent pas céder et je le sens s’enfoncer brutalement en moi. J’ai l’impression de le voir sourire. Un sourire sadique et satisfait. Il m’emplit complètement. J’ai l’impression que jamais cela ne va s’arrêter. Je sens ses mains me saisir fermement les hanches. Il va, il vient, il entre, il sort. Même si la douleur a fini par régressé... Il est énorme! Je voudrai lui crier d’arrêter mais la queue de l’autre m’en empêche. Soudain, je sens le sexe qui m’empli la bouche grossir et palpiter. Il s’enfonce au fond de ma gorge alors que son maître me bloque la tête en me tenant par les cheveux. Son sperme jaillit, je veux cracher mais je ne peux pas. Il coule dans ma gorge et je suis obligé de déglutir, j’avale tout, encore et encore, un vrai tsunami. Je l’entends gémir de plaisir.
Puis c’est l’autre qui se calle au fond de mes intestins et pousse un râle rauque. Un liquide chaud m’envahit. Le con il m’a fécondé, il aurait au moins pu mettre une capote. Ils restent un moment en moi en reprenant leur souffle et enfin je les sens se retirer et partir. Je suis épuisé et je reste là sans bouger sur la table. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits et quand enfin je parviens à me redresser, je sens contre mon ventre une masse de liquide chaud et visqueux…
Ils m’ont fait jouir, les cons !
FIN
Par Tom Frack
Une sonnerie résonne dans ma tête, je ne dors déjà plus qu’à moitié. Je tends le bras droit mais ne rencontre que le vide. Je grogne. Ma femme me manque. Quinze jours qu’elle est partie voir sa mère qui « ne se sent pas bien !». Mon cul oui. Quinze jours que je n’ai touché personne, quinze jours sans avoir posé ma main sur ses seins fermes, glisser mes doigts entre ses cuisses douces. Quinze jours que je ne l’ai pas entendue gémir de plaisir en la pénétrant lentement, très lentement. Quinze jours que je n’ai pas senti sa chair se refermer autour de la mienne, sa langue jouer avec la mienne, sa peau… Oh non, c’est pas vrai, voilà que je bande comme un âne. Non, je ne dois pas me toucher, je dois attendre ce soir ; car c’est ce soir qu’elle revient, ce soir que je pourrai enfin mettre fin à cette trop longue attente. Je ne peux pas m’empêcher de poser mes doigts sur mes tétons durcis. Je glisse ma main sur mon torse glabre, l’insinue dans mon boxer, seul vêtement que je porte pour dormir, je sens mon sexe palpiter sous ma main. Je fais coulisser la peau autour de mon gland très doucement. Je ne veux pas jouir ! Je ne dois pas jouir ! Ma respiration s’accélère, j’ai chaud, je suis bien. Du précum commence à sortir de mon gland et se repend dans ma main. Je gémis. Je ne vais pas tenir !
Driiiiiinnnng !
Je sursaute. Mais qu’est-ce que… ah, oui, la sonnette de l’entrée. Mais quel est l’enfoi… Merde, la machine à laver. Il est déjà neuf heures !!
Je me jette hors du lit. Je dois à tout prix ouvrir la porte avant que les livreurs se barrent sinon ma femme ne va pas être contente ! Oh, non ! Pas du tout ! Et ce sera ceinture ce soir ! Je descends les escaliers quatre à quatre, longe le couloir. La maison est grande, c’est moi qui l’ai construite de mes mains… enfin en partie. Je suis maçon de formation et bientôt promu chef de chantier, à vingt-cinq ans, je suis plutôt satisfait. En ce moment tout baigne pour moi. Mon patron est plus que content de mon travail, je viens de me marier avec la femme que j’aime. Une seule ombre au tableau, une abstinence de quinze jours qui devrait prendre fin ce soir. Du moins, si j’arrive à temps.
J’arrive à la porte d’entrée, saisis la poignée et l’ouvre à la volée pour tomber nez à nez avec deux hommes interloqués. Pourquoi me regardent-ils bizarrement ? Qu’est-ce que… Brusquement, je saisis l’étrangeté de la scène. Ils doivent me prendre pour un malade. Je viens de leur ouvrir, juste vêtu d’un boxer de coton blanc déformé par une belle érection et je souffle comme un bœuf à cause du sprint que je viens de piquer.
Ce n’est pas que je sois mal foutu, au contraire, d’après les dires des personnes que j’ai fréquentées. Certes, je ne suis pas très grand, mais un mètre soixante-neuf ce n’est pas un nain non plus et ce que perds en taille, je le compense en muscles. Une chance parce que sinon jamais on ne me prendrait au sérieux. Blond aux yeux bleus, j’ai plutôt un look de surfeur californien et rares sont ceux qui me donnent mon âge.
— Euh… bonjour… (Faut que je me reprenne là ! Un peu de dignité, que diantre !). Excusez ma tenue mais je vous avais oublié et je… dormais. (Ben voyons, c’est ça, tu crois qu’ils vont te croire avec la gaule que t’as dans le calbut).
Je les observe un moment. Ils sont deux, plutôt jeunes et baraqués, un brun et un blond. Le brun porte une pochette remplie de documents – le chef, probablement. Les cheveux très courts, je lui donnerais mon âge. Il porte un pantalon de travail beige avec un nombre de poches impressionnantes dont certaines occupées par des outils ou des stylos, des chaussures de sécurité noires et un t-shirt blanc. L’autre est plus grand et plus massif. Ses cheveux blonds sont ras, ses bras tendent son t-shirt orange et ses cuisses moulées dans son jean sont impressionnantes. Ils m'observent tous les deux également.
— Bonjour. Monsieur Dupont ? Me demande le brun en me tendant la main.
Il semble avoir repris ses esprits et faire abstraction de ma tenue minimaliste. Machinalement je tends ma main droite et la lui serre. M’apercevant par la même des résidus de précum qui y subsistent… Avec un peu de chance il pensera que c’est de la sueur.
— Oui, c’est bien moi.
— On vous la met où, me demande-t-il en me montrant le lave-linge qui trône sur le trottoir.
— Heu… suivez-moi, je leur dis en rentrant dans la maison.
Ils prennent la machine, sans effort apparent et me suivent. Je les entraîne au sous-sol, jusqu’à la buanderie. L’escalier n’est pas très large et pas des plus pratique mais ils ne se plaignent pas et exécute leur tâche à la perfection sans éborgner le moindre mûr. Je leur indique l’emplacement et aussitôt ils se mettent à l’œuvre, déballent l’appareil, réalise les branchements et m’explique les quelques subtilités de la première mise en marche. Du service de grande classe. Puis le brun sort ses papiers et me fait signer le bon de réception.
— Bien, il vous reste cinquante euros à payer.
Merde, j’ai oublié mon chéquier à l’étage.
— Ah, oui, je vais vous faire le chèque en haut, suivez-moi.
On remonte au premier étage et je les installe dans la cuisine pendant que je vais chercher mon chéquier. Je reviens quelques secondes plus tard et m’acquitte du paiement.
— Tenez ! fis-je au chef, alors que l’autre attend à ses côtés.
— Merci, me dit-il.
Cette fois c’est moi qui leur tends la main pour les saluer et les remercier de leur travail, mais curieusement, ils ne s’en vont pas et me regardent, semblant attendre quelque chose.
— Y-a-t-il d’autres formalités, je demande alors, incertain.
— Et bien, habituellement, on nous donne un pourboire, me répond le blond.
Putain, j’aurai dû y penser. Encore une pratique désuète qui persiste.
— Je suis désolé mais je n’ai pas de monnaie. Habituellement, c’est ma femme qui gère ça et elle n’est pas là.
— On prend les billets aussi, me dit le blond.
Là, faut pas abuser mon gars. Après tout, j’ai payé la livraison !
— Désolé mais je n’ai vraiment rien, fis-je d’un ton plus catégorique.
Le blond se renfrogne et je vois le regard du brun qui s’attarde sur moi.
— On prend aussi les gâteries en nature, me dit-il.
Hein, qu’est-ce que… non mais ça va pas la tête!
Mais brusquement, je suis moins sûr de moi. Ils sont deux et plus costauds que moi. En plus, ma tenue ne me laisse guère de protection.
— Je pense que vous feriez mieux de partir, fis-je, alors que le blond me contourne.
Je suis maintenant entre les deux et je n’en mène pas large.
— Pourquoi ? C’est l’heure de notre pause, justement, me dit le brun en enlevant son t-shirt.
Son torse est musclé et aussi glabre que le mien. Bien que je soupçonne que cela ne soit pas naturel chez lui, contrairement à moi. Je jette un regard en arrière et le blond a fait la même chose. Son torse à lui est massif et recouvert d’une toison blonde et dense tondue courte.
J’essaye de m’échapper en courant vers la porte, mais le blond me prend en étau dans ses bras et me soulève comme un fétu de paille, puis brutalement, je me retrouve allongé sur le ventre, plaqué contre la table de la cuisine. Je relève la tête pour gueuler, mais je sens que l’on m’attrape par les cheveux et je vois le brun, un sourire vicieux aux lèvres, ouvrir sa braguette et sortir un mandrin d’un moins vingt centimètre, tendu à l’extrême. Le son n’a pas le temps de sortir de mes lèvres que son sexe envahit ma bouche et me bâillonne. Il se met alors à me limer la gueule comme j’avais prévu de le faire ce soir, bien installé dans le sexe de ma femme. Son gland épais butte régulièrement contre le fond de ma gorge et me provoque des hauts le cœur. Pendant ce temps le blond m’a attaché les mains dans le dos avec un torchon de cuisine et m’arrache maintenant mon boxer. J’essaye de le repousser avec mes pieds mais il m’immobilise facilement, d’autant plus facilement que je ne vois pas ce qui se passe derrière moi. Par contre je le sens. Je le sens douloureusement lorsqu’il m’enfonce un doigt entre les fesses. Je n’ai même pas le temps de tenter de résister qu’il est déjà entré. Mes abdominaux se contracte en signe de protestation alors que mon anus est ainsi violé digitalement.
— C’est trop serré, Marc, dit le blond au brun.
— Regarde si y a pas du beurre dans le frigo, lui répond-il.
Je le sens qui me quitte, sors son doigt de mes fesses, puis j’entends la porte du frigo.
— J’ai trouvé, dit brusquement le blond, apparemment content de sa découverte.
Je sens alors que l’on m’écarte les fesses et que l’on m’enduit l’anus de beurre. C’est froid. Je tente à nouveau de me débattre mais le blond me plaque bien contre la table. Il m’enfile alors un doigt puis deux. Le beurre fait son office et je n’y peux rien... Il me travaille la rondelle !
— Vas-y, on n’a pas beaucoup de temps, intervient alors le brun.
J’entends alors le papier de la tablette de beurre. Il doit en reprendre. Puis, je sens un barreau dur essayer de forcer mon anus. J’écarquille les yeux, je panique et je m’étouffe avec la verge qui occupe ma bouche. Je me tends, me cabre, mais le beurre empêche toute résistance et, inexorablement, je sens le chibre me pénétrer. Il ne doit pas être très long, car rapidement, je sens les cuisses du blond toucher les miennes. Il m’attrape par les hanches et commence à me pilonner. La douleur est puissante et je ne peux rien faire pour m’y soustraire. Mes deux livreurs se synchronisent et me liment en rythme. La table de la cuisine grince et j’espère qu’elle va tenir le coup.
Au bout de plusieurs minutes, je les sens ressortir de mes orifices et je m’effondre, à moitié inconscient sur le plateau de la table. Je tente de reprendre mon souffle, mais à peine ai-je le temps de réaliser ma libération que je sens des mains m’écarter les fesses et d’autres me saisir la tête. Je n’en peux plus. J’ouvre la bouche pour les supplier de me relâcher mais un sexe m’emplit la bouche. Il est différent du premier, plus petit et je comprends soudain qu’ils ont échangé de place. Un mandrin commence alors à s’introduire entre mes fesses. Il est gros, plus gros que le précédent. Je pousse pour l’empêcher d’entrer mais je suis à bout. Je sens qu’il exerce une pression mesurée, il attend que je cède, c’est trop dur…
Putain, je vais pas teni…
Le passage étant fait, mes sphincters finissent pas céder et je le sens s’enfoncer brutalement en moi. J’ai l’impression de le voir sourire. Un sourire sadique et satisfait. Il m’emplit complètement. J’ai l’impression que jamais cela ne va s’arrêter. Je sens ses mains me saisir fermement les hanches. Il va, il vient, il entre, il sort. Même si la douleur a fini par régressé... Il est énorme! Je voudrai lui crier d’arrêter mais la queue de l’autre m’en empêche. Soudain, je sens le sexe qui m’empli la bouche grossir et palpiter. Il s’enfonce au fond de ma gorge alors que son maître me bloque la tête en me tenant par les cheveux. Son sperme jaillit, je veux cracher mais je ne peux pas. Il coule dans ma gorge et je suis obligé de déglutir, j’avale tout, encore et encore, un vrai tsunami. Je l’entends gémir de plaisir.
Puis c’est l’autre qui se calle au fond de mes intestins et pousse un râle rauque. Un liquide chaud m’envahit. Le con il m’a fécondé, il aurait au moins pu mettre une capote. Ils restent un moment en moi en reprenant leur souffle et enfin je les sens se retirer et partir. Je suis épuisé et je reste là sans bouger sur la table. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits et quand enfin je parviens à me redresser, je sens contre mon ventre une masse de liquide chaud et visqueux…
Ils m’ont fait jouir, les cons !
FIN
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