24-08-2020, 01:55 PM
(Modification du message : 24-08-2020, 01:58 PM par Philou0033.)
Chapitre 6.
Tout s’écroule.
Il est tard, environ 21 heures. J’entendais sonner à la porte d’entrée. Delphine qui était au rez-de-chaussée était allée voir qui sonnait.
Elle ouvrait la porte et elle voyait Jacques les yeux remplis de larmes. Elle l’avait fait entrer. Il demandait à me voir. Delphine lui avait dit que j’étais dans ma chambre. Jacques était monté à l’étage et frappait à ma porte. Sans attendre de réponse, il est entré. En me voyant il s’est mis à pleurer de plus belle. Je m’étais levé de mon lit, nu. J’avais pris Jacques dans mes bras pour le consoler. Je ne savais pas ce qui se passait. Une fois Jacques un peu calmé, il s’était assis sur mon lit. J’enfilais mon peignoir et je m’étais assis à côté de lui.
Jacques m’avait alors dit :
Jac : Oh Phil, je ne sais pas comment te le dire, j’ai une mauvaise nouvelle.
Moi : Dis-moi quoi Jacques, ne me laisse pas comme ça sans rien dire.
Jac : Mon père est muté au Canada.
Moi : Oui et alors.
Jac : On doit tous le suivre, toute la famille.
Jacques s’était remis à pleurer. J’avais directement compris que je ne reverrai plus. Que nous allions être séparés pour longtemps. Je pensais aussi à Alexis qui allait lui aussi perdre ses amis. Et Jacques aussi, il était apprécié par Amandine, Joseph, Jean et les autres. C’est comme si nous vivions un tremblement de terre. Je n’en revenais pas.
Moi : Oh Jacques, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas possible. Dis-moi c’est une blague !
Jac : Non Phil, je sais ça depuis ce midi et je ne savais pas comment te le dire. C’est maman qui m’a dit d’aller te le dire ce soir.
Moi : Et c’est pour quand le départ.
Jac : Oh Phil, c’est pour dans quinze jours.
Moi : Jacques, mais ce n’est pas possible. Tu ne sais pas rester, tu logerais ici à la maison, maman sera surement d’accord.
Jac : Phil, mon père m’a dit que ce n’était pas possible, qu’il n’y avait pas d’alternative, que je devais les accompagner.
Moi : Mais qu’est-ce qu’on va faire. Jacques, je t’aime, je ne veux pas que tu partes.
Jac : Je t’aime aussi Phil, mais j’ai retourné le problème dans tous les sens, mon père part pour au moins cinq ans.
Moi : Mais Jacques, qu’est-ce qu’on va faire. Je ne veux pas que tu partes !
Jac : Je sais Phil, je voudrais tellement rester et ne pas partir.
Nous étions dans les bras l’un de l’autre en pleur. Delphine avait prévenu maman que Jacques était arrivé en pleurs et qu’il était monté dans ma chambre. Maman et Delphine se demandaient ce qui se passait. Maman avait attendu cinq minutes puis elle était montée pour venir voir ce qui se passait.
Maman frappait à la porte de la chambre. N’entendant pas de réponse mes des pleurs étouffés elle avait ouvert la porte. Elle nous trouva tous les deux dans les bras l’un de l’autre occupé à pleurer. Maman s’était approchée de nous et nous avait enlacés.
Un peu calmé, elle nous demanda ce qui se passait, car elle n’en savait rien. C’est donc Jacques qui pris la parole :
Jac : Bien voilà, mon père est muté pour son travail au Canada et la famille l’accompagne. Je ne verrai plus Phil.
Mam : Mais c’est tout récent. Et le départ s’est pour quand ?
Jac : Je l’ai appris ce midi et nous partons début janvier, mais je ne connais pas la date.
Mam : Mais il n’y a pas de solution pour que tu restes !
Jac : Non papa demande que nous soyons avec lui la-à bas et c’est pour cinq ans apparemment.
Moi : Tu vois maman, je ne sais plus quoi penser. Nous ne serons jamais heureux, nous ne pouvons pas nous aimer, c’est le sort qui s’acharne sur nous et sur moi !
Jac : J’aime tellement Phil. Je ne sais pas comment je vais faire pour rester éloigné de toi.
Moi : Nous sommes maudits, c’est injuste, mais pourquoi, pourquoi !
Mam : Je vais téléphoner chez toi pour voir si ça peut s’arranger pour que tu restes avec nous.
Jac : Je sais que papa ne voudra pas, il me l’a déjà dit !
Mam : Je vais essayer de lui faire changer d’avis.
Jac : Merci, peux-tu lui demander si je peux rester loger cette nuit chez vous ?
Mam : Je vais le faire, mais pour moi tu peux rester loger.
Maman avait quitté la chambre. Nous étions un peu calmés. Nous étions restés assis sans rien dire durant près de cinq minutes.
Delphine était montée pour voir comment nous allions, maman l’avait mise au courant. Elle s’était assise sur mon lit entre nous. Elle nous avait enlacés. Elle avait dit que nous pourrions nous voir de temps à autre lors de congés et des vacances. Elle avait ajouté que maintenant avec l’avion c’était plus facile de voyager.
Maman était revenue auprès de nous. Elle avait la mine d’une personne qui n’avait pas de bonnes nouvelles. Elle nous avait alors annoncé :
Mam : Jacques, Phil, je suis désolée mais apparemment Jacques doit suivre sa famille au Canada. J’ai tenté de dire que notre famille était d’accord de t’héberger Jacques, mais rien n’y fit.
Jac : Je vous l’avais dit, je n’ai pas cessé de demander de rester, mais mes parents ne veulent rien entendre.
Mam : Je m’en doute car moi aussi j’ai tenté de leur faire changer d’avis. Puis Jacques tu peux rester loger.
Jac : Merci c’est déjà ça. Mais je suis déçu, très déçu de devoir vous quitter dans une quinzaine de jours.
Mam : Concernant les vacances de ski, il n’y a rien de changé, Jacques tu peux toujours venir avec nous !
Moi : Merci, ce sera notre première et dernière vacances ensemble Jacques et moi.
Del : Ne dis pas ça Phil, vous aurez encore d’autres occasions de vous revoir et d’être ensemble pour des vacances !
Jac : Je l’espère aussi, je l’espère.
Maman : Bon les garçons, je pense qu’il va bientôt être l’heure de dormir. Bonne nuit mes deux amours.
Jac : Merci, bonne nuit !
Moi : merci maman, bonne nuit à toi aussi.
Maman nous avait embrassés avant de sortir de la chambre. Puis c’était Delphine qui nous fit un gros câlin.
Jacques et moi nous nous étions une nouvelle fois étreint. Nous savions que nous pouvions encore profiter d’une semaine ensemble au sport d’hiver.
Nous étions passés par la salle de bain pour y prendre une douche. Nous étions ensemble mais il y avait comme une chape de béton qui s’était placée au-dessus de nous et de notre relation. Nous étions silencieux. Nous nous étions douchés comme des robots, nous étions comme hors du temps. Je continuais à penser, à me poser des questions. Puis comment pourrions-nous nous aimer séparés par un océan. Jacques de son côté devait lui aussi se poser pas mal de questions. Une fois la douche et le séchage fini nous nous étions rendus dans ma chambre. Nous nous étions couchés dans mon lit. Cela faisait plus d’un quart d’heure que nous n’avions plus dis un mot !
Je me suis tourné vers Jacques, j’ai plongé mes yeux dans les siens et toujours sans rien dire nos larmes coulaient sur nos joues. J’ai pris mon ami dans mes bras et je lui donnais un baiser sur les lèvres. Jacques me rendu ce baiser et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre.
Au réveil nous avions comme ma gueule de bois, mais sans avoir bu ! C’est comme si un dix tonnes nous était passé dessus.
Jacques avait desserré les dents et m’avais dit :
Jac : Bonjour Phil. Je ne sais pas si tu as bien dormi, mais moi j’ai eu difficile, je me suis réveillé toutes les heures !
Moi : Bonjour mon Jaco, moi c’est comme toi, j’ai vu le réveil très souvent.
Jac : Ecoute Phil, les choses sont ainsi, il faut faire avec. Alors concentrons-nous sur la semaine de ski qui nous attend.
Moi : Tu as raison mon Jaco, il faut que nous en profitions. Après on verra, on fera en fonction. Allons, levons-nous pour prendre un petit-déjeuner pour être en forme pour cette journée sans cours. Et ensuite, deux semaines de vacances !
Jac : OK, très bien parlé, hop levons nous !
Nous étions passés à la douche et ensuite après nous être habillés, nous étions allés prendre un super bon petit-déjeuner.
Le reste de la journée s’était très passé, au matin nous avions joué ensemble a des jeux de société et l’après-midi nous avions été nagés à la piscine communale.
A la fin de la journée Jacques était revenu chez lui. Nous avions convenu que nous nous retrouverions le lendemain à moins que ses parents n’aillent faire des achats pour les fêtes de fin d’année, ou tout au moins pour le réveillon de Noël ainsi que pour le jour de Noël.
Une fois à la maison j’avais été trouvé ma sœur Delphine. J’avais besoin de lui parler, d’avoir des conseils.
Moi : Dis-moi, tu crois que je serai toujours avec Jacques après la semaine de ski ?
Del : Pourquoi pas mon frérot, pourquoi pas. Évidemment avec la distance ce sera beaucoup plus compliqué.
Moi : Tu vois si nous sommes séparés durant une longue période et si je fais ou lui fait connaissance d’un autre gars et que l’un de nous tombe amoureux, ça la fout mal.
Del : Tu sais Phil, ce sont des choses qui peuvent arriver. Il faut voir sur le moment. Nous n’y sommes pas encore. Puis il te reste encore des choses à faire et à vivre avec Jacques !
Moi : Oui, je sais, nous devons être positif et savourer le séjour au ski, plutôt que de nous lamenter.
Del : Voilà qui est bien parlé Philou.
Delphine s’était levée et m’avait donné un baiser sur le front. J’étais content d’avoir pu parler un peu avec elle. Nous devions en tout cas vivre les prochains jours, moments après moments, au jour le jour.
Finalement il avait été convenu que nous irions au ski et qu’il fallait que ce séjour se passe au mieux. Nous devions partir le 26 décembre. Puis nous allions déjà préparer nos affaires pour ce séjour.
Tout s’écroule.
Il est tard, environ 21 heures. J’entendais sonner à la porte d’entrée. Delphine qui était au rez-de-chaussée était allée voir qui sonnait.
Elle ouvrait la porte et elle voyait Jacques les yeux remplis de larmes. Elle l’avait fait entrer. Il demandait à me voir. Delphine lui avait dit que j’étais dans ma chambre. Jacques était monté à l’étage et frappait à ma porte. Sans attendre de réponse, il est entré. En me voyant il s’est mis à pleurer de plus belle. Je m’étais levé de mon lit, nu. J’avais pris Jacques dans mes bras pour le consoler. Je ne savais pas ce qui se passait. Une fois Jacques un peu calmé, il s’était assis sur mon lit. J’enfilais mon peignoir et je m’étais assis à côté de lui.
Jacques m’avait alors dit :
Jac : Oh Phil, je ne sais pas comment te le dire, j’ai une mauvaise nouvelle.
Moi : Dis-moi quoi Jacques, ne me laisse pas comme ça sans rien dire.
Jac : Mon père est muté au Canada.
Moi : Oui et alors.
Jac : On doit tous le suivre, toute la famille.
Jacques s’était remis à pleurer. J’avais directement compris que je ne reverrai plus. Que nous allions être séparés pour longtemps. Je pensais aussi à Alexis qui allait lui aussi perdre ses amis. Et Jacques aussi, il était apprécié par Amandine, Joseph, Jean et les autres. C’est comme si nous vivions un tremblement de terre. Je n’en revenais pas.
Moi : Oh Jacques, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas possible. Dis-moi c’est une blague !
Jac : Non Phil, je sais ça depuis ce midi et je ne savais pas comment te le dire. C’est maman qui m’a dit d’aller te le dire ce soir.
Moi : Et c’est pour quand le départ.
Jac : Oh Phil, c’est pour dans quinze jours.
Moi : Jacques, mais ce n’est pas possible. Tu ne sais pas rester, tu logerais ici à la maison, maman sera surement d’accord.
Jac : Phil, mon père m’a dit que ce n’était pas possible, qu’il n’y avait pas d’alternative, que je devais les accompagner.
Moi : Mais qu’est-ce qu’on va faire. Jacques, je t’aime, je ne veux pas que tu partes.
Jac : Je t’aime aussi Phil, mais j’ai retourné le problème dans tous les sens, mon père part pour au moins cinq ans.
Moi : Mais Jacques, qu’est-ce qu’on va faire. Je ne veux pas que tu partes !
Jac : Je sais Phil, je voudrais tellement rester et ne pas partir.
Nous étions dans les bras l’un de l’autre en pleur. Delphine avait prévenu maman que Jacques était arrivé en pleurs et qu’il était monté dans ma chambre. Maman et Delphine se demandaient ce qui se passait. Maman avait attendu cinq minutes puis elle était montée pour venir voir ce qui se passait.
Maman frappait à la porte de la chambre. N’entendant pas de réponse mes des pleurs étouffés elle avait ouvert la porte. Elle nous trouva tous les deux dans les bras l’un de l’autre occupé à pleurer. Maman s’était approchée de nous et nous avait enlacés.
Un peu calmé, elle nous demanda ce qui se passait, car elle n’en savait rien. C’est donc Jacques qui pris la parole :
Jac : Bien voilà, mon père est muté pour son travail au Canada et la famille l’accompagne. Je ne verrai plus Phil.
Mam : Mais c’est tout récent. Et le départ s’est pour quand ?
Jac : Je l’ai appris ce midi et nous partons début janvier, mais je ne connais pas la date.
Mam : Mais il n’y a pas de solution pour que tu restes !
Jac : Non papa demande que nous soyons avec lui la-à bas et c’est pour cinq ans apparemment.
Moi : Tu vois maman, je ne sais plus quoi penser. Nous ne serons jamais heureux, nous ne pouvons pas nous aimer, c’est le sort qui s’acharne sur nous et sur moi !
Jac : J’aime tellement Phil. Je ne sais pas comment je vais faire pour rester éloigné de toi.
Moi : Nous sommes maudits, c’est injuste, mais pourquoi, pourquoi !
Mam : Je vais téléphoner chez toi pour voir si ça peut s’arranger pour que tu restes avec nous.
Jac : Je sais que papa ne voudra pas, il me l’a déjà dit !
Mam : Je vais essayer de lui faire changer d’avis.
Jac : Merci, peux-tu lui demander si je peux rester loger cette nuit chez vous ?
Mam : Je vais le faire, mais pour moi tu peux rester loger.
Maman avait quitté la chambre. Nous étions un peu calmés. Nous étions restés assis sans rien dire durant près de cinq minutes.
Delphine était montée pour voir comment nous allions, maman l’avait mise au courant. Elle s’était assise sur mon lit entre nous. Elle nous avait enlacés. Elle avait dit que nous pourrions nous voir de temps à autre lors de congés et des vacances. Elle avait ajouté que maintenant avec l’avion c’était plus facile de voyager.
Maman était revenue auprès de nous. Elle avait la mine d’une personne qui n’avait pas de bonnes nouvelles. Elle nous avait alors annoncé :
Mam : Jacques, Phil, je suis désolée mais apparemment Jacques doit suivre sa famille au Canada. J’ai tenté de dire que notre famille était d’accord de t’héberger Jacques, mais rien n’y fit.
Jac : Je vous l’avais dit, je n’ai pas cessé de demander de rester, mais mes parents ne veulent rien entendre.
Mam : Je m’en doute car moi aussi j’ai tenté de leur faire changer d’avis. Puis Jacques tu peux rester loger.
Jac : Merci c’est déjà ça. Mais je suis déçu, très déçu de devoir vous quitter dans une quinzaine de jours.
Mam : Concernant les vacances de ski, il n’y a rien de changé, Jacques tu peux toujours venir avec nous !
Moi : Merci, ce sera notre première et dernière vacances ensemble Jacques et moi.
Del : Ne dis pas ça Phil, vous aurez encore d’autres occasions de vous revoir et d’être ensemble pour des vacances !
Jac : Je l’espère aussi, je l’espère.
Maman : Bon les garçons, je pense qu’il va bientôt être l’heure de dormir. Bonne nuit mes deux amours.
Jac : Merci, bonne nuit !
Moi : merci maman, bonne nuit à toi aussi.
Maman nous avait embrassés avant de sortir de la chambre. Puis c’était Delphine qui nous fit un gros câlin.
Jacques et moi nous nous étions une nouvelle fois étreint. Nous savions que nous pouvions encore profiter d’une semaine ensemble au sport d’hiver.
Nous étions passés par la salle de bain pour y prendre une douche. Nous étions ensemble mais il y avait comme une chape de béton qui s’était placée au-dessus de nous et de notre relation. Nous étions silencieux. Nous nous étions douchés comme des robots, nous étions comme hors du temps. Je continuais à penser, à me poser des questions. Puis comment pourrions-nous nous aimer séparés par un océan. Jacques de son côté devait lui aussi se poser pas mal de questions. Une fois la douche et le séchage fini nous nous étions rendus dans ma chambre. Nous nous étions couchés dans mon lit. Cela faisait plus d’un quart d’heure que nous n’avions plus dis un mot !
Je me suis tourné vers Jacques, j’ai plongé mes yeux dans les siens et toujours sans rien dire nos larmes coulaient sur nos joues. J’ai pris mon ami dans mes bras et je lui donnais un baiser sur les lèvres. Jacques me rendu ce baiser et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre.
Au réveil nous avions comme ma gueule de bois, mais sans avoir bu ! C’est comme si un dix tonnes nous était passé dessus.
Jacques avait desserré les dents et m’avais dit :
Jac : Bonjour Phil. Je ne sais pas si tu as bien dormi, mais moi j’ai eu difficile, je me suis réveillé toutes les heures !
Moi : Bonjour mon Jaco, moi c’est comme toi, j’ai vu le réveil très souvent.
Jac : Ecoute Phil, les choses sont ainsi, il faut faire avec. Alors concentrons-nous sur la semaine de ski qui nous attend.
Moi : Tu as raison mon Jaco, il faut que nous en profitions. Après on verra, on fera en fonction. Allons, levons-nous pour prendre un petit-déjeuner pour être en forme pour cette journée sans cours. Et ensuite, deux semaines de vacances !
Jac : OK, très bien parlé, hop levons nous !
Nous étions passés à la douche et ensuite après nous être habillés, nous étions allés prendre un super bon petit-déjeuner.
Le reste de la journée s’était très passé, au matin nous avions joué ensemble a des jeux de société et l’après-midi nous avions été nagés à la piscine communale.
A la fin de la journée Jacques était revenu chez lui. Nous avions convenu que nous nous retrouverions le lendemain à moins que ses parents n’aillent faire des achats pour les fêtes de fin d’année, ou tout au moins pour le réveillon de Noël ainsi que pour le jour de Noël.
Une fois à la maison j’avais été trouvé ma sœur Delphine. J’avais besoin de lui parler, d’avoir des conseils.
Moi : Dis-moi, tu crois que je serai toujours avec Jacques après la semaine de ski ?
Del : Pourquoi pas mon frérot, pourquoi pas. Évidemment avec la distance ce sera beaucoup plus compliqué.
Moi : Tu vois si nous sommes séparés durant une longue période et si je fais ou lui fait connaissance d’un autre gars et que l’un de nous tombe amoureux, ça la fout mal.
Del : Tu sais Phil, ce sont des choses qui peuvent arriver. Il faut voir sur le moment. Nous n’y sommes pas encore. Puis il te reste encore des choses à faire et à vivre avec Jacques !
Moi : Oui, je sais, nous devons être positif et savourer le séjour au ski, plutôt que de nous lamenter.
Del : Voilà qui est bien parlé Philou.
Delphine s’était levée et m’avait donné un baiser sur le front. J’étais content d’avoir pu parler un peu avec elle. Nous devions en tout cas vivre les prochains jours, moments après moments, au jour le jour.
Finalement il avait été convenu que nous irions au ski et qu’il fallait que ce séjour se passe au mieux. Nous devions partir le 26 décembre. Puis nous allions déjà préparer nos affaires pour ce séjour.