10-06-2024, 05:52 PM
— Cool. On pourra passer voir les cousins en remontant ? Ils sont en vacances aussi.
— Allez nos papas, dites oui. Et il faudra descendre avec les deux voitures.
— Dites-moi! Vous comptez acheter le magasin ?
— Mais non, comme ça les cousins pourront revenir avec nous au lieu de ne venir que samedi.
— Et je suppose que vous avez arrangé ça avec eux. Antho et Léa sont d’accord ?
— Bin, oui. Et comme ça ils viendront avec nous choisir les décos. Audrey et Pierrick sont d'accord aussi. Enfin, si toi tu dis oui. Ils te téléphoneront ce soir pour te demander.
— Et, Pa, tu voudras bien nous faire des pizzas. Ça fait longtemps que tu n'en as plus fait.
— Doucement, les garçons. Prenez votre petit-déjeuner et après on montera visiter. Et pour les pizzas c'est oui, si vous m'aidez à les faire.
— Comme si on ne t’aidait jamais. On fait toujours les nôtres.
— Heureusement, parce que je n'aurai jamais l'idée de les garnir de ce que vous y mettez dessus.
— C'est parce que tu es trop classique, Pa, il faut innover.
— Vas-y, dis que je suis un vieux.
— Pas encore trop mais ça ne va pas tarder. Tu vas bientôt avoir 40 ans.
— Ça ne sera que dans deux ans et vous vous aurez 16 ans.
— Oui, mais on languit d'avoir 15 ans, comme Laszlo.
— Ah bon ! Et pourquoi 15 et pas 16 ?
— On languis aussi d'avoir 16 mais pour une raison différente. À 16 ans on pourra faire la conduite accompagnée.
— Et à 15 ans, Gus, vous pourrez faire quoi ?
— Allez, Gus, Laszlo, on va prendre le petit-déjeuner et après on ira visiter en Haut.
— Chip, pourquoi tu changes de conversation ?
— Mais je ne change pas de conversation, c'est juste que j'ai envie de prendre mon petit-déjeuner, c'est tout.
— D’accord, j'ai cru qu'il y avait quelque chose que tu ne voulais pas que je sache.
— On a bien le droit d'avoir des secrets entre nous, non ?
— Bé, laisse Chip prendre son petit-déjeuner tranquillement. Viens me faire un bisou plutôt. Et comment ça se fait que tu regardes la télé ? Et la BBC en plus.
— C'est de ta faute, je ne sais pas à quoi tu rêvais cette nuit mais tu bougeais tellement que ça m'a réveillé et du coup je suis descendu. Et j’ai zappé au matin. Ils ont parlé de nous et ils se demandent qui on est. Je pense qu'on va avoir des visites.
— Des visites de qui, Pa ?
— De journalistes qui vont venir fouiner ici et dans notre vie. Si Papé Cyprien avait été en vie, c'est à coups de chevrotine qu'il les aurait accueillis.
— Papa, c'est qui, qui a loué la maison de l’Anglais ?
— C'est une femme et sa fille. Elles sont Américaines.
— Elle a quel âge sa fille ?
— Dans les 17 ou 18 ans. Elle est trop vielle pour toi Laszlo.
— Non, je ne demande pas ça pour ça. J'ai déjà quelqu'un, enfin… j’espère.
En disant ça, il était devenu écarlate.
— Oh, faux frère ! Tu as rencontré quelqu'un et tu ne nous l'as pas dit ? On la connait ?
— On en parlera entre nous, Gus, tout à l’heure.
— On a fini, Pa, on va visiter ?
— Il y a la table à débarrasser avant.
— On peut pas faire ça après ?
— Non, Gus et, je sais, pas besoin de le dire, je ne suis pas marrant !
Hans et les deux autres loustics pouffèrent, en voyant sa tête : la bouche ouverte sur la phrase qu’il allait surement sortir !
…
C'est quatre à quatre qu'ils grimpèrent les marches devant nous et on les retrouva tous les trois assis sur un des canapés avec R et R couchés sur le tapis.
— Avec cet écran géant, on va s'éclater quand on jouera à la console.
— Mais vous n'en avez pas.
— On prendra celle des cousins, qu'est-ce-que tu crois. Bon, on visite ?
— Chip, Laszlo, on fait une vidéo chacun, comme ça on montrera l’espace aux cousins, demain.
La visite terminée les commentaires et les critiques allaient bon train.
— C'est pas mal ce que tu as fait mais c'est comme toi, trop classique.
— Tu veux dire quoi, par trop classique, Chip ?
— Bin, par exemple, tu as fait une douche dans chaque chambre, ça aurait été mieux si tu avais fait une salle de bain collective comme ça on aurait pu se parler en se douchant.
— Tu dis ça maintenant, mais imagine-toi d'ici quelques années. Tu te vois te laver avec ta petite copine pendant que ton frère ou tes cousins se lavent aussi ?
— Y'a quoi de mal à ça ?
— Elle ne sera peut-être pas d'accord pour que ton frère ou tes cousins la voient nue.
— Au camping les hommes et les femmes se douchent ensemble.
— Oui mais c'est un camping naturiste, Gus. Les gens y vont parce qu'ils aiment vivre nus c'est différent comme contexte. Et puis sous la douche… Heu, c'est bon, passons à autre chose.
— Oui, tu allais dire que sous la douche on peut ken aussi. On n'est plus des bébés, Pa !
— Je vois ça… Ça y est, je viens de comprendre pourquoi vous languissez d'avoir 15 ans ! C'est pour pouvoir avoir des relations sexuelles !
— Il faut bien commencer un jour, non ?
— Vous avez le temps d'y penser.
— Oui, encore neuf mois.
— Neuf mois ? Vous sortez ce chiffre d’où ?
— Bin dans neuf mois ça sera le mois de juillet et on sera au camping du Cap et...
— Justement en parlant de cet été, avec Hans, on voulait plutôt retourner en Angleterre et aller voir sa famille en Hollande.
— Mais, Pa, on y va tous les ans. Comment ça se fait qu'on n'y aille pas l'année prochaine ? En plus Eliot et Aymeric doivent venir aussi.
— On en discutera tous ensemble, ce week-end. Tu en penses quoi, Hans ? C’est bien ce que nous avions prévu de faire ? Pas de camping !
— Ne faites pas la tête les garçons, vous voyez pas que votre père vous mythone en ce moment ?
Hans n'avait pas fini de dire ça que les jumeaux se ruaient sur moi et une bagarre de chatouilles commença entre eux et moi. R et R s'en mêlèrent aussi et après un ''Laszlo, vient nous aider, il est trop fort''. C'est complètement essoufflé qu'on s'arrêta, au bout de quelques minutes et mort de rire.
— Des gamins, vous êtes tous de vrais gamins. Et tu es le pire, Bé. Ha, ha ! Allez, on s'habille et on descend faire les courses, on n'a rien à manger pour midi.
— Ça peut pas attendre demain les courses, comme on va descendre en ville ?
— Si ça peut attendre demain ? Oui, mais il faudra aussi attendre demain pour manger.
— Attends, j'arrange ça.
— Je demande à voir. Tu y crois, Hans ?
Gus prit son téléphone.
— Salut Mamé, on peut passer vous voir avant d'aller faire un coucou à Louis et Amandine ?
La réponse que l’on n’entendit pas :
— Bonjour Gus, bien sûr que vous pouvez passer nous voir. Mais il n'y a que moi à la maison en ce moment. Le Papé est parti à la chasse, tôt ce matin. Il doit rentrer à midi. Vous voulez rester manger avec nous ? Il y a encore beaucoup de restes d’hier.
— Je sais pas, je demande aux papas s'ils veulent. Papas, y'a Mamé qui demande si on veut aller manger chez elle ce midi. Il y a des restes d’hier.
En disant ça, il levait le pouce de la main et un large sourire éclairait sa figure. Je haussais les épaules.
— Le temps de nous habiller et on arrive. … Non Mamé, c'est pas la peine, on vient juste de finir de déjeuner. On mangera le gâteau en dessert à midi. … Tu as déjà fait des œufs à la neige pour le dessert. Mais comment tu savais qu'on allait venir manger chez toi ? … Tu ne savais pas, tu dis, c'est juste au cas où. Je t'embrasse Mamé, on arrive tout de suite. Et voilà c'est réglé. On y va nous, à plus les Papas.
Dix minutes après ils partaient, suivis de R et R.
— On fait quoi du coup, Hans ?
— Je vais faire une lessive et on fera un peu de ménage… Ça n'a pas l'air de te réjouir ce que je te propose.
— Tu n'aurais pas plutôt envie de monter prendre une douche avec moi ?
— Bien sûr que oui mais la lessive et le ménage ne peuvent pas attendre, Bé. Ça y est, tu te mets aussi à me faire le regard suppliant des jumeaux. Ça ne fonctionne pas avec moi, Bé.
— Oh, mon gentil petit chéri ! Tu es vraiment sûr de vouloir faire la lessive et du ménage, tout de suite ?
— Bon, d'accord, mais c'est vraiment pour te faire plaisir.
Et il monta les escaliers en tortillant des fesses. Il se retourna pour me dire :
— Tu as intérêt d'assurer grave, comme disent les gamins.
— Tu ne seras pas déçu.
Il monta les marches rapidement et quand j'arrivais dans la chambre il n'y était pas. Il n'était pas non plus dans la salle de bain. Je fis les chambres une à une et il n'était nulle part. Finalement j'entendis l'eau couler de l’étage. Je montais pour le rejoindre.
— Bé, redescends te préparer dans notre chambre, je te rejoins bientôt, laisse-moi juste un peu de temps.
— Ok, je t’attends.
J'entrais dans notre salle de bain où je me fis une beauté. J'étais encore sous la douche quand il entra me rejoindre. On s'embrassa longuement tout en nous caressant. Hans fit couler du gel douche entre mes pecs et commença un massage/caresses et il se colla à moi pour m’embrasser. Ce coquin en profita pour glisser sa queue entre mes jambes que je serrais. Je sentais son gland titiller ma rosette. Mais il ne chercha pas à me prendre.
Puis il me fit me retourner et s'occupa de mon dos et de mes fesses. Son doigt vint suivre la cicatrice que j'avais dans le dos. Puis, comme pour le devant, il se colla à moi en glissant son sexe entre mes fesses mais cette fois son gland poussait sur ma petite porte qui ne demandait qu'à s’ouvrir. Il joua comme ça avec mes nerfs un petit moment. J'espérais qu'à un moment ou un autre il pousserait plus fort et que son gland franchirait mes sphincters mais même pas. Il m'excitait aussi en jouant avec la pointe de mes seins qu'il torturait jouissivement. Il ouvrit l'eau pour nous calmer un peu.
— À ton tour maintenant de t'occuper de moi.
— Dommage pourquoi tu n'as pas continué dans ta lancée ?
— Parce que j'ai trop envie de te sentir en moi, Bé. Ta grosse bite me manque et que j'ai envie que tu jouisses en moi.
On sortit de la douche et on alla sur le lit. On fit durer autant qu'on put et notre jouissance fut fantastique. J'avais réussi à le faire jouir sans qu'il se touche. Et à sa demande je me vidais en lui.
— On remet ça, Hans ? J'ai encore envie.
— C'est bientôt l’heure, Bé, on n'a plus le temps. On file à la douche, on s'habille et on y va.
— Tu es sûr de toi ? Même un petit coup vite fait, là, tout de suite ?
Au lieu de me répondre il se leva et fila à la salle de bain en riant où je le suivis la queue raide. Il était déjà sous la douche en train de se laver. J'eus beau faire tout ce que je pouvais, il me repoussa et sortit du bac. Finalement, pour me calmer, un bon jet d'eau froide fut nécessaire. On coupa à travers champs en discutant. On eut la surprise de croiser nos locataires avec qui on discuta un petit moment. Ce fut une discussion banale de gens polis que la mère essayait de terminer le plus rapidement possible. La seule chose que j'appris c'est que la région leur plaisait.
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— Allez nos papas, dites oui. Et il faudra descendre avec les deux voitures.
— Dites-moi! Vous comptez acheter le magasin ?
— Mais non, comme ça les cousins pourront revenir avec nous au lieu de ne venir que samedi.
— Et je suppose que vous avez arrangé ça avec eux. Antho et Léa sont d’accord ?
— Bin, oui. Et comme ça ils viendront avec nous choisir les décos. Audrey et Pierrick sont d'accord aussi. Enfin, si toi tu dis oui. Ils te téléphoneront ce soir pour te demander.
— Et, Pa, tu voudras bien nous faire des pizzas. Ça fait longtemps que tu n'en as plus fait.
— Doucement, les garçons. Prenez votre petit-déjeuner et après on montera visiter. Et pour les pizzas c'est oui, si vous m'aidez à les faire.
— Comme si on ne t’aidait jamais. On fait toujours les nôtres.
— Heureusement, parce que je n'aurai jamais l'idée de les garnir de ce que vous y mettez dessus.
— C'est parce que tu es trop classique, Pa, il faut innover.
— Vas-y, dis que je suis un vieux.
— Pas encore trop mais ça ne va pas tarder. Tu vas bientôt avoir 40 ans.
— Ça ne sera que dans deux ans et vous vous aurez 16 ans.
— Oui, mais on languit d'avoir 15 ans, comme Laszlo.
— Ah bon ! Et pourquoi 15 et pas 16 ?
— On languis aussi d'avoir 16 mais pour une raison différente. À 16 ans on pourra faire la conduite accompagnée.
— Et à 15 ans, Gus, vous pourrez faire quoi ?
— Allez, Gus, Laszlo, on va prendre le petit-déjeuner et après on ira visiter en Haut.
— Chip, pourquoi tu changes de conversation ?
— Mais je ne change pas de conversation, c'est juste que j'ai envie de prendre mon petit-déjeuner, c'est tout.
— D’accord, j'ai cru qu'il y avait quelque chose que tu ne voulais pas que je sache.
— On a bien le droit d'avoir des secrets entre nous, non ?
— Bé, laisse Chip prendre son petit-déjeuner tranquillement. Viens me faire un bisou plutôt. Et comment ça se fait que tu regardes la télé ? Et la BBC en plus.
— C'est de ta faute, je ne sais pas à quoi tu rêvais cette nuit mais tu bougeais tellement que ça m'a réveillé et du coup je suis descendu. Et j’ai zappé au matin. Ils ont parlé de nous et ils se demandent qui on est. Je pense qu'on va avoir des visites.
— Des visites de qui, Pa ?
— De journalistes qui vont venir fouiner ici et dans notre vie. Si Papé Cyprien avait été en vie, c'est à coups de chevrotine qu'il les aurait accueillis.
— Papa, c'est qui, qui a loué la maison de l’Anglais ?
— C'est une femme et sa fille. Elles sont Américaines.
— Elle a quel âge sa fille ?
— Dans les 17 ou 18 ans. Elle est trop vielle pour toi Laszlo.
— Non, je ne demande pas ça pour ça. J'ai déjà quelqu'un, enfin… j’espère.
En disant ça, il était devenu écarlate.
— Oh, faux frère ! Tu as rencontré quelqu'un et tu ne nous l'as pas dit ? On la connait ?
— On en parlera entre nous, Gus, tout à l’heure.
— On a fini, Pa, on va visiter ?
— Il y a la table à débarrasser avant.
— On peut pas faire ça après ?
— Non, Gus et, je sais, pas besoin de le dire, je ne suis pas marrant !
Hans et les deux autres loustics pouffèrent, en voyant sa tête : la bouche ouverte sur la phrase qu’il allait surement sortir !
…
C'est quatre à quatre qu'ils grimpèrent les marches devant nous et on les retrouva tous les trois assis sur un des canapés avec R et R couchés sur le tapis.
— Avec cet écran géant, on va s'éclater quand on jouera à la console.
— Mais vous n'en avez pas.
— On prendra celle des cousins, qu'est-ce-que tu crois. Bon, on visite ?
— Chip, Laszlo, on fait une vidéo chacun, comme ça on montrera l’espace aux cousins, demain.
La visite terminée les commentaires et les critiques allaient bon train.
— C'est pas mal ce que tu as fait mais c'est comme toi, trop classique.
— Tu veux dire quoi, par trop classique, Chip ?
— Bin, par exemple, tu as fait une douche dans chaque chambre, ça aurait été mieux si tu avais fait une salle de bain collective comme ça on aurait pu se parler en se douchant.
— Tu dis ça maintenant, mais imagine-toi d'ici quelques années. Tu te vois te laver avec ta petite copine pendant que ton frère ou tes cousins se lavent aussi ?
— Y'a quoi de mal à ça ?
— Elle ne sera peut-être pas d'accord pour que ton frère ou tes cousins la voient nue.
— Au camping les hommes et les femmes se douchent ensemble.
— Oui mais c'est un camping naturiste, Gus. Les gens y vont parce qu'ils aiment vivre nus c'est différent comme contexte. Et puis sous la douche… Heu, c'est bon, passons à autre chose.
— Oui, tu allais dire que sous la douche on peut ken aussi. On n'est plus des bébés, Pa !
— Je vois ça… Ça y est, je viens de comprendre pourquoi vous languissez d'avoir 15 ans ! C'est pour pouvoir avoir des relations sexuelles !
— Il faut bien commencer un jour, non ?
— Vous avez le temps d'y penser.
— Oui, encore neuf mois.
— Neuf mois ? Vous sortez ce chiffre d’où ?
— Bin dans neuf mois ça sera le mois de juillet et on sera au camping du Cap et...
— Justement en parlant de cet été, avec Hans, on voulait plutôt retourner en Angleterre et aller voir sa famille en Hollande.
— Mais, Pa, on y va tous les ans. Comment ça se fait qu'on n'y aille pas l'année prochaine ? En plus Eliot et Aymeric doivent venir aussi.
— On en discutera tous ensemble, ce week-end. Tu en penses quoi, Hans ? C’est bien ce que nous avions prévu de faire ? Pas de camping !
— Ne faites pas la tête les garçons, vous voyez pas que votre père vous mythone en ce moment ?
Hans n'avait pas fini de dire ça que les jumeaux se ruaient sur moi et une bagarre de chatouilles commença entre eux et moi. R et R s'en mêlèrent aussi et après un ''Laszlo, vient nous aider, il est trop fort''. C'est complètement essoufflé qu'on s'arrêta, au bout de quelques minutes et mort de rire.
— Des gamins, vous êtes tous de vrais gamins. Et tu es le pire, Bé. Ha, ha ! Allez, on s'habille et on descend faire les courses, on n'a rien à manger pour midi.
— Ça peut pas attendre demain les courses, comme on va descendre en ville ?
— Si ça peut attendre demain ? Oui, mais il faudra aussi attendre demain pour manger.
— Attends, j'arrange ça.
— Je demande à voir. Tu y crois, Hans ?
Gus prit son téléphone.
— Salut Mamé, on peut passer vous voir avant d'aller faire un coucou à Louis et Amandine ?
La réponse que l’on n’entendit pas :
— Bonjour Gus, bien sûr que vous pouvez passer nous voir. Mais il n'y a que moi à la maison en ce moment. Le Papé est parti à la chasse, tôt ce matin. Il doit rentrer à midi. Vous voulez rester manger avec nous ? Il y a encore beaucoup de restes d’hier.
— Je sais pas, je demande aux papas s'ils veulent. Papas, y'a Mamé qui demande si on veut aller manger chez elle ce midi. Il y a des restes d’hier.
En disant ça, il levait le pouce de la main et un large sourire éclairait sa figure. Je haussais les épaules.
— Le temps de nous habiller et on arrive. … Non Mamé, c'est pas la peine, on vient juste de finir de déjeuner. On mangera le gâteau en dessert à midi. … Tu as déjà fait des œufs à la neige pour le dessert. Mais comment tu savais qu'on allait venir manger chez toi ? … Tu ne savais pas, tu dis, c'est juste au cas où. Je t'embrasse Mamé, on arrive tout de suite. Et voilà c'est réglé. On y va nous, à plus les Papas.
Dix minutes après ils partaient, suivis de R et R.
— On fait quoi du coup, Hans ?
— Je vais faire une lessive et on fera un peu de ménage… Ça n'a pas l'air de te réjouir ce que je te propose.
— Tu n'aurais pas plutôt envie de monter prendre une douche avec moi ?
— Bien sûr que oui mais la lessive et le ménage ne peuvent pas attendre, Bé. Ça y est, tu te mets aussi à me faire le regard suppliant des jumeaux. Ça ne fonctionne pas avec moi, Bé.
— Oh, mon gentil petit chéri ! Tu es vraiment sûr de vouloir faire la lessive et du ménage, tout de suite ?
— Bon, d'accord, mais c'est vraiment pour te faire plaisir.
Et il monta les escaliers en tortillant des fesses. Il se retourna pour me dire :
— Tu as intérêt d'assurer grave, comme disent les gamins.
— Tu ne seras pas déçu.
Il monta les marches rapidement et quand j'arrivais dans la chambre il n'y était pas. Il n'était pas non plus dans la salle de bain. Je fis les chambres une à une et il n'était nulle part. Finalement j'entendis l'eau couler de l’étage. Je montais pour le rejoindre.
— Bé, redescends te préparer dans notre chambre, je te rejoins bientôt, laisse-moi juste un peu de temps.
— Ok, je t’attends.
J'entrais dans notre salle de bain où je me fis une beauté. J'étais encore sous la douche quand il entra me rejoindre. On s'embrassa longuement tout en nous caressant. Hans fit couler du gel douche entre mes pecs et commença un massage/caresses et il se colla à moi pour m’embrasser. Ce coquin en profita pour glisser sa queue entre mes jambes que je serrais. Je sentais son gland titiller ma rosette. Mais il ne chercha pas à me prendre.
Puis il me fit me retourner et s'occupa de mon dos et de mes fesses. Son doigt vint suivre la cicatrice que j'avais dans le dos. Puis, comme pour le devant, il se colla à moi en glissant son sexe entre mes fesses mais cette fois son gland poussait sur ma petite porte qui ne demandait qu'à s’ouvrir. Il joua comme ça avec mes nerfs un petit moment. J'espérais qu'à un moment ou un autre il pousserait plus fort et que son gland franchirait mes sphincters mais même pas. Il m'excitait aussi en jouant avec la pointe de mes seins qu'il torturait jouissivement. Il ouvrit l'eau pour nous calmer un peu.
— À ton tour maintenant de t'occuper de moi.
— Dommage pourquoi tu n'as pas continué dans ta lancée ?
— Parce que j'ai trop envie de te sentir en moi, Bé. Ta grosse bite me manque et que j'ai envie que tu jouisses en moi.
On sortit de la douche et on alla sur le lit. On fit durer autant qu'on put et notre jouissance fut fantastique. J'avais réussi à le faire jouir sans qu'il se touche. Et à sa demande je me vidais en lui.
— On remet ça, Hans ? J'ai encore envie.
— C'est bientôt l’heure, Bé, on n'a plus le temps. On file à la douche, on s'habille et on y va.
— Tu es sûr de toi ? Même un petit coup vite fait, là, tout de suite ?
Au lieu de me répondre il se leva et fila à la salle de bain en riant où je le suivis la queue raide. Il était déjà sous la douche en train de se laver. J'eus beau faire tout ce que je pouvais, il me repoussa et sortit du bac. Finalement, pour me calmer, un bon jet d'eau froide fut nécessaire. On coupa à travers champs en discutant. On eut la surprise de croiser nos locataires avec qui on discuta un petit moment. Ce fut une discussion banale de gens polis que la mère essayait de terminer le plus rapidement possible. La seule chose que j'appris c'est que la région leur plaisait.
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