12-03-2024, 06:36 PM
Voici une nouvelle (petite) suite en attendant une suite qui m'a surpris moi-même !
Un rayon lumineux illuminait la petite pièce car le soleil était déjà bas sur l'horizon alors que j'étais en train d'ouvrir un œil après trois bonnes heures d'un sommeil réparateur, bien nécessaire après ces dernières journées éprouvantes d'un point de vue émotif et, pour les dernières heures, la rude montée jusqu'à la Bergerie ainsi que ce moment oh combien intense de la rencontre avec petit Louis. Un Louis qui n'était plus si petit que cela et qui ne ressemblait en rien à ce jeune adolescent que j'avais connu et aimé, il y a une bonne dizaine d'années.
Réveillé mais encore avec encore un vif sentiment de lassitude, je le voyais assis sur une chaise au soleil, près de la porte, en train d'étudier ce qui semblait être un rapport probablement médical.
Il était torse nu et son corps bronzé démontrait clairement que ce n'était pas la première fois qu'il profitait du soleil. J'avais le souvenir d'un corps un peu chétif et fragile, la fois, la seule, où j'avais promené mes mains sur son corps il me revenait à l'esprit de m'être fait la remarque qu'il était facile de compter ses côtes. Je n'aime pas les garçons qui ont un peu trop de poids mais là, le Louis de l'époque était vraiment un peu trop osseux. Et pourtant, il se dégageait de sa personne un charme indéniable auquel il était difficile de résister.
Incontestablement, c'était son visage qui sauvait tout avec ses yeux bleu-clair qui illuminaient tout son regard, qui transperçaient en tout temps sa personne. Mais le summum, c'était lorsqu'il se mettait à sourire, les lèvres légèrement entrouvertes et découvrant deux petites fossettes, une sur chaque joue. Personne je crois, ne pouvait résister au choc de l'attirance qu'elles exerçaient sur ses congénères, filles ou garçons, tous ont dû lutter contre l'envie de les caresser avec douceur pour sentir au bout des doigts le creux qui se dessinait sur ses joues. D'aucuns ont même dû lutter pour ne pas y promener la pointe de leur langue. Oui, tout le monde rêvait de le tenir dans ses bras, de le cajoler et pourtant tout dans sa réserve, dans son attitude incitait à ne pas toucher à ce petit trésor.
À l'époque, je suis certain d'être le seul à avoir eu l'insigne privilège de connaître la douceur de sa peau, la rondeur de ses petits testicules, la dureté de son sexe. Ce n'était pas moi qui avait été entreprenant, c'est lui qui avait pris l'initiative, qui l'avait voulu et l'avait fait, pour quelques heures seulement.
J'étais réveillé depuis un bon moment mais j'avais profité de ce moment où au réveil on ne s'appartient qu'à soi-même pour faire le point sur ce que je ressentais. Vous l'aurez compris, Louis n'avait plus rien à voir avec le souvenir qui avait surgit des profondeurs de ma mémoire. Il avait une stature d'homme, des muscles bien présents tout en restant harmonieux, son slip blanc cachait avec peine des organes bien présents chauffés qu'ils étaient par la chaleur des rayons du soleil. Oui, si tout avait changé en lui, deux choses avaient néanmoins triomphé des années écoulées : ses yeux bleu-clair et ses fossettes. J'ai alors senti un début d'érection.
Un rayon lumineux illuminait la petite pièce car le soleil était déjà bas sur l'horizon alors que j'étais en train d'ouvrir un œil après trois bonnes heures d'un sommeil réparateur, bien nécessaire après ces dernières journées éprouvantes d'un point de vue émotif et, pour les dernières heures, la rude montée jusqu'à la Bergerie ainsi que ce moment oh combien intense de la rencontre avec petit Louis. Un Louis qui n'était plus si petit que cela et qui ne ressemblait en rien à ce jeune adolescent que j'avais connu et aimé, il y a une bonne dizaine d'années.
Réveillé mais encore avec encore un vif sentiment de lassitude, je le voyais assis sur une chaise au soleil, près de la porte, en train d'étudier ce qui semblait être un rapport probablement médical.
Il était torse nu et son corps bronzé démontrait clairement que ce n'était pas la première fois qu'il profitait du soleil. J'avais le souvenir d'un corps un peu chétif et fragile, la fois, la seule, où j'avais promené mes mains sur son corps il me revenait à l'esprit de m'être fait la remarque qu'il était facile de compter ses côtes. Je n'aime pas les garçons qui ont un peu trop de poids mais là, le Louis de l'époque était vraiment un peu trop osseux. Et pourtant, il se dégageait de sa personne un charme indéniable auquel il était difficile de résister.
Incontestablement, c'était son visage qui sauvait tout avec ses yeux bleu-clair qui illuminaient tout son regard, qui transperçaient en tout temps sa personne. Mais le summum, c'était lorsqu'il se mettait à sourire, les lèvres légèrement entrouvertes et découvrant deux petites fossettes, une sur chaque joue. Personne je crois, ne pouvait résister au choc de l'attirance qu'elles exerçaient sur ses congénères, filles ou garçons, tous ont dû lutter contre l'envie de les caresser avec douceur pour sentir au bout des doigts le creux qui se dessinait sur ses joues. D'aucuns ont même dû lutter pour ne pas y promener la pointe de leur langue. Oui, tout le monde rêvait de le tenir dans ses bras, de le cajoler et pourtant tout dans sa réserve, dans son attitude incitait à ne pas toucher à ce petit trésor.
À l'époque, je suis certain d'être le seul à avoir eu l'insigne privilège de connaître la douceur de sa peau, la rondeur de ses petits testicules, la dureté de son sexe. Ce n'était pas moi qui avait été entreprenant, c'est lui qui avait pris l'initiative, qui l'avait voulu et l'avait fait, pour quelques heures seulement.
J'étais réveillé depuis un bon moment mais j'avais profité de ce moment où au réveil on ne s'appartient qu'à soi-même pour faire le point sur ce que je ressentais. Vous l'aurez compris, Louis n'avait plus rien à voir avec le souvenir qui avait surgit des profondeurs de ma mémoire. Il avait une stature d'homme, des muscles bien présents tout en restant harmonieux, son slip blanc cachait avec peine des organes bien présents chauffés qu'ils étaient par la chaleur des rayons du soleil. Oui, si tout avait changé en lui, deux choses avaient néanmoins triomphé des années écoulées : ses yeux bleu-clair et ses fossettes. J'ai alors senti un début d'érection.