23-08-2020, 04:18 PM
Henri se tourna vers moi et il vit, oui, il vit ma bandaison, il ne pouvait pas faire autre-ment. Très calmement
- Eh bien, tu sembles en avoir une superbe, déjà bien mouillée à voir ton slip qui ne va pas résister bien longtemps à ce traitement. Tu peux me montrer l'objet, il doit être impressionnant ?
J'avais le souffle court, sa main bougea dans ma direction et je crus qu'il allait me la plaquer sur ma braguette mais non, il s'arrêta avant. Je le regardais dans les yeux qui me fixaient, il avait la bouche légèrement entrouverte, je sentais que toute sa personne avait envie de moi et c'est alors que je ne sais pas ce qu'il m'a pris, nos deux regards s'accrochèrent l'un à l'autre, il rougit presqu'autant que moi, nos mains se croisèrent et, pour la première fois une main masculine autre que la mienne avait saisi mon sexe au travers du slip lequel n'empêchait aucune sensation, qui laissait passer l'humidité que je suintais alors que moi, je sentais son érection au travers de son pantalon de toile.
C'est à ce moment que j'ai réalisé que Martha nous regardait avec un grand sourire
- Ah, ce que j'aime voir deux hommes se découvrir ensemble, d'imaginer l'état de leurs sexes, tendus, pleins de précum avec leurs glands roses, oui je sais que celui d'Antoine est rose, qui a jailli du prépuce et qui n'attendent que de pouvoir s'afficher fièrement. Allez, ne vous occupez pas de moi !
Henri, excité mais pas gêné, souriait à Martha alors que moi je n'avais au fond qu'une envie, me montrer nu à cet homme tout en étant très mal à l'aise. Un petit signe de mon amie me fit comprendre que je pouvais y aller, peut-être même que je devais y aller.
Très lentement, j'ai complètement enlevé ma chemise me montrant torse nu ; l'excitation de mon pénis s'accentua au point que mon gland gicla hors de mon slip, il était effectivement rose. Je soulevais mes fesses pour faire glisser mon pantalon sur mes chevilles, l'unique protection qui me restait, c'était ce petit slip rouge duquel émergeait un gland rose. Henri avait l'air fasciné par ce spectacle, son pantalon laissait voir une énorme bosse, cette bosse je voulais la voir lorsque j'aurais fini mon effeuillage. Martha n'en perdait pas une miette et je sentais qu'elle m'encourageait à poursuivre ce spectacle éminemment érotique, j'imaginais sa chatte complètement mouillée.
Je ne demandais que ça, et c'est avec une lenteur absolue que je découvrais, petit à petit, ma nudité totale à cet homme que je ne connaissais pas il y a moins d'une heure. Le slip, trempé cette fois, rejoignit son compagnon, mon pantalon, sur mes chevilles.
Martha avait ses mains dans son entrejambe et j'imaginais facilement ce qu'elle y faisait, Henri avait descendu sa braguette, sa main n'était pas sur mais dans son boxer et elle n'était pas immobile ! Au même rythme que pour moi, je descendis son pantalon, puis son boxer et alors apparait un magnifique sexe, long et fin, follement attirant, pratiquement sans poils. Nous étions totalement nus, tous les deux, et je ne ressentais aucune gêne.
Martha a le sens de l'improvisation et le talent de mettre les gens à l'aise, elle se leva, se mit devant nous, prit mon sexe dégoulinant dans sa main gauche puis avec sa main droite elle s'empara de celui d'Henri. Il y avait dans le salon un silence complet, les deux hommes s'hypnotisaient l'un l'autre et Martha commença une lente masturbation, terriblement sensuelle
- M/ Laissez-vous aller, profitez de ce moment de découverte, de plaisir, de jouissance à venir
- H et A/ Ah, c'est trop bon, tu es folle Martha, Ah Oh Nooooon, Ouuuuuuuuuuuiiiiii,
Continue, plus vite, moins vite Ah, Oh je vais venir, je sens dans mes couilles le jus qui…, ralenti pour durer Ah Ah
- H et A/ Non, pas ma petite rondelle, non pas le doigt, oui appuie plus fort, oh il entre dans mon cul, arrête, non continue
Ah, je viens, moi aussi, oh ah, cela monte cela arrive, je jouis, moi aussi, ça y ait, je jute, je gicle, ça sort
Les deux mâles sont haletants, ils n'en peuvent plus, ils se sourient, il y a du sperme partout, sur les mains, sur les pantalons, sur les slips et boxers, cela sent le musc masculin et le sperme et la transpiration.
Ils ne peuvent pas sortir dans cet état et ils n'ont rien de sec à se mettre, cela les fait rire, ils sont complices ; les deux sont à poil, Martha se délecte de voir leurs sexes encore excités, surtout celui d'Antoine, toujours dégoulinants de leurs semences. Henri et Antoine se regardent, ils se penchent l'un vers l'autre, leurs visages se rapprochent, leurs lèvres s'entrouvrent puis se joignent.
Il est tard, il fait nuit. Henri prend la main d'Antoine
- Vient, oui vient !
- Oui, je viens, à bientôt Martha, merci
Je passais tout le weekend avec Henry, il a découvert et exploré tous les moindres recoins de mon corps, il avait le don de trouver les endroits qui me faisaient grimper au mur, qui me faisaient gémir de jouissance ou hurler de souffrance ectasique. Le dimanche nous nous sommes calmés, nous sommes allés voir une très belle exposition de peinture moderne et enfin d'après-midi, j'ai rejoint ma chambre après nous être promis de nous revoir.
J'étais tout à la fois calme de ces deux journées de découvertes exceptionnelles mais en même temps très excité par ces nouvelles sensations vécues dans mon âme et surtout dans mon corps : En entrant dans la chambre que je partageais avec Jean-Marie, je sentis mon sexe durcir en voyant mon camarade de chambre à torse nu et en slip, j'ai eu brusquement envie de lui. Même s'il avait quelques kilos de trop, son corps était bien proportionné, sa poitrine était bien marquée et il m'a semblé que ses tétons étaient érigés depuis que j'étais entré dans la chambre. Un mince filet de poils blonds descendait depuis son nombril en direction de son slip où il disparaissait dans son intimité, une intimité que j'avais bien envie de lui faire partager avec moi. Il faisait chaud dans la pièce, j'enlevais à mon tour ma chemise puis mon pantalon et je me retrouvais en slip, le même slip rouge mais qui maintenant sentait le garçon, le sperme et la transpiration !
- JM/ Oh dis donc, tu pues sérieusement, [et se penchant vers moi], tu sens vrai-ment le sperme. Qu'est-ce que tu as fait durant ces deux jours ?
- A/ Tu veux le savoir, tu veux vraiment le savoir ?
Son slip montrait une bonne protubérance qui dessinait la forme de son pénis, pénis que j'avais souvent vu sous la douche mais que je n'avais véritablement touché, sinon par inadvertance
- Oui Antoine, j'ai envie que tu me fasses partager ton weekend avec Martha qui n'a pas dû être triste
Je regardais Jean-Marie dans les yeux pendant que très lentement je descendais mon slip, je constatais que son pieu était aussi dur que du fer, je tendis ma main vers l'élastique qui le protégeait encore de mon envie, je le saisis, je sentis sa toison et je le des-cendis et le lui enlevais complètement : Il respirait de manière saccadée, son visage avait un peu rougis, il sursauta lorsque je saisis son organe à pleine main, un organe chaud et vivant, bien en chair et dont le prépuce se rétracta rapidement, laissant à l'air libre un gland dont la couronne, d'un adorable rose, était parfaitement formée et attirante à souhait. Il se regarda quelques secondes et j'eu peur de sa réaction, peur non fondée car quelques instants après, il avait les deux mains dans et sur mes instru-ments et, en plus, il venait presque brutalement de plaquer ses lèvres sur les miennes qui, entrouvertes purent immédiatement accueillir la salive que sa langue amena dans ma bouche. Ce n'était pas la fougue avec Henri, c'était beaucoup plus calme, je ne voulais pas le brusquer, c'était sa première expérience sexuelle, une expérience avec un garçon de surcroit ! Je sentis très vite qu'il appréciait la tournure que prenait les événements, son corps palpitait sous mes caresses, il écartait spontanément ses jambes pour me faciliter l'accès à sa raie que je léchais avec délicatesse, sans encore m'attaquer à sa rondelle, ce serait pour plus tard ou peut-être pour cette nuit car il m'appris que sa mère était absente toute la semaine. Mes attouchements commencèrent à exercer leur effet, je sentis que les profondeurs de ses testicules se mettaient en route, il gémissait de plus en plus, je commençais à sentir ses contractions, je savais que le grand moment allait se saisir de son corps, qu'il allait jouir comme il n'avait jamais jouis : brusquement il plaqua sa poitrine contre la mienne, son ventre contre mon ventre et nos deux pénis ne firent plus qu'un au moment où, serrés l'un contre l'autre, notre semence jaillit simultanément de notre méat, se répandant sur tout notre corps : plusieurs minutes hors du monde, dans cette demi inconscience qui suit l'éjaculation
- JM/ Antoine, merci, c'est le plus extraordinaire moment de ma vie, jamais je n'aurais cru que cela puisse être aussi puissant. Maintenant, je n'ai plus de doute, je sais que ce sont les garçons qui m'attirent ou, plus tôt un garçon, j'ai adoré tes mains sur mon corps et leurs caresses si sensuelles, j'ai vraiment cru que j'allais perdre la raison lorsqu'à un moment donné, tu as retroussé mon prépuce.
Je lui ai raconté mon weekend d'abord avec Martha, puis avec Henry et l'extase que nous avons ressentie tous les deux.
- JM/ J'aimerais bien faire sa connaissance, avec toi bien sûr
- Eh bien, tu sembles en avoir une superbe, déjà bien mouillée à voir ton slip qui ne va pas résister bien longtemps à ce traitement. Tu peux me montrer l'objet, il doit être impressionnant ?
J'avais le souffle court, sa main bougea dans ma direction et je crus qu'il allait me la plaquer sur ma braguette mais non, il s'arrêta avant. Je le regardais dans les yeux qui me fixaient, il avait la bouche légèrement entrouverte, je sentais que toute sa personne avait envie de moi et c'est alors que je ne sais pas ce qu'il m'a pris, nos deux regards s'accrochèrent l'un à l'autre, il rougit presqu'autant que moi, nos mains se croisèrent et, pour la première fois une main masculine autre que la mienne avait saisi mon sexe au travers du slip lequel n'empêchait aucune sensation, qui laissait passer l'humidité que je suintais alors que moi, je sentais son érection au travers de son pantalon de toile.
C'est à ce moment que j'ai réalisé que Martha nous regardait avec un grand sourire
- Ah, ce que j'aime voir deux hommes se découvrir ensemble, d'imaginer l'état de leurs sexes, tendus, pleins de précum avec leurs glands roses, oui je sais que celui d'Antoine est rose, qui a jailli du prépuce et qui n'attendent que de pouvoir s'afficher fièrement. Allez, ne vous occupez pas de moi !
Henri, excité mais pas gêné, souriait à Martha alors que moi je n'avais au fond qu'une envie, me montrer nu à cet homme tout en étant très mal à l'aise. Un petit signe de mon amie me fit comprendre que je pouvais y aller, peut-être même que je devais y aller.
Très lentement, j'ai complètement enlevé ma chemise me montrant torse nu ; l'excitation de mon pénis s'accentua au point que mon gland gicla hors de mon slip, il était effectivement rose. Je soulevais mes fesses pour faire glisser mon pantalon sur mes chevilles, l'unique protection qui me restait, c'était ce petit slip rouge duquel émergeait un gland rose. Henri avait l'air fasciné par ce spectacle, son pantalon laissait voir une énorme bosse, cette bosse je voulais la voir lorsque j'aurais fini mon effeuillage. Martha n'en perdait pas une miette et je sentais qu'elle m'encourageait à poursuivre ce spectacle éminemment érotique, j'imaginais sa chatte complètement mouillée.
Je ne demandais que ça, et c'est avec une lenteur absolue que je découvrais, petit à petit, ma nudité totale à cet homme que je ne connaissais pas il y a moins d'une heure. Le slip, trempé cette fois, rejoignit son compagnon, mon pantalon, sur mes chevilles.
Martha avait ses mains dans son entrejambe et j'imaginais facilement ce qu'elle y faisait, Henri avait descendu sa braguette, sa main n'était pas sur mais dans son boxer et elle n'était pas immobile ! Au même rythme que pour moi, je descendis son pantalon, puis son boxer et alors apparait un magnifique sexe, long et fin, follement attirant, pratiquement sans poils. Nous étions totalement nus, tous les deux, et je ne ressentais aucune gêne.
Martha a le sens de l'improvisation et le talent de mettre les gens à l'aise, elle se leva, se mit devant nous, prit mon sexe dégoulinant dans sa main gauche puis avec sa main droite elle s'empara de celui d'Henri. Il y avait dans le salon un silence complet, les deux hommes s'hypnotisaient l'un l'autre et Martha commença une lente masturbation, terriblement sensuelle
- M/ Laissez-vous aller, profitez de ce moment de découverte, de plaisir, de jouissance à venir
- H et A/ Ah, c'est trop bon, tu es folle Martha, Ah Oh Nooooon, Ouuuuuuuuuuuiiiiii,
Continue, plus vite, moins vite Ah, Oh je vais venir, je sens dans mes couilles le jus qui…, ralenti pour durer Ah Ah
- H et A/ Non, pas ma petite rondelle, non pas le doigt, oui appuie plus fort, oh il entre dans mon cul, arrête, non continue
Ah, je viens, moi aussi, oh ah, cela monte cela arrive, je jouis, moi aussi, ça y ait, je jute, je gicle, ça sort
Les deux mâles sont haletants, ils n'en peuvent plus, ils se sourient, il y a du sperme partout, sur les mains, sur les pantalons, sur les slips et boxers, cela sent le musc masculin et le sperme et la transpiration.
Ils ne peuvent pas sortir dans cet état et ils n'ont rien de sec à se mettre, cela les fait rire, ils sont complices ; les deux sont à poil, Martha se délecte de voir leurs sexes encore excités, surtout celui d'Antoine, toujours dégoulinants de leurs semences. Henri et Antoine se regardent, ils se penchent l'un vers l'autre, leurs visages se rapprochent, leurs lèvres s'entrouvrent puis se joignent.
Il est tard, il fait nuit. Henri prend la main d'Antoine
- Vient, oui vient !
- Oui, je viens, à bientôt Martha, merci
Je passais tout le weekend avec Henry, il a découvert et exploré tous les moindres recoins de mon corps, il avait le don de trouver les endroits qui me faisaient grimper au mur, qui me faisaient gémir de jouissance ou hurler de souffrance ectasique. Le dimanche nous nous sommes calmés, nous sommes allés voir une très belle exposition de peinture moderne et enfin d'après-midi, j'ai rejoint ma chambre après nous être promis de nous revoir.
J'étais tout à la fois calme de ces deux journées de découvertes exceptionnelles mais en même temps très excité par ces nouvelles sensations vécues dans mon âme et surtout dans mon corps : En entrant dans la chambre que je partageais avec Jean-Marie, je sentis mon sexe durcir en voyant mon camarade de chambre à torse nu et en slip, j'ai eu brusquement envie de lui. Même s'il avait quelques kilos de trop, son corps était bien proportionné, sa poitrine était bien marquée et il m'a semblé que ses tétons étaient érigés depuis que j'étais entré dans la chambre. Un mince filet de poils blonds descendait depuis son nombril en direction de son slip où il disparaissait dans son intimité, une intimité que j'avais bien envie de lui faire partager avec moi. Il faisait chaud dans la pièce, j'enlevais à mon tour ma chemise puis mon pantalon et je me retrouvais en slip, le même slip rouge mais qui maintenant sentait le garçon, le sperme et la transpiration !
- JM/ Oh dis donc, tu pues sérieusement, [et se penchant vers moi], tu sens vrai-ment le sperme. Qu'est-ce que tu as fait durant ces deux jours ?
- A/ Tu veux le savoir, tu veux vraiment le savoir ?
Son slip montrait une bonne protubérance qui dessinait la forme de son pénis, pénis que j'avais souvent vu sous la douche mais que je n'avais véritablement touché, sinon par inadvertance
- Oui Antoine, j'ai envie que tu me fasses partager ton weekend avec Martha qui n'a pas dû être triste
Je regardais Jean-Marie dans les yeux pendant que très lentement je descendais mon slip, je constatais que son pieu était aussi dur que du fer, je tendis ma main vers l'élastique qui le protégeait encore de mon envie, je le saisis, je sentis sa toison et je le des-cendis et le lui enlevais complètement : Il respirait de manière saccadée, son visage avait un peu rougis, il sursauta lorsque je saisis son organe à pleine main, un organe chaud et vivant, bien en chair et dont le prépuce se rétracta rapidement, laissant à l'air libre un gland dont la couronne, d'un adorable rose, était parfaitement formée et attirante à souhait. Il se regarda quelques secondes et j'eu peur de sa réaction, peur non fondée car quelques instants après, il avait les deux mains dans et sur mes instru-ments et, en plus, il venait presque brutalement de plaquer ses lèvres sur les miennes qui, entrouvertes purent immédiatement accueillir la salive que sa langue amena dans ma bouche. Ce n'était pas la fougue avec Henri, c'était beaucoup plus calme, je ne voulais pas le brusquer, c'était sa première expérience sexuelle, une expérience avec un garçon de surcroit ! Je sentis très vite qu'il appréciait la tournure que prenait les événements, son corps palpitait sous mes caresses, il écartait spontanément ses jambes pour me faciliter l'accès à sa raie que je léchais avec délicatesse, sans encore m'attaquer à sa rondelle, ce serait pour plus tard ou peut-être pour cette nuit car il m'appris que sa mère était absente toute la semaine. Mes attouchements commencèrent à exercer leur effet, je sentis que les profondeurs de ses testicules se mettaient en route, il gémissait de plus en plus, je commençais à sentir ses contractions, je savais que le grand moment allait se saisir de son corps, qu'il allait jouir comme il n'avait jamais jouis : brusquement il plaqua sa poitrine contre la mienne, son ventre contre mon ventre et nos deux pénis ne firent plus qu'un au moment où, serrés l'un contre l'autre, notre semence jaillit simultanément de notre méat, se répandant sur tout notre corps : plusieurs minutes hors du monde, dans cette demi inconscience qui suit l'éjaculation
- JM/ Antoine, merci, c'est le plus extraordinaire moment de ma vie, jamais je n'aurais cru que cela puisse être aussi puissant. Maintenant, je n'ai plus de doute, je sais que ce sont les garçons qui m'attirent ou, plus tôt un garçon, j'ai adoré tes mains sur mon corps et leurs caresses si sensuelles, j'ai vraiment cru que j'allais perdre la raison lorsqu'à un moment donné, tu as retroussé mon prépuce.
Je lui ai raconté mon weekend d'abord avec Martha, puis avec Henry et l'extase que nous avons ressentie tous les deux.
- JM/ J'aimerais bien faire sa connaissance, avec toi bien sûr