26-02-2024, 11:52 PM
Tiens donc ! Cette histoire m'en rappelle plusieurs de l'Ile de Beauté, où l'on n'aime pas trop les "pinzutes". Et une autre encore, du Haut Var, aux alentours d'un important camp militaire où P....la nouvelle factrice se faisait une joie d'être mutée en arrivant d'une plaine des Ardennes. Au début, tout nouveau tout beau, rien de comparable avec le «Noooord». Puis, au bout de 15 à 18 mois, l'opinion "factorielle" commence à changer : rien à voir avec les romans de Pagnol mais plutôt un rejet assez marqué de tout ce qui n'était pas "du cru". Et aussi , pour les habitants de ce même cru, resurgissaient de sombres histoires de jalousies, fort anciennes parfois mais aux plaies mal refermées. Si bien que dame P...., excédée, demanda sa mutation pour une ville du littoral.
Bref, il faut plusieurs générations pour commencer d'être accepté(*). Et dans tout ça, les "pièces rapportées" aux Fourches : comment sont-elles vues?
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*Réplique du film "l'Enquête corse" lorsque le détective Clavier demande au patron du bistrot s'il connaît un "monsieur Léoni" : «Hé non! On n'est là que depuis 4 générations...on ne peut connaître tout le monde !»
Bref, il faut plusieurs générations pour commencer d'être accepté(*). Et dans tout ça, les "pièces rapportées" aux Fourches : comment sont-elles vues?
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*Réplique du film "l'Enquête corse" lorsque le détective Clavier demande au patron du bistrot s'il connaît un "monsieur Léoni" : «Hé non! On n'est là que depuis 4 générations...on ne peut connaître tout le monde !»