26-02-2024, 05:09 PM
— J'ai un truc à vous demander. Je voudrais aménager le grenier vous en pensez quoi de mon idée ?
— Pourquoi, Bé ? Tu veux y faire quoi ?
— En gros, garder la partie au fond comme rangement, puis faire quatre chambres, un peu comme en bas avec une salle de bain commune et une grande pièce style salle de jeu. Alors, vous en pensez quoi ?
— Ça va faire onze chambres ça, Bé. Tu ne trouves pas que ça fait beaucoup ?
— Oui et non, la famille va s’agrandir dans le temps et j’anticipe. Et vous les jumeaux vous en pensez quoi ?
— C'est cool, comme ça quand Louis, Camille, Eliot et Aymeric viendront on ira tous coucher là-Haut et ça sera interdit aux adultes. Mais il faudra y mettre une télé, une chaine hi-fi, une console, un ou deux clic-clac, un frigo… heu et…
— Gus, du calme, on réfléchit et on dira à papa ce qu'il nous manque.
— Wow, wow ! Du calme les garçons, pour toute l’installation de base je m’en occupe et même le frigo, c'est d’accord. Mais pour tout le reste vous avez de l'argent, alors c'est vous qui allez gérer. Encore un truc je veux bien que quand vos cousins seront là vous montiez tous au dernier étage, je veux bien aussi qu'il n'y ait pas d'adultes, mais ça signifie aussi que se sera à vous de tenir l’endroit propre. Et, non Gus, je te vois venir, donc avant que tu parles, ni Hans ni moi, ne sommes vos femmes de ménage alors vous vous débrouillerez seuls. Et je préviens tout de suite qu’il y aura une inspection après chaque visite de l’un ou l’autre de vos cousins ou invité.
— C'est pas ça que j'allais demander Pa, juste si on pourra décorer comme on veut.
— Ça aussi c'est d'accord, sauf si c'est pour coller des photos de femmes nues partout.
— Pffff ! N'importe quoi, Papa !
— Je préfère prendre les devants, connaissant mon petit cochon ! Donc, il n'y a pas d'objections pour que je trouve un entrepreneur qui commence les travaux le plus rapidement possible ?
— Tu crois que ça sera fini pour les prochaines vacances, Pa ?
— Ca, on verra bien. Vous êtes toujours pressés les gosses. Bon ! On va manger, j'ai faim moi.
On avait tout posé sur la table du jardin et on mangeait l’entrée quand ça sonna et la porte s'ouvrit aussitôt. C’était Tim qui entrait et vint nous rejoindre.
— Salut la compagnie. J'ai bien fait de rentrer le premier, sinon le nouveau maire aurait eu une sacrée surprise.
— Le nouveau maire ? De quoi tu parles Tim ?
— Dehors il y a le nouveau maire et mon père qui arrivent, ils voudraient te parler. Et moi je venais vous faire un petit coucou en passant… avant eux !
— Ha d’accord. On va vite enfiler un truc pour pas trop les choquer.
On enfila tous un short de bain, plus un tee-shirt pour Hans et moi, puis, au coup de sonnette, j'allais ouvrir au père de Tim à qui je fis la bise et serrais la main au maire - Jacky - que je connaissais de vue.
— Bonsoir Bé, on vous dérange en plein repas. Si tu veux on peut repasser une autre fois.
— Non, puisque vous êtes là, autant que vous me disiez pourquoi vous êtes venus.
— Je laisse Jacky te parler.
— Je peux me permettre de vous appeler Jean-François ?
— Oui, pas de souci.
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Vous possédez un terrain de deux hectares dans la plaine qui nous intéresse et on voudrait vous l’acheter. Cependant le foncier a pris une telle plus-value que ça va créer quelques problèmes à la commune pour en financer l’acquisition.
Dans un premier temps on venait voir si vous étiez vendeur, auquel cas on voudrait vous le réserver.
— Je n'y ai jamais réfléchi pour être franc. Jusqu'à présent c'est un ami de Tim qui se chargeait de l'entretenir en y faisant des cultures. Alors, pourquoi pas, si vous m'en proposez un bon prix.
— Il n'est pas viabilisé, on ne pourra pas vous le payer comme tel.
— Il suffit que je dépose un permis de construire et que je viabilise et comme vous le savez avec le matériel qu'on a à la carrière ça sera très vite fait. Les derniers terrains, qui ne faisaient pas le quart du mien, se sont vendus dans les 150 euros le mètre carré. Alors je pense que je n'aurai aucun mal à le vendre le même prix, même s'il n'est pas viabilisé.
— Pour ce soir on va en rester là, si vous le voulez bien, maintenant que nous savons que vous accepteriez la vente. Nous avons une réunion du conseil municipal bientôt et nous vous ferons une proposition d’achat.
On se serra la main et le maire et Bernard partirent. Tim resta un moment encore avec nous. On parlait de choses et d'autres quand, au cours de la discussion, Tim nous parla d'un truc qui fit tilt dans mon cerveau.
— … Vous savez qu'ils vont vendre la vieille mairie, ici aux Fourches d’en Haut, ainsi que le terrain de tennis plus la maison qui est derrière et sa parcelle ?
— Comment ça se fait ?
— Par mesure d'économie, ils ont dit, rentrée d’argent et plus de frais foncier ni d’entretien. Ça fait une sacrée bâtisse l'ancienne mairie/école. Mary dit qu'il y a du potentiel. Ça peut s'arracher à prix d’or. Sans compter que le terrain de tennis plus le terrain derrière on pourrait y faire des trucs pas mal comme un terrain de camping ou une auberge de jeunesse.
— Tu es sûr de ce que tu dis ?
— Oui, mon père nous en a parlé à midi. Ils ont l'accord du préfet pour vendre. Pourquoi, ça t’intéresse ? Tu veux en faire quoi ?
— Ça m'intéresse, oui et non. C'est juste que mon terrain, eux, ils ne vont pas me le payer le prix voulu, alors si je peux leur vendre le prix fort en incluant dans la vente le terrain de tennis plus la mairie je pense que ça devrait passer à l’aise. Et comme ça, la commune garde son budget en équilibre et, ici, on restera entre nous.
— C'est vrai que, suivant qui vient, on risque d'être emmerdé.
— À vous entendre, tous les deux, on dirait que vous n'aimez pas les étrangers.
— C'est pas ça Hans, ici on est en famille. On se connait tous et on se fait confiance. Alors on n'a pas besoin d’y voir d'autres personnes qui viendraient faire n’importe quoi. Tim, tu crois que je peux appeler ton père pour lui en parler ?
— Oui, le maire et sa femme mangent chez eux. Bon, je vous laisse sinon Mary va encore m'engueuler parce que je traine trop.
…
— Allo, Bernard, je suis désolé de t'appeler aussi tard. Tim sort de la maison et il vient de me dire que vous vendez le terrain de tennis et la vieille mairie. C'est vrai ?
— Oui Bé, c'est vrai. Pourquoi ? ça t’intéresse !
— Ça ce pourrait. Disons que je pensais, un peu comme tu as fait quand tu étais maire, à faire une sorte d’échange. Je pourrais vous vendre le terrain au prix normal et vous, pour me payer, vous me donnez en échange le tennis et la mairie et ça vous fera sortir beaucoup moins d'argent pour compléter la somme. Tu crois qu'on peut faire comme ça ?
— J'ai mis le Haut-parleur et Jacky me dit qu'on va repasser te voir pour en discuter et qu’à première vue il n'est pas contre. Il faut juste que le conseil municipal accepte ta proposition.
— J'attends de vos nouvelles. Bonne soirée.
On raccrocha en même temps. Dans la foulée j'envoyer un mail à Rémi pour lui dire ce que je comptais faire et quelques minutes après mon téléphone sonna.
— Salut Bé, ça me surprend que tu sois encore debout à cette heure fort tardive pour toi.
— Salut Rémi, vas-y, lâche-toi, traite-moi de vieux tant que tu y es. Comment vous allez tous les deux ?
— Depuis avant-hier, je crois que c'est la dernière fois que tu as appelé Joris, on va bien et vous ?
— Hé, hé ! Pareil pour nous. Alors tu en penses quoi de ce que je te dis dans mon mail ?
— Je n’en pense rien. C'est toi qui vois ce que tu veux faire. Tu n'as pas plus besoin de ton terrain dans la plaine que de la mairie et du terrain de tennis au village.
— En fait, c'est pour pas que ça tombe entre de mauvaises mains. Tu sais ici les étrangers on ne les aime pas trop. On est bien entre nous.
— Plus sérieusement Bé, tu sais à combien sont évalués la mairie et le terrain de tennis ?
— Non, pas vraiment. Bernard et Jacky doivent passer me revoir pour en discuter.
— Je vais mandater un expert foncier pour qu'il aille estimer ça et après on verra... Mais arrête Joris. Tu vois bien que je discute avec Bé. Mmmmh. Excuse-moi Bé, Joriiiissssss
— Il te taille une pipe, c'est ça ?
— Comment tu as deviné ?
— Bon je vous laisse. vous avez des choses plus importantes à faire. On se tient au courant.
— Mais Bé, il faut qu'on discute encore un peuuuuuuuuuuu.
— Non, parce que, là, j'ai une urgence. Je vais faire comme Joris. À plus.
Je raccrochais et montais rapidement. Hans sortait de la douche quand j'entrais dans la pièce. Je lui pris la main et je l'entrainais à ma suite – retour dans la douche. Il me souriait. Il s’approcha de moi et m'embrassa avec passion. Je lui rendis son baiser et puis je fis comme Joris. Juste avant son point de non-retour, Hans se retira et me fit me retourner pour me bouffer le cul. Et après m'avoir bien lubrifié de sa salive… SURPRISE ! sans que je le lui demande, sa queue entra en moi. Il résista autant qu'il put avant de se retirer me laissant la queue raide appuyé contre le mur de la douche. Il se sécha et partit dans la chambre en riant, le temps de me sécher - vite, vite - je le retrouvais allongé sur le dos et les jambes repliées contre son buste.
Je ne résistais pas à son invitation et je me ruais sur sa rondelle rose bien visible que je dévorais. Puis ma queue remplaça ma langue et juste avant de jouir, comme lui, je me retirais.
— Pffff t'es chiant Bé, j'allais jouir moi.
— Moi aussi, alors, c'est à ton tour.
— Allez Bé, steuuuplait, encore cinq minutes.
— Cinq minutes ou même plus mais c'est d'abord ton tour.
Comprenant que je ne cèderai pas, Hans me donna sa bite à sucer, pour que je lui redonne de la vigueur et quand il fut bien raide il entra en moi d'une seule poussée me faisant gémir de plaisir. Il assura un peu moins longtemps que la fois précédente et se retira vite en pinçant la base de son sexe pour ne pas jouir. Il s'allongea sur le dos et releva ses jambes sur sa poitrine. À mon tour je l'enfilais d'une seule poussée. Je sentais ses muscles intimes pulser et je me mis à le sodomiser tout en douceur. Ça le frustrait parce qu’il aimait que j'y aille fort quand il était sur le point de jouir. Mais je ne voulais pas y aller comme un bourrin car j'avoue que moi aussi je n’étais pas loin de la jouissance. Ça arrivait et trop vite, même. Je me retirais une fois de plus. Il râla.
— Putain Bé ! Pourquoi tu t'es retiré, j'allais jouir !
— Moi aussi, c'est pour ça que je me suis retiré. Et c'est à ton tour de faire le piston.
— Je ne crois pas que je vais y arriver sans jouir dès que je vais rentrer. Allez, Bé, sois sympa fait moi jouir et après je m'occupe de toi.
On se câlina gentiment un grand moment pour se calmer et Hans me reprit. Oh, pas longtemps mais assez quand même pour me porter à la limite de la jouissance. Il se retira et je le remplaçais dans le rôle d’actif. Ça ne devait pas faire trois minutes que je le prenais que je sentis sa jouissance qui arrivait. Hans se tendit comme un arc et envoya plusieurs giclées d'un sperme bien blanc et bien épais. Je me retirais immédiatement et après quelques mouvements de poignets sur ma queue, je lui envoyais moi aussi plusieurs giclées de sperme sur le corps. Je soufflais comme un bœuf tellement la jouissance que je venais d'éprouver avait été forte. Je m'allongeais à côté de lui. On se regardait droit dans les yeux en se souriant.
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— Pourquoi, Bé ? Tu veux y faire quoi ?
— En gros, garder la partie au fond comme rangement, puis faire quatre chambres, un peu comme en bas avec une salle de bain commune et une grande pièce style salle de jeu. Alors, vous en pensez quoi ?
— Ça va faire onze chambres ça, Bé. Tu ne trouves pas que ça fait beaucoup ?
— Oui et non, la famille va s’agrandir dans le temps et j’anticipe. Et vous les jumeaux vous en pensez quoi ?
— C'est cool, comme ça quand Louis, Camille, Eliot et Aymeric viendront on ira tous coucher là-Haut et ça sera interdit aux adultes. Mais il faudra y mettre une télé, une chaine hi-fi, une console, un ou deux clic-clac, un frigo… heu et…
— Gus, du calme, on réfléchit et on dira à papa ce qu'il nous manque.
— Wow, wow ! Du calme les garçons, pour toute l’installation de base je m’en occupe et même le frigo, c'est d’accord. Mais pour tout le reste vous avez de l'argent, alors c'est vous qui allez gérer. Encore un truc je veux bien que quand vos cousins seront là vous montiez tous au dernier étage, je veux bien aussi qu'il n'y ait pas d'adultes, mais ça signifie aussi que se sera à vous de tenir l’endroit propre. Et, non Gus, je te vois venir, donc avant que tu parles, ni Hans ni moi, ne sommes vos femmes de ménage alors vous vous débrouillerez seuls. Et je préviens tout de suite qu’il y aura une inspection après chaque visite de l’un ou l’autre de vos cousins ou invité.
— C'est pas ça que j'allais demander Pa, juste si on pourra décorer comme on veut.
— Ça aussi c'est d'accord, sauf si c'est pour coller des photos de femmes nues partout.
— Pffff ! N'importe quoi, Papa !
— Je préfère prendre les devants, connaissant mon petit cochon ! Donc, il n'y a pas d'objections pour que je trouve un entrepreneur qui commence les travaux le plus rapidement possible ?
— Tu crois que ça sera fini pour les prochaines vacances, Pa ?
— Ca, on verra bien. Vous êtes toujours pressés les gosses. Bon ! On va manger, j'ai faim moi.
On avait tout posé sur la table du jardin et on mangeait l’entrée quand ça sonna et la porte s'ouvrit aussitôt. C’était Tim qui entrait et vint nous rejoindre.
— Salut la compagnie. J'ai bien fait de rentrer le premier, sinon le nouveau maire aurait eu une sacrée surprise.
— Le nouveau maire ? De quoi tu parles Tim ?
— Dehors il y a le nouveau maire et mon père qui arrivent, ils voudraient te parler. Et moi je venais vous faire un petit coucou en passant… avant eux !
— Ha d’accord. On va vite enfiler un truc pour pas trop les choquer.
On enfila tous un short de bain, plus un tee-shirt pour Hans et moi, puis, au coup de sonnette, j'allais ouvrir au père de Tim à qui je fis la bise et serrais la main au maire - Jacky - que je connaissais de vue.
— Bonsoir Bé, on vous dérange en plein repas. Si tu veux on peut repasser une autre fois.
— Non, puisque vous êtes là, autant que vous me disiez pourquoi vous êtes venus.
— Je laisse Jacky te parler.
— Je peux me permettre de vous appeler Jean-François ?
— Oui, pas de souci.
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Vous possédez un terrain de deux hectares dans la plaine qui nous intéresse et on voudrait vous l’acheter. Cependant le foncier a pris une telle plus-value que ça va créer quelques problèmes à la commune pour en financer l’acquisition.
Dans un premier temps on venait voir si vous étiez vendeur, auquel cas on voudrait vous le réserver.
— Je n'y ai jamais réfléchi pour être franc. Jusqu'à présent c'est un ami de Tim qui se chargeait de l'entretenir en y faisant des cultures. Alors, pourquoi pas, si vous m'en proposez un bon prix.
— Il n'est pas viabilisé, on ne pourra pas vous le payer comme tel.
— Il suffit que je dépose un permis de construire et que je viabilise et comme vous le savez avec le matériel qu'on a à la carrière ça sera très vite fait. Les derniers terrains, qui ne faisaient pas le quart du mien, se sont vendus dans les 150 euros le mètre carré. Alors je pense que je n'aurai aucun mal à le vendre le même prix, même s'il n'est pas viabilisé.
— Pour ce soir on va en rester là, si vous le voulez bien, maintenant que nous savons que vous accepteriez la vente. Nous avons une réunion du conseil municipal bientôt et nous vous ferons une proposition d’achat.
On se serra la main et le maire et Bernard partirent. Tim resta un moment encore avec nous. On parlait de choses et d'autres quand, au cours de la discussion, Tim nous parla d'un truc qui fit tilt dans mon cerveau.
— … Vous savez qu'ils vont vendre la vieille mairie, ici aux Fourches d’en Haut, ainsi que le terrain de tennis plus la maison qui est derrière et sa parcelle ?
— Comment ça se fait ?
— Par mesure d'économie, ils ont dit, rentrée d’argent et plus de frais foncier ni d’entretien. Ça fait une sacrée bâtisse l'ancienne mairie/école. Mary dit qu'il y a du potentiel. Ça peut s'arracher à prix d’or. Sans compter que le terrain de tennis plus le terrain derrière on pourrait y faire des trucs pas mal comme un terrain de camping ou une auberge de jeunesse.
— Tu es sûr de ce que tu dis ?
— Oui, mon père nous en a parlé à midi. Ils ont l'accord du préfet pour vendre. Pourquoi, ça t’intéresse ? Tu veux en faire quoi ?
— Ça m'intéresse, oui et non. C'est juste que mon terrain, eux, ils ne vont pas me le payer le prix voulu, alors si je peux leur vendre le prix fort en incluant dans la vente le terrain de tennis plus la mairie je pense que ça devrait passer à l’aise. Et comme ça, la commune garde son budget en équilibre et, ici, on restera entre nous.
— C'est vrai que, suivant qui vient, on risque d'être emmerdé.
— À vous entendre, tous les deux, on dirait que vous n'aimez pas les étrangers.
— C'est pas ça Hans, ici on est en famille. On se connait tous et on se fait confiance. Alors on n'a pas besoin d’y voir d'autres personnes qui viendraient faire n’importe quoi. Tim, tu crois que je peux appeler ton père pour lui en parler ?
— Oui, le maire et sa femme mangent chez eux. Bon, je vous laisse sinon Mary va encore m'engueuler parce que je traine trop.
…
— Allo, Bernard, je suis désolé de t'appeler aussi tard. Tim sort de la maison et il vient de me dire que vous vendez le terrain de tennis et la vieille mairie. C'est vrai ?
— Oui Bé, c'est vrai. Pourquoi ? ça t’intéresse !
— Ça ce pourrait. Disons que je pensais, un peu comme tu as fait quand tu étais maire, à faire une sorte d’échange. Je pourrais vous vendre le terrain au prix normal et vous, pour me payer, vous me donnez en échange le tennis et la mairie et ça vous fera sortir beaucoup moins d'argent pour compléter la somme. Tu crois qu'on peut faire comme ça ?
— J'ai mis le Haut-parleur et Jacky me dit qu'on va repasser te voir pour en discuter et qu’à première vue il n'est pas contre. Il faut juste que le conseil municipal accepte ta proposition.
— J'attends de vos nouvelles. Bonne soirée.
On raccrocha en même temps. Dans la foulée j'envoyer un mail à Rémi pour lui dire ce que je comptais faire et quelques minutes après mon téléphone sonna.
— Salut Bé, ça me surprend que tu sois encore debout à cette heure fort tardive pour toi.
— Salut Rémi, vas-y, lâche-toi, traite-moi de vieux tant que tu y es. Comment vous allez tous les deux ?
— Depuis avant-hier, je crois que c'est la dernière fois que tu as appelé Joris, on va bien et vous ?
— Hé, hé ! Pareil pour nous. Alors tu en penses quoi de ce que je te dis dans mon mail ?
— Je n’en pense rien. C'est toi qui vois ce que tu veux faire. Tu n'as pas plus besoin de ton terrain dans la plaine que de la mairie et du terrain de tennis au village.
— En fait, c'est pour pas que ça tombe entre de mauvaises mains. Tu sais ici les étrangers on ne les aime pas trop. On est bien entre nous.
— Plus sérieusement Bé, tu sais à combien sont évalués la mairie et le terrain de tennis ?
— Non, pas vraiment. Bernard et Jacky doivent passer me revoir pour en discuter.
— Je vais mandater un expert foncier pour qu'il aille estimer ça et après on verra... Mais arrête Joris. Tu vois bien que je discute avec Bé. Mmmmh. Excuse-moi Bé, Joriiiissssss
— Il te taille une pipe, c'est ça ?
— Comment tu as deviné ?
— Bon je vous laisse. vous avez des choses plus importantes à faire. On se tient au courant.
— Mais Bé, il faut qu'on discute encore un peuuuuuuuuuuu.
— Non, parce que, là, j'ai une urgence. Je vais faire comme Joris. À plus.
Je raccrochais et montais rapidement. Hans sortait de la douche quand j'entrais dans la pièce. Je lui pris la main et je l'entrainais à ma suite – retour dans la douche. Il me souriait. Il s’approcha de moi et m'embrassa avec passion. Je lui rendis son baiser et puis je fis comme Joris. Juste avant son point de non-retour, Hans se retira et me fit me retourner pour me bouffer le cul. Et après m'avoir bien lubrifié de sa salive… SURPRISE ! sans que je le lui demande, sa queue entra en moi. Il résista autant qu'il put avant de se retirer me laissant la queue raide appuyé contre le mur de la douche. Il se sécha et partit dans la chambre en riant, le temps de me sécher - vite, vite - je le retrouvais allongé sur le dos et les jambes repliées contre son buste.
Je ne résistais pas à son invitation et je me ruais sur sa rondelle rose bien visible que je dévorais. Puis ma queue remplaça ma langue et juste avant de jouir, comme lui, je me retirais.
— Pffff t'es chiant Bé, j'allais jouir moi.
— Moi aussi, alors, c'est à ton tour.
— Allez Bé, steuuuplait, encore cinq minutes.
— Cinq minutes ou même plus mais c'est d'abord ton tour.
Comprenant que je ne cèderai pas, Hans me donna sa bite à sucer, pour que je lui redonne de la vigueur et quand il fut bien raide il entra en moi d'une seule poussée me faisant gémir de plaisir. Il assura un peu moins longtemps que la fois précédente et se retira vite en pinçant la base de son sexe pour ne pas jouir. Il s'allongea sur le dos et releva ses jambes sur sa poitrine. À mon tour je l'enfilais d'une seule poussée. Je sentais ses muscles intimes pulser et je me mis à le sodomiser tout en douceur. Ça le frustrait parce qu’il aimait que j'y aille fort quand il était sur le point de jouir. Mais je ne voulais pas y aller comme un bourrin car j'avoue que moi aussi je n’étais pas loin de la jouissance. Ça arrivait et trop vite, même. Je me retirais une fois de plus. Il râla.
— Putain Bé ! Pourquoi tu t'es retiré, j'allais jouir !
— Moi aussi, c'est pour ça que je me suis retiré. Et c'est à ton tour de faire le piston.
— Je ne crois pas que je vais y arriver sans jouir dès que je vais rentrer. Allez, Bé, sois sympa fait moi jouir et après je m'occupe de toi.
On se câlina gentiment un grand moment pour se calmer et Hans me reprit. Oh, pas longtemps mais assez quand même pour me porter à la limite de la jouissance. Il se retira et je le remplaçais dans le rôle d’actif. Ça ne devait pas faire trois minutes que je le prenais que je sentis sa jouissance qui arrivait. Hans se tendit comme un arc et envoya plusieurs giclées d'un sperme bien blanc et bien épais. Je me retirais immédiatement et après quelques mouvements de poignets sur ma queue, je lui envoyais moi aussi plusieurs giclées de sperme sur le corps. Je soufflais comme un bœuf tellement la jouissance que je venais d'éprouver avait été forte. Je m'allongeais à côté de lui. On se regardait droit dans les yeux en se souriant.
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