19-02-2024, 04:45 PM
Face à ma mine déconfite, ils posèrent leurs sacs et arrivèrent en courant pour m’embrasser.
— On t'a bien eu ! Tu aurais vu ta tête !
— Bande de sale gosses ! Faites-moi encore un bisou.
Hans arriva et m’embrassa.
— Vous avez fait bon voyage ?
— Oui, ça va. Ça a été long et fatigant, en plus le train était complet mais je suis content, puisque c’était pour te retrouver. Et toi, tu ne t'es pas ennuyé tout seul ?
— Ennuyé n'est pas le mot. Je vous ai langui et il n'y a pas que moi qui vous languissait. Rémus et Romulus vous cherchent de partout.
— Holly et Blacky sont revenus à la maison ?
— Non, pas encore, Louis les garde jusqu'en septembre.
Je roulais depuis moins de 10 minutes que mes trois passagers dormaient déjà. Je mis de la musique pour me tenir compagnie. Et ce n'est qu'une fois garé devant la maison qu'ils se réveillèrent.
— On est déjà arrivé ?
— Pourquoi tu dis ‘’déjà’’ Gus ?
— Ça a été court, le voyage, je trouve.
— On était encore dans Nîmes que vous dormiez déjà tous les trois. Bon, le temps de décharger, de prendre une douche, si vous voulez et on va chez Mamé. Elle nous invite à souper avec les parents.
— Cool ! On va enfin bien manger.
— Pourquoi, vous n'avez pas bien mangé ?
— Si mais Hans nous faisait manger ‘’équilibré’’, comme il dit. Chez Mamé on pourra manger ce qu'on veut au moins.
Et, ils le firent, au plus grand plaisir de ma grand-mère. Puis on rentra. On monta directement pour se coucher. Hans défaisait sa valise et j'allais me doucher. Sous le jet d’eau, je laissais mes pensées vagabonder… quand il vint se coller à mon dos.
— Tu sais que tu m'as manqué toi ?
— Si ce que je sens entre mes fesses est bien ce que je pense, je t'ai beaucoup manqué, en effet.
— Et si tu te retournais pour que je puisse voir si moi aussi je t'ai beaucoup manqué ?
— Bien sûr que tu m'as manqué.
— Ah, oui, je vois ça.
On stoppa nos joutes verbales pour passer à des joutes buccales où chacun stoppait juste avant que l'autre ne jouisse.
— Si on allait au lit, c'est quand même plus confortable que dans la douche. T'es d'accord Bé ?
— Ok mais c'est toi qui commences.
— Allez Bé, fais pas ta tête de mule, j'en ai trop envie moi.
— Mais moi aussi mon cher Hans.
Et pour lui montrer que je ne plaisantais pas je m'allongeais sur le ventre, les jambes écartées. Hans soupira. Mais très vite il s'installa entre mes cuisses et ses mains commencèrent à pétrir mes fesses mais aussi à caresser mon corps, partout où il pouvait accéder.
Puis sa langue entra en action. D'abord sur mes fesses puis elle se rapprocha de ma rosette dont elle s'occupa longuement, à mon plus grand plaisir. Ses doigts enfin entrèrent dans la danse et au bout d'un long moment je sentis son gland pousser sur ma rondelle et son sexe envahir mon intimité. Une fois entièrement en moi il resta un instant sans bouger puis il commença à me prendre. Je l'entendais gémir de plaisir.
— Bé, s'il te plait, prends-moi. Je ne vais pas résister longtemps.
— Alors ne résiste pas, jouis en moi et après je m'occupe de toi pour un deuxième round.
Il ne se le fit pas répéter. Les coups de rein qu'il donnait faisaient gémir le lit et moi aussi, d’ailleurs. Mais trop rapidement à mon gout, il s’épancha en moi.
Il s'allongea de tout son long sur moi et doucement son sexe qui débandait sortit seul de mon postérieur. Il me faisait des bisous dans le cou, me mordillait les oreilles pour m’exciter.
— À ton tour maintenant de t'occuper de mes fesses. J'en rêve depuis deux semaines.
— Mais ça fait exactement deux semaines que vous êtes partis.
— Oui, mais depuis le premier soir, tu me manques mon bel étalon.
— C'est moi qui te manque ou mon sexe ?
— Un peu les deux, j'avoue mais c'est surtout toi. Quoique, là, tout de suite ça serait plutôt ton sexe qui me sodomise qui me manquait. Et puis arrête de parler et occupe-toi de moi.
Je me retournais et le pris dans mes bras. On s'embrassa longuement. Je caressais son dos. Et comme il était allongé sur moi, j'en profitais pour lui pétrir le fessier. De temps en temps mes doigts allaient jouer avec sa rosette et ça le faisait frissonner de plaisir. Je voyais dans ses yeux son envie et je le faisais languir. Ses yeux m'imploraient et mon petit sourire narquois leur répondait. Finalement j'accédais à cette demande. Mais avant je lui mangeais longuement son petit trou qui s'ouvrait seul de plaisir. Son sexe bandé coulait comme une fontaine et de temps en temps je récoltais cette manne et je m'amusais à la mettre sur son gland que je massais délicatement. Ça le faisait se tendre comme un arc tellement il était sensible. Et quand, ses chevilles sur mes épaules, mon sexe le pénétra il poussa un soupir de soulagement. Je pris tout mon temps pour le faire jouir. Chaque fois qu'il voulait se masturber pour accélérer sa jouissance je l'en empêchai…
Mais, là, c'est moi qui n’arrivais plus à me retenir. Les coups de rein que je donnais devenaient de plus en plus puissants et désordonnés et finalement je me laissais aller et je jouis en lui. Il s’était mis à râler fort et, à quelques secondes d’écart, envoya plusieurs giclées de sperme entre nos deux corps.
On se câlina un moment avant d'aller prendre une douche réparatrice qui, une fois propre, se transforma en douche coquine où Hans me suça longuement avant de me présenter ses fesses de façon obscène. Comment résister à ça ? Je ne cherchais pas à résister et je le pris, là, dans la douche, de manière un peu bestiale pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Cette deuxième baise nous avait bien calmé. Et après une dernière douche, normale cette fois ci, on alla se coucher. Mais dans la nuit, Hans qui avait encore faim, prit un encas qui me réveilla le bas ventre et on se refit une petite bouffe, vite fait sur le pouce.
Et dix minutes avant que mon réveil sonne, ce fut moi qui eus une petite faim. Chacun ayant bu le lait de l'autre je me levais et Hans se rendormit. C'est fatigué et repu que j'allais au boulot. Nick et Tonin ne se privèrent pas de faire des commentaires salaces en voyant mes cernes. Je ne me laissais pas faire et je leur répondis sur le même ton canaille. Jusqu’à ce que je leur dise :
— Bon, je sais que vous êtes beaux-frères mais vu la précision des remarques que vous faites, on dirait bien que vous pratiquez aussi de temps à autres.
Je vis le regard plein de panique qu'ils s’échangèrent. Je changeais de discussion aussitôt, avais je touché un point sensible ?
— C’en est où votre maison ?
— On devrait l'avoir pour début septembre au mieux et fin septembre au pire. Au fait Bé, tu crois que ton père nous prêterait une pelle pour creuser une piscine parce que le prix que le gars prend pour creuser le trou est juste dément.
— Je ne vois pas pourquoi il vous le refuserait.
— On rapportera la terre ici. Un ou deux camions de plus ou de moins ça ne se remarquera même pas. Alors comment ça s’est passé pour tes loustics en Angleterre ?
J'éclatais de rire.
— D'après les jumeaux, Hans est un véritable tortionnaire. Il les a obligés à manger équilibré !
— Tu plaisantes ?
— Non même pas et ils s'en sont plaints à ma grand-mère qui du coup les a invité tous les jours pour le gouter. Ils lui ont dressé la liste de tout ce qu'ils voulaient manger.
— Si les petits cochons les mangent pas, ils iront loin ces deux-là. Ils savent manipuler leur monde. Ils repartent quant à la fac ?
— Dans deux semaines mais je pense qu'ils vont y descendre un jour ou deux bientôt, pour l’administratif.
— Tu vas aller avec eux ?
— Non je ne pense pas. Parce qu'ici, entre les gens en vacances et le surcroit de travail, ça commence à devenir compliqué. Si ça continue la plaine va se transformer en une zone urbaine immense. Il ne reste presque plus de terrain pour construire. J'en ai un, en bas, qui doit faire pas loin de deux hectares. Il faudrait peut-être que je m'en occupe. Je suis d'ailleurs étonné que personne ne m'ait proposé de me l’acheter.
— Tu le tiens d'où ce terrain ?
— Je l'ai eu en héritage en même temps que le champ clos. Ça faisait partie du lot.
— Si tu le viabilises tu vas te faire des couilles en or quand tu vas le vendre.
— Il faut que j'y réfléchisse. Je veux faire quelques travaux dans la maison. Mais il n'y en a pas pour autant de fric. Donc, je suis pas dans l’urgence.
— Qu'est-ce-que tu veux faire comme travaux ?
— Je veux aménager le grenier.
— Tu veux y faire quoi ? Ce n’est pas déjà assez grand comme ça ?
— Si, mais on sait jamais. Je vais garder une partie au fond, parce qu'il y a toute la machinerie des panneaux solaires et les malles que Cyprien m'a donné. Puis je pense que je vais y faire quatre chambres avec salle de bain et une grande pièce, style salle de jeu. Sylvio, l'architecte qui avait effectué les travaux avait fait faire les écoulement en même temps que le reste des travaux. Il y a même une partie des branchements électriques qui sont faits.
— Mais tu vas faire quoi de onze chambres ? Tu comptes ouvrir un gite ou une auberge de jeunesse ? hé, hé !
— Non, grand couillon ! Mais comme ça je pourrais recevoir autant de monde que je veux. Et on ne sera pas serré.
— On te réserve les chambres du haut en cas d'inondation dans la plaine.
— Ok, c'est noté. Mais ne parle pas de malheur !
La journée finie je rentrais et je retrouvais mon petit monde nu à la piscine. Je quittais mes fringues et après un tour sous la douche, je plongeais, vite rejoint par mes trois amours qui voulurent me faire boire la tasse… les salopiots !
On se faisait bronzer sur les chaises longues quand je décidais de leur parler de mon idée d'aménager le grenier.
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— On t'a bien eu ! Tu aurais vu ta tête !
— Bande de sale gosses ! Faites-moi encore un bisou.
Hans arriva et m’embrassa.
— Vous avez fait bon voyage ?
— Oui, ça va. Ça a été long et fatigant, en plus le train était complet mais je suis content, puisque c’était pour te retrouver. Et toi, tu ne t'es pas ennuyé tout seul ?
— Ennuyé n'est pas le mot. Je vous ai langui et il n'y a pas que moi qui vous languissait. Rémus et Romulus vous cherchent de partout.
— Holly et Blacky sont revenus à la maison ?
— Non, pas encore, Louis les garde jusqu'en septembre.
Je roulais depuis moins de 10 minutes que mes trois passagers dormaient déjà. Je mis de la musique pour me tenir compagnie. Et ce n'est qu'une fois garé devant la maison qu'ils se réveillèrent.
— On est déjà arrivé ?
— Pourquoi tu dis ‘’déjà’’ Gus ?
— Ça a été court, le voyage, je trouve.
— On était encore dans Nîmes que vous dormiez déjà tous les trois. Bon, le temps de décharger, de prendre une douche, si vous voulez et on va chez Mamé. Elle nous invite à souper avec les parents.
— Cool ! On va enfin bien manger.
— Pourquoi, vous n'avez pas bien mangé ?
— Si mais Hans nous faisait manger ‘’équilibré’’, comme il dit. Chez Mamé on pourra manger ce qu'on veut au moins.
Et, ils le firent, au plus grand plaisir de ma grand-mère. Puis on rentra. On monta directement pour se coucher. Hans défaisait sa valise et j'allais me doucher. Sous le jet d’eau, je laissais mes pensées vagabonder… quand il vint se coller à mon dos.
— Tu sais que tu m'as manqué toi ?
— Si ce que je sens entre mes fesses est bien ce que je pense, je t'ai beaucoup manqué, en effet.
— Et si tu te retournais pour que je puisse voir si moi aussi je t'ai beaucoup manqué ?
— Bien sûr que tu m'as manqué.
— Ah, oui, je vois ça.
On stoppa nos joutes verbales pour passer à des joutes buccales où chacun stoppait juste avant que l'autre ne jouisse.
— Si on allait au lit, c'est quand même plus confortable que dans la douche. T'es d'accord Bé ?
— Ok mais c'est toi qui commences.
— Allez Bé, fais pas ta tête de mule, j'en ai trop envie moi.
— Mais moi aussi mon cher Hans.
Et pour lui montrer que je ne plaisantais pas je m'allongeais sur le ventre, les jambes écartées. Hans soupira. Mais très vite il s'installa entre mes cuisses et ses mains commencèrent à pétrir mes fesses mais aussi à caresser mon corps, partout où il pouvait accéder.
Puis sa langue entra en action. D'abord sur mes fesses puis elle se rapprocha de ma rosette dont elle s'occupa longuement, à mon plus grand plaisir. Ses doigts enfin entrèrent dans la danse et au bout d'un long moment je sentis son gland pousser sur ma rondelle et son sexe envahir mon intimité. Une fois entièrement en moi il resta un instant sans bouger puis il commença à me prendre. Je l'entendais gémir de plaisir.
— Bé, s'il te plait, prends-moi. Je ne vais pas résister longtemps.
— Alors ne résiste pas, jouis en moi et après je m'occupe de toi pour un deuxième round.
Il ne se le fit pas répéter. Les coups de rein qu'il donnait faisaient gémir le lit et moi aussi, d’ailleurs. Mais trop rapidement à mon gout, il s’épancha en moi.
Il s'allongea de tout son long sur moi et doucement son sexe qui débandait sortit seul de mon postérieur. Il me faisait des bisous dans le cou, me mordillait les oreilles pour m’exciter.
— À ton tour maintenant de t'occuper de mes fesses. J'en rêve depuis deux semaines.
— Mais ça fait exactement deux semaines que vous êtes partis.
— Oui, mais depuis le premier soir, tu me manques mon bel étalon.
— C'est moi qui te manque ou mon sexe ?
— Un peu les deux, j'avoue mais c'est surtout toi. Quoique, là, tout de suite ça serait plutôt ton sexe qui me sodomise qui me manquait. Et puis arrête de parler et occupe-toi de moi.
Je me retournais et le pris dans mes bras. On s'embrassa longuement. Je caressais son dos. Et comme il était allongé sur moi, j'en profitais pour lui pétrir le fessier. De temps en temps mes doigts allaient jouer avec sa rosette et ça le faisait frissonner de plaisir. Je voyais dans ses yeux son envie et je le faisais languir. Ses yeux m'imploraient et mon petit sourire narquois leur répondait. Finalement j'accédais à cette demande. Mais avant je lui mangeais longuement son petit trou qui s'ouvrait seul de plaisir. Son sexe bandé coulait comme une fontaine et de temps en temps je récoltais cette manne et je m'amusais à la mettre sur son gland que je massais délicatement. Ça le faisait se tendre comme un arc tellement il était sensible. Et quand, ses chevilles sur mes épaules, mon sexe le pénétra il poussa un soupir de soulagement. Je pris tout mon temps pour le faire jouir. Chaque fois qu'il voulait se masturber pour accélérer sa jouissance je l'en empêchai…
Mais, là, c'est moi qui n’arrivais plus à me retenir. Les coups de rein que je donnais devenaient de plus en plus puissants et désordonnés et finalement je me laissais aller et je jouis en lui. Il s’était mis à râler fort et, à quelques secondes d’écart, envoya plusieurs giclées de sperme entre nos deux corps.
On se câlina un moment avant d'aller prendre une douche réparatrice qui, une fois propre, se transforma en douche coquine où Hans me suça longuement avant de me présenter ses fesses de façon obscène. Comment résister à ça ? Je ne cherchais pas à résister et je le pris, là, dans la douche, de manière un peu bestiale pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Cette deuxième baise nous avait bien calmé. Et après une dernière douche, normale cette fois ci, on alla se coucher. Mais dans la nuit, Hans qui avait encore faim, prit un encas qui me réveilla le bas ventre et on se refit une petite bouffe, vite fait sur le pouce.
Et dix minutes avant que mon réveil sonne, ce fut moi qui eus une petite faim. Chacun ayant bu le lait de l'autre je me levais et Hans se rendormit. C'est fatigué et repu que j'allais au boulot. Nick et Tonin ne se privèrent pas de faire des commentaires salaces en voyant mes cernes. Je ne me laissais pas faire et je leur répondis sur le même ton canaille. Jusqu’à ce que je leur dise :
— Bon, je sais que vous êtes beaux-frères mais vu la précision des remarques que vous faites, on dirait bien que vous pratiquez aussi de temps à autres.
Je vis le regard plein de panique qu'ils s’échangèrent. Je changeais de discussion aussitôt, avais je touché un point sensible ?
— C’en est où votre maison ?
— On devrait l'avoir pour début septembre au mieux et fin septembre au pire. Au fait Bé, tu crois que ton père nous prêterait une pelle pour creuser une piscine parce que le prix que le gars prend pour creuser le trou est juste dément.
— Je ne vois pas pourquoi il vous le refuserait.
— On rapportera la terre ici. Un ou deux camions de plus ou de moins ça ne se remarquera même pas. Alors comment ça s’est passé pour tes loustics en Angleterre ?
J'éclatais de rire.
— D'après les jumeaux, Hans est un véritable tortionnaire. Il les a obligés à manger équilibré !
— Tu plaisantes ?
— Non même pas et ils s'en sont plaints à ma grand-mère qui du coup les a invité tous les jours pour le gouter. Ils lui ont dressé la liste de tout ce qu'ils voulaient manger.
— Si les petits cochons les mangent pas, ils iront loin ces deux-là. Ils savent manipuler leur monde. Ils repartent quant à la fac ?
— Dans deux semaines mais je pense qu'ils vont y descendre un jour ou deux bientôt, pour l’administratif.
— Tu vas aller avec eux ?
— Non je ne pense pas. Parce qu'ici, entre les gens en vacances et le surcroit de travail, ça commence à devenir compliqué. Si ça continue la plaine va se transformer en une zone urbaine immense. Il ne reste presque plus de terrain pour construire. J'en ai un, en bas, qui doit faire pas loin de deux hectares. Il faudrait peut-être que je m'en occupe. Je suis d'ailleurs étonné que personne ne m'ait proposé de me l’acheter.
— Tu le tiens d'où ce terrain ?
— Je l'ai eu en héritage en même temps que le champ clos. Ça faisait partie du lot.
— Si tu le viabilises tu vas te faire des couilles en or quand tu vas le vendre.
— Il faut que j'y réfléchisse. Je veux faire quelques travaux dans la maison. Mais il n'y en a pas pour autant de fric. Donc, je suis pas dans l’urgence.
— Qu'est-ce-que tu veux faire comme travaux ?
— Je veux aménager le grenier.
— Tu veux y faire quoi ? Ce n’est pas déjà assez grand comme ça ?
— Si, mais on sait jamais. Je vais garder une partie au fond, parce qu'il y a toute la machinerie des panneaux solaires et les malles que Cyprien m'a donné. Puis je pense que je vais y faire quatre chambres avec salle de bain et une grande pièce, style salle de jeu. Sylvio, l'architecte qui avait effectué les travaux avait fait faire les écoulement en même temps que le reste des travaux. Il y a même une partie des branchements électriques qui sont faits.
— Mais tu vas faire quoi de onze chambres ? Tu comptes ouvrir un gite ou une auberge de jeunesse ? hé, hé !
— Non, grand couillon ! Mais comme ça je pourrais recevoir autant de monde que je veux. Et on ne sera pas serré.
— On te réserve les chambres du haut en cas d'inondation dans la plaine.
— Ok, c'est noté. Mais ne parle pas de malheur !
La journée finie je rentrais et je retrouvais mon petit monde nu à la piscine. Je quittais mes fringues et après un tour sous la douche, je plongeais, vite rejoint par mes trois amours qui voulurent me faire boire la tasse… les salopiots !
On se faisait bronzer sur les chaises longues quand je décidais de leur parler de mon idée d'aménager le grenier.
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