22-08-2020, 11:37 AM
Ma sœur Delphine était dans sa chambre avec son amie Stéphanie. Elles s’apprêtaient à aller à la salle de bain. Jacques et moi nous étions dans ma chambre et nous aussi nous étions occupés à nous préparer pour aller à la salle de bain.
Au même moment ma sœur et moi nous avions ouvert la porte de notre chambre respective. Nous voilà dans le hall de nuit, tous les quatre nus comme des vers. J‘avais dit à ma sœur d’aller la première avec Stéphanie dans la salle de bain. Mais Delphine m’avait dit, qu’elles prendraient la baignoire et nous la douche. Nous voilà donc à quatre dans la salle de bain. Les filles se prenant un bain et nous les garçons nous étions sous la douche !
Jacques était un peu intrigué, mais je lui avais fait comprendre que c’était bien entendu l’habitude dans la famille de se balader nu dans la maison.
Jacques et moi avions pris notre douche ensemble, dans la douche italienne. Ma sœur était avec sa copine dans la baignoire.
Une fois la douche terminée et une fois séchés, nous avions regagné ma chambre. Les filles étaient toujours occupées à tremper dans le bain.
Une fois dans la chambre, la porte fermée, j’avais attiré Jacques sur mon lit. Nous nous étions embrassés. Nos bouches s’étaient trouvées, nos langues avaient passé la barrière des dents et elles dansaient ensemble. Nos mains n’étaient pas restées à ne rien faire, elles caressaient nos corps, elles s’attardaient au niveau des fesses pour enfin venir s’occuper de nos attributs masculins. Nos pines étaient gorgées de sang et elles pointaient vers le haut. Je laissais mes mains parcourir les fesses et le mât de cocagne de mon cher Jacques. Celle qui était sur son vit allait de bas en haut, caressant le gland pour redescendre vers les deux bourses gonflées. Puis elle allait une nouvelle fois vers le haut pour s’attarder au niveau du gland.
Jacques de son côté s’attelait à me rendre la pareille. Il s’appliquait à me faire du bien.
Puis j’avais cessé mes caresses ! Jacques s’était lui aussi arrêté. Je l’avais regardé dans les yeux et lui avais dit :
Moi : Je veux t’aimer, je veux te faire l’amour !
Jac : Oh Phil, je voudrais aussi t’aimer.
Moi : Je voudrais aussi mais nous n’avons pas de quoi nous protéger.
Jac : Ne t’inquiète pas, mon père m’a donné ce qu’il faut.
Moi : Tu as des capotes et du gel ?
Jac : Oui, j’ai ce qu’il faut, attend c’est dans mon sac.
Jacques avait sorti de son sac une boite de préservatifs et un flacon de gel. C’était donc son père qui lui avait fourni tout le matériel pour que nous puissions nous aimer en toute sécurité !
Jacques avait pris l’initiative. Il avait préparé les capotes. Il avait le flacon de gel et en mettait sur ses doigts. J’avais compris, il voulait me prendre, il voulait me faire l’amour. Il s’était aventuré auprès de ma rondelle et il titillait ma rosasse. Il enfonçait un doigt puis deux dans mon anus. Il élargissait à force l’ouverture de ma grotte. Puis une fois mon anus préparé, il avait placé un condom sur sa verge bandée. Il s’était approché de mon derrière et avait donc investi les lieux en douceur. Il me pénétrait doucement en faisant des mouvements entrant et sortant, pour ne pas me faire mal. Puis il s’était décidé à me pénétrer jusqu’au fond. Ses couilles battaient sur mes fesses. Il ma labourait l’anus et moi de mon côté je gémissais de plaisir. J’avais déjà connu ça avec Julien, mais avec Jacques s’était autre chose. Il y allait doucement en prenant son temps. Il me susurrait à l’oreille des « je t’aime » et me caressait les cuisses. Il y allait de plus en plus franchement, moi de mon côté j’étais de plus en plus hors du temps. Je savourais recevoir dans mon anus le phallus de mon ami. Je ressentais un tas de sensations divines, j’avais des fourmillements dans le ventre. Je sentais que Jacques respirait de plus en plus fort puis il se cabrait et ensuite ralentissait la cadence pour mieux reprendre par la suite. Jusqu’au moment où, plein d’énergie il envoya la purée au fond de la capote. Moi-même j’avais laissé échapper quelques petits cris de bonheur. Puis Jacques avait reculé son sexe et avait déserté ma grotte. Il s’était couché, je dirais même qu’il s’était affalé sur le lit à mes côtés.
Une fois que Jacques ait eu le temps de se reprendre, je lui avais dit à l’oreille que je voulais moi aussi l’aimer, lui rendre son amour, le faire jouir de l’anus.
J’avais enduit la rondelle de mon ami avec du lubrifiant. Puis avec un doigt puis avec deux doigts, j’avais élargi le passage. Je massais son anus pour pouvoir par la suite y introduire mon sexe bandé. J’avais même osé mettre un troisième doigt mais Jacques m’avait dit qu’il avait mal. Je m’étais alors contenté de deux doigts. Puis après quelques minutes, j’avais présenté mon sexe tendu à l’entrée de sa grotte. J’avais bien entendu placé au préalable une capote sur mon vit. Mon gland se présentait au niveau de sa rondelle qui entrait dans la cavité élargie. J’y allais centimètres par centimètres.
J’investissais sa grotte d’amour doucement, sans précipitation. Je demandais à Jacques s’il avait mal, il m’avait dit un peu, mais que ça allait. Une fois arrivé à la garde, mes deux boules claquaient sur ses fesses au fur et à mesure de mes mouvements pénétrants et sortants. Jacques commençait à gémir de plaisir ; moi de mon côté je sentais que ma sève montait. Je ralentissais alors l’allure pour que les coups de boutoir soient moins forts. Je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais que Jacques puisse en profiter au maximum. Mais Jacques disait de son côté « Oui, oui, vas-y. » J’avais alors repris de plus belle mon assaut dans sa cavité anale et en moins de trente secondes je laissais partir ma semence en saccades au fond du préservatif. Jacques quant à lui criait de joie. Après m’être retirer, je m’étais avachi, fourbu à côté de Jacques.
Nous venions de nous aimer, nous venions de nous faire l’amour. Jacques était ravi et moi aussi bien entendu. Nous nous étions ensuite embrassés amoureusement. Nous nous étions ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre.
De leur côté les filles n’étaient restées dans le même lit, celui de ma sœur, pas uniquement pour dormir. Elles s’étaient également données du plaisir. Delphine avait donné un petit bisou sur les lèvres de Stéphanie. Puis ce petit bisou s’était transformé en un baiser fougueux, les langues dansant entre elles. Puis bien entendu les mains n’étaient pas restées comme cela sans rien faire, sans bouger. Elles se promenaient sur les corps, les tétons des seins étaient gonflés par le désir montant. Puis les mains allaient aussi en direction de l’intimité de l’être aimé. Puis les doigts s’insinuaient entre les lèvres déjà ouvertes. Les clitoris étaient titillés, ils étaient sensibles aux caresses des filles. Elles savaient s’y prendre, cela faisait déjà depuis quelques mois qu'elles se connaissaient sexuellement parlant. Finalement elles s’étaient retrouvées têtes bêches et pouvaient donc se gouter mutuellement. Les langues y allaient de plus belles, de petits cris étouffés se faisaient entendre dans cette chambre où il régnait une atmosphère d’amour. Puis l’excitation étant de plus en plus forte, les filles mouillaient de plus en plus et puis dans de grands râles de bonheur elles arrivaient ensemble à l’orgasme tant convoité. Puis elles retombèrent sur le lit côté à côte comme deux oiseaux fatigués en vue de reprendre haleine. Elles s’étaient aimées, elles s’étaient données l’une à l’autre.
Mes parents eux aussi s’étaient mis au lit. Je savais qu’ils faisaient encore l’amour. Je me doutais bien qu’ils étaient eux aussi nus dans leur lit et qu’ils se donnaient l’un à l’autre. Ils s’aimaient, ils avaient retrouvé un nouveau souffle après les évènements des dernières semaines.
Au matin, Jacques s’était réveillé avant moi. Il me regardait dormir. Il avait remarqué que j’avais déjà une semi-gaule matinale. Il avait alors déposé sa main sur ma queue, juste comme ça, sans bouger. Mon sexe s’était encore gonflé au contact de cette main bien chaude, pour être ensuite tendu au maximum. Jacques commença alors de petits mouvements de va et vient sur mon membre dressé. J’avais ouvert les yeux à moitié et je regardais Jacques me faire du bien. Quand il s'’n est aperçu, il m’avait souri. Je savais qu’il m’aimait et qu’il trouvait un malin plaisir à me donner de l’amour et à me donner du bonheur. Il n’avait pas fallu plus de quelques minutes avant que je ne jouisse. Mon ami avait du sperme sur la main et moi sur mes abdos. J’avais bien entendu vu que Jacques bandait, son sexe ne demandait qu’une chose c’était qu’on s’occupe de lui. J’avais donc avancé ma main vers son membre dressé et je lui avais procuré à mon tour les caresses qui convenaient pour qu’il puisse lui aussi jouir. Jacques avait fermé les yeux pour savourer cette branlette qui lui faisait tant de bien. Puis il s’était cambré et avait laissé s’écouler sa semence sur ma main et son torse. Une fois essuyés, nous nous étions embrassés à pleine bouche.
Petit tour à la salle de bain pour une bonne douche réparatrice. Une fois séchés, nous avions passés nos vêtements pour nous rendre à la salle à manger pour un très bon petit-déjeuner en famille.
Papa était allé chercher les petits pains et des croissants à la boulangerie. Maman avait fait du café et du chocolat chaud. Les filles étaient elles aussi déjà habillées. Nous avions donc mangés en famille.
Papa nous proposait ensuite de partir tous ensemble pour une balade dans les campagnes du Brabant Wallon. Nous avions tous approuvés.
Après avoir pris notre petit déjeuner, nous nous étions habillés chaudement pour cette balade. Nous avions tous pris place dans l’auto de papa, hop, nous voilà en route vers la campagne.
Nous avions fait une très belle balade entre près, praires et bosquets d’arbres. Nous parlions ensemble de tout et de rien, enfin de la vie quoi ! Jacques était heureux d’être avec moi et c’était la même chose pour ma sœur et Stéphanie. Maman et papa se donnaient eux aussi la main. Quel bonheur que d’être comme ça réuni en famille et de pouvoir profiter de la nature en toute quiétude.
Avec Jacques nous parlions des prochaines vacances au ski, des congés de Pâques et de la fin de nos études dans le secondaire. Jacques ne savait toujours pas dans quelle voie il allait s’orienter. Pour moi, je pense que ce serai la chimie. Il faut dire que j’adorais ce cours et de plus la prof était très sympa. Je pensais présenter un travail sur la distillation du pétrole brut en gas-oil lourd, en gas-oil léger, en kérosène et en essence.
Jacques était impressionné.
Bref voilà nous nous baladions dans un petit vent très frais qui donnait une impression de gel, mais il devait y avoir environ trois à quatre degrés.
Une fois de retour à la voiture papa nous demanda si nous étions d’accord d’aller manger une pizza. Il y eu comme une avalanche de « Oui ».
Nous voilà donc arrivé au restaurant italien. Nous avions pris une grande table pour nous installer. Chacun avait commandé sa pizza préférée. Papa avait également demandé un apéro pour tout le monde. Nous étions heureux et souriants. Puis pour le repas papa avait souhaité avoir une grande bouteille de chianti. Maman avait alors décrété que c’était elle qui allait prendre le volant pour le retour.
A l’issue du repas nous avions pris un café. Le patron avait offert soit un amaretto ou alors un limoncello. Quel excellent repas. Toute la famille était ravie.
Une fois dans l’auto, papa qui était convoyeur, nous proposa d’aller au cinéma. Nous en étions tous ravi. Et nous voilà en route vers la salle de cinéma. En arrivant devant nous avions vu qu’il n’y avait que deux films, l’un était un dessin animé et l’autre le film « Emmanuelle » réalisé par Just Jaeckin, film érotique de 1974. Nous étions tous d’accord pour aller visionner le film érotique. Mon père avait eu cette très charmante idée, car nous en parlions parfois dans la cour de récréation de l’école. C’était un sujet de conversation auquel seul ceux qui étaient allés le voir pouvaient en parler.
Le film nous avait très bien plu. Les images étaient très belles, et il n’y avait rien de choquant, que du contraire c’était érotique, bien sûr, mais aussi très sensuel et même parfois assez poétique.
Sur le trajet de retour nous avions déposé Jacques devant chez lui. Je l’avais embrassé sur la bouche, mais très simplement, sans effervescence. Nous nous étions donnés rendez-vous le lendemain à l’école.
Puis nous étions rentrés à la maison avec Stéphanie. En effet elle devait revoir des cours de droit avec Delphine ; c’est pour cela qu’elle restait loger.
A l’issue du repas du soir j’avais remercié maman et papa pour cette très belle journée. Je leur avais donné un gros bisou.
Nous avions regardé la télévision, maman, papa et moi. Je voyais que mes parents avaient retrouvé une certaine entente je dirai, amoureuse, qui faisait plaisir à voir. Ils se tenaient la main dans le canapé, or avant papa était content d’être seul dans un fauteuil.
J’étais allé me coucher après une bonne douche. J’étais enfin très serein. Je pouvais envisager l’avenir sous un meilleur angle qu’au paravent. Demain j’allais me rendre à l’école l’esprit libre.
Hop, 06h50 le réveil venait de sonner. Vite la douche, l’habillage et ensuite le petit-déjeuner avec papa. Maman partait plus tard et ma sœur et son amie Stéphanie dormaient encore. Papa m’avait proposé de me déposer à l’école et j’avais de suite accepté.
Dans la voiture sur le chemin de l’école papa me parlait de sa nouvelle envie de vivre plus en accord avec les membres de la famille tout en respectant les désirs de chacun pourvu qu’un consensus soit trouvé pour aller dans la même direction.
Arrivé près de l’école, papa m’avait demandé où il devait me déposer. Je lui avais dit, mais juste devant l’entrée. Je savais que quand j’étais jeune, c’était « la louze » si on était déposé comme ça à l’entrée, mais maintenant, avec mes 17 ans, presque 18, je n’en avais rien à faire. Puis je voulais montrer aux autres élèves que tout allait bien dans ma famille et plus particulièrement avec mon papa. J’avais donc embrassé mon père avant de descendre de sa voiture.
Amandine qui était déjà arrivée de quelques secondes avait pu voir mon arrivée. Elle m’avait embrassé et puis elle avait dit :
Aman : Bonjour Phil, alors je vois que tout s’est arrangé avec ton papa.
Moi : Bonjour Amandine, oui, tout va bien, tu ne peux pas t’imaginer comme il a changé !
Aman : Mais je le vois, je le vois juste à ton visage rayonnant !
Moi : Merci. Tu sais que Jacques a pu loger le week-end et en plus ma sœur a pu recevoir son amie Stéphanie aussi tout le week-end. Nous avons fait des tas de choses en famille avec mes parents. Oh tu ne sais pas comme je suis heureux.
Aman : Mais ça me fait plaisir. Tu le mérites Phil, toi qui est toujours là aider les autres, pour une fois c’est toi qui nage dans le bonheur.
Jacques arrivait accompagné de Joseph. Puis Jean suivait à 20 mètres. Nous nous étions fait la bise. Jean était encore un peu triste, il avait une mine défaite. On lui avait demandé comment ça allait, mais il ne voulait rien dire.
Les cours allaient commencés, la sonnerie avait retenti !
Nous étions en session d’examens, c’étaient des partiels, juste avant les congés de Noël. Nous étions rassemblés dans la salle de cours et le prof avait distribué les feuilles d’examen.
Vers 12h00 nous avions tous remis nos copies. Puis nous avions l’autorisation de rentrer chez nous pour revoir les cours pour les examens du lendemain.
La semaine se passa ainsi : au matin examens partiels et après-midi étude chez soi.
Nous étions le jeudi soit cinq jours avant Noël. Nous avions eu notre dernier examen. Les résultats de cette session seraient connus à la rentrée de janvier. Nous n’avions pas de cours ce vendredi. J’allais enfin profiter d’une grasse matinée.
Jacques était rentré chez lui. Nous avions convenu de nous revoir le vendredi après-midi pour soit aller à la piscine ou au cinéma, nous n’avions pas encore décidé.
Ce jeudi après-midi j’avais flâné à la maison. J’avais pensé au réveillon de Noël puis à notre départ pour le ski. Je m’étais laissé emporter par mon imagination. Puis j’avais mes des disques et j’avais fini le bouquin que j’avais entamé il y a une dizaine de jours.
Delphine était revenue vers 15h00. Elle était montée jusqu’à ma chambre pour voir comment j’allais et surtout pour savoir si j’étais content de ma session d’examens. Nous avions bavardé une petite heure. Nous avions convenu de l’achat d’un cadeau commun pour nos parents. C’était le début de la vidéo sur bande magnétique et je savais que papa rêvait d’avoir un lecteur vidéo. Par la suite il avait dit qu’il s’achèterait bien une caméra, mais il devait attendre car les prix étaient assez élevés. Nous avions alors convenu que nous offririons à nos parents un lecteur vidéo, Delphine en avait vus en promotion chez un vendeur de matériel TV-hifi du centre-ville.
Maman était revenue vers les 17h30. Elle avait fait les courses pour le repas du soir. Je m’étais proposé pour donner un coup de main. J’avais épluché les pommes de terre et les carottes. Maman avait prévu de faire un rôti de porc avec une potée aux carottes agrémentée de lardons fumés coupés en lamelles.
Nous attendions papa en vue de passer à table, mais nous avions le temps. Papa rentrait normalement vers 19h20, mais avant 19h00 il était déjà revenu.
Nous avions alors pris l’apéro en famille.
Le repas s’était très déroulé. J’avais parlé de mes examens partiels et Delphine de ses révisions en vue de sa session d’examens de janvier.
J’avais débarrassé la table pour aider maman. Puis j’étais remonté dans ma chambre. J’avais ouvert un nouveau livre.
Au même moment ma sœur et moi nous avions ouvert la porte de notre chambre respective. Nous voilà dans le hall de nuit, tous les quatre nus comme des vers. J‘avais dit à ma sœur d’aller la première avec Stéphanie dans la salle de bain. Mais Delphine m’avait dit, qu’elles prendraient la baignoire et nous la douche. Nous voilà donc à quatre dans la salle de bain. Les filles se prenant un bain et nous les garçons nous étions sous la douche !
Jacques était un peu intrigué, mais je lui avais fait comprendre que c’était bien entendu l’habitude dans la famille de se balader nu dans la maison.
Jacques et moi avions pris notre douche ensemble, dans la douche italienne. Ma sœur était avec sa copine dans la baignoire.
Une fois la douche terminée et une fois séchés, nous avions regagné ma chambre. Les filles étaient toujours occupées à tremper dans le bain.
Une fois dans la chambre, la porte fermée, j’avais attiré Jacques sur mon lit. Nous nous étions embrassés. Nos bouches s’étaient trouvées, nos langues avaient passé la barrière des dents et elles dansaient ensemble. Nos mains n’étaient pas restées à ne rien faire, elles caressaient nos corps, elles s’attardaient au niveau des fesses pour enfin venir s’occuper de nos attributs masculins. Nos pines étaient gorgées de sang et elles pointaient vers le haut. Je laissais mes mains parcourir les fesses et le mât de cocagne de mon cher Jacques. Celle qui était sur son vit allait de bas en haut, caressant le gland pour redescendre vers les deux bourses gonflées. Puis elle allait une nouvelle fois vers le haut pour s’attarder au niveau du gland.
Jacques de son côté s’attelait à me rendre la pareille. Il s’appliquait à me faire du bien.
Puis j’avais cessé mes caresses ! Jacques s’était lui aussi arrêté. Je l’avais regardé dans les yeux et lui avais dit :
Moi : Je veux t’aimer, je veux te faire l’amour !
Jac : Oh Phil, je voudrais aussi t’aimer.
Moi : Je voudrais aussi mais nous n’avons pas de quoi nous protéger.
Jac : Ne t’inquiète pas, mon père m’a donné ce qu’il faut.
Moi : Tu as des capotes et du gel ?
Jac : Oui, j’ai ce qu’il faut, attend c’est dans mon sac.
Jacques avait sorti de son sac une boite de préservatifs et un flacon de gel. C’était donc son père qui lui avait fourni tout le matériel pour que nous puissions nous aimer en toute sécurité !
Jacques avait pris l’initiative. Il avait préparé les capotes. Il avait le flacon de gel et en mettait sur ses doigts. J’avais compris, il voulait me prendre, il voulait me faire l’amour. Il s’était aventuré auprès de ma rondelle et il titillait ma rosasse. Il enfonçait un doigt puis deux dans mon anus. Il élargissait à force l’ouverture de ma grotte. Puis une fois mon anus préparé, il avait placé un condom sur sa verge bandée. Il s’était approché de mon derrière et avait donc investi les lieux en douceur. Il me pénétrait doucement en faisant des mouvements entrant et sortant, pour ne pas me faire mal. Puis il s’était décidé à me pénétrer jusqu’au fond. Ses couilles battaient sur mes fesses. Il ma labourait l’anus et moi de mon côté je gémissais de plaisir. J’avais déjà connu ça avec Julien, mais avec Jacques s’était autre chose. Il y allait doucement en prenant son temps. Il me susurrait à l’oreille des « je t’aime » et me caressait les cuisses. Il y allait de plus en plus franchement, moi de mon côté j’étais de plus en plus hors du temps. Je savourais recevoir dans mon anus le phallus de mon ami. Je ressentais un tas de sensations divines, j’avais des fourmillements dans le ventre. Je sentais que Jacques respirait de plus en plus fort puis il se cabrait et ensuite ralentissait la cadence pour mieux reprendre par la suite. Jusqu’au moment où, plein d’énergie il envoya la purée au fond de la capote. Moi-même j’avais laissé échapper quelques petits cris de bonheur. Puis Jacques avait reculé son sexe et avait déserté ma grotte. Il s’était couché, je dirais même qu’il s’était affalé sur le lit à mes côtés.
Une fois que Jacques ait eu le temps de se reprendre, je lui avais dit à l’oreille que je voulais moi aussi l’aimer, lui rendre son amour, le faire jouir de l’anus.
J’avais enduit la rondelle de mon ami avec du lubrifiant. Puis avec un doigt puis avec deux doigts, j’avais élargi le passage. Je massais son anus pour pouvoir par la suite y introduire mon sexe bandé. J’avais même osé mettre un troisième doigt mais Jacques m’avait dit qu’il avait mal. Je m’étais alors contenté de deux doigts. Puis après quelques minutes, j’avais présenté mon sexe tendu à l’entrée de sa grotte. J’avais bien entendu placé au préalable une capote sur mon vit. Mon gland se présentait au niveau de sa rondelle qui entrait dans la cavité élargie. J’y allais centimètres par centimètres.
J’investissais sa grotte d’amour doucement, sans précipitation. Je demandais à Jacques s’il avait mal, il m’avait dit un peu, mais que ça allait. Une fois arrivé à la garde, mes deux boules claquaient sur ses fesses au fur et à mesure de mes mouvements pénétrants et sortants. Jacques commençait à gémir de plaisir ; moi de mon côté je sentais que ma sève montait. Je ralentissais alors l’allure pour que les coups de boutoir soient moins forts. Je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais que Jacques puisse en profiter au maximum. Mais Jacques disait de son côté « Oui, oui, vas-y. » J’avais alors repris de plus belle mon assaut dans sa cavité anale et en moins de trente secondes je laissais partir ma semence en saccades au fond du préservatif. Jacques quant à lui criait de joie. Après m’être retirer, je m’étais avachi, fourbu à côté de Jacques.
Nous venions de nous aimer, nous venions de nous faire l’amour. Jacques était ravi et moi aussi bien entendu. Nous nous étions ensuite embrassés amoureusement. Nous nous étions ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre.
De leur côté les filles n’étaient restées dans le même lit, celui de ma sœur, pas uniquement pour dormir. Elles s’étaient également données du plaisir. Delphine avait donné un petit bisou sur les lèvres de Stéphanie. Puis ce petit bisou s’était transformé en un baiser fougueux, les langues dansant entre elles. Puis bien entendu les mains n’étaient pas restées comme cela sans rien faire, sans bouger. Elles se promenaient sur les corps, les tétons des seins étaient gonflés par le désir montant. Puis les mains allaient aussi en direction de l’intimité de l’être aimé. Puis les doigts s’insinuaient entre les lèvres déjà ouvertes. Les clitoris étaient titillés, ils étaient sensibles aux caresses des filles. Elles savaient s’y prendre, cela faisait déjà depuis quelques mois qu'elles se connaissaient sexuellement parlant. Finalement elles s’étaient retrouvées têtes bêches et pouvaient donc se gouter mutuellement. Les langues y allaient de plus belles, de petits cris étouffés se faisaient entendre dans cette chambre où il régnait une atmosphère d’amour. Puis l’excitation étant de plus en plus forte, les filles mouillaient de plus en plus et puis dans de grands râles de bonheur elles arrivaient ensemble à l’orgasme tant convoité. Puis elles retombèrent sur le lit côté à côte comme deux oiseaux fatigués en vue de reprendre haleine. Elles s’étaient aimées, elles s’étaient données l’une à l’autre.
Mes parents eux aussi s’étaient mis au lit. Je savais qu’ils faisaient encore l’amour. Je me doutais bien qu’ils étaient eux aussi nus dans leur lit et qu’ils se donnaient l’un à l’autre. Ils s’aimaient, ils avaient retrouvé un nouveau souffle après les évènements des dernières semaines.
Au matin, Jacques s’était réveillé avant moi. Il me regardait dormir. Il avait remarqué que j’avais déjà une semi-gaule matinale. Il avait alors déposé sa main sur ma queue, juste comme ça, sans bouger. Mon sexe s’était encore gonflé au contact de cette main bien chaude, pour être ensuite tendu au maximum. Jacques commença alors de petits mouvements de va et vient sur mon membre dressé. J’avais ouvert les yeux à moitié et je regardais Jacques me faire du bien. Quand il s'’n est aperçu, il m’avait souri. Je savais qu’il m’aimait et qu’il trouvait un malin plaisir à me donner de l’amour et à me donner du bonheur. Il n’avait pas fallu plus de quelques minutes avant que je ne jouisse. Mon ami avait du sperme sur la main et moi sur mes abdos. J’avais bien entendu vu que Jacques bandait, son sexe ne demandait qu’une chose c’était qu’on s’occupe de lui. J’avais donc avancé ma main vers son membre dressé et je lui avais procuré à mon tour les caresses qui convenaient pour qu’il puisse lui aussi jouir. Jacques avait fermé les yeux pour savourer cette branlette qui lui faisait tant de bien. Puis il s’était cambré et avait laissé s’écouler sa semence sur ma main et son torse. Une fois essuyés, nous nous étions embrassés à pleine bouche.
Petit tour à la salle de bain pour une bonne douche réparatrice. Une fois séchés, nous avions passés nos vêtements pour nous rendre à la salle à manger pour un très bon petit-déjeuner en famille.
Papa était allé chercher les petits pains et des croissants à la boulangerie. Maman avait fait du café et du chocolat chaud. Les filles étaient elles aussi déjà habillées. Nous avions donc mangés en famille.
Papa nous proposait ensuite de partir tous ensemble pour une balade dans les campagnes du Brabant Wallon. Nous avions tous approuvés.
Après avoir pris notre petit déjeuner, nous nous étions habillés chaudement pour cette balade. Nous avions tous pris place dans l’auto de papa, hop, nous voilà en route vers la campagne.
Nous avions fait une très belle balade entre près, praires et bosquets d’arbres. Nous parlions ensemble de tout et de rien, enfin de la vie quoi ! Jacques était heureux d’être avec moi et c’était la même chose pour ma sœur et Stéphanie. Maman et papa se donnaient eux aussi la main. Quel bonheur que d’être comme ça réuni en famille et de pouvoir profiter de la nature en toute quiétude.
Avec Jacques nous parlions des prochaines vacances au ski, des congés de Pâques et de la fin de nos études dans le secondaire. Jacques ne savait toujours pas dans quelle voie il allait s’orienter. Pour moi, je pense que ce serai la chimie. Il faut dire que j’adorais ce cours et de plus la prof était très sympa. Je pensais présenter un travail sur la distillation du pétrole brut en gas-oil lourd, en gas-oil léger, en kérosène et en essence.
Jacques était impressionné.
Bref voilà nous nous baladions dans un petit vent très frais qui donnait une impression de gel, mais il devait y avoir environ trois à quatre degrés.
Une fois de retour à la voiture papa nous demanda si nous étions d’accord d’aller manger une pizza. Il y eu comme une avalanche de « Oui ».
Nous voilà donc arrivé au restaurant italien. Nous avions pris une grande table pour nous installer. Chacun avait commandé sa pizza préférée. Papa avait également demandé un apéro pour tout le monde. Nous étions heureux et souriants. Puis pour le repas papa avait souhaité avoir une grande bouteille de chianti. Maman avait alors décrété que c’était elle qui allait prendre le volant pour le retour.
A l’issue du repas nous avions pris un café. Le patron avait offert soit un amaretto ou alors un limoncello. Quel excellent repas. Toute la famille était ravie.
Une fois dans l’auto, papa qui était convoyeur, nous proposa d’aller au cinéma. Nous en étions tous ravi. Et nous voilà en route vers la salle de cinéma. En arrivant devant nous avions vu qu’il n’y avait que deux films, l’un était un dessin animé et l’autre le film « Emmanuelle » réalisé par Just Jaeckin, film érotique de 1974. Nous étions tous d’accord pour aller visionner le film érotique. Mon père avait eu cette très charmante idée, car nous en parlions parfois dans la cour de récréation de l’école. C’était un sujet de conversation auquel seul ceux qui étaient allés le voir pouvaient en parler.
Le film nous avait très bien plu. Les images étaient très belles, et il n’y avait rien de choquant, que du contraire c’était érotique, bien sûr, mais aussi très sensuel et même parfois assez poétique.
Sur le trajet de retour nous avions déposé Jacques devant chez lui. Je l’avais embrassé sur la bouche, mais très simplement, sans effervescence. Nous nous étions donnés rendez-vous le lendemain à l’école.
Puis nous étions rentrés à la maison avec Stéphanie. En effet elle devait revoir des cours de droit avec Delphine ; c’est pour cela qu’elle restait loger.
A l’issue du repas du soir j’avais remercié maman et papa pour cette très belle journée. Je leur avais donné un gros bisou.
Nous avions regardé la télévision, maman, papa et moi. Je voyais que mes parents avaient retrouvé une certaine entente je dirai, amoureuse, qui faisait plaisir à voir. Ils se tenaient la main dans le canapé, or avant papa était content d’être seul dans un fauteuil.
J’étais allé me coucher après une bonne douche. J’étais enfin très serein. Je pouvais envisager l’avenir sous un meilleur angle qu’au paravent. Demain j’allais me rendre à l’école l’esprit libre.
Hop, 06h50 le réveil venait de sonner. Vite la douche, l’habillage et ensuite le petit-déjeuner avec papa. Maman partait plus tard et ma sœur et son amie Stéphanie dormaient encore. Papa m’avait proposé de me déposer à l’école et j’avais de suite accepté.
Dans la voiture sur le chemin de l’école papa me parlait de sa nouvelle envie de vivre plus en accord avec les membres de la famille tout en respectant les désirs de chacun pourvu qu’un consensus soit trouvé pour aller dans la même direction.
Arrivé près de l’école, papa m’avait demandé où il devait me déposer. Je lui avais dit, mais juste devant l’entrée. Je savais que quand j’étais jeune, c’était « la louze » si on était déposé comme ça à l’entrée, mais maintenant, avec mes 17 ans, presque 18, je n’en avais rien à faire. Puis je voulais montrer aux autres élèves que tout allait bien dans ma famille et plus particulièrement avec mon papa. J’avais donc embrassé mon père avant de descendre de sa voiture.
Amandine qui était déjà arrivée de quelques secondes avait pu voir mon arrivée. Elle m’avait embrassé et puis elle avait dit :
Aman : Bonjour Phil, alors je vois que tout s’est arrangé avec ton papa.
Moi : Bonjour Amandine, oui, tout va bien, tu ne peux pas t’imaginer comme il a changé !
Aman : Mais je le vois, je le vois juste à ton visage rayonnant !
Moi : Merci. Tu sais que Jacques a pu loger le week-end et en plus ma sœur a pu recevoir son amie Stéphanie aussi tout le week-end. Nous avons fait des tas de choses en famille avec mes parents. Oh tu ne sais pas comme je suis heureux.
Aman : Mais ça me fait plaisir. Tu le mérites Phil, toi qui est toujours là aider les autres, pour une fois c’est toi qui nage dans le bonheur.
Jacques arrivait accompagné de Joseph. Puis Jean suivait à 20 mètres. Nous nous étions fait la bise. Jean était encore un peu triste, il avait une mine défaite. On lui avait demandé comment ça allait, mais il ne voulait rien dire.
Les cours allaient commencés, la sonnerie avait retenti !
Nous étions en session d’examens, c’étaient des partiels, juste avant les congés de Noël. Nous étions rassemblés dans la salle de cours et le prof avait distribué les feuilles d’examen.
Vers 12h00 nous avions tous remis nos copies. Puis nous avions l’autorisation de rentrer chez nous pour revoir les cours pour les examens du lendemain.
La semaine se passa ainsi : au matin examens partiels et après-midi étude chez soi.
Nous étions le jeudi soit cinq jours avant Noël. Nous avions eu notre dernier examen. Les résultats de cette session seraient connus à la rentrée de janvier. Nous n’avions pas de cours ce vendredi. J’allais enfin profiter d’une grasse matinée.
Jacques était rentré chez lui. Nous avions convenu de nous revoir le vendredi après-midi pour soit aller à la piscine ou au cinéma, nous n’avions pas encore décidé.
Ce jeudi après-midi j’avais flâné à la maison. J’avais pensé au réveillon de Noël puis à notre départ pour le ski. Je m’étais laissé emporter par mon imagination. Puis j’avais mes des disques et j’avais fini le bouquin que j’avais entamé il y a une dizaine de jours.
Delphine était revenue vers 15h00. Elle était montée jusqu’à ma chambre pour voir comment j’allais et surtout pour savoir si j’étais content de ma session d’examens. Nous avions bavardé une petite heure. Nous avions convenu de l’achat d’un cadeau commun pour nos parents. C’était le début de la vidéo sur bande magnétique et je savais que papa rêvait d’avoir un lecteur vidéo. Par la suite il avait dit qu’il s’achèterait bien une caméra, mais il devait attendre car les prix étaient assez élevés. Nous avions alors convenu que nous offririons à nos parents un lecteur vidéo, Delphine en avait vus en promotion chez un vendeur de matériel TV-hifi du centre-ville.
Maman était revenue vers les 17h30. Elle avait fait les courses pour le repas du soir. Je m’étais proposé pour donner un coup de main. J’avais épluché les pommes de terre et les carottes. Maman avait prévu de faire un rôti de porc avec une potée aux carottes agrémentée de lardons fumés coupés en lamelles.
Nous attendions papa en vue de passer à table, mais nous avions le temps. Papa rentrait normalement vers 19h20, mais avant 19h00 il était déjà revenu.
Nous avions alors pris l’apéro en famille.
Le repas s’était très déroulé. J’avais parlé de mes examens partiels et Delphine de ses révisions en vue de sa session d’examens de janvier.
J’avais débarrassé la table pour aider maman. Puis j’étais remonté dans ma chambre. J’avais ouvert un nouveau livre.