Chapitre 3 - La Grosse Pomme (12)
Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY
— Attends un instant, dit Gary, je dois passer à la salle de bain.
— Je viens avec toi, fit Dennis.
— Euh, non, c’est pour…
— Je vois, tu dois dégager de la place pour ma bite.
— Exact.
Gary s’isola pendant quelques minutes, Dennis pensa que c’était une invitation pour lui à être actif, il alla pisser lorsque son ami fut ressorti.
Ils se retrouvent ensuite l’un en face de l’autre, toujours habillés, Gary avec son pantalon blanc, ses chaussettes rouges et sa chemise assortie, alors que celle de Dennis est blanche, son pantalon bleu et ses chaussettes noires. Ils hésitent un instant avant que Dennis ne prenne l’initiative, se rapproche de son ami, déboutonne lentement sa chemise et lui caresse le torse, il lui pince les tétons, Gary pousse un petit cri.
— Je t’ai fait mal ? demande Dennis.
— Non, ça me fait bander et ma bite est coincée.
— Je vais la dégager.
Gary a des bretelles, Dennis les décroche et baisse le pantalon puis le slip blanc. Il titille les tétons, observant avec amusement les effets sur le membre dressé.
— On va voir si tu réagis de la même manière, fait Gary.
Il décroche la ceinture de Dennis, ouvre la braguette et est étonné de ce qu’il découvre.
— Je ne l’avais pas vu tout à l’heure lorsque Koen nous a mis un doigt dans le cul. Où as-tu déniché ce slip noir ? C’est inhabituel.
— Ma mère, répond Dennis, elle a vu un film où l’acteur en portait, elle a eu l’idée de m’en acheter un.
— Certainement pour faire tomber des filles.
— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu, interdit aux moins de 18 ans… Mais c’était l’époque où elle croyait encore que je ferai tomber des filles.
Gary baisse le sous-vêtement, il essaie ensuite de toucher les tétons, mais la réaction est moindre. Ils finissent de se déshabiller mutuellement tout en échangeant des caresses et même un baiser hésitant. Dennis entraine son ami vers un miroir à l’entrée de la chambre, ils se regardent longuement en souriant.
— On est pas mal, dit Dennis, nos corps et nos bites sont bien assortis.
Il enserre les deux membres bandés dans sa main et les compare.
— Presque aussi long que le mien, dit-il. Bizarre, la partie de peau d’une autre couleur après le gland est beaucoup plus longue chez moi que chez toi, je me demande pourquoi. Et on voit mieux la cicatrice.
— Parce que tu as la peau plus claire ? suggére Gary. J’ai vu ces différences lorsque j’ai fait les croquis. On va chercher Koen ? Il nous expliquera.
— Un autre jour, sinon on ne pourra plus s’en débarrasser. Tu es prêt ?
— À quoi ?
— À te faire enculer.
— Ce que tu es vulgaire pour un futur avocat. Non, je ne suis pas prêt, mais je ne le serai jamais. Et toi, tu es prêt ?
— Oui. On fait comme les cousins nous ont montré.
— Tu baises aussi avec ton cousin ? demande Gary.
— Avec lui ? Tu rêves, il n’aime pas les pédés et ne rate jamais une occasion de le dire.
Gary se met à quatre pattes sur le lit. Dennis écarte les lobes des fesses pour découvrir la rosette.
— Tu y vois quelque chose ou c’est noir comme…
— Je n’aurais pas osé, mais c’est toi qui l’a dit.
Dennis prend ensuite le lubrifiant, en dépose sur son doigt, puis l’introduit dans le rectum pour le dilater.
— C’est ta bite ? demande Gary.
— Pas encore, elle ne va pas tarder.
Dennis explore la cavité avec son doigt puis le ressort. Il enfile un préservatif — ce n’est pas la première fois qu’il en met un, il avait demandé à son grand frère de lui en prêter un pour essayer, celui-ci lui avait répondu qu’il n’était pas obligé de le rendre après usage — puis écarte les sphincters avec son gland plus large que sa hampe, il a un peu de peine à le passer et doit forcer.
— C’est ma bite, dit-il.
— J’avais remarqué. Continue, je te dirai si ça va pas.
Dennis se rappelle de la démonstration des cousins et essaie de les imiter le mieux possible. Gary gémit sous les coups de boutoir de plus en plus rapides. Au bout de quelques minutes, ils ne sentent pas le plaisir monter, ils se concertent rapidement et décident d’interrompre cette première pénétration. Dennis retire la capote, pensant qu’il pourrait la donner à son frère puisqu’elle est toujours vide. Ils se couchent sur le lit, sur le dos, ils n’ont plus que des demi-molles, leurs glands sont luisants de précum.
— Tu as joui ? demande Dennis.
— Difficile à dire, en tout cas pas avec ma bite. Et toi ?
— Moi non plus.
— Que fait-on dans ce cas ?
— Je te suce et tu me suces.
— En même temps ?
— Pourquoi pas. Mon frère m’a dit que ça s’appelle un 69. Il le fait aussi avec sa copine.
Ils se positionnent têtebêche et trouvent rapidement leurs marques, leurs bites durcissent à nouveau et ils ne tardent pas à éjaculer dans la bouche de l’autre.
— Meilleur que le repas ce soir ? demande Gary en riant.
— Je n’irais pas jusque là. Et même pas meilleur qu’un sundae au McDo.
— Je repenserai toujours à ça lorsque nous mangerons une crème glacée blanche.
Il fait maintenant chaud dans la chambre, d’un commun accord ils réenclenchent la climatisation au minimum.
— Je vais mettre un pyjama pour ne pas avoir froid pendant la nuit, dit Gary. Et toi ?
— Moi aussi, sans slip dessous.
— Et que diras-tu à ta mère si elle voit des traces suspectes ?
— Je pense que mes couilles sont vides après deux vidanges.
Les deux amis se couchèrent, serrés l’un contre l’autre. Ils eurent de la peine à s’endormir malgré le lit très confortable, ils se remémoraient cette journée extraordinaire où ils avaient fait leur coming out, batifolé avec d’autres hommes, mangé dans un restaurant gastronomique, bu de l’alcool et perdu leur pucelage. Gary avait en outre vendu sa première oeuvre.
Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY
— Attends un instant, dit Gary, je dois passer à la salle de bain.
— Je viens avec toi, fit Dennis.
— Euh, non, c’est pour…
— Je vois, tu dois dégager de la place pour ma bite.
— Exact.
Gary s’isola pendant quelques minutes, Dennis pensa que c’était une invitation pour lui à être actif, il alla pisser lorsque son ami fut ressorti.
Ils se retrouvent ensuite l’un en face de l’autre, toujours habillés, Gary avec son pantalon blanc, ses chaussettes rouges et sa chemise assortie, alors que celle de Dennis est blanche, son pantalon bleu et ses chaussettes noires. Ils hésitent un instant avant que Dennis ne prenne l’initiative, se rapproche de son ami, déboutonne lentement sa chemise et lui caresse le torse, il lui pince les tétons, Gary pousse un petit cri.
— Je t’ai fait mal ? demande Dennis.
— Non, ça me fait bander et ma bite est coincée.
— Je vais la dégager.
Gary a des bretelles, Dennis les décroche et baisse le pantalon puis le slip blanc. Il titille les tétons, observant avec amusement les effets sur le membre dressé.
— On va voir si tu réagis de la même manière, fait Gary.
Il décroche la ceinture de Dennis, ouvre la braguette et est étonné de ce qu’il découvre.
— Je ne l’avais pas vu tout à l’heure lorsque Koen nous a mis un doigt dans le cul. Où as-tu déniché ce slip noir ? C’est inhabituel.
— Ma mère, répond Dennis, elle a vu un film où l’acteur en portait, elle a eu l’idée de m’en acheter un.
— Certainement pour faire tomber des filles.
— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu, interdit aux moins de 18 ans… Mais c’était l’époque où elle croyait encore que je ferai tomber des filles.
Gary baisse le sous-vêtement, il essaie ensuite de toucher les tétons, mais la réaction est moindre. Ils finissent de se déshabiller mutuellement tout en échangeant des caresses et même un baiser hésitant. Dennis entraine son ami vers un miroir à l’entrée de la chambre, ils se regardent longuement en souriant.
— On est pas mal, dit Dennis, nos corps et nos bites sont bien assortis.
Il enserre les deux membres bandés dans sa main et les compare.
— Presque aussi long que le mien, dit-il. Bizarre, la partie de peau d’une autre couleur après le gland est beaucoup plus longue chez moi que chez toi, je me demande pourquoi. Et on voit mieux la cicatrice.
— Parce que tu as la peau plus claire ? suggére Gary. J’ai vu ces différences lorsque j’ai fait les croquis. On va chercher Koen ? Il nous expliquera.
— Un autre jour, sinon on ne pourra plus s’en débarrasser. Tu es prêt ?
— À quoi ?
— À te faire enculer.
— Ce que tu es vulgaire pour un futur avocat. Non, je ne suis pas prêt, mais je ne le serai jamais. Et toi, tu es prêt ?
— Oui. On fait comme les cousins nous ont montré.
— Tu baises aussi avec ton cousin ? demande Gary.
— Avec lui ? Tu rêves, il n’aime pas les pédés et ne rate jamais une occasion de le dire.
Gary se met à quatre pattes sur le lit. Dennis écarte les lobes des fesses pour découvrir la rosette.
— Tu y vois quelque chose ou c’est noir comme…
— Je n’aurais pas osé, mais c’est toi qui l’a dit.
Dennis prend ensuite le lubrifiant, en dépose sur son doigt, puis l’introduit dans le rectum pour le dilater.
— C’est ta bite ? demande Gary.
— Pas encore, elle ne va pas tarder.
Dennis explore la cavité avec son doigt puis le ressort. Il enfile un préservatif — ce n’est pas la première fois qu’il en met un, il avait demandé à son grand frère de lui en prêter un pour essayer, celui-ci lui avait répondu qu’il n’était pas obligé de le rendre après usage — puis écarte les sphincters avec son gland plus large que sa hampe, il a un peu de peine à le passer et doit forcer.
— C’est ma bite, dit-il.
— J’avais remarqué. Continue, je te dirai si ça va pas.
Dennis se rappelle de la démonstration des cousins et essaie de les imiter le mieux possible. Gary gémit sous les coups de boutoir de plus en plus rapides. Au bout de quelques minutes, ils ne sentent pas le plaisir monter, ils se concertent rapidement et décident d’interrompre cette première pénétration. Dennis retire la capote, pensant qu’il pourrait la donner à son frère puisqu’elle est toujours vide. Ils se couchent sur le lit, sur le dos, ils n’ont plus que des demi-molles, leurs glands sont luisants de précum.
— Tu as joui ? demande Dennis.
— Difficile à dire, en tout cas pas avec ma bite. Et toi ?
— Moi non plus.
— Que fait-on dans ce cas ?
— Je te suce et tu me suces.
— En même temps ?
— Pourquoi pas. Mon frère m’a dit que ça s’appelle un 69. Il le fait aussi avec sa copine.
Ils se positionnent têtebêche et trouvent rapidement leurs marques, leurs bites durcissent à nouveau et ils ne tardent pas à éjaculer dans la bouche de l’autre.
— Meilleur que le repas ce soir ? demande Gary en riant.
— Je n’irais pas jusque là. Et même pas meilleur qu’un sundae au McDo.
— Je repenserai toujours à ça lorsque nous mangerons une crème glacée blanche.
Il fait maintenant chaud dans la chambre, d’un commun accord ils réenclenchent la climatisation au minimum.
— Je vais mettre un pyjama pour ne pas avoir froid pendant la nuit, dit Gary. Et toi ?
— Moi aussi, sans slip dessous.
— Et que diras-tu à ta mère si elle voit des traces suspectes ?
— Je pense que mes couilles sont vides après deux vidanges.
Les deux amis se couchèrent, serrés l’un contre l’autre. Ils eurent de la peine à s’endormir malgré le lit très confortable, ils se remémoraient cette journée extraordinaire où ils avaient fait leur coming out, batifolé avec d’autres hommes, mangé dans un restaurant gastronomique, bu de l’alcool et perdu leur pucelage. Gary avait en outre vendu sa première oeuvre.
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