13-11-2023, 12:52 PM
Chapitre 111 : « derniers jours avant la rencontre d’avec le « Kannn ». »
- Alexandre pensait essentiellement à lui et à ses quatre amis, peut-être aussi pour ceux étant lier à certains d’entre eux, mais surement pas à nous autres qui ne sommes pas indispensable et qui peut être même, ne seraient pas accueillis les bras ouverts.
Bien entendu Tomoya ne peut pas entendre un tel propos sans marquer l’étonnement.
- N’es-tu pas le fils de l’un d’entre eux ?
- Hum !!
- Qu’est-ce qui te pose soucis avec ça ?
- A moi ? rien, mais à leur place j’accepterais difficilement la présence de quelqu’un si diamétralement différent.
Tomoya fronce les sourcils en cherchant à quoi son compagnon peut bien faire référence, pour avoir une opinion aussi tranchée sur la question.
- Tu parles de la magie de « Penn » qui est en toi ?
- De cela et de mon origine à moitié étrangère.
- J’avais pourtant cru comprendre que c’était déjà arrivé ?
Tomoya n’est pas dupe de la moue dubitative marquant les traits de son compagnon.
- Oui certes, mais pas à des personnes de pouvoir.
- Leur ami « Xiao-Lu » n’est-il pas dans le même cas que toi ?
- Surement pas dès l’origine de l’arrivée de ses ancêtres.
- Avoue plutôt que tu aimes cette planète et que tu es heureux de l’avoir retrouvé, je peux le comprendre vu le temps que tu y as vécu et j’avoue que pour ma part je m’y sens particulièrement bien également.
- Alors pourquoi vouloir chercher les problèmes ailleurs ?
- Parce que pour toi c’est ce à quoi tu t’attends ? des problèmes ?
- Bah… Attendons d’en savoir plus et il sera toujours temps de revoir notre décision.
- Notre ?
L’air étonner de Toshio à sa dernière interrogation amuse Tomoya.
- Suis-je vraiment concerné par la décision finale ?
- Bien entendu ! Ne sommes-nous pas un couple ?
- Si… mais…
- Pour moi tu as les mêmes pouvoirs de décision sur notre avenir que moi et je ne conçois pas une seconde de devoir les prendre de manière unilatérale.
Tomoya plisse les yeux qui de ce fait venant de son patrimoine asiatique, ne laisse plus que deux fines lignes courbes qui rendent son visage encore plus éblouissant de beauté.
- Tu as encore envie de quelque chose pour être aussi prévenant avec moi, pas vrai ?
- Non… Non… Je t’assure, pourquoi voir dans tout ce que je dis une raison de t’amener à faire l’amour ?
- Parce que c’est souvent le cas ! Hi ! Hi !
Le visage de Tomoya montre alors un panel de sentiments qui font frissonnés Toshio, tellement ses expressions l’amènent hors de tout contrôle venant de sa part, entièrement prit dans les filets de celui qui sait parfaitement jouer de ses émotions.
- Ne me dis pas que tu as encore envie ?
- Pourquoi, ce serait mal ?
- Rahhh !! Bien sur que non, mais j’aimerais que l’on prenne la route sans plus perdre de temps, les pierres de transport les plus proches sont à une petite journée de marche.
- Tu m’expliquerais bien comment cela fonctionne, ce n’est pas la première fois que je t’entends en parler sans avoir la moindre idée de quoi il s’agit.
Toshio entre dans la ferme pour prendre quelques nourritures dans la réserve, qu’il dépose sur un grand drap qu’il pli ensuite en forme de baluchon après y avoir adjoint deux gourdes d’eau venant du puit.
Les voilà ensuite tous deux à reprendre la route, Toshio répondant aux nombreuses questions de son compagnon jusqu’à ce qu’ils arrivent devant une clairière largement défrichée autour d’un monument de pierre gravé sur les quatre faces.
Toshio est le premier étonné d’être déjà arriver et de n’avoir pas vu passer cette journée de marche, tellement son esprit comme celui de Tomoya était pris dans leur longue, instructive et surtout passionnante, conversation.
- Nous y voilà !!
Tomoya s’élance pour franchir les derniers mètres, faisant le tour de l’obélisque en passant la main sur les signes gravés.
- Alors comme ça chaque signe renvoie quelque part vers une autre porte ?
- Exacte !
- Mais… il y en a des centaines !
- A l’époque tout le monde pouvait traverser « Penn » en moins de deux jours de marches d’une porte, il était bien entendu nécessaire d’être accompagné d’un mage, seul apte à poser le sort de transfert, mais certains d’entre eux s’étaient spécialisés à ce genre d’emploi, un peu comme un agent de voyage sur Terre. Maintenant beaucoup de ses sigles ne conduisent plus nulle part, en premier lieu parce que la porte correspondante est détruite ou qu’elle amène en des lieus devenus trop dangereux.
- Comment peut-on le savoir ?
- On ne peut pas, il faut donc faire très attention ! Une porte détruite renvoie vers celle la plus proche encore fonctionnelle, ce n’est donc pas très grave en soi, par contre celles devenues dangereuses peuvent te mettre en danger de mort sans prévenir.
- Comment l'éviter ?
Toshio tout en parlant tourne autour de l’obélisque pour chercher le signe qui l’intéresse, une fois devant il fait signe à son chéri de le rejoindre en lui tendant la main.
- Il n’y a presque plus personne de nos jours qui les utilise, il est donc devenu de règle d’aller en premier lieu sur l’ile des rois dragons ou une carte mise à jour indique les portes à ne plus utilisées.
- C’est donc là que nous renvoie…
Tomoya sent subitement l’air autour de lui s’iriser et l’atmosphère devenir plus odorante ainsi qu’un vide oppressant au creux de l’estomac, quand quelques secondes à peine plus tard son regard accroche un tout autre spectacle que celui de la clairière.
Il termine alors sa phrase et comprend que le transfert a déjà eu lieu.
- … Ce sigle ? Wouah ! C’est plutôt rapide comme transport !
Le décor paradisiaque qu’il a maintenant sous les yeux le rempli d’émotions, un tour sur lui-même le rend muet d’émerveillement tout en constatant qu’il est bien sur une ile, la mer d’un bleu profond se trouvant tout autour de lui à perte de vue.
Toshio connait bien l’effet féérique que renvoie l’ile pour l’avoir lui aussi vécu, aussi laisse-t-il Tomoya s’en rassasié pour gravir les marches le menant jusqu’à la salle des cartes, ces dernières mise en place à l’époque ou son père était encore amnésique de sa vraie nature, pensant n’être rien de plus qu’un apprenti magicien sans réels talents.
Il retrouve la salle telle que dans ses souvenirs, si ce n’est les quelques mises à jour supplémentaires prouvant que quelqu’un utilise encore le système des pierres.
Bien sur il ignore tout de la vallée cachée du temple de Linn et de la préservation de cette race que tous pensaient disparus, c’est donc dans un sursaut de surprise qu’il sent plusieurs présences dans son dos, alors qu’il était penché avec intérêt sur les nouvelles indications annotées sur la carte.
Il tourne son visage dans la direction où il a ressenti cette sensation de présence, se retrouvant devant plusieurs adultes aux cheveux roux flamboyant, hommes et femmes mélangés, qui en voyant son visage et en le confondant certainement à leurs tours une fois de plus d’avec son jumeau, s’inclinent respectueusement.
- Le maitre nous emplie de joie par sa visite sur l’ile.
Toshio va pour révéler sa véritable identité, quand une voix apeurée venant de l’extérieur lui rappelle qu’il n’est pas venu seul sur l’ile.
- « Tosh » tu peux venir s’il te plait ! Il y a pleins de types dehors qui me regardent d’un air bizarre !
- Alexandre pensait essentiellement à lui et à ses quatre amis, peut-être aussi pour ceux étant lier à certains d’entre eux, mais surement pas à nous autres qui ne sommes pas indispensable et qui peut être même, ne seraient pas accueillis les bras ouverts.
Bien entendu Tomoya ne peut pas entendre un tel propos sans marquer l’étonnement.
- N’es-tu pas le fils de l’un d’entre eux ?
- Hum !!
- Qu’est-ce qui te pose soucis avec ça ?
- A moi ? rien, mais à leur place j’accepterais difficilement la présence de quelqu’un si diamétralement différent.
Tomoya fronce les sourcils en cherchant à quoi son compagnon peut bien faire référence, pour avoir une opinion aussi tranchée sur la question.
- Tu parles de la magie de « Penn » qui est en toi ?
- De cela et de mon origine à moitié étrangère.
- J’avais pourtant cru comprendre que c’était déjà arrivé ?
Tomoya n’est pas dupe de la moue dubitative marquant les traits de son compagnon.
- Oui certes, mais pas à des personnes de pouvoir.
- Leur ami « Xiao-Lu » n’est-il pas dans le même cas que toi ?
- Surement pas dès l’origine de l’arrivée de ses ancêtres.
- Avoue plutôt que tu aimes cette planète et que tu es heureux de l’avoir retrouvé, je peux le comprendre vu le temps que tu y as vécu et j’avoue que pour ma part je m’y sens particulièrement bien également.
- Alors pourquoi vouloir chercher les problèmes ailleurs ?
- Parce que pour toi c’est ce à quoi tu t’attends ? des problèmes ?
- Bah… Attendons d’en savoir plus et il sera toujours temps de revoir notre décision.
- Notre ?
L’air étonner de Toshio à sa dernière interrogation amuse Tomoya.
- Suis-je vraiment concerné par la décision finale ?
- Bien entendu ! Ne sommes-nous pas un couple ?
- Si… mais…
- Pour moi tu as les mêmes pouvoirs de décision sur notre avenir que moi et je ne conçois pas une seconde de devoir les prendre de manière unilatérale.
Tomoya plisse les yeux qui de ce fait venant de son patrimoine asiatique, ne laisse plus que deux fines lignes courbes qui rendent son visage encore plus éblouissant de beauté.
- Tu as encore envie de quelque chose pour être aussi prévenant avec moi, pas vrai ?
- Non… Non… Je t’assure, pourquoi voir dans tout ce que je dis une raison de t’amener à faire l’amour ?
- Parce que c’est souvent le cas ! Hi ! Hi !
Le visage de Tomoya montre alors un panel de sentiments qui font frissonnés Toshio, tellement ses expressions l’amènent hors de tout contrôle venant de sa part, entièrement prit dans les filets de celui qui sait parfaitement jouer de ses émotions.
- Ne me dis pas que tu as encore envie ?
- Pourquoi, ce serait mal ?
- Rahhh !! Bien sur que non, mais j’aimerais que l’on prenne la route sans plus perdre de temps, les pierres de transport les plus proches sont à une petite journée de marche.
- Tu m’expliquerais bien comment cela fonctionne, ce n’est pas la première fois que je t’entends en parler sans avoir la moindre idée de quoi il s’agit.
Toshio entre dans la ferme pour prendre quelques nourritures dans la réserve, qu’il dépose sur un grand drap qu’il pli ensuite en forme de baluchon après y avoir adjoint deux gourdes d’eau venant du puit.
Les voilà ensuite tous deux à reprendre la route, Toshio répondant aux nombreuses questions de son compagnon jusqu’à ce qu’ils arrivent devant une clairière largement défrichée autour d’un monument de pierre gravé sur les quatre faces.
Toshio est le premier étonné d’être déjà arriver et de n’avoir pas vu passer cette journée de marche, tellement son esprit comme celui de Tomoya était pris dans leur longue, instructive et surtout passionnante, conversation.
- Nous y voilà !!
Tomoya s’élance pour franchir les derniers mètres, faisant le tour de l’obélisque en passant la main sur les signes gravés.
- Alors comme ça chaque signe renvoie quelque part vers une autre porte ?
- Exacte !
- Mais… il y en a des centaines !
- A l’époque tout le monde pouvait traverser « Penn » en moins de deux jours de marches d’une porte, il était bien entendu nécessaire d’être accompagné d’un mage, seul apte à poser le sort de transfert, mais certains d’entre eux s’étaient spécialisés à ce genre d’emploi, un peu comme un agent de voyage sur Terre. Maintenant beaucoup de ses sigles ne conduisent plus nulle part, en premier lieu parce que la porte correspondante est détruite ou qu’elle amène en des lieus devenus trop dangereux.
- Comment peut-on le savoir ?
- On ne peut pas, il faut donc faire très attention ! Une porte détruite renvoie vers celle la plus proche encore fonctionnelle, ce n’est donc pas très grave en soi, par contre celles devenues dangereuses peuvent te mettre en danger de mort sans prévenir.
- Comment l'éviter ?
Toshio tout en parlant tourne autour de l’obélisque pour chercher le signe qui l’intéresse, une fois devant il fait signe à son chéri de le rejoindre en lui tendant la main.
- Il n’y a presque plus personne de nos jours qui les utilise, il est donc devenu de règle d’aller en premier lieu sur l’ile des rois dragons ou une carte mise à jour indique les portes à ne plus utilisées.
- C’est donc là que nous renvoie…
Tomoya sent subitement l’air autour de lui s’iriser et l’atmosphère devenir plus odorante ainsi qu’un vide oppressant au creux de l’estomac, quand quelques secondes à peine plus tard son regard accroche un tout autre spectacle que celui de la clairière.
Il termine alors sa phrase et comprend que le transfert a déjà eu lieu.
- … Ce sigle ? Wouah ! C’est plutôt rapide comme transport !
Le décor paradisiaque qu’il a maintenant sous les yeux le rempli d’émotions, un tour sur lui-même le rend muet d’émerveillement tout en constatant qu’il est bien sur une ile, la mer d’un bleu profond se trouvant tout autour de lui à perte de vue.
Toshio connait bien l’effet féérique que renvoie l’ile pour l’avoir lui aussi vécu, aussi laisse-t-il Tomoya s’en rassasié pour gravir les marches le menant jusqu’à la salle des cartes, ces dernières mise en place à l’époque ou son père était encore amnésique de sa vraie nature, pensant n’être rien de plus qu’un apprenti magicien sans réels talents.
Il retrouve la salle telle que dans ses souvenirs, si ce n’est les quelques mises à jour supplémentaires prouvant que quelqu’un utilise encore le système des pierres.
Bien sur il ignore tout de la vallée cachée du temple de Linn et de la préservation de cette race que tous pensaient disparus, c’est donc dans un sursaut de surprise qu’il sent plusieurs présences dans son dos, alors qu’il était penché avec intérêt sur les nouvelles indications annotées sur la carte.
Il tourne son visage dans la direction où il a ressenti cette sensation de présence, se retrouvant devant plusieurs adultes aux cheveux roux flamboyant, hommes et femmes mélangés, qui en voyant son visage et en le confondant certainement à leurs tours une fois de plus d’avec son jumeau, s’inclinent respectueusement.
- Le maitre nous emplie de joie par sa visite sur l’ile.
Toshio va pour révéler sa véritable identité, quand une voix apeurée venant de l’extérieur lui rappelle qu’il n’est pas venu seul sur l’ile.
- « Tosh » tu peux venir s’il te plait ! Il y a pleins de types dehors qui me regardent d’un air bizarre !
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