01-11-2023, 12:55 PM
Chapitre 106 : « derniers jours avant la rencontre d’avec le « Kannn ». »
Alexandre devant les visages souriant de ses deux amis se demande bien de qu’elles nouvelles il peut bien s’agir, n’ayant pour sa part rien remarquer comme changement aux habitudes de l’ile.
Toshio lui s’en amuse, rien qu’à la pensée de la tête qu’il va faire en voyant de visu l’une des nouvelles annoncées, aussi ne perd-t-il pas plus de temps avant de lui demander à les rejoindre.
- Il est temps de te montrer je pense !!
La porte du bureau qui n’était pas entièrement refermée s’ouvre alors en silence sur ses gongs, laissant apparaitre un jeune homme au physique sans défauts semblant pour sa part hésiter à en franchir le seuil.
Alexandre a comme une arythmie cardiaque soudaine, quand le visage de son grand frère lui apparait, ses deux mains se portent directement sur sa poitrine alors que l’effarement le plus total marque ses traits de visage.
- Val… C’est bien toi mon frère ? dis-moi que je ne rêve pas ?
Le jeune homme rester dans l’ouverture de la porte écarte alors ses deux bras en invitant par ce simple geste son cadet à venir le rejoindre pour se serrer contre lui, l’émotion étant encore beaucoup trop forte pour que la moindre parole puisse s’échappée de ses lèvres visiblement tremblantes.
Alexandre fait les quelques pas qui l’amènent jusqu’à son ainé, se laissant enlacer par ce dernier avec le visage empli de larmes.
- C’est bien toi… mais, comment…
Val pose l’une de ses mains sur la chevelure blonde de son cadet, tentant de le calmer par cette caresse ce voulant à la fois fraternelle et apaisante.
Toshio entraine Tomoya vers le couloir, pour les laisser seuls à se retrouver après tous ces temps immémoriaux passés loin l’un de l’autre.
Il referme la porte derrière eux avant de dévisager son amant, ce dernier les yeux embués de larmes d’avoir vécu ce moment de retrouvaille si fort en émotion.
Il lui passe un doigt sur les joues pour éponger ses larmes, son regard se noyant bientôt dans celui de Tomoya, reconnaissant qu’il reste silencieux sans se moquer de son caractère émotif toujours à fleur de peau.
Un long frisson lui parcourt l’échine dorsale tandis qu’il entraine son beau blond vers leur chambre, le sentant soudainement réagir à son tour en comprenant ses intentions.
La porte à peine refermée que les deux amants s’enlacent avec passion, prenant ainsi le temps de calmer leurs battements cardiaques et les amenant dans une sérénité qui très vite déchaine leurs libidos.
Chaque nouveau baisé voit un vêtement tomber à même le sol, jusqu’à se retrouvés quasiment nus une fois au pied du lit, la dernière barrière de pudeur tendue à outrance avec à son sommet cette petite tâche en pleine excroissance montrant l’excitation que tous deux ressentent.
Toshio cette fois prend le rôle passif, en se laissant aller sur l’épais matelas et en entrainant sur lui ce garçon qui de tous temps a été son seul véritable amour.
Tomoya en frémit de comprendre le message et redevient quelque peu fébrile de devoir assurer un rôle qui n’est qu’à de rares occasions le sien, pas qu’il n’aime pas le prendre, juste qu’avec l’autre son plaisir s’en trouve à la fois décuplé mais également venant d’autres parties toutes aussi sensorielles de son corps.
D’un mouvement souple des reins et de ses deux mains, Toshio se débarrasse du dernier rempart à sa pudeur, laissant son chéri se repaitre de son corps avant que l’excitation ne soit trop forte et qu’il doive prendre les choses en mains, délivrant à son tour Tomoya de son caleçon pour toujours avec cette extraordinaire souplesse venir se frotter là où il ne reste plus à Tomoya que de donner un coup de rein, pour l’entendre pousser ce râle animal qui comme à chaque fois lui amène la chair de poule.
- Arrhhh !!
Il ne faut rien de plus au grand blond pour se mettre au travail, rythmant ses coups de reins au gré du plaisir qu’il peut lire sur le visage de son amant.
Les deux garçons se connaissent maintenant si bien que chacun sait quand l’autre commence à perdre pieds, ralentissant alors pour faire durer le plaisir jusqu’à l’entendre geindre et supplier qu’il en finisse, n’en pouvant plus de cet orgasme à fleur de peau n’attendant qu’à se déchainer, dans un tsunami de plaisir sous le joug de son partenaire.
Toshio peu habituer à son rôle passif n’en ressent pas moins un plaisir tellement transcendant qu’il joui au diapason d’avec son homme, ce dernier se tétanisant en lui d’un dernier reflexe purement nerveux.
***/***
« Pendant ce temps là dans le bureau d’Alexandre. »
Les deux frères une fois passée la forte émotion de leurs retrouvailles se sont assit confortablement pour répondre à leurs nombreuses questions.
Chacun ayant fort à apprendre sur le devenir de l’autre et des raisons pour l’un de sa présence et pour l’autre d’en être arriver jusque-là.
Le temps passe, ponctué de quelques râles au demeurant très explicites venant d’une pièce non loin de là et amenant un bref instant un silence curieux suivit d’un sourire de connivence entre les deux frères.
- Tes amis ne sont pas d’un naturel discret.
- D’habitude je n’y fais pas réellement attention.
- Ah oui, vraiment ? comment cela se fait-il ?
- Tout simplement parce que bien souvent je suis avec eux ! Hi ! Hi !
- Tu… Ah, je comprends ! Remarque de ce que j’en ai vu d’eux deux, je n’en suis pas étonné plus que ça !
Alexandre lui fait un clin d’œil de connivence, montrant bien qu’il a parfaitement compris l’attrait pour son frère de ses deux amis.
Etrangement pourtant une certaine gêne, voire peut-être un sentiment de jalousie lui vient qui l’incite à changer de sujet, revenant alors à la conversation en cours juste avant cet intermède.
- Pour répondre à ta précédente question, le fait que je reste ici ne dépend pas d’avoir ou non retrouver mes pouvoirs puisqu’à la disparition de ce qui bloquait mes souvenirs j’ai retrouvé toute ma tête.
- Pourquoi donc alors n’êtes-vous pas rentrés ?
- Nous nous sommes promis de nous retrouvés tous les cinq avant de prendre une décision, qu’elle soit dans ce sens ou un autre.
- Nos parents pensent que c’est assez et qu’il est temps pour vous de devenir adultes et responsables, n’oublies pas l’importance que « Xiao-lu » et « Flo » ont pour notre peuple, eux et ceux heureusement qui ne vous ont pas suivis et sont restés sur notre monde, ils sont la relève du conseil des anciens et leur rôle est primordiale pour notre peuple.
- Il n’y a encore pas le feu au lac pourtant.
- Déjà rien que les expressions que tu emploies depuis que nous nous sommes retrouvés démontrent bien le fossé qui se creuse entre vous et notre propre culture, ce voyage se voulant au départ initiatique a été grandement dévoyer.
- De notre faute peut-être !!
- Je n’ai pas dit cela, mais le fait est que vos pensées se sont plus ou moins détournées, voir dévoyées de nos traditions.
- Moi je ne dirais pas ça comme ça, mais plutôt que cela nous a apporté une autre vision plus large de ce qu’est l’univers, une sorte d’expérience différente à ce que nous aurions connus à rester auprès de notre peuple.
Val a un léger rictus, mi amusé, mi contrarié d’entendre les propos de son cadet.
- Il est facile pour toi de dire ce genre de chose, alors que vous avez été tous autant que vous êtes des irresponsables et qu’il nous a fallu balayer derrière vous pour corriger vos erreurs, je reconnais que vous n’aviez plus les souvenirs de ce que vous étiez, mais cela ne vous a pas empêché pour autant de façonner des univers à votre guise et cela sans concertation, amenant des situations de chaos dont vous n’avez même pas idées.
- Comment ça de chaos ?
- Repense à tout ce que tu as vécu depuis votre départ et tu comprendras vite de quoi je parle, sans compter cet univers créer par « Xiao-lu » quasiment dépourvu de vies, après qu’une espèce émergeante c’est mise d’en éradiquer toutes traces sur son passage. Ce genre d’erreur n’aurait pas due exister, tu comprends ?
Alexandre devant les visages souriant de ses deux amis se demande bien de qu’elles nouvelles il peut bien s’agir, n’ayant pour sa part rien remarquer comme changement aux habitudes de l’ile.
Toshio lui s’en amuse, rien qu’à la pensée de la tête qu’il va faire en voyant de visu l’une des nouvelles annoncées, aussi ne perd-t-il pas plus de temps avant de lui demander à les rejoindre.
- Il est temps de te montrer je pense !!
La porte du bureau qui n’était pas entièrement refermée s’ouvre alors en silence sur ses gongs, laissant apparaitre un jeune homme au physique sans défauts semblant pour sa part hésiter à en franchir le seuil.
Alexandre a comme une arythmie cardiaque soudaine, quand le visage de son grand frère lui apparait, ses deux mains se portent directement sur sa poitrine alors que l’effarement le plus total marque ses traits de visage.
- Val… C’est bien toi mon frère ? dis-moi que je ne rêve pas ?
Le jeune homme rester dans l’ouverture de la porte écarte alors ses deux bras en invitant par ce simple geste son cadet à venir le rejoindre pour se serrer contre lui, l’émotion étant encore beaucoup trop forte pour que la moindre parole puisse s’échappée de ses lèvres visiblement tremblantes.
Alexandre fait les quelques pas qui l’amènent jusqu’à son ainé, se laissant enlacer par ce dernier avec le visage empli de larmes.
- C’est bien toi… mais, comment…
Val pose l’une de ses mains sur la chevelure blonde de son cadet, tentant de le calmer par cette caresse ce voulant à la fois fraternelle et apaisante.
Toshio entraine Tomoya vers le couloir, pour les laisser seuls à se retrouver après tous ces temps immémoriaux passés loin l’un de l’autre.
Il referme la porte derrière eux avant de dévisager son amant, ce dernier les yeux embués de larmes d’avoir vécu ce moment de retrouvaille si fort en émotion.
Il lui passe un doigt sur les joues pour éponger ses larmes, son regard se noyant bientôt dans celui de Tomoya, reconnaissant qu’il reste silencieux sans se moquer de son caractère émotif toujours à fleur de peau.
Un long frisson lui parcourt l’échine dorsale tandis qu’il entraine son beau blond vers leur chambre, le sentant soudainement réagir à son tour en comprenant ses intentions.
La porte à peine refermée que les deux amants s’enlacent avec passion, prenant ainsi le temps de calmer leurs battements cardiaques et les amenant dans une sérénité qui très vite déchaine leurs libidos.
Chaque nouveau baisé voit un vêtement tomber à même le sol, jusqu’à se retrouvés quasiment nus une fois au pied du lit, la dernière barrière de pudeur tendue à outrance avec à son sommet cette petite tâche en pleine excroissance montrant l’excitation que tous deux ressentent.
Toshio cette fois prend le rôle passif, en se laissant aller sur l’épais matelas et en entrainant sur lui ce garçon qui de tous temps a été son seul véritable amour.
Tomoya en frémit de comprendre le message et redevient quelque peu fébrile de devoir assurer un rôle qui n’est qu’à de rares occasions le sien, pas qu’il n’aime pas le prendre, juste qu’avec l’autre son plaisir s’en trouve à la fois décuplé mais également venant d’autres parties toutes aussi sensorielles de son corps.
D’un mouvement souple des reins et de ses deux mains, Toshio se débarrasse du dernier rempart à sa pudeur, laissant son chéri se repaitre de son corps avant que l’excitation ne soit trop forte et qu’il doive prendre les choses en mains, délivrant à son tour Tomoya de son caleçon pour toujours avec cette extraordinaire souplesse venir se frotter là où il ne reste plus à Tomoya que de donner un coup de rein, pour l’entendre pousser ce râle animal qui comme à chaque fois lui amène la chair de poule.
- Arrhhh !!
Il ne faut rien de plus au grand blond pour se mettre au travail, rythmant ses coups de reins au gré du plaisir qu’il peut lire sur le visage de son amant.
Les deux garçons se connaissent maintenant si bien que chacun sait quand l’autre commence à perdre pieds, ralentissant alors pour faire durer le plaisir jusqu’à l’entendre geindre et supplier qu’il en finisse, n’en pouvant plus de cet orgasme à fleur de peau n’attendant qu’à se déchainer, dans un tsunami de plaisir sous le joug de son partenaire.
Toshio peu habituer à son rôle passif n’en ressent pas moins un plaisir tellement transcendant qu’il joui au diapason d’avec son homme, ce dernier se tétanisant en lui d’un dernier reflexe purement nerveux.
***/***
« Pendant ce temps là dans le bureau d’Alexandre. »
Les deux frères une fois passée la forte émotion de leurs retrouvailles se sont assit confortablement pour répondre à leurs nombreuses questions.
Chacun ayant fort à apprendre sur le devenir de l’autre et des raisons pour l’un de sa présence et pour l’autre d’en être arriver jusque-là.
Le temps passe, ponctué de quelques râles au demeurant très explicites venant d’une pièce non loin de là et amenant un bref instant un silence curieux suivit d’un sourire de connivence entre les deux frères.
- Tes amis ne sont pas d’un naturel discret.
- D’habitude je n’y fais pas réellement attention.
- Ah oui, vraiment ? comment cela se fait-il ?
- Tout simplement parce que bien souvent je suis avec eux ! Hi ! Hi !
- Tu… Ah, je comprends ! Remarque de ce que j’en ai vu d’eux deux, je n’en suis pas étonné plus que ça !
Alexandre lui fait un clin d’œil de connivence, montrant bien qu’il a parfaitement compris l’attrait pour son frère de ses deux amis.
Etrangement pourtant une certaine gêne, voire peut-être un sentiment de jalousie lui vient qui l’incite à changer de sujet, revenant alors à la conversation en cours juste avant cet intermède.
- Pour répondre à ta précédente question, le fait que je reste ici ne dépend pas d’avoir ou non retrouver mes pouvoirs puisqu’à la disparition de ce qui bloquait mes souvenirs j’ai retrouvé toute ma tête.
- Pourquoi donc alors n’êtes-vous pas rentrés ?
- Nous nous sommes promis de nous retrouvés tous les cinq avant de prendre une décision, qu’elle soit dans ce sens ou un autre.
- Nos parents pensent que c’est assez et qu’il est temps pour vous de devenir adultes et responsables, n’oublies pas l’importance que « Xiao-lu » et « Flo » ont pour notre peuple, eux et ceux heureusement qui ne vous ont pas suivis et sont restés sur notre monde, ils sont la relève du conseil des anciens et leur rôle est primordiale pour notre peuple.
- Il n’y a encore pas le feu au lac pourtant.
- Déjà rien que les expressions que tu emploies depuis que nous nous sommes retrouvés démontrent bien le fossé qui se creuse entre vous et notre propre culture, ce voyage se voulant au départ initiatique a été grandement dévoyer.
- De notre faute peut-être !!
- Je n’ai pas dit cela, mais le fait est que vos pensées se sont plus ou moins détournées, voir dévoyées de nos traditions.
- Moi je ne dirais pas ça comme ça, mais plutôt que cela nous a apporté une autre vision plus large de ce qu’est l’univers, une sorte d’expérience différente à ce que nous aurions connus à rester auprès de notre peuple.
Val a un léger rictus, mi amusé, mi contrarié d’entendre les propos de son cadet.
- Il est facile pour toi de dire ce genre de chose, alors que vous avez été tous autant que vous êtes des irresponsables et qu’il nous a fallu balayer derrière vous pour corriger vos erreurs, je reconnais que vous n’aviez plus les souvenirs de ce que vous étiez, mais cela ne vous a pas empêché pour autant de façonner des univers à votre guise et cela sans concertation, amenant des situations de chaos dont vous n’avez même pas idées.
- Comment ça de chaos ?
- Repense à tout ce que tu as vécu depuis votre départ et tu comprendras vite de quoi je parle, sans compter cet univers créer par « Xiao-lu » quasiment dépourvu de vies, après qu’une espèce émergeante c’est mise d’en éradiquer toutes traces sur son passage. Ce genre d’erreur n’aurait pas due exister, tu comprends ?
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