23-10-2023, 07:07 AM
La réponse arriva le début de la semaine suivante. Hans scanna ses papiers d’identité, remplit je ne sais combien de questionnaires et finalement reçut ce qu'il avait demandé. C'était temps, parce que la date limite des inscriptions approchait.
Et chose surprenante il reçut une réponse assez rapide de l'université de Montpellier où on l'informa qu'il était sur une liste d'attente mais dans une position très favorable. Et quelques jours après il recevait un mail qui lui demandait de confirmer son inscription.
Le samedi matin, à 8 h précise, Jean-Paul arriva à la maison avec Pierre-Jean – un gars très sympathique. On but le café tranquillement en discutant puis on s'arrêta chez mes grands-parents pour voir l'épitaphe qu'il ne réussit pas beaucoup mieux à traduire que les jumeaux. Il en fit tout un tas de photo et de là on alla à la crypte. On l'ouvrit et on y descendit tous. JP et PJ en firent rapidement le tour plusieurs fois, puis s'intéressèrent à la mosaïque.
— C'est juste… exceptionnel. Je n'ai pas les mots pour exprimer ce que je ressens.
— On peut ouvrir le sarcophage pour voir ce qu'il y a dedans ? Tu crois PJ qu'il va y avoir un masque en or comme dans celui de Toutankhamon ?
— Non, je ne crois pas qu'il y aura un masque en or dedans… Tu es qui, Chip ou Gus ?
— Moi je suis Gus.
— Arrête tes bêtises Chip !
— Roooh, t'es pas marrant, Papa !
— C'est pas grave Jean-François, ce n'est pas bien méchant comme blague. Bon alors, pour répondre à ta question, on ne va pas l'ouvrir tout de suite. Et au risque de te décevoir, je vais prendre quelques mesures, faire encore quelques photos et puis je demanderais à ton papa de refermer la crypte.
— Pourquoi ? Tu ne veux pas savoir ce qu'il y a dans le sarcophage ?
— Je suis aussi curieux que toi, Chip, peut-être même plus. Mais pour faire des fouilles il faut une autorisation que je n'ai pas. Il faut aussi une équipe pour m'aider et pour tout ça il nous faut de l'argent que bien sûr je n'ai pas non plus. Et comme le site n'est pas en danger, je ne peux pas justifier d’une urgence…
Il va falloir que je monte un dossier avec des demandes de subventions, que j'obtienne les autorisations nécessaires. Je dirai que peut-être l'an prochain tout sera en place pour les fouilles.
— Si tu veux Gus et moi on a un peu d'argent dans nos tirelires, on te le donne.
— C'est gentil Chip, vous êtes des petits gars généreux mais ça ne suffira pas.
— Si tu veux on peut essayer de demander à notre Mamie qu'elle nous donne aussi nos pièces en or que le Papé Cyprien il nous avait donné quand on est né.
— Même avec ça, ça ne suffira pas Gus. Mais c'est gentil quand même. Je vais faire mon rapport et je suis sûr que vu l'importance de la découverte, des crédits seront vite débloqués. Mais, vu que la crypte est exceptionnelle, je ne suis pas sûr d'être désigné pour la fouiller.
— Comment ça, tu n'es pas sûr que ça sera toi qui fouillera ?
— Tu sais Hans, il y a des grosses pointures qui seront ravies de signer des publications sur le site que vous avez trouvé. Et ils ne vont pas se gêner pour m’évincer!
— Et si moi, je dis que je veux que ce soit toi qui le fouilles, sinon je ne donne pas l'autorisation du chantier, ça pourrait marcher ?
— Je ne sais pas, Jean-François, mais oui, j'aimerai trop fouiller le site.
— Alors, on fait comme ça. Dans ton rapport, tu précises que je te veux, toi, et pas un autre pour venir sur le terrain et diriger les recherches, tu communiques mes coordonnées, s’ils ne te croient pas. T’inquiète, ils ne risquent pas de me faire changer d’avis!
— Merci, merci pour tout. Bon je vous laisse, je dois passer voir JP et je redescends vite faire mon rapport et ma demande officielle d'autorisation de fouilles.
PJ nous serra la main et partit. Les jumeaux pensaient aller s'amuser mais Hans les envoya réviser un peu. Il fallut que je hausse la voix pour qu'ils obéissent.
Pour fêter leur bac, je leur avais promis que s'ils le réussissaient on irait au camping deux semaines et qu'après on irait voir Victoria puis qu'on irait aussi voir les cousins aux USA. Il fallait maintenant que je tienne parole.
La série télé avec les Ford T continuait et mon compte américain était plus que garni. Le montant représentait plusieurs années de mon salaire actuel. Bon, je n'étais pas multimillionnaire non plus mais m'acheter de jolies fringues ou changer de voiture régulièrement m'était possible facilement.
Bien que je n'en sentais nullement l’utilité. Je n'étais évidemment pas habillé comme un clochard mais simplement et surtout confortablement. Je n'avais qu'un péché mignon, c'était les sous-vêtements. J'en avais des dizaines, du plus classique, au plus coquin. Et de temps en temps je faisais des essayages privés pour Hans… qui finissaient toujours par une bonne séance de sexe.
Mon père et mon oncle firent un peu la tête en apprenant que j'allais prendre presque les deux mois de vacances. Mais bon, ils ne pouvaient pas refuser, depuis que j'étais entré dans l'entreprise familiale, je n'avais jamais pris tous mes congés, j'en avais pas mal en retard et ça n'allait même pas tout solder.
…
On venait d'arriver au camping. On était tous en 'tenue' et déjà les jumeaux étaient partis en vadrouille. Ils revinrent la mine déconfite. Quelque chose les perturbait et ils n'osaient pas en parler. Les deux premiers jours, ils ne nous quittèrent pas d'une semelle. Finalement au matin je mettais les pieds dans le plat.
— Bon, vous allez finir par me dire ce qui ne va pas ?
— De quoi tu parles Papa ?
— Les jumeaux, ça suffit comme ça. Il se passe quoi ?
— Bin, c'est compliqué à expliquer.
— Commencez par me dire ce qui vous perturbe le plus.
— C'est la taille de notre bite.
— Et elle a quoi la taille de vos bites ?
— Bin comparée aux autres garçons de notre taille la nôtre est minuscule.
— Je suppose qu'avec Hans vous avez étudié la puberté et les hormones ?
— Bin, oui, bien sûr.
— Donc vous devez savoir qu'à la puberté les hormones s'affolent et créent des changements dans votre corps, votre voix va muer, vos poils vont pousser, et votre sexe et vos testicules vont grossir. Vous n'avez que 11 ans mais vous avez la taille de garçons de 14 ou 15 ans. Alors il va falloir patienter encore quelques années. Je ne me souviens pas de la taille du mien à votre âge mais je ne l’avais pas plus gros que vous, si je me souviens bien.
— Et on va en avoir un aussi gros que le tien quand tu bandes ?
— Surement, c’est … Et comment tu sais ça, Gus ?
Les deux étaient devenus tout rouge.
— Bin, des fois, avec Hans quand vous vous faites des bisous dans la piscine on vous voit de nos chambres.
— Ah, d’accord, il va falloir qu'on soit plus discret et qu'on ne se fasse plus de bisous dans la piscine.
— Mais si, vous pouvez continuer, c'est pas grave si vous bandez. Ça veut dire que vous vous aimez, pas vrai ?
— C'est ça Chip, tu as raison. Et nos érections sont l'expression de notre amour. J'espère que ça ne vous choque pas.
— Bin non! Tu sais nous aussi des fois on bande, surtout au réveil mais ça ne dure pas.
— Vous êtes encore jeune pour penser au sexe.
— Oh mais on sait tout sur le sexe, enfin en théorie parce qu'en pratique on n'a jamais rien fait.
— Il manquerait plus que ça, qu'à 11 ans vous ayez déjà fait du sexe.
— Tu as commencé à quel âge, toi ?
— J'avais 16 ans. Et c'est ici au camping.
— C'était un garçon ou une fille ton premier amoureux ou amoureuse ?
— Vous êtes bien indiscrets, les garçons, aujourd’hui. Ça a été d'abord une fille et après un garçon.
— Tu crois que nous on va aimer quoi ?
— Je ne sais pas ce que tu vas aimer. Gus. De toute façon, autant Hans que moi, on acceptera celle ou celui que vous ramènerez à la maison.
— Bonjour tout le monde. Vous parlez de qui ?
Hans s'approcha de moi et me fit un bisou sur la bouche et fit la bise aux jumeaux.
— On parlait de nos futurs chéris ou chéries qu'on rapporterait à la maison. On sait pas si ça sera un garçon ou une fille.
— Vous avez des discussions sérieuses de bon matin. Vous avez largement le temps de vous décider et choisir ce qui vous plait le plus ou qui vous convient le mieux.
Nos voisins venaient de se lever et ils prenaient leur petit-déjeuner sur la terrasse du mobile-home. Chip s'approcha de moi et me murmura à l’oreille.
— T'as vu Papa, le garçon, le plus grand et son petit frère aussi, ils ont des bites petites comme les nôtres. Pourtant eux aussi ils sont grands. T'as vu leur plaque, c'est des Hollandais.
— Quand ils auront fini de prendre leur petit-déjeuner vous n'aurez qu'à aller leur parler. En attendant à la douche mauvaise troupe.
On en profita pour aussi faire la vaisselle du petit-déjeuner et quand on rentra les deux frères jouaient au foot entre eux. Le plus grand approcha et demanda aux jumeaux:
— Vous vouloir jouer avec nous ? Je pas bien parler français.
— On y va Gus ?
— Ok, Moi c'est Gus et lui c'est Chip.
— Moi Peter et lui mon frère Willy.
Et chose surprenante il reçut une réponse assez rapide de l'université de Montpellier où on l'informa qu'il était sur une liste d'attente mais dans une position très favorable. Et quelques jours après il recevait un mail qui lui demandait de confirmer son inscription.
Le samedi matin, à 8 h précise, Jean-Paul arriva à la maison avec Pierre-Jean – un gars très sympathique. On but le café tranquillement en discutant puis on s'arrêta chez mes grands-parents pour voir l'épitaphe qu'il ne réussit pas beaucoup mieux à traduire que les jumeaux. Il en fit tout un tas de photo et de là on alla à la crypte. On l'ouvrit et on y descendit tous. JP et PJ en firent rapidement le tour plusieurs fois, puis s'intéressèrent à la mosaïque.
— C'est juste… exceptionnel. Je n'ai pas les mots pour exprimer ce que je ressens.
— On peut ouvrir le sarcophage pour voir ce qu'il y a dedans ? Tu crois PJ qu'il va y avoir un masque en or comme dans celui de Toutankhamon ?
— Non, je ne crois pas qu'il y aura un masque en or dedans… Tu es qui, Chip ou Gus ?
— Moi je suis Gus.
— Arrête tes bêtises Chip !
— Roooh, t'es pas marrant, Papa !
— C'est pas grave Jean-François, ce n'est pas bien méchant comme blague. Bon alors, pour répondre à ta question, on ne va pas l'ouvrir tout de suite. Et au risque de te décevoir, je vais prendre quelques mesures, faire encore quelques photos et puis je demanderais à ton papa de refermer la crypte.
— Pourquoi ? Tu ne veux pas savoir ce qu'il y a dans le sarcophage ?
— Je suis aussi curieux que toi, Chip, peut-être même plus. Mais pour faire des fouilles il faut une autorisation que je n'ai pas. Il faut aussi une équipe pour m'aider et pour tout ça il nous faut de l'argent que bien sûr je n'ai pas non plus. Et comme le site n'est pas en danger, je ne peux pas justifier d’une urgence…
Il va falloir que je monte un dossier avec des demandes de subventions, que j'obtienne les autorisations nécessaires. Je dirai que peut-être l'an prochain tout sera en place pour les fouilles.
— Si tu veux Gus et moi on a un peu d'argent dans nos tirelires, on te le donne.
— C'est gentil Chip, vous êtes des petits gars généreux mais ça ne suffira pas.
— Si tu veux on peut essayer de demander à notre Mamie qu'elle nous donne aussi nos pièces en or que le Papé Cyprien il nous avait donné quand on est né.
— Même avec ça, ça ne suffira pas Gus. Mais c'est gentil quand même. Je vais faire mon rapport et je suis sûr que vu l'importance de la découverte, des crédits seront vite débloqués. Mais, vu que la crypte est exceptionnelle, je ne suis pas sûr d'être désigné pour la fouiller.
— Comment ça, tu n'es pas sûr que ça sera toi qui fouillera ?
— Tu sais Hans, il y a des grosses pointures qui seront ravies de signer des publications sur le site que vous avez trouvé. Et ils ne vont pas se gêner pour m’évincer!
— Et si moi, je dis que je veux que ce soit toi qui le fouilles, sinon je ne donne pas l'autorisation du chantier, ça pourrait marcher ?
— Je ne sais pas, Jean-François, mais oui, j'aimerai trop fouiller le site.
— Alors, on fait comme ça. Dans ton rapport, tu précises que je te veux, toi, et pas un autre pour venir sur le terrain et diriger les recherches, tu communiques mes coordonnées, s’ils ne te croient pas. T’inquiète, ils ne risquent pas de me faire changer d’avis!
— Merci, merci pour tout. Bon je vous laisse, je dois passer voir JP et je redescends vite faire mon rapport et ma demande officielle d'autorisation de fouilles.
PJ nous serra la main et partit. Les jumeaux pensaient aller s'amuser mais Hans les envoya réviser un peu. Il fallut que je hausse la voix pour qu'ils obéissent.
Pour fêter leur bac, je leur avais promis que s'ils le réussissaient on irait au camping deux semaines et qu'après on irait voir Victoria puis qu'on irait aussi voir les cousins aux USA. Il fallait maintenant que je tienne parole.
La série télé avec les Ford T continuait et mon compte américain était plus que garni. Le montant représentait plusieurs années de mon salaire actuel. Bon, je n'étais pas multimillionnaire non plus mais m'acheter de jolies fringues ou changer de voiture régulièrement m'était possible facilement.
Bien que je n'en sentais nullement l’utilité. Je n'étais évidemment pas habillé comme un clochard mais simplement et surtout confortablement. Je n'avais qu'un péché mignon, c'était les sous-vêtements. J'en avais des dizaines, du plus classique, au plus coquin. Et de temps en temps je faisais des essayages privés pour Hans… qui finissaient toujours par une bonne séance de sexe.
Mon père et mon oncle firent un peu la tête en apprenant que j'allais prendre presque les deux mois de vacances. Mais bon, ils ne pouvaient pas refuser, depuis que j'étais entré dans l'entreprise familiale, je n'avais jamais pris tous mes congés, j'en avais pas mal en retard et ça n'allait même pas tout solder.
…
On venait d'arriver au camping. On était tous en 'tenue' et déjà les jumeaux étaient partis en vadrouille. Ils revinrent la mine déconfite. Quelque chose les perturbait et ils n'osaient pas en parler. Les deux premiers jours, ils ne nous quittèrent pas d'une semelle. Finalement au matin je mettais les pieds dans le plat.
— Bon, vous allez finir par me dire ce qui ne va pas ?
— De quoi tu parles Papa ?
— Les jumeaux, ça suffit comme ça. Il se passe quoi ?
— Bin, c'est compliqué à expliquer.
— Commencez par me dire ce qui vous perturbe le plus.
— C'est la taille de notre bite.
— Et elle a quoi la taille de vos bites ?
— Bin comparée aux autres garçons de notre taille la nôtre est minuscule.
— Je suppose qu'avec Hans vous avez étudié la puberté et les hormones ?
— Bin, oui, bien sûr.
— Donc vous devez savoir qu'à la puberté les hormones s'affolent et créent des changements dans votre corps, votre voix va muer, vos poils vont pousser, et votre sexe et vos testicules vont grossir. Vous n'avez que 11 ans mais vous avez la taille de garçons de 14 ou 15 ans. Alors il va falloir patienter encore quelques années. Je ne me souviens pas de la taille du mien à votre âge mais je ne l’avais pas plus gros que vous, si je me souviens bien.
— Et on va en avoir un aussi gros que le tien quand tu bandes ?
— Surement, c’est … Et comment tu sais ça, Gus ?
Les deux étaient devenus tout rouge.
— Bin, des fois, avec Hans quand vous vous faites des bisous dans la piscine on vous voit de nos chambres.
— Ah, d’accord, il va falloir qu'on soit plus discret et qu'on ne se fasse plus de bisous dans la piscine.
— Mais si, vous pouvez continuer, c'est pas grave si vous bandez. Ça veut dire que vous vous aimez, pas vrai ?
— C'est ça Chip, tu as raison. Et nos érections sont l'expression de notre amour. J'espère que ça ne vous choque pas.
— Bin non! Tu sais nous aussi des fois on bande, surtout au réveil mais ça ne dure pas.
— Vous êtes encore jeune pour penser au sexe.
— Oh mais on sait tout sur le sexe, enfin en théorie parce qu'en pratique on n'a jamais rien fait.
— Il manquerait plus que ça, qu'à 11 ans vous ayez déjà fait du sexe.
— Tu as commencé à quel âge, toi ?
— J'avais 16 ans. Et c'est ici au camping.
— C'était un garçon ou une fille ton premier amoureux ou amoureuse ?
— Vous êtes bien indiscrets, les garçons, aujourd’hui. Ça a été d'abord une fille et après un garçon.
— Tu crois que nous on va aimer quoi ?
— Je ne sais pas ce que tu vas aimer. Gus. De toute façon, autant Hans que moi, on acceptera celle ou celui que vous ramènerez à la maison.
— Bonjour tout le monde. Vous parlez de qui ?
Hans s'approcha de moi et me fit un bisou sur la bouche et fit la bise aux jumeaux.
— On parlait de nos futurs chéris ou chéries qu'on rapporterait à la maison. On sait pas si ça sera un garçon ou une fille.
— Vous avez des discussions sérieuses de bon matin. Vous avez largement le temps de vous décider et choisir ce qui vous plait le plus ou qui vous convient le mieux.
Nos voisins venaient de se lever et ils prenaient leur petit-déjeuner sur la terrasse du mobile-home. Chip s'approcha de moi et me murmura à l’oreille.
— T'as vu Papa, le garçon, le plus grand et son petit frère aussi, ils ont des bites petites comme les nôtres. Pourtant eux aussi ils sont grands. T'as vu leur plaque, c'est des Hollandais.
— Quand ils auront fini de prendre leur petit-déjeuner vous n'aurez qu'à aller leur parler. En attendant à la douche mauvaise troupe.
On en profita pour aussi faire la vaisselle du petit-déjeuner et quand on rentra les deux frères jouaient au foot entre eux. Le plus grand approcha et demanda aux jumeaux:
— Vous vouloir jouer avec nous ? Je pas bien parler français.
— On y va Gus ?
— Ok, Moi c'est Gus et lui c'est Chip.
— Moi Peter et lui mon frère Willy.