16-10-2023, 06:33 PM
Ça faisait un bout de temps que je n'avais pas commenté ce récit, bien que je lise assez rapidement les nouveaux chapitres.
Chapitre 440
Natacha et Mehdi se font implanter une puce d'identification. C'est aussi le cas de Maël. Mais pour ce dernier, on apprend qu'il en avait déjà une depuis sa naissance mais que sur les examens d'imagerie lors de sa sélection pour l'Académie des Explorateurs, mais les IA ont effacé son image.
Donc, pour Maël comme pour son père, on change la puce pour une version plus récente.
Si on compare à ce qui se fait à notre époque sur Terre où lorsqu'on achète un équipement, il est quelquefois demandé d'en mettre à jour le firmware, avoir besoin de changer la puce plutôt que de la reprogrammer, ça fait pas mal bricolage pour une civilisation que serait arrivée depuis longtemps au sommet.
Si je compare avec l'Odyssée cosmique de 2 ados de Julmer pas besoin de puce d'identification. Un scan corporel et un enregistrement de la voix a suffit pour enregistrer Kevin. Et auparavant, alors que des pléiadiens le soupçonnaient d'être le fils de l'un d'entre eux venu sur terre il y a 17 ans, il a suffit de lui faire toucher un joystick pour qu'une analyse ADN trouve en quelques secondes son vrai père et affiche son portrait.
Il apprennent la classification des planètes.
Certaines planètes de type D et la planète de type E n'acceptent pas les touristes. Mais, en plus des diplomates, il peut y avoir des veilleurs.
lelivredejeremie voit un esprit colonialiste dans la manière dont la civilisation de Ludivien gère l'évolution des planètes. Je n'irai pas jusque là (au niveau des intentions), mais ça me fait encore une fois comparer à l'odyssée cosmique.
Dans ce récit, pléiade fait partie des Civilisations Hautement Évoluées (en première position avec 9989 points sur 10000 sur une note basée sur 1000 critères) alors que de son coté, la civilisation de Gaïa vient d'être déclassée de civilisation primitive à civilisation régressive à cause du comportement des humains entre eux et de la façon dont ils traitent les autres espèces vivantes et la planète ... notamment. Gaïa, la Déesse qui gouverne la planète Terre veut s'en débarrasser, notamment dans des cataclysmes très meurtriers. Elle est maître sur sa planète et d'autres civilisations n'ont pas le droit d'intervenir. Par contre, les Stullucks, une civilisation guerrière qui voit dans les humains des objets sexuels et une source de bonne nourriture sont en route vers la Terre et lorsqu'une civilisation risque d'être exterminée par une autre, une civilisation hautement évoluée a le droit de lui porter secours.
Mais dans ce cas précis, comme Gaïa ne veut plus d'humains sur son sol, les quelques 2 milliards de survivants aux diverses catastrophes devront émigrer pour être répartis sur 8 planètes. Ils ont calculé que 97 % des survivants s'intégreront bien à leurs civilisations dès les premiers jours. Mais ils faudra en surveiller certains à l'esprit conquérant pour les empêcher de prendre le pouvoir, sachant que s'ils réussissaient, (probabilité infime), avec l'accès à la technologie de leur nouvelle civilisation, ça pourrait aboutir à une guerre spatiale de conquête hyper dévastatrice.
Pour revenir à ton histoire, le fait que la planète de type E et certaines de type D n'acceptent pas les touristes, ça me fait penser à la protection par l'obscurité. En matière de logiciels, il y a les logiciels propriétaires dont seuls les membres d'une entreprise accèdent au code source et sont donc susceptibles d'en connaitre facilement les défauts et de les corriger s'ils le veulent. Il y a aussi le logiciels libres dont toute personne compétente dans le monde peut étudier le fonctionnement et proposer des améliorations s'il y a des choses à corriger.
Les planètes de civilisations évoluées qui refusent les touristes peuvent certes conserver pour elles mêmes certains savoirs ou savoir faire, mais comment être assuré que finalement, elles ne régressent pas ?
Chapitre 441
J'avais envisagé que, compte tenu de la durée du trajet, il valait mieux que le vaisseau qui les a emmené sur Kepler rester sur place jusqu'à 1 mois pour éventuellement en ramener après la période d'essai. Mais le capitaine repart après un dernier repas commun et vers la fin du chapitre, Ludivien dit qu'il ne devait pas rester.
Quelques plaisanteries par rapport à l'alcoolémie et il est question de la religion musulmane et de la position de Mehdi par rapport à celle-ci. On apprend que le fait que plus aucun pays ne considère l'homosexualité comme un crime est le résultat d'interventions de la civilisation de Ludivien. Sa planète s'appelant Uppruna.
Le groupe de veilleurs stagiaires va justement y aller dès que possible. En chemin, une escale est prévue sur la planète Sodoma dont on peut deviner une possibilité récréative qu'elle offre. Le détour ne sera que de quelques dizaines de millions d'ua, ou après calcul quelques centaines d'années lumière, ce qui est effectivement très peu par rapport à la taille de l'univers.
Pour rejoindre les vaisseaux spatiaux, ils passent par le sas qui a servi à Maël à l'entrée. Déshabillage de tout le monde. Maël peut voir son père/capitaine nu.
Les stagiaires et Ludivien rejoignent le vaisseau qui va les emmener sur Uppruna. Un membre de l'équipage leur demande s'ils veulent s'habiller ou faire pipi avant de rejoindre leur siège. Ludivien répond qu'un pipi sans branlette serait utile.
Pour l'histoire d'une pesanteur artificielle, c'est plus facile d'en créer une (centrifugeuse) que de l'enlever (orbite ou vol 0g avec les technologies terriennes).
Chapitre 440
Natacha et Mehdi se font implanter une puce d'identification. C'est aussi le cas de Maël. Mais pour ce dernier, on apprend qu'il en avait déjà une depuis sa naissance mais que sur les examens d'imagerie lors de sa sélection pour l'Académie des Explorateurs, mais les IA ont effacé son image.
Donc, pour Maël comme pour son père, on change la puce pour une version plus récente.
Si on compare à ce qui se fait à notre époque sur Terre où lorsqu'on achète un équipement, il est quelquefois demandé d'en mettre à jour le firmware, avoir besoin de changer la puce plutôt que de la reprogrammer, ça fait pas mal bricolage pour une civilisation que serait arrivée depuis longtemps au sommet.
Si je compare avec l'Odyssée cosmique de 2 ados de Julmer pas besoin de puce d'identification. Un scan corporel et un enregistrement de la voix a suffit pour enregistrer Kevin. Et auparavant, alors que des pléiadiens le soupçonnaient d'être le fils de l'un d'entre eux venu sur terre il y a 17 ans, il a suffit de lui faire toucher un joystick pour qu'une analyse ADN trouve en quelques secondes son vrai père et affiche son portrait.
Il apprennent la classification des planètes.
- Niveau A : Pas ou peu évolué technologiquement. Interventions rarissimes.
- Niveau B : Capable de mettre en danger la survie même de leur espèce. Surveillance active et interventions plus fréquentes.
- Niveau C : Contacts avec leur civilisation. Pour la Terre, ça a d'abord été fait avec le Capitaine Bacha. À présent, c'est le moment de faire connaître l'existence de la civilisation de Ludivien à tous les habitants. Ils vont transférer leur base sur la Terre et Ludivien va devenir Ambassadeur.
- Niveau D : Admission de la planète au sein de la Fédération qui regroupe toutes les planètes de niveau D.
- Niveau E : C'est la civilisation de Ludivien qui veut pas que d'autres civilisation l'égalent.
Certaines planètes de type D et la planète de type E n'acceptent pas les touristes. Mais, en plus des diplomates, il peut y avoir des veilleurs.
lelivredejeremie voit un esprit colonialiste dans la manière dont la civilisation de Ludivien gère l'évolution des planètes. Je n'irai pas jusque là (au niveau des intentions), mais ça me fait encore une fois comparer à l'odyssée cosmique.
Dans ce récit, pléiade fait partie des Civilisations Hautement Évoluées (en première position avec 9989 points sur 10000 sur une note basée sur 1000 critères) alors que de son coté, la civilisation de Gaïa vient d'être déclassée de civilisation primitive à civilisation régressive à cause du comportement des humains entre eux et de la façon dont ils traitent les autres espèces vivantes et la planète ... notamment. Gaïa, la Déesse qui gouverne la planète Terre veut s'en débarrasser, notamment dans des cataclysmes très meurtriers. Elle est maître sur sa planète et d'autres civilisations n'ont pas le droit d'intervenir. Par contre, les Stullucks, une civilisation guerrière qui voit dans les humains des objets sexuels et une source de bonne nourriture sont en route vers la Terre et lorsqu'une civilisation risque d'être exterminée par une autre, une civilisation hautement évoluée a le droit de lui porter secours.
Mais dans ce cas précis, comme Gaïa ne veut plus d'humains sur son sol, les quelques 2 milliards de survivants aux diverses catastrophes devront émigrer pour être répartis sur 8 planètes. Ils ont calculé que 97 % des survivants s'intégreront bien à leurs civilisations dès les premiers jours. Mais ils faudra en surveiller certains à l'esprit conquérant pour les empêcher de prendre le pouvoir, sachant que s'ils réussissaient, (probabilité infime), avec l'accès à la technologie de leur nouvelle civilisation, ça pourrait aboutir à une guerre spatiale de conquête hyper dévastatrice.
Pour revenir à ton histoire, le fait que la planète de type E et certaines de type D n'acceptent pas les touristes, ça me fait penser à la protection par l'obscurité. En matière de logiciels, il y a les logiciels propriétaires dont seuls les membres d'une entreprise accèdent au code source et sont donc susceptibles d'en connaitre facilement les défauts et de les corriger s'ils le veulent. Il y a aussi le logiciels libres dont toute personne compétente dans le monde peut étudier le fonctionnement et proposer des améliorations s'il y a des choses à corriger.
Les planètes de civilisations évoluées qui refusent les touristes peuvent certes conserver pour elles mêmes certains savoirs ou savoir faire, mais comment être assuré que finalement, elles ne régressent pas ?
Chapitre 441
J'avais envisagé que, compte tenu de la durée du trajet, il valait mieux que le vaisseau qui les a emmené sur Kepler rester sur place jusqu'à 1 mois pour éventuellement en ramener après la période d'essai. Mais le capitaine repart après un dernier repas commun et vers la fin du chapitre, Ludivien dit qu'il ne devait pas rester.
Quelques plaisanteries par rapport à l'alcoolémie et il est question de la religion musulmane et de la position de Mehdi par rapport à celle-ci. On apprend que le fait que plus aucun pays ne considère l'homosexualité comme un crime est le résultat d'interventions de la civilisation de Ludivien. Sa planète s'appelant Uppruna.
Le groupe de veilleurs stagiaires va justement y aller dès que possible. En chemin, une escale est prévue sur la planète Sodoma dont on peut deviner une possibilité récréative qu'elle offre. Le détour ne sera que de quelques dizaines de millions d'ua, ou après calcul quelques centaines d'années lumière, ce qui est effectivement très peu par rapport à la taille de l'univers.
Pour rejoindre les vaisseaux spatiaux, ils passent par le sas qui a servi à Maël à l'entrée. Déshabillage de tout le monde. Maël peut voir son père/capitaine nu.
Les stagiaires et Ludivien rejoignent le vaisseau qui va les emmener sur Uppruna. Un membre de l'équipage leur demande s'ils veulent s'habiller ou faire pipi avant de rejoindre leur siège. Ludivien répond qu'un pipi sans branlette serait utile.
Pour l'histoire d'une pesanteur artificielle, c'est plus facile d'en créer une (centrifugeuse) que de l'enlever (orbite ou vol 0g avec les technologies terriennes).