04-10-2023, 11:06 AM
Chapitre 095 : « Vacances universitaire »
« De retour à l’appartement, très tard dans la nuit. »
La porte à peine refermée sur eux tous, que déjà celles des chambres s’ouvrent et que chaque couple se laisse tomber littéralement sur le lit, la fatigue ajouter au stresse de la soirée leurs ayant ôter toute énergie.
Ce n’est que fort tard dans la matinée, qu’ils se retrouvent donc dans la cuisine, encore visiblement choqués par l’incident de la veille.
- Les gens sont tous devenus fous ou quoi ? j’avoue avoir eu la pétoche de ma vie, heureusement que les officiers nous ont sortis rapidement de sur la scène, sinon je ne donnais pas cher de notre peau, j’y ai d’ailleurs laissé un bout de ma manche que deux furies m’ont arrachée.
- Imagine si elles t’avaient gaulées à la culotte ! Hi ! Hi !
Kai jette un regard noir vers Marc auteur de la plaisanterie.
- Très drôle, surtout pour quelqu‘un qui n’a pris aucun risque.
Daniel sent bien que s’il laisse continuer comme c’est parti, l’ambiance va vite être plombée alors qu’ils ont tous été des victimes, de leurs succès certes, mais également pour beaucoup de sa propre responsabilité, chose à laquelle il se garde bien de parler.
Dix-huit ans plus tôt quand il a été mis pour la première fois en présence à l’orphelinat de ses deux futurs meilleurs amis, sa décision s’est prise d’en faire des garçons remarquables et qui grandiront avec lui, le temps que ce corps qu’il a recréé de presque rien devienne adulte.
Autant pour le bébé qu’était Ralphy, il n’a apporté que quelques changements d’ordres physiques, autant pour le bébé qu’était Kai, il a fait en sorte que ce soit lui qui d’eux trois attire le plus l’attention, en le modelant à l’image de celui qui depuis toujours hante ses rêves et auquel il n’a pu que récemment donner enfin un nom, s’accordant avec le sourire de lui reconnaitre une similitude plus que certaine d’avec Kai.
C’est donc avec cette pensée coupable qu’il calme tout le monde, pour ensuite s’adresser au prince Lee-Rim d’un ton montrant bien à ce dernier que ce qu’il pensait être passer sans que personne n’y prête attention allait lui revenir en pleine poire.
- Pourquoi tu t‘es arrêté de parler, il suffisait de dire au roi que nous allions quitter ce système solaire avec la navette extra-terrestre tant que tu y étais.
- Je m’excuse les gars, c’était dans le feu de l’action et cela a failli m’échapper.
- J’ai bien vu que mon père marquait une certaine surprise, quoique il me semble insuffisante, un peu comme s’il connaissait nos plans.
Charles répond au grand prince Louis, avec dans la voix un début d’agacement.
- Comment veux tu qu’il suspecte quoi que ce soit ?
- Je connais mon père mieux que n’importe qui ici, j’ai trouvé cela louche d’autant plus qu’ensuite il n’a pas insisté, un peu comme s’il connaissait la réponse.
- Impossible !
Daniel une fois de plus tempère les ardeurs de ses amis.
- Impossible n’est pas Nordien et l’énergie que j’ai pu mettre en œuvre pour effacer nos traces était loin d’être suffisante.
- Qu’entends-tu par-là ?
- J’ai… comment dire… était au plus presser, ce que j'essai de vous faire comprendre c’est que j’ai effacer la mémoire de ceux que je connaissais, sans pouvoir m’étaler plus loin. Du coup rien ne garantie que des informations sur nous lui soient parvenues par des sources détournées inconnues, sources que je n’ai donc pas pu traiter, comme vous l'imaginez bien.
- Dans ce cas je suis certain que mon père connait tout ou partie de nos secrets, déjà cette histoire d’horloges ayant bugées sur une bonne moitié de la capitale m’avait fait craindre le pire.
- Cela m’apprendra à utiliser des pouvoirs dont je ne maitrise pas la portée, du coup nous allons sans doute devoir avancés notre planning et envisager un départ plus rapide.
Charles s’approche de Daniel pour lui poser une main sur l’épaule.
- Comment tu te sens ?
- De plus en plus fort, sans doute grâce à mon ami. Pourtant j’en suis encore loin d’avoir retrouvé tout mon potentiel et la moindre utilisation d’un pouvoir trop puissant me viderait avant même que je le mène à bien.
- Je sais que tu nous as déjà expliqué tout cela, j’avoue pourtant avoir encore du mal à tout comprendre.
- C’est juste parce que ton esprit refuse d’y croire, moi-même si je n’étais pas directement impliqué penserais à une énorme fumisterie. Ce que je suis est hors de porter de compréhension d’un humain ordinaire, pourtant alors que mon peuple parait à vos yeux ce qui se rapproche le plus de la notion de dieu, nous sommes et restons dépendants du reste de l’humanité, un peu comme une symbiose vous comprenez, l’un ne pouvant se passer de l’autre et vis versa, ce qui du fait nous oblige à la pondération et au respect, la tyrannie se verrait immédiatement réduit dans l’œuf en ôtant au tyran tout ce qui lui permettait de l’être.
- Pourtant il y a cette histoire des cinq, ceux qui vous ont honteusement trompés et détournés de votre projet initial ?
- Cela n’aurait pas dû être et si cela s’est produit, c’est juste parce qu’ils ont osés mettre un univers entier sous leur coupe en utilisant la tromperie. Du fait ils n’étaient pas si puissants, juste qu’ils nous ont pris par surprise alors que nous ne nous y attendions pas et que de notre côté nous-même faisions quelque chose en cachette des sages.
Charles hoche la tête, autant en signe de compréhension que pour stopper Daniel dans sa diatribe, qui sinon et comme à chaque fois que ses pensées retournent vers son peuple, n’en finirait pas jusqu’à plus d’heures.
- Cela ne répond pas à la question sur la date de notre départ ?
- Nous devrons être prêt pour qu’au moindre signe d’une action pour nous ôter la liberté, nous puissions y échapper.
- Donc tant que mon père reste sur le statut quo actuel, il n’y a pas le feu au lac, c’est bien ça ?
- "Mon "ou plutôt "mes" amis sont en approchent, ils seront bientôt à porter de cette planète, d’ici je pense deux à trois semaines, si nous pouvions rester tranquille et surtout libre jusque-là, nous n’aurions même pas besoin d’utiliser la navette. De plus nous pourrions partir depuis l’appartement sans que personne ne soupçonne quoi que ce soit.
Devant la tête de ses amis, Daniel sourit et part en explication sur ce qu’il a appris de son ami Flo sur les capacités du « Kannn » et surtout son système sophistiquer de téléportation qui permettra de les exfiltrés de cette planète en toute discrétion.
- Deux à trois semaines sans faire parler de nous, à part rester enfermer ici je ne vois pas comment faire autrement, surtout maintenant que mon visage est connu de tous.
- En quoi cela nous concerne-t-il ? il suffit juste que toi tu restes ici, à la limite avec tes deux copains et Charles qui s’est découvert au concert comme étant avec vous, pour nous autres rien ne nous empêche de sortir.
Kai jette un regard noir vers les deux princes, Marc et surtout sur son petit ami, qui sourient dans un ensemble parfait, visiblement amusés par la façon de Louis d’aller l’asticoter.
Le blondinet ne s’y laisse pas prendre, ayant muri dernièrement avec les crises rapprochées qu’il vient de vivre, cherchant néanmoins quelque chose histoire de ne pas lui laisser le dernier mot.
Il surprend alors le bref regard du grand prince vers Daniel, regard visant une partie bien ciblée de son anatomie juste vêtue pour l’occasion de son short de nuit aux échancrures béantes à souhait.
Un bref ricanement lui vient alors en ayant trouver la contremesure qu’il cherchait, venant s’interposer entre Louis et Daniel pour que le grand prince cesse de reluquer l’entrejambe de ce dernier et vienne accrocher son propre regard.
- Sans doute pourrions-nous faire en sorte que cela vous concerne également, je pense à ceux qui profiteraient de leur anonymat relatif pour sortir. Que dirais tu par exemple de faire ceinture ces trois prochaines semaines, vu le regard pervers que tu viens d’avoir sur l’entrejambe de Daniel, je ne suis pas sûr que ce genre de sevrage te convienne bien longtemps ? t’en penses quoi ton altesse ? tu ne te sens toujours pas concerner par le fait de rester discret ? ou bien…
Kai s’écarte pour laisser réapparaitre Daniel visiblement amuser à suivre la conversation, surtout qu’il est le principal concerné et se laisse donc faire avec un certain plaisir quand le blondinet passe la main dans l’échancrure de son caleçon et commence à l’exciter plus que sérieusement, au point d’en fermer les yeux en retenant avec peine le ronronnement qui il le sait pertinemment déclenchera les « hostilités ».
Les yeux de Louis deviennent ronds comme des soucoupes, alors qu’il ravale difficilement sa salive et qu’il sent bien l’affolement soudain à l’intérieur de son pantalon, tandis que son sexe se déploie jusqu’à en devenir raide et dur comme du bois.
« De retour à l’appartement, très tard dans la nuit. »
La porte à peine refermée sur eux tous, que déjà celles des chambres s’ouvrent et que chaque couple se laisse tomber littéralement sur le lit, la fatigue ajouter au stresse de la soirée leurs ayant ôter toute énergie.
Ce n’est que fort tard dans la matinée, qu’ils se retrouvent donc dans la cuisine, encore visiblement choqués par l’incident de la veille.
- Les gens sont tous devenus fous ou quoi ? j’avoue avoir eu la pétoche de ma vie, heureusement que les officiers nous ont sortis rapidement de sur la scène, sinon je ne donnais pas cher de notre peau, j’y ai d’ailleurs laissé un bout de ma manche que deux furies m’ont arrachée.
- Imagine si elles t’avaient gaulées à la culotte ! Hi ! Hi !
Kai jette un regard noir vers Marc auteur de la plaisanterie.
- Très drôle, surtout pour quelqu‘un qui n’a pris aucun risque.
Daniel sent bien que s’il laisse continuer comme c’est parti, l’ambiance va vite être plombée alors qu’ils ont tous été des victimes, de leurs succès certes, mais également pour beaucoup de sa propre responsabilité, chose à laquelle il se garde bien de parler.
Dix-huit ans plus tôt quand il a été mis pour la première fois en présence à l’orphelinat de ses deux futurs meilleurs amis, sa décision s’est prise d’en faire des garçons remarquables et qui grandiront avec lui, le temps que ce corps qu’il a recréé de presque rien devienne adulte.
Autant pour le bébé qu’était Ralphy, il n’a apporté que quelques changements d’ordres physiques, autant pour le bébé qu’était Kai, il a fait en sorte que ce soit lui qui d’eux trois attire le plus l’attention, en le modelant à l’image de celui qui depuis toujours hante ses rêves et auquel il n’a pu que récemment donner enfin un nom, s’accordant avec le sourire de lui reconnaitre une similitude plus que certaine d’avec Kai.
C’est donc avec cette pensée coupable qu’il calme tout le monde, pour ensuite s’adresser au prince Lee-Rim d’un ton montrant bien à ce dernier que ce qu’il pensait être passer sans que personne n’y prête attention allait lui revenir en pleine poire.
- Pourquoi tu t‘es arrêté de parler, il suffisait de dire au roi que nous allions quitter ce système solaire avec la navette extra-terrestre tant que tu y étais.
- Je m’excuse les gars, c’était dans le feu de l’action et cela a failli m’échapper.
- J’ai bien vu que mon père marquait une certaine surprise, quoique il me semble insuffisante, un peu comme s’il connaissait nos plans.
Charles répond au grand prince Louis, avec dans la voix un début d’agacement.
- Comment veux tu qu’il suspecte quoi que ce soit ?
- Je connais mon père mieux que n’importe qui ici, j’ai trouvé cela louche d’autant plus qu’ensuite il n’a pas insisté, un peu comme s’il connaissait la réponse.
- Impossible !
Daniel une fois de plus tempère les ardeurs de ses amis.
- Impossible n’est pas Nordien et l’énergie que j’ai pu mettre en œuvre pour effacer nos traces était loin d’être suffisante.
- Qu’entends-tu par-là ?
- J’ai… comment dire… était au plus presser, ce que j'essai de vous faire comprendre c’est que j’ai effacer la mémoire de ceux que je connaissais, sans pouvoir m’étaler plus loin. Du coup rien ne garantie que des informations sur nous lui soient parvenues par des sources détournées inconnues, sources que je n’ai donc pas pu traiter, comme vous l'imaginez bien.
- Dans ce cas je suis certain que mon père connait tout ou partie de nos secrets, déjà cette histoire d’horloges ayant bugées sur une bonne moitié de la capitale m’avait fait craindre le pire.
- Cela m’apprendra à utiliser des pouvoirs dont je ne maitrise pas la portée, du coup nous allons sans doute devoir avancés notre planning et envisager un départ plus rapide.
Charles s’approche de Daniel pour lui poser une main sur l’épaule.
- Comment tu te sens ?
- De plus en plus fort, sans doute grâce à mon ami. Pourtant j’en suis encore loin d’avoir retrouvé tout mon potentiel et la moindre utilisation d’un pouvoir trop puissant me viderait avant même que je le mène à bien.
- Je sais que tu nous as déjà expliqué tout cela, j’avoue pourtant avoir encore du mal à tout comprendre.
- C’est juste parce que ton esprit refuse d’y croire, moi-même si je n’étais pas directement impliqué penserais à une énorme fumisterie. Ce que je suis est hors de porter de compréhension d’un humain ordinaire, pourtant alors que mon peuple parait à vos yeux ce qui se rapproche le plus de la notion de dieu, nous sommes et restons dépendants du reste de l’humanité, un peu comme une symbiose vous comprenez, l’un ne pouvant se passer de l’autre et vis versa, ce qui du fait nous oblige à la pondération et au respect, la tyrannie se verrait immédiatement réduit dans l’œuf en ôtant au tyran tout ce qui lui permettait de l’être.
- Pourtant il y a cette histoire des cinq, ceux qui vous ont honteusement trompés et détournés de votre projet initial ?
- Cela n’aurait pas dû être et si cela s’est produit, c’est juste parce qu’ils ont osés mettre un univers entier sous leur coupe en utilisant la tromperie. Du fait ils n’étaient pas si puissants, juste qu’ils nous ont pris par surprise alors que nous ne nous y attendions pas et que de notre côté nous-même faisions quelque chose en cachette des sages.
Charles hoche la tête, autant en signe de compréhension que pour stopper Daniel dans sa diatribe, qui sinon et comme à chaque fois que ses pensées retournent vers son peuple, n’en finirait pas jusqu’à plus d’heures.
- Cela ne répond pas à la question sur la date de notre départ ?
- Nous devrons être prêt pour qu’au moindre signe d’une action pour nous ôter la liberté, nous puissions y échapper.
- Donc tant que mon père reste sur le statut quo actuel, il n’y a pas le feu au lac, c’est bien ça ?
- "Mon "ou plutôt "mes" amis sont en approchent, ils seront bientôt à porter de cette planète, d’ici je pense deux à trois semaines, si nous pouvions rester tranquille et surtout libre jusque-là, nous n’aurions même pas besoin d’utiliser la navette. De plus nous pourrions partir depuis l’appartement sans que personne ne soupçonne quoi que ce soit.
Devant la tête de ses amis, Daniel sourit et part en explication sur ce qu’il a appris de son ami Flo sur les capacités du « Kannn » et surtout son système sophistiquer de téléportation qui permettra de les exfiltrés de cette planète en toute discrétion.
- Deux à trois semaines sans faire parler de nous, à part rester enfermer ici je ne vois pas comment faire autrement, surtout maintenant que mon visage est connu de tous.
- En quoi cela nous concerne-t-il ? il suffit juste que toi tu restes ici, à la limite avec tes deux copains et Charles qui s’est découvert au concert comme étant avec vous, pour nous autres rien ne nous empêche de sortir.
Kai jette un regard noir vers les deux princes, Marc et surtout sur son petit ami, qui sourient dans un ensemble parfait, visiblement amusés par la façon de Louis d’aller l’asticoter.
Le blondinet ne s’y laisse pas prendre, ayant muri dernièrement avec les crises rapprochées qu’il vient de vivre, cherchant néanmoins quelque chose histoire de ne pas lui laisser le dernier mot.
Il surprend alors le bref regard du grand prince vers Daniel, regard visant une partie bien ciblée de son anatomie juste vêtue pour l’occasion de son short de nuit aux échancrures béantes à souhait.
Un bref ricanement lui vient alors en ayant trouver la contremesure qu’il cherchait, venant s’interposer entre Louis et Daniel pour que le grand prince cesse de reluquer l’entrejambe de ce dernier et vienne accrocher son propre regard.
- Sans doute pourrions-nous faire en sorte que cela vous concerne également, je pense à ceux qui profiteraient de leur anonymat relatif pour sortir. Que dirais tu par exemple de faire ceinture ces trois prochaines semaines, vu le regard pervers que tu viens d’avoir sur l’entrejambe de Daniel, je ne suis pas sûr que ce genre de sevrage te convienne bien longtemps ? t’en penses quoi ton altesse ? tu ne te sens toujours pas concerner par le fait de rester discret ? ou bien…
Kai s’écarte pour laisser réapparaitre Daniel visiblement amuser à suivre la conversation, surtout qu’il est le principal concerné et se laisse donc faire avec un certain plaisir quand le blondinet passe la main dans l’échancrure de son caleçon et commence à l’exciter plus que sérieusement, au point d’en fermer les yeux en retenant avec peine le ronronnement qui il le sait pertinemment déclenchera les « hostilités ».
Les yeux de Louis deviennent ronds comme des soucoupes, alors qu’il ravale difficilement sa salive et qu’il sent bien l’affolement soudain à l’intérieur de son pantalon, tandis que son sexe se déploie jusqu’à en devenir raide et dur comme du bois.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li