02-10-2023, 08:09 PM
Un coup de chalumeau, la cire fondit et on ouvrit le pot. On eut la surprise de notre vie. On y trouva tout un tas de statuettes en or ou en argent pliées dans des chiffons. Il y avait aussi tout un tas de bijoux de facture ancienne et tout au fond des pièces en or à l'effigie de plusieurs empereurs romains.
— Bin merde alors. Et tu dis que le papé avait trouvé ça quand il était gamin ?
— Oui et d'après lui il y a une inscription sur les pierres qui n'en formaient qu'une grande. Mais il ne savait pas ce qu'il y avait dessus.
— Tu sais, le papé il n'était pas longtemps allé à l’école. Il savait lire, écrire plus ou moins et compter… surtout, les sous. Mais ça ne l'a pas empêché de vivre heureux.
— Papé, on va le garder le trésor ou tu vas le montrer à Jean-Paul ? Parce que nous notre trésor il ne nous l'a pas rendu.
— On verra. Mais pour le moment on ne dit rien à personne. Bé, va le remettre en place et remets le bidon dessus.
— Mais pourquoi Papé ?
— Comme ça si votre papa n'est pas là personne pourra nous le voler. Ça fait plus de 90 ans qu'il est caché là alors on n'est pas à quelques jours près. Mais on n'en parle à personne.
— Demain soir, Bé, tu reviens du boulot avec la petite pelle comme ça on s'en servira pour déplacer les pierres.
— Ça ne va pas être faisable Papé. Demain Victoria vient nous rendre visite pour quelques jours et…
— D'accord, n’en dit pas plus, on attendra qu'elle reparte pour le faire. Ça ne presse pas.
On rentra, on fit un rapide passage par la piscine et on alla tous se coucher. On se fit un bisou avec Hans pour nous dire bonne nuit. Puis un bisou en entrainant un autre… puis un autre, on fit l’amour.
Hans savait que s'il commençait à me prendre ça m'excitait beaucoup et que quand j'étais excité c'est souvent qu'on jouissait deux fois. Et ce soir-là, ce coquin m'excita énormément !
Je me levais sans bruit et je partis au travail. Hans avait prévu d'aller faire des courses avec les jumeaux parce que nos invités allaient rester quelques jours. Il m'avait juste dit que Victoria venait avec des invités. Deux que je connaissais et un autre qu'il aurait plaisir à me présenter.
Je ne me prenais pas la tête pour savoir qui s’était.
Le soir, quand je rentrais du boulot, les jumeaux étaient excités comme des puces.
— Papa, Hans n'a pas voulu nous dire qui c'est qui venait !
— S'il ne vous l'a pas dit, c'est qu'il ne le sait pas.
— Mais si, il le sait !
— Bon les curieux, on se calme maintenant et on va aller donner à manger aux chevaux.
— Mais Papa, les invités vont arriver bientôt !
— Oui, je sais, mais ce n'est pas une raison pour ne pas s'occuper des chevaux. Allez mauvaise troupe on y va. Et ce n'est pas la peine de râler, ça ne servira à rien !
Finalement on eut le temps de s'occuper des chevaux, de les brosser, de prendre une douche avant que Victoria n'arrive avec son chauffeur.
— Mamé, bonjour. T’es toute seule ? Ils sont où les autres ?
— Bonjour Gus et bonjour Chip, les autres ne vont pas tarder d’arriver. Venez plutôt me faire un bisou.
Elle embrassa les garçons, puis Hans et pour la première fois elle m'embrassa aussi. On monta ses valises dans sa chambre, celle à côté de celle des jumeaux. On redescendait quand un hélicoptère survola la maison et se posa dans le champ en face.
Les jumeaux se ruèrent à l'extérieur et on les suivait de peu. Le moteur s'arrêta et on vit descendre William, puis Harry et un gars que je ne connaissais pas. Ils prirent leurs affaires et les jumeaux coururent vers eux et à ma grande surprise ils se firent la bise y compris à l’inconnu. Ils arrivèrent près de nous, on se serra la main et quand le mec s’approcha, Hans me le présenta ainsi qu'aux jumeaux.
— Jean-François, Augustin et Cyprien, je vous présente mon cousin Will. Il est Hollandais, comme moi.
— Enchanté de te connaître et sois le bienvenu chez nous.
— Je n'avais pas prévu de venir mais William et Harry ont insisté pour que je les accompagne alors j'ai cédé.
— Ils ont bien fait d'insister pour que tu viennes, parce que depuis que Hans a plus ou moins rompu avec sa famille, je n'ai rencontré ses parents qu'une fois ainsi que son frère, tu es la quatrième personne de sa famille que je connaisse et tu es un de ceux qui m'a le plus parlé.
— Et tu en éprouves du ressentiment ?
— Non, pas du tout, bien au contraire… la seule chose qui me fait de la peine c'est la façon dont ils traitent Hans.
— Hélas ! Je le sais, ils sont coincés du cul, bien plus que mes parents.
— Will, qu'est-ce-que tu veux boire ?
— Si tu as une bière, c'est bien volontiers, merci Hans.
— J'ai ça. Tu veux un verre ?
— Non je la bois à la bouteille.
Hans fit le service et on se retrouva tous à discuter sur la terrasse du jardin. Jusqu'à présent la conversation se déroulait en anglais mais Will se mit à parler en hollandais avec Hans.
— Il est mignon ton mec Hans et il a l'air sympa. Et au lit il assure ?
- Tu as raison Will, il est mignon et sympa, mais… depuis quand tu t'intéresses aux garçons toi ?
— Mais je ne m'intéresse pas aux garçons enfin pas sexuellement mais pour boire des bières c'est bien volontiers que je les fréquente. Tu ne t’emmerdes pas trop ici, dans ce trou perdu ?
— Pas du tout, bien au contraire. Je m'occupe des enfants, je leur donne des cours et on pratique du sport ensemble, on va faire des balades à cheval, on s'occupe des bêtes.
— Hé, hé, hé ! Mais c’est la petite maison dans la prairie, ta nouvelle vie, mon cousin. En tout cas tu as bonne mine !
Puis ils se donnèrent des nouvelles de leur famille pendant que les jumeaux entrainaient Victoria, William et Harry, voir les chevaux. En sortant Gus avait sifflé avec ses doigts et très vite Rémus et Romulus arrivèrent prêt d’eux en courant.
Je rangeais ce qui trainait sur la table pendant que Will continuait à discuter avec Hans. La discussion portait sur Will et ses conquêtes féminines et Hans se foutait de lui.
— Que veux tu Hans quand j'ai un coup dans le nez, il faut que je baise, c'est plus fort que moi.
— Mais alors ne bois pas Will. Et au lieu de boire tu ferais mieux de draguer.
— Oui, mais pour draguer il faut que j’aie un peu bu.
— C'est le serpent qui se mord la queue, ton histoire.
— Tant que ce n’est pas la fille qui mord la mienne, ça me va. Tu m'offres une autre bière Hans ?
— Je veux bien mais ici il n'y a pas de fille à draguer.
— Ne t'en fais pas j'ai eu mon compte à Monaco. Quand est-ce que tu viens nous voir en Hollande ? Ça fait longtemps qu'on ne t’a pas eu à la maison.
— Tu sais je suis en froid avec mes parents et je n'aime pas m'imposer chez les gens. Et puis maintenant ma vie est ici avec Jeff et les jumeaux.
— Tu deviens un vrai ermite mon cousin.
— La vie ici me convient bien. Je m'éclate avec les jumeaux et avec leur père. On a une vie simple et tranquille, on part en vacances 2 ou 3 fois par an, on mange naturel et ici tu peux laisser la porte ouverte sans risquer de te faire voler.
— Tu fais quoi avec les jumeaux ?
— Je suis leur précepteur.
— Mais tu perds ton temps avec eux !
— Non, détrompes toi. Ils sont géniaux bien au contraire.
— Mais avec ton bagage tu aurais pu enseigner dans une fac et là tu enseignes à deux gosses.
— Ils sont surdoués. Tu sais qu'ils viennent de passer leur bac ?
— Ils ont quoi 15 ou 16 ans. Il n'y a rien d’exceptionnel.
— Détrompe toi Will, ils ont 11 ans.
- Tu te fous de ma gueule ?
— Non, Will, pas du tout.
— Remarque, avec le gabarit du père, il n'y a rien de très étonnant mais leur mère devait être grande aussi.
— Tu la connaissais, voyons. C'était Anna, la sœur de Nick.
— Ah oui c'est vrai que c'était une grande et belle fille si je me souviens bien mais je ne l'ai croisée qu'une ou deux fois et encore on était jeunes. J'avais plus d'atomes crochus avec son frère Nick. Et lui, tu as des nouvelles ?
— Bien sûr, il travaille avec Bé et on se voit assez souvent. Lui et sa copine ont eu un bébé.
La conversation fut interrompue par l'arrivée des jumeaux qui étaient tout excités.
— Papa, demain William va nous faire faire un tour d’hélicoptère. On peut s'il te plait ?
—Et il a même dit qu'il nous le laisserait piloter.
— Alors si William l'a dit je ne peux que m’incliner.
— Merci Papa. Tu viendras avec nous ?
— Ça ne sera pas possible, demain je travaille.
— Allez Pa, S’te plaiiiiiit !!!!!!!
— Bon je vais voir avec votre Papy s'il me donne le reste de la semaine en vacances.
— Si tu veux, on lui téléphone pour lui demander.
— Et si on allait plutôt le voir après manger ?
On but l'apéritif et on passa à table. Hans avait fait simple mais tout le monde se régala. Puis on partit voir mes parents… qui étaient chez mes grands-parents. Sur la place il y avait quelques jeunes qui jouaient à la pétanque et notre arrivée surprit ce petit monde. Enfin, pas nous mais nos invités.
Ça surprit encore plus mes grands-parents et mes parents de nous voir tous débarquer. Avec eux il y avait Louis mais aussi Jean-Paul qui leur expliquait où en était les fouilles. Les jumeaux firent la bise à tout le monde et je présentais mes invités.
Tous furent très intéressés par les fouilles et demandèrent s'ils pouvaient aller les visiter. Bien sûr Jean-Paul accepta et rendez-vous fut pris pour le lendemain. Tout naturellement Louis proposa de prêter des chevaux pour ceux qui voudraient. Mon père me fit un signe et on se mit à part pour discuter.
— Bin merde alors. Et tu dis que le papé avait trouvé ça quand il était gamin ?
— Oui et d'après lui il y a une inscription sur les pierres qui n'en formaient qu'une grande. Mais il ne savait pas ce qu'il y avait dessus.
— Tu sais, le papé il n'était pas longtemps allé à l’école. Il savait lire, écrire plus ou moins et compter… surtout, les sous. Mais ça ne l'a pas empêché de vivre heureux.
— Papé, on va le garder le trésor ou tu vas le montrer à Jean-Paul ? Parce que nous notre trésor il ne nous l'a pas rendu.
— On verra. Mais pour le moment on ne dit rien à personne. Bé, va le remettre en place et remets le bidon dessus.
— Mais pourquoi Papé ?
— Comme ça si votre papa n'est pas là personne pourra nous le voler. Ça fait plus de 90 ans qu'il est caché là alors on n'est pas à quelques jours près. Mais on n'en parle à personne.
— Demain soir, Bé, tu reviens du boulot avec la petite pelle comme ça on s'en servira pour déplacer les pierres.
— Ça ne va pas être faisable Papé. Demain Victoria vient nous rendre visite pour quelques jours et…
— D'accord, n’en dit pas plus, on attendra qu'elle reparte pour le faire. Ça ne presse pas.
On rentra, on fit un rapide passage par la piscine et on alla tous se coucher. On se fit un bisou avec Hans pour nous dire bonne nuit. Puis un bisou en entrainant un autre… puis un autre, on fit l’amour.
Hans savait que s'il commençait à me prendre ça m'excitait beaucoup et que quand j'étais excité c'est souvent qu'on jouissait deux fois. Et ce soir-là, ce coquin m'excita énormément !
Je me levais sans bruit et je partis au travail. Hans avait prévu d'aller faire des courses avec les jumeaux parce que nos invités allaient rester quelques jours. Il m'avait juste dit que Victoria venait avec des invités. Deux que je connaissais et un autre qu'il aurait plaisir à me présenter.
Je ne me prenais pas la tête pour savoir qui s’était.
Le soir, quand je rentrais du boulot, les jumeaux étaient excités comme des puces.
— Papa, Hans n'a pas voulu nous dire qui c'est qui venait !
— S'il ne vous l'a pas dit, c'est qu'il ne le sait pas.
— Mais si, il le sait !
— Bon les curieux, on se calme maintenant et on va aller donner à manger aux chevaux.
— Mais Papa, les invités vont arriver bientôt !
— Oui, je sais, mais ce n'est pas une raison pour ne pas s'occuper des chevaux. Allez mauvaise troupe on y va. Et ce n'est pas la peine de râler, ça ne servira à rien !
Finalement on eut le temps de s'occuper des chevaux, de les brosser, de prendre une douche avant que Victoria n'arrive avec son chauffeur.
— Mamé, bonjour. T’es toute seule ? Ils sont où les autres ?
— Bonjour Gus et bonjour Chip, les autres ne vont pas tarder d’arriver. Venez plutôt me faire un bisou.
Elle embrassa les garçons, puis Hans et pour la première fois elle m'embrassa aussi. On monta ses valises dans sa chambre, celle à côté de celle des jumeaux. On redescendait quand un hélicoptère survola la maison et se posa dans le champ en face.
Les jumeaux se ruèrent à l'extérieur et on les suivait de peu. Le moteur s'arrêta et on vit descendre William, puis Harry et un gars que je ne connaissais pas. Ils prirent leurs affaires et les jumeaux coururent vers eux et à ma grande surprise ils se firent la bise y compris à l’inconnu. Ils arrivèrent près de nous, on se serra la main et quand le mec s’approcha, Hans me le présenta ainsi qu'aux jumeaux.
— Jean-François, Augustin et Cyprien, je vous présente mon cousin Will. Il est Hollandais, comme moi.
— Enchanté de te connaître et sois le bienvenu chez nous.
— Je n'avais pas prévu de venir mais William et Harry ont insisté pour que je les accompagne alors j'ai cédé.
— Ils ont bien fait d'insister pour que tu viennes, parce que depuis que Hans a plus ou moins rompu avec sa famille, je n'ai rencontré ses parents qu'une fois ainsi que son frère, tu es la quatrième personne de sa famille que je connaisse et tu es un de ceux qui m'a le plus parlé.
— Et tu en éprouves du ressentiment ?
— Non, pas du tout, bien au contraire… la seule chose qui me fait de la peine c'est la façon dont ils traitent Hans.
— Hélas ! Je le sais, ils sont coincés du cul, bien plus que mes parents.
— Will, qu'est-ce-que tu veux boire ?
— Si tu as une bière, c'est bien volontiers, merci Hans.
— J'ai ça. Tu veux un verre ?
— Non je la bois à la bouteille.
Hans fit le service et on se retrouva tous à discuter sur la terrasse du jardin. Jusqu'à présent la conversation se déroulait en anglais mais Will se mit à parler en hollandais avec Hans.
— Il est mignon ton mec Hans et il a l'air sympa. Et au lit il assure ?
- Tu as raison Will, il est mignon et sympa, mais… depuis quand tu t'intéresses aux garçons toi ?
— Mais je ne m'intéresse pas aux garçons enfin pas sexuellement mais pour boire des bières c'est bien volontiers que je les fréquente. Tu ne t’emmerdes pas trop ici, dans ce trou perdu ?
— Pas du tout, bien au contraire. Je m'occupe des enfants, je leur donne des cours et on pratique du sport ensemble, on va faire des balades à cheval, on s'occupe des bêtes.
— Hé, hé, hé ! Mais c’est la petite maison dans la prairie, ta nouvelle vie, mon cousin. En tout cas tu as bonne mine !
Puis ils se donnèrent des nouvelles de leur famille pendant que les jumeaux entrainaient Victoria, William et Harry, voir les chevaux. En sortant Gus avait sifflé avec ses doigts et très vite Rémus et Romulus arrivèrent prêt d’eux en courant.
Je rangeais ce qui trainait sur la table pendant que Will continuait à discuter avec Hans. La discussion portait sur Will et ses conquêtes féminines et Hans se foutait de lui.
— Que veux tu Hans quand j'ai un coup dans le nez, il faut que je baise, c'est plus fort que moi.
— Mais alors ne bois pas Will. Et au lieu de boire tu ferais mieux de draguer.
— Oui, mais pour draguer il faut que j’aie un peu bu.
— C'est le serpent qui se mord la queue, ton histoire.
— Tant que ce n’est pas la fille qui mord la mienne, ça me va. Tu m'offres une autre bière Hans ?
— Je veux bien mais ici il n'y a pas de fille à draguer.
— Ne t'en fais pas j'ai eu mon compte à Monaco. Quand est-ce que tu viens nous voir en Hollande ? Ça fait longtemps qu'on ne t’a pas eu à la maison.
— Tu sais je suis en froid avec mes parents et je n'aime pas m'imposer chez les gens. Et puis maintenant ma vie est ici avec Jeff et les jumeaux.
— Tu deviens un vrai ermite mon cousin.
— La vie ici me convient bien. Je m'éclate avec les jumeaux et avec leur père. On a une vie simple et tranquille, on part en vacances 2 ou 3 fois par an, on mange naturel et ici tu peux laisser la porte ouverte sans risquer de te faire voler.
— Tu fais quoi avec les jumeaux ?
— Je suis leur précepteur.
— Mais tu perds ton temps avec eux !
— Non, détrompes toi. Ils sont géniaux bien au contraire.
— Mais avec ton bagage tu aurais pu enseigner dans une fac et là tu enseignes à deux gosses.
— Ils sont surdoués. Tu sais qu'ils viennent de passer leur bac ?
— Ils ont quoi 15 ou 16 ans. Il n'y a rien d’exceptionnel.
— Détrompe toi Will, ils ont 11 ans.
- Tu te fous de ma gueule ?
— Non, Will, pas du tout.
— Remarque, avec le gabarit du père, il n'y a rien de très étonnant mais leur mère devait être grande aussi.
— Tu la connaissais, voyons. C'était Anna, la sœur de Nick.
— Ah oui c'est vrai que c'était une grande et belle fille si je me souviens bien mais je ne l'ai croisée qu'une ou deux fois et encore on était jeunes. J'avais plus d'atomes crochus avec son frère Nick. Et lui, tu as des nouvelles ?
— Bien sûr, il travaille avec Bé et on se voit assez souvent. Lui et sa copine ont eu un bébé.
La conversation fut interrompue par l'arrivée des jumeaux qui étaient tout excités.
— Papa, demain William va nous faire faire un tour d’hélicoptère. On peut s'il te plait ?
—Et il a même dit qu'il nous le laisserait piloter.
— Alors si William l'a dit je ne peux que m’incliner.
— Merci Papa. Tu viendras avec nous ?
— Ça ne sera pas possible, demain je travaille.
— Allez Pa, S’te plaiiiiiit !!!!!!!
— Bon je vais voir avec votre Papy s'il me donne le reste de la semaine en vacances.
— Si tu veux, on lui téléphone pour lui demander.
— Et si on allait plutôt le voir après manger ?
On but l'apéritif et on passa à table. Hans avait fait simple mais tout le monde se régala. Puis on partit voir mes parents… qui étaient chez mes grands-parents. Sur la place il y avait quelques jeunes qui jouaient à la pétanque et notre arrivée surprit ce petit monde. Enfin, pas nous mais nos invités.
Ça surprit encore plus mes grands-parents et mes parents de nous voir tous débarquer. Avec eux il y avait Louis mais aussi Jean-Paul qui leur expliquait où en était les fouilles. Les jumeaux firent la bise à tout le monde et je présentais mes invités.
Tous furent très intéressés par les fouilles et demandèrent s'ils pouvaient aller les visiter. Bien sûr Jean-Paul accepta et rendez-vous fut pris pour le lendemain. Tout naturellement Louis proposa de prêter des chevaux pour ceux qui voudraient. Mon père me fit un signe et on se mit à part pour discuter.